Il me semblait que le sujet ne devait pas concerner que moi et je pensais trouver des réponses et que mes interrogations aideraient certainement d'autres personnes. Raté jusqu'ici. Nous verrons par la suite.
Merci de ton intérêt.
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Me définir en tant que dominant…
Après avoir lu le texte « Petit guide introductif du noviciat », qui donne de bons conseils aux soumis (ses) novices pour savoir faire le choix du dominant, j’ai cru utile de me définir en tant que dominant, cela me servira à savoir quelle est ma place et quelle doit être mon attitude vis à vis de ma soumise. Dans la suite de mes explications, j’emploierais le féminin, la soumise donc, parce qu’en ce qui nous concerne, c’est le cas.
QUI SOMMES NOUS ?
Nous sommes un couple dans la vie, un couple récent et nous formons avec ses enfants, grands adolescents, une famille recomposée. Cette situation comporte plus de difficultés que d’avantages, en effet la Domination/Soumission doit rester discrète pour ne pas être perçue par ses enfants, quand ils sont la. Est entendu par Domination/Soumission, les moments intimes bien sur, mais aussi, les préparatifs, les objets suffisamment explicites pour à eux seuls, permettre de dénoncer l’état de la relation, (Incidemment, il est d’ailleurs arrivé récemment que son aîné tombe sur le pot au rose). Les moments intimes très visibles ou bruyants, sont bien sur à réserver aux moments ou les enfants sont chez leur père.
J’ai cru, depuis le début de notre relation, que les moments domination devaient être soigneusement préparés , mis au point dans le plus grand secret, puis servis par surprise. Je me demande maintenant si je ne fais pas fausse route. Si, selon une phrase qu’elle emploie régulièrement, le mieux n’est pas l’ennemi du bien. Si le temps passé en longues préparations n’est pas du temps perdu, d’autant qu’il m’arrive parfois de ne pas conserver complètement le secret jusqu’au moment de la réalisation finale ou de préparer longtemps à l’avance des choses qui ne sont pas encore réalisées. Ça sera certainement à définir avec elle.
DOMINANT, POURQUOI ?
C’est, ais je lu, la première question question que devrait poser une soumise potentielle à celui qui a vocation à devenir son dominant. Les réponses à cette question, entre autres, devrait permettre à cette dernière de définir s’il est digne de la charge qu’il prétend assumer.
Répondre à cette question est pour moi, à la fois très simple et très compliqué. Très simple en effet, parce que c’est elle qui l’a souhaité et qui m’a fait part de son souhait. Comme réponse, on ne peut pas faire plus simple, c’est d’ailleurs peut être, la seule chose très claire, mais est ce que cela définit le dom que je suis ? Ce n’est pas vraiment une réponse à la définition, au contraire, cela soulève plusieurs questions. Pourquoi souhaite t’elle être soumise ? Pourquoi m’a t’elle choisi, moi ? Pourquoi ais je accepté ? Quelle est ma légitimité pour jouer ce rôle ? Je ne sais pas si je vais répondre à ces questions, en tout cas, je ne le ferais pas directement pour toutes, mais j’espère que mes réponses, clarifieront au moins la situation, à mes yeux, aux siens, et à ce que je pourrais éventuellement répondre à une personne qui m’interrogerait sur cela.
Quoi qu’il en soit, je fais cette introspection pour être au clair avec moi même et je pense lui demander d’en faire autant sur son rôle de soumise.
Un jour ma compagne a émis le souhait que nous ayons une relation de Domination/Soumission. J’ai été surpris de sa demande et me suis demandé si je souhaitais jouer ce rôle et si j’avais les qualités nécessaires pour cela. J’avais, quelque temps auparavant créé sur un forum un topic dans lequel j’expliquais qu’une amie m’avait demandé de jouer un tel rôle et je m’étais ouvert des questions qui me taraudaient. Le simple fait que je me sois renseigné est un indicateur de l’intérêt que je porte à ces pratiques, j’ai d’ailleurs reçu des réponses très intéressantes qu’au final j’ai conscience de ne pas avoir suffisamment étudiées. J’avais finalement refusé les propositions de cette amie. Est ce ce topic qui lui a donné l’idée de me faire la même demande ? (elle est présente sur le même forum, et est donc au courant de mes interrogations et des réponses qui m’ont été apportées), je n’en sais rien et j’avoue ne lui avoir même pas posé la question. C’est certainement la première chose à faire, je vais y penser. Quoi qu’il en soit, après m’être posé pas mal d’interrogations, j’ai accepté, sans finalement avoir de réponses aux questions que je me posais. J’avoue que l’idée de jouer ce rôle m’a excité et que j’en ai toujours envie. J’ai accepté un défi, je dois le réussir, ou en tout cas, tout faire pour que ça soit le cas.
