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Et d'ailleurs qu'importe, là n'est pas l'essentiel. Ils sont une partie des attributs à ma disposition pour honorer ma soumise dans le respect.
Respect n'est d'ailleurs pas employé ici au sens ou l'entend le commun des mortels, mais signifie dans le respect des conventions que nous avons passées, mix de ses désirs et des miens pour le plaisir des deux.
Bonne journée.
(photo perso)
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Merci Hugin d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Et d'ailleurs qu'importe, là n'est pas l'essentiel. Ils sont une partie des attributs à ma disposition pour honorer ma soumise dans le respect.
Respect n'est d'ailleurs pas employé ici au sens ou l'entend le commun des mortels, mais signifie dans le respect des conventions que nous avons passées, mix de ses désirs et des miens pour le plaisir des deux.
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"S'epouser le corps, le cœur et l'ame", je vois bien aussi les choses de cette manière. Pour moi, en tout cas la question du mariage ne se pose pas, pour le moment tout au moins.
Tout de même, si ça devait se faire, dans notre couple ou je suis le dominant, la demande en mariage devant être un moment tout à la fois, exceptionnel et original, je la verrais bien de la manière suivante :
Lors d'un cunni, je lui dirais,
- Ma chérie et ma soumise, depuis pas mal de temps, nous entretenons une belle relation que je souhaite pérenniser. Si tu partage mes convictions quand à l'avenir de notre couplé, nous pourrions envisager de nous marier. Acceptes tu de m'épouser !
Si sa réponse était positive, le lendemain matin, je lui dirais:
- j'ai mesuré à quel point ma demande d'hier soir était déloyale, étant donné les circonstances peu propices à la réflexion dans lesquelles je l'ai faite, je renouvelle ma demande. En toute conscience, ce matin, acceptes tu de m'épouser.
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Un contrat peut même ne pas exister du tout, mais dans ce cas, des dialogues avec la personne soumise sont nécessaires pour savoir ce qui l'attire dans le BDSM et comprendre vers quoi elle veut aller.
Le safeword n'a pas grand chose à voir avec la sécurité. C'est plutôt un moyen par lequel la personne soumise peut faire savoir que le jeu n'est plus ce qu'elle souhaite. Par exemple dans un viol simulé, le mot non peut être prononcés dans le cadre du scénario alors qu'en réalité elle ne veut pas arrêter.
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Et bien oui, il s'agit réellement d'un viol et le fait que vous ayez adoré n'y change rien. Quand à dire qu'un viol n'est pas nécessairement violent, savez vous ce qu'il aurait fait si vous aviez résisté jusqu'au bout ? Probablement il serait devenu violent pour obtenir ce qu'il souhaitait.
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06/03/23
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Évasion
Je suis devant l’évier en train de faire la vaisselle et je rêve.
J’imagine que c’est toi qui fais la vaisselle, nous sommes seuls. Je passe derrière toi et je me colle à toi,
j’empaume tes seins et les caresse. Tu marque ton plaisir par un soupir prolongé, lève ton menton vers le
ciel, les yeux fermés.
Ma main droite descend le long de ton buste par une longue caresse jusqu’à ton ventre que le flatte un
moment, puis descend sur ton pubis que j’enserre plus fermement entre mes doigts. Une plainte s’échappe
de ta bouche et ton corps vibre sous l’attouchement. Ma main se déplace sur ton cul, puis descend jusqu’à
l’ourlet de ta jupe courte, avant de remonter au contact de ta peau. Tu ne porte pas de culotte, comme
souvent quand tu es en jupe et que nous sommes seuls.
Mes doigts s’introduisent entre tes globes charnus et font des va et viens, de ta vulve à ton anus amenant
dans ce mouvement de la cyprine autour de ton petit trou. Je te sens pleine de désir, tu t’es pâmée et as
cessé de frotter les assiettes.
- Continues la vaisselle.
Tant bien que mal, tu poursuis ton travail, tandis que j’enfonce un doigt dans ton anus, je sais que tu adore
ça. Progressivement, le sphincter se détend et je peux introduire un second doigt, une nouvelle plainte
m’informe de ton plaisir. Je continue de limer dans l’œillet déjà beaucoup moins serré. Enfin je retire mes
doigts, un plainte de regret sort de ta bouche. Ma main quitte l’ombre de ta jupe, s’introduit dans ma
poche, en ressort poing fermé et s’introduit de nouveau sous ta jupe. Tu sens un objet froid au contact de
ton cul, un objet froid et dur que j’enfonce dans ton anus. Ton sphincter se referme sur le plug.
