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Théory

Homme Dominateur. Vit à toulon, Provence-Alpes-Côte d'Azur, France. 33 ans. est célibataire.
Extrait de son book
Théory
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Théory
a répondu à sa propre discussion "Relation virtuelle".
@SlaveDamour : Bongouuur. Balek de ce que les autres pensent, non? Tant que vous y trouvez plaisir et amusement, vive la vie !!! PS: On peut lire ou c'est perso?
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Théory
a répondu à sa propre discussion "Solicitations".
J'adore ! Faut créer une feature sur le site où les faux profils se côtoient entre eux uniquement. J'imagine le pirate fausse soumise s'évertuant à arracher la moindre info au queutard invertébré se faisant passer pour un Dom intransigeant. Je veux un .log de leurs échanges. Tout de suite ! Ps : on m'explique pourquoi y'a pas l'emoji "fouet"...?
Théory
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femme de caractère, lorsque j'exerce mon art ce sont tous mes sens qui s'embrasent pour mieux vous avilir, vous dresser et vous asservir .:.
Théory
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Théory
Merki, on fait ce qu'on peut/veut 1f609.png
J'aime 06/01/22
Théory
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Feuler
Réponse : une recette d'apologie policière de la ségrégation trop cuite...
J'aime 09/05/22
Théory
@Feuler : Oui, mais sans gluten
J'aime 09/05/22 Edité
Théory
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Théory
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Feuler
Du vécul 1f642.png
J'aime 09/05/22
Théory
a répondu à la discussion "Interrogation" de Ael564.
Bonsoir/Bonjour. Tout un parcours que je ne connais pas et auquel je ne puis apporter aucune réponse que vous semblez demander. Néanmoins quelques retours qui pourront peut-être vous apporter pistes et réflexions. Comment être sûr que c’est bien le BDSM qui me conviens ? // En essayant. On aura beau tergiverser, prendre l'opinion des autres, ce n'est qu'en mettant les mains dans le cambouis que l'on sait si l'on est mécanicien. Je me sens aussi comme un monstre, ce cote sombre chez moi, ce cote violent … je sais que ce n’est pas le cas et le monde BDSM me le prouve .. mais je reste totale lemon bloqué et je n’arrive pas à franchir le pas // J'ai eu peur, quand on m'a introduit à ce monde, d'aller trop loin, d'être un abysse sans fond d'où la chute perpétuelle me condamnerait à toujours plus d'atrocités. Je culpabilisai aussi. Le fait de rencontrer quelqu'un, avec qui pratiquer, qui parlait avec simplicité et ouvertement de ce pendant opposé que je ne comprenais pas, de voir, que cela n'était pas subit, mais reçu, accepté, demandé, cela m'a aidé à accepter, à dépasser les limites que ma peur avait décidé pour moi. Pour le reste, je me garderai bien d'intervenir, risquant de n'être que peut constructif et surtout très arrêté dans mes avis. Vous souhaitant le meilleur (ou du moins quelque chose s'en approchant).
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Théory
a répondu à la discussion "Le re-nouveau?" de AlexxxTTT.
Salut Alex, Mes félicitations (si ça compte) pour la préZ détaillée et lisible. J'aime bien le côté, j'ai grandi m'voyez et t'as l'air d'avoir pas mal bourlingué. J'aurais d'ailleurs, sûrement, une question. Plus de la curiosité qu'autre chose. Mais comme dirait la grande philosophe Beyoncé, "who runs the world? Curiosity". Bon retour, home sweet home comme on dit.
Théory
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Théory
a répondu à sa propre discussion "Les carnets d'un D : Frédérique".
