J'ai donc probablement écrit plusieurs messages qui n'ont juste jamais été lu... quel dommage... toute cette encre perdu aurait pu servir pour un roman
3 personnes aiment ça.
Cela me fait penser à un sujet qui pourrait être bien sympathique : "soumises, pourquoi (quelles raisons donc) avez-vous choisi votre maître ?". Mais mes sujets ont rarement du succès, je laisserais donc quelqu'un d'autre avoir l'idée de le créer un jour.
En revanche, une question que je me pose sérieusement est : est-ce que quand quelqu'un nous ajoute en ami, on voit le message qui accompagne son ajout ?
Les quelques soumises m'ayant ajouté, l'avait fait sans introduction particulière, il me semble. Sinon, en tout cas je ne les avais pas vu.
Si ça se trouve, pour je ne sais quel bug, les messages ne sont tout simplement invisibles ? Ce serait amusant. Tous les textes que j'ai écrits n'auraient juste, jamais atteint leurs destinataires.
3 personnes aiment ça.
Azhara > "Je crois moi, qu'un mec qui sort du lot, ce sera celui qui attendra qu'une femme le demande en ami. Car ouais je suis assez d'avis que ça me paraît plus logique ainsi puisque c'est bien la personne soumise qui choisit la personne Dominante... "
En effet, il sort du lot. Mais cette demande n'arrivera probablement jamais, ahah.
Et encore, après la prétendue demande, il faudrait qu'il y ait une alchimie entre les deux personnes.
Si on suppose qu'il faut 5 échanges pour trouver une personne qui nous correspond à peu près, et que cet homme reçoit une demande chaque 5 ans, il a le temps avant de trouver ce qu'il cherche.
Cette posture serait plus ou moins adoptable si le nombre de soumises et de dominants s'équivalait.
Et encore, ce serait les mêmes profils qui seraient abordés le plus souvent, je pense.
5 personnes aiment ça.
En y repensant, dans les règles non dites de l'ajout, il y en a une que je respecte assez strictement. Si un profil de soumise me plaît, mais à "trop" de contact. J'évite de l'ajouter. Je ne jette aucun préjugé ou quoique ce soit sur la personne, tout le monde est parfaitement libre de gérer son compte et ses relations !!!! Je me dis juste que, même si ce n'est pas affiché, elle porte probablement déjà un collier. Sinon, il y a trop de personnes différentes qui essaient de le lui passer autour du cou actuellement même. J'ai la paresse de "la compétition" avec toutes ces autres personnes.
Pour autant, je répète, je ne jette pas de préjugé sur sa personne. Mais je ne me sens juste pas l'énergie 🤣
Une chose qui fonctionne plutôt "bien" du coup sur les applications de rencontre est de ne pas savoir avec combien de personne la personne en face discute. Même si on peut très facilement le projeter
3 personnes aiment ça.
De façon factuelle, je pense que ce qui se produit sur les réseaux de rencontres (même bdsm) est juste un résultat d'offre et demande. Les femmes étant moins nombreuses (et, on pourrait supposer plus désirées), les hommes seront toujours ceux qui iront faire la demande. Maintenant si on se place dans un contexte bdsm utopique.
J'ai déjà échangé plusieurs fois avec des soumises dont l'envie était le fait que leur dominant n'ait pas "besoin" d'elle. Autrement dit, qu'elles soient disposables tout en ayant un désir de nécessité pour lui.
C'est totalement idéalisé et c'est une vision donnant au dominant une projection encore plus dominante. Puisqu'on va supposer que, s'il n'a pas "besoin" de moi, et que j'ai besoin de lui, alors il domine très clairement la relation.
Dans ce genre de contexte là, ou dans une vision idéalisée qui s'en rapproche, la logique voudrait que la soumise demande à appartenir au dom.
Puisque, la personne dans le besoin, est celle qui va demander à l'autre de pourvoir son besoin. Dans une vision encore plus lointaine, idéalisée, n'existant probablement que dans la fiction ou le règne animal, personne ne ferait de demande.
La soumise étant soumise par nature et le dom étant dominant par nature, lors d'une rencontre les deux, il la dominerait juste et la ferait sienne.
