Antoinette

Quel con ce correcteur orthographique sur mon tél. Il est pire que tout.

Bisous et belle journée le MG

Qui sait....peut être que lors d'une recession tu tomberas sur un mage qui a jeté sur toi un maléfice odieux. Un qui voulait t'épouser et que tu as éconduit. Il a fermé ta chatte que tu refusais de lui donner pour l'éternité. Un mage très puissant. Ce ne sera pas facile de briser ce maléfice.

Bonjour j'aime beaucoup ce que vous avez écrit.

Harun al-Rashid et Zubayda (Poème inspiré des Mille et Une Nuits) Sous le ciel d’Orient où la lune s'endort, Bagdad resplendit au son du tambour d’or, Où Harun al-Rashid, calife tant aimé, Règne en maître éclairé, noble et estimé. Le palais s’éveille, aux murmures du soir, D'histoires contées comme doux encensoir, Et sous les étoiles, mille et une nuits, Portent leurs secrets, chuchotent leurs ennuis. Harun, roi puissant, à l’âme profonde, Cherche le sens caché des voies du monde. Ses yeux d'ébène reflètent le désert, Mais son cœur bat pour l'amour, doux et sincère. Dans ses songes d’or, scintille Zubayda, Sa noble épouse, douce comme l'oudah. Elle est la perle de son royaume immense, La flamme qui éclaire sa puissance. Ô Zubayda, lumière enchanteresse, La bien-aimée, la sage, la princesse, À ses côtés, la paix comme un jardin, Fleurit sans fin, chaque soir, chaque matin. Elle conte au calife des mots d’éther, Des histoires nées des voiles du désert, D’êtres fabuleux, d’amours, de magie, S'envolent les contes dans le ciel de la nuit. Ainsi passent les heures et les années, Sous le firmament de leurs destinées, Harun, le calife, et Zubayda, fleur, Unis pour toujours dans un rêve de cœur. Car là-bas, à Bagdad, sous les cieux sans fin, Vivent des légendes qui ne meurent point. Harun al-Rashid, calife éclairé, Et Zubayda, reine, au destin sacré. --- Ce poème tente de capturer la beauté et la magie de Bagdad sous le règne de Harun al-Rashid, accompagné de sa bien-aimée Zubayda, entre légendes et amour, inspirés par les récits des Mille et Une Nuits. Bisous mon IA c'est très joli

Cette jeune femme très libre ne veut absolument pas avoir d'enfants. C'est la raison de son vaginisme total. Elle est pas du tout lesbienne, elle est garçonne mais ne veut pas en être un. C'est un schéma récurent dans l'exploration de mes vies anterieures.