Je caresse maintenant ta vulve. La frictionne d’avant en arrière, introduit deux doigts à l’intérieur en te
soufflant des grivoiseries à l’oreille.
Mais tu n’es plus la devant ton évier, ton esprit s’est évadé. Nous sommes dans une forêt profonde, je t’ai
déshabillée, attachée entre deux arbres. J’ai bandé tes yeux, et je caresse tout ton corps, ton cul et ta
chatte. La situation t’excite, certes on est dans les bois, mais on peut être découverts par des promeneurs,
forêt profonde ne veut pas dire inviolable. D’ailleurs tu entend ma voix.
- approche, viens voir.
-Ne parles pas, elle est belle hein ?
- Tu voudrais bien la toucher, la caresser.
- Tu peux te masturber.
C’est une plaisanterie ? Il n’y a pas quelqu’un ? Tu imagines mille questions, mais n’en prononce
aucune. Voyant que tu n’es pas impressionné outre mesure, je te retire le bandeau. Un homme est
effectivement à quelques mètres de toi en train de se masturber. Tu as un haut le corps, affolée de te
retrouver nue et vulnérable devant cet inconnu. Avec moi certes, mais si l’inconnu décidait de m’agresser,
de m’assommer et de te violer, il n’était pas du tout sur que j’aurais le dessus. L’adrénaline montait. Tu
étais partagée entre terreur et excitation.
Je libérais une de tes mains, mais je la ligotais à ton autre main. Je mis entre tes pieds, une branche qui
traînait au sol, solidement attachée à chacun d’entre eux pour les tenir écartés. J’ouvris ma braguette et te
présentais ma queue dressée que, te penchant vers elle, tu t’empressas d’emboucher. Ton goût de la
fellation reprit le dessus sur tes craintes et tu te mis à me sucer avidement. Ton esprit enfiévré poursuivit
son fantasme.
- approche, tu peux la caresser
l’homme s’approcha et commença à te caresser. Ton excitation était à son comble.
- oui, oui, la chatte aussi.
Enhardi, le curieux se mit à l’œuvre, caressant ta vulve, n’allant cependant pas au-delà de ce que j’avais
autorisé. Tu me suçais de plus en plus activement le corps littéralement électrisé.
- tu peux la doigter... tu eus un petit frémissement de surprise
Il ne se le fit pas dire deux fois et introduisit son majeur dans la vulve que je lui avais offerte, puis deux
autres doigts au fur et à mesure de la dilatation des tissus. tu étais complètement en transe, suçant, te
déhanchant, dans une totale hystérie.
- tu peux aussi utiliser l’anus, si tu veux.
Je savais que tu aimait ça avec moi, mais depuis que tu était sous ma domination, personne d’autre que
moi n’avait utilisé cette entrée... Aucune des deux d’ailleurs. Il ne se le fit pas dire deux fois et utilisant
son autre main, entreprit de réjouir ce chemin. Prise par tous tes trous, tu était déchaînée, pour ton plus
grand plaisir et le notre.
Soudain tu poussas de grands cris, le corps secoué de spasmes.
Tu lâchas l’assiette que tu tenais dans les mains et pris appui sur le bord de l’évier, haletant, soufflant sous
la violence de l’orgasme, totalement épuisée.
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Bonjour,
Je lis hypocrisie, je lis lâcheté et je dois reconnaitre, que même s'il ne s'agit pas du cas général, c'est réel dans de nombreux cas, consciemment ou pas.
En ce qui me concerne, je me range dans les deux catégories doublé de naîveté et de stupidité durant de nombreuses années.
Je me suis marié relativement jeune avec une femme dont j'avais la conviction qu'elle n'était pas amoureuse de moi. Je ne ressentais pas, dans nos moments intimes, ni simplement dans nos moments de tendresse, l'abandon d'une femmme amoureuse.
J'étais engagé dans une carrière très prometteuse pour l'avenir et parallèlement, je ressentais que fatalement elle y nuirait. J'étais quand à moi amoureux et j'étais convaincu qu'elle changerait.
Trois mois après mon mariage, je songeais déjà au divorce, mais je n'ai rien fait, toujours avec l'espoir naïf qu'elle changerait. Elle a cherché à me faire abandonner ma carrière et j'ai fini par céder. C'était une époque difficile pour l'emploi et j'ai eu beaucoup de mal à rebondir un peu en acceptant un emploi avec une rémunération inférieure de 25%. Toutes mes prévisions néfastes se sont révélées justes et malgré ça, j'ai continué.
Parfois, l'attachement dépasse le couple, j'entend par la qu'entre temps, j'avais tissé des liens avec ma belle famille et par la suite, quand j'ai acquis la conviction que ce mariage n'était vraiment pas bon pour moi, rompre aussi avec eux finalement m'a fait reculer.
