Bonjour, c'est une très bonne idée et je vais en profiter pour témoigner de qq. comportements qui sont des "abus de position dominante" :
. Je suis demandeur de corrections et de punitions, à condition, comme j'ai coutume de le dire maintenant, que la Maitresse ou le Maitre contrôle ses gestes et connaisse ses instruments.
J'ai ainsi une fois été victime (et non pas puni consentant) d'une femme qui a utilisé une sorte de longue cravache (au moins 2 m) faite d'une matière rigide, se terminant par un embout torsadé de qq centimètres, très rigide lui aussi. Apres une douzaine de coups, le resultat a été non pas des marques, mais de vilaines blessures profondes sur le flanc, qui ont mis longtemps à disparaître.
Elle a fait mine de ne pas s'en apercevoir et de ne rien voir.
Pourquoi n'ai je pas interrompu la punition avant ? Sans doute, une stupide fierté de soumis qui veut aller jusqu'au bout.
Je ne l'ai évidemment plus revu, aussi à cause du déni qu'elle a exprimé, du genre : il ne s'est rien passé. Ou bien : c'est toi qui l'a voulu (sous entendu : elle n'a rien fait et n'est responsable de rien).
. Apres une autre scène de punition, plutôt severe, infligée par un homme cette fois ci et avec mon consentement, celui ci a aussi exprimé une forme de déni.
En effet, les marques, la couleur et la texture de la peau (dos, fesses, cuisses) étaient fortes et très visibles.
Or, tout ce qu'il a trouvé à dire a été : "demain, il n'y paraîtra plus rien".
Ce qui était évidemment faux. Il a fallu au moins 2 semaines et demi.
Ce que j'en pense : soit ce faux maître ne prend pas la mesure de ce qu'il fait.
Soit, il est parfaitement indifférent aux autres. En vérité, je crois bien que c'était les 2.
Lui non plus, je ne l'ai plus revu.
Voila 2 exemples d'un comportement très courant, qui accompagne souvent le sadisme.
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Il manquait qq. chose à mon témoignage : la photo des résultats de cette punition cinglant. Ainsi, vous pouvez "juger sur pièce". Quant à moi, je donne de ma personne, en espérant ne pas vous choquer. Je dois dire que je satisfais aussi mon goût pour l'exhibition, surtout s'agissant de mon côté pile. Voila, je me suis beaucoup exposé. Les endroits qui le permettent, comme le site Bdsm.fr, sont d'ailleurs fort rares. En espérant votre bienveillance, SouMichel
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Justmoiy, je vous remercie de votre appréciation. Oui, Bdsm.fr est bien le seul endroit permettant de raconter ce genre de scène, sans avoir peur des jugements, en escomptant l'attention du lecteur, peut-être son intérêt et même sa bienveillance. J'ai donc pu dire assez simplement ce qui est arrivé et comment j'ai réagi. Oui, ce cri est venu tout seul et sans prevenir. Ce n'était pourtant pas la 1ere fois que j'étais puni et je savais que je recherchais ces situations. Mais je ne savais pas encore à quel point je pouvais aimer cela, sous certaines conditions comme je l'ai dit aussi. A l'inverse il m'est aussi arrivé de dire "stop", lorsque ( je crois) la personne qui me punissait ne connaissait pas bien son instrument, par ex. : une "trique" trop lourde, équivalente à un gros bâton, un martinet aux lanières trop longues, conduisant à faire de larges moulinets, et aussi des lanières trop épaisses (qui ne diffusent pas le coup mais le concentrent). En revanche j'ai l'impression que vous connaissez bien tout cela. Me trompe je ? Reste à savoir aussi comment vous réagissez lorsqu'un soumis, pourtant bien averti et bien disposé, se rend compte que c'est trop (pour lui, à cet instant) et vous appelle "à l'aide". Respectueusement et meilleures salutations. SouMichel
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Les résultats d'une punition cinglante, partagée avec le Groupe Fessée et racontée sur le Forum / pratiques Bdsm / discipline fessée flagellation
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La "transe" par la punition
Bonjour,
Le thème a peut-être déjà été abordé et illustré sur ces pages, mais je n'ai pas retrouvé.
Je viens de publier un article dans le cadre du Groupe "Fessée" et je voudrais témoigner ici d'un ressenti, que connaissent et partagent beaucoup de soumis et soumises.
Il s'agit de ce que l'on ressent lors d'une punition assez sévère et consentie.
La condition est que le(la) soumis(e) puisse s'abandonner et s'en remettre entre les mains du dominateur(trice), en sachant que celui (celle) qui punit sera attentif, fera parfois un break et même stoppera la punition s'il le fallait. La différence est ici entre la domination, y/c sévère, et la brutalité.
