Paulo vit à Nantes. Il est journaliste spécialisé en sports équestres et se déplace un peu partout en Europe et parfois un peu au-delà. Ses activités sont assez irrégulières et lui laissent du temps disponible qu'il utilise à rêvasser sur les terrasses de café en regardant passer les filles ou à écrire de petites nouvelles érotiques plus ou moins autobiographiques, et parfois très épicées.
Il aime les massages et nous raconte ici un de ses rendez vous récents avec une femme de caractère: Lady M.
Paulo se cabre mais apprécie l'assaut, qui loin de le faire souffrir, déclenche mille picotements agréables ainsi que des envies de pénétrations plus consistantes. Et c'est précisément le moment qu'elle choisit pour lui glisser quelques mots à l'oreille, lui proposant de venir, de temps à autre, l'assister dans le dressage des soumis(e)s qui me sont confié(e)s.
«Il faudra m'obéir au doigt et à l'oeil...» lui dit elle, « … et mener la manoeuvre comme je t'entends, de la façon et au tempo que j'aurai choisis» ajouta t'elle en précisant, «c'est moi et moi seule qui déciderai si leur jouissance est permise, car l'abstinence est également une voie que je veux enseigner».
Enfonçant soudain et sans préavis deux doigts supplémentaires d'un coup dans son anus, elle poursuivit:
- « De la même façon que pour les femmes, dont tu sais si bien provoquer la jouissance avec ta langue experte et douce, comme j'ai pu le tester personnellement, je souhaite que ta bouche sache accueillir tout sexe masculin couvert qui te sera désigné. Il te faudra apprendre tout d'abord, malgré la présence du latex, à éveiller, cajoler, caliner avec imagination le membre qui se présente. Et puis, si telle est la consigne, tu devras conduire le mâle jusqu'à la jouissance, puisant à la source, avec énergie et entrain, toute la semence disponible.»
- «Je veux aussi que tu apprennes à recevoir entre tes reins, avec déférence et recueillement, la visite de celles et ceux qui se présenteront à ta porte, pour tout rapport protégé. Assouplie et préparée par des exercices réguliers, ton cul devra s'ouvrir avec facilité et sans difficulté, pour accueillir même les plus gros calibres. Il te faudra alors accepter, mon cher Paulo, d'être honoré par certains de mes mâles en apprentissage, de façon probablement un peu brutale parfois.J'essaie bien sûr d'inculquer à ces sauvages un minimum d'éducation, mais leurs instincts primaires et bestiaux sont souvent difficiles à juguler et le cul délicieux que je sens là sous mes doigts pourrait bien en rendre fou plus d'un.»
- «Enfin, j'attends de toi, si l'ordre t'en est donné, que tu pénètres avec ardeur celle ou celui qui viendra s'offrir, spontanément ou sur commande. Le gode ceinture n'est pas un ustensile totalement inutile mais la présence d'un étalon comme toi, en bon état de marche, parfaitement obéissant et maitre de ses élans, est grandement préférable».
- «Il faut en effet que tu saches que j'adore jouer les maitres étalonniers présentant une vulve chaude et luisante au vit affamé du mâle, contenant d'abord sa fougue avec fermeté avant de l'autoriser à saillir vraiment. Et c'est bien entendu ma badine sur tes fesses qui donnera le ryhtme de la pénétration, amenant la montée progressive du plaisir, qu'il faudra cependant accepter de voir interrompue, juste avant le moment fatidique».
- «La frustration est en effet un autre élément fort de l'éducation que je dispense et, sauf exception notoire, les soumis(e)s ne sont pas autorisé(e)s à jouir ici. Ce privilège est réservé à celui ou celle dont ils portent le collier. Enfin, je te rappelle la condition impérative fixée par ta Maitresse que toute jouissance sexuelle t'est personnellement interdite. Consigne à laquelle j'ajoute que le plaisir que tu serais éventuellement amené à dispenser à mes soumis(e)s devra, au préalable, avoir reçu mon agrément.»
Solidement tenu en place par la main ferme de Lady M crochée dans son intimité, Paulo buvait du petit lait en entendant ces paroles, tant elles correspondaient aux consignes données par sa Maitresse et, il faut bien l'avouer, à certains de ses désirs secrets.
«Sur le ventre, mon ami» lui dit elle, interrompant brusquement sa rêverie, puis déclenchant aussitôt une série de claques bien appuyées sur ses fesses qui prirent rapidement une belle couleur cramoisie.
«Et à quatre pattes maintenant» ordonna t'elle en reprenant immédiatement possession de son anus. Paulo sentit alors distinctement l'un de ses doigts s'agiter en lui pour repérer la rondeur caractéristique de sa prostate et en entreprendre un massage délicat mais appuyé. Bientôt il ressentit la langueur caractéristique d'un milking qui s'amorce, sa queue perdant soudain de sa superbe, laissant place à une excitation tout à fait différente, intense mais plus diffuse et résonnant en lui jusqu'au tréfonds de ses testicules bagués.
Concentrée sur son ouvrage, et manifestement experte en la matière, Lady M poursuivit son massage très localisé tout en s'intéressant à nouveau de sa main libre aux tétons sensibles de Paulo. Elle regretta un moment de ne pas avoir de pinces à y accrocher mais leur réactivité la surprit agréablement et elle s'exclama bientôt: «bravo mon ami, te voilà qui commence à juter maintenant, il est grand temps de tout arrêter!», joignant le geste à la parole.
Assise sur les talons, elle compatit une demi seconde en voyant la mine déconfite de Paulo, puis éclata de rire et dit:
«Eh oui cher ami, j'applique les consignes de ta Maitresse à la lettre, tu le sais bien!» «D'ailleurs à ce propos...» reprit elle «...je te rappelle que lors de ta prochaine visite il te faudra te présenter à moi revêtu de ta tenue d'esclave oriental. Je suis en effet, comme ta Maitresse, offusquée du traitement actuellement réservé aux femmes dans un nombre croissant de pays.»
«Alors ici, je peux t'assurer que nous veillerons à ce que les hommes demeurent à leur place, attentifs, respectueux et disponibles à nos demandes. Sous ton sarouel, tu seras donc nu, tes seins, ton sexe bagué et ton cul accessibles à tout moment. Ton collier de soumis et tes bracelets de cuir en place te rappeleront en permanence ta condition. Je n'exclue pas l'usage d'une laisse pour te mener comme je l'entends, étant entendu que toute initiative te sera interdite sans mon consentement.»
Et sans laisser le temps à Paulo de s'exprimer, elle ajouta «à très bientôt donc mon ami, pour la suite d'un dressage qui semble cependant beaucoup te plaire, je crois! » en déposant, mutine, un baiser chaste et léger sur le téton le plus proche, avant de se lever et de quitter la pièce.
Paulo tenta bien de la retenir en lui proposant quelques caresses douces et tendres. Mais elle le remit vertement à sa place, lui rappelant de la pièce voisine qu'un bon soumis n'est pas autorisé à réclamer ou proposer quoi que ce soit. En ajoutant, que si d'aventure, elle avait un jour de nouveau personnellement envie de ses services, elle saurait bien trouver le moyen de le lui faire savoir.
A suivre...
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Paulo vit à Nantes. Il est journaliste spécialisé en sports équestres et se déplace un peu partout en Europe et parfois un peu au-delà. Ses activités sont assez irrégulières et lui laissent du temps disponible qu'il utilise à rêvasser sur les terrasses de café en regardant passser les filles ou à écrire de petites nouvelles érotiques plus ou moins autobiographiques, et parfois très épicées.
Ses personnages principaux sont féminins la plupart du temps avec des personnalités volontaires et fortes, souvent portées sur la domination, voire le BDSM, ce qui semble manifestement le ravir. Il aime les massages et nous raconte ici un de ses rendez vous récents avec une femme au caractère bien trempé: Lady M.
La belle était en forme, gaie et joyeuse, malgré le petit retard avec lequel Paulo se présenta devant elle. Elle ne lui en tint pas rigueur et il prit d'un pas alerte la direction de la douche, sentant des yeux attentifs fixés sur son collier de soumis.
Paulo aime ces douches qui précédent un massage, chassant les mauvaises sueurs, la fatigue du jour et éveillant aussi le corps qui soupçonne déjà les attentions dont il va faire l'objet. Pas vraiment d'érection triomphale en se présentant de nouveau devant elle, totalement nu et ne portant que les attributs de sa soumission imposés par sa Maitresse, collier de cuir noir et lourd bijou intime en argent massif entre les jambes, mais le début d'un frémissement que Lady M remarqua immédiatement d'un petit sourire entendu.
Faisant mine de rien, il s'allongea confortablement sur le ventre, lui demandant des nouvelles de sa famille et d'elle même, pendant qu'elle préparait ses lotions et retirait ses vêtements. Paulo aime les massages naturistes et c'est d'abord cela qu'il vient chercher chez Lady M, même si leurs rendez vous se terminent souvent, à la demande de Jana, sa Maitresse, par quelques incursions mesurées en direction des relations de domination.
Celle-ci considère en effet que le dressage de Paulo n'est pas encore abouti et entend profiter de toutes les occasions pour approfondir son éducation et affirmer sa totale emprise sur sa sexualité. Elle s'est d'ailleurs mis en tête récemment de lui apprendre à satisfaire aussi les hommes.
Mais pour l'instant, l'heure est au calme et à la sérénité. Lady M s'est posée à genoux près de lui sur le lit et ils devisent paisiblement comme de vieux amis prenant un verre à la terrasse d'un café, aucunement gênés par leurs nudités respectives. Puis un silence complice s'installe et Paulo se prépare à écouter ses mains expertes, elle-même se concentrant de son côté et décidant sur l'instant - elle le dira plus tard - du déroulement du massage, en fonction de son inspiration du moment.