J'ai renoncé durant de nombreuses années à toute sexualité, ne voulant pas tromper physiquement. Néanmoins, j'avais sur un forum des sexualités virtuelles. Je ne me suis jamais voilé la face une relation virtuelle cachée est aussi une tromperie. A partir ou une relation, quelle qu'en soit la forme est cachée à l'autre, il s'agit bien d'un adultère.
Tout ça a duré jusqu'à ce que je rencontre, via un forum une femme pour qui je ressentais de l'amour. Cette découverte a mis à bas toute mes croyances concernant le virtuel, j'étais jusque la convaincu qu'on ne pouvait pas tomber amoureux virtuellement. Un jour au détour d'une conversation que nous avions, j'ai acquis la conviction qu'elle aussi était amoureuse. Nous en avons parlé, j'étais très hésitant parce qu'elle était beaucoup plus jeune que moi. On a décidé d'une rencontre, à ce moment la, fini les cachotteries et les faux fuyants, sans hésitation j'ai dit à ma femme que j'étais amoureux ailleur et que j'allais la quitter et trois mois après, je m'installais avec cette femme. aucune hypocrisie avec elle, elle m'a dit d'entrée qu'elle ne me demandait pas l'exclusivité sexuelle, pourvu qu'elle ne soit pas lésée, donc s'il y avait une autre relation, elle serait au courant, mais ça n'est pas à l'ordre du jour. De mon coté, je lui ai dit que je ne me santais pas pret à lui donner la même autorisation et elle a bien compris.
Nous vivons maintenant ensemble depuis 4 ans. Elle a souhaité que notre relation soit une relation dominant/soumise, ce qui au départ ne me séduisait pas vraiment. Mentalement l'idée a fait son chemin et aujourd'hui la relation a pris cette forme et je dirais que ça me satisfait pleinement.
Par contre, avec deux adolescentes à la maison, c'est assez compliqué à vivre au jour le jour, je comprend donc que pour ceux et celles qui vivent ça en parallèle de leur couple et dans le secret vis à vis de leur conjoint, ça doit être très compliqué.
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14/02/23
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Le jour mourait au dessus des hêtres et des châtaigniers, dardant le ciel de flammes rougeoyantes. C'était l'heure inquiétante où les pénombre allaient tomber sur la forêt en ce soir de pleine lune, projetant leurs ombres qui transformaient chaque arbre, chaque buisson en monstre maléfique.
Il savait toutes les légendes qui étaient nées des fantasmes des humains sur ces nuits ou, étrange phénomène, la campagne très éclairée par l'astre de la nuit, disputait la majesté aux projection spectrales. Il aimait ces jours là, se mouvoir dans ces lieux chargés de chimères, zones boisées, cimetières, qui mieux que d'autres alimentaient les fantasmes.
La nuit était tombée. L'heure était révolue ou on basculait dans le fantasque, le sordide parfois. Il avait garé sa voiture et s'avançait dans le sentier, se gorgeant du plaisir d'admirer les monstres chimériques de la nuit, se délectant de la caresse du vent qui glissait entre les arbres faisant en glissant sur les grands sapins, essences minoritaires, un sifflement lugubre qui ajoutait à l'effroi des inquiets ou des plus superstitieux.
Il arrivait au calvaire. Satisfait, il vit que le déshabillé, pendait à une des branches de la croix. Il n'était pas de ceux qui prennent un malin plaisir à détourner les accessoires du sacré. Même si ça n'était pas son truc, il respectait ceux pour qui ça avait de l'importance. Ce soir, il n'avait utilisé ce calvaire que parce qu'il était facilement repérable et qu'à cette heure de la nuit, il était peu probable que ça choque quiconque. .
Il continuait de progresser se complaisant dans le décor inquiétant. Il approchait de la petite clairière, sinistre en cette nuit de pleine lune. Débouchant du bois, il l'a vit, près du seul petit taillis de la clairière, offerte et nue comme il le lui avait ordonné, petite chose tremblante de frayeur, courbée sous le poid de l'effroi que lui causait la situation. Elle tomba à genoux,
Maître je suis à vous, faites de moi ce que bon vous semble.
Et elle ajouta presque en pleur,
Maître, j'ai si peur.
La frayeur n'avait en rien altéré sa volonté d'obéissance. Il la regarda… elle était belle, blafarde et vulnérable dans son dénuement. .
Je sais.