J’ai essayé de faire preuve d’originalité, je ne sais pas si j’y ai bien réussi, ni au final, si l’originalité est vraiment très importante. Nous n’avons pas souhaité dans un premier temps définir les limites que nous souhaitions donner à ces jeux, laissant au seul safeword la possibilité de fixer les limites au coup par coup, c’est à dire que nous ne savons pas vraiment qui, dans ce contexte, nous sommes… Sommes nous dominant et soumise ? sommes nous sadique (sadiste) et maso ? Rien n’est clair, si ce n’est notre volonté de jouer, et je crois qu’il est temps maintenant de définir ou nous souhaitons aller (dialogue nécessaire). Nous devons aussi parler de la nécessité éventuelle d’un vrai contrat, ce qui n’a jamais été fait. Nous pensions que c’était inutile, voire néfaste. Je me demande malgré tout aujourd’hui si ça ne serait pas un bonne idée d’en faire un. Peut être pas un code à suivre sans réserve, mais en tout cas, une indications des limites à ne pas franchir, dans le cadre de nos accords du moment. A rediscuter éventuellement ensuite.
POUR LE DOMINANT QUE JE SUIS SENSÉ ÊTRE, QUELLE SOUMISE ?
Une femme, équilibrée, ayant subi un traumatisme sexuel dans son enfance. Maman attentionnée, quelques soucis avec ses enfants, santé, psychologie. Se posant des questions en matière d’éducation, et également sur la transmission intergénérationnelle (secrets de famille notamment), convaincue de l’influence de secrets passés sur les évènements actuels. Psychologiquement équilibrée, pas du tout provocatrice, avec des idées du couple très ouvertes (elle m’a notamment dit qu’elle ne me demandait pas l’exclusivité, pourvu que mes pratiques ne la lèsent pas).
Dans nos jeux, puisqu’elle n’a jamais utilisé le mot de sécurité, c’est que je n’ai jamais franchi les limites de ce qu’elle pouvait accepter, mais oser aller plus loin me paraît parfois très risqué, pas pour sa sécurité, qui est loin de poser problème, mais plus pour la poursuite harmonieuse de nos relations.
Est ce que mes interrogations sont sensées ? Est ce que d’autres dom’s se posent ou ce sont posés ce genre de questions ? Un dom doit il constamment jouer sans savoir, en limite, à son point de vue, de l’acceptable ? Ou doit il prévenir avant de ce qui va arriver ? Jusqu’ici, je l’ai toujours entraînée vers, l’inconnu, parce que j’ai toujours pensé que pour elle, le jeu devait être plus excitant.
Telles sont, pour le moment, mes réflexions et mes interrogations, si vous avez des conseils ou des suggestions à me faire, ils sont les bienvenus.
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Je trouve la manière dont vous présentez les choses très inquiétante. Qui plus est, réalisé de cette manière, c'est illégal, donc hors la loi.
Bien sur il est possible de jouer sur ce registre, mais dans la forme d'une manière très différente. Il faut toujours que la personne soumise soit consentante et qu'à tout moment elle puisse sortir du jeu si la forme qu'il prend ne lui convient pas.
J'espère que vous ne passerez pas à l'acte.
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Bonjour Angelina.
Comme dit par d'autres, il s'agit d'un jeu, rien à voir avec un viol réel. Je peux comprendre que vous qui avez du subir un viol réel ayez du mal à concevoir qu'on puisse jouer avec ça.
Je répond à votre question "la pseudo victime sait elle quand ça va arriver ?" et bien tout dépend de la manière dont le scénario a été préparé, ça peut être l'un ou l'autre. Et même la personne violeuse peut être autre que le dom habituel de la pseudo victime.
Ceci étant dit, je suis navré pour vous de ce qui vous est arrivé. Dans la vie réelle, le consentement doit être la règle en matière de sexualité.
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@Rosalie,
Bonsoir Rosalie,
Testé hier soir le jeu que je vous avais proposé.