Au premier contact de l'huile chaude coulant entre ses omoplates, guidé par un doigt léger et espiègle, puisqu'il descendra parfois jusqu'entre les fesses, Paulo est toute ouie, attentif et totalement réceptif. Lady M est une vraie masseuse qui a longuement pratiqué au Canada et aux Antilles. Elle sait comment toucher, dénouer, libérer les tensions, installer la douceur et la quiétude, laisser filtrer aussi une sensualité certaine, mais légère, élégante, joyeuse et ludique, sans vulgarité aucune, même si ses doigts ne détestent pas venir de temps à autre bousculer les bijoux de famille de ses visiteurs.
Le cou, les épaules, le haut du corps sont les objets premiers de ses attentions qui descendent parfois jusqu'à la pointe des deux pieds, distribuant là encore, détente et douceur. Ils échangent parfois un mot ou deux, mais l'un et l'autre veillent à privilégier le langage du corps.
Et puis belle surprise! Lady M vient d'enjamber Paulo et c'est maintenant son ventre musclée et sa poitrine lourde qu'il sent glisser, tout huilés, au long de mon dos. Elle ne s'épargne pas, vient et revient avec délicatesse et générosité, déclenchant bientôt chez l'homme un mouvement involontaire des fesses qui viennent maintenant à sa rencontre. Le contact est chaud, léger, sensuel certes, mais étonnamment naturel et sans tension érotique particulière. Paulo y prend tellement gout qu'elle devra lui répéter à trois reprises qu'il faut maintenant se mettre sur le dos.
Le sexe éveillé qu'elle découvre à l'occasion de ce demi tour lui fait manifestement plaisir et elle en sourit en silence. Masseuse toujours, elle poursuit son ouvrage en s'occupant de l'abdomen, de la poitrine, des bras, évitant tout contact, même impromptu, avec le sexe dressé. Par contre, elle ne prend pas les mêmes précautions avec les tétons de Paulo qu'elle effleure et frôle à plusieurs occasions, provoquant alors une superbe réaction, qui la fait rire de bon coeur.
Ses mains poursuivent leur ballet mais Paulo a senti que la panthère vient de lever le sourcil, apercevant la chair fraiche abandonnée là devant elle, fragile et offerte. Ses ongles d'ailleurs n'hésitent plus à marquer la peau, ses doigts pincent volontiers la pointe tendre d'un sein, déclenchant mille étincelles agréables au creux de ses reins. Et l'un de ses doigts huilé vient de se poster en embuscade entre ses fesses, prêt à investir la place.
Paulo le sent, désire et appelle cette intrusion qui, pourtant, ne viendra pas. Lady M sait manifestement conduire la manœuvre. Son sourire vanille s'est un peu figé et c'est maintenant un visage fermé, décidé et volontaire que Paulo découvre. Il sent que cette femme de tête aime avoir les hommes à sa main et que l'intensité de ses exigences va progressivement croitre.
Elle ne s'est pas encore vraiment occupé de son sexe mais vient d'empoigner ses testicules bagués. Elle joue un instant avec le petit anneau qui pend librement entre ses jambes puis soudain, enfonce son doigt à l'affut dans les profondeurs de son cul, tout en utilisant l'anneau pour le tenir en place. Paulo se cabre mais apprécie l'assault, qui loin de le faire souffrir, déclenche mille picotements agréables ainsi que des envies de pénétrations plus consistantes.
Et c'est précisément le moment qu'elle choisit pour lui glisser quelques mots à l'oreille.
A suivre…
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Inconditionnel des massages et ayant eu l'occasion de vivre en Espagne une expérience en la matière au goût prononcé de soumission consentie, Paulo roule maintenant vers une adresse inconnue, située au coeur du Pays Nantais.
Vaillante dans les côtes, intrépide lors de la traversée de la profonde forêt du Gâvre, la petite Fiat 500 avale les kms et approche de sa destination. Sur le siège du passager se trouve un petit sac noir contenant une longue laisse de chanvre et aussi quelques autres petits accessoires utiles. A son cou, à peine dissimulé par le col de ma chemise, Paulo porte son collier de soumis en cuir noir, solide, confortable et orné d'un bel anneau de bronze.
Comment est-elle cette masseuse aux mains d'or vers qui l'envoie Jana ? Il se surprend à l'imaginer grande, à forte poitrine, avec des battoirs de masseurs turcs. Et puis il se dit qu'au contraire, elle a peut-être des points communs avec sa masseuse espagnole à l'oeil noir et aux seins minuscules. Sa Maitresse s'est bien gardée de lui donner le moindre indice. Il sait seulement qu'elle a le goût des corps et aime masser hommes et femmes, sans distinction. Il a cru comprendre aussi que la domination ne lui est pas étrangère.
Les consignes que Paulo doit transmettre sont simples et claires: liberté totale de conduire le massage à sa guise en ayant à l'esprit que tétons, testicules et anus sont régulièrement souvent à des jeux qui peuvent être sévères et qu'il convient donc de les manipuler avec toute la vigueur nécessaire, tout en assurant détente et assouplissements.
Et Jana avait aussi ajouté, en saisissant sa bite de façon autoritaire:
- il s'agit d'un massage, mon ami, donc pas question de réclamer une quelconque «finition». Je t'impose une abstinence complète et j'entends bien qu'elle soit respectée.
Puis elle l'avait repoussé d'une tape bien placée, alors que son sexe commençait à exprimer une raideur prometteuse.
Les derniers kilomètres dans la campagne bretonne furent un véritable enchantement: symphonie de verts tendres dans les bois traversés, rivières gorgées d'eau par la pluie des derniers jours, scintillant maintenant sous un soleil printanier retrouvé.
Un bruit de verrou et la lourde porte verte s'ouvre sur un visage avenant et souriant. Vêtue d'une élégante robe orientale de soie rouge boutonnée jusqu'au cou, Pandora s'écarte pour laisser entrer son visiteur. La pièce baigne dans une agréable pénombre agrémentée de quelques bougies à la lumière douce où flotte aussi la lenteur apaisante d'une musique zen.
Au fond, près de la fenêtre au volet clos, se trouve une grande table de massage. Y déposant le petit sac noir préparé par sa Maitresse, il s'assied sur le siège que lui désigne son hôte. Quelques échanges de politesse, la découverte amusante de quelques ami(e)s commun(e)s, un jus de fruit frais pour oublier la longueur du trajet, puis Pandora lui montre où déposer ses vêtements.
Mis en confiance par cet accueil paisible et serein, Paulo ne fut pas long à se retrouver totalement nu devant sa masseuse. Celle-ci sourit en découvrant le bijou qu'il porte au sexe mais ne dit mot et se tourne vers la table de massage qui l'attend. S'allongeant sur le ventre comme elle le lui demanda, il se détendit, ferma les yeux, tout attentif à la suite des événements.
Réchauffant l'huile entre ses mains, Pandora regarder l'homme étendu là. Un corps plutôt massif lesté de quelques kilos de trop, sans grâce particulière mis à part de belles épaules musclées, il dégage cependant une sérénité tranquille, un calme qui lui semble à toute épreuve.
La découverte d'un nouveau client est toujours un moment important et fort pour elle. Saura t'il la respecter, la considérer comme une femme qui aime les hommes et sait parler à leur corps, mais qui n'est ni à prendre ni à importuner seulement à découvrir et écouter.
Saura t'elle trouver la bonne distance, déceler les tensions, procurer détente et bien être sans pour autant éveiller concupiscence et folle excitation. La limite est ténue, elle le sait et s'en amuse aussi, car elle peut aussi être directive et cassante, dominatrice et autoritaire. Le fouet qui dort dans la pièce voisine, et qu'elle manie avec dextérité pour le plus grand bonheur de son esclave personnel, pourrait éventuellement servir, si nécessaire. Mais cet homme là parait doux, sociable et obéissant aussi lui semble t'il.
Qu'attend t'il exactement d'elle, jusqu'où est il prêt à aller dans l'abandon dont elle devine l'envie à sa pose alanguie devant elle. Posant ses mains chaudes sur ses chevilles, lui écartant doucement les jambes, elle remonte ensuite avec lenteur jusqu'à les poser sur ses fesses.
- avez vous des consignes particulières à me transmettre ? lui chuchote t'elle à l'oreille.
Et Paulo de lui indiquer les instructions reçues en omettant, acte manqué probablement, d'évoquer la question des «finitions».
- combien de doigts lui demande Pandora le plus naturellement du monde?
- trois s'entend répondre Paulo en se redressant, avant de rougir de confusion
- très bien, nous ferons en sorte que vous puissiez en accueillir bientôt quatre sans difficulté répondit elle.
- et côté tétons, j'ai vu qu'ils étaient déjà fort développés chez vous?
- oui… et ma Maitresse souhaite qu'ils puissent grossir encore et atteindre la taille d'une framboise répondit Paulo.
- mon cher ami, il faudra à l'avenir veiller à me transmettre la totalité des consignes qui vont été données et pas seulement celles qui vous conviennent dit elle en crochant sa fesse tendre de ses ongles acérés.
- j'ajoute que vous êtes ici chez une masseuse qui prend un grand soin des corps qui lui sont confiés, les préparant à leurs activités futures suivant les indications données. Mais chez moi, ne comptez pas bénéficier d'un quelconque service sexuel ni d'aucune «finition» ou autre gâterie de ce genre, que ce soit bien clair!.
Un peu penaud, Paulo se retint de dire que c'était justement pour cela que sa Maitresse l'avait choisie et reposa la tête sur la table de massage. La pièce retrouva son silence et le calme, uniquement troublés par le son sophistiqué d'une cithare indienne au rythme hypnotique et envoûtant.
A SUIVRE…
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Les voyages forment la jeunesse et c'est maintenant près des contreforts de la Sierra Nevada espagnole que se situe l'intrigue vécue par notre Paulo préféré. Pour fêter les 20 ans de leur rencontre, il a choisi d'emmener là la Maitresse de ses jours et de ses nuits et de lui faire découvrir les raffinements de la culture arabo-andalouse.
