Tout le monde connait la célèbre formule de Simone de Brauvoir : on ne naît pas femme on le devient !
Je me pose actuellement la question de savoir si on peut aussi devenir masochiste. Je m'explique : Mon Maître Alexis n'est pas un sadique pur et dur, il préfère jouer sur les mises au défii, les rituels, les contraintes et humiliations diverses. Cependant, il aime aussi m'Infliger des punitions toujours mesurées et sans excès (fessées, martinet, pinces à seins, cire de bougie, dilatations). Depuis quelques temps, les punitions au martinet sont plus longues et plus durement administrées. Autrefois, il ne ciblait que mes fesses alors qu'auijourd'hui, mon dos et mes cuisses ne sont plus épargnés. Il constate avec plaisir que je suis plus endurante, moins douillette et je me surprends à nre plus redouter ce traitement et même à retirer un cetain plaisir au ressenti de cette douleur physique bien spécifique. J'anticipe la brûlure des lanières de cuir sur ma peau et après la punition, j'aime cette sensation d'intense chaleur qui m'accompagne un long moment. Il l'a bien sûr remarqué, en profitant pour me taquiner, me disant que ke serai bientôt mûre pour le fouet. Cette évolution me laisse perplexe. Un glissement s'opère, c'est indéniable ! Mais suis-je pour autant, en train de vecenir masoxhiste ?
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J'étais son professeur il y a si peu de temps. Elle est maintenant une jeune femme et veut me montrer que ses opinions fraichement forgées sont le fruit du libre-arbitre dont j'ai tant parlé.
Elle veut que je la possède, devenir ma chose, mais elle ment et je le sens.
Elle obtient mon numéro et me bombarde de photo de lingerie, silhouette audacieuse, reins bouillants. Elle me parle si peu discrètement de ses cours de cabaret, de ses bas, de son plug, de ses lèvres roses et humides qui supplient ma présence.
Le chien en moi veut aboyer mais le lion est déçu.
Comment peux-tu être ma chienne, chère femme forte et fière, si tu ne reconnais pas mon autorité ?
Pourquoi fais-tu du cabaret tout en prétendant que la femme "doit se libérer" chère féministe ? Tu es soit anti patriarcat soit le fruit du désir des hommes. Tu ne peux être les deux à la fois. Tik Tok et Instagram ont emmêlé ton âme. Comment souhaites-tu être mienne si tu n'appartiens vraiment à personne ?
Comment oses-tu croire qu'un homme qui cherche LA femme, une vraie force, celle qui se soumet sans conditions et s'abandonne en toute confiance car elle se sait impératrice, regarderait une fillette qui compte garder le contrôle ?
Tu me dis vouloir être attachée, soumise, violée, mais que je te dise également que tu es ma supérieure ? Tu ne l'es pas puisque tu le demandes. Dans le silence, tu le saurais et le serais.
Ma femme ne demanderait jamais cela. Ma femme comprendrait qu'en devenant ma chose elle obtiendrait le monde, parce que je suis son serviteur, je l'ai toujours été. Une reine ne réclame pas de couronne. Elle se la voit remettre.
Ton corps est lisse et jeune, tendre et désirable, mais la force des guerrières laisse des marques. Un soldat sans cicatrices n'est rien d'autre qu'un faussaire. Où sont les vergetures que je voudrais embrasser ? Où sont tes poignées d'amour que je veux saisir. Tu n'es pas une femme forte, tu es une enfant capricieuse et tu n'auras rien de moi jeune woke. Je pourrais te faire jouir, plus que tu n'as jamais jouis car j'étais soldat et j'atteindrai toujours ton objectif. Un vrai soldat sait s'oublier pour vaincre comme une vraie reine sait abdiquer pour gouverner.
Mais tu ne veux poser genoux à terre que par posture tendance. Tu ne veux pas t'abandonner. Alors c'est moi qui disparaît.
Tu ne le sauras jamais mais en exigeant le trône, tu l'as perdu.
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Mon petit soumis est incroyablement provocateur... J'ai donc décidé lui faire faire ce que je lui dis tout le temps, comme un chien. Parfois, il s'écarte du droit chemin, je dois donc dans le remettre en place. J'ai trouvé bien plus efficace qu'un bon coup de pied au cul. Quand il n'est pas sage, j'enferme son petit pénis dans une superbe cage de chasteté en métal et il reste enfermer comme un rat jusqu'à ce que je prenne la décision qu'il puisse être libéré.
Il m'arrive de le laisser enfermé durant plusieurs jours, sans la moindre libération, ça le rend fou et j'adore ça. Nous avons une relation d'amour parfumé à la haine. Il se donne un genre, mais en réalité je sais qu'il adore quand je le fais se soumettre et s'enfermer... Je sais que ça l'excite. Ce qui le rend dingue, c'est de ne pas pouvoir toucher sa bite, et évidemment, de ne pas être capable de bander.
Il m'arrive de faire exprès de cuisiner en string pour le stimuler, je me penche en avant pour ouvrir le four et parfois j'écarte la ficelle afin qu'il garde puisse baver comme un chien devant ma petite chatte serrée. Je suis une Maîtresse très perverse et j'adore jouer avec la psychologie (accessoirement son sexe). J'ai acheté un autre cadenas afin d'obtenir des clés similaires à celle de sa cage.
Après plusieurs jours d'enfermement, j'aime faire semblant d'oublier les clés sur la table du salon, ou de les faire tomber par terre avant de sortir... J'aimerais tant voir son visage se noyer dans l'humiliation lorsqu'il se rend compte que ce ne sont pas les bonnes clés.
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Elles font partie de l'univers BDSM;
Corset, serre-rtaille, robe moulantes en cuir ou en latex.
