très beau récit , mélange savant de romantisme et de perversité , si je peux dire . on attend la suite de cette histoire , bonne continuation , au plaisir de vous lire
Isela Masturbation
Manon, en sous-vêtements devant sa penderie ouverte, se demande quelle tenue elle va choisir. Ce n'est qu'un dîner, seule avec ses parents, mais cette jolie brune veut se sentir belle pour fêter avec eux ses 18 ans. La majorité, ce n'est pas rien pour cette jeune fille très conventionnelle. Son éducation catholique, bien que Manon ne soit pas pratiquante, conjuguée à une grande timidité naturelle, ne l'a pas poussée hors des sentiers battus. Elle n'a même pas fait de crise d'adolescence, c'est tout dire !
Elle reste très perplexe pour choisir sa tenue. Elle ne se sent pas bien dans son corps qui est pourtant d'une belle finesse, avec des courbes harmonieuses et de longues jambes. La couleur noisette de ses yeux lui donne un regard coquin, qui ne correspond cependant pas à son comportement. Elle pourrait se comparer à ses mannequins qui font la couverture des journaux féminins si il n'y avait cette poitrine qu'elle trouve trop grosse. C'est assez incompréhensible car elle ne fait pourtant qu'un 85C, mais cela reste son complexe. Elle finit par choisir une petite robe d'été, très courte, qui met bien ses jambes en valeur, mais dont le haut est au ras du cou, devinez pourquoi !
Manon est heureuse de partager ce moment avec ses parents qui sont tout pour elle, fille unique. Elle est très proche de Nathalie, sa mère, qui se comporte souvent avec elle comme une grande sœur. Eric, son père, est de vingt ans plus âgé que Nathalie. Il vient juste de prendre sa retraite après une activité de chef comptable dans une grand entreprise. Manon, il y a peu de temps, avait osé interroger sa mère sur cette différence d'âge. Nathalie lui avait alors répondu :
« C'est simple, ma fille. A la quarantaine, un homme marié a souvent envie d'aller voir ailleurs pour en trouver une plus jeune. Alors, si tu choisis un vieux, tu évites le problème », ajoutant après une petite hésitation et sur le ton de la confidence :
« Et puis, ils sont en général ... euh ... plus agréables au lit que des jeunes fougueux mais peu expérimentés. Ces hommes murs sont parfois plus ... coquins. J'ai peut-être tort de généraliser, mais, pour ton père, c'est le cas. »
Manon avait rougi en entendant ça, mais elle avait bien enregistré.
Ce soir, elle est heureuse de partager ce dîner avec ses parents, car elle va bientôt s'installer dans un petit studio, à Rennes, près de l'université et aura moins l'occasion de les voir. Aller de Pleinmar, où ils habitent sur la côte bretonne, à Rennes, matin et soir, aurait été très fatigant pour elle. Ces parents lui ont donc loué un petit studio, qu'elle partagera avec une autre étudiante, leurs moyens étant limités. Manon souhaiterait devenir professeur de musique, elle qui a commencé avec beaucoup de plaisir à apprendre le violon.
Après le dîner et le gâteau d'anniversaire, c'est le moment des cadeaux. Manon découvre un magnifique violon et, heureuse, remercie ses parents en leur sautant au cou. Sa mère lui dit alors :
« Nous t'offrons cet instrument en commun, mais nous avons voulu aussi choisir chacun un petit cadeau personnel », lui tendant un paquet dans lequel Manon trouve un pupitre moderne qui permet un éclairage des partitions par batterie.