La nuit est tombée maintenant sur l'Alhambra et nous hâtons le pas. Les ruelles d'Albaicín, le vieux quartier arabe de Grenade, sont très pentues et le pavé est vraiment dur sous le pied, mais nous avançons sans faiblir car nous sommes attendus. Plus de 700 ans d'occupation arabe ont donné à l'Andalousie le goût des hammams et c'est vers l'un d'eux, récemment remis en état, que nous nous dirigeons.
Ma Maitresse n'est pas familière des mains qui s'invitent, vous parcourent, vous envahissent et vous bousculent aussi parfois, car je la traite avec infiniment d'égards. Moi, j'adore la rudesse dont savent parfois faire preuve les femmes et c'est avec une petite chaleur qui monte entre mes jambes que j'essaie de ne pas nous égarer dans ce dédale charmant de petites ruelles désertes et silencieuses.
La lourde porte cloutée en arc outrepassé (en forme de fer à cheval) est maintenant devant nous et il faudra une forte poussée pour l'ouvrir sur un patio intérieur où nous attend une jolie brune aux chevaux de jais. Elégante dans sa tenue noire, mais d'une amabilité distante, elle nous désigne la porte derrière laquelle nous allons nous déshabiller, les femmes d'un côté, les hommes de l'autre. Elle nous donne aussi une fouta (serviette en coton) que nous devrons utiliser pour nous asseoir durant notre séjour ici.
La douche est bien chaude et c'est également un plaisir de voir l'eau courir en petites rigoles vives sur le tadelakt d'une belle couleur brune dont sont couverts les murs. J'aurai beaucoup aimé pouvoir vivre totalement nu cette immersion dans l'univers des bains maures mais il n'en est pas question ici, aujourd'hui. Comme hier d'ailleurs, où on ne plaisantait pas du tout avec la pudeur et les règles de bienséance en vigueur. Pourtant, je perçois cette ambiance chaude, humide et capiteuse comme très sensuelle et propice à vivre nu de beaux moments de liberté.
Accueillis par un homme aux pectoraux puissants qui déclencha une petit lueur d'intérêt dans les yeux verts de ma Maitresse, nous voilà tout de suite dirigés vers les tables de massage. Le hammam et les bains seront pour tout à l'heure, il s'agit d'abord d'être propre et net.
Ma masseuse est grande et fine avec une poitrine toute menue haut placée sous sa blouse et un regard qui tout de suite me frappa. Noir, profond, perçant, il dégageait une autorité naturelle, presque un peu inquiétante. Le premier contact de ses mains sur mon corps me le confirmera, j'avais affaire à une femme autoritaire qui allait prendre totalement possession de mon corps pendant près d'une heure. D'abord un peu surpris du traitement un peu rude qu'elle m'inflige, je décidais finalement de me laisser faire et d'écouter la petite musique intérieure que ses mains vigoureuses déclenchaient chez moi.
Le gommage au savon noir n'épargnera pas la peau sensible de mon entrejambe et son poignet vif chahuta à plusieurs reprises mes gros testicules bagués, soulignés de façon flatteuse par mon maillot de bain serré. Le gant kessa fera quant à lui quelques allers retour vigoureux sur mes tétons sensibles, déclenchant immédiatement une érection difficile à cacher. J'aurai juste le temps d'entrevoir un léger sourire sur son visage avant qu'une main aux ongles longs et tranchants passe là de façon fort opportune pour calmer illico mes ardeurs.
Lorsqu'un peu plus tard, je racontai cela à ma Maitresse dans le confort ouaté et délicieux du grand bassin d'eau tiède bordé de fines colonnades ouvragées, celle-ci aura la curieuse réaction de me dire qu'elle avait eu bien raison de me traiter ainsi. Et d'ajouter qu'elle chercherait à trouver près de chez nous un endroit où je puisse subir là aussi un massage spécialement adapté à ma condition de soumis à la sexualité contrôlée.
La nuit d'amour qui suivit fut d'ailleurs assez symbolique de ce point de vue et il me fallut lui procurer maintes douceurs et de multiples plaisirs avant d'être enfin autorisé à connaître moi-même la jouissance.
En rentrant, notre recherche s'avéra finalement moins difficile qu'imaginé et le hasard de la rencontre d'une amie, elle aussi adepte de massages sensuels, nous permis de trouver une adresse de qualité située en pays nantais.
A SUIVRE…
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Les heures qui suivirent furent actives dans la cuisine, les petites douceurs préparées, salées pour la plupart, trouvant progressivement place sur deux grands plateaux marocains prêts à être servis. M'encourageant de ses conseils avisés de cuisinière expérimentée, France se permit cependant quelques petites privautés, notamment celle de glisser à deux reprises une main entreprenante sous mon petit tablier.
A son air faussement courroucé, je compris qu'elle appréciait beaucoup de sentir ainsi près d'elle un homme dont le désir ne faiblissait pas et n'attendait que son signal pour s'exprimer davantage. Plus jeune, Albert avait certainement dû jouer ce rôle auprès d'elle. Et peut-être l'avait il même besognée tout de go sur la table de la cuisine au milieu des carottes et des salades.
Avec les invités
Je ne fus cependant pas sollicité à aller jusque là, et bien nous en prit car la sonnette de la porte d'entrée nous aurait alors brutalement arraché de nos délicieuses réjouissances. Me désignant les verres et les bouteilles à préparer, France partit accueillir elle-même ses visiteurs du soir et les installer confortablement dans les fauteuils près de la cheminée.
Trop loin pour saisir le sens de la conversation, je fus cependant frappé de n'entendre que des voix féminines s'exprimer. Serait-ce une caractéristique propre à ce pays breton de n'être peuplé que de maîtresses femmes régnant sur des hommes falots et effacés! Le tintement insistant de la clochette de table mit fin à mes réflexions et je compris qu'il était maintenant temps pour moi d'entrer en scène.
Après avoir vérifié rapidement le bon ordre de ma tenue, je pris l'un des deux grands plateaux marocains et ouvris avec une lenteur calculée la porte du salon. Avançant de façon décontractée vers les visiteurs, je les saluais d'un regard courtois et avenant. La conversation cessa un instant et je sentis des regards curieux se poser sur moi et sur ma tenue.
Imperturbable, je fis les aller-retour nécessaires pour disposer sur la table basse tout ce que nous avions préparé. Puis je vins de poster debout un peu en retrait du fauteuil où se tenait France, attendant la suite de ses consignes. Cette petite pause me permit de regarder avec attention les nouveaux venus.
Elle, la soixantaine sportive, cheveux gris coupés court, un visage agréable avec une petit fosette sous le menton, un regard franc et direct. Pas frileuse manifestement la dame, avec ses jambes de sportive nues, une courte jupe de cuir bordeaux et un chemisier assorti tout léger. Entrouvert, il laissait deviner une poitrine tout petit format.
Lui, de taille moyenne, plutôt costaud mais sans ventre kronenbourg, une calvitie naissante et quelque chose d'un peu timide et hésitant dans l'attitude. Un soumis me dis-je immédiatement et c'est elle qui doit mener la danse.
La conversation avait repris et évoquait le triste sort de la femme du notaire qui venait de perdre son mari. Un sort finalement pas si triste que cela, quand furent évoquées les rentes qu'il avait constituées et qui allaient maintenant revenir en intégralité à cette veuve éplorée. J'appris également que la femme de ménage avec qui il la trompait depuis de longues années venait d'être brutalement licenciée.
- elle va avoir les moyens de s'offrir tous les gigolos dont elle aura envie, commenta France.
- c'est sûr!, renchérit la visiteuse, en me regardant droit dans les yeux
- vous tombez bien, mon cher Paulo, approchez et servez donc mes amis !, dit France en me regardant à son tour.
Avec déférence, je m'enquis de ce que souhaitait celle dont le regard ne me lâchait maintenant plus. Un peu gêné d'être ainsi inspecté des pieds à la tête, je réussis néanmoins à la servir sans produire de catastrophe majeure, ainsi que l'homme qui l'accompagnait, resté totalement silencieux jusqu'à présent.
A la façon très sensuelle dont elle porta à ses lèvres au vieux Porto dont j'avais empli son verre, je sus tout de suite que cette femme de tête devait de plus aimer les jeux du lit, et peut-être aussi ceux de la cravache et du fouet. J'en eu d'ailleurs la confirmation immédiate lorsqu'elle leva la main pour me signifier de m'approcher d'elle.
- obéissez donc, Paulo, mon amie Laure à qui j'ai dit les véritables raisons de votre présence ici souhaite vous voir d'un peu plus près, dit la voie soudain très enjouée de France.
Je pris soudain conscience de l'intense jubilation des deux femmes à disposer ainsi d'un homme soumis, docile et obéissant. Et je sentis qu'elles avaient bien l'intention de profiter toutes les deux de la situation, sous le regard attentif et consentant de leurs hommes présents. Résolu à vivre jusqu'au bout cette expérience inédite, et il faut bien l'avouer plutôt excitante, j'avançais et me postais face à elle, regard baissé et jambes légèrement écartées.
Un court instant silencieuse, elle se leva soudain et vint se placer derrière moi. Ses mains me saisirent aux épaules, en palpèrent la musculature puis glissèrent plus bas. Elle sentit au passage mes tétons dressés. Une lueur amusée dans les yeux, elle revint s'attarder sur eux et en agacer les pointes. Mais elle avait manifestement une destination précise en tête et ses mains reprirent vite leur migration plus bas vers mon entrejambe.
Manifestement renseignée par son amie, elle n'eut pas besoin de soulever ma tunique pour repérer immédiatement les lieux et se saisir de mes gousses entravées.
- hum, quelle excellente idée que voilà, dit elle en regardant en direction de son mari, voilà un mâle fort bien pourvu et que l'on a très bien en mains grace à ce bel anneau !
- mais on dirait là un esse, symbole celtique bien connu du couple! Et là, entre les pattes de ce beau cheval lancé au galop, je vois un autre symbole encore.
M'attirant plus près d'elle pour mieux voir, je sentis son souffle chaud sur mon intimité, immobilisée par une main ferme.
- ne serait ce pas la roue du temps! demanda t'elle.