Bonsoir, Il y a quelques temps, j'ai perdu mon ordinateur. Avec celui-ci ont disparu tout un tas de trucs dont les écrits sur Frédérique. J'ai tenté de réécrire les textes, en découle les derniers écrits en date. Néanmoins, outre le temps qui file, ce vilain sentiment que "c'était mieux avant", cette tentative de coller au fantasme d'un écrit pris sur le moment m'amènent à constater que l'envie n'y est plus. Je m'arrête donc là. La vie continue et de nouvelles aventures pointeront peut-être le bout de leur nez. Bref, une pause s'impose. Merci d'avoir pris le temps de lire. La bise. Sur les deux joues. Peace Sur les deux hémisphères. lol
Théory
a répondu à sa propre discussion "Les carnets d'un D : Frédérique".
Huitième séance (suite) : C'était sans compter sur son intelligence au jeu et les moult itérations que nous en avions déjà fait. Elle commença par le dos, quatre coups d'une intensité forte pour répondre au "4" écrit en gros sur son dos. Puis dix sur chaque seins, plus doucement car écrits plus petit. Elle enchaîna les instructions sans jamais se tromper. Avec le recul, je suis sacrément impressionné par son attention aux détails et sa présence dans l'instant présent. M'enfin, imaginez-vous! Elle sortait d'une strangulation plutôt costaude, d'une séance de baguette et d'une rencontre fortuite avec l'encadrement d'une porte. Les yeux bandés (vous l'avez pas oublié, hein!?). Et là, un gars se prend pour Trina MERRY et elle a le réflexe d'enregistrer mentalement ce qui est écrit (déjà, faut y arriver, je vous invite à essayer), puis de faire le parallèle avec ce qu'elle a déjà vécu, puis décrypter et ensuite faut toujours le faire, hein!? Bref, cette femme est incroyable et avec un niveau comme cela en face, ça force à l'admiration, et surtout à se dépasser, à inventer de nouveaux trucs, pour qu'elle puisse, à son tour, se dépasser ou échouer en essayant (ce qui reste formateur). Je profitais donc de son application stricte de la chose pour prendre mon téléphone et trouver un angle avantageux. Au premier clic, elle se figea une seconde. J'attendis. La légende ne dit pas si j'avais fait exprès d'enlever le mode silencieux afin que le son se produise mais en tout cas, il eu son petit effet que je détaillerai plus tard. Lorsqu'elle eut fini, je lui pris le martinet des mains et parcouru son corps avec. Mon insistance à glisser le manche entre ses fesses avait dû lui mettre la puce à l'oreille mais c'est lorsque que je présentai le plug à sa bouche qu'elle saisit mes velléités. Des fois j'ai des réflexions qui, si je devais les positionner sur l'échelle de l'utilité à l'humanité, devraient sûrement se positionner tout en bas. MAIS. Car il y en a un mais. Socrate disait bien "connais-toi toi-même... et arrêtes de nous faire chier". Et si l'histoire a la fâcheuse propension à continuellement oublier les deuxièmes parties de citations, ce qui amène régulièrement à des appropriations de mauvais goût qui feraient se relever de leur tombe certains auteurs pourtant bien intentionnés de leur vivant. ROCARD, si tu nous lis... J'avoue que sur ce coup, il avait pas faux le Grec ancien (pas d'âgisme, hein, juste pour resituer l'époque). C'est en enfonçant le plug dans sa bouche demandeuse que je posais la question de l'hérédité de ce geste. Pourquoi faire ça? A quelle envie cela tentait-il de répondre? Oui. Ouiiiiiiii. Je vous vois venir avec vos gros sabots (on a les mêmes). Le porno, le porno. Et bein non. Et en même temps, si ça avait été le cas, la question suivante aurait été, qui a eu cette idée en premier. Parce que me faites pas croire que l'industrie du porno est novatrice. Elle se contente juste