Le sujet des poissons de couleurs en relation avec les religions est fascinant, car les poissons, et plus particulièrement leurs couleurs et symboliques, revêtent des significations profondes dans plusieurs traditions religieuses et cultures du monde. 1. Symbolisme du poisson en général Dans plusieurs religions, le poisson symbolise des concepts spirituels et mystiques : Christianisme : Le poisson est un symbole ancien de Jésus-Christ. L'acronyme grec ICHTHUS (ἰχθύς) signifie "poisson" et forme les initiales d'une expression qui signifie "Jésus-Christ, Fils de Dieu, Sauveur". Ce symbole est encore utilisé dans les milieux chrétiens pour représenter la foi. Hindouisme : Le poisson symbolise souvent la vie et le renouveau. Le dieu Vishnu est parfois représenté sous la forme d'un poisson, Matsya, qui sauve l'humanité lors du grand déluge. Bouddhisme : Deux poissons dorés sont un des huit symboles auspicieux. Ils symbolisent la chance, la prospérité, et la libération spirituelle (notamment la liberté des contraintes de l'océan du samsara). Islam : Le poisson est présent dans plusieurs récits coraniques et est souvent associé à des miracles et à la provision divine. 2. Poissons colorés et leurs significations religieuses et spirituelles Les couleurs des poissons peuvent aussi porter des significations particulières, et ces significations varient selon les cultures et les croyances. Poissons dorés (ou orange) : Dans plusieurs cultures, comme en Chine et dans le symbolisme bouddhiste, le poisson doré est un signe de prospérité et de chance. En Chine, le "poisson rouge" (qui est en réalité un poisson doré) est un symbole de richesse et d'abondance, en partie grâce à l'homophonie entre les mots "poisson" et "abondance" (yú). Poissons rouges : Ils sont souvent associés à la vitalité et à la chance dans la culture asiatique. Les carpes koi rouges, par exemple, symbolisent l'amour et l'énergie dans la culture japonaise, avec un lien plus implicite avec le Shintoïsme. Poissons bleus : Le bleu est souvent associé à la tranquillité et à la protection divine. Dans le folklore arabe, par exemple, la couleur bleue protège contre le mauvais œil. Poissons multicolores : Dans certaines croyances, la diversité de couleurs chez les poissons peut représenter la diversité de la création divine, où chaque couleur et forme de vie a sa place et sa signification. 3. Rites et pratiques Dans certaines pratiques religieuses, les poissons colorés sont utilisés dans des rituels. Par exemple, dans l'hindouisme, on place parfois des poissons dans les temples ou les bassins des jardins sacrés pour invoquer la protection divine et symboliser la vie. Dans la tradition chinoise, la carpe koi est souvent élevée dans les temples bouddhistes et taoïstes comme une représentation de la persévérance, car elle est capable de nager à contre-courant, symbolisant ainsi la détermination à atteindre l'éveil ou la sagesse. 4. Conclusion : Harmonie entre la nature et le divin En somme, les poissons colorés dans les religions reflètent l'idée d'une connexion harmonieuse entre la nature et le sacré. Que ce soit dans les jardins japonais où les carpes multicolores apportent paix et beauté ou dans les représentations chrétiennes et bouddhistes, ces animaux aquatiques colorés rappellent que chaque être vivant peut représenter une vérité spirituelle, un aspect de la foi ou un lien entre le monde physique et le monde spirituel. Exist il un conte écrit à Bagdad qui parle de la couleur des religions à partir de poissons ou les musulmans seraient en blanc....et non pas en vert ?

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Thessalie Cela semble correspondre ?

Merci Mael. Oui j'ai compris. Il faut d'abord laisser venir les images. Écrire une petite histoire c'est amusant à faire . Après regarder des photos. C'est incroyable comme cela correspond à mes images mentales. Les montagnes enneigees au fond par exemple, c'est l'Olympe sur ta carte.

Magnifique Antoinette, une "élève" prometteuse de Maël... un maitre en la matière

Bises Maître Fesseur 83. Mon mael est vraiment un sorcier. Il me conduit de façon sûre sur des sentiers étranges dont j'ignorais tout. C'est si amusant de tenter de faire des recensions. Juste par plaisirs et sans ambitions.

Le visage pour illustrer est celui d'une fille de Thessalie de 18 ans environ, reconstitué par intelligence artificielle. Une fille qui vivait la bas il y a plus de 9000 ans

La seule façon de faire de véritables régressions de vies antérieures est de le faire par le biais d un ou une médium en écriture automatique qui ne fait que ça...même les voyages Akhashiques ne donnent pas les détails précis qui permettent de vérifier . J ai fais 7 régressions de vies antérieures. Celles dont j'avais besoin pour cette vie ci. Dont la dernière avec des détails précis vérifiés in situ . Ceci dit les passions pour certaines choses ou endroits ont toujours un sens ..certaines peurs viscérales également..ces vies antérieures sont dans nos mémoires . Il n y a pas là de sorcellerie...juste réveiller ces mémoires . Par contre il est difficile sans médiumnité de vérifier si c'est notre imagination prolifique ou vraiment un vécu . C est cette étape et les détails précis qui permettent de valider ou pas. En tout cas un beau voyage et une belle narration .