Certes il a beaucoup moins d'intérêt si la soumise est au courant. C'est l'effet de surprise qui est important. Ma soumise a bien aimé.
Voici comment j'ai procédé :
Je l'ai fait mettre nue et moi, je suis resté habillé. Nous avons mangé comme ça.
Ensuite je l'ai faite coucher et je l'ai massée sur tout le corps, y compris le sexe et l'anus, parties par lesquelles j'ai terminé en faisant largement Pénétrer mes doigts, avec interdiction de jouir. Je lui ai ensuite mis un plug.
Pour la suite de la séance, je lui avais attaché les mains, bandé les yeux, et mis un baillon puis j'ai de nouveau massé avec la pointe d'un gros couteau de chasse, en appuyant plus fort lorsque je passais sur ses seins, ses lèvres intimes ou sa gorge. Parfois je m'arretais et j'appuyais assez fortement. Cette opération doit être faite avec une grande vigilance, en ce qui concerne ma soumise, elle flippait mais la peur au lieu de lui faire éviter le couteau, l'incitait à venir à sa rencontre.m, je devais donc reculer pour ne pas la blesser.
Je l'ai ensuite amenée à un relax dans lequel je l'ai faite allonger. J'ai amené un fauteuil suffisamment large pour enjamber le fauteuil. A avancé jusqu'au niveau de ses cuisses. Je suis allé me chercher une boule de glace, puis assis devant elle j'ai commencé à la manger. De temps à autre, je passais la cuillère remplie de glace sur sa chatte avant de la manger. L'effet, au début était très violent.
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Bonjour Rosalie,
Alors, je vous propose un jeu tout frais pour moi, puisqu'il vient juste de s'imposer à mon esprit. Un jeu à deux. Je vais d'ailleurs l'essayer dès que possible avec ma soumise.
Vous allez voir à quel point il est frais.
Votre dominant vous installe confortablement, nue, en position semi Couchée. Dans un relax par exemple. Bras attachés aux accoudoirs. Il s'installe en face de vous et mange une de vos glaces préférées (frustration). De temps à autre, il dépose une petite cuillerée de glace sur vos lèvres intimes (sensation), puis il reprend la glace avec sa cuillère et la mange (excitation et frustration). Il continue de cette manière à jouer entre frustration, excitation et sensation.
Au plaisir.
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Bonjour Sylvie.
La question m'a déjà été posée, à l'époque je n'avais pas la réponse. Ce bas-relief m'avait plu et c'est la seule raison pour laquelle je l'avais choisi.
aujourd'hui, j'ai la réponse et je peux vous la donner, c'est dans le Temple bouddhiste de Lakhsmana en inde.
Passez une bonne journée
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Très agréable à lire. Partie 1, laisse entendre qu'il y aura une suite. J'attends la suite.
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C'est la première fois que je propose un texte ici, j'espère qu'il ne vous paraitra pas trop mièvre. Un Noël bien spécial Comme chaque année, Sabrina et Gabriel avaient organisé le réveillon familial chez eux. La fête se terminait, quelques uns de leurs invités étaient déjà partis, mais le plus grand nombre s’était retardé et se préparait maintenant à prendre la route. Les enfants de Sab allaient passer quelques jours de vacances chez leur grand-Mère maternelle et partaient avec elle. Le couple avait accompagné tous ces gens jusqu’aux voitures et après les dernières embrassades, les véhicules prenaient la route. Sur le parking, Sabrina un peu émue saluait de la main les véhicules jusqu’à leur disparition, quand soudain, elle réalisa que Gabriel n’était plus près d’elle. Surprise elle regardait autour d’elle mais ne voyait rien. Elle l’appela, sans recevoir de réponse. Un peu inquiète, elle rejoignit l’appartement pensant que peut-être il avait été saisi d’un besoin pressant et avait regagné leurs pénates sans la prévenir. Rentrant dans l’appartement, elle l’appela sans recevoir de réponses. Elle ouvrit les portes des toilettes puis de la salle de bain… Personne. Très inquiète, elle tournait comme un lion en cage, fit le tour de toutes les pièces, appelant, suppliant, rien ne lui répondait et Gabriel était introuvable. Soudain sur la table du séjour, une grande enveloppe rouge