Trois jours que j’attends, que ses mots ont percé le voile, qu’elle a exprimé l’alchimie de mots qu’il fallait pour changer mon regard entiers.
Cette « fille », je ne l’aimais pas, pas autant qu’elle voulait du moins, car je reste un garçon bien indulgent et diligent. Cinq ans d’évitement, de blocage parfois même, de lapins, de saillies de sa part confinant à l’érotomanie; puis un jour j’avais fini par lui livrer:
Si elle attendait quelque chose de moi, il fallait bien qu’elle sache. J’ai du lui glisser un indice, je ne m’en souviens même pas - je lui avait peut-être tout dit franchement; si elle attendais quelque chose, il fallait qu’elle se donne la stature d’une dominante 😳
Je suis sur le cul - si l’on me passe l’expression. Cette cadette, qui ne s’est semble t-il jamais remise de notre rencontre et notre flirt express, n’a pas fini j’espère de me surprendre.
J’attends Samedi. Le jour qu’elle a choisi pour me dominer, me fesser, m’humilier; je crois, à la lire, qu’elle est vraiment, vraiment faite pour ça 😳
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Qui Amat Deam
C'est une perspective magnifique...
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24/11/22
Bonjour Archibad
Merci pour votre joli texte accompagnant votre demande, que j'accepte avec plaisir
....Retourne sagement dans son terrier....
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La voie de la fesseuse
J’aime par dessus tout ces claques qui ponctuent une série de remontrances.
Dans l’embarras de la déculottée, l’obligation d’avoir à répondre aux assertions et questions, prêter chaque fois le flanc à une réplique plus tranchante, plus humiliante.
Prendre parole les fesses à nues et brûlantes, le sexe honteusement dressé, la voie éraillée, honteuse et implorante. Remercier, demander pardon, promettre, remercier encore.
Ô comme j’aimerais que cette maîtresse me mette la main au col. Me menace, joue de ma crainte, de ma honte.
Maestra je t’imagine m’entretenir d’un ton sévère. Subitement, sans prévenir en plein repas. Me coupant la parole devant d’autres dames, tu me rappellera à mes fautes comme à un enfant.
Agacé que je bafouille et rougisse, je te verrais me tirer par le poignet, me lever les fesses de ma chaise et m’emmener à l’endroit de ton choix.
Je me sens frémir à y penser, m’imaginer parcourant les quelques pas augurant la correction publique. Je trépigne d’envie de connaître à nouveau cette première obligation de révéler moi même mes sous vêtements. En tremblant légèrement, tiré par autorité sur ses douces cuisses, de placer mon pauvre cul convenablement.
La Maestra de mes rêves me fait porter la petite culotte. Elle le fait pour m’humilier et me rappeler à ma condition de soumis. Elle le fait pour accentuer pour moi cette honte de me dévoiler.
Je voudrais qu’elle veuille me faire pleurer de honte, m’oblige à faire entendre ma voix piteuse de petit garçon, de petite garce, de ce qu’elle voudrait.
Je veux ce moment, qu’il cuise, dure, ne finisse que pour une nouvelle et plus honteuse situation.
Être exposé, convié à satisfaire le désir de sexes palpitants, recevoir leur sève, m’offrir totalement sous la menace d’un châtiment plus terrible, d’un martinet, d’une ceinture.
O comme je rêve
Soyez la première personne à aimer.
Je dois me rendre à l’évidence ma chérie n’est pas faite pour ça.
L’énergie et l’excitation que suscitent cette seule idée sont une trop belle occasion pour elle de profiter de son diligent étalon.
Alors quelques caresses lui suffisent et cravacher ne semble pas exciter sa passion. Toute fine comme elle est, ma dame préfère commander mes morcs par le petit petit doigt.
Alors le songe est envolé mais je sais que l’étrange léviathan reviendra me hanter
Soyez la première personne à aimer.
Aspirant aspirante et désirs derrière
Je rentre dans l’arène pour ma plus grande confusion. Jeune Parisien de 36 ans avec un beau petit derrière.