J'en suis resté comme deux ronds de pfan. Celle que je prenais pour une commerçante un peu bling bling ou une employée de banque BCBG a de toute évidence une solide culture bretonne et a reconnu au premier coup d'oeil ou presque les principaux symboles figurant sur le bijou d'argent massif que je porte entre les jambes.
Mon regard admiratif dut lui suffire comme réponse car elle enchaina immédiatement en disant:
- et comment est-il dressé ce mâle de passage, demanda t'elle en s'adressant cette fois à France, sait-il s'occuper comme il faut d'une dame qui aime qu'on lui obéisse ?
- je n'en sais encore rien, car il vient tout juste d'arriver, répondit notre hôte, mais essaie le donc un peu, si tu en as envie!
Une large sourire illumina le visage de Laure qui se rassit près de la cheminée en relevant sa jupe et en ouvrant largement les jambes sur un sexe magnifique, nu comme au premier jour, soigneusement épilé et débarassé aussi de toute culotte encombrante (et inutile).
- venez donc ici, mon ami, m'honorer de la douceur de votre langue!
Agenouillé entre ses jambes je pris beaucoup de plaisir à parcourir les vallées secrètes qui se trouvaient devant moi. Débarrassé de tout poil, son sexe était une pure merveille, un véritable bijou, une fleur délicate à la couleur framboise dont les replis soyeux révélèrent tout de suite la présence d'un clitoris étonnament développé. Pas fou, et malgré une envie certaine, j'évitais soigneusement tout contact direct et m'employais à promener ma langue au gré de ma fantaisie tout autour de ce bel appendice, sans trop m'en approcher.
Je la sentais totalement réceptive à mon exploration et de plus en plus impatiente d'éprouver davantage de plaisir encore. Ses mains sur ma tête se firent bientôt plus directives mais je parvins à entretenir encore un peu la frustration… jusqu'à ce que France, qui avait suivi avec attention mon petit manège, siffle la fin de la récréation.
- vous voyez, ma chère Laure, ce Paulo semble savoir y faire et je suis sûre que votre mari pourra tout à l'heure à la maison, prendre la suite avec succès.
Un peu décontenancée par une situation qu'elle n'avait pas prévue, Laure se reprit vite :
- effectivement, ce petit apéritif fut délicieux et il me tarde, mon chéri, que nous passions à table, j'ai très très faim! répliqua t'elle en regardant le dit mari, un peu tétanisé par le déroulement de cette visite amicale pas tout à fait habituelle.
Merveilleuse France
Pour éviter de facher davantage France, dont l'agacement ne m'avait pas échappé, je regagnais prudemment la cuisine et y entrepris un grand nettoyage. Lorsque celle-ci y revint, après avoir accompagné ses amis à leur voiture, elle ne put s'empêcher d'émettre un sifflement admiratif devant des plans de travail totalement dégagés, un évier rutilant, une machine à laver la vaisselle à l'ouvrage. Même le sol avait reçu un coup de serpillière efficace. Venant alors se blottir contre moi, elle me lacha dans un souffle qu'elle avait maintenant très très envie d'être l'unique objet de mes attentions.
Ravi d'apprendre cette excellente nouvelle, je lui pris les lèvres avec une infinie douceur tout en me plaquant contre elle et lui faisant sentir que ma virilité n'était pas du tout indifférente à ses rondeurs charnues. Sur le chemin de la chambre située à l'étage, nul trace du mari qui était peut-être parti lui aussi, en même temps que ses amis. Heureusement d'ailleurs car je n'étais pas vraiment partant pour une nouvelle saillie masculine, ce sont d'abord et avant tout la gente féminine que j'aime servir.
Ni laisse ni cravache pour ce premier contact intime avec une femme manifestement en manque d'activité sexuelle. C'était le regard attentif d'un homme, soucieux d'abord de ses attentes, dont elle avait besoin. Et je pris donc le parti d'oublier complètement la recherche de mon propre plaisir pour me consacrer, avec douceur et patience, à la montée du sien. Un peu plus tard, je fus bientôt magnifiquement récompensé de mon abnégation par un délicieux:
- Ah enfin, il y a si longtemps que j'attendais un tel bonheur! Merci infiniment Monsieur Paulo.
Au petit matin, alors que le jour n'était pas encore établi et que je dormais encore entravé par les chevilles au pied du lit, je sentis bouger la laisse fixée entre mes jambes. Une main écarta la couverture qui me couvrait et une bouche gourmande entreprit avec vigueur d'éveiller mon désir. L'instant d'après, et sans même avoir pris le temps de me détacher, France s'empalait avec facilité sur mon sexe dressé, affublé précipitamment d'un préservatif rose.
Manifestement affamée et ayant décidé de mener elle même les opérations, elle plaqua d'une main ma tête sur l'oreiller et commença un lent va et vient sensuel et langoureux mais qui ensuite s'accéléra rapidement. Son plaisir vint très vite et heureusement d'ailleurs, car j'aurai été bien incapable de me maitriser encore longtemps. Sachant qu'il est pour moi hors de question de trahir l'engagement pris auprès de ma maitresse. Je ne suis autorisé à jouir qu'en sa présence et encore, uniquement après qu'elle l'ait réclamé.
Sans un mot, elle se releva et quitta la pièce me laissant un peu interloqué par cette étreinte rapide et animale. Ceci dit, j'avoue avoir ressenti, un peu à retardement, une vraie satisfaction à avoir été ainsi utilisé par cette femme comme instrument de son plaisir à me servir de mon savoir faire pour éveiller et écouter son chant d'amour. Des pas se firent bientôt entendre dans l'escalier et France réapparut avec un grand sourire, déposant près de moi un petit plateau sur lequel était disposée une tasse de café et un croissant chaud.
Ce fut un merveilleux petit déjeuner, tout en douceur et en simplicité. Assise sur le sol près de moi, s'amusa un instant à taquiner gentiment le sexe encore tout gaillard qui l'avait fait jouir. Elle déposa aussi quelques petits baisers doux sur mes tétons sensibles avant de me libérer de mes entraves et de prendre à regret le chemin de la salle de bain.
Un peu plus tard, et après moultes embrassades chaleureuses et détendues, je repris la route de Nantes sur le coup de 9h, le coffre garni de deux choux rouges, quelques endives et de quoi faire une bonne soupe de légumes avec pommes de terre, carottes et poireaux. Au moment de démarrer, je ne pus résister à l'envie de regarder d'éventuels signes de vie du côté de chez la voisine. Mais rien, aucune trace visible de la somptueuse poitrine entraperçue la veille. Une apparition, à considérer donc dans ma mémoire sensorielle, comme la vision fugitive d'un splendide et magnifique paradis perdu.
FIN
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Erreur fatale, faute caractérisée, désobéissance manifeste, la gynarchie, même vécue de façon temporaire, ne tolère aucun laissez aller. France réagit immédiatement en me stoppant net dans mon élan:
-tout doux mon bel ami, c'est moi qui donne les consignes et je vous précise qu'il est hors de question que l'un de vous deux puisse avoir son plaisir avant que j'en ai décidé !.
L'effet de ces paroles nous fit l'effet immédiat d'une douche froide. Nos corps se séparérent et j'entendis le claquement sec d'un mousqueton se refermant sur l'anneau de mon sexe. La laisse se tendit, m'obligeant à suivre France à l'extérieur, en direction du jardin.
Au jardin
La silhouette entrevue tout à l'heure n'est plus là. Et c'est bientôt avec une bêche dans les mains que débute ma journée de travail, la laisse négligemment passée autour du cou. Le projet de terrasse est bien avancé, mais il reste encore à décaper quelques centimètres supplémentaires. Voilà qui devrait me calmer les sangs et me replacer dans la situation d'ouvrier agricole/esclave sexuel qui doit rester la mienne tout au long de ce séjour breton.
Travailler physiquement sous ce petit soleil d'hiver n'est pas déplaisant du tout. Je sens mes couilles lourdement lestées par le métal se balancer entre mes jambes au gré de mes mouvements et c'est fort agréable. Mon cul, assoupli par ses visites récentes, apprécie lui aussi la chaleur du soleil.
Concentré sur ma tache, j'entends néanmoins un bruit furtif, puis sens à quelques mètres de moi une présence (presque) silencieuse. Me gardant bien de réagir, je poursuis ma tache, prenant toutefois soin de me baisser un peu plus, histoire de rendre mon entrejambe un peu plus visible à celui (ou celle) qui m'observe.
Tournant lentement sur moi même et me penchant encore davantage pour creuser le sol, j'offre maintenant le spectacle d'un cul soyeux, luisant,et disponible à toutes sortes de visites ainsi qu'une belle paire de couilles allongées par le poids du gros anneau qui les enserre.
- Très beau spectacle que voilà! dit soudain la voix grave d'Albert, le mari de France.
- Viens donc par ici mon mignon ajouta t'il en se saisissant de la laisse pour m'entraîner vers le fond du jardin.
Tout en marchant, il déboucle son ceinturon, ouvre sa braguette et en extirpe un membre petit et court, mais tout rouge et turgescent. Manifestement mes fesses lui plaisent et le désir d'y plonger sans tarder se lit sur son visage. La capote est en place en un instant et grâce à la laisse, il n'éprouve aucune difficulté à m'attirer à lui. Cherchant sa voie de façon un peu maladroite, il finit par trouver l'ouverture et placer là son petit bout de zan tout dur.
Sans façon, ni préparation supplémentaire, il me pénètre soudain d'une seule poussée, sans provoquer heureusement de dommages grâce aux doigts de France ayant préparé la place. Tout va ensuite très vite, quelques aller-retours frénétiques à une cadence presque aussi rapide que celle des lapins, une soudaine crispation de sa main sur l'un de mes tétons et je sens son jus gicler en moi, en deux petites saccades étriquées.
J'ai à peine eu le temps de commencer à chauffer que déjà ses miaulements essoufflés signalent qu'il vient de prendre son plaisir et va maintenant se retirer.
-Merci, c'était bon, je reviendrai certainement te voir avant mon départ ! , lache t'il en s'éloignant.