Sans rien demander. Ce serait quelque chose d'imposé strictement à elle et un état duquel elle ne pourrait s'échapper du coup. De par sa nature.
Edit : Sinon, si je devais répondre juste mon avis, dans un monde parfait les soumises devraient faire le premier pas. Dans un monde totalement théorique, les dominants n'auraient même pas la capacité de demander les soumises en ami. Ils seraient juste sur le site, comme dans une sorte de vitrine, à blablater et vaquer à leurs occupations. Les soumises pourraient ensuite lire les profils, etc, et faire une demande (une sorte de demande pour être dominée, mais en réalité juste une demande pour faire connaissance). Ensuite, les dominants regarderaient et valideraient la demande ou non.
Ce serait un peu "bonjour, j'ai lu à propos de vous et je voudrais bien être dominée par vous, si vous le voulez bien", ce à quoi le dominant pourrait répondre positivement ou non. Evidemment ça ne fonctionnerait pas. Car il n'y a pas assez de soumises pour le nombre de dom. Mais aussi, car de façon totalement sûr, les soumises iraient toujours vers les mêmes profils. Et sinon les quelques fois où ce sont des soumises qui m'ont ajouté, cela se passe de deux manières : - Elles sont intéressés et disponibles pour éventuellement explorer une relation : dans ces cas-là, la plupart du temps, cela s'est bien passé a abouti à quelque chose. - Elles sont intéressées par la discussion, "seulement". Et cet exemple ne m'ait arrivé que sur ce site. A 4-5 occasions, des soumises m'ont ajoutés en amis (souvent du fait de mes textes) dans le but de blablater.
Il était plutôt claire dans la localisation ou dans nos profils different que c'était pour de l'échange sans trop attendre quoique ce soit d'autres. Sauf que, quelque chose que je supporte mal est arrivé dans chacun des cas : toute la charge de la conversation était sur moi. C'est à dire que passé les questions d'usage un peu simple, la personne en face n'avait plus rien à me dire. L'une m'a même dit "vous n'êtes pas très bavard"... Si je suis ajouté par quelqu'un qui dit vouloir échanger avec moi... je m'attends à ce que la personne ait quelque chose à me dire. Plus que 2-3 questions... Du coup, je fini par retirer l'amitié au bout d'un moment. Malheuresement la nécessité m'amène à devoir "performer" la conversation quand j'ai un certain désir pour la personne en face. Et c'est épuisant selon les profils. Je me sens strictement incapable de "performer" encore quand une personne m'ajoute sans désir particulier. Je m'attends au moins a un échange fluide et naturel.
Edit encore : impossible de formater le texte, ça me fatigue
4 personnes aiment ça.
Sylvie > Merci d'avoir apporté un élément de réponse et de ne pas avoir laissé mon sujet totalement vide, ahah.
Je savais déjà un petit peu ton parcours, puisque nous en avons parlé.
Je suis curieux cependant d'un point. Tu as dit avoir lu histoire d'O et le lien en première représentation bdsm.
As-tu lu ces ouvrages avant de savoir que tu le bdsm pouvait te parler ? ou les as-tu lu, quand tu as senti que la chose t'attirait ?
Car je me questionne si des gens n'étant vraiment de "cet univers" connaissent ses références ?
Mais peut-être était-ce le cas avant.
1 personne aime(nt) ça.
Votre découverte du bdsm
Bonsoir,
Je ne poste pas souvent sur le forum, mais la curiosité m'amène à écrire ce petit sujet qui pourrait être sympathique selon vos contributions.
Quand et comment avez-vous découvert le bdsm dans votre vie ?
Je veux dire de façon consciente. Quand, pour la première fois, avez vous découvert ce que c'était?
Personellement, c'était pendant l'adolescence. Je cherchais sur internet un livre classique. Et je suis tombé sur un blog qui s'appelait "le blog intime d'une bourgeoise soumise".
Aussitôt j'ai été captivé. Je me suis projeter constemment dans le rôle du dominant à mesure que je parcourais les articles.
Découverte "hasardeuse" donc. Même si l'étincelle était déjà en moi.
5 personnes aiment ça.
Pour la premiere fois nous allons différer sur une opinion, ahah.