Manon embrasse de nouveau sa mère, alors que son père lui tend un autre paquet, en disant :
« Ce sera pour ton premier concert, ma chérie. »
Cette fois, il s'agit d'une robe longue, noire, probablement assez moulante, faite dans un tissu très fin. En la faisant tourner devant elle, Manon remarque une fente, qui lui paraît raisonnable, le long de la jambe, mais surtout un décolleté en pointe qui plonge presque jusqu'à la taille. Elle ne peut alors que laisser ses joues s'empourprer. Comment pourrait-elle porter un vêtement si indécent? Sa surprise passée, Manon vient de nouveau embrasser son père, ce qui la fait rougir une fois de plus, car le baiser ne s'est pas fait sur la joue, mais au coin des lèvres. Aurait-elle bougé sans s'en rendre compte ou serait-ce lui qui...? Manon n'a aucune certitude, alors qu'elle entend son père dire :
« Tu pourrais peut-être nous faire un essayage? »
Sa mère prend la suite en disant :
« Viens, ma chérie, je vas t'aider à la passer. »
Lorsqu'elle sont dans la chambre, Manon, qui vient de retirer sa robe d'été, questionne sa mère :
« Cette robe du soir est très belle, mais ... un peu trop ... »
« Oui, sexy », complète Nathalie.
« L'avais-tu vue avant? », questionne Manon, alors que sa mère répond négativement, rappelant qu'il s'agit d'un cadeau personnel, ajoutant en riant :
« Ma fille, les hommes sont tous des cochons ... même ton père. »
Manon voit évidemment qu'il est impossible de garder un soutien-gorge sous cette robe qu'elle enfile, le buste nu.
« Oh, on voit trop mes seins ... qui sont si moches ! », fait remarquer Manon.
« Pourquoi dis-tu ça? Ils sont magnifiques, ma chérie », rétorque sa mère.
« Ils sont trop gros et, tu vois, ils pendent même un peu », insiste Manon.
Cette remarque fait réagir Nathalie :
« Là, tu as tort, ma fille. Les mannequins dont la poitrine est toute petite sont là pour faire acheter des robes par les femmes. Les hommes n'ont pas tous envie de ces petits seins parfaitement ronds. Un peu de volume, avec une certaine mouvance, leur fait bien plus d'effet, crois-moi. »
Manon enfile la robe puis se regarde dans la glace, ce qui lui fait dire :
« De profil, on voit mes seins presque jusqu'aux pointes ! »
« Et bien, pour jouer du violon, tu te tiendras de face », répond sa mère en riant, ajoutant après un coup d'œil sur la tenue :
« Avec une robe si moulante, on voit trop la marque de ta culotte. Ça gâche tout ! »
Immédiatement Nathalie passe ses mains par la fente de la robe et lui retire le sous-vêtement incriminé.
Manon, choquée, n'ose cependant pas protester et elles reviennent dans le séjour.
Leur arrivée est saluée par un père qui suffoque presque à la vue de sa fille :
« Tu es magnifique, Manon ! »
Gênée, celle-ci s'active en positionnant son nouveau pupitre et en y plaçant une partition, avant de prendre son violon. Dès qu'elle joue, elle a l'impression de donner un premier concert privé dans cette tenue de soirée. Elle a oublié ses craintes, jusqu'au moment où son père se lève, s'approche d'elle, se plaçant de côté. Manon voit bien que le regard de son père plonge dans son décolleté et c'est la raison d'une première fausse note. Sa gêne s'est curieusement accompagnée d'une humidité nouvelle entre ses cuisses qui lui fait même, à son corps défendant, bouger un peu tout en jouant, se penchant légèrement pour laisser voir, de profil, un téton qui durcit instantanément. Son émoi provoque une série de fausses notes, qui lui font dire :
« Je n'y arrive pas. J'arrête. Merci à vous deux. Je vais me coucher. »
Manon embrasse ses parents avant de les quitter. Cette fois, le père comme la fille ont envie de refaire un baiser furtif juste au coin des lèvres, mais, comme chacun tourne un peu la tête pour y arriver, c'est un vrai baiser sur la bouche qui en résulte pendant une courte seconde.
Dans sa chambre, Manon enlève sa belle robe et, pour la première fois, se glisse nue sous les draps, décision qu'elle justifie par la chaleur de l'été. Sa main descend vers son pubis pour caresser un clitoris bien excité et faire glisser un doigt entre des lèvres vulvaires bien mouillées.