de normaliser des pratiques marginales venant des amateurs (le commun des mortels, vous et moi, les p'tits pervers que nous sommes). Et là, on aurait bien été dans la merde à devoir s'envoyer des recherches étymologiques à la bibliothèque du quartier. " - Excusez-moi ma bonne dame, le rayon sur les pratiques sexuelles je vous prie." N'ayant jamais été un très grand consommateur des productions californiennes ou Tchèque, à l'exception de pratiques "minoritaires" promulguées par quelques (plus très) amateurs.rices, que je peinai à réaliser par moi-même voir qui m'étaient impossible d'accès. Et oui, jamais je n'aurai de relation lesbienne. Triste mais je me suis fait une raison. Bref, je digresse encore et ce n'est pas très sain. Même si le sein est majoritairement composé de graisse. J'aime beaucoup le devant-derrière. Fourrer un truc dans la bouche de l'autre puis dans son cul ou inversement. Mes partenaires un peu moins. Sauf bien sûr celles qui sont à l'aise avec ça, Dieu les bénisse. Après quelques allers-retours entre ses fesses et sa bouche, je la fis se pencher, les mains contre la vitre. Dehors, la nuit était tombée et la froideur de celle-ci se ressentait à travers le carreau. Elle frissonna et je ne saurais dire si c'était cela ou bien le manche de l'objet qui pointait à l'entrée de son anus. Après moult efforts, l'objet bien ancré dans son fondement ressortait de par ses lanières de cuir, lui conférant une petite queue qui pendait entre ses cuisses. Pendant le travail anal, j'aime bien poser une main sur le ventre de l’intéressée. Non pas pour sentir une quelconque protubérance, on en est pas là, mais parce qu'ainsi, je ressens l'état dans lequel elle est. Frédérique avait l'habitude des jeux anales (à ne pas confondre avec les jeux anneaux qui sont les jeux olympique et vâchement moins source de plaisir et de divertissement me concernant, même si je dois bien avouer le plaisir de voir l'équipe de France tenir la dragée haute à la dream team tout ça parce qu'ils tombent pour une fois sur des arbitres qui savent conter jusqu'à deux). Ça se voyait à la coloration de son anus, à la certaine facilité avec laquelle je lui insérai ce que je voulais (dont moi). Mais cela se ressentait aussi. Son ventre n'était jamais contracté, se gonflant et se dégonflant au grès de ses respirations lentes. J'aime bien ça. Je suis dans le contrôle à ce moment-là. Comme un contrôleur aérien gérant les entrées et les sorties en fonction du trafic. Je sais pas si vous voyez mais c'est moins elle et moi que moi et mon instrument. Je fis passer une laisse autour de son cou. Une simple corde en nœud coulant que j'avais jusqu'à présent utilisé seulement lorsqu'elle se montrait réticente au dressage. Sa texture rugueuse était, je pense facilement identifiable par Frédérique, voilà pourquoi elle s'agita un peu, sûrement prise d'incohérence. Je lui caressai les cheveux comme à un bourrin qu'on voudrait calmer. D'un coup de baguette, je la fis mettre à quatre pattes. Elle était magnifique ainsi. Je n'ai pas d'appétence particulière pour le petplay mais je dois bien avoué qu'ainsi, elle était très excitante. Je lui fis faire le tour de la pièce, tapotant ses fesses de la baguette pour la faire avancer plus vite, l'objet dans ses fesses rendant le déplacement compliquer.
Théory
a répondu à sa propre discussion "Les carnets d'un D : Frédérique".
@Linesay : ce qui veut dire qu'il y en a néanmoins. Flûte, et moi qui me pensai proche de la nomination à l'académie française. Ravi que cela vous plaise.
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Théory
a répondu à sa propre discussion "Les carnets d'un D : Frédérique".