attira son attention. Rouge ?... ça n’était donc, à coup sur, pas une lettre de rupture, la couleur laissait même à penser qu’il s’agissait d’une surprise agréable. Il n’avait tout de même pas changé de voiture sans rien lui dire… Non, il lui en aurait parlé… et d’ailleurs leurs finances du moment ne permettaient pas cet achat. Fébrile, elle ouvrit l’enveloppe et en tira un petit carton, rouge également et lut le petit texte qui y était écrit : « Veux tu jouer ?, si ta réponse est positive, allume les lumières de la chambre et celle de la salle de bain ». Immédiatement, son sexe s’humidifia et ses petits seins se tendirent. Chaque fois qu’il lui disait ou lui écrivait une phrase qui ressemble à ça, il lui proposait ensuite des jeux sexuels et il faut reconnaître que jusqu’ici, il avait tapé juste, lui proposant des choses inhabituelles, mais qui toujours avaient déclenché en elle des plaisirs phénoménaux. Par contre, il était très tard… ou plutôt très tôt. Un peu lasse après la soirée, mais très tentée de suivre Gabriel dans sa folie, elle glissa sans y réfléchir vers la chambre et alluma la lumière. Elle fit ensuite la même chose dans la salle de bains. Tout de suite, la tonalité des notifications de son téléphone retentit. Elle vit qu’elle avait un nouveau message de Gabriel et lut le SMS, « Tu as as accepté le jeu, tu es maintenant en mon pouvoir et tu m’appartiens. C’est le dernier message écrit de moi, mon téléphone va être coupé. Tu recevras des instructions au fur et à mesure, par écrit, Pour le moment, regarde dans le dernier tiroir de la commode, celui ou tu met ta lingerie.» Bon dieu, qu’est ce qu’elle avait accepté. Elle était à présent très inquiète. Elle tenta d’appeler Gabriel, mais tomba immédiatement sur son répondeur. Elle refit plusieurs tentatives sans plus de succès. Elle était à présent coupée de Gabriel. Elle n’avait aucun moyen de le contacter. Les seuls liens qu’elle allait avoir étaient les messages qu’il lui laisserait, dieu sait ou. Quelle folie avait il inventé cette fois. Jamais elle n’avait été aussi inquiète… et tout ça, la nuit de Noël en plus. - Bon, focalisons sur ce qui est concret se dit elle, le dernier tiroir de la commode. Elle ouvrit et resta bouche bée devant son contenu, dans une jolie boite, était exposé un ravissant mini boléro de dentelle rouge, pouvant être fermé par un petit lien en bas. Enfin si on peut qualifier ça de fermé… en tout cas, très sexy.Le soulevant pour mieux le regarder, elle découvrit un string de la même couleur. L’ensemble, elle devait se l’avouer avait été bien choisi, sexy à souhait, le petit haut était tout à fait ce qu’il fallait pour sa poitrine menue, ce que n’aurait pas fait correctement un soutiens-gorge. Pour ce qui est du string, certes elle n’aimait pas ce genre de sous-vêtement, mais si c’était pour passer une soirée voluptueuse, ma fois pourquoi pas. Mais quel était son but ? que lui préparait il ? pourquoi tous ces mystères ? Décidément Gabriel était tombé sur la tête. A côté de la boite, une autre enveloppe rouge. Elle l’ouvrit pleine d’appréhension. Le texte la laissa interloquée, - je veux que tu mettes cette tenue, par dessus, tu pourras enfiler les vêtements de ton choix, je te fais confiance et que tu te rendes au bar de nuit « L’alouette ». tu t’adressera au barman nommé Maurice et tu lui donnera ton prénom et tu lui dira que tu viens chercher quelque chose qui t’est destiné, il saura ce qu’il doit faire. Un bar de nuit à cette heure? ... Cette idée la laissait perplexe. Quelle mouche avait donc piquée Gabriel pour qu'il lui fasse prendre de tels risques? Fallait il qu'elle obéisse? Elle était dans une totale panique. Certes, elle avait confiance en lui, mais cette manière d'agir lui ressemblait si peux. Elle avait compris, au vu de la lingerie, le caractère sexuel de son souhait, mais était elle prête pour réaliser ce qu’il allait lui demander. En même temps, c’était la tempête dans sa culotte, son excitation était à son comble. Elle mouillait abondamment et l’attrait de l’inconnu, doublé du stress la mettait dans un état de fébrilité qu’elle n’avait jamais connu. et ce Maurice, qu’est ce qu’il venait