Je pense que de mon coté c'est deux aspect différents qui se superposent :
Comme deja beaucoup dis ici le plaisir et l'excitation de resentir de la douleur (je pense de mon coté resentir la douleur mais la traiter aussi comme un plaisir donc pas totalement cérébrale dans mon cas). Les shoot d'andorphynes qui me mettent dans un etat mental particulier, la douleur etant l'élément qui me fait le plus facilement passer en sub space. Donc tout l'aspect sensitif qui provoquent sensation et excitation extreme.
De l'autre coté je dirais être l'objet de désir sadique de la personne dominante, pouvoir subir ses envies et reussir à tenir pour son plaisir, être mis au defi d'être la toile de ses désirs sadique et pervers et d'avoir les capacités d'y répondre ou de s'entrainer pour.... ce lien mental que recevoir la douleur crée, ce sentir totalement réduis dans des mains dominantes, ne rien pouvoir faire et le mélange entre la fierté de tenir et en même temps se nourir du plaisir que prend la personne dominante à nous infliger tout cela. Tout cette aspect mental très puissant jouent autant un rôle dans mes désirs et plaisir maso que le premier aspect pour moi.
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Sujet de debat et de temoignage sympa merci d'avoir posé la question ici ! Je suis assez surpris du nombre de personne contre le virtuel (même si pas représentatif), j'en suis assez friand de mon coté. Même si je partage l'idée générale que ce n'est pas comparable au réel et au concret d'une relation ou séance en physique, je trouve que le virtuel a ses avantages et même ses interets propre.
Deja ca permet de trouver un moyen interessant de pratiquer entre les seances et d'une facon différente. Et là ou beaucoup disent que le plaisir et le sens des sensations maso n'a pas de sens en voituel je trouve au contraire que l'acte de la personne dom à devoir guider une personne soum dans son auto-punition est assez efficace et que l'accent est mis plus sur l'obeisance total / la mise au défi / la qualité des réalisations des demandes, ce qui a un interet propre. Sans parlé que en dehors du pretentiel h24, le virtuel est le seul moyen de faire un vraie suivie continue sur des periodes plus longues.
De plus je trouve que cela offre des possibilité de pratique nouvelle et différente du réel qui ont leurs propre interets et dynamiques.
Evidement si on me demande de faire un choix, je repondrait que la séance réel n'est pas comparable avec le virtuel dans les sensations et le lien mental qui si jouent, mais je considère vraiment le virtuel comme une facon différente de pratiquer que comme quelque chose de purement inférieur au réel dans mon parcour et mon avis.
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Recherche lectures et informations sur l'esthétique BDSM et son histoire
Bonjour tout le monde,
Je me suis intéressé récemment à la thématique de l’esthétique BDSM, ses codes, ses origines, influence, acteur passé, présent et future…ect.
Du coup je suis partie en quête de livre/article/conférence… sur le sujet, mais si j’ai trouvé certes des choses à me mettre sous la dents, je n’ai aucune idée de leur pertinence et leur véracité certain ce contredisant même…
Du coup j’en viens à m’adresser à la communauté pour possiblement avoir des recommandations à ce sujet si certains ce sont déjà attardé sur la chose.
Pour préciser je m’intéresse au sujet dans sa grande largeur de la mode et son évolution, à l’esthétique des lieux du BDSM passé et présent, ses symboles et leurs apparitions… dans le but de comprendre les codes de la scénographie des grand évènement BDSM et fetish d’aujourd’hui.
Aussi intéressé par une lecture assez complète sur l’histoire du BDSM pour me servir de base pour comprendre le reste et faire les liens.
Au plaisir de vous lire et en espérant trouver réponses à mes questionnements ici.
Je vous souhaite une agréable journée
Tomoe
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Cala75
Femme Dominatrice.
Vit à
Paris, France.
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Vixenvie
trans soumis.
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Montpellier, France.
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Theswitchslut
Femme switch.
Vit à
Toulouse, France.
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Je ne connaissais pas l'appelation CNC, et après lecture de quelques articles dessus et je vois la une limites à l'équilibre complexe du bout du bout du BDSM consensuel...cela doit pas etre facile à mettre en place. Et avec les autres messages de ce débats, vous m'avez apporté tout ce que je cherchais comme réponse, merci ^^ Comme vous le dites, la limite que je considère pour moi comme acceptable à toute pratiques, meme qui tienne du CNC, est ce "cadre d'échange et un mot d'arrêt" que vous evoquez plus haut et qui permet de concerver le consentement dans toute cisconstance. A partir de la je ne pense pas avoir besoin de reflechir plus loin sur la legétimité et de le droit de réaliser un viol dans n'importe qu'elle circonstance et contexte qui sorte de ce cadre. Tout du moins la est mon point de vue à ce niveau.