"La plupart des gens s'en foutent" => mon expérience me fait grandement penser que non.
Pour autant mon expérience, seule, ne fait pas loi statistique. Apres qu'elle soit vraie ou pas, en faire un sujet n'a pas grand intérêt. Ce n'est pas comme si ça allait ramener plus de gens par magie. Surtout si c'est pour dire X est plus viril que Y... aucun intérêt
3 personnes aiment ça.
Je lui claque une fesse. Sa mouille abondante dégouline lentement jusqu’au plancher. Elle baise ma chaussure.
Je saisis le feutre sur la table sur la table et, d’un mouvement sec, tir un grand trait barrant ceux qui ornent déjà sa peau.
— Tu n’as pas honte ? je demande.
Un gémissement plaintif me parvient aux oreilles. Je reconnais le doux son de sa gêne.
Je retire l’œuf de sa chatte et le jette sur le tapis. Quand je plonge deux doigts dans son anus tremblant, sa bouche m’accueille d’un geignement prolongé et suave.
Genoux à terre, repliée en avant sur le tapis et mains menottées dans le dos, elle est à ma Mercie.
Soumise sous contrôle. Chienne en dressage. Esclave de mon désir.
Mes doigts s’engouffrent dans ses fesses et je frotte ses parois avec vigueur. Je fouille son intimité. Je saisis sa crinière et tire sa tête vers l’arrière.
Un long gémissement traverse la pièce.
— Petite pute.
Elle gémit.
— Putain masochiste.
Elle gémit.
— Tu n’as pas honte ?
Son souffle s’accélère, ses parois se resserrent. Sa tête que je tire vers moi s’abandonne de plus en plus dans mon sens. Elle frémit, son corps est parcouru de spasmes. Les larmes de mascara sur son visage gonflent ma verge d’un désir explosif.
— Jouis !
Je lui claque une fesse. De petites gouttes forment rapidement une trace humide sur le tapis et elle pose un baiser sur ma chaussure. Du feutre, je grave sur son cul son cinquième orgasme.
Je me lève et lui retire les menottes.
— Debout !
Elle obéit.
Elle s’avance vers le pied du lit.
— Cambrée !
Elle s’affaisse vers l’avant.
— Tes fesses !
Elle gémit.
Elle amène ses mains dans son dos et écarte les fesses. Son petit anus compressé s’agite. Il me fait de l’œil et je compte bien le défoncer.
Je bande à en mourir.
Je rapproche ma bite de son cul et d’un mouvement sec je la pénètre jusqu’à la base. Son gémissement résonne contre les parois des murs.
Je saisis son cou et à son oreille :
— Silence ! Chienne ! j’ordonne.
Elle inspire grandement. Elle gémit. Elle frémit.
Mon bras appuyé contre son sein capte le battement affolé de son cœur.
Elle est belle. Elle est si belle dans la peur.
Je retire alors ma queue et, une nouvelle fois… je lui baise l’anus.
Couché sur papier en une petite heure...
17 personnes aiment ça.
sylvie35 tu es, je pense, celle qui a réveillé mon envie d’écrire un peu d’erotique. Ce texte particulier est intense, oui. Cours et crue aussi. C’est ce qui m’a permi de le coucher en une toute petite heure de liberté.
Voir si je me remets à des textes plus longs et des situations plus réfléchies. A suivre…
30/05/20
677 vues
Les secondes défilaient dans son esprit. Combien ?... Combien de temps était passé depuis ? Elle n’en avait plus conscience. Mais chaque instant, chaque souffle, faisait battre un peu plus fort son cœur.
Elle savait pourquoi elle était là. Pourquoi le parquet si froid et dur lui meurtrissait les genoux.
Un cliquetis perça le silence ambiant. Son cœur manqua un battement, puis deux. Était-ce réel ? Les yeux ainsi bandés elle ne pouvait en être sûre. Elle restait néanmoins fière. À genoux, nue, mais fière. Le dos dressé, droit ; les mains au niveau des cuisses, la bouche close, interdite. Et quand de nouveau plusieurs cliquetis retentirent à la suite, elle comprit qu’il était temps. Elle ne tourna pas la tête pour l’accueillir mais entendit ses pas s’avancer vers elle. Sa poigne fut directe. Un peu douloureuse, mais bienveillante. Elle le savait, elle le sentait. Elle se mit debout car il la poussait à le faire, et s’avança au rythme de l’homme qui la possédait.