Pour le soumis, la condition est aussi qu'il accepte la punition annoncée, à la fois crainte et espérée, incluant la douleur, qui peut être vive.
La scène que j'illustre par une photo est la suivante : un couple (parfois, cest un pb, car l'un sait ce qu'il veut, quand l'autre est là pour lui faire plaisir) me reçoit de temps à autre (pas assez souvent et trop irrégulièrement à mon goût).
Il est entendu que je viens pour être puni, avec détermination.
La scène débute par une fessée Otk, infligée crescendo à la main, ponctuée par le déshabillage progressif.
Apres chaque vêtement ôté, je dois chaque fois basculer à nouveau en travers des genoux du Maitre ou de la Maitresse et remercier avec sincérité et déférence.
La fessée est appuyée et dure environ 1/4 d'heure.
Puis, j'ai qq minutes de repos, nu, à genoux au centre de la pièce.
Ensuite, vient le temps de la sévérité (je le sais et je tremble) : je m'allonge sur un banc en bois, offrant mon dos, mes fesses et mes cuisses à ce qui va suivre.
Ce couple ( lui surtout) se sert volontiers d'une ceinture en cuir, assez large et très souple. L'instrument est bien maîtrisé: le rythme s'accélère le sifflement et le son de la ceinture qui s'abat sur la peau deviennent affolants, je pousse des cris et tout mon corps sursaute et se tortille sur le banc.
A un moment, sans doute lorsque le rythme, l'impact et la brûlure sont bien forts, je me surprends à crier : Oui, Ouîiiiii, encore !
Ce cri est "venu tout seul".
En vérité, je vis une sorte de transe, qui est certainement fugitive.
Sans doute, est ce une manifestation masochiste, une sorte de jouissance cérébrale et très physique, que je ne ressens qu'à ce moment là.
La personne qui me punit ressent ce que je vis, un paroxysme, et a la sagesse de terminer assez vite la punition en question.
Ceci dit, le même jour, en fin d'après-midi midi, j'ai encore reçu une volée de coups de canne ; là aussi, le sifflement est affolant et la douleur est vive.
Ceci explique la couleur rouge assez foncée de mon postérieur, que j'affiche avec cet article pour "donner de ma personne" et montrer que la scène était bien réelle.
Elle m'a suffisamment marquée, dans tous les sens du terme, pour avoir envie de la raconter ici.
Pour ne rien vous cacher, j'ai envie de la revivre (mais pas trop souvent s'il vous plaît !).
SouMichel
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Bonjour,
Je remercie Ladies Spencer et Hydre, Virginie, Eclipse et Poppy (parfois) de repondre par des réflexions sensées et des propos posés ; ce qui tranche avec le reste ( que je vais arrêter de qualifier).
Certes, à l'origine, mon propos était un "billet d'humeur", appuyé par 2 constatations :
. L'impression de vide en se promenant dans les divers salons du Chat : les participants disent bonjour et bonsoir, mais entretemps émettent des bredoullis insipides ;
. La multiplication des photos de chiens et chats, répétitive et prolongée.
On peut trouver cela sympathique, mais quand c'est systématique, cela devient navrant.
D'où la protestation, dont je ne pensais pas qu'elle allait déclencher un concert digne d'une meute, comme on l'a vu.
Mais j'entends aussi les autres points de vue, qui défendent le côté convivial du Mur, et aussi le rectificatif concernant les textes publiés, qui méritent l'attention.
Je m'étais donc trompé sur ce point et j'en demande bien pardon auprès de ceux, auteurs et lecteurs, qui avaient des raisons d'apprécier certaines pages et certains écrits.
Meilleures salutations.
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J'oubliais : 4. Les textes bidonnés, présentés comme de pseudo-réalités, qui sont en fait de la pure fiction....
On doit au moins arriver à 80% des interventions sur ce Mur, qui est ainsi devenu le "Mur de la vacuité"!
C'est quand même ennuyeux et surtout, cela n'a pas l'air de gêner grand monde....
Sans doute, est ce l'assentiment général ?
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Le mur G est accessible à tout le monde, membres du site ou non, connectés ou non connectés.
D'où une certaine attention à ne pas mettre trop de personnel sur ce mur là.
Précision: votre analyse des plus succinctes sur "les textes bidonnés....." me gêne un peu aux entournures. Comment savez vous qu'ils sont fiction ? Très curieuse de connaitre votre pratique de décorticage du vrai et du fantasme.
Je connais pas mal d'auteurs de textes et vous confirme que leurs histoires sont des plus réelles. Parfois pour les avoir vécues avec celles et ceux qui publient.
"Mur de la vacuité" ? C'est toujours mieux que le mur de la honte.
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30/11/20
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