Manon n'a pas eu de relations sexuelles avec des garçons de son âge, qu'elle trouve complètement immatures. Elle voit en son père l'homme idéal, tout en sachant qu'il lui est inaccessible. Son éducation lui interdit même de telles pensées. Cela fait déjà longtemps qu'elle se caresse comme elle le fait ce soir. C'est le seul plaisir physique qu'elle s'autorise. A 18 ans, elle est, contrairement à nombre de ses copines, encore vierge, mais ce retard ne l'a pas gênée jusqu'ici.
Dans la chambre voisine, Eric et Nathalie se sont couchés, nus également, mais la chaleur n'en est pas la raison première. Ils sont tous deux très excités. Nathalie commence à sermonner son mari avec un petit sourire qui atténue bien ses reproches :
« Tu t'es bien rincé l'œil en regardant ta fille dans cette robe, mon cochon. Je suis certaine que, lorsque tu as acheté ce vêtement, ton choix n'a pas été innocent. Tu crois que je n'ai pas vu ton baiser sur la bouche de ta fille ! Tu n'as pas honte? »
Eric ne trouve rien pour se justifier devant sa femme qui, posant sa main sur le sexe de son mari, découvre qu'il bande comme jamais, aussi dit-elle :
« Mais, en plus, on dirait que ça t'excite vraiment ! Tu imagines des cochonneries avec ta propre fille. Tu es un gros pervers ! »
« Je ne suis pas le seul à trouver ça excitant, n'est-ce pas? », répond-il en plaçant sa main sur la chatte trempée de sa femme.
« C'est vrai », confirme Nathalie, « c'est même moi qui lui ai retiré sa petite culotte sous sa robe, alors que ce n'était pas vraiment indispensable. C'était pour toi, mon chéri. Ça nous excite tous les deux, mais il n'est pas question d'aller plus loin sur ce terrain dangereux. Si cela reste un fantasme, nous pouvons le partager. »
Lorsque son mari lui écarte largement les cuisses et lui fouille la chatte de sa langue, Nathalie s'écrie :
« Oh, papa, ça n'est pas bien ce que tu fais là. »
« Oui, mais je sens que tu aimes ça. Tu es déjà trempée, comme une vraie cochonne », répond-il.
De l'autre côté de la cloison, Manon ne peut comprendre ce que ses parents disent, mais elle entend très bien les soupirs et cris de plaisir de sa mère. Ce n'est pas la première qu'elle se caresse ainsi en les écoutant faire l'amour, mais, cette fois, elle se sent beaucoup plus excitée. Après les regards et le baiser de son père, elle imagine que c'est elle qui se fait caresser par Eric, son amoureux.
Quand Eric se place entre les jambes de sa femme et touche les lèvres de sa chatte avec son gland mouillé, Nathalie continue leur jeu pervers, disant :
« Là, oui ! Tu peux même me pénétrer un peu, sans aller trop loin. Je suis encore vierge. Tu ne voudrais pas déflorer ta fille, tout de même ! »
Avec un « han » rageur, Eric plante son sexe, d'un coup, tout au fond.
« Oh ! Cochon ! Tu l'as fait ! », crie presque Nathalie, « Tu m'a fait mal... mais... ça devient bon, maintenant... très bon même. Oui, continue, vas-y fort ! »
Eric se met à baratter le vagin de sa femme, qui l'accompagne en poussant son bassin vers lui, tout en hurlant presque :
« Oui, vas-y ! C'est trop bon ! Défonce-moi, défonce ta fille ! »
Manon, qui se fouille la chatte frénétiquement, a cru entendre le mot 'fille'. Parlent-ils d'elle en faisant l'amour? Cela lui paraît incroyable. Elle a sûrement mal entendu.
Eric a maintenant ralenti le coït, dans des mouvements plus lents mais plus profonds. A chaque fois que son gland touche le col de l'utérus, il s'y arrête un moment, pressant bien, avant de reprendre ses mouvements. Nathalie lui recommande alors la prudence, lui murmurant à l'oreille :
« Je n'ai pas de contraception et je suis au milieu de mon cycle. Il faut que tu te retires, tu le sais. »
En s'exprimant ainsi, Nathalie a fait tout le contraire, poussant son ventre en avant, frottant le col de son utérus sur le gland qui est resté bien planté au fond.
