Ma Maîtresse aime fabriquer Son matériel alors je ne suis pas étonné de la voir réaliser une badine bicolore sur un morceau de noisetier. Le tressage est fin et le mélange rouge noir lui donne un air gai.
«Je m’entraîne» me dit-Elle. Ma place ne m’autorise pas à lui demander à quoi.
«J’ai besoin de matériaux alors tu seras Mon chauffeur cet après-midi.»
Je ne me doute pas encore que l’âme de ce fouet prend déjà forme dans cette recherche.
Munie de Sa petite liste, Ma Maîtresse me dirige vers différents magasins.
Dans mon enthousiasme, j’outre passe bêtement mon rôle de chauffeur et j’ai droit à un recadrage en public. Conscient de ma bévue et honteux, je baisse la tête. Mon horizon se limitera à la pointe de mes chaussures tellement je ne savais plus où me mettre. Et encore, je sais que Ma Maîtresse aurait pu m’humilier bien plus devant tout le monde...
Je n’aurais eu que ce que je méritais.
Progressivement, je sens que Sa création prend vie . J’ai encore quelques doutes sur Ses intentions mais c’est à ce moment que Son projet commence à prendre forme dans ma tête.
Ma Maîtresse n’a pas trouver tout ce qu’Elle désirait mais suffisamment pour débuter sa création. Elle me charge de lui trouver de la paraffine dont Elle n’a pas besoin dans l’immédiat.
Quelques jours plus tard, Elle me convoque à Ses Pieds et me montre un grand fouet qu’Elle a finement tressé. Il n’est pas terminé mais il est déjà magnifique. Le tressage trois tons est subtil ; quelle réalisation magnifique de Ma Maîtresse. Je suis admiratif même si Elle me montre de petites imperfections qui ne sont pas à son goût.
Reste à le tremper dans un bain de paraffine. A ce moment, je ne me doutais pas encore de ce que cette paraffine allait lui apporter.
Avant cela, Ma Maîtresse est impatiente de le tester et je me retrouve vite au milieu de la pièce avec la primeur d’absorber les premiers pas de ce fouet.
En douceur , Ma Maîtresse le fait voltiger autour de mon corps dénudé. Il fend l’air dans un bruit aigu qui me fait sursauter. Rapidement , Ma Maîtresse l’envoie autour de mon torse. Il m’enlace totalement et sa pointe vient me cingler. La douleur s’étend du dos à son point d’impact terminal. Ma Maîtresse retient les premiers coups et pourtant il me fait déjà bien danser. Enfin, il vit et Ma Maîtresse le manie avec de plus en plus de précision et surtout de plus en plus d’énergie. Elle m’indique les points d’impacts qu’Elle vise et en retour j’en confirme la justesse. C’est de plus en plus précis et mon corps commence à se zébrer d' empreintes rougeâtres.
La lanière trace sa toile sur ma peau. Chaque impact est un feu brûlant qui laisse une flamme violette en souvenir.
Ce sont ses tous premiers claquements et il promet déjà beaucoup. Manié à la perfection par Ma Maîtresse, je pressens qu’il va m’emmener bien loin dans la souffrance quand il sera fini.
Ma Maîtresse lui donne vie. Il est dans sa période nouveau né. Elle l’éduque, le dirige, me fait couiner quand il fend l’air, le fait claquer sur ma peau . Mes cris attestent déjà de sa puissance.
Après ce premier essai, Ma Maîtresse décide qu’il est temps de le finir et donc de le plonger dans un bain de paraffine fondante. Sa couleur change, il devient plus brillant. J’ai l’impression que son poids a doublé.
Il est devenu vraiment très beau, très lourd et Ma Maîtresse me met en place pour tester Sa création finie.
Il fend à nouveau l’air dans un bruit plus soutenu. Je sens l’air lui faire place dans un sifflement aigu quand Ma Maîtresse le fait passer à proximité de mes oreilles. Elle le Maîtrise merveilleusement bien.
Les premiers impacts me surprennent terriblement. Je ressens immédiatement le poids que la paraffine lui a donné. A ce moment, je m’aperçois que c’est exactement l’effet que je me faisais d’un fouet. Vous savez, ce que l’on peut imaginer quand l’on regarde cela au cinéma.
La vivacité de son contact m’arrache immédiatement des cris de douleurs. Je serre des dents, je me reprends en respirant profondément. Heureusement, la volonté de satisfaire Ma Maîtresse est la plus forte.
L’intensité est exceptionnelle et je me tords à chaque impact qui m’enveloppe comme le vent dont il a pris la place. Ma Maîtresse le maîtrise tellement bien qu’Elle me cingle plusieurs fois au même endroit comme Elle aime bien. Je peux lui offrir cette belle douleur qu’Elle vient chercher avec le fouet qu’Elle a créé.
Et j’ai beaucoup à offrir car la douleur que le fouet me procure augmente crescendo bien aidé par l’adresse de Ma Maîtresse qui sait que cette douleur lui appartient. Elle la fait naître, la fait grandir jusqu’à mes limites pour mieux en goûter la saveur exquise.
Sans me toucher, le simple bruit de la lanière me fait frissonner. C’est maintenant au tour de Ma Maîtresse de s’emballer. Le fouet claque de plus en plus vite, de plus en plus fort pour que le plaisir de Ma Maîtresse monte…
Elle accompagne la musique ambiante en virevoltant autour de Sa chose, en la faisant tourner pour avoir le meilleur angle qui alliera force et précision sur ce corps offert.
Les traits fins de la lanière me marquent depuis les cuisses jusqu’aux épaules, jusqu’aux tétons guidés avec dextérité par Ma Maîtresse. Elle écrit un nouveau chapitre sur la page de mon corps.
Je ressens Ce fouet comme le prolongement du sadisme de Ma Maîtresse. Il irradie une violente douleur qui se dissipe vite pour mieux diffuser la suivante. Il attaque un côté avant d’impacter violemment l’autre côté. J’ai beaucoup de mal à m’en protéger et je dois l’absorber de plein fouet si je peux dire. Je me tortille en tentant difficilement de reprendre la position que m’impose Ma Maîtresse.
Avec précision, Elle parvient à le projeter comme une caresse. Son extrémité me frôle de si près qu’il me griffe douloureusement.
La douleur devient difficilement supportable, je crie, je saute, je couine et me tortille encore et encore. Ma Maîtresse vient me rassurer par Sa Tendresse entre chaque série, attentive à mes réactions. Elle actionne Son nouveau fouet, le dompte autant qu’Elle me dompte ; Elle cherche son plaisir à travers lui et Sa chose…
Elle cherche ma limite du supportable et s’en satisfait… Je tiens pour qu’Elle en profite encore. Elle prend tant de plaisir à me fouetter.
Je gémis, je grimace, gigote dans tous les sens et Ma Maîtresse rit et se réjouis. Son plaisir l’illumine ; Elle me dit même qu’Elle en mouille...
Quand Elle arrive à ma limite, Elle pose le fouet et me réconforte. Elle est tout sourire et se régale en contemplant les marques que son nouveau fouet a laissé sur Sa chose.
Je suis épuisé mais tellement content que Ma Maîtresse m’ait donné la primeur de Sa création.
Je ne suis pas prêt d’oublier l’intensité des émotions qu’Elle m’a fait vivre avec Son fouet.
Merci Maîtresse de lui avoir donné vie.
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Je suis attaché sur la table basse, à genoux, tête contre le bois, dos cambré et cul bien relevé. Ma Maîtresse a pris soin que je sois bien installé pour que son plaisir puisse durer longtemps.
Les cordes m’immobilise les bras, les jambes, la tête. Mes mouvements sont des plus réduits et je ne peux pas voir ce que prépare Ma Maîtresse. Son silence ne me donne aucune indication sur l’utilisation qu’Elle fera de Sa chose.
Je n’ai pas d’inquiétude, Sa créativité est toujours fabuleuse.
Soudain, je sens le froid du lubrifiant sur ma rondelle et la pénétration d’un gode mais je n’arrive pas à l’identifier lorsque Ma Maîtresse me demande.
«Alors Rnby qu’est ce qui est dans ton cul ?»
J’hésite,
«Est-ce que c’est un crochet Maîtresse ?» et pourtant je ne ressens pas la tige métallique qui remonte sur mon dos.
«Mauvaise réponse, tu es tellement dilaté Ma salope que tu ne sens même pas ce que tu as dans ton cul»
J’ai honte de ne pas pouvoir lui répondre ; Elle a raison, je ne suis qu’une salope.
Ma Maîtresse me donne quelques indices au moment où je ressens une pression de plus en plus forte sur les parois de mon anus.
Je balbutie sans aucune assurance :
«C’est un écarteur Maîtresse ?»
«Oui Ma salope»
Je n’aurais jamais pu deviner sans l’aide précieuse de Ma Maîtresse.
Il a tendance à s’échapper. Alors Maîtresse le lie à une cordelette qu’elle relit à mon collier pour l’empêcher de ressortir.