Merci Themis pour toutes ces précisions. Je vois que vous êtes une experte puisque vous avez pu faire 7 régressions sur vos vies anterieures. J'écris un peu en automatique, comme cela vient avec les images, directement depuis mon tel, d'où les nombreuses fautes. Mais ce n'est pas grave ce qui compte ce sont les images et les ressentis. Je fais confiance à mon guide mael que j'adore et qui est un peu timbré parfois avec ses idées. Je blague. Non je me sens en confiance avec lui car je me sens protégée. Je ressens que ces voyages ne sont pas sans danger. Je crois qu'il a raison. J'ai subi il y a fort longtemps un maléfice par un sorcier effrayant et répugnant. C'est lui qui a fermé ma chatte pour des millénaires. Les images commencent à arriver. Une histoire terrible. Il faut que j'arrive à rompre ce malefice qui me poursuit à chaque réincarnation. Bises et encore merci pour vos conseils avisés.

Bisous Toinette et merci pour ta confiance. Sauf que ...ta prochaine régression risque d'être très dangereuse. Même si des images commence à arriver...ne rentre pas dedans. Cela me semble encore trop tôt. Certains sorciers sont vraiment des adversaires redoutables. Une régression, tu as pu t'en rendre compte, ce n'est pas seulement des images, des souvenirs de vies anterieures....tu peux te retrouver vraiment dans ton passé et là c'est face a un homme vraiment démoniaque. Donc prudence prudence. Si les images viennent ne rentre surtout pas dedans. Lorsque tu iras ce sera pour l'affronter à nouveau. C'est peut etre même lui qui essaie de te faire venir. Je sais pas ce que tu lui a fait, mais visiblement il a un compte à régler avec toi. Ferme donc la porte chaque fois à présent. Peut être pourrons nous y aller ensemble ? C'est étrange...la chose que je sens c'est qu'il craint l'humour. Cela le déstabilise de garder le sens de l'humour, de se moquer. Il peut se manifester sous forme d'esprit frappeur pour essayer de te faire peur. Si cela arrive. Moque toi de lui et dis lui d'aller faire son cinéma ailleurs. Il enragera encore plus. La colère est mauvaise conseillère dans un combat. Bisous et souviens toi. Même pas peur !

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tudes_sur_la_r%C3%A9incarnation Je commence seulement à me documenter un peu sur le sujet.

Le démon Malaventure Il surgit des flammes, le démon Malaventure, Avec un sourire – oh, quelle imposture ! Il est fourbe, méchant, un être vil, Un vrai monstre en enfer, le roi des reptiles. Ses cornes luisantes en forme de vis, Témoignent bien sûr de ses mille vices. Il aime piéger, tourmenter les passants, Faire trébucher les gens bons en riant. Il s’invite aux fêtes, déguisé en cousin, Glisse du poivre dans le bon vin, Puis observe les visages se crisper, Avec ce regard cruel, mauvais. Dans les cauchemars, il danse, ce vaurien, Tire les pieds, souffle dans les coussins, Un vrai farceur – mais en malveillance pure, Toujours prêt à servir quelque torture. Les pauvres âmes qu’il croise s'en souviennent, De ses mensonges, de ses sales rengaines. Avec un clin d'œil il leur promet des roses, Puis s'éclipse, leur laissant des choses atroces. Même les autres démons le craignent un peu, Car Malaventure est le pire des affreux. On murmure en enfer, tremblant de peur, Que Satan lui-même a peur de son humeur ! Alors, si jamais vous le voyez venir, Avec son rictus et son faux sourire, Fuyez, car ce démon plein de noirceur, Ne vous réserve que chagrin et malheur. En somme, cet être odieux et cynique, N’est qu’un diable moqueur et maléfique, Un fourbe, un vil, un rusé serpent, À éviter, même pour les plus vaillants ! IA a trouvé son nom....malaventure