Un peu frustré que tout soit déjà terminé, je m'ébroue, réajuste ma tenue et reprends sans mot dire mes activités agricoles, tout en laissant mon esprit vagabonder librement. Même si l'argent peut certainement être une forme de consolation, ce ne doit pas être vraiment drôle de vivre de ses passes à longueur d'années et de se sentir ainsi utiliser, sans façon ni considération, par des mâles en rut, uniquement préoccupés par la recherche égoïste de leur plaisir.
Ce petit intermède eut toutefois l'avantage d'éveiller mes sens et je me sens maintenant en pleine forme, intéressé et disponible pour d'autres petites folies encore.
Du côté de la maison, tout est silencieux, France probablement occupée à l'étage à faire sa toilette. Et de l'autre côté de la cloture, nul mouvement perceptible pour le moment, si ce n'est un gros chat noir installé au soleil et passant obstinément sa patte derrière son oreille. Mauvais signe pour le reste du week-end, me dis je en voyant la scène.
- Non pas de souci, il va faire beau pendant les trois jours à venir, claironne soudain une voix féminine enjouée.
Agée d'une quarantaine d'années la voisine apparait à travers la haie, transportant un panier chargé de bois pour le poêle. D'un gabarit imposant, elle déplace cependant son chargement, ainsi que ses rondeurs, son large fessier et son opulente poitrine, avec une étonnante facilité.
- Très bonne nouvelle, car je suis loin d'avoir terminé tout ce que j'ai à faire, lui répondis je.
- Oui, j'ai vu que vous étiez très actif au jardin… et très polyvalent aussiajouta t'elle, avec un brin malice dans la voix.
L'énorme fard qui me monta instantanément aux joues empêcha toute réponse cohérente. Pas de doute, la présence que j'avais senti derrière la haie, c'était donc elle. Très certainement témoin de mon petit intermède avec Albert, elle m'a vu accepter de bonne grâce sa saillie, bassin bien cambré et fesses ouvertes, comme une jeune pouliche menée à l'étalon. Peut-être a-t-elle même aussi entendu les grognements de satisfaction du mari de France lorsqu'il m'a craché sa semence.
Sur sa lancée et sans me laisser le temps de me ressaisir, elle poursuit en demandant si je suis là encore pour quelques jours.
- Vous pourriez venir prendre l'apéritif à la maison, ce soir ou bien demain, ajoute t'elle l'oeil tout à coup étrangement brillant.
- Pourquoi pas, mais il faut que je questionne France sur ce qu'elle a prévu. Je suis à son service et c'est elle qui décide de mon emploi du temps, répondis je.
- C'est amusant cette situation, réplique t'elle en ajoutant, et quel genre de service devez vous lui rendre?
Sentant la situation évoluer dangereusement vers des questions trop précises, je saisis le prétexte de la porte du jardin qui claquait bruyamment pour aller la fermer en lui criant que je passerai lui donner réponse dès que possible. Puis, attrapant ma pioche, je repris mon travail de terrassier, tout en essayant d'imaginer la suite possible des événements.
Même interdit de jouissance, l'idée d'en voir un peu plus de l'énorme poitrine de la voisine n'était pas pour me déplaire. J'ai toujours aimé les rondeurs féminines très généreuses et adoré leur adresser mille caresses. Et de son côté, peut-être aura t'elle envie de jeter un œil sur mon entrejambe, voire d'y poser des lèvres gourmandes.
La réponse de France coupa court à mes secrètes élucubrations et elle déclara tout de go, clair et net, qu'il était hors de question de frayer avec cette voisine mal élevée et sans gêne dont elle entendait parfois la voix puissante traverser le mur mitoyen et hurler à son mari les pires insultes, où il était souvent question de mollesse récurrente et d'impuissance maladive. Tout penaud, je vins donc presser la sonnette de la voisine pour lui signifier mon regret de ne pouvoir répondre à son invitation.
Ayant probablement pressenti la réponse, elle griffonna un numéro de téléphone sur un petit papier qu'elle me tendit avec un grand sourire. En me raccompagnant à la porte d'entrée, elle me glissa au creux de l'oreille que sa maison m'était ouverte et qu'elle aurait grand plaisir à m'y accueillir pour un séjour de travail d'un jour ou deux. Un peu perturbé par cette proposition vraiment très directe, à subir certainement quelques délicieux outrages, je revins dans la cuisine, un peu songeur, solliciter les consignes de France pour la suite de la journée.
Outre le menu à préparer pour le repas du soir, elle me rappela le passage d'un couple d'amis habitant le village pour l'heure de l'apéritif. Ouvrant ensuite la grande armoire contenant le linge de maison, elle en sortit un tablier de garçon de café. Me poussant devant la psyché du salon après avoir ôté ma laisse, elle hocha la tête avec satisfaction, manifestement contente de voir ainsi élégamment exprimée ma fonction de majordome, affecté à la réception de ses invités.
A SUIVRE...
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Paulo vit à Nantes. Il est journaliste spécialisé en sports équestres et se déplace un peu partout en Europe et parfois un peu au-delà. Ses activités sont assez irrégulières et lui laissent pas mal de temps disponible qu'il utilise à rêvasser sur les terrasses de café ou à écrire, quand il est inspiré, de petites nouvelles érotiques plus ou moins autobiographiques, et parfois très épicées.
Ses personnages principaux sont féminins la plupart du temps avec des personnalités volontaires et fortes, souvent portées sur la domination, voire le BDSM, ce qui semble manifestement le ravir. La Bretagne, avec son histoire ancienne celte émaillée de multiples contes et légendes plus ou moins fantastiques, est souvent présente dans ses récits, créant une ambiance et un climat particuliers, mélange subtil de rudesse et de sensualité assumées.
______
La tempête récente a lessivé le ciel et sur la campagne, la lumière est d'une pureté cristalline. Paulo, au volant de sa petite Fiat 500 verte, s'enfonce peu à peu dans les profondeurs de la Bretagne, traversant hameaux isolés et villages immobiles. Nous sommes vendredi et les habitants semblent avoir tous déserté les rues pour courir vers des rendez vous secrets.
Lui aussi a rendez vous ! Et c'est là-bas, dans ce petit groupe de maisons isolé qui se détache sur le haut de la lande. Autour, des champs puis des bois en grand nombre, parfois adossés à une ferme. La dame qu'il va rejoindre à l'heure du café est agée, près de 70 ans, et divorcée depuis de longues années.
Vague connaissance de Jana, sa Maitresse, elle a sollicité les conseils de celle-ci pour trouver un homme pouvant l'aider à divers travaux de bricolage et de jardinage. Dans la conversation, elle a laché que si l'homme lui plaisait, elle aurait aussi plaisir à jouer un peu avec lui, ses longues années de célibat forcé l'ayant privé des ardeurs d'un mâle disponible en permanence à la maison.
Premiers contacts
L'affaire fut conclue en échange de quelques beaux légumes tout frais récoltés, et je quittais donc Nantes missionné pour servir la dame de toutes les façons possibles, durant une journée et une nuit entières, avec comme seule consigne le respect impératif de l'abstinence sexuelle imposée par ma maitresse Jana et la condition de tout lui raconter au retour.
Ayant probablement entendu la voiture ralentir au dernier virage, France est sur le pas de la porte pour m'accueillir, en compagnie d'un homme. Remarquant mon air surpris, elle me le présente comme son ex mari, de passage pour l'après midi. Et elle annonce aussi la visite d'un couple d'amis pour l'heure de l'apéritif.
Furtivement, et avant de pousser le portail, je remarque une autre présence masculine, silencieuse et discrète, de l'autre côté de la haie séparative avec le voisin. Me voici donc repéré !
France est petite, un peu gironde avec une peau blanche de rousse. Malgré son age, elle est encore très vive dans ses déplacements et ses injonctions aussi. Manifestement, elle aime commander, régenter son monde. Cela se voit et s'entend. Son ex mari semble plus réservé, grand et sec, le regard un peu fuyant. Je décide de rien changer à ce qui a été convenu avec ma Maitresse et entre donc dans la maison, tenant à la main un sac de tissu noir que je pose sur la table, couverte de la traditionnelle toile cirée bretonne. Et là, j'attends, immobile et déjà obéissant, les consignes de la maîtresse de maison.
Le sourire aux lèvres, elle s'approche et commence par m'inspecter de la tête aux pieds. Ma tenue de paysan médiéval semble lui plaire, tout comme mon attitude humble, tête baissée et jambes légèrement écartées. Son mari se tient en retrait, silencieux mais manifestement très attentif à la scène.
Plongeant la main dans le petit sac noir, elle en sort un collier de cuir, un de ceux que portent tous les chiens des environs et qui servent à les tenir attachés à l'entrée des cours de ferme tout au long du jour. Je surprend le regard intéressé et amusé de l'homme qui s'approche lui aussi de la table. Se saisissant du collier, il en éprouve la souplesse, glisse un doigt dans l'anneau où s'accroche la laisse, puis le donne à sa femme avec un hochement de tête affirmatif.
Je n'en mène pas vraiment large durant cet échange silencieux qui voit ce vieux couple pourtant séparé décider en silence des entraves que je vais devoir porter durant mon séjour ici. La grosse laisse de coton torsadé noir est maintenant étalée devant moi, tout comme les deux bracelets de chevilles que j'ai fourrés dans mon sac avant le départ.
C'est manifestement elle qui décide. S'approchant de moi, elle met en place d'une main experte le collier puis les bracelets. A tel point que j'ai soudain le sentiment qu'elle n'en est pas à son coup d'essai et qu'ils ont peut-être déjà reçu ensemble avant lui d'autres soumis comme moi, venus pour assurer son service. Lui se contente de vérifier la solidité des attaches, du collier autour du cou, des bracelets aux chevilles.
J'ai soudain l'impression qu'une de ses mains vient furtivement de me frôler mes fesses, mais je n'ai pas le temps d'identifier s'il s'agit d'un geste volontaire ou non. France, qui n'a manifestement pas les yeux dans sa poche, intervient de suite et intime à son mari l'ordre d'aller chercher du bois dans la remise pour recharger le feu qui s'épuise dans la cheminée.