C’est gagné et Maîtresse prend possession du trou béant que forme mon anus.
Elle ouvre l’écarteur au maximum, le chauffe avec les bougies, éclaire mon rectum car son large anneau laisse un grand passage, souffle dedans comme dans un bocal éteignant même les bougies qu’elle rallume dans la foulée.
Même en ayant identifié le dildo, mes sensations sont confuses.
«Mais Ma salope, tu coules» me souffle Maîtresse
Je ne peux pas lui cacher, j’aime être fouillé ainsi comme une vrai salope. Je pense aussi à la satisfaction que doit en retirer Ma Maîtresse de m'humilier ainsi.
Sa roulette et Son martinet me font sursauter et crier.
«Silence Rnby»
La douleur que vient chercher Maîtresse pour sa jouissance devient de plus en plus forte, jusqu’aux larmes. Au propre comme au figuré, Elle va les chercher au plus profond de mon corps.
Je suis maintenant bien dilaté et Maîtresse décide de libérer la cordelette qui retient l’écarteur. Je le sens s’échapper.
La Main de Ma Maîtresse vient rapidement occuper la place vacante et exciter ce nouveau vagin.
Maîtresse m’invective.
«Jouis Rnby, dépêche-toi, jouis Ma salope»
Je sens Ses Mouvements de plus en plus forts, de plus en plus excitants sur ma prostate.
C’est vraiment très jouissif.
«Allez tu vas jouir Ma salope» exige Ma Maîtresse en s’enfonçant encore plus profond
Je sens la jouissance monter irrésistiblement par Sa Main, l’impression d’être rempli profondément. Je gémis au rythme imprimé par Ma Maîtresse.
Et puis comme un torrent, un grand frisson m’envahit partant de ma nuque jusqu’au bas du dos me laissant pantelant.
Ma Maîtresse m’a mené jusqu’à l’orgasme. Je suis troublé d’avoir eu cet orgasme très loin des standards masculins et d’avoir pris autant de plaisir.
Elle m’humilie en me faisant passer de chose insignifiante à salope.
Elle a déclenché cet orgasme aussi facilement qu’Elle a fait couler mes larmes, me faisant passer par toute les émotions.
C’est Ma Maîtresse qui m’a emmené jusque là alors cet orgasme prend une valeur toute particulière que je ne suis pas prêt d’oublier.
Merci Maîtresse de me procurer ce plein d’émotions.
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La sélection touche à sa fin et déjà six soumis ont été renvoyés manu militari lors d’une présélection stressante.
Nous restons six soumis à choisir par ces dames. Nous sommes amenés en laisse le long d’un mur gris, agenouillés,mains sur la tête.
C’est Maîtresse Célia qui supervise la présentation de ses objets. Elle en profite pour faire claquer un long fouet près de nos oreilles, s’égarant quelquefois adroitement sur nos peaux nues.
«Vos Maîtresses vont bientôt arrivées, baissez les yeux car il vous est interdit de les regarder. Je veillerais personnellement à ce que Toute erreur soit sévèrement punie»
Nous n’en menons pas large et je surprends même mon voisin à trembler comme une feuille. Il faut dire que le fouet de Maîtresse Célia ne l’a pas épargné pour avoir eu justement l’imprudence de lever les yeux vers Elle.
Nos trois Maîtresses arrivent rapidement . Elles sont très belles et en imposent par leur démarche élégante.
Maîtresse Célia nous les présente car il nous faudra les appeler par leur nom sous peine de punition.
La première est Maîtresse Félina, vous savez Maîtresse Furie, mais à ma grande surprise, elle est magnifique de prestance. Suit Maîtresse Zara, la rousse et Maîtresse Galia qui semble être la moins expérimenté.
Maîtresse Félina ne perd pas de temps pour prendre le leadership de cette séance un peu spéciale. Elle souffle quelques mots à l’oreille de Allan qui court immédiatement hors de la pièce.
En attendant , Maîtresse Félina nous passe en revue. Elle nous fait lever la tête avec sa cravache en nous intimant de garder les yeux fermés. Chaque tête est manipulée avec la cravache comme pour apprécier notre chair.
Mon voisin qui tremble encore un peu plus se voit gratifier d’un crachat orageux. La foudre ne semble plus très loin !
Allan revient rapidement et lui tend une sorte de badine métallique équipée d’un encreur avec un grand «F» à son extrémité. Maîtresse Félina s’en saisit et marque au front trois d’entre nous. A ma grande surprise, j’en fait partie.
C’est clair, Maîtresse Zara et Maîtresse Galia devront se contenter du reste du troupeaux.
Maîtresse Félina se tourne vers ses deux consœurs qui l’écoutent sans broncher. Elle leur chuchote quelques mots puis les trois reines viennent devant mon voisin trembleur qui est presque en décomposition.
Maîtresse Félina le traite de lopette et l’amène brutalement au sol. Ces deux collègues se régalent de le piétiner avec leur talon bien pointue. Il gémie comme un animal qu’on égorge. Maîtresse Félina n’y tenant plus, Elle le tire par les cheveux et le jette sans ménagement contre la porte.
Elle lui crie d’aller gémir ailleurs et le pousse dehors à grands coups de cravache. La porte devient son seul bouclier et il ne lui faut que quelques secondes pour disparaître, humilié comme pas possible par les trois Maîtresses.
Maîtresse Félina est bien consciente de l’effet de sa colère sur les autres soumis. Aucun de nous n’a levé les yeux. Retenant notre souffle en attendant que Maîtresse Félina retrouve son calme. Il ne lui faut que quelques instants pour cela.
Après quelques minutes de discussion entre elles, Maîtresse Zara et Maîtresse Galia viennent prendre chacun un des soumis restant avec leur laisse pour les tirer vers la sortie. Tout était prévu par Maîtresse Félina et probablement arrangé entre elles pour s’approprier le soumis qui leur convenait. Nous ne les reverrons plus.
Maîtresse Félina a fait le vide et reste seule avec ses trois soumis. Elle arpente majestueusement la pièce en se demandant sans doute à quelle sauce nous accommoder. Avec sa cravache, Elle nous amène au centre de la pièce. Toujours à genoux, dos à dos, Elle nous fait un savant bondage qui nous bloque ensemble, bras à bras, dos à dos.
Allan approche un appareil que j’identifie comme un poste d’électro-simulation avec de nombreux branchements. Maîtresse Félina demande à Allan de nous installer une électrode sur nos bites et sur nos tétons. Elle s’installe au pupitre et lance la 5ème symphonie de Beethoven sur la sono de la pièce. Dès les premières notes, Elle envoie les décharges sur nos pauvres organes dans un mouvement de rotation qui nous fait sursauter à tour de rôle. L’intensité augmente proportionnellement à l’emballement de Maîtresse Félina porté par la musique. Son plaisir est palpable à la vue de nos tremblements et de nos cris.
La sueur aidant, les décharges se propagent d’électrode en électrode, passant même d’un corps à l’autre.
Nos cris écrivent les paroles sur la musiques et Seule Sa jouissance semble pouvoir arrêter Notre Maîtresse du jour.
Nos bites, nos peaux se tendent et frémissent sous les impulsions de plus en plus continues dont l’intensité ne cesse de croitre. Maîtresse Félina nous arrache des gémissements de plus en plus aigus pour son plus grand plaisir.
Elle finit par lâcher un cri de jouissance au bout d’une décharge intense qui s’arrête d’un coup au bord de la dernière note de la symphonie.
A bout de résistance, nous sommes liquéfiés. Seul le bondage des cordes nous tient encore droit pendant que Maîtresse Félina exulte.
Sur son ordre, Allan nous libère de nos cordes et des électrodes qui nous laissent une trace rougie sur la peau.
Nous sommes complètement affalés au sol et Maîtresse Félina nous ordonne de ramper jusqu’à Ses Pieds pour La remercier et L’honorer. Elle joue encore un peu en se reculant dès que nous arrivons à Sa portée ; Elle en rit de bon cœur. Je ne suis pas le dernier et j’arrive à déposer quelques baisers sur Ses hauts talons. Elle apprécie mon empressement et me gratifie de quelques coups de cravache sur mes fesses qui les accueillent comme une friandise lancée à son chien pour avoir bien travaillé.
J’articule un «Merci Maîtresse Félina» qui semble la satisfaire car je reçois de grands coups de cravache sur la plante de mes pieds qu’Elle a amenée à portée de mains. C’est douloureux. Je m’abstiens de crier car elle me l’a interdit par un ordre sec.
Nous aurons tous droit à un traitement particulier qui nous arrachera quelques rictus supplémentaires de douleur.
Cette séance a eu l’air de la satisfaire pleinement car Elle nous affuble chacun d’une queue de renard et d’un masque de chien.
Marque de propriété, Elle nous met en laisse et nous attire vers la sortie.