Huitième séance (suite) : Cette séance ne fit pas exception. La corde entoure ses poignets et à peine ais-je commencé à serrer qu'une dent apparaît, mordillant sa lèvre. Détail qui m'obsède, ses yeux bandés sont comme une validation. Elle n'agit pas pour me faire plaisir, elle agit car elle aime ça. Ce foulard obstruant sa vue, ce côté voyeur, c'est l'observation de la vie sauvage, je suis un spécialiste de la vie marine et elle est mon thon... heu... bein si en fait. Parce que moi je suis le requin. Et heu.... Chiant. Parce qu'elle est belle, putain. Mais l'analogie marche si bien. Vous savez quoi, on fera comme si on avait pas fait gaffe. Et lui dites rien, svp. Je la traîne dans la salle de bain et l'attache en position grâce à la porte de la dîte-pièce. J'ai tout un tas d'instruments mais j'aime la baguette en bois. Il y a un feeling incroyable entre cette baguette, mon bras et son corps. J'en joue donc longuement, l'intensité, tout comme mon excitation allant en augmentant. Je prends aussi un malin plaisir à frapper sur ses précédentes marques, perpendiculairement histoire que cela fasse des croix à chaque fois. Monsieur a des tocs me direz-vous? A cela je vous répondrai que les croix sont utilisées pour symboliser un endroit d'importance, un trésor. Son corps recouvert ne peut être que le signe que notre Frédérique est un trésor... national? Pas préteuse la fourmis alors non, juste le mien. Dans la pièce, il n'y a que le son des coups, les "cris" de Frédérique et le ploc-ploc du robinet que j'ai légèrement ouvert pour l'ambiance. Il y a un moment où elle se met à trembler. Un peu comme une cocotte-minute qui arrive à point, en elle, un mélange d'excitation, de douleur, d'envie. Moi, ce moment là, ça me rend tout chose. Et si je ne me maîtrise pas, je perds le peu de contrôle que j'ai sur elle. Hors, c'est ce contrôle qui nous plaît à elle comme à moi. L'avantage ce jour-là, c'est qu'elle est bandée. Bon, moi aussi mais ça, ça ne change pas de d'habitude. J'en profite donc un peu plus, la taquinant, faisant glisser la baguette le long de son dos, le bas de ses reins, entre ses fesses. Elle en profite pour les tendre la bougresse, se mettant sur la pointe des pieds afin d'accentuer sa cambrure. Son sexe apparaît alors, luisant, le taux d'humidité conseillé largement dépassé. J'y enfonce la baguette et elle sursaute. Dans ma précipitation j'y suis allé un peu fort. J'attends un peu mais elle ne dit rien, je lui ferai un bisou magique plus tard. J'ai toujours aimé taquiner. Je préfère les relations intenses et j'ai remarqué très jeune que le fait de taquiner, de priver, de retenir favorisait cette intensité. Une histoire de contraste encore et toujours. Je me souviens assez clairement d'une de mes premières expériences où, alors que je caressai ma partenaire depuis quelque temps, elle m'attrapa le bras plutôt violemment me suppliant de la faire jouir MAINTENANT. Une fois la basse besogne faite, elle m'expliqua que les montées en intensités puis les arrêts et ainsi de suite l'avaient amené à bout. Elle me remercia pour mon savoir faire et pour l'orgasme puissant qu'elle avait eu. Pour la petite histoire, si je m'arrêtai souvent c'est parce que mon poignet était douloureux et pour humidifier mes doigts afin de ne pas irriter ce que je croyais être son clitoris (mais qui ne l'était pas). Comme quoi, les petites erreurs font les grandes découvertes! Je ne sais pas si cela est universel ou si j'ai eu de la chance de tomber sur des partenaires compatibles mais ça m'est resté, s'est amplifié, voir magnifié. Ces petits jeux m'aident aussi à monter en intensité, moi qui suit tantôt diesel, tantôt essence, tantôt électrique. Voilà aussi peut-être pourquoi j'ai toujours été attiré par les femmes qui me résistaient (ou faisaient mine de) plutôt que celles qui se jetaient à mes pieds. Bon, peut-être une histoire de proportions