Elle profitera d'ailleurs de son absence pour glisser elle aussi une main entre mes jambes et vérifier si le gros anneau dont lui a parlé ma Maîtresse est bien en place. Une légère traction sur celui-ci me confirmera, si besoin était, qu'elle a fort bien compris l'usage de cet accessoire destiné à contenir mes ardeurs sexuelles, si nécessaire.
Des bruits de pas venant du dehors rappellent la corvée de bois en cours et je s'empresse d'ouvrir la porte pour faciliter la livraison d'une petite montagne de bûches. Il s'agit manifestement là du seul mode de chauffage de la maison et les abords de la cheminée vont probablement être le lieu d'une bonne partie de nos jeux de domination à venir.
Pour l'instant, l'heure n'est pas à la bagatelle et il faut débarrasser la table des restes de leur repas et attaquer la vaisselle dans la petit cuisine attenante. Par la fenêtre qui donne sur le jardin, je surprends à nouveau la silhouette masculine de tout à l'heure. Décidément, mes hôtes semblent bel et bien être épiés par leur voisin.
Peu familier des habitudes de rangement de la maison, je pose quelques questions auxquelles France répond avec gentillesse et précision. Un climat de douce coopération s'installe progressivement dans la cuisine et je commence aussi à sentir de temps à autre sa main se poser sur mon bras ou sa poitrine frôler agréablement mon dos lorsqu'elle passe derrière moi.
Elle n'a probablement jamais eu un physique à se faire pâmer une garnison mais je lui trouve des formes encore très avenantes, notamment de belles fesses rebondies, et une poitrine certes menue mais dirigeant toujours ses hauts sommets fièrement vers le plafond. Son visage est rieur avec de petites étincelles dans les yeux et j'aime la rousseur de sa tignasse contrastant avec la blancheur laiteuse de sa peau.
La vaisselle se termine et je m'approche de la machine à café. Prenant le prétexte de m'indiquer où se trouve le café, elle vient plaquer la chaleur de son corps contre mon dos. Ses bras m'enserrent et je sens, cette fois très distinctement, ses mains venir se poser sur mes tétons. C'est sûr, ma Maitresse a dû lui signaler ma petite particularité car bientôt ceux-ci roulent sans ménagement sous ses doigts, déclenchant illico une monumentale érection ! Poussant les fesses contre son bassin, je lui exprime toute ma réceptivité à ses caresses en ondulant à la cadence de ses doigts.
« eh bien, comme vous y allez » dit l'homme en entrant dans la pièce. « pourquoi ne pas m'avoir attendu pour faire plus ample connaissance ? ». Nullement impressionnée par la remarque de son ex mari, France poursuit son petit jeu sous ma chemise en pinçant maintenant avec davantage de vigueur encore mes pointes sensibles et maintenant toutes dures. Ne pouvant résister plus longtemps à cette délicieuse torture, je pose le boite de café et me laisse complètement emporter par ses mains expertes.
Avec malice, elle nous fait alors doucement pivoter ensemble, me positionnant béat et abandonné, juste en face à son mari. Celui-ci apprécie manifestement l'offrande qui lui est faite et n'hésite pas longtemps sur la conduite à tenir. Sa main file vers mon entrejambe et se saisit avec autorité de l'anneau qui s'y trouve. Je n'ai alors d'autre choix que de suivre le mouvement et me voici bientôt littéralement pris entre leurs deux corps qui m'assaillent.
Je dois avouer que cette situation me plait et m'excite. Je sens contre mon ventre un sexe tendu et dur tandis que roule contre mes fesses la houle douce d'une femme qui me berce, tout en pétrissant mes seins avec vigueur. Pas pour longtemps d'ailleurs, car deux doigts décidés viennent de changer d'activité et se glissent dans mon pantalon.
Cherchant un instant leur chemin, ils finissent par le trouver et, sans plus attendre, me pénètrent l'anus, heureusement préparé par le massage récent d'une amie. Ces doigts sont féminins car l'un de mes tétons se sent maintenant abandonné. Fugace impression qui ne dure pas car une bouche gourmande à la barbe piquante vient de le happer. Mordillé, aspiré, têté avec ardeur, le pauvre petit m'envoie de furieux messages d'excitation dans tout le corps.
Mon bassin se cambre encore davantage et c'est maintenant 3 puis 4 doigts qui me pénètrent. Si cela continue, c'est bientôt la main toute entière de France qui m'aura envahi. Ravi de tout cela, j'entreprends de défaire le ceinturon qui me meurtrit le ventre et de libérer le sexe tout dur de l'homme que je sens contre moi.
A SUIVRE...
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Au milieu de la nuit je sentis ses doigts agripper mon collier de soumis et m'attirer entre ses jambes ouvertes. Elle était déjà trempée et il ne fallut que quelques minutes à ma langue douce et adroite pour l'amener au plaisir. Toujours sans un mot, elle mena ensuite ma bouche vers ses seins lourds, aux pointes durcies par un désir toujours présent.
Son bassin ondulait langoureusement sous moi et je ne fus pas surpris lorsque sa main vint saisir le petit anneau du bijou intime que je porte entre les jambes, de façon définitive maintenant. Je connais bien le sens de ce signal qui m'autorise à m'approcher d'elle pour la prendre et la conduire de nouveau au plaisir.
En position du missionnaire pour une fois, elle m'attira contre elle puis m'indiqua clairement le rythme de la pénétration qu'elle souhaitait. Son sexe était merveilleusement doux et chaud et je m'enfonçais en elle avec délice, respectant par ailleurs scrupuleusement ses consignes. Son orgasme vint très vite, accompagné d'un cri puissant qui m'étonna, car ce n'était pas son habitude. Peut-être était ce l'effet du demi sommeil dans lequel elle se trouvait encore ou bien du rêve érotique à l'origine de son excitation nocturne!
Nous voici donc arrivés au moment délicat. Va-t'elle me repousser en réclamant maintenant chaleur, douceur et calins avant de s'endormir dans mes bras comme un bébé? Et laisser ainsi durer encore l'abstinence forcée à laquelle elle me soumet, sans concession aucune, depuis plusieurs semaines.
Ou bien, va t'elle, comme je le souhaite ardemment, réclamer une nouvelle saillie, plus forte, plus vive, plus intense, celle qui me mènera aussi à ce plaisir dont j'ai faim? J'attends sa décision, sa consigne, son ordre, profondément enfoncé en elle, le sexe dressé tout frémissant et excité, mais encore sous contrôle.
Elle ouvre les yeux et me sourit. Le silence de la nuit est total et nos corps sont immobiles. Cette attente est paradoxalement délicieuse et je sens qu'elle la prolonge à plaisir, avec une certaine perversité même, qui, je dois le reconnaître, me ravit secrètement.
- hum, c'était vraiment délicieux! , dit elle en ajoutant
- tu commences à être très bien dressé maintenant, abstinence et frustration te réussissent vraiment !.
Ses mains montent le long de mes hanches, flattent mes flancs, s'approchent de ma poitrine où mes tétons excités et tendus me font presque mal. Elle commence par les effleurer doucement, délicatement, comme pour les endormir, et me chuchote à l'oreille:
- stop, tu n'as plus le droit de bouger !.
Toujours en elle, je m'immobilise totalement, malgré des doigts qui deviennent très entreprenants, agaçant de leurs ongles mes pointes délicates et sensibles. Résister à la houle qui monte dans mes reins est de plus en plus difficile, mais vaillamment je résiste encore.
Et puis soudain, elle saisit brutalement mes tétons, en fait rouler les pointes avec vigueur et pousse son bassin vers moi. Le message est clair, elle me veut en elle, tout entier, puissant, affamé et prêt à l'entraîner de nouveau vers les rivages du plaisir.
Malgré la folle excitation qui me gagne, je prends l'initiative de la faire attendre, de ne pas me précipiter dans sa porte grande ouverte. Je ralentis le rythme de la pénétration, sortant même parfois de son sexe pour la reprendre ensuite plus profond encore, mais avec beaucoup de lenteur. Un instant étonnée, elle sourit, ronronne d'aise et accepte sans mot dire ce petit privilège du mâle qui, même soumis, a toujours la liberté de ne pas être toujours complètement obéissant.
Mais bientôt il ne m'est plus possible de résister à sa féminité généreuse et accueillante. Je perds pied, lâche complètement les freins et laisse la cadence monter en moi, inexorablement. Elle halète, son souffle s'accélère, son corps se tend. Et puis je sens distinctement son sexe enserrer le mien de quelques pulsations puissantes.
C'est alors précisément le moment qu'elle choisit pour réclamer son dû. Elle veut ma semence, elle réclame que je la remplisse d'une crème chaude, épaisse et abondante. Pour cela, elle sait qu'il lui suffit de s'occuper un court instant encore de mes tétons dressés. L'effet fut immédiat et je sentis mon jus jaillir avec force de mes couilles baguées et l'inonder au plus profond.
Longtemps encore, je suis resté en elle le coeur battant la chamade, avec des étoiles dans les yeux. Puis elle se dégagea doucement, se tourna sur le côté et se rendormit presque instantanément en disant:
- bonne nuit mon chéri, demain je commence à te traire !
Je fus nettement plus long qu'elle à m'endormir car cette petite phrase n'en finissait pas de tourner dans ma tête. Je savais qu'une de ses amies lui avait parlé de cette façon très particulière de priver de son plaisir. Mais je ne me sentais pas concerné, erreur fatale !
A SUIVRE ...
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Hier soir, en rentrant du travail, Jana vint, toute caline, se frotter contre moi et me dit qu’elle avait envie d’aller prendre un pot en ville. Je lui répondis que le soleil était encore haut et que c’était une très bonne idée mais que je souhaitais auparavant changer de pantalon car un peu trop serré à l’entrejambe.