Tout à coup, elle sent une grosse giclée de sperme napper le fond de son vagin, alors que son mari hurle :
« Là, je jouis en toi, je t'inonde de mon sperme, salope ! Je t'engrosse, Manon ! »
Dans sa chambre, Manon a cru distinguer quelques mots comme 'sperme' et 'engrosse', sans être sûre qu'il s'agit bien de cela. Ce dont elle est certaine c'est qu'elle a entendu clairement son père crier son prénom, suivi d'un râle qui ne pouvait être que de jouissance. Comment mon père a-t-il pu m'associer à son orgasme, surtout en présence de ma mère? C'est ce qui l'intrigue et lui procure en même temps une excitation inconnue.
Dans l'autre chambre, Eric et Nathalie récupèrent dans un tendre câlin amoureux. Leurs échanges ne sont cette fois que murmures.
« C'était merveilleux. Ce fantasme nous a mené à des sommets, n'est-ce pas? », dit Nathalie, qui entend son mari répondre :
« Oui, il faudra recommencer bientôt. »
Nathalie trouve utile de préciser :
« S'il n'y avait pas eu ce préalable avec Manon, peut-être aurait-ce été moins bon. Qu'en penses-tu? »
« Oui, tu as raison », répond Eric, « si nous refaisons à peu près la même chose, ce sera moins excitant, c'est certain. Ne pourrions-nous pas envisager ... comment dire ... une certaine escalade? »
Nathalie ne peut que réagir vivement :
« Oh, cochon ! J'ai honte de me sentir excitée en t'entendant dire ça. »
Elle ajoute après un moment :
« Bon, nous verrons. En attendant, je vais lui proposer d'aller consulter pour se faire prescrire la pilule. Je ne voudrais pas qu'elle tombe enceinte si jeune, si elle rencontre un garçon de son âge ... ou ... quelqu'un d'autre. »
« Tu as encore raison », concède Eric, « mais cela rompt un peu le charme. »
« Tu es vraiment trop pervers ! », s'énerve Nathalie, ajoutant amoureusement :
« Mais c'est pour ça que je t'aime. »
Alors qu'ils s'endorment, heureux, Manon est si excitée qu'elle n'a pas trouvé le sommeil. Elle a été proche de la jouissance plusieurs fois en écoutant ses parents. Elle a même eu des mini-orgasmes, mais visiblement rien de comparable à ce qui a fait hurler de plaisir ses parents. Que lui a-t-il manqué? En y repensant, elle se dit que c'est probablement la pénétration par un sexe, gros et long de préférence, comme elle imagine celui de son père. Elle ne va pas se donner à un jeune qui lui gâchera certainement son plaisir. Son père lui conviendrait, mais c'est simplement impensable. Ce serait un tel péché ! Manon, si excitée, n'a pas envie d'attendre. C'est maintenant qu'il lui faut un sexe en elle. C'est le moment, elle le sent.
Comme elle a toujours pris plaisir avec ses seuls moyens, Manon pense que quelque chose qui ressemblerait à un sexe bien dur pourrait lui apporter ce plaisir qu'elle attend. Elle a dans sa trousse de toilette une grande brosse à cheveux qui pourrait convenir. Le manche est assez gros et long. Manon s'en empare et en frotte l'extrémité sur sa vulve, passant entre ses lèvres sans difficulté tant elles sont mouillées. D'une main, elle le fait pénétrer un peu dans son vagin, alors que, de l'autre, elle continue d'exciter son clitoris. C'est à son père qu'elle pense en faisant remuer la brosse, aussi dit-elle :
« Allez, papa, vas-y, plus loin, plus vite ! »
Ces mouvements se font plus profonds et plus rapides, aussi perd-elle le contrôle, perforant douloureusement son hymen. La douleur ne la fait pas ralentir car ses lectures lui ont appris que le plaisir venait vite ensuite. Manon atteint bientôt une forte jouissance qui lui était jusque là inconnue, alors qu'elle crie :
« Papa, tu m'as déflorée. Je t'aime. La prochaine fois tu jouira en moi ... pour ... m'engrosser. C'est ça que tu veux, n'est-ce pas? »
Heureusement son cri n'a pas été entendu par ses parents qui dorment profondément.