aussi. Hihihi... Elle est donc là, se frottant contre la baguette que j'ai laissé entre ses cuisses, la position et la situation l'excitant sûrement bien plus que le frottement en question. Je profite de la situation pour entourer son cou d'une serviette de bain à porté de main, serrant suffisamment pour la faire tousser. La position me force à me rapprocher d'elle mais je prends garde à ne pas la toucher. Néanmoins, nul doute qu'elle m'entende souffler à travers le masque, mon visage n'étant pas très loin de son oreille. Plus je serre et plus elle bouge vite son bassin. Mais en vil tourmenteur que je suis, je m'amuse à descendre petit à petit la baguette le long de sa cuisse. Elle fait le maximum pour y rester collé mais la corde attachant ses mains fini par arrêter sa course. Elle s'agite dans le vide, frénétiquement, cherchant désespérément quelque chose à frotter. Je l'achève en raffermissant encore ma prise sur le tissu entourant son cou tel ce serpent connu pour ces apparitions cinématographique d'un goût douteux. Quand sa bouche s'ouvre tel un poisson hors de l'eau depuis trop longtemps, que son abdomen se contracte à intervalles rapprochés, je relâche un peu mon emprise, autorisant quelques atomes d'oxygène à passer, puis quelques-uns encore et encore. Elle reprend difficilement son souffle et ses esprits, son corps affalé n'est tenu que par les liens à ses poignets et moi je jubile. Sans un son évidemment. Je défais ses liens et la tire par les cheveux dans la chambre et par maladresse de ma part se prend l'encadrement de la porte dans l'épaule. Elle finira la soirée avec un bleu grossissant et tuméfiant assez vilainement. Je m'en excuserai d'ailleurs car si j'aime être l'organisateur de ses tourments consentants, peu pour moi la violence domestique. Je la dépose donc en plein milieux de la pièce, d'un pied, je lui fais comprendre d'écarter ses jambes et dans ses mains je dépose le martinet puis allume une lumière afin qu'à travers le bandeau elle puisse deviner ma silhouette et ma position approximative. (Et oui, j'ai vérifié avant son arrivée si cela marchait bien) Avec mon marqueur, j'écris alors sur son corps en divers endroits puis m'éloigne. Petit moment de flottement et d'incertitude pour moi. Allait-elle comprendre? Et si ce n'était pas le cas, comment allais-je l'aiguiller? Dans ma minutieuse préparation, je n'avais absolument pas trouvé d'idée et étais donc parti sur la base de "ça passe ou j'me casse".
Théory
117 consultations de mon profil. Peut-on s'arrêter là, c'est parfait ! #desfoisonpeutêtregeek
Théory
@ArBizone : Mais en vrai, c'est beau les silences. Y'a des silences qui en disent bien plus que de longs discours. Mon petit point de vue. débutant + débutant = difficile de discuter de la chose. inconnu + inconnu.e = difficile de s'ouvrir facilement. Si aujourd'hui je devais rencontrer une potentielle soumise, que sur le chemin pour aller au bar je me faisais heurter par une voiture, ce qui me faisait oublier toutes mes expériences précédentes (heureusement, mon portable n'aurait rien, donc passe sanitaire donc possibilité d'aller effectivement au RDV), et bien je commencerais par me montrer tel que je suis, drôle (ou essayant de l'être), pas très charismatique, un peu distant, intéressé. Et puis, si l'échange est plaisant, si le rapprochement s'amorce, alors le sujet du bdsm serait mis sur la table naturellement. Ou pas. Mais dans ce cas, l'y amener serait chose aisée. Et sûrement que les choses dites seraient plus intéressantes, plus profondes. Parce qu'en vrai, comme l'on dit les autres, vous construisez avant tout une relation. Relation qui va évoluer. Ou s'arrêter. Mais au moins, vous n'aurez plus peur des silences. Parce que c'est lorsque les bouches se ferment que les cœurs s'ouvrent, que les gestes s'apprécient. Ou pas.
Théory
a répondu à sa propre discussion "Les carnets d'un D : Frédérique".
