Comment vous connaissez mon vrai prénom?????
37,5. Sinon je ne suis pas rentable. Puis c'est moi qui risque la tendinite
Soyez la première personne à aimer.
Maîtresse hautaine, autoritaire par nature, raffinée et sexy parée de cuir, vynil et stilettos, recherche esclave complice et réel. Les accros de la webcam, skype et fantasmeurs passez votre chemin. Vous etes sincère, gynarchique et fétichiste... Adoration pieds & talons, trampling, gifles, fessées, cravachage, godage ... sont au programme. Vous etes motivé ? Alors venez à mes pieds , sous mes pieds... vous ne bronchez pas et dites Merci. Présentez vous avec photo. Hygiène indispensable... .:.
« Se définir, c’est avant tout arrêter de se raconter une histoire que l’on voudrait que les autres croient. »
Que pensez-vous de la jalousie ?
Chez les autres, chez vous, chez votre partenaire…
Je ne pense pas être quelqu’un de jaloux. Mais comme toute bonne assertion, celle-ci ne peut se vérifier qu’une fois expérimentée.
Alors certes, je suis quasiment sûr de ne pas aimer que l’on me coupe un bras. Mais en vrai, peut-être que je kifferais…
Je ne suis pas maso, et à l’exception d’une toute petite expérience personnelle quand j’étais gamin, je ne fais qu’enfoncer des portes ouvertes.
J’ai été élevé par une mère extrêmement tolérante. Pas avec cet extrémisme qui caractérise l’époque actuelle mais plus un « je m’en fiche soit qui tu veux » très plaisant et qui aujourd’hui encore me sert de ligne directrice dans mon appréciation de la vie.
Petit, elle me disait souvent : quand tu auras une copine, ou un copain, tu fais bien ce que tu veux.
Elle m’a trompé 1 semaine après.
Je me souviens encore de ce moment.
Pas celui où elle m’a trompé parce que, heureusement, je n’étais pas là. (je précise pour le lecteur peu imaginatif). Nous étions sur le canapé, j’allais faire à manger et alors que j’étais concentré sur le menu (j’adore cuisiner), elle se mit à pleurer.
Imaginez, tellement bon que mon futur repas traversait le temps pour l’émouvoir avant même qu’elle y goûte. Prends ça ROBUCHON !
« Il faut qu’on parle »
Vous la connaissez peut-être cette fameuse phrase. J’ai toujours cru à une légende urbaine. Vous savez, comme la dame blanche, tout le monde en parle mais personne ne l’a jamais vue (ou personne n’en est revenu vivant pour le raconter, qui sait?)
Et bien si, elle existe.
« Je t’ai trompé hier soir, j’étais à cette soirée et je sais même pas pourquoi je l’ai fait, parce que je suis bien avec toi et je veux pas tout faire foirer... »
Le fameux discours.
Je ne sais pas si vous êtes amateurs/amatrices de science-fiction mais la dissociation d’expérience c’est un truc qui revient souvent dans un certain sous-genre.
Ou pas, il est tard et je ne suis plus très sûr des auteurs mais si c’est bien le cas, mattez la culture du bonhomme, et sinon, preum’s, je m’en vais pondre une nouvelle dessus.
Bref, trêve de digressions.
J’étais donc sur ce canapé et je vivais la scène de deux manières distincts. La première, en mon for intérieur, où je me concentrais sur le repas et sur ce que j’allais cuisiner, tout en m’écoutant dire d’une oreille imaginaire distraite, écoutes, ce n’est pas grave, l’important c’est d’être honnête et puis y’a pas mort d’homme, je m’en fiche.
On a discuté pendant 10 minutes, la majeure partie moi en train d’essayer qu’elle arrête de pleurer et je m’entends même à la fin lui dire « je t’aime ».
A ce stade, je me permets de rappeler une chose. Je voulais être en couple. Je me retrouvais dans cette situation pour une raison qui m’échappait (si on considère la vie d’un point de vue holistique bien évidemment) mais cela me permettait de confirmer deux choses.
La première, je ne suis pas jaloux, c’est bon, c’est confirmé.
La seconde, j’avais moins d’attentes et d’implication dans la situation qu’elle.
Je n’ai jamais rencontré de pervers-narcissique ni été confronté à la toxicité. Ce fléau que chaque femme semble croiser une fois dans sa vie (les hommes aussi, sûrement). Mes amies en parlent, la télé en parle, l’instagram de ma copine en parle, ce forum en parle, mais moi, jamais vu.