Nous sommes à quatre pattes légèrement en retrait, tenue en respect par sa cravache. Elle nous emmène à son rythme, sans précipitation.
Sa sortie est si classe que Maîtresse Célia et Allan l’applaudissent avant qu’Elle ne disparaisse avec son équipage de toutous.
PS. Il fallait une fin à cette fiction. Merci à Ma Maîtresse de m'avoir habilement suggéré de belles idées. J'ai cherché à les décrire au mieux pour La faire sourire ; Ai-je réussi ? :pray:
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Ma Maîtresse m’a fait un grand honneur. Elle me convoque à Ses Pieds pour ce réveillon façon Munch and Play.
Elle m’annonce également un cadeau ; la pression monte d’un cran !
La place que m’accorde Ma Maîtresse est déjà un cadeau que j’apprécie à sa juste valeur alors qu’a-t-Elle pu imaginer de plus ?
Le timing de Maîtresse est parfait. Elle me fait composer le code de la porte à pile 20 heures.
Elle entre parfaitement à l’aise avec nos hôtes et les convives déjà présents. Il faut dire que la plupart sont les habitués des Munchs de l’année et que c’est un plaisir de se retrouver.
C’est là que Ma Maîtresse m’annonce mon cadeau avec un grand sourire :
"Rnby, pour ce dernier jour de l’année, je t’autorise à manger à table avec tous le monde"
Pas de gamelle, de regards baissés, d’interdiction de parler, rien de ma condition de soumis ….
Waouh, c’est un vrai cadeau ! Malgré ma petite liberté, je réussis à enchaîner les erreurs qui ont le don d’excéder Ma Maîtresse. J’ai un peu progressé, compris ma place et pourtant, je gaffe toujours beaucoup trop. Ma liberté du jour devrait me rassurer mais je suis complètement déstabilisé. Je met un temps fou à profiter du beau buffet préparé par nos hôtes.
Assez parlé de mes états d’âme qui ne sont qu’accessoires. L’ambiance est détendue tout le long de cette première partie et les rires vont bon train. Pas de jugement, que du partage sans arrière pensée. Chaque convive apporte sa pierre à l’édifice de la convivialité. Il faut dire que c’est la première fois que je suis à hauteur des participants. Merci Maîtresse, par Votre bienveillance, de me faire participer à ces moments festifs.
Je reste attentif aux besoins de Ma Maîtresse et je suis heureux de pouvoir lui donner satisfaction.
La nuit s’avance et V-----, soumise enthousiaste, ne manque pas de chauffer l’ambiance par sa spontanéité. Aucun tabou et son sourire communicatif lance la soirée «jeux».
Le temps s’accélère seulement interrompu par les cris, les jouissances…
Il y aura des fessées, des cordes, des badines, des fouets, des aiguilles, des marques dans des scènes toutes plus passionnantes les unes que les autres.
Ma Maîtresse a une présence toujours aussi impressionnante. Je redeviens son assistant l’espace de quelques jeux avant qu’Elle me rappelle à Ses Pieds pour la satisfaire.
Elle prend une badine et me demande d’en choisir une autre ainsi que la zone du corps à fouetter. Elle choisira la sienne.
Je dois présenter tour à tour la partie de mon corps qu’Elle me dicte pour recevoir les badines. C’est de plus en plus fort de plus en plus rapide. J’avais déjà repoussé mes limites à ce qui me paraissait être un butoir infranchissable mais Ma Maîtresse me pousse encore plus loin.
Son Sadisme assumé la pousse à aller chercher Sa jouissance sur mon corps, au plus profond de mon âme. Rien ne saurait l’arrêter sur ce chemin et surtout pas mes peu convaincants «Pitié Maîtresse» qui se perdent sous les claquements des badines.
Ses ordres font passer la douleur au second plan. Priorité au plaisir de Ma Maîtresse.
L’environnement m’échappe, je suis exclusivement la chose de Ma Maîtresse. J’aime ressentir Son plaisir, Ses vibrations. Au bout du bout, Elle me console, des larmes ont mouillées mes yeux, Elle me fait rire et je quitte à regret son emprise.
Cet épisode m’a fortement marqué aussi bien sur la peau que dans ma tête; Je suis Sa marionnette et je n’ai qu’un but, suivre Ses fils imaginaires qui me dirigent. Je ne suis plus moi, seulement Le prolongement de Ma Maîtresse.
Le don de moi est largement dépassé. Elle est venue tout simplement prendre ce qui lui appartient.
Il y aura encore beaucoup de moments intenses qui laisseront de beaux souvenirs dans toutes les têtes.
La nuit s’est écoulée hors du temps et nous fêtons la nouvelle année au dessert. Je prépare deux assiettes des délicieux gâteaux de S----- que j’apporte à Ma Maîtresse.
Nous sommes le premier jour de l’année et Son Sourire me ramène à ma place. C’est à terre, mes mains sous Ses Pieds, que je lape le dessert. Je retrouve cette place avec soulagement, indescriptible bonheur qui s’amplifie quand Ma Maîtresse me gratifie de Ses restes.
J’ai apprécié Son cadeau car j’ai pu plus facilement échanger avec tout le monde.
Et pourtant je reviens à la place que m’accorde généreusement Ma Maîtresse comme le plongeur en apnée qui viens reprendre sa respiration après une longue plongée. Je revis !
Ma Maîtresse décide de terminer ce beau réveillon. Saluer les invités m’est de nouveau interdit, C’est Ma Maîtresse qui s’en charge. V----- a quand même profité d’un moment d’inattention de Ma Maîtresse pour contourner l’interdiction dans un grand sourire !
Chut, surtout ne le répétez pas, hi, hi.
La parenthèse est bien refermée.
Je fini la soirée par une belle bêtise en regagnant la voiture. J’ai tellement honte que je vais la garder en moi pour qu’elle soit l’ortie qui viennent me rappeler mes obligations vis à vis de Ma Merveilleuse Maîtresse.
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Invariablement, ma gamelle est remplie de la même bouillie fade depuis le début de la sélection. J’en absorbe une petite quantité puis je m’écroule de fatigue sur ma couche.
Toujours aussi tôt, Allan vient me chercher. J’ai intérêt d’être éveillé sinon le seau d’eau froide me sort brutalement de mes rêves.
Allan m’annonce qu’aujourd’hui une présélection va être faite et qu’il fallait mieux que je sois présentable. Le petit déjeuner fût vite expédié et Allan me rinça vigoureusement avec son jet. Il m’insère un nouveau plug bien volumineux dans l’anus et accroche la laisse à l’anneau qui le termine.
Enfin, mes mains sont menottées dans le dos et mes bracelets de cheville sont reliés par une chaîne qui me laissent suffisamment de liberté pour me mouvoir facilement.
Prenant la chaîne, Allan me tire jusqu’à une grande pièce avec un large mur où quelques soumis sont déjà alignés, à genoux, la lanière de la laisse entre les dents. Chacun a un panneau où est inscrit un numéro et tenu par une cordelette passant derrière leur cou. Je les rejoins bien vite dans la même position et je porterais le numéro 4. De nouveaux soumis sont alignés contre le mur. Cela fait vente aux esclaves.
Nous sommes bientôt une douzaine quand entrent dans la pièce Maîtresse Célia et les trois Maîtresses qui nous ont testé.
C’est Maîtresse Célia qui prend la parole.
-«Chers soumis, vous avez enduré de doux supplices et vos Maîtresses ont eu tout loisir de se faire plaisir. Comme vous êtes plus nombreux que nécessaire, nous avons fait un premier tri et les soumis éliminés disposeront de 30 mn pour reprendre leurs affaires et disparaître de notre vue. Pour les autres, Vos Maîtresses vous accorderons le bouquet final.
Voyez, il y a 6 cages. Ceux qui seront retenus seront enfermés là. Pour les autres, c’est la porte au fond où vous serez conduit vers la sortie.»
-«Que la sélection commence»
C’est la Maîtresse aux cheveux rouges qui lance les hostilités.
-«N°…. 8 ….éliminé, N°…. 11…... éliminé». Les pauvres soumis sont vite éconduits et les coups de cravache pleuvent pour accélérer le mouvement.
A chaque annonce, mon cœur s’emballe
C’est au tour de ma première Maîtresse de continuer.
-«N°….2 ….dehors, N° ….7 …...dehors»
Aïe, ne reste plus que 2 pestiférés. Je commence à croire en mes chances.
Et maintenant, au tour de Maîtresse «Furie», de couper les têtes.
-«N°…. 4…...», je suis au bord des larmes d’être éliminé si près du but et puis après un long silence, Maîtresse lance :
-«Retenu, vite dans la cage» en m’accompagnant de son fouet que soudain je trouve bien doux.
Très fier de son effet, Maîtresse Furie continue avec un grand sourire.
-«N° ….1» un silence pesant s’installe.... «Éliminé».
Ah le pauvre, j’ai bien cru qu’il allait s’évanouir, persuadé qu’elle allait l’envoyer dans une cage.