Il connaissait sa frayeur de la nuit et bien qu'elle ne soit pas superstitieuse, sa sensibilité aux légendes qui se racontaient sur la plein lune avaient cette nuit sur elle un impact très important, à la faveur du décor inquiétant du sous-bois. Il avait beaucoup exigé d'elle et il le savait.
Viens,
dit il en prenant sa main tremblante. Elle n'était pas en état de discuter quoi que ce soit, d'ailleurs elle n'avait pas envie de discuter. Son désir, sa vocation était l'obéissance, la dévotion au maître.
Devant sa terreur, il souhaitait abréger son calvaire, mais dans l'état ou elle était, il n'était pas sur que ses nerfs tiennent le coup. Il decida de mettre fin à ses tourments.
Viens, c'est assez pour cette nuit, on va rentrer.
Maître, je vous en supplie, ne me dédaignez pas. J'ai fait ce que vous m'avez ordonné.
Malgré sa peur, elle était complètement digne et elle avait pris l'indulgence de son dominant pour du mepris et le suppliait de ne pas mettre fin aux activités qu'il avait prévu.
Vraiment ses ordres avaient été exaucés dans les moindre détails, mais n'était il pas allé trop loin ? N'avait il pas trop exigé d'elle? Inflexible mais humain, il souhaitait ne pas la contraindre à plus, mais il venait de comprendre que s'il ne poursuivait pas, elle serait très offensée. Son devoir de maître était d'élever et non de nuire. S'il renonçait, il lui confirmait ce qu'elle croyais être son dédain, il devait donc persister. Il savais aussi que nerveusement elle avait besoin d'apaisement et seule la poursuite du programme pouvait le permettre. Il allait donc continuer, mais juste le temps qu'il fallait, il voulait ensuite raisonnablement en finir. Il avait été très dur, et il le savait.
Il l'a conduisit à un arbuste courbé qu'il avait repéré quand il avait fait la reconnaissance des lieux et il l'aida à se coucher contre le tronc, puis saisissant des cordes dans son sac, il l'attacha solidement.
Sortant ensuite de sa besace un fouet court, il commença à fouetter ses fesses avec application. À chaque zebrure, elle sursautait et gémissait doucement. Les coups pleuvaient sur son cul qui rougissait sous les outrages jusqu'à ce que remonte du fond de son être une vague de sanglots, exhalation de son déchirement; mélange de peur, d'humiliation et de découragement. Longtemps elle pleura, il avait cessé ses coups, posé son fouet, il avait pris dans ses mains le petit visage empli de larmes qu'il caressait doucement,
Tu as été très courageuse, je suis fier de toi.
Puis un peu plus tard,
Je suis fier que tu soies ma soumise, tu es une femme admirable.
Il attendit un peu que le torrent de larmes soit tari. Jeta sur elle le déshabillé qu'il avait récupéré au passage, puis passant ses bras dans son dos et sous ses ge oux, il la souleva et la porta jusqu'à sa voiture, puis il l'allongea sur le siège arrière, prenant une crème il massa doucement ses fesses marquées de rouge, de bistre et de mauve.
Je te ramène chez moi, nous récupérerons ta voiture demain.
Rassurée et heureuse, elle s'endormit paisiblement.
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C'était volontaire, parce que le contenu du texte n'est pas inquiétant en soi pour qui n'a pas peur de la nuit ou des espaces forestiers. Ma soumise, par exemple m'a dit, mais je ne comprend pas ce qu'il y a d'inquiétant dans ton texte, il n'est pas si terrible.
J'ai donc développé un semblant d'environnement inquiétant, qui j'en suis sur, parlera à certains (hommes ou femmes d'ailleurs), mais sera complètement anodin pour d'autres.
@Lou, mes excuses, je n'avais pas vu votre message.
Et bien dans la formulation du message D'ASIRIUM, il est clairement dit "glisser mon sexe sans demander à la fille si elle veut", ce qui semble indiquer qu'à aucun moment il ne se soucies du consentement. Certes on peut jouer ce scénario, mais il faut absolument qu'il y ait eu concertation en amont et consentement préalable.
Bonne soirée Lou.
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Ca ne fait aucun doute, j'ai accepté et depuis près de 4 ans maintenant.
je profite, tout enl'écoutant et en tentant de lui faire définir ses attentes. J'essaye d'être inventif et je pense y arriver, toutefois, ça n'est pas linéaire, parfois très original et parfois beaucoup moins.
Je prend plaisir à cette situation, sinon j'aurais renoncé.
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Oui, plein de points communs entre les réponses à ce topic. Pour tous, je crois, la domination a débuté à la demande de la soumise. De tête, seule Stella Maris n'est pas dans ce cas. Cela aurait du enlever du questionnement des doms le problème de la légitimité, il n'en est rien. Tous se sont posés cette question à un moment.