Et comme dans une pièce, si tout le monde trouve que ça pue sauf toi, c’est donc que c’est toi qui a pété, il m’arrive de me poser la question, suis-je ce monstre que les autres dépeignent ?
Il m’arrive de réfléchir à cela de temps en temps.
Mais plus comme une soupape de sécurité que comme une véritable remise en question de qui je suis.
La question peut néanmoins se poser car d’un certain point de vue, je jouais avec elle.
Mais ne me faisons pas pousser des cornes tout de suite.
Cette discussion eut quelques effets. Elle libéra nos échanges. Parce que en vrai, voir quelqu’un qui s’ouvre, qui se montre vulnérable, je trouve ça beau et une belle marque de confiance. Tout comme à l’époque, je ne trouvais rien de plus beau que de voir ma soumise s’abandonner à mes petites perversions. Les yeux bandés et le souffle court dans l’attente des sévices.
(Je place quelques bribes de temps en temps pour pas vous endormir ^^)
Ensuite, puisque cette courgette avait commis l’adultère (ça marche hors mariage?) sans protection adaptée, il nous fallait renoncer à la chose le temps que les tests soient ok.
Je ne sais pas si les hommes et les femmes sont égaux quant au sexe.
Depuis que je suis en âge de pratiquer, j’ai toujours eu une grosse libido et me suis toujours retrouvé dans la position du demandeur car l’autre n’arrivait pas à suivre.
Avec le temps, l’expérience et les nouvelles connaissances glanés au détour de quelques manuels plutôt cool, cela s’est accentué.
Alors si tu m’annonces qu’il va falloir pratiquer l’abstinence, et que en plus c’est de ta faute, le petit démon en moi s’agite.
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@Good Girl : Désolé, je n'ai ni la réf, ni le réseau social susmentionné.
35% et on la tope.
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Demain, parole de scout ..V,
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@Good Girl : par contre je fais payer les autographes.
@genderbender : et bientôt remboursé par la sécu !
Soyez la première personne à aimer.
« Quand la vie te donne un aspirateur, fais de la limonade. »
Je pense que d’une certaine façon cela l’amusait. Je ne m’avancerai pas à analyser la psyché humaine mais un truc qui revient souvent dans mes expériences c’est le contraste fort entre qui je suis au quotidien et qui je suis dans un moment donné. En l’occurrence le sexe ici.
Mon esprit, se rapproche plus de l’enfant que de l’adulte. Bon, même si en ce moment c’est plus un quarantenaire inspecteur des impôts qui vote à droite.
Pas dans le sens homme – enfant ou que j’aime jouer aux jeux-vidéos jusqu’à minuit (même si c’est vrai). Mais plus dans le sens où je ne mets pas d’intention ou de jugement de valeur derrière mes actes et mes paroles. Cela fait maintenant plusieurs mois/années que je comprends cela. Cette compréhension a mis en exergue le pourquoi de certaines réactions ou situations de mon passé.
Je ne peux citer d’exemple particulier pour m’expliquer donc je préfère fournir cette analogie maladroite.
J’ai pris conscience de cela avec mes nouvelles responsabilités, ma vie de couple et surtout les changements qui s’opéraient en moi. JE riais moins, j’étais stressé, je commençais à avoir des remarques désobligeantes et des avis arrêtés, bref, je devenais une grande personne. Heureusement pour moi, j’ai une mère formidable et le cancer fut pris à temps.
Je digresse rapidement mais, j’aime ne pas avoir d’avis. Je trouve que de nos jours, tout est très compliqué. Compliqué de par l’abondance de choix, de par la quasi obligation de prendre parti et de se positionner.
J’ai acheté un aspirateur de chantier ce matin. Leroy-Merlin me propose 64 références sur son site et 14 en magasin. Les prix vont de 59 à 850€. Tous ont des avis positifs et négatifs. Les vidéos Youtube en français, en anglais, en allemand…. J’ai finis par faire plouf-plouf dans le rayon pour arrêter mon choix. Choix qui a été démonté par le vendeur parce que apparemment, il n’est pas fait complètement pour l’usage pour ce quoi je le destine. Sauf que moi, je ne veux pas devenir un expert en aspirateur de chantier, je veux juste arrêter de me niquer les poumons quand je passe la rainureuse sur mon plancher. C’est tout.
Et vu la complexité du choix, j’étais à deux doigts de continuer à faire mes saignées en apnée ou à emprunter une bouteille de plonger et un détendeur.