Ces tenues sont ene seconde peau pour la soumise que je suis devenue., Elles célèbrent et magnifient mon engagement, ma dévotion, mon appartennance. Je suis par conséquent heureuse et fière de les porter.
Charlotta
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J'entends parfois des femmes (mais aussi des hommes) dire qu'il n'est pas nécessaire de vivre ses fantames et même préférable de ne pas les concrétiser. Je ne partage pas ce point de vue car dès lors que ces fantasmes sont librement choisis et acceptés, dès lors qu'ils se vivent entre adultes consentants, il m'apparait mportant de les mettre en scène.car c'est, je pense, un motif d'enrichissement personnel. Dans le cadre d'une relarion BDSM, les fantasmes du dominant et de la soumise (permettez-moi de me référer à ma propre expérience) se complètent et se répondent pour se muer en désirs. Quand j'endosse ma tenue de cuir (offerte par mon Maitre, soit dit en passant), je lui signifie sans anbigiuité possible que je veux être traitée de manière adéquate, être rudoyée verbalement et physiquement, être aussi humiliée s'il l'estime nécessaire. Je suis sa chienne soumise et je le revendique, je lui sais gré de me traiter comme telle, de m'imposer les épreuves qu'il souhaite, de m'inventer de nouveaux défis. Je surmonte alors ma peur et mes appréhensions, je vis mes fantasmes avoués, mes désirs inavouables et h'en ressors ébranlée, épuisée parfois mais aussi plus forte, fière de mes acceptations, confortée dans mes choix qui s'inscrivent hors des sentiers battus et des condormismes rassurants mais c'est ainsi qu'il m'est donnée de m"épanouir, dans l'intensité de mes fantasmes exprimés sans réserve !
Charlotta
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Cette question m'est inspirée par la réflexion de Sir Stephen à O, lors de leur toute ptemière rencontre.
"Vous êtes facile, lui dit-il, vous aimez René mais vous êtes facile. Vous aimez tous les hommes qui vous possèdent".
Voilà un jugement bien péremptoire, très daté, trop manichéen et pour le moins réducteur !
A mon sens, O n'aime pas tous les hommes qui la possèdent mais sa forme d'amour absolu la pousse à aimer se donner à ceux que son amant lui désigne. Une soumise n'est facile que de cette manière. Elle accepte que l'on choisisse pour elle sans pour autant aimer l'homme qui la possède et qui n'est somme toute qu'un instrumentn un fouteur omme disait Sade mais en revanche, elle aime obéir, apporter la preuve de son amour et de spn abnégation à celui qui exige cela d'elle et ce faisant, elle peut aimer se donner en représentation, être offerte devant témoins et devenir ainsi pour celles et ceux conviés au spectacle, un objet de désir, une source d'excitation et se savoir perçue comme telle peut contribuer grandement à son propre plaisir. Elle se sait alors en représentation avec tous les regards qui convergent vers elle. Il s'agit là encore d'une exhibition mais choisie et mise en scène par son Maître. Plus tard, tous les deux seuls, ils évoqueront à maintes reprises, ce moment d'abandon.
Charlotta
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Cette exhibition nocturne en bas et porte jarretellles dans la piscine de l'hôtel requérait une plus grande implication que je renouvelle aujourd'hui en publiant cette photo. Une façon de dire que j'assume pleinement ma soumission dans l'exhibition mais aussi de signifier avec un zeste de provocation que je suis une salope soumise !
Charlotta
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Je crois très sincèrement qu'une exhibitionniste qui serait engagée dans une relation de soumission BDSM aurait un avantage certain pour vivre positivement cette relation, donner sarisfaction à son Maître et obtenir elle-même des motifs de satisfaction. Se ptésenter nue ou parée d'atours BDSM, fait partie de la conduite à tenir, en éprouver de la fierté plutôt que de la honte, de la gêne et de l'inconfort facilite les choses, indéniablement. C'est mon cas et je m'en félicite. Pour le démontrer, voici une image anodine en apparence si ce n'est que cette photo fut prise un après-midi, devant témoins, dans la piscine d'un hôtel de Mykonos. Nudité naturelle, innocente mais qui s'incrit pour ceux et celles qui furent mis dans la confifence, dans un clair cheminement BDSM. Mais ce ne fut là qu'une première étape !
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En posant cette question, je pars du postulat que les femmes sont généralement plus cérébrales que les hommes (heureusement, on trouve des exceptions à cette règle rapidement énoncée). Leur approche de la relation BDSM est plus réfléchie, plus transgressive aussi. Pour la littéraire que je suis, sensible aux mots et aux situations déstabilisantes, force est de constater que les femmes dominantes ont plus sûrement su répondre à mes apsîrations que leurs homologues masculins (exception faite de mon Maître, bien entendu). Avec sa permission et ses encouragements, j'aimerais donc être prise en main par une Maîtresse (une femme switch ne serait pas rejetée) aussi perverse qu'exigente qui saurait me pousser dans mes retranchements, me soumettre au feu de ses questions très indiscrètes et intrusives pour mieux obtenir ma reddition, mon abandon et m'enchainer à tous ses désirs inavoués ou inavouables qu'elle osera cependant nommer,énoncer, développer, mettre en pratique.
Si d'aventure, un homme se retrouvait dans ces quelques lignes, il pourrait aussi tenter sa chance et entrer en contact .Elégance, perversité, finesse d'esprit et cérébralité doivent être étroitement mêlés. Que tous les autres ma pardonnent cette irrépressible envie de m'exprimer ou/et de m'exhiber.
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Souvent, les dominants aiment employer un vocabulaire animalier avec leur soumise, la désignant par exemple sous le terme de chienne. C'est là une attention très ambivalente qui la dévalorise tout en la magnifiant, soulignant