-«N°…..10» Ambiance lourde, le 10 ne sait plus à quoi s’attendre
-«Dans la cage et vite» Il ne se fait pas prier et s’effondre en pleurs après être passé par tous les états de stress.
Les Maîtresses sont hilares. Maîtresse Furie passe le flambeau à Maîtresse Célia qui aura le plaisir d’annoncer le dernier éliminé. Recroquevillé dans ma cage et soulagé d’avoir été rapidement fixé, je plains les derniers candidats. Que va-t-elle inventer pour les maintenir sous pression ?
-«N°….. 3». Il est prêt à s’élancer vers la sortie quand Maîtresse Célia lui lance «Joker»
Elle le place sur le coté et lui dit
-«Tu as encore une chance, je vais appeler les derniers soumis pour les envoyer vers leur cage. Si une des Maîtresses juge que tu vaux mieux que lui, elle criera «Joker» et tu prendras sa place»
Terrible, Maîtresse Célia a trouvé la pire des situations pour ce pauvre soumis suspendu à un secours improbable et elle enchaîne :
-«N°….5» Pas de joker des autres Maîtresses alors N° 5 s’empresse de gagner sa cage.
-«N° ….6» Toujours pas de joker et il s’engouffre dans la cage sans demander son reste.
-«N°…..12» Il atteint si vite la cage que je me demande si une Maîtresse aurait eu le temps de crier «Joker» avant qu’il n’arrive dans la cage !
-«N° ….9» et immédiatement un «joker» retendit comme un coup de poignard pour le 9 qui quitte la pièce complètement abasourdi. C’est Maîtresse Furie qui a choisi, plus sans doute pour les détruire moralement que pour un choix de raison.
Toujours est-il que N° 3 se retrouve dans une cage alors qu’il avait pratiquement perdu tout espoir.
Nos Maîtresses ont fait fort pour anéantir notre volonté.
Maîtresse Célia reprend vite la parole.
-«C’est vous les derniers élus. La finale sera dure. Pour aujourd’hui, vous allez subir l’épreuve de la canne anglaise. Le classement sera fait en fonction de votre degré de résistance avant que vous demandiez pitié.»
-«Vous ne vous verrez pas et donc vous n’aurez aucune idée de votre place. Mais nous sommes gentilles, vous vous entendrez crier de douleur»
Un premier soumis est emmené dans une pièce voisine et commence une interminable litanie de coups et de gémissements. Aucune idée de sa résistance mais nous avons aussi mal que lui.
Les râles cessent et nous comprenons qu’il est arrivé au bout de sa résistance.
Un deuxième, puis un troisième soumis est littéralement traîné vers la pièce à supplice car la douleur des uns use la résistance des autres comme s’ils recevaient eux mêmes les coups.
Nous ne pouvons même pas nous boucher les oreilles avec nos mains menottées.
Enfin vient mon tour. A peine dans la pièce, mes bras sont tirées vers le haut et je suis tout offert à mes fouetteuses. La canne est terrible car la douleur s’irradie dans le corps comme une balle de fusil.
Les trois maîtresses sont là avec chacune une canne alors les coups pleuvent à une vitesse vertigineuse sans que la douleur ne se soit estompée avant le coup suivant.
Je résiste autant que je peux sans même pouvoir compter le nombre de coups et c’est pratiquement désarticulé, les larmes dégoulinantes de mes yeux que je finie par crier «pitié»
L’on me détache, j’en suis à peine conscient et c’est entre deux bras costauds que je serais traîné vers ma cellule et jeté sur ma couche. Malgré la douleur, je ne tarde pas à m’endormir tant la séance m’a vidé.
A suivre
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Vous m’aviez demandé Maîtresse de trouver des bogues lors de mes randonnées
Alors, avec ce sac plein d’enveloppes piquantes de châtaignes Vous arborez un large sourire.
A peine arrivé, Vous me faites déverser ces belles châtaignes dans un grand bac plastique qui devient ma niche.
Vous m’intimez l’ordre de m’asseoir sur ce tapis digne d’une planche de fakir et c’est douloureusement, dès les premiers contacts, que je pose mes pieds et mes fesses dessus. Les genoux recroquevillés contre mon ventre, Vous m’attachez les chevilles, puis les poignets que Vous passez derrière ma tête avant de me fermer la bouche avec un bâillon boule.
Vous m’expliquez attendre de la visite et c’est ainsi que je patienterais. Les bogues me pénètrent de plus en plus les fesses et même l’anus. Le moindre mouvement est une souffrance.
Vous accueillez et discutez avec Votre invité qui ne semble pas surpris de voir au milieu de votre salon un homme assis nu, ligoté dans une boite en plastique remplie de bogues !
Je suis tellement concentré sur ma position épineuse que votre discussion m’échappe. J’attends seulement qu’elle s’achève.
Ma posture est des plus inconfortables; les cervicales contraintes par mes bras me font souffrir, les bogues attaquent la peau tendue de mes fesses.
Je serre la boule du bâillon avec mes dents comme si cela pouvait améliorer ma situation.
Avez-vous remarqué comme l’attente est longue quand vous en ignorez l’issue ? Et bien là, c’est l’éternité qui défile.
C’est avec soulagement que je Vous entends raccompagner Votre visiteur.
Quelle soulagement d’avoir Votre sourire devant moi même si Votre main tient fermement une cravache que Vous baladez sur mon corps offert.
Les bogues Vous inspirent et Vous construisez un petit château entre mon sexe et ma Mâchoire. Elles tiennent difficilement. Vous arrivez quand même à Vos fins et c’est avec la cravache que Vous les expulserez sans ménagement de mon entre-cuisses, m’arrachant quelques rictus de douleur.
Vous prolongez Votre jeu avec un plaisir évident Vous servant de Votre cravache pour placer idéalement les bogues sous mes fesses meurtries.
J’ai bien bavé sur mon ventre avant que Vous retiriez mon bâillon et que Vous libériez mes membres entravés.
Vous me rendez un semblant de liberté pour ouvrir toutes les bogues avec mes pieds puis avec mes fesses. Ma douleur vous fait sourire. Malgré cela j’accélère le mouvement comme Vous me l’intimez.
Je tente timidement d’en ouvrir quelques unes avec mes mains, Votre cravache m’en dissuade instantanément ; aïe mes doigts !
Je maudis ces bogues bien vertes qui refusent désespérément de s’ouvrir malgré les coups que je leur porte avec mes fesses. Elles me répondent du tac au tac en enfonçant leurs piquants dans ma peau meurtrie.
L’envie d’en finir et Vos sourires quand je me tortille sur les bogues décuplent mon énergie. Je me hâte autant que faire se peut pour toutes les ouvrir. Encore une ou deux qui tentaient d’échapper à mes fesses. Enfin j’arrive au bout de mon supplice.
Le moment du verdict est arrivé. Après m’avoir demandé si j’avais bien tout ouvert les fruits, Vous vérifiez avec la cravache qu’aucune châtaigne n’ait résisté à mes fesses. Vous me punirez pour chacune d’entre elle restée figée dans leur bogue. Finalement, je m’en sort plutôt bien et Votre main ne récupère que trois bogues encore fermées. Vous me les faites ouvrir avec mes fesses. Les aller retour sur les fruits sont encore plus douloureux car ma peau avait eu le temps de se détendre.
Enfin elles cèdent. Énorme soulagement car j’étais à bout, prêt à verser les larmes de l’impuissance.
Vous me demander de me relever et je verrais plus tard que mes fesses ont des airs de surfaces lunaires. En attendant un simple contact de mes mains me fait deviner un beau champ de labour et une sensitivité à fleur de peau.
Je pensais être sorti d'affaire avec ces maudites châtaignes en me retrouvant attaché, les yeux bandés à me faire fouetter.
Mais ce n’était qu’un intermède. Vous me ramenez finalement à ma niche piquante.
Vous me guidez car Vous m’avez maintenu aveugle, et je me retrouve assis sur ce matelas de douleur que Vous avez soigneusement étalé au fond de ma niche. Elles sont bien plus résistantes que mes fesses car ma peau est de nouveau soumis à leurs pics dévastateurs. Je suis tendu comme un arc, leur offrant un terrain de jeu propice à leur agression.
La nature est impitoyable surtout quand Vous la détournez à vos fins. Vous en extrayez habilement la quintessence pour Votre unique et immense plaisir.
Je me cramponne, mon équilibre est instable et la douleur toujours aussi intense.
Vous passez discrètement au-dessus de moi et je suis surpris de sentir un filet chaud qui me coule sur les épaules, le long du dos, me noyant de Votre urine.
- Qu’est que j’aime t’utiliser comme chiotte Mon soumis.
Ma place est là et je m’en contente malgré l’humiliation.
- Merci Maîtresse
Vous me libérez de mon bandeau et voir Votre sourire épanoui me réjouit après cette dure épreuve. Il est à la fois mon soulagement et ma récompense Maîtresse.