Dans la vie, je fais pareil. Je fais le choix conscient de ne pas faire de choix pour me préserver sur beaucoup de choses.
J’ai parlé de philosophie chinoise dans le précédent paragraphe, ici je parlerai new age.
Les enseignements d’Abraham (rien de religieux). L’une des séries de livres qui a le plus influer ma trajectoire de vie.
Ils prennent l’exemple suivant (je paraphrase). Devant vous, une personne se fait agresser. Vous avez le choix entre intervenir ou ignorer la situation. Aucun de ces choix n’est agréable. Mais il existe une troisième possibilité. Celle de n’avoir jamais a être confronté à ce choix. On est entre la croyance adlérienne et la reconversion en coach de vie.
Bref, tout ça pour dire que je suis assez pur comme garçon. Mais elle avait, quand nous jouions, une autre personne en face. Est ce que ça lui plaisait ? Est-ce que c’était excitant ? Aucune idée. Mais elle semblait m’encourager à continuer de lui dévoiler cette facette de moi.
Cela faisait maintenant deux semaines que nous nous fréquentions.
J’étais content d’avoir trouvé quelqu’un qui semblait me permettre de concilier ces deux mondes.
Si j’avais été bavard sur cette relation, je pense qu’on m’aurait demandé si j’étais amoureux.
Mais je ne le suis pas. Bavard.
Cela faisait donc deux semaines et comme tous les vendredis, elle me rejoignit chez moi.
Quelque chose clochait. Non pas que je le vis immédiatement mais quand elle se mit à pleurer sur le canapé, mon esprit de déduction m’avisa de la chose.
N’ayant jamais vraiment été en couple, je n’ai pas forcément les codes et les bonnes réactions. Un bon thérapeute avec de la place dans son porte-monnaie me diagnostiquerait sans nul doute un trouble de l’attachement et je me ferais une joie de lui donner mon argent si j’en avais quelque chose à foutre de son avis.
Donc quand je me retrouve devant cette personne avec qui j’ai intentionnellement débuté une relation suivie et exclusive, qui pleure, ma première pensée fut « oh non, chiant, pourquoi elle n’a pas pleuré avant de venir » puis, « c’était sympa mais elle va m’annoncer qu’on s’arrête là ».
La vie est drôle. C’est un fait. Quand vous voulez faire de la limonade, elle ne vous apporte pas de citrons, non, elle s’arrange pour que de petites levures se déposent dans votre tasse de thé et paf, kombucha.
J’essayais donc de l’amener à exprimer ce qui semblait si dur à dire sur le moment.
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@Good Girl : j'ai dis que j'avais essayé, mais j'ai très vite abandonné. Un de mes projets de la prochaine décénnie est de partir en Chine. Mais avant, je voudrais apprendre une partie de la langue ou au moins faire mieux que ma dernière tentative.
Je ne me souviens pas avoir trouvé cela dur à lire mais j'ai toujours aimé lire. Donc soit je passe complétement à côté du sujet, soit j'en ai tiré ce que j'avais à en tirer. On ne le saura jamais.
Oui, patronne... Moi travailler dur mais la forme ne me plaît pas sur le prochain paragraphe donc j'essaie de remodeler. Il va falloir être patiente.
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@sylvie35 : il faut croire que notre maréchaussée était moins acharnée qu'ailleurs. Donc oui, on la pas trop mal vécu.
@Good Girl (Pei Ling) : oui, j'ai eu une période sombre, comme tout le monde. J'ai même poussé le vice à essayer d'apprendre le chinois. Un désastre annoncé. Mon préféré reste Tchouang-Tseu. Cela date mais le rêve du papillon m'avait tout emoustillé les neuronnes. Sinon les classiques.
@Ekhko : il faut absolument le faire, mon éditeur refuse catégoriquement de publié mon recueil vue les stats désastreuses de mes derniers sujets sur le forum. Et moi j'aime l'argent. Puis j'ai déjà designé la quatrième de couv'.
@genderbender : faut pas bloqué, comme je dis dans le préembule qui vient juste après la première partie (faut pas juger chuis HPI), le meilleur antidote c'est d'ignorer ce qui nous fait du mal. MAis je persiste et signe, tout le monde devrait étudier la manipulation. ça aide à se comprendre. M'enfin, mon point de vue, mon opinion.
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@sylvie35 : je vous aime (informatiquement parlant)
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"On façonne le vase que l’on souhaite dans l’argile humide. Il ne s’agit absolument pas d’une allégorie sexuelle."
Donc nous avons couché le premier soir.