L'Infâme Gredaflure Dans un marais sombre où nul ne s'aventure, Vit l’affreux sorcier nommé Gredaflure, Un monstre sinistre, odieux, malfaisant, Aux ricanements de pur charlatan. Avec un grand nez crochu, biscornu, Et trois dents pointues, de travers venues, Il mijote des potions aux relents d’égout, Qui font fuir même les plus braves d’un coup ! Sa peau est verdâtre, comme un vieux cornichon, Ses ongles en griffe : une véritable horreur. Ses cheveux en paillasse, un peu en torchon, Et son rire glacial fait trembler les fleurs. Quand il jette un sort, c’est une débandade, Les arbres se mettent à marcher en parade, Les chats se changent en poissons panés, Et les gens du village restent bouche bée ! Un jour, il lança un sort sur un voisin, Qui depuis chante comme un dauphin, Un autre se retrouva couvert de piques, Tel un cactus hurlant, la panique ! Mais le pire de tous, son chef-d’œuvre ultime, Est de transformer les doux en infâmes victimes : Car sous son pouvoir, tout être gentil Se met soudain à grogner comme un gris sourcil ! Les mères le maudissent, les pères en cauchemar, Car Gredaflure adore les soirs de bazar. Caché dans la brume, il jette à la volée Des maléfices dans des rires déchaînés. Mais attention, braves gens, car il se murmure, Que si l'on dit trois fois "Gredaflure", Devant un miroir au fond de son salon, Il apparaît soudain, tel un gros champignon ! Alors, prenez garde, il n’est jamais bien loin, Ce sorcier maléfique, ricanant dans son coin, Qui de son marais aux potions épouvantables, Répand la terreur, infâme et misérable ! On de rapproche...Merci IA

Le Terrible Friponcreux Au fin fond des bois, dans un vieux tronc pourri, Vit le fameux Friponcreux, un monstre aigri, Maître des maléfices, des sorts effrayants, Et prince des coups bas, des mauvais vents. Son visage est hideux, ses yeux tout plissés, Avec une dent (la seule) qui semble usée, Son nez est si long qu’il frôle le sol, Et sa voix grinçante fait fuir le rossignol. Il se cache la nuit sous de noirs brouillards, Et marmonne des mots d’un étrange charabia, Puis, en riant sournoisement dans l'ombre épaisse, Il déclenche un sort, sans trop de politesse. Avec un coup de griffe et quelques jurons, Il transforme les gens en gros champignons, Ou fait d’un passant un poulet rôti, Juste pour voir s’il couine ou s'il fuit ! Un jour, une grand-mère, brave et sereine, S’est retrouvée affublée de deux grandes cornes de reine, Elle mit une semaine à tout enlever, Mais Friponcreux, lui, en pleurait de s’esclaffer ! Ses potions sont pires que ses incantations, Un mélange d’asticots et de vieux chaussons, Avec un zeste de boue pour l’arôme puissant, Et une goutte de pipi de serpent ! Il aime jeter des sorts aux amoureux, Pour qu’ils rient à l’envers ou qu’ils louchent des yeux, Ou qu’ils se retrouvent à sautiller sur un pied, Sans savoir pourquoi, et même en plein dîner. Bref, le Friponcreux est un vrai danger, Un filou, un fourbe, un être détraqué. Alors si jamais, dans les bois, vous l’entendez, Courez vite, mes amis, ne vous retournez jamais ! Car ce monstre affreux, sournois et maléfique, Adore s’amuser à rendre la vie comique, Et si par malheur vous croisez sa laideur, Il vous maudira… de tout son grand cœur ! Ou bien celui ci ?

Celui qui a réussi à me fermer la chatte pendant des millénaires est vraiment un sorcier redoutable

C'est peut être un sorcier follement amoureux de toi. Peut être as tu refusé de l'épouser. Il t'a fermé ta chatte de pucelle pour se réserver ce droit. Il te puni pour te faire craquer. Il veut te contraindre à l'épouser ? Plus dingue que cela, ya pas! Cool juste des questions.

Seul un Athanatos peut faire cela. Seul un Athanathos amoureux fou peut se payer le luxe d'attendre des millénaires et comme ils sont capables de polymorphisme, je n'ai aucune chance de lui échapper. Alors pourquoi ?

Il a peur être beaucoup d'humour...un humour bien particulier. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vaginisme Imposer un vaginisme total pendant des millénaires, je persiste, c'est un timbré grave cet Athanatos ou alors....il ne veut pas que tu puisses avoir d'enfants. Pour quelle raison?