faire la dedans ?, il Elle ne savait plus... elle était perdue… Elle savait, il le lui avait dit, qu’il n’était pas prêt à la prêter à d’autres hommes. Elle se rappelait parfaitement de ce jour, avec une certaine émotion d’ailleurs. Les enfants n’étaient pas la, elle préparait leur repas, dans la cuisine, habillée seulement d’une nuisette. Il était passé derrière elle, avait embrassé sa nuque, puis il avait glissé ses mains sous sa nuisette et avait empoigné ses seins. Elle avait penché sa tête en arrière, l’avait appuyée contre son épaule abandonnée à ses caresses. Ses mains avaient glissées sur son corps l’amenant progressivement à une lascivité délicieuse. Puis il avait soulevé la légère lingerie, avait embrassé ses seins, sucé doucement ses tétons, sa bouche était descendue doucement vers son ventre, son pubis, suscitant en elle l’envie qu’il descende encore. Mais la traîtresse bouche était remontée la laissant quelque peux déçue. Il reprit ses doux baisers en direction de son aine restaurant ses espoirs et finit par insinuer sa langue entre ses tendres nymphes lui arrachant des soupirs d’extase. Son plaisir était monté en intensité, au fur et à mesure de la progression du cunni avant l’explosion finale. C’est à ce moment, elle s’en rappelait parfaitement qu’elle lui avait dit ,
- j’accepterais tout de toi, de te sucer dans un lieu public, que tu me baise dans un endroit insolite, que tu m’offre à d’autres hommes.
Plus tard, quand elle eut recouvré ses esprits, il lui avait demandé, - tu pensais sérieusement ce que tu m’as dit, tu as réellement envie que je te prête à d’autres hommes ? Et elle avait répondu oui. A ce moment il lui avait dit qu’il n’était pas encore prêt à ça. Ça n’était donc pas un autre homme… mais quoi ? Que vient faire cet inconnu, ce Maurice, dans son plan ? Gabriel savait aussi, ils en avaient parlé qu’elle ne souhaitait pas de relations sexuelles avec d’autres femmes. Donc quoi ? Certes il lui avait toujours dit que s’il lui demandait quelque chose qui dépasse ce qu’elle pouvait accepter, elle n’avait qu’un mot à dire pour mettre fin au jeu, mais tout de même. Un peu rassurée sur les limites du jeu, elle se dit qu’il s’agissait de quelque chose avec lui seul… de l’exhibitionnisme peut être… ou un scénario fantaisiste pour la promener un peu. elle ne savait pas, mais elle avait cerné les possibles. - Bon… on joue, se dit elle. Elle enfila la jolie lingerie, se regardant - Pas mal… le choix est judicieux, se dit elle en souriant. Elle enfila une robe courte et des jolis escarpins et quitta leur appartement. Devant l’alouette, elle hésitait. Entrer seule, la nuit, dans un pareil lieu la perturbait. Pourquoi avait il choisi ce lieux ? Cette solution ? Avait il voulu la guérir de son désir d’être offerte à d’autres hommes ? Après maintes tergiversations, elle se décida à entrer. Elle s’approcha du bar et demanda Maurice. On la dirigeas vers lui et elle l’aborda pour lui demander ce dont Gabriel lui avait parlé. Elle avait les jambes qui flageolaient, la tête qui tournait, elle avait besoin de s’asseoir. Elle demanda à Maurice s’il pouvait lui amener un café et rapidement, elle s’assit à une table. Les pensées tournaient dans sa tête, c’était la première fois qu’elle se trouvait devant une telle situation. C’était fou, complètement fou… Un homme s’approcha, lui demanda l’autorisation de s’asseoir à sa table. Elle éluda. Il se permit d’insister et elle refusa avec plus d’autorité. Voyant sa pâleur, il lui demanda si elle allait bien, si elle n’était pas malade. Elle lui répondit que non, qu’elle allait parfaitement bien, qu’elle voulait juste qu’on la laisse en paix. Maurice revint avec son café et déposa à coté une enveloppe rouge. Encore une enveloppe rouge… Elle hésitait à l’ouvrir. Même si elle s’était rassurée en faisant tourner dans sa tête les scénarios possibles, réfuté les plus inquiétants, même si certains faisaient partie de ses fantasmes, voire de ses désirs.Elle était toujours tiraillée entre l’appréhension et l’excitation. Elle se demandait même si cette dernière n’était pas aiguillonnée par la peur. Elle se reprochait à présent d’avoir accepté le jeu. Elle