Mon premier rapport vanille depuis longtemps. (les aventures précédentes sont disponibles dans toutes les bonnes crèmeries et sur le forum. Qui n’est pas une crèmerie. A moins que tout le monde se mette à écrire en gras, ce qui n’est pas très bon pour la santé mais bon, qu’est-ce qui l’est de nos jours #c’étaitmieuxavant,maisavantquoi?)
Ce fut assez compliqué pour deux raisons.
La première, une peur irraisonnée de ne pas être capable d’assurer. Est-ce que cela m’exciterait encore, sans ce manque d’intensité. C’est con à dire mais j’en étais arrivé à classer le sexe bdsm au-dessus du sexe vanille dans un élan d’élitisme malvenu.
La deuxième, où mettre le curseur ? Je commençais à avoir mes habitudes en tant que vieux briscard de la D (je m’auto-suce ou m’auto-vanne, la décision au lecteur), comment ne pas aller trop loin et la faire fuir dès la première nuit. La pauvre, en PLS dans sa voiture, bravant l’interdit social d’être dehors pour rentrer chez elle suite à la découverte horrifiante de mes goûts anormaux (tous ensemble, BOUUUUUUUH).
Il s’avéra cependant que comme le vélo, le sexe ne s’oublie pas. Puis pour de vrai, la majorité de mes incartades sexuelles ont été vanille. Et de loin !
Après cette nuit mémorable (ou pas), nous commençâmes à nous fréquenter (les nuits de sexe ont cette tendance je crois).
Je ne sais pas comment s’est passée votre période COVID mais de mon côté ce fut plutôt agréable.
Je vivais dans un petit village, un compte en banque bien rempli et une relative insouciance voir défiance envers tout ce qu’on préconisait contre le vilain virus.
Je partais en forêt escalader en falaise seul, la nuit j’allais me faire un basket seul, et en journée je jouais à la console ou allais voir ma mère à la campagne.
Nous avons donc commencé notre relation comme cela.
Elle me rejoignait chez moi pour le week-end, et nous passions notre temps à manger et à baiser.
J’ai toujours aimé manipuler. Pas méchament bien sûr. C’est pour ça que je suis bon dans mon métier. Mais je reste du bon côté de la force. Dans mon métier, je dois accompagner des gens qui n’y connaissent rien mais qui sont persuadés du contraire dans un processus transactionnel.
Une longue phrase pour dire que je vends des maisons.
Le français moyen fait 3 transactions dans sa vie. Moi, j’en fais 3 par mois. Forcément, j’acquiers des connaissances et des compétences qu’il n’aura jamais.
Mais quand ce français moyen te prend de haut, sait tout mieux que toi et t’impose sa façon de faire et que cela va le mener droit au mur. Parce que ce n’est ni la première, ni la dernière fois que tu vois ça.
Et bien tu as deux choix, soit tu t’assoies et tu sors les pop-corn (j’ai d’ailleurs appris à faire mon propre caramel au beurre salé pour aller avec. Très bon.), soit tu le manipules juste ce qu’il faut pour courber sa trajectoire et pour arriver au but voulu malgrès lui.
Et ce processus, qui reste de la manipulation, est tellement plus jouissif que les 20 ou 30k de com' que l’on sortira de la vente.
C’est addictif, ça devient un jeu. Décrypter la personne, placer des mots, des attitudes, feindre…
Dans ma vie personnelle, par contre, je ne le fais jamais. Je n’ai pas de but précis dans la vie donc pourquoi influer sur les autres si je ne recherche rien de particulier.
Voilà pourquoi, comme je le disais plus haut, je n’aime pas draguer.
Mais… (bein oui, faut pas déconner non plus) avec elle, j’avais envie de tester quelque chose. Je ne voulais pas tirer un trait sur le BDSM. Elle avait de l’expérience dans le sexe et les idées larges. Elle était art-thérapeute et avait vu tellement de choses que rien ne l’étonnait trop.
Je lui ai donc parlé ouvertement de mes expériences passées, de ce qui m’avait amené là-dedans (je résume pas, hein, vous irez lire).
Parce que oui, des fois, la plus grande des manipulations c’est juste de dire la vérité.
Maintenant qu’elle était au courant et qu’elle n’était pas partie en courant en hurlant à la perversion, je me permis quelques tests.