Huitième séance (suite) : Sur ma demande, elle enleva sa veste et ses chaussures puis fit glisser la robe le long de son corps, celle-ci venant s'échouer au sol autour de ses pieds sans toutefois manquer de mettre à mal quelques-unes des bougies toujours vaillantes. Elle resta là quelques instants dans l'attente d'une indication. Je prenais beaucoup de plaisir à regarder la projection des flammes sur son corps et le jeu de contraste que cela créait. Il y a, à mon sens, une fine ligne, entre ce jeu de domination que je pratique et la sensation de commander. Le premier m'excite et me plaît au plus au point quand l'autre m'ennuie, m’énerve. Le premier est un jeu, un échange, un plaisir quand le second est une obligation, un sentiment d'être responsable de l'autre donc, d'être entravé. Or je n'aime pas être entravé. Mes meilleures expériences dans ce jeu que le D/s, restent lorsque ma partenaire de jeu fut proactive. Dans ses gestes et/ou son attitude et/ou ses volontés. Voilà pourquoi cela doit rester un jeu pour moi et pourquoi j'avoue regarder les gens vivre cela au quotidien avec une certaine circonspection voir incompréhension. Maaaaaais il faut de tout pour faire un monde et loin de moi l'idée de jeter la première pierre de peur de me prendre une avalanche en pleine gueule en retour. Et comme je suis quelqu'un de compliqué, mes attentes et mes envies changent d'un jour à l'autre voir d'un instant à l'autre. Maaaaaaaais il y a de ces moments où une sorte de connexion indicible se fait. Où nos attentes et nos envies coïncides. Où tout se meut (pas la vache) pour notre plaisir. Et clairement, je suis prêt à me taper je sais pas combien de moments pas super folichons pour en vivre un seul comme celui-ci. Au cours de mes expériences, il y en eu plusieurs. Un nombre ma foi très satisfaisant. Certains dont je profitais sur le moment, d'autres dont je prenais conscience une fois passés et d'autres encore lorsque je rédigeai mes comptes-rendus, voir ces récits. Parce que oui, le monsieur il est un peu lent des fois. Mais est-ce que s'en rendre compte plusieurs mois après enlève au plaisir? Absolument. Pas. Ça crée même un effet de nostalgie plutôt agréable comparable aux verres de fin d'été lorsque la chaleur diminue, que le brouhaha infernal des cigales s’atténue et que l'on entend de nouveau le vent dans le feuillage de la vigne vierge ou des glycines (skejmé en Pagnol!). Bref. Tout ça pour dire que là, LA, on y était. Paf, en plein dans le mille. J'étais dans une espèce de torpeur contemplative. Son corps, le dessin des flammes changeant, le contraste amplifiant ses courbes, ses creux, ses bosses. Elle aurait pû attendre patiemment que monsieur finisse de se rincer l’œil comme le pervers qu'il est, s'ennuyant du temps qui passe, du poids de la pesanteur sur ses frêles épaules. Mais non. Comme la grandeur pragmatique qu'elle était sûrement, elle mit à profit ce temps qui aurait pu être perdu pour jouer, elle aussi. Elle commença donc à s'agiter, lascivement. Jouant avec ses courbes comme un pécheur avec sa mouche pour attirer la bête qui, se croyant prédateur, ne voit pas le piège qu'occultent ses envies. J'ai l'impression, attention parce que là on rentre dans de l'analyse psychologique de comptoir qui se veut généraliste mais basée sur une expérience de vie unique et égoïste. On est sans filet. (on reste dans le champ lexical de la pêche) [d'ailleurs, SEAspiracy, si vous aimez le poisson et ne souhaitez plus jamais en manger] Si l'on aime tous plaire, j'ai remarqué que les femmes, les soumises, avaient ce besoin, cette envie de plaire physiquement, une séduction tournée vers l'extérieur quand ma propre séduction était plutôt tourné vers l'intérieur. Difficile à verbaliser. Mais, encore une fois il s'agit de mon point de vue, Frédérique cherchait à me séduire ET de ma séduction dépendait son plaisir, c'est la réussite de cette entreprise qui la satisfaisait. Me concernant, je cherchais avant tout à me plaire à moi-même (oh putain, on