L’attente du jour m’a plongé dans une cascade d’envies et j’en suis à vous présenter mes parties charnues !
Je suis ici pour échanger et pour ne pas vous le cacher, trouver la concrétisation de ces songes.
Si un homme le désirait, je serais heureux de lui présenter et prendre patiemment en bouche sa semence après une cinglante correction.
Très attiré par la féminisation je désire être chevauchée et punie comme il se doit.
N’hésitez pas à venir vers moi.
Soyez la première personne à aimer.
En l’attente qu’elle lise
Ça y est je lui ait dit. Le texto est envoyé et j’attends qu’elle lise. « Je mérite une énorme fessée ».
Elle le verra à la suite de quelques mots vilain que j’ai eu hier et qu’elle n’a pas encore lu. La dispute n’était pas folle mais personne n’aime recevoir des petites saillies textuelles. Tout est prêt pour qu’elle se saisisse de mon fantasme et révolutionne notre relation.
Cela fait un mois que je lui ai enfin dit. Les fessées que je lui ai mises, bien mignonnes, c’est ce que je veux qu’elle me fasse subir à moi. En bien plus sérieux - si seulement.
Je suis dans cet état d’attente sur excitée et ne cesse de songer à ce moment. Je veux me sentir bien bête mon cul nu sur ses genoux. Qu’elle me remette à ma place et prenne celle de dominante qu’elle mérite. Je veux qu’elle se moque et assène une impitoyable valda. Être réduit à demander pardon et recevoir des paroles humiliantes en retour.
Je lui ai expliqué comme je rêvais qu’elle m’engueule en me fessant. L’idée la faisait rire. Je crois qu’elle commence à se sentir prête. Ce n’est pas si facile mon fantasme peut aller si loin..
Hier encore, elle m’a pour la première fois parlé elle même de me fesser. C’était après cette dispute. Je l’ai trouvée coquine et un éclat brillant dans l’œil. Elle a compris je crois que cela pouvait profondément marquer notre relation.
Les idées suggérées lui paraissaient un peu dingue mais fort amusantes « m’envoyer faire la vaisselle le cul rougi », « faire de moi ta petite boniche »; je crois que l’opportunité de me dédier définitivement les tâches ménagères va compter dans sa motivation. Bref .. j’attends toujours qu’elle lise.
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Ça y est je lui ait dit. Le texto est envoyé et j’attends qu’elle lise. « Je mérite une énorme fessée ».
Elle le verra à la suite de quelques mots vilain que j’ai eu hier et qu’elle n’a pas encore lu.
La dispute n’était pas folle mais personne n’aime recevoir des petites saillies textuelles. Tout est prêt pour qu’elle se saisisse de mon fantasme et révolutionne notre relation.
Cela fait un mois que je lui ai enfin dit. Les fessées que je lui ai mises, bien mignonnes, c’est ce que je veux qu’elle me fasse subir à moi. En bien plus sérieux - si seulement.
Je suis dans cet état d’attente sur excitée et ne cesse de songer à ce moment.
Je veux me sentir bien bête mon cul nu sur ses genoux. Qu’elle me remette à ma place et prenne celle de dominante qu’elle mérite.
Je lui ai expliqué comme je rêvais qu’elle m’engueule en me fessant. L’idée la faisait rire. Je crois qu’elle commence à se sentir prête.
Hier encore, elle m’a pour la première fois parlé elle même de me fesser. C’était après cette dispute. Je l’ai trouvée coquine et un éclat brillant dans l’œil.
Elle a compris je crois que cela pouvait profondément marquer notre relation.
Les idées suggérées lui paraissaient un peu dingue mais fort amusantes « m’envoyer faire la vaisselle le cul rougi », « faire de moi ta petite boniche »; je crois que l’opportunité de me dédier définitivement les tâches ménagères va compter dans sa motivation.
Bref .. j’attends toujours qu’elle lise