Qui est au service de l'autre ? Vous êtes le premier à poser cette question sur ce topic, mais il est vrai que je me l'a suis personnellement posée et j'ai bien l'impression que chacun est au service de l'autre. Les limites sont celles de la soumise et c'est au dominant d'animer la relation sans sortir de ces limites. Par contre, le maître est bien le dominant, c'est à lui d'imposer et d'obtenir le respect du timing et des règles.
Merci d'avoir répondu.
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Bonjour StellaMaris
Dévotion totale à votre maître, c'est parfaitement clair et il semble qu'il ait d'une manière innée toutes les qualités 'liées à son statut, mais certainement les a t' il acquises au fil du temps. Personnellement, je ne crois pas avoir naturellement autant d'atouts dans mon jeu.
Êtes vous soumise 24 h /24, 7 j /7?
Merci de votre commentaire.
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Bonsoir Galifrey
Je pense que Sylvie 35 a parfaitement eu raison de vous tanner parce que votre réponse est très utile.
Je ne sais pas si je répond dans l'ordre à ce que vous aviez dit, parce que je suis sur téléphone et ça n'est pas très facile de lire ce qui a été précédemment écrit.
Concernant la légitimité, je ne me suis jamais posé la question puisque c'est elle qui me l'a demandé. Comme c'est une femme intelligente et stable, j'imagine qu'elle sait ce qu'elle fait.
C' est drôle, je crois que dans toutes les interventions de doms sur ce topic, c'est chaque fois la soumise qui a demandé sa condition. Je me suis par contre posé la question "pourquoi moi ?"
Je partage avec vous le problème de différence d'âge..
J'avais mesuré la complexité d'établir un contrat sérieux et je me suis demandé s'il était utile d'en établir un. Finalement on ne l'a pas fait. Une soumission 24 heures / 24, 7 jours /7 est pour nous impossible, du fait de la présence de deux grandes ados. C'est une pratique que nous utilisons pendant les vacances quand elles passent quelque jours chez les grands parents.
Concernant notre fonctionnement, je suis beaucoup plus souple que vous mais elle ne fait pas de caprices, si elle en faisait, mon comportement serait sûrement différent..
Merci à vous.
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Bonjour Munartis.
C'était une réponse au premier message de cplds31 et je n'avais pas encore vu le message de Lady Spencer. Comme je ne maîtrisais pas encore les fonctionnalités du forum, ça s'est affiché comme une réponse globale.
Effectivement sa réponse a été très intéressante
Alors, finalement j'ai engagé le dialogue et c'est très constructif. Nous allons poursuivre dans cette voie.
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Bonjour Syvie35, cela concerne les doms, pour le questionnement certainement, mais je suis convaincu que les soumises, soumis sont forcément détenteurs d'éléments de réponse et que leurs interventions sont forcément utiles et, en ce qui me concerne, souhaitées.
Otez vous de la tête que vos interventions sont nulles. Tout ce que j'ai lu de vous est au contraire très utile et plein de sens.
Merci à vous.
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De la même manière, j'explore sans vraiment connaître ses limites (et pour moi, c'est le plus gros problème). Jusqu'ici, il semble que je ne les ai pas atteintes, puisqu'elle n'a pas fait usage de son password. Je suis tout à fait humble et dans le questionnement plus que dans la certitude... D'ailleurs aurais-je un jour des certitudes ?
Merci cplds31
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Merci Lady Spencer d'avoir initiée les réponses. Je suis vraiment désolé de vous avoir fait faux bond dans un moment où des réponses très intéressantes étaient données. Je manque en effet de temps en ce moment, mais je vais essayer d'être plus présent.
Alors sa demande de soumission a été presque immédiate. Pratiquement dès le début, elle souhaitait être exhibée, puis sa demande d'être soumise est venue.
Je dialogue beaucoup avec elle pour essayer de percevoir ses limites. En fait elle ne m'en a pas réellement donné, préfèrent laisser à un safeword la possibilité de les fixer dans une situation donnée. Je sais malgré tout ce qu'elle aime et ce qu'elle n'aime pas.
C'est la raison pour laquelle l'acceptable n'est pas fixé, jamais elle n'a défini de limites, même si j'en ai quelques idées.
Merci Lady de votre intervention.
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peu d'experience mais aimerai etre la chienne soumise d'un homme autoritaire vicieux .:.
Bonjour,
Voici quelque temps que je n'étais pas revenu, peu de temps en ce moment.
Je vous souhaite à toutes et à tous une très bonne année 2023 en bonne santé et emplie de plaisirs.
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