Depuis déjà deux mois, Manon s'est installée dans le studio de Rennes avec Clara, qui le partage avec elle. Les études se passent très bien, mais les soirées sont difficiles. Sa colocataire est une vraie nymphomane. Le premier soir, elle a déjà invité un étudiant qu'elle avait rencontré le jour même. Manon s'est sentie obligée de leur laisser le studio et est allée s'installer dans un café voisin, pour ne revenir qu'après la fermeture de l'établissement, et il lui a fallu cependant les interrompre dans leurs 'galipettes'. Cette soirée avait été difficile pour elle, car les clients du café s'étaient tous étonnés de voir une jeune fille comme elle, seule et restant des heures devant son verre. Elle avait été heureuse de voir que personne ne l'avait abordée, mais il n'était pas question qu'elle recommence. Il ne faut pas tenter le diable.
Le lendemain, c'est un autre garçon qui s'est présenté. Là, Manon préfère rester, se mettant au lit sous ses draps et tournée vers le mur pour paraître discrète, ce que les deux autres ne sont pas. Manon, les entendant de si près, a du mal à rester indifférente. Elle les accompagne en se touchant sous ses draps.
Les nuits se succèdent ainsi sans discontinuer, avec un nouveau partenaire de Clara chaque soir. Manon se demande comment sa cothurne fait pour tenir la distance. Il est vrai que, sur les bans de la faculté, Clara paraît le plus souvent dormir. Manon ne se sent pas beaucoup mieux, car un peu de sommeil lui manque chaque soir. Elle a appris à se faire du bien sans bruit, mais c'est extrêmement frustrant pour elle.
Manon ne comprend pas comment on peut passer d'un homme à l'autre comme le fait Clara. Elle aussi aurait besoin d'un sexe en elle, pour faire mieux que le manche de sa brosse, qu'elle n'a même pas pu utiliser ici. Elle se contenterait d'un seul homme, s'habituant à son sexe en elle, appréciant aussi sa compagnie, une présence aimante, attentive à elle, en fait rien qui serait comme ces jeunes crétins dont Clara raffole.
Manon se projette vraiment dans une vie future plus que classique, avec un mari et rien d'autre. Elle attendrait pour les enfants car elle se sent bien trop jeune, mais ce n'est qu'une question de temps. Pratiquement, il lui faudra cette contraception pour laquelle sa mère l'a encouragée. Trouver un amoureux, non, plutôt un mari, n'est pas si facile pour elle, puisqu'elle recherche un homme mûr, voire âgé ... en fait comme son père. Ici, elle ne rencontre que des garçons de son âge. Quelle misère !
Aussi a-t-elle commencé à visiter sur Internet des sites de rencontre, mais en tout bien tout honneur. Elle en a sélectionné un, y a mis un profil et une photo très banale, pas le moins du monde provocatrice. Pour l'instant, hormis quelques détraqués sexuels, il y a eu peu de réponse qui en vaillent la peine. Manon a donc mis ça sous silence pour quelque temps.
Il est vrai que les vacances de Noël approchent et Manon va apprécier de retrouver ses parents, sa chambre de jeune fille et tout l'environnement de son enfance.
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Bonjour je suis un homme dominateur bisexuel présent en Alsace. Je cherche des soumises et des esclaves de préférences féminin. Pouvez vous m'ajouter?
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Madame.S
Femme Dominatrice.
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Strasbourg, Alsace, France.
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Merci pour vos hommages Drekou. Je vous souhaite une bonne et belle vie de soumission.
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