ouvrit en tremblant l’enveloppe et découvrit un nouveau message, lui demandant de se rendre à une adresse ou de nouvelles instructions lui seraient données. Elle avait l’ordre de rentrer sans frapper. Wahouou ! Certainement la dernière étape de son périple. La diffusion d’adrénaline était à son comble. Elle fit signe à Maurice pour payer et par la même occasion lui demanda ou elle pouvait joindre Gabriel. Il lui répondit qu’il ne connaissait pas de Gabriel. Elle lui demanda qui avait déposé la lettre. C’était un homme que Maurice ne connaissait pas. Elle lui demanda une description physique, même sommaire. Le portrait qu’il fit ne correspondait pas du tout à Gabriel. Ce fut un véritable choc… Elle était dans la confusion la plus totale. Au minimum, Gabriel avait utilisé une organisation très complexe, dans quelle mesure en avait il la maîtrise ? Elle était à la fois admirative et inquiète. Elle ressentait un vide intense en elle, elle était dépassée par les évènements. Ses jambes ne la portaient pas d’une manière plus efficace qu’à son arrivée, peut être moins même. Légèrement titubante, elle sortit du bar. Elle s’installa au volant et dut attendre un moment avant de démarrer, le temps de reprendre ses esprits. La tête dans les mains, elle essaya de remettre de l’ordre dans ses pensées. - Gabriel, Gabriel, pourquoi me fais tu ça ? Un peu remise, elle démarra et se rendit à l’adresse. Ça faisait un bon quart d’heure qu’elle était devant la porte et ne se décidait pas à entrer. Elle cherchait mentalement à se donner du courage mais n’y parvenait pas. Cette soirée, décidément riche en émotions la perturbait au plus haut point. Puisant dans ses dernières ressources de courage, elle poussa la porte. Aucun bruit, il ne semblait y avoir personne. Il faisait noir, elle chercha l’interrupteur en s’aidant de l’éclairage de son téléphone, elle le trouva et alluma. Elle était dans une entrée, très accueillante, ensuite s’ouvrait un séjour. Beaucoup de livres, des couleurs qu’elle aimait, elle fit le tour, regarda partout. En évidence sur la table, une autre enveloppe rouge. Elle se mit à rire, complètement rassurée maintenant. Tout simplement Gabriel avait loué un appartement pour la soirée, juste pour la dépayser. D’ailleurs si elle y regardait bien, la logistique déployée, et qui l’avait initialement impressionnée n’était pas si extraordinaire. Il lui avait suffi de soudoyer un barman, en lui demandant de faire l’ignorant sur son identité. Elle avait fantasmé sur finalement pas grand-chose. Elle se détendait, ses nerfs mis à vif depuis la disparition de Gabriel se relâchaient dans un fou rire. Quelle sotte ! Négligeant l’enveloppe, elle fit le tour de l’appartement. Deux chambres meublées avec goût, une salle de bains agréable, avec une grande baignoire. Elle était tentée, faisant fi des instructions de Gabriel, de se mettre dans un bon bain chaud. Oh ! Elle allait tout de même jouer le jeu, elle allait prendre connaissance du contenu de l’enveloppe. De retour dans le séjour et maintenant complètement détendue, elle prit la lettre et se jeta dans le canapé.Il lui était demandé de quitter ses vêtements, gardant juste la lingerie, de se mettre à genoux sur la carpette du salon, un bandeau sur ses yeux, (cette pièce de tissus se trouvait, dans le deuxième tiroir de la bibliothèque) et d’attendre. Elle fouilla dans le meuble et trouva un bandeau de soie rouge, en riant, elle suivit les instructions de la lettre. Elle sourit. Beaucoup de mise en scène pour pas grand-chose. Un petit scénario de domination/soumission. Elle attendait depuis quelques minutes, lorsqu’elle entendit le bruit de la porte. Gabriel avait, sans aucun doute, mis une caméra et surveillait le moment ou elle serait prête. Elle sentit des mains tirer les siennes derrière son dos et les attacher. Elle était maintenant à la merci de Gabriel, elle sourit
- C’est bien, tu as parfaitement suivi les instructions qui t’étaient données, dit une voix d’homme qu’elle ne connaissait pas. D’un coup, son affolement reprit… pas possible… Gabriel n’était pas prêt à l’offrir !...
- Qui êtes vous ?
- Aucun intérêt, tu as décidé d’accepter un jeu.