se doutait que tous ces pavés cachaient quelque chose!!!) ET, si l'entreprise réussissait, alors il était logique que l'autre succombe. En plus, ce n'est pas si égotiste qu'il y paraît au premier abord. Parce que lorsque l'on a rien à prouver à l'autre, beeeeeein, on lui fout la paix et donc il peut être qui il veut. C'est sûrement une piste pour expliquer à quel point notre relation fut agréable. Néanmoins, tout n'était pas rose et je ne suis pas un parangon d'altruisme. Très souvent mon petit égo pointe le bout de son nez. Pour le meilleur mais souvent pour le pire. Nos principales frictions eurent pour origine mon/son petit égo ou un problème de communication Et à ce moment, oui, je me sens Dominant avec la fameuse majuscule et oui, elle se soumet avec la révérende minuscule. Pour mon plus grand plaisir et le sien. Et même si je ne comprendrai jamais ce qu'elle y trouve et bien... et bien je m'en fous. Voilà aussi pourquoi je ne suis D (oui, on repart dans les abréviations, je m'y sens plus à l'aise) qu'avec une seule personne. Il y a une différence notable en moi lorsque je suis avec une personne dans une relation D/s ou menthe-chocolat. C'est la nature du désir qui monte en moi. La version menthe-chocolat de moi-même va chercher la fusion charnelle, sentimentale. Les corps seront collés, les embrassades longues, les échanges seront lents. En version D/s, c'est plus comme un besoin intense de faire plier l'autre. Ou plutôt de faire plier tout en frôlant la rupture. Je ne parle pas forcément de rupture physique, ce n'est pas ce qui m'excite. Je parle de rupture comportementale. Cela tient peut-être de mon absence de compréhension de la pensée "s", comme si j'avais toujours un doute sur la véracité de la chose. Rupture du comportement de soumission. Parce que, et on en revient toujours au même point, plus je la pousse loin, plus elle plie sans rompre et plus je me sens valoriser par ce don de soi à l'autre. (vous comprenez maintenant d'où vient ma théorie dûment exprimée quelques paragraphes en amont) Ça semble extrêmement triste écrit comme cela. Et je serais d'accord avec vous si j'avais besoin de ça pour m'aimer ou me sentir bien. Une situation de dépendance peu flatteuse. (V'la le D!) Mais ce n'est point le cas, je me fais des clins d’œil et des bisous devant la glace chaque matin que Dieu (ou autre) fait. Bref (ça ce saurait si c'était le cas), je digresse et j'en vois quelques uns au fond de la classe qui ont perdu le fil alors revenons à nos moutons [ou nos sardines (qui sont un peu les moutons des mers) pour rester dans le thème]. Il y a donc un moment où je dus me résoudre à sortir de ma torpeur lascive . Parce qu'on sentait Frédérique à court de mouvements érotiques et parce qu'à force de baver, ça aller traverser le plancher et faire peur au voisin du dessous qui appellerait le service d'étage de crainte d'une fuite dans la salle d'eau. Or être dérangé était bien le dernier de mes souhaits. Nous avions nos petits rituels. Les choses qui nous plaisaient, nous mettaient en appétit. Je prenais beaucoup de plaisir à lui attacher les mains et les pendre à ce que je pouvais. Tringle à rideaux, luminaire ou tout simplement en faisant passer la corde au-dessus d'une porte pour ensuite faire un nœud à la poignet opposée. Ce faisant, elle se cambrait de tout son être et laissait pleuvoir les coups en tout genre sur son corps. Elle aimait ça. J'aimais ça. Depuis quelques temps, les marques sur son corps se faisaient de plus en plus persistantes d'une séance à l'autre et j'avoue avec un embarras non-feint, que cela me plaisait au plus haut point.
Théory
a répondu à la discussion "Présentation" de xira.
Bonjour Xira. Bienvenue et bonne découverte à toi. N'hésites pas à explorer le forum, tu trouveras sûrement des sujets intéressants et des personnes de bonne conversation. Le tchat général est aussi un bon endroit pour discuter tranquillement avec tout plein de gens. Bon chance!
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