Ce qui revient toujours chez moi, après avoir essayer moult choses, mes fondamentaux dirais-je, c’est, l’étranglement, la morsure et les fessées. Je pense être assez basique comme gars. Je suis un fils de paysans, je viens de la campagne et j’ai été influencé par la philosophie chinoise. J’aime donc les choses simples de la vie. Si je peux te couper le souffle (ou sens littéral) jusqu’à voir tes yeux s’écarquiller et tes mains venir chercher la mienne par réflexe, si je peux voir la trace des mes dents sur ta peau plusieurs jours après, si je peux sentir le feu sous ta peau après une séance de claques, je suis le plus heureux des hommes.
Bien sûr, entre la satisfaction totale et l’expérimentation il y a un gouffre, un cheminement tout aussi appréciable.
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je vais tester
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et là ça marche.
J'abandonne.
Soyez la première personne à aimer.
Je fais un test
JE fais un test
Je test une fée
Jesais plus ce que je fais
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Bon, je voulais poster le deuxième épisode sauf que dès que je publie, il ne prend pas en compte mes retours à la ligne. J'ai tout essayé mais il ne veut pas. Je recommencerai demain voir si'l est de meilleur humeur.
Soyez la première personne à aimer.
Merci pour cet accueil chaleureux.
@soumis54 : merci. Et je suis casiment sûr que les normes en bdsm ne changent pas aussi souvent qu'en html et css donc vous aurez le temps de vous mettre à jour.
@sylvie35 : je ne suis pas si vieux (sur le site). J'ai dû donc rêver. Par contre le retour à la ligne qui fait automatiquement un nouveau paragraphe, ça me fait vriller bien gentiment.
@Good Girl [signes asiatiques] : il est à la révision pour les fautes d'orthographe et il arrive.
@Onemoon : on va dire que c'est EXACTEMENT ce que j'ai voulu retranscrire. PArce que s'il n'y avait aucun message derrière mes écrits ce sera triste. HEIN?!
@[plume]Phoenix : je crois que vous allez rire avec la deuxième partie alors.
@Louvia : Merci, merci. Je vous ai pris pour quelqu'un d'autre sur le forum, ma mémoire me joue des tours. Désolé.
@gitane sans filtre : non, je ne me suis pas trompé. Je suis juste un rebel en attente que l'empire contre-attaque. J'ai essayé sur un récit que j'ai inventé de poster dans les articles mais mes pérégrinations se font sur le forum (comme le veut la tradition)
@Azhara : ça y est, je rougis. Sûrement l'accumulation de votre commentaire et de ceux du dessus. J'ai atteint ma limite, mon égo explose.
@Cathy0 : les annonceurs sont très contents des chiffres. On a vendu plus de caprice des dieux et de matelas à ressort que sur la dernière série.
Vu que cela fait longtemps, j'avais oublié mon, célèbre dans pas moins de 3 départements, introduction si chère à mon coeur.
Ceci est donc (comme le veut la tradition), un WARNING, il s'agit ici d'un texte personnel. parfois romancé, parfois transformé, parfois cru.ellement vrai. Il s'agit de mon interprétation de la situation. Cela n'a pas vocation à servir d'exemple, de mode d'emploi ou de doctrine. C'est juste un gars, qui cherche une echappatoire fugace à un quotidien compliqué et stressant. Et qui, dans les 10 minutes de pause que lui accorde sa journée (ou nuit en l'occurence) met son cerveau sur off pour raconter une histoire qui lui arrive.
C'est un truc en cours, qui n'aura peut-être jamais de conclusion ou peut-être que si. Je ne m'engage ni sur la fréquence de publication (faut savoir se faire désirer), ni sur la forme, ni sur le fond. Oui, il y a des phote d'ort tôt graff. Oui j'ai toujours le même humour depuis que je suis petit et oui j'aime déjà ceux qui ont les mêmes traits.
Je ne fais aucun prosélytisme et si quelque chose vous choque dans mes propos, passez à autre chose, protégez-vous. Il est trop tard pour moi, mes idées sont bien arrêtées.
Bref, choux de bruxelle et fusée de tintin, j'vous aime putain !
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C'est moi où l'outils de publication est devenu très compliqué et qu'il n'est plus possible de prévisualiser son post? C'est donc ça être dépassé par la technologie ! Mamie, j'arrive !
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Les carnets d'un D : Refléxion
La valeur ne se mesure pas à la réussite mais bien à la résilience face aux tentatives infructueuses. La stupidité aussi.
Que le temps passe vite. 2021 je rangeais mes « ustensiles » que je tronquais bien volontiers contre l’amour.
Que vous le croyiez ou non, je me suis levé un jour et j’en ai eu marre. Marre d’être seul, marre de composer avec les autres sans réelle volonté d’achever quoi que ce soit.