- Je croyais que c’était juste avec Gabriel
. - J’ai pourtant entendu dire que tu souhaitais plus.
- J’ai dit ça dans un moment d’excitation.
- Il me semble qu’ensuite la question t’a été posée dans un moment ou tu avais retrouvé tes esprits.
Décidément, ce personnage était au courant de tout… Elle était affolée et en même temps, sa fébrilité avait repris. Son string était mouillé. Elle avait un nœud au ventre, mais ses sens étaient en ébullition.
- Pourtant, reprit la voix, tu sais que tu as juste un mot à dire, pour si tu le souhaite, mettre fin au jeu.
Ah ! Gabriel lui laissait donc une porte de sortie, mais elle n’avait pas envie de l’utiliser
. - Gabriel m’a chargé de vérifier pour commencer si tu mouillait déjà, dit il en lui massant une fesse. La caresse fit glisser un frisson le long de sa colonne vertébrale. Un nouveau jet de mouille humecta son string. La main se glissa entre ses jambes sans ménagement excessif. L’homme ne cherchait pas à convaincre, mais prenait possession d’un territoire qui lui revenait de droit. C’était déstabilisant au possible. Il glissa son doigt sous le string et massa sa chatte, provoquant un gémissement.
- Hummm ! Tu aimes ça hein ! lui dit il… tu vas en avoir pour tes désirs. Je suis sur que tu vas apprécier.
Le ton était calme, la diction plutôt lente ne permettait pas de dénoter d’émotion. Il avait fait glisser le string sur le coté et massait ses lèvres intimes avec une douceur qui contrastait avec le ton de sa voix. Sabrina oubliait de plus en plus ses appréhensions et sa sensualité affleurait crescendo. La montée en gamme de son désir était palpable. Euh ! Palpable, ben on est en plein dedans… Sab coulait littéralement, sa mouille débordant largement à l’intérieur de ses cuisses pourtant très ouvertes par la main. Il passa devant elle et titilla doucement son petit bouton tout en lui pinçant les tétons. En même temps il proférait des mots grivois, voire insultants : « tu aimes ça hein ! Petite salope », « tu aimes faire la pute », « tu as envie que je te baise », « tu es un garage à bites ». Ces mots avaient sur son esprit une influence terrible, son excitation était à son comble, à chacune de ses allusions elle répondait oui tout en poussant des feulements de femelle en chaleur. Il lui donnait ensuite l’ordre de répondre« Dis moi que tu aimes ça », « oh oui ! J’aime ça », « dis moi que tu es ma pute préférée », « Je suis ta pute préférée », « qui t’as dit de me tutoyer… je suis votre pute préférée, s’il te plaît », « je suis votre pute préférée », « dis moi que tu es mon garage à bites », « je suis votre garage à bites ». Jamais elle n’avait été traitée de cette manière. Cette terminologie, qu’elle n’aurait jamais acceptée dans la vie courante, la mettait dans un état de sensualité indescriptible. Mentalement, elle avait fait sienne chacune de ces allusions et elle y souscrivait complètement. Jamais, même dans ses moments les plus intenses, elle n’avait été excitée de façon aussi complète.elle n’avait plus aucune appréhension, aucune inhibition. Devant cet étranger, elle était bien la chienne en chaleur qu’il décrivait. Soudain, elle sentit deux mains lui masser les fesses, tandis que l’homme qui s’occupait de son coté pile continuait sa litanie de récits obscènes. Sa griserie fit un bond en avant. Deux hommes pour s ‘occuper d’elle. Elle n’était plus en état de réfléchir, elle se laissait bercer par les rogations qu’on lui récitait et qu’elle répétait inlassablement comme un catéchumène récite son credo tandis que quatre mains s’occupaient de ses intimes attraits. Les mains de derrière se glissèrent dans son sillon inter fessier, ce qui lui fit immédiatement reconnaître Gabriel. Elle eut une hésitation, un peu honte de ce qu’elle faisait, un peu peur de son jugement, mais elle n’était plus en état de réfléchir et elle se laissait aller à la volupté de ce moment si intense qu’elle n’en avait jamais connu de tel. Gabriel connaissait ce qu’elle aimait et savait parfaitement mettre son plaisir en évidence. Il caressait ses deux globes postérieurs, glissait ses mains entre ses fesses, remontait le long de sa colonne vertébrale jusqu’à sa nuque qu’il caressait longuement. Enroulait ses cheveux autour de sa main, grattait son cuir chevelu, puis