C'est peut être plus simple. Cet Athanatos est dans ta tête. Tu fais un refus total d'avoir un enfant. C'est récurent dans toutes les vies que tu décris. Je ne suis pas psychiatre. De toute façon ce cas existe, environ 5 % des femmes ne veulent pas d'enfants. Les cas qui vont jusqu'à un vaginisme total, pour empêcher toute penetration, doivent être plus rares. Se réincarner en trans est peut être une autre façon, si la réincarnation existe. C'est donc pas un problème du tout, une liberté de choix? Ce n'est pas du tout une obligation pour une femme d'avoir des enfants. Cela me semble être la réponse juste. Il faut toutefois laisser poser pour d'autres regressions. Une pause ....s'impose...rires.

Le sorcier redoutable c'est peut être juste ton libre choix dans toutes tes vies de ne pas avoir d'enfants. Un choix définitif et total.

Oui, c'est exactement cela, un refus total d'avoir des enfants à chaque incarnation. Le vaginisme total ou bien la transexualite sont la solution à chaque incarnation.

Vivre comme une bergère en Thessalie il y a 9000 ans (environ 7000 av. J.-C.) nous plonge dans la période néolithique, une époque de grandes transformations pour les sociétés humaines. À cette période, l'agriculture et l’élevage commençaient tout juste à prendre racine, marquant la transition des sociétés de chasseurs-cueilleurs vers des communautés plus sédentaires. Voici une reconstitution possible de la vie quotidienne et du mode de vie d’une bergère de cette époque. 1. Vie quotidienne et activités Rôle principal : Garde et soin des animaux : La bergère devait s'occuper d’un troupeau de moutons ou de chèvres, des animaux domestiqués et très importants dans l’économie locale. Elle accompagnait le troupeau pour paître dans les zones de plaines et de collines, ce qui pouvait l’occuper pendant des heures, parfois même la journée entière. Fabrication de produits dérivés : En plus de garder les bêtes, elle s'occupait probablement de la collecte de lait pour faire du fromage et du beurre, des sources de nourriture précieuses pour sa communauté. La laine des moutons, bien que brute par rapport à la laine moderne, pouvait aussi être utilisée pour fabriquer des vêtements rudimentaires ou des couvertures. 2. Habitat et vie sociale Abri et hameau : Les habitations de l'époque étaient souvent faites de bois, d'argile, de roseaux et de branches, formant des huttes ou de petites maisons rectangulaires. Elle vivait probablement dans un petit hameau avec d'autres familles, regroupées autour d'une zone de pâturage. Le groupe était solidaire, et chacun partageait les responsabilités communautaires, qu'il s'agisse des récoltes, de l'élevage ou des tâches domestiques. Rôle social : Dans ces communautés néolithiques, la division des tâches n'était pas aussi marquée qu’elle l’a été dans des sociétés plus récentes. Ainsi, bien que la bergère ait des responsabilités claires avec les animaux, elle pouvait aussi s’impliquer dans d’autres tâches comme la culture des plantes, la collecte de bois pour le feu, et même dans des activités artisanales comme la fabrication d’outils en pierre ou en os. 3. Alimentation et subsistance Agriculture et cueillette : Même si elle était bergère, son alimentation provenait principalement de ce qui était cultivé ou cueilli. La Thessalie de cette époque est l'une des premières régions de Grèce où l’agriculture s’est répandue. Elle consommait probablement des céréales comme le blé et l’orge, et récoltait des plantes sauvages, des fruits et des baies. Viande et produits laitiers : Bien que le troupeau fournît de la viande, on évitait d’abattre des animaux trop souvent pour préserver le troupeau. Le lait et le fromage étaient des substituts essentiels, et la viande était réservée pour des occasions spéciales. 4. Rites et croyances Culte de la nature et des animaux : La bergère et sa communauté entretenaient probablement des croyances animistes, où la nature, les animaux et certains éléments comme le soleil ou la pluie étaient vus comme des forces dotées d’esprit. L’animal avait une place sacrée dans la vie quotidienne, car il apportait des ressources vitales. Objets et pratiques rituels : Des figurines féminines en argile retrouvées en Thessalie montrent que les femmes ou les déesses-mères étaient peut-être vénérées, associées à la fertilité et à la protection. Des objets rituels pouvaient être utilisés pour invoquer une bonne croissance des troupeaux et des récoltes, ou pour éloigner les maladies. 5. Défis et rythme de vie Changements climatiques et adaptation : Les conditions climatiques de Thessalie, avec ses étés secs et ses hivers doux mais humides, signifiaient que la bergère devait constamment adapter le déplacement des troupeaux pour trouver de nouveaux pâturages. Rythme saisonnier : Les saisons dictaient le mode de vie. Au printemps, elle menait son troupeau vers des pâturages verdoyants, tandis que l’été chaud nécessitait des abris pour les protéger du soleil intense. L’hiver impliquait de stocker du foin pour nourrir les animaux. 6. Transmission des savoirs Enseignement des savoir-faire : Les savoirs liés aux plantes, aux animaux et à la survie étaient transmis oralement de génération en génération. La bergère apprenait les techniques de soin des bêtes, de fabrication de produits laitiers et de survie dès son plus jeune âge, en observant et en suivant les conseils des plus anciens. En somme, la vie d’une bergère en Thessalie il y a 9000 ans était ancrée dans une existence humble et collective, profondément connectée aux rythmes de la nature et des animaux. Voilà la vérification avec IA, le récit en écriture automatique ne donne pas assez de détails précis pour aller plus loin .