Ou plutôt envie. Envie de partager avec quelqu’un sur le long terme. Ou du moins essayer. Tout le monde en parle, cela prend des étagères entières au vidéoclub (oui, j’accuse mon âge), ce n’est pas pour rien. Ça doit être sympa. Alors je veux.
J’ai rencontré quelqu’un 2 semaines plus tard par le détour d’une appli que l’on ne nommera pas mais qui permet de sélectionner ses conquêtes comme on le ferait avec un menu de restaurant ou du bétail (vous connaissez ce film indé où les gens vont au restaurant, deux couples, 1 d’habitués et l’autre tout nouveau ? Ils choisissent ce qu’ils mangent et doivent ensuite aller le tuer pour que le chef cuisine. Je n’ai plus le titre mais si certains se tâtent à devenir Végétarien ou Végétalien, voir nazi enfin végan, c’est un bon moyen de faire pencher la balance.)
explosion lumières, touticouanti. [jackie chan wtf]
Cette femme, parce que c’était une femme, et non un cochon-d’inde et encore moins un cochon-dinde, ce qui n’existe que dans les rêves les plus fous des viandards et petits sorciers. Cette femme était, comment dire, aux antipodes de ce que je cherchais, de ce que je pensais vouloir.
Un personne compliquée, remplie de peurs, ce qui engendra plusieurs situations cocasses mais perturbantes pour mon petit coeur fragile.
Nous commençâmes donc à nous fréquenter. C’était la période COVID et les couvres-feux étaient bien embêtants. Sauf bien sûr quand la dame vient vous voir chez vous et que flûte, il est trop tard, elle ne peut plus rentrer chez elle. C’est bien dommage, je n’ai qu’un lit et le canapé est trop petit. Les fameux gros sabots.
Quand j’y pense c’est drôle car si je fais une rapide analyse de toutes les femmes que j’ai connues, une grosse majorité m’a toujours dit la même chose le premier soir. Ok on dort ensemble mais on ne couchera pas.
Je n’ai jamais aimé la drague. Je trouve l’intérêt de la chose du même ordre d’idée que le hamster qui court dans sa roue. Des amis m’évoquent le frisson de la chasse, le goût du risque, la satisfaction de la victoire…. De mon point de vue, quel intérêt ? Je suis partisan du « on déconne », le courant passe bien, tu me plais, et si c’est réciproque, alors on se drague. Parce que le truc cool dans tout ça, c’est l’échange ! Et rien de mieux qu’une conversation où tout le monde est sur la même longueur d’onde, une soirée déguisée où tout le monde respecte le thème (c’est la soirée des analogies)
Donc quand j’entends « on ne couchera pas ce soir », je comprends, je préfère poser des limites de suite au cas où, comme la majorité de mes expériences passées, tu ne connaisses pas la signification du mot consentement.
Le problème, c’est que j’ai toujours couché le premier soir.
Parce que de 1, je dors nu.
De 2, j’érectionne comme un pubère de 15 ans
De 3, je suis tactile.
Je me sens néanmoins obligé de préciser que je n’ai jamais forcé personne et toujours eu l’accord avant pour les deux ou trois fragiles dans le fond en manque de cheval (en bois) de bataille.
Décidément, je digresse vraiment beaucoup ce soir. Ça doit être parce que ça fait longtemps que je ne m’étais pas plié à l’exercice ou parce que je suis content (heureusement que je ne vomis pas quand je suis content...)
Bref, voilà comment commence notre histoire. Rien de bien croustillant. Mais faut bien placer le contexte avant de faire monter la sauce. Histoire d'accrocher le chalant puis de passer un tunnel de pubs bien rentable avant de conclure sur une révélation en demie-teinte qui souffle le chaud et le froid pour maintenir l'illusion que tout était prévu et qu'une suite est possible. Mais proroger l'agonie du vieux cannasson n'est pas toujours une bonne idée. Est-ce prémonitoire? Est-ce juste la dernière envolée lyrique de la soirée? Vous le saurez dans le prochain épisode (si je ne suis pas annulé après le pilote).
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sachez faire preuve de courtoisie et de respect, quand on se prétend soumis, c'est un minimum.... à bon entendeur ... .:.
Théory a répondu à la discussion "exploration de la jungle informationnelle et besoin d'allié(e)s pour survivre" de genderbender.
Moi je dis : (" Futurama référence, cette personne est bonne. Qu'on l'adoube")
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Bienvenue !
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