Je comprends mieux pourquoi je repousse sans cesse mes limites en voyant Votre sincère satisfaction. J’ai enfin découvert ma raison de vivre même si Vous appartenir Maîtresse n’est pas de tout repos.
Maudites châtaignes !!!
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La journée avance et Maîtresse Célia profite longuement de mes massages. J’en ai les mains douloureuses et je verrais d’un bon œil un changement d’activité. Maîtresse Célia m’a sans doute entendu car elle me demande de la rechausser.
Je le fais avec délicatesse même si ce n’est pas mon fort.
Maîtresse Célia se lève et me demande de déplacer le banc d’auscultation jusqu’au centre de la pièce. Pendant ce temps, elle sort quelques cordes d’un grand buffet.
Appuyé contre le banc, elle m’enserre complètement le torse jusqu’au bas des reins puis m’intime de m’allonger à plat ventre sur le banc. Avec une nouvelle corde. Elle prends mon ceinturage en plusieurs points, passe la corde sur une poulie au-dessus du banc puis la relit à une boucle que je n’avais pas remarqué dans le mur. En tirant fortement, je me sans décoller légèrement du banc.
Me tirant les bras vers l’arrière, elle me bonde les avants bras l’un contre l’autre et les relis également à la corde centrale
Utilisant une corde comme un mord Elle me tire la tête en arrière . Il ne lui reste plus qu’à faire une petite mise en scène pour garder un souvenir de son bondage.
Elle allume quelques grosses bougies qu’elle glisse sous mon corps. Je commence à ressentir une grosse chaleur. Maîtresse me fait tourner pour m’immobiliser dans la pose qui lui convient le mieux.
Éteignant les spots principaux, je ne distingue plus que des lueurs chancelantes venant des flammes des bougies.
Cette ambiance convient sans doute à Maîtresse car elle a pris son téléphone et prends un tas de clichés. Je peux également admirer son œuvre à travers un grand miroir presque devant mon champs de vision. C’est jolie mais je commence sérieusement à souffrir car les cordes m’entrent dans les chairs
Pour sa part, Maîtresse ne semble pas pressée de me libérer. Après le shooting photo, elle me fait tournée plus ou moins vite au bout de cette corde.
Les bougies ont bien fondues, Maîtresse les prends et les vident sur mon corps. Je sens couler la cire sur mes côtes, mon sexe, ma raie ce qui lui donne une nouvelle idée.
Elle va chercher un gros plug avec un cœur rose bien brillant comme base. Après l’avoir lubrifié, elle me l’enfile d’un coup sec, si l’on peut dire, dans l’anus. Je n’ai même pas eu le temps de crier ce qui ne m’était pas vraiment permis avec le mord que j’avais entre les mâchoires.
Elle veut sans doute le sceller, car elle me verse une belle coulée de cire dans ma raie, me brûlant encore un peu plus.
Maîtresse me fait virevolter et capte encore quelques images avec son téléphone.
Je suis complètement à sa merci sans possibilité de bouger un cils, ni d’émettre le moindre son.
Maîtresse replace les bougies sous mon corps. Un petit sourire sadique me fait bien comprendre qu’elle n’en a pas fini.
Glissant ses mains sous mon torse, elle me pince les tétons m’arrachant quand même des gémissements. Elle se munie de pinces japonaise avec des poids reliés à une chaînette qu’elle me fixe sur les tétons. La douleur est vive bien qu’elle s’estompe assez rapidement.
Maintenant Maîtresse décide de me débarrasser de la cire avec son martinet en cuir. Les parties de peau que les cordes ne protègent pas subissent un fouettage en règle avec à la clé de belle traces rouges
Nouveau shooting photo qui me semble durer une éternité.
Enfin, Maîtresse me libère les tétons pour une nouvelle vive douleur qui se dissipe quand le sang a repris sa place.
Elle rapproche le banc sous mon corps et je sens que le supplice va bientôt prendre fin. Enfin presque, car mon poids a serré fortement les nœuds. Après m’avoir redescendu sur le banc, Maîtresse commence à défaire avec difficulté tous les nœuds de son bondage.
Aïe, je n’avais pas imaginé qu’elle en avait fait autant. Enfin, mes membres retrouvent une relative liberté car ils sont tellement endoloris qu’ils mettent quelques temps à retrouver une douce mobilité.
Maîtresse me libère les bras puis je torse me permettant de m’asseoir sur le bord du banc puis de retrouver le sol avec mes pieds. L’équilibre suivra avec un petit temps de retard.
A sa mine réjouis, je vois que Maîtresse a appréciée. Elle a sans doute une bonne connaissance de ma souffrance car Maîtresse me demande de ramper et d’embrasser ses pieds profitant de ma position pour me gratter les cheveux.
Je le prends pour un compliment et je récupère un peu d’énergie
Me remettant ma laisse et l’attachant au banc, Maîtresse Célia s’éloigne tranquillement d’une élégante démarche.
«Allan viendra te chercher pour te remettre en cellule, peut-être à bientôt. Passe une bonne nuit»
«Merci Maîtresse»
A suivre ...
En marge de cette fiction, je dédie ce texte à Ma Maîtresse qui a su me faire aimer les cordes
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J’attends patiemment ma pâtée étant sans doute le seul à ne plus sentir la puanteur de ma couche. Après quelques heures Allan m’apporte mon repas qui devient mon réconfort.
Pour la boisson, je travaille en autarcie complète ; je pisse, je bois, je pisse, encore et encore.
«Je vais te débarrasser de cette couche immonde, allez lève-toi» me dit Allan
Il la prends et la jette prestement dehors tant elle pue.
«Voilà ce sera mieux, tu seras plus facile à laver demain.
Désolé, mais je n’en ai pas d’autre»
Je me retrouve donc directement sur la planche. C’est dur mais enroulé dans ma couverture, c’est plus agréable que sur ce matelas immonde.
Je m’endors vite. Le réveil sera très matinal.
Allan vient me chercher comme d’habitude pour un petit déjeuner toujours exclusivement uro. Après cela, c’est le traditionnel décrassage au jet d’eau bien froide.
Il me remplace mon rosebud par un plug avec une grande queue de renard. Il m’attache les mains dans le dos avec une paire de menottes métalliques et m’emmène en laisse jusqu’à un bel appartement. Il me laisse au milieu d’un grand salon plus aménagé pour le SM que pour la détente.
C’est avec surprise que je vois entrer Maîtresse Célia. Elle congédie rapidement Allan et s’adresse à moi sur un ton courtois.
«Aujourd’hui, j’avais envie de me détendre alors j’ai voulu voir si tu mérites d’être ici.
Pour moi, tu n’es rien et tu n’as aucune chance de devenir mon soumis.
Tu sera mon objet toute la journée et je te demande respect et soumission»
Je suis au milieu de la pièce, tête baissée et je l’écoute sans broncher.
Je m’apprête à lui répondre mais je reçois une gifle dans la seconde.
«Je ne t’ai pas autorisé à parler alors tu évites de m’interrompre.
Je veux que ton seul horizon soient tes pieds.
Maintenant tu vas au coin, tête contre le mur»
Son ton est posé, ferme et je m’empresse de lui obéir. Elle me fait écarter le jambes pour me fixer un écarteur au chevilles. Penché , la tête contre le mur. Ma position n’est pas des plus confortable. J’entends Maîtresse Célia s’éloigner et me lancer :
«Je vais appeler quelques amies, alors SILENCE. Ta punition durera le temps de mes appels et mes amies sont assez bavardes»
Je souffre déjà et l’avertissement de Maîtresse Célia ne m’annonce pas une fin prochaine de mon supplice.
Elle passe un 1ère appel assez court et mon moral remonte. Elle enchaîne malheureusement un deuxième appel qui dure une éternité. J’ai le front écrasé, les cervicales de plus en plus douloureuses.
Le silence qui suit la fin de son appel me rassure et encore plus quand je l’entends dire :
«Approche»
«Oui Maîtresse»
.Avec les menottes et la barre d’écartement, c’est plus facile à dire qu’à faire. J’arrive à me redresser douloureusement et je la rejoins en dandinant. Arrivé à ces pieds, elle me libère les chevilles et les poignets. Son sourire est encourageant et je ressens son envie de prendre du plaisir.
«Met-toi ici, écarte les jambes et lève les bras»
Ainsi présenté, elle m’attache les chevilles et les poignets à des sangles qu’elle tend très fort pour m’écarteler.
Maîtresse Célia a en main une canne anglaise très fine avec laquelle elle me fouette sèchement. Ces coups sont précis et les traces de la canne dessine bientôt un beau motif écossais. Je suis nu mais elle ne tarde pas à m’habiller de cette fresque géométrique qui vire du violet au rouge. Maîtresse Célia jubile et cela transpire sur son visage. Elle m’a gravé un body coloré des pieds aux épaules.
Les traces que j’aperçois sont profondes et quelques gouttes de sang en suinte légèrement. Ma peau est chauffée à blanc.