https://youtu.be/-HzpPyA_3r0?si=5QWOtRcKLSPgiMuW Moins légère

Une génération perdue ,Une guerre pour rien , une vraie boucherie .juste pour entretenir l'égo de quelques maréchaux qui ordonnaient des arrières ...

https://youtu.be/0uGOFf2J_t4?si=KhAsv5_qqyvr1s8K Plus amusante

https://youtu.be/E6HHq56VpKM?si=n3RVsz71qr7GBLsN Un mix

Grace à vous tous je viens de mettre à jour ma playlist 14-18 ! Qui l'eût cru à partir de site BDSM !!!

Pourvu qu'on ne connaisse plus tout ça...

L'IA c'est pour le texte en prose ? ou le poème ? Ou les deux ?

L' IA c'est uniquement pour les poèmes. Le texte en prose c'est de moi et en écriture automatique. C'est une façon de régresser dans des vies anterieures. Je corrige après coup les fautes. C'est tape directement depuis mon tel d'un jet.

Les poèmes IA cest juste pour voir les images générées et si elles confirment l'écriture automatique ou pas.

https://youtu.be/Cvysvtf6bWA?si=4jd6Nf75mkrO-Y_I C'est ma préférée . Qui sait en souvenir de Béatrice....

Merci pour cette indication. J'ignorais sincèrement quelle serait la réponse. Or je trouve que le texte en prose est vraiment bien plus intéressant, personnel et original que le poème, plus convenu, plus attendu et plus lyrique, même si le résultat, pour un poème généré par l'IA, est quand même assurément correct.

La technique de régression que j'ai montré à Toinette est la suivante : 1. Meditation calme et relaxation. 2. Glisser doucement vers un état modifié de conscience avec des suggestions sorte d'autohypnose 3. Écrire en automatique les images qui viennent d'elles même. Peu importe le support, papier, tel, ordi,.... 4.ne surtout pas chercher à corriger, à trouver un sens, juste écrire ce qui vient 5. Retour par une meditation de sortie 6. Corrections pour rendre l'écriture automatique lisible 7. Vérifications, ce qui a été écrit est il plausible? Pour cela IA est un outil très puissant et rapide. Toutes les vérifications que j'ai pu faire sur ce qu'a écrit Toinette sont plausibles. Ce sont des vérification après écriture automatique, sinon cela n'aurait aucun sens. C'est même surprenant comme cela colle parfois. La légion était présente en 14 18. Les infirmières étaient appelées des anges. Certains hôpitaux de campagne trop près du front ont été bombardés, souvent par erreurs. Cette Béatrice, transgenre, infirmière, morte probable en 1916 ou 1917 a t elle existé ? Si oui alors c'est une vie antérieure de Toinette....