redescendait, elle était bercée par les psalmodies de l’homme qui était devant elle. « dis que tu es la pute de deux hommes », « je suis la pute de deux hommes », « dis que tu es leur garage à bite », « je suis leur garage à bites », « dis que tu aimes baiser avec deux hommes », « j’aime baiser avec deux hommes », dis que tu as envie de prendre une bite dans ta bouche », « j’ai envie de prendre une bite dans ma bouche » elle sentit une main vigoureuse la retourner et en la saisissant par les cheveux la courber en avant. Elle sentit au contact de ses lèvres une bite. La bite de Gabriel. Elle se mit à en sucer doucement le bout, se laissant envahir par le plaisir que lui procurait toujours cette entrée en matière. Elle se mit à lui titiller le gland du bout de la langue. Elle poussait en même temps de petits gémissements qui se mêlaient à ceux de Gabriel. Brusquement, elle empala littéralement le pénis dans une gorge profonde arrachant à son compagnon un cri de plaisir surpris par la rapidité de son mouvement. Elle conserva la bite quelques secondes au fond de sa bouche avant de remonter doucement. Elle sentit un doigt s’infiltrer entre ses lèvres intimes et pénétrer dans son vagin, appuyer sur les parois, les masser doucement. Puis le doigt sortit et fut remplacé par une bite emmaillotée de latex. La matière était parfaitement perceptible, le gars avait bien un préservatif. D’ailleurs, elle ne doutait pas que Gabriel ait défini ses exigences et pris soin de sa sécurité, elle avait en cela complètement confiance. Elle était emplie dans la bouche et dans le vagin, tandis que le chapelet de motivations grivoises continuait, « Dis que tu aimes bouffer une bite », « j’aime bouffer une bite » tenta t’elle de dire d’une manière complètement inaudible. - C’est bon, dit Gabriel à son comparse, je crois que ça n’est pas le bon moment. L’homme cessa, mais finalement, elle n’était pas sure que ça ne soit pas le bon moment, malgré tout, la situation la motivait. Il poursuivit sans la faire répéter « tu aimes ça salope », « tu es notre pute », « tu aimes être remplie par deux bites ». Elle avait envie de la répétition, ça l’excitait encore plus malgré l’inconfort généré par la fellation. « J’aime être remplie par deux bites » répétât elle. « Tu es une grosse salope », « je suis une grosse salope », inaudible, mais peu importe, ça l’excitait. Gabriel l’avait saisie par les cheveux et forçait sur sa queue, elle poussait des « han ! » de plaisir à chaque va et viens. Lui même avait besoin maintenant de la conclusion, son plaisir était croissant, il n’était pas loin de perdre pied. Elle le sentait et accompagnait de sa tête les contraintes sur les cheveux. La tension de la verge qu’elle sentait de plus en plus importante, ainsi que celle de l’homme qui limait sa chatte faisaient monter son plaisir qui arrivait à son paroxysme. L’orgasme de Gabriel se déclencha d’un coup, provoquant le sien. Des cris qui auraient été des hurlements si elle n’avait pas la bouche emplie s’échappaient. Presque de suite, l’homme éjacula à son tour, régalant sa chatte de spasmes voluptueux. Tous trois roulèrent sur le dos, Sab dans les bras de Gabriel.
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Je pense, comme plusieurs personne, qu'il y a dans cette demande une inversion des rôles. Dans la mesure ou il est votre dom et ou il a, à votre demande accepté ce rôle, c'est à lui de se débrouiller pour trouver des actions ou des scénarios pour étoffer son rôle.
Je suis un peu dans la même situation initiale, à savoir que ma compagne a souhaité être ma soumise et que j'ai pris goût à un rôle que je n'avais au départ pas envisagé, mais il ne me viendrait pas à l'idée de faire des recherches qui me reviennent. Ce n'est pas à elle de m'éduquer. J'étais peu inspiré et malhabile au début, mais je deviens plus hardi et je développe des scénarios de plus en plus construits.
Au vu de sa demande, et du fait que c'est de vous que vient l'idée de domination/soumission, je crois qu'il vaudrait mieux que ce soit vous la maîtresse et lui le chien.
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"Madame Lovilo"
Concernant l'auto bondage, je ne suis même pas sur qu'il s'agisse de sexualité.
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