Contente de son œuvre, Maîtresse Célia me détache précautionneusement comme pour ne pas casser son objet.
D’un geste autoritaire, elle me montre le sol m’intimant de me mettre à genoux, les mains sur la tête, le regard vissé au sol.
« tu as bien sali le salon, alors il va falloir faire le ménage Ma Renarde»
Elle sort d’un tiroir une jupette et un soutien-gorge de soubrette que j’enfile prestement.
Elle me trouve également des escarpins avec talons de bonne hauteur. Maîtresse Célia m’humilie habilement avec ce costume et ma queue de renard. Pour accroître encore ma soumission, elle me demande d’aller chercher une balayette, une pelle, un seau plein d’eau chaude, une brosse et une serpillière.
«Aller, à quatre pattes et frotte»
C’est avec ces outils dérisoires que je dépoussière et que je lave le salon sous le regard de Maîtresse Célia qui me tangue régulièrement,
«plus vite, c’est pas propre, frotte plus fort et puis regarde tout ce qui reste» après avoir donné un petit coup de pied dans ma pelle que je venais juste de remplir…
Elle me chevauche, me cravache toujours plus sèchement.
Elle rit de bon cœur en précipitant ma maladresse naturelle. Son rire est communicatif mais un coup sec de la canne anglaise me remet vite à ma place.
Ouf ! malgré tous les efforts de Maîtresse pour que je n’arrive pas à laisser le sol nickel, je termine tant bien que mal mon épreuve de Sissi.
«Bien, tu vas préparer le repas»
Après avoir chauffé son déjeuner, je lui sers son repas sur la table de la salle à manger. Maîtresse exige que je me déplace exclusivement à quatre pattes. Entre les plats, je suis à genoux à côté d’elle. Je suis attentif à ce qu’elle ne manque de rien. C’est seulement par mon service impeccable que Maîtresse me fait l’honneur de ses restes dans une gamelle de chien. Je lape avec difficulté cette gamelle qu’elle a posé à ces pieds, la poussant subrepticement pour me rendre la tâche encore un peu plus ardue.
A la moindre faute, Maîtresse me retire la gamelle tant que je ne lui ai pas donné satisfaction.
Maîtresse est juste. Elle me caresse les cheveux pour me montrer sa satisfaction.
«Bon toutou, tu peux débarrasser maintenant et faire la vaisselle»
Je ne perds pas de temps pour lui obéir car à quatre pattes, c’est nettement plus lent ce qui exaspère vite Maîtresse Célia. La canne anglaise me le fait bien comprendre et j’accélère autant que possible.
«Bien, dès que tu as fini, aux pieds dans le salon, je suis sur le divan»
Je ne tarde pas à me prosterner à ces pieds.
«Ôte moi mon escarpin et tend ta main»
Elle me déverse une noisette de crème de massage au creux de la paume.
Je commence à lui masser les pieds puis les mollets avant de prolonger avec l’autre pied de Maîtresse.
«Tu es plus doué pour les massages que pour enlever les chaussures»
Je baisse la tête à la fois flatté et honteux.
Ma journée aux pieds de Maîtresse Célia continue, je vous la raconterais bientôt
A suivre ….
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Il me semble être le matin mais ce n’est pas une certitude. Je me réveille dans une horrible puanteur qui ferait fuir un putois.
Allan vient me chercher et me passe au jet bien plus longtemps que d’habitude. Malgré l’eau froide, j’ai l’impression de revivre.
J’ai toujours mon collier, mes bracelets de poignets et de chevilles et maintenant un plug de bonne taille. Je reste à 4 pattes et Allan me traîne littéralement dans une grande pièce un peu dépourvu de tout et assez sombre.
«Aujourd’hui, je ne voudrais pas être à ta place» me lance Allan qui est pourtant d’un naturel peu bavard.
Agenouilles toi vite et prends ta position d’attente mains derrière la tête»
J’ai à peine fini que rentre une nouvelle Maîtresse. Toute habillée de vinyl noir avec une crinière rousse, elle en impose.
J’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche,
" Bonj….» que je reçois un grand coup de pieds dans les couilles qui me fais me rouler à terre "
Elle se précipite sur moi, m’immobilise avec son genou sur les côtes et me saisit les cheveux à me les arracher.
Elle me fixe et sur un ton furieux me lance :
«Tu n’est qu’une merde, une larve et je ne t’ai pas autoriser à parler.
Et puis je n’ai pas envie d’être salué par une merde. Moi les merdes je les jettes dans les chiottes...»
Aïe, aïe, aïe, ça commence mal !
M’agrippant toujours par les cheveux, elle m’oblige à diriger mon regard vers elle et me crache au visage.
« Ne te permet même pas de lever les yeux sur moi, sinon je te démonte »
Et sur ce elle me jette vers le sol que je heurte violemment du front. A moitié abasourdi, elle me met à nouveau, un grand coup dans les parties avec la pointe de ces escarpins.
Je crie de douleur ce qui ne la calme pas vraiment.
« Une merde ça ne crie pas, alors ferme la ou je t’assomme. Joignant le geste à la parole, je reçois une gifle qui m’envoie encore au sol. »
Me relevant par les cheveux elle me fait agenouiller en me frappant l’arrière des genoux qui se retrouve bientôt en compression sur un cintre.
« Mains sur la tête et baisse les yeux avant que je ne me fâche »
Ah bon, cela devait être son côté gentillet jusqu’à maintenant !
Je l’entends appeler Allan.
« Allan, dépêche toi va chercher les autres soumis comme je te l’ai demandé. J’espère que tu les as bien préparé.
Oui Maîtresse » s’empresse-t-il de répondre
Il fait d’abord rentrer quatre soumis et les met à genoux, mains à plat sur le sol aux 4 coins de la pièce.
Maîtresse Furie, comme je l’ai surnommé dans ma tête en fait le tour pour vérifier si leur position lui convient. Elle trouve à redire à chacun et leur assène des coups d’escarpin sur les couilles, côtes, cuisses selon ce qui lui tombe sous …. le pied.
J’ai une position presque enviable, la tête tournée vers le centre de la pièce mais n’est ce pas un piège pour mieux me punir ?
Enfin sur un signe, Allan fait rentrer presque solennellement le dernier soumis. Maîtresse Furie se saisit de sa laisse et l’amène au centre de la pièce, lui attache les bras en les tirant vers le plafond et lui impose une barre d’écartement aux chevilles.
Elle n’a d’yeux que pour lui et tourne autour en le dévisageant avec envie. Un petit sourire narquois au coin des lèvres lui donne presque un visage accueillant.
Elle a maintenant saisi une cravache qu’elle promène sur tout le corps sportif de son soumis. Et puis, l’orage arrive et une déferlante de coups de cravache commence à le marquer sérieusement. Je l’entends demander pitié mais rien ne l'arrête et, épuisé, il pend au bout de ces cordes.
Le cintre fait son effet et la douleur devient lancinante. Je n’ose ni me plaindre, ni la regarder. Un silence pesant règne. Elle s’est sans doute mis en pause pour que son soumis récupère. Ne semblant pas être du genre à rester inactive, elle fait vite un tour des autres petites merdes selon ses termes avec un gros paddle qui marque nos fesses sans exception. Étant le seul à avoir une vue sur son activité, je me prends un gros crachat en pleine figure et deux gifles en aller retour qui me font vaciller.
«mais…» tente-ai je de dire
Et nouvelle grosse gifle avant de terminer ma phrase
« Ferme la, tu ne m’intéresse pas, tu n’est qu’une merde qui pue »
Ce fut ma dernière tentative de dialogue, si l’on peut dire cela d’un mot inachevé mais pas ma dernière gifle.
Maîtresse Furie s’est ouverte une petite parenthèse mais repart bien vite vers le soumis qu’elle a semble-t-il adopté. Elle est sévère, bien sadique alors il faut avoir une sacrée santé pour la satisfaire.
Elle s’en approche à petit pas et vient se frotter langoureusement contre lui mais rien ne dure avec Maîtresse Furie. Elle le détache et le plaque au sol sur le ventre. Elle lui monte dessus le dos et les fesses. Avec ses talons bien fins, elle lui pénètre la chair jusqu’au sang et le pauvre gémie de plus en plus fort. Dérangé par ce bruit, elle lui passe un bâillon boule qu’elle serre avec sa délicatesse habituelle.
Reprenant le fil de son activité, elle lui griffe le dos comme pour marquer un chemin sous les traces de ses talons.
On entend «Humm, Humm» malgré le bâillon
Pas rassasié, Maîtresse Furie le retourne et le chevauche sur le ventre d’abord vers le torse, puis vers le sexe où elle lui écrase les couilles avec le plat de ses escarpins.
Satisfaite, elle en descend et le relève sans ménagement, elle lui prend les tétons entre les ongles et serre si fort que son soumis sortira quand même un cri de douleur étouffé.