Elle sourit, soupesa mon encombrant paquet de couilles alourdi par le lourd anneau d’argent qu'elle me fait porter depuis plusieurs années maintenant, et dit que non, c’était parfait ainsi. Elle releva ma jambe de pantalon pour vérifier que les bracelets de cuir qu’elle m’avait ordonné de mettre le matin étaient en place et décréta qu’on pouvait partir. J’aurai du me méfier.
D’une humeur décidément très enjouée, ma Maitresse utilisa chaque occasion, la traversée d’un passage clouté, un passage sur un trottoir un peu étroit, pour laisser une main furtive frôler mes tétons sensibles ou me toucher les fesses. S’ajoutant à la délicieuse sensation de sentir mes couilles alourdies danser entre mes jambes, ces petits gestes affectueux déclenchèrent une superbe érection qui eut du mal à trouver de quoi s’exprimer dans mon pantalon serré.
Un peu mal à l’aise de cette situation et inquiet de la voir atteindre bientôt le haut de la Tour Bretagne, je fus cependant vite rassuré. Aucune lueur grivoise dans le regard des passantes que nous croisions, personne ne semblait remarquer mon trouble, mis à part un jeune minet. Jana surpris son regard et me mit immédiatement la main aux fesses, ce qui doucha illico l’émoi du jeune garçon.
Arrivés au café du Pilori (le bien nommé), nous eûmes la chance de trouver une table, une seule, encore disponible en terrasse. Autour de nous quelques habitués que je saluais de la tête, pas mal de touristes aussi, et puis un couple qui retint mon attention.
Elle devait avoir une quarantaine d’années, un visage agréable, des cheveux noirs de jai, coiffés au carré. Ses yeux verts, un peu éblouis par la lumière forte du soleil, étaient vifs et s’intéressaient à tout ce qui se passait à proximité. Je ne distinguais pas vraiment son corps ni ses jambes, masqués par les tables voisines, mais se dégageait d’elle une élégance naturelle, décidée et volontaire.
La personne qui l’accompagnait était plus jeune, toute fine et semblait intimidée. Son regard fixait obstinément son Perrier citron, aucun son ne sortait de ses lèvres et son tenue très classique d’employé de banque lui donnait une silhouette stricte, jambes serrées, reins légèrement cambrés, ses cheveux blonds tenus par une barette. Sous la veste, elle portait un chemisier léger qui laissait deviner une poitrine menue, dont je ne parvenais pas à voir si elle était libre ou non de tout soutien gorge.
Ma Maitresse ne semblait pas les avoir remarquées et s’était lancée dans une conversation qui s’éternisait un peu avec Julien, le jeune serveur du café. Lorsqu’elle eut enfin fini, elle se déplaça et vint s’asseoir à côté de moi face au soleil, posant la tête contre mon épaule. Sa main se glissa discrètement sous ma chemise et repris son petit jeu avec mes petits tétons vite redevenus tout durs.
De nouveau gêné par une érection quasi immédiate, je m’agitais un peu sur mon siège, cherchant à une position plus confortable. Et soudain, je sentis se poser sur moi le regard perçant de la belle brune. Elle semblait beaucoup s’amuser de ce qu’elle voyait et j’eus le sentiment qu’elle appréciait de voir ainsi sous ses yeux un mâle devenir le jouet d’une femme.
Jana semblait ne s’apercevoir de rien, mais lorsqu’elle se pencha pour soulever ma jambe de pantalon, juste assez pour que la brune puisse entrevoir mon bracelet de cuir et son gros anneau, je sus qu’elle avait tout deviné.
La réaction de notre voisine fut surprenante. Elle se tourna vers la jeune fille silencieuse et lui murmura quelques mots à l’oreille. Sursautant comme si elle avait reçu une décharge électrique, celle-ci marqua un temps d’hésitation pour desserra un peu les jambes. Manifestement cela parut très insuffisant à celle qui l’accompagnait qui posa alors carrément sa main sur son genou et lui ouvrit les jambes en grand. Les doigts de Jana se crispèrent brusquement sur un de mes tétons et je ne pus retenir un mouvement vif du bassin vers l’avant.
La brune sourit et glissa elle aussi discrètement une main sous le chemisier vers l'un des seins de la jeune blonde. Ses jambes tentèrent un instant de se refermer mais la main de fer qui s’était saisi d’un de ses tendres tétons la rappela à ses obligations de soumise. Et elle s’abandonna, allant jusqu’à lâcher son verre maintenant vide pour laisser filer une de ses mains sous la table.
Le manège des deux dominas avec leur partenaire dura quelques courtes minutes, puis elles décidèrent d’un commun accord, sans qu’un seul mot ait été prononcé, que s’en était assez. La belle brune se leva, alla payer au bar, puis se perdit dans la foule, suivie à deux pas derrière par la jeune blonde revenue à son mutisme.
Au retour à la maison, ma Maitresse me dit d’un ton sec qu’elle exigeait maintenant de moi un meilleur contrôle de mes pulsions et que cela commençait tout de suite par une sérieuse période d’abstinence, jusqu'à nouvel ordre.
Elle s’assit sur le canapé, ouvrit les jambes et m’appela près d’elle.
FIN
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A ces mots, un éclair sadique traversa fugitivement les yeux de la veuve. Et L de se dire que la jeune vierge innocente qu'elle avait été en se mariant n'a pas forcément eu la vie heureuse avec son notaire de mari. Et instinctivement, il sent qu'elle en éprouve encore un vif ressentiment vis à vis des hommes.
Confirmation immédiate avec la laisse qui soudain lui emporte le cou et le plaque tout entier contre l'opulente poitrine d'Agathe. Le tenant ainsi fermement, elle palpe sans ménagement son entrejambe, histoire de vérifier si son charme légendaire opère toujours.
Les gigolos qu'elle fréquente habituellement, avec le carnet de chèque de feu son mari, savent anticiper. L, lui, est un instant pris au dépourvu et ne déploie pour l'instant qu'une très modeste érection.
Heureusement Madame veille au grain et lâche d'une voix détachée. «Agathe, attrapez le par les seins et vous en ferez ce que vous voudrez». Une prédiction qui s'avère parfaitement exacte et provoque immédiatement une érection remarquable qu'Agathe attribue illico à son charme torride.
«Me permettrez vous, Madame, d'aller voir de plus près la petite chose un peu dure que je sens làsous ma main ?» demande t'elle.
«Bien sûr, très chère, mais rappelez vous ce que je vous ai dit tout à l'heure à l'oreille, je ne veux aucun débordement intempestif.»
La suite pourrait choquer même des âmes particulièrement averties, tant la faim sexuelle d'Agathe était impressionnante. Elle se permit sur L toutes sortes de privautés devant, et surtout derrière, avec une rudesse laissant à penser qu'elle avait elle même était fort rudoyée de ce côté là.
Et puis, un peu calmée par ces investigations, elle vint s'asseoir près de Madame et ouvrit largement ses cuisses généreuses pour écouter la langue du soumis lui conter une histoire agréable au creux du ventre. Très vite, le plaisir la transperça une fois, puis une seconde fois... et une fois encore.
Refermant les jambes, et pour éviter d'avoir à demander encore, elle se leva, salua Madame d'un large sourire et disparut dans la nuit qui avait maintenant envahi le bois de pins, la plage et la mer.
Enfin seuls
Un peu secoué par l'érotisme primaire de la veuve du notaire, L vient s'agenouiller au pied de Madame, posant sa tête sur ses genoux. Celle-ci passa son doigt dans l'anneau de son collier et le berca doucement.
Massant délicatement les tétons meurtris par les mains brutales d'Agathe, elle se préoccupa aussi de l'état de son fondement. Trois doigts d'un coup sans quasiment de préparation, ce fut (presque) un viol!
Certes, son soumis savait à quoi s'attendre lorsqu'il reçut l'ordre de retirer son pantalon. Mais le spectacle de ses couilles, baguées par des anneaux, a littéralement décuplé les ardeurs de la veuve.
Engloutissant jusqu'à la garde le membre dressé, celle-ci a pris beaucoup de plaisir à faire danser dans le même temps ses testicules déjà bien allongés par le poids du métal porté depuis quelques semaines seulement.
L sut cependant résister vaillamment à l'envie de se laisser aller et de gicler insolemment sur ce visage rougi et déformé par l'excitation. De même lorsqu'elle exhiba ses seins énormes, il se pencha respectueusement pour les têter comme elle le souhaitait.
Mais là, dans le silence et la douce sensualité qui émanent des caresses de sa Maîtresse, il sent monter un puissant désir. Poussant progressivement la tête entre les jambes de Madame, il force celles-ci à s'ouvrir et bientôt une délicieuse odeur de femme vient lui taquiner les narines.
Encore quelques centimètres et il aurait pu, sans l'obstacle de cette maudite culotte totalement inutile, promener sa langue sur la dentelle délicate du sexe de Madame.
Il sait celle-ci friande de cette caresse qui en annonçe d'autres, plus vigoureuses et déterminées. Et lui de savourer se sentir ainsi utile et dévoué à cette femme dont il apprécie la sensualité spontanée, naturelle, gourmande et sans faux semblants.
Une main ferme l'arrêta cependant dans sa progression et il comprit en levant les yeux vers elle, que Madame avait une autre idée en tête. Elle se leva et se dirigea vers le grand pin qui dominait la clairière où ils se trouvaient.
«Viens là tout de suite, et prends moi. Vous m'avez beaucoup excitée avec vos petits jeux de domination. Mais moi maintenant, je veux un sexe d'homme bien vigoureux qui m'envahisse et me donne du plaisir» dit elle en s'adossant à l'arbre et en soulevant sa jupe jusque haut sur ses cuisses.
FIN
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«Ambre, ohooo Ambre!!!» entend t'elle soudain dans son dos. Et de voir se mettre à presser le pas pour les rattraper, une de ses connaissances bretonnes, veuve du regretté notaire de son village.