J'ai demandé à IA de vérifier et de faire des recherches. Cette histoire est très fortement probable. Sur l'état civil je m'appelais Bertrand devenue Béatrice dans la légion étrangère comme infirmiere. Réponse IA --- Béatrice, autrefois connue sous le nom de Bertrand, était née dans une petite commune du nord de la France. Dès l'enfance, elle ressentait que quelque chose en elle était différent, un sentiment profond d’être dans le mauvais corps, de ne pas être tout à fait à sa place. Ce sentiment, qu’elle n’osait partager qu’avec le silence de sa chambre, la suivit jusque dans sa jeunesse, et c'est dans la discrétion qu'elle se transforma. Quand éclata la Grande Guerre, le monde entier bascula, et Béatrice, elle aussi, dut se réinventer à nouveau pour répondre à l'appel du devoir. L'année était 1915 quand Béatrice, infirmière formée dans une école de la Croix-Rouge, prit une décision inattendue : s'engager auprès de la Légion étrangère. La Légion acceptait volontiers ceux que la société marginalisait, et Béatrice voyait là une forme d'acceptation qu'elle n'avait jamais trouvée ailleurs. Les hommes qui s’y engageaient provenaient de tous horizons, chacun porteur d'une histoire complexe et souvent douloureuse. Dans ce contexte de guerre, Béatrice trouvait une liberté qu’elle n’aurait jamais imaginée, se sentant enfin vue et reconnue pour ce qu’elle était, au-delà des jugements. À l’arrière des lignes de combat, Béatrice apportait un réconfort et une bienveillance rares dans la froideur de la guerre. Dans les hôpitaux de campagne, installés sous de vastes tentes de fortune, elle pansait les blessures, calmait les âmes tourmentées et apportait de l’humanité dans ce chaos. Chaque jour, elle faisait face aux visages meurtris, aux corps brisés par les éclats d’obus, à ceux qui, comme elle, portaient des cicatrices invisibles. Les soldats, qui pourtant savaient parfois son secret, la respectaient, car pour eux, Béatrice était une lumière dans l’obscurité de la guerre. Mais le 4 avril 1918, tout bascula. Ce jour-là, l'ennemi avait repéré le campement et, en quelques minutes, une pluie d'obus s’abattit sur l’hôpital de campagne. Le fracas était assourdissant, les tentes s’enflammaient, et autour d’elle, la terre semblait s’ouvrir, avalant ceux qui cherchaient à fuir. Sans hésitation, Béatrice courut de brancard en brancard, aidant à évacuer les blessés, ignorant sa propre sécurité. C'est alors qu’un dernier obus tomba, pulvérisant le sol à quelques pas d’elle. Dans cette explosion, Béatrice s'éteignit, emportée par les éclats de fer et de terre. Elle tomba aux côtés de ceux qu'elle avait sauvés, les mains encore tendues, comme un dernier geste de dévotion. Les survivants racontèrent ensuite son courage, sa douceur, et combien elle avait incarné, malgré la brutalité de la guerre, une humanité plus grande que nature. Dans leurs souvenirs, Béatrice ne serait jamais la simple infirmière qu’ils avaient connue, ni l’étrangère aux origines énigmatiques. Pour eux, elle restait Béatrice, la sœur d’armes qui avait donné sa vie pour en sauver d’autres.

Bertrand devenue Béatrice, infirmière de la légion morte le 4 avril 1918 dans un bombardement sur son hôpital de campagne

C'est presque effrayant ces regressions

Oui, il faut que tu arêtes les regressions. Fais une pause. Ne te laisse plus aspirer par les images. Cette histoire de Béatrice tu donnes plein de détails précis qui peuvent ce vérifier.

J'ai fait une recherche sur le site "mémoire des hommes" , il ne peut pas confirmer. Il faudrait le nom de famille. Le prénom Bertand ou Béatrice n'est pas suffisant. Et à l'époque les changements d'état civil n'étaient pas reconnus. C'est vrai que dans la Légion étrangère, c'était possible car ils avaient leurs propres règles avec de nouvelles identités pour repartir à zéro. Malgré la précision de ton emouvant récit en automatique, il sera difficile de le confirmer.