Je ne peux deviner les sentiments de son soumis mais Maîtresse Furie ne cache pas son plaisir en poussant son soumis aussi loin hors de ses limites.
Elle est constamment active et nous prenons quelques coups de paddle au passage comme des balles perdues.
Vu son intérêt, elle ne nous sélectionnera probablement pas, nous autres les moins que rien qu’elle ignore de plus en plus.
A tel point qu’elle rappelle bruyamment Allan pour qu’il nous enlève de sa vue.
« Allan, ramènes ces merdes dans leur chiotte, il n’y a rien à faire avec de telles épaves »
Nous faisons profil bas, honteux d'être ramené à des merdes.
Allan s’exécute sans mot dire, et nous ramène en laisse à nos cellules. Le cintre a laissé des traces et c’est en rampant que je m’exécute, humilié encore un peu plus, incapable d'adopter une posture humaine.
Maîtresse Furie en profite pour me lancer quelques coups d’escarpins dans les côtes et les bourses. Je rampe de plus en plus vite afin de lui échapper.
Elle a su nous rabaissé plus bas que terre et c’est profondément humilié que je me remet sur ma couche puante en attendant la bouillie du soir.
A suivre....
La fiction continue
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Mon repas m’attendais dans ma gamelle et je ne fais pas le difficile. Je lèche jusqu’à la dernière goutte. Toujours enchaîné au mur, je peux quand même m’étendre sur ma couche. Je m’endort rapidement même si ce n’est pas le grand confort.
Au matin, c’est un seau d’eau qui me réveille. Enfin, j’ai cru à l’eau mais l’odeur m’a vite convaincu de mon erreur et c’est un seau de pisse qui m’a été jeté à la figure.
Quelle n’est pas ma surprise de voir ma Maîtresse de la veille tenant encore le seau.
Elle est toujours aussi splendide tout de rouge vêtue.
«Bonjour la lope, tu es prête ?
-Allez debout , la journée va être chargée.
-Bonjour Maîtresse»
Je m’empresse de me lever malgré une vue bien embrumée par la fatigue.
C’est Allan qui comme d’habitude me lessive au jet d’eau froide. Je grelotte et ma Maîtresse semble prendre plaisir à me voir trembler comme une feuille.
Elle me passe la laisse sur mon collier et me tire prestement vers le couloir. Nous parcourons quelques dizaines de mètres et je me retrouve dans une grande pièce avec une sorte de porte de garage au fond. Au centre, trône un chevalet noir avec un carcan à sa tête. Maîtresse m’ordonne de m’allonger sur le ventre et de poser la tête et les poignets dans le carcan. Elle en referme la partie supérieure et la bloque avec un cadenas.
Mes genoux sont posés sur deux plateaux le long du chevalet. Je me retrouve le cul bien offert à qui veut le visiter.
Cela ne tarde pas. Maîtresse me le remplit de gel et c’est avec un gode monstrueux qu’elle force ma rondelle. Elle me dilate presque en douceur avant d’enfoncer le gode bien profond. Les allers et retours de plus en plus rapides me démontent complètement l’anus et je crie de douleur.
Mes cris la motivent de plus en plus et je suis à la limite de lancer le safe-word. Elle a de l’expérience et ressens ma douleur qui la réjouis.
C’est assez étonnant mais cette Maîtresse me pousse dans mes limites et ce n’est pas fini.
Elle finira par me déstabiliser en me demandant l’heure qu’il est.
«Je pense que nous sommes en milieu de matinée Maîtresse»
Elle rit, je ne sais où me mettre.
«Et bien nous sommes plutôt en fin d’après-midi.
On t’a bien emmené à l’Ouest» rit-elle encore
Elle enchaîne et me plante un crochet boule dans l’anus. Elle l’accroche au plafond et tir fort pour me relever le cul.
«Ça va être bientôt le moment de nous prouver ta motivation.»
J’entends un rideau métallique se lever et au fur et à mesure un brouhaha qui laisse bientôt place à des cris de surprise.
En fait , je me retrouve sur une scène à la vue d’une petite foule. J’apprendrais plus tard qu’il s’agit d’un bar SM qui organise des soirées animées.
La surprise laisse place à la curiosité et les clients ne bousculent pas leur conversation pour mon cul.
Maîtresse s’adresse à eux en les invitant à venir tester les fouets, cravaches, roulettes et autres ustensiles.
Le premier client à se présenter est une femme qui prends un long fouet pour me marquer les fesses. Je suis dans un état second sans vraiment réagir à la douleur.
Ma passivité apparente a tendance à exciter les clients. Maîtresse veillent à mon intégrité en réfrénant les acteurs les plus virulents. Elle me retire le crochet et sélectionne un mâle qui ne tarde pas à me défoncer. Je n’est plus de douleur tant Maîtresse m’a dilaté et je fini même par avoir une sorte de jouissance. Le mâle laisse bientôt la place au strap-on de la cliente qui m’a bien fouetté.
Il fait le tour du chevalet et me présente sa queue qu’il enfonce jusqu’au fond de ma gorge. Je ne peux pas refuser et c’est des hauts le cœur qui me remontent depuis l’estomac.
Il se retire un peu et je dois lécher, sucer. Il lâche un grand jet de sperme chaud dans ma bouche, s’essuyant le gland sur mon visage.
Un autre lui succède qui se branle pour m’envoyer un nouveau jet en pleine figure.
Je ne sais pas combien de bites j’ai du engloutir, mais je dégoulinais de spermes. Pendant ce temps mon cul n’était pas épargné et je me suis fait baiser comme jamais je n’aurais pu imaginer. Je ne ressentais plus vraiment de sentiments tant j’étais lessivé.
Maîtresse calma un peu l’ardeur des clients pour me laisser reprendre mon souffle. Elle savait parfaitement me gérer pour jje puisse durer selon son envie
Certains en profitèrent pour me passer la roulette sur le dos, me griffer de la nuque au bas du dos.
Plusieurs martinets ont été testés et je ne pouvait m’empêcher de gémir de plus en plus fort.
Trois jeunes qui devaient enterrer une vie de garçon vinrent se branler devant moi. Chacun leur tour il venait se faire sucer puis repartait se branler un peu plus loin. Ils se firent gicler dans ma bouche avec un grand râle. j’ai du avaler tout leur sperme.
La soirée doit arriver à son terme car Maîtresse prépare son bouquet final. Elle demande à 6 garçons de se mettre de chaque côté du chevalet. Elle leur demande à se branler et de gicler sur mon dos. Pendant cela, elle me gode l’anus pour profiter de l’explosion de sperme. Elle va être au première loge.
Un dernier client vient à nouveau devant moi et se fait sucer. Ma bouche est devenue un masturbateur mécanique.
Je sens les garçons se secouer sur mon dos puis d’un seul coup tout explose. Les garçons éjaculent sur mon dos mettant Ma Maîtresse aux anges pendant que je reçois une nouvelle giclée en pleine gorge.
Je dois encore essuyer avec ma langue toutes ces bites avant que Maîtresse renvoie tout le monde au bar. J’entends la porte se refermer en même temps que les clients sifflent bruyamment.
La porte s’est fermée et le calme est revenue.
Maîtresse me libère et je reprends difficilement pied.
Je suis gluant de partout et Maîtresse m’impose au final de me lécher tout le corps accessible par ma langue.
Je n’ai jamais été autant humilié. Même un objet aurait pleuré.
Maîtresse me ramène à la douche et elle me lave personnellement à la lance. Je suis plaqué au mur et j’ai du mal à supporter l’eau froide.
Sans un mot, c’est Maîtresse qui me ramène à ma cellule. Ma gamelle est pleine mais aucun appétit après avoir absorbé autant de sperme.
Maîtresse me rattache au mur et me pousse sur ma couche qui pue la pisse.
«J’ai un dernier plaisir à prendre avant de te laisser»
Et immédiatement elle me chevauche et me pisse dessus.
Je dois en boire le plus possible mais ma couche en recevra sa dose. Après tout ce sperme, c’est un bain de bouche salvateur.
Malgré l’humidité et la puanteur, je m’endormirais rapidement après que Maîtresse soit sortie de la cellule.
A suivre ...
J'ai bien déliré sur cette épisode et merci à Maîtresse de m'avoir redonner goût à l'écriture
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Maîtresse me fait venir à Ses pieds. C’est très reconnaissant que je me présente à Elle.
Maîtresse m’attends avec ce petit sourire malicieux qui fait monter la pression dès le premier regard.
Elle est belle, mystique dans Sa tenue noire. Déesse est la première pensée qui me vient à l’esprit.
Vous accueillez Votre chose avec beaucoup de tendresse. Cet accueil l’a déjà bien déstabilisé quand vous la glissez sous Vos talons !
Votre emprise est immédiate et Vos tourments s’enchaînent, fluides et intenses.
Vous l'avez piétiné, caressé, griffé...et tant d'autres choses.