Cette rencontre la dérange, et elle lit le même sentiment dans les yeux de son soumis, mais ne lui déplait pas complètement. Elle a parfois perçu un certain sentiment de supériorité dans le comportement de celle qui approche et qui porte manteau de fourrure en hiver et collier de perles toute l'année. Voici peut-être une belle occasion est de remettre aujourd'hui les choses à leur place.
«Bonjour Agathe, vous voilà bien loin de chez vous, que venez vous donc chercher ici?» demande t'elle tout à trac, un brin de malice dans la voix.
Les joues brutalement rougies d'un fard monstrueux témoignant que la question a fait mouche, la veuve du notaire reste sans voix pendant un court moment. Avant de s'inventer une vieille cousine en fin de vie, à visiter d'urgence au Couedic.
«Moi, j'aime cet endroit» lui répond Madame, en ajoutant «… on y sent l'odeur du large, la puissance de la nature et on y fait aussi de belles rencontres masculines».
Second fard d'envergure chez Agathe, qui regarde maintenant l'homme resté silencieux avec un intérêt nouveau. Elle remarque immédiatement le collier qu'il porte au cou et cela semble d'un seul coup l'intéresser énormément.
Ainsi donc cette petite Madame un peu sauvage et réservée, au rire franc et communicatif, serait elle finalement plus délurée et entreprenante qu'elle ne le montre. Se serait elle totalement trompé sur son compte en la rangeant dans la catégorie des célibataires indécrottables et frustrées!
Madame jubile et lit à livre ouvert tous les sentiments qui se succèdent sur le visage d'Agathe. Et elle décide de pousser cruellement son avantage et dit en la tutoyant: «Je te présente L, l'un de mes plus fidèles soumis. Il est très obéissant et commence enfin à savoir me donner du plaisir comme j'aime ».
Troisième fard d'affilée chez la veuve, totalement désarçonnée par cette franchise imprévue et insolente. Et d'encaisser dans la foulée l'estocade finale, lorsque Madame la prend par le bras et lui propose de les accompagner jusqu'à l'extrémité de la plage maintenant toute proche. «Pourquoi pas!» murmure une petite voix brisée, ayant dorénavant perdu toute suffisance mal placée.
Plongeant alors la main dans la seconde poche du blouson de Laurenzo, Madame en sort la laisse qu'elle fixe à son collier et dont elle dépose l'autre extrémité entre les mains d'Agathe. Celle-ci n'ose pas refuser et voici marchant sur la plage, cet étrange équipage de deux femmes se tenant bras dessus bras dessous, suivies de près par un homme tenu en laisse.
«Ton dernier homme, c'était il y a combien de temps?» demande Madame à sa nouvelle amie, dont elle sent qu'elle lui obéira maintenant au doigt et à l'oeil sans discuter. Agathe manque s'étrangler en entendant la question et aucun mot cohérent ne parvient à sortir de sa bouche.
Madame sourit de son embarras, puis accentue la pression sur son bras, lui faisant comprendre qu'elle veut bien la garder encore un peu auprès d'elle et lui faire un petit cadeau.
Dans le bois de pins
Quoique silencieux, L est lui aussi un peu déstabilisé par la tournure que prennent les événements. Il avait prévu d'être seul au service de sa Maitresse et le voici maintenant obligé de supporter la compagnie de cette greluche.
Dans ses rêves secrets, il a certes déjà imaginer que sa Maîtresse puisse un jour lui imposer de prendre soin de l'une de ses amies. Il était d'ailleurs fort excité l'autre jour lorsque celle-ci a bien voulu lui présenter une voisine, son collier de soumis porté bien en évidence. Et cela s'est produit de nouveau lorsqu'elle est venue en fin de journée prendre l'apéritif avec son mari.
Mais cette fois l'affaire est sérieuse et le profil anguleux, plutôt revêche et suffisant, qu'il voit devant lui ne le séduit pas vraiment et le laisse sexuellement totalement indifférent. De plus, la façon dont sa laisse se tend parfois de manière subite lui laisse à penser que la veuve reprend des couleurs et de l'assurance et qu'elle va bientôt devenir redoutable. Seul le popotin gigantesque qui chaloupe là devant lui, trouve grâce à ses yeus et il s'imagine un instant partir à sa découverte, explorer hauts sommets et ses vallées secrètes, humer ses parfums délicats et subtils.
Souriante et détendue, Madame a parfaitement senti ce qui se tramait et lance: «Ma chère Agathe, que diriez vous de faire un peu plus connaissance avec mon soumis préféré?» Et sans attendre la réponse, elle fait signe à L de se tourner vers elle puis frôle d'une paume légère ses tétons qui pointent à travers le tissu de sa chemise.
La réaction est immédiate et le bassin du soumis se porte spontanément en avant. Et les deux femmes entendent distinctement un petit tintement métallique. «A vous ma chère, jouez donc un peu avec cet homme sensible et délicat,plein de ressources cachées» dit elle en s'asseyant sur un tronc d'arbre couché pour regarder la scène.
A SUIVRE
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C'est sur une longue plage de sable fin, qu'elle lui a donné rendez vous.
Il est encore un peu tôt en saison pour y surprendre là comme en plein été, sous le couvert des grands pins bordant le littoral, des couples en pleine copulation ou des mâles souvent agés, désoeuvrés et en rut. Mais retrouver cet endroit qu'elle affectionne après la longueur froide et humide de l'hiver la met en joie et fait aussi remonter dans sa mémoire des moments intenses et fort agréables.
L'été prochain, à n'en pas douter, elle étendra à nouveau sa serviette sur la dune et se libérera de tous ses vêtements. Sa peau blanche attirera les rayons du soleil et il lui faudra d'ailleurs veiller à ne pas oublier de la protéger. Elle attirera aussi les regards et certains mâles n'hésiteront pas à dire en silence et par gestes leur désir pressant pour ses rondeurs délicates. Et il grandira certainement encore lorsqu'elle s'allongera sur le sable, écartant ses cuisses généreuses juste ce qu'il faut.
Du côté des femmes présentes sur la plage, certaines prendront un air courroucé, jetant un oeil inquiet vers leur compagnon et la direction de son regard. D'autres trouveront la scène amusante, se demandant lequel de ces hommes osera le premier s'approcher d'elle et tenter sa chance.
Sur sa serviette, Madame jubile de la situation et sent déjà une étrange chaleur l'envahir. Peut-être le soleil y est-il pour quelque chose, mais elle connaît bien le langage de son corps et sait que ce sont rudesses et caresses qu'il réclame. A la fois soumise et dominante, elle navigue avec bonheur entre ces deux rives. Le spectacle d'un homme soumis à ses pieds la ravit, tout comme la voix autoritaire d'un Maître qui lui demande de montrer son cul en tenant ses fesses écartées pour une inspection détaillée.
Elle aime donner et recevoir, caresser et punir, avec un même plaisir. Son ventre, ses sens, sa tête réclament tout à la fois. Parfois le rôle de la domina qui doit inventer pour deux l'agace et l'épuise. Et elle trouve alors dans la soumission qu'elle accorde à quelques uns, le calme et la paix intérieure auxquels elle aspire.
Mais Madame est d'abord et avant tout une gourmande de la vie, qui aime les hommages vigoureux et endurants. Aujourd'hui elle est cependant un peu inquiète. Dans quel état va t'elle trouver l'homme qu'elle attend! Outre le fait qu'il n'est plus tout à fait le jeune étalon fougueux que ses sens réclament, elle se demande si leur complicité d'hier saura trouver de nouvelles façons de s'affranchir de ses problèmes de santé actuels.
Sur la plage, le vent est tombé. On devine dans le lointain la silhouette d'un petit groupe de personnes qui avance vers la Turballe. Le temps paraît comme suspendu, tout est calme et reposé. Et Madame est heureuse de tout cela.
Une douce chaleur
Plongée dans ses pensées, elle sursaute presque lorsque la main amie attendue se pose sur son épaule. Sans se retourner, elle cambre légèrement les fesses et se plaque doucement contre lui. Pendant de longues minutes, ils vont rester ainsi, silencieux et pensifs devant le spectacle immuable de cet océan en perpétuelle activité. Calant son rythme sur le mouvement régulier des vagues qui explosent en écume devant elle, Madame sent vite s'éveiller contre ses fesses la raideur plaisante d'un membre masculin. Poursuivant son manège, elle y imprime parfois un mouvement plus vif vers l'arrière qui, manifestement, ne laisse pas indifférent.
Et puis, toujours sans un mot, elle glisse une main dans la poche du blouson de son visiteur du soir et en sort un joli collier de cuir noir. Se retournant alors, elle lui sourit, caresse furtivement sa poitrine dont la dureté des tétons déjà fort excités la surprend, puis fixe autour de son cou ce symbole élégant d'une soumission consentie.
Entre ses jambes, une douce chaleur commence à se faire sentir. La voilà totalement rassurée pour la suite de la soirée, l'homme debout devant elle est là pour la servir et sa virilité est bien au rendez vous pour la satisfaire de toutes les façons possibles. Dans l'autre poche du blouson, elle sait la présence d'une laisse dont elle décide de repousser l'usage à plus tard.
La fraîcheur du soir commence à se faire sentir et, toujours sans un mot, ils marchent maintenant vers le couvert protecteur de la forêt de pins bordant la plage. Souvent déjà, elle y a attiré des hommes rencontrés sur la plage pour une étreinte sauvage et rapide. Et aujourd'hui encore, elle est heureuse de s'y rendre, savourant par avance les délicieuses attentions dont elle va être l'objet.
Elle est aussi très curieuse de prendre la mesure de la soumission croissante dans laquelle s'est engagée son visiteur. Elle sait déjà qu'il a en permanence entre les jambes une belle et large bague d'argent massif, mis en place en signe d'appartenance. Et elle veut aussi savoir à quoi ressemble le lourd et massif anneau d'acier qu'il porte également depuis quelques semaines et quels en sont les premiers effets.
Sentir battre contre ses fesses, les couilles du mâle qui la prend est agréable et plaisant. Les sentir plus longues et lourdement lestées doit certainement provoquer de nouvelles sensations, fort intéressantes à tester.
A SUIVRE
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