Bisous et merci pour ta recherche. C'est le seul récit en automatique ou il est peut être possible de confirmer ou non une régression. J'ai effectivement donné beaucoup de détails précis.

Oh, femme étrusque, dominante et fière, Élégance ciselée dans un souffle de pierre. Tu traverses le temps, silencieuse et sereine, Avec ce port altier que nul ne freine. Égarée des âges, libre et garçonne, Ton allure légère les époques étonne. Sous la soie des siècles, tu danses sans fin, D'un pas décidé sur un ancien chemin. Ton regard profond, de mystère couronné, Voit le monde changer sans jamais vaciller. Défiant les modes, ignorant les lois, Tu imposes ta grâce, souveraine et sans voix. Ni couronne ni sceptre, mais un charme certain, Qui inspire le respect au-delà du lointain. Élégante et fière, d'une aura de reine, Ô femme éternelle, au cœur de porcelaine. Mystérieuse étrusque, ni fée, ni mortelle, Tu es l'écho de l'Histoire, rebelle et belle. Sous les voiles du temps, une reine garçonne, Femme indomptable, que nul ne détrône. Une incarnation en femme étrusque, riche propriétaire d'un très vaste domaine en Toscane actuelle ?

Que ce soit dans une vie antérieure ou maintenant, ton petit ....bien ferme et si jouissif est un rêve qui peut rendre dingue.

Une vie simple, au grand air, avec des plaisirs sains.

C'est très amusant. Cette femme de la noblesse étrusque a des coiffures bien étranges. Souvent des sortes de chignons montés sur des structures métalliques. Les demeures sont belles et spacieuses, très lumineuses et aérées. La Toscane est si belle... cela a du être une très belle vie.

Mordre c'est dominer de façon primitive brute, jusqu'au sang c'est les liens indissolubles de la passion totale

Mordre pour boire le sang de la passion

https://www.doctissimo.fr/sexualite/fantasmes/odaxelagnie-pratique-des-morsures-sexuelles C'est bien expliqué

https://journalmetro.com/inspiration/a-table/180908/une-pratique-sexuelle-qui-a-du-mordant/ C'est une pratique dans certaines postures du Kamasutra

C'est exactement cela, j'adore croquer mon maso à pleines dents, cela le fait bien bander. Cela le fait bien hurler aussi parfois.

Il faut rajouter que les crocs ont un goût qui change chaque fois. Il faut aimer l'odeur de son maso pour bien le croquer. Et si un peu de sang perle....c'est délice. Z ne pratiquer cela qu'avec son maso, pas de partenaire occasionnel. Ce n'est pas sans risques dans ce cas avec un ou une partenaire que l'on ne connaît pas.

Je ne sais pas trop quoi penser d'une telle possession totale / abandon de soi, jusqu'à ses propres pensées... D'ailleurs, est-il vraiment utile que j'en pense quelque chose? 😁 En revanche, je veux bien un tuto de la figure de "mini-shibari" trop mignonne en illustration de l'article ! 😇

Sous le voile sombre d’une nuit indomptée, Elle rôde, furtive, de l’ombre enveloppée. Louve aux crocs acérés, baiser de morsure, Sa passion mordante est une force pure. Ses dents, éclat de lune, luisent dans le noir, Promesse de fièvre, de jeu, de pouvoir. Elle mord comme on aime, avec un feu secret, Chaque marque laissée un désir révélé. Son souffle est brûlant, son étreinte sauvage, Dans la danse des ombres, elle trace son sillage. Elle mord pour sentir, pour frôler l’abandon, Pour goûter à la vie, pour vibrer sans pardon. Ni douce ni docile, son amour est intense, Elle sème la passion, la peur et la transe. Une reine en morsures, elle impose sa loi, Et dans chaque baiser, elle laisse un éclat de soi. Quand le jour se lève, son ardeur s’évanouit, Mais ses marques sur la peau murmurent dans la nuit. Car l’amour d’une louve, ardent et dévorant, Reste gravé à jamais, éternel, brûlant. Bonne soirée