Pour ces tétons martyrisés, vous lui avez demandé :
"C'est à qui cela ?
A Vous Maîtresse"
Et puis, pendue par les couilles, vous l'avez tiré par la Iaisse pour lécher Vos bottes. Avec empressement Votre chose a tenté de lécher. Mais vous l’avez frustré en reculant toujours plus pour que la tension des cordes lui brûle les testicules.
Sa langue a fait reluire le cuir, enfin l'infime partie que vous lui avez accordée, l’humiliant à chaque petit pas en retrait.
Vous l'avez fouetté avec sa propre ceinture pendant 60 secondes que vous lui avez demandé de décompter. Ce fût dur, l'envie d'abréger la souffrance en allant vite au risque de se tromper et de devoir recommencer. Les larmes ont coulées une première fois. Le cœur serré, vous avez relégué Votre chose dans un état primitif.
Vous avez obtenu son abandon qui l’a précipité dans un état de soumission si profond qu’elle ne voyait, n’entendait que Vous Maîtresse
Puis vous vous êtes emballé en la godant profond, humiliée car elle n'était pas aussi propre qu'elle aurait due être.
Les larmes de Votre chose ont embuées de nouveau ses yeux.
Vous êtes passé à ce fouet que vous aviez tressé. Quelques essais en variant le nombre de brins pour n’en retenir que 2 qui cinglaient vivement ses fesses.
Une telle intensité a mis Votre chose à vos pieds. Elle ne pouvait que lâcher prise devant tant de force, tant de passion.
A ce moment, Votre jouissance l’a récompensé de sa souffrance et à aucun moment, elle n'a cherché à se dérober. La douleur est devenue plaisir sous Votre joug.
Elle s'est abandonnée, nourrie de Votre énergie.
Vos crachats l'ont humiliés comme quand vous lui avez enfilé Votre gode jusqu'au fond de sa gorge. Elle a encore sucé, léché à se déchirer la bouche pour engloutir cette verge humide.
Vous l'avez traité de salope, de chienne ; elle a acquiescé même si la honte l'a fait pleurer.
Vous avez soufflé le chaud et le froid pour ne jamais lui laisser reprendre pied.
Votre chose a souffert mais Votre sourire taquin l'a plongé dans un état second.
Des moments inoubliables, des moments où vous avez extrait la quintessence de Votre chose Maîtresse.
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Je vous ai laissé en m’endormant très vite après ma journée en cage. Le matelas était le bienvenu et c’est Allan qui me réveille pour la préparation du jour.
-«Nouvelle Maîtresse pour toi aujourd’hui alors je vais te refaire une beauté surtout qu’elle te veut féminisé, alors on se dépêche»
Je n’échappe pas à la douche d’eau froide mais cette fois-ci, il me tend une serviette pour m’essuyer.
-«Tu trouveras sur le lit tous ce que tu dois mettre avant de recevoir ta Maîtresse et après tu reviens dans la salle de bains»
Je retrouve mes bracelets qui m’avaient été retirés, un plug de bonne taille, une paire de bas noir avec un porte-jarretelle, un string, une jupe courte en simili noir, un soutien-gorge et un chemisier dos nu noir, une perruque brune et des escarpins avec de hauts talons. Je me presse de m’habiller au mieux et je retourne à la salle de bains où je retrouve Allan qui me réajuste un peu tout pour que je sois présentable.
Il m’assoit sur un tabouret et me maquille comme une star mais je ressemble quand même plus à une fille de joie !
C’est avec la laisse qu’il m’entraîne dans la pièce principale où il me lie les mains et m’attache à un anneau au plafond par une corde qui me tend les bras vers le plafond. Mes chevilles sont écartées par une barre et je suis bien incapable de bouger dans cette position.
Comme d’habitude, Allan s’éclipse discrètement avant l’arrivée de cette Maîtresse.
Je n’aurais pas longtemps à attendre. Je vois arriver ma nouvelle Maîtresse. Elle est assez grande, habillée d’un body en cuir rouge, sur des talons immense mais le plus étonnant sont ces longs cheveux rouges. Maquillée discrètement, elle en impose avec sa cravache en main qu’elle triture comme impatiente de l’assouplir.
-«Bonjour Soumis, il faudra que tu me prouves que tu es capable d’être dévoué corps et âme»
-«Bonjour Maîtresse, je ferais le maximum pour que vous ne soyez pas déçu»
Sur ces quelques mots, elle m’impose le silence et tourne lentement autour de moi, sa cravache vient me caresser comme si elle aussi voulait me découvrir.
Maîtresse me soulève ma jupe et lance un «bien, il y a de quoi s’amuser» . Toujours en tournoyant, elle continue à me découvrir écartant mon chemisier pour faire apparaître mes dessous. Sur le dos, le contact est plus dur. Il faut dire que le dos nu attire la cravache qui me cingle quelques fois mais sans insister.
Maîtresse me détache poignets, chevilles et me tire vers un divan où elle s’assoit élégamment. Avec la laisse et la cravache, sans un mot, elle m’agenouille devant elle. Jambe croisée, elle me fait comprendre de lécher ces escarpins. Je lèche avec enthousiasme et le cuir brille de ma salive. M’intimant de le lui retirer, j’essaye de lui enlever avec douceur. Malheureusement, je ne suis pas très doué et je reçois vite un gros crachat en pleine figure comme signal de sa réprobation. C’est humiliant et je réussis à adoucir mes gestes.
Je met sa chaussure de côté pour lui tendre la main où elle déposera une noisette de crème de massage. Je lui masse délicatement toute la cheville et le pied, puis les orteils un par un en les étirant pour les faire craquer légèrement. J’ai la tête basse mais je crois qu’elle apprécie. La preuve puisqu’elle me tend le deuxième pied pour un nouveau nettoyage de chaussure. Je réussis à lui retirer sa chaussure plus délicatement et j’entame un nouveau massage pour lequel je suis beaucoup plus doué.
Maîtresse ne semble pas pressée et elle passe tranquillement quelques appels téléphonique à ses amies.
Je commence à faiblir. Sans doute l’a-t-elle senti car je reçois l’ordre de la rechausser délicatement bien sûr comme je sais faire sous humiliation.
Elle se relève et me fait faire le tour de la pièce à quatre pattes sans doute pour voir mon allure. Je reçois d’amples coups de cravache sur les fesses pour me faire avancer plus lestement.
Satisfaite, elle me ramène au centre de la pièces pour s’asseoir sur mon dos. Je ne peux voir ce que Maîtresse fait mais je m’attache à rester immobile comme un vrai tabouret.
Elle se relève prestement et me pousse avec son pied me retrouvant ainsi étalé sur le sol. Elle m’entraîne sur le ventre avec ces talons et grimpe sur mon dos en marchant tranquillement depuis mes épaules jusqu’à mes fesses. Je souffre car ces talons fins me rentrent dans les chairs, Je serre des dents mais je ne peux m’empêcher de gémir, la contrariant suffisamment pour qu’elle descende de mon dos pour aller chercher un bâillon boule qu’elle me met prestement en serrant fort la lanière. Elle refait quelques aller-retour sur mon dos avant de me retourner comme une crêpe et me monter sur le ventre. C’est largement aussi douloureux que l’autre face mais le bâillon boule fait son effet et je garde le silence.
Finalement, elle redescend de son strapontin vivant et sors d’une armoire à supplice, un boîtier d’électro-simulation et les accessoires adéquats. Je n’en avais jamais vu de si imposant avec autant d’électrodes. Maîtresse me raccroche à l’anneau au plafond et me remet ma barre d’écartement. Je suis à sa merci.
Elle me remplace le gros plug par un plug électro. Puis, elle dégage mon chemisier pour pincer des électrodes sur mes tétons relève ma jupe pour me sangler ma bite avec un autre accessoire. Une fois, toutes les électrodes raccordées, Maîtresse commence à s’amuser avec les différentes électrodes en passant du plug à mes tétons, puis mon sexe. Je me tord de douleur malgré que l’intensité ne soit pas excessive. Ah mince, elle m’a sans doute entendu car les frémissements augmentent. Mes tétons sont douloureux, puis mon anus, et je ne maîtrise plus rien. La douleur va de l’un à l’autre et même simultanément sur deux, voir les trois en même temps.
Je suis à bout mais Maîtresse s’emballe et je finis par pendre lamentablement sur ma corde complètement vidé.
Elle me détache et je m’étale au sol. Pas sûr que je puissent enchaîner d’autres misères, ce que Maîtresse a compris.
Elle me libère de mes électrodes et fait appel à Allan qui me ramène à ma cellule complètement pantelant.
Maîtresse s’est éclipsée sans avoir oublié de me rassurer sur cette première journée à ces pieds.
-«Tu as été résistant mais demain, il faudra faire mieux et je te réserve une belle surprise. Alors repose toi bien, tu en auras besoin»
A suivre ….
Merci à Ma Maîtresse de m'autoriser à publier ces fictions.
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