Très vite, sa peau frôla le bois du lit. Elle s’arrêta et tâta tant bien que mal, c’était le pied du meuble. Un autre cliquetis retentit, elle comprit. C’était ici et maintenant. D’un geste craintif mais fier, elle courba le haut du corps et s’offrit. Les fesses postées en arrière, la face vers le bas et les mains loin.
Elle agrippa le rebord du lit et la ceinture fendit l’air.
À deux reprises elle frémit et son cœur bondit, tandis qu’aucun coup ne l’atteignait en réalité. La troisième fois fut la bonne. Vive, marquante. La frappe suivante s'abattit dans l’instant, puis une autre, et encore une prochaine. Elle souffla. Que pouvait-elle faire d’autre ?
Un toucher délicat caressa sa fesse droite. Quelques doigts s'y attardèrent un instant, quelques vas-et-vient qui, semblant réconforter sa peau, préparaient en réalité un second assaut. La gifle suivante fut plus sèche, plus cinglante. La ceinture frappa et, alors même que le son interdit s'échappait de ses lèvres supérieures, la main s'aventurait vers celles du bas.
Allait-il ? Elle ne le savait pas, mais il pouvait. Il pouvait tout. Elle était à lui. Et quand il frappa délicatement l'intérieur de ses cuisses, elle les écarta pour qu'il aille là où il le voulait. Il s'attarda sur sa fente, à certains endroits plus que d'autres, puis la pénétra de ses doigts. Elle poussa un doux cri lui échappa. Une plainte ? Non, un appel, une supplication qu'il ignora bien vite. Une verge durcit contre ses fesses, puis elle les sentit s'ouvrir, forcées.
Le liquide glacé enduit son anus, puis son maître entra. Comme il le voulait, où il le voulait.
Une gifle atteignit sa joue et elle ouvrit la bouche. Lentement, une salive étrangère s’y glissa. Son entrejambe en mouillait. Avait-elle le droit ? Elle n’en pouvait autrement. Les longs cheveux tenus d’une ferme poigne, son anus ne cessait de recevoir l’assaut. Tantôt doux, tantôt sec, tantôt, lui rappelant qu’elle lui appartenait, et que ce soir, chaque pénétration n’avait lieu que pour lui.
Son anus se contracta, involontairement, la fessée fut immédiate, elle le “rouvrit”. Le claquement contre ses fesses ralentit, une main se glissa dans son entrejambe. Lea gémit à travers le bâillon. La main qui se baladait sur son dos prit position autour de son cou, les doigts qui caressaient son temple remontèrent au niveau de sa hanche. Elle sentit son maître se courber. Il posa sa tête sur son épaule et elle tourna sa face vers la sienne.
Un baiser, pitié, un contact. N’importe quoi aurait fait l’affaire.
Un son étouffé lui parvint aux oreilles. C’était pour bientôt. Son anus chauffa, la cadence aussi, les pénétrations pourtant plus lentes étaient plus profondes. Et quand la main qui tenait son épaule atteignit sa hanche, qu’un long souffle chaud effleura sa joue ; elle ne put se réprimer un gémissement étouffant celui de son Maître.
Lentement, comme à chaque fois, elle sentit son anus se vider. Le bâillon entourant ses lèvres fut retiré. C’était inhabituel. Confuse, son pouls accéléra. Lea paniqua et fouilla l’air, tomba sur une verge ; et la saisit avec toute la délicatesse dont ses doigts pouvaient faire preuve. Que devait-elle faire ? Pouvait-elle parler ? Elle hésitait. Et alors que désireuse de toujours plaire, elle s’apprêtait tout de même à ouvrir la bouche... un baiser furtif se posa sur ses lèvres. Elle frémit, désirant plus. Mais elle ne fit rien. Elle ne pouvait pas. Pas aujourd’hui. Pas cette fois. Ce soir, elle était interdite...
12 personnes aiment ça.
13 personnes aiment ça.
6 personnes aiment ça.