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Je manque à toute mon éducaiton : Bonsoir à vous Linsoumise et à toutes les personnes de cette échange bien sur.
Ca fait plaisir de vous lire aussi et c'est toujours une agreable experience que de vous entendre évoquer vos penser et vos connaissances de la plus belles manière ici, j'en suis toujours jaloux xD Pour en revenir à ce que vous dites, oui je concois le fait de se sentir attiré par une forme de viol consentie avec comme motivation s'offrir, etre utilisé, devenir un objet sexuel dédié au plaisir de l'autre, devoir subir et tenir pour jouer son role..ect ect vous résumiez deja bien la chose avec d'autre plus haut. Et pour l'avouer avec une certaine honte et gène, mais pour bien comprendre mon raisonement, je fait partie des gents qui sont très attiré par cette pratique et ce fantasme. Et tout ce que vous évoquez dans le controle de la chose, le droit de refus et de retrait est primordial dans l'image que j'en ai aussi.
Sauf que à mes yeux il n'y a aucun raprochement entre le viol et le fantasme que je vous présente et qui semble bien etre partagé ici à la lecture de cette échange.
Alors
-Ou il y a incompréhenssion de ma part et on parle tous de cela et de ce "jeu de role" ou l'on devient objet utilisé mais toujours dans le cadre de la confiance et de la sécurité.
-Ou certain on vraiment ce désir d'agresser et de violer ou etre violer sans le contexte precedement cité et dépasse le cadre de la domination pour justifier cette envie. Et dans ce cas il va faloir qu'on m'explique plus en détail la vision de certain qui font un lien entre domination D/s et envie de viol car je suis perdu voire un peu en colère.....
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Si ma mémoire est bonne, je n'imagine même pas sur qu'elles histoires vous avez pue tomber @Linsoumise sur le sujet évoqué dans vos dernier messages.... force à vous et tout mon respect le plus sincere.
Mais si je viens écrire ici c'est parce que la question posé me titille aussi beaucoup par mon incoprehenssion total de la chose... Merci pour tout les échanges et les réponses et exemples apportés mais je me demande quand même quelque chose : N'y a t'il pas réellement danger quand on vois qu'il y a deux grande façon de penser d'aborder la chose et que certain s'ouvre la possibilité de réaliser cela car ils en "sentent l'envie ou le désir" chez leur partenaire (voire victime de mon point de vue ici) ? Je veux dire : qu'a partir du moment ou on est d'accord pour dire que la pluspart s'accorde sur le point moral de dire que cela est inacceptable et que l'on peut provoquer des blessures sans precedent par cela, alors c'est l'idéologie du moindre risque qui doit primer non ?
J'essaye de mieux m'expliquer car je sens que mes propos sont flou... En partant de l'exemple que les soumis/e/s qui aprécient, au hasard les aiguille, sont rare. Est ce une chose acceptable d'aller imposer cette pratique dans une séance sans leur demander au préalable leur envie de la chose avec l'escuse de "j'ai sentie qu'il/elle en avait l'envie" ? Et cette exemple marche pour toute pratique en faites.
Je ne rentre meme pas dans le débats de si oui ou non le fait d'élever le viol à l'état de fantasme (non la simulation mais le crime) doit etre consevable car j'ai une idée tellement arreté sur la chose qu'en discuter avec moi serai contre productive tellement cela me révulse.
Mais je veux dire par mon message que, pour ce qui defendent le point de vue inverse du miens, est ce que la question du moindre risque ne prone t'elle pas sur tout et que, comme n'importe qu'elle pratique en fait, la chose doit etre évoqué avant d'être executé par accord explicite des deux partie ? Et de ce fait en faite anule toute légitimité au viol qui est par éssence non consentie ?
Je en concois pas qu'on puisse prendre le risque de traumatiser quelqu'un par simple suposition qu'il/elle, en fait, aimerai cela.....
Je discute rarement ici par manque de confiance en mes propos et peur de dire de la merde...mais pour cette fois le besoin de poser ma pensé etait plus forte que moi et le sujet me touchait un peu trop.
En esperant avoir été claire et en vous remercient pour les différents reflexion et belles paroles que certains ont apporté ici.
Tomoe
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Emilie_fleury
Femme switch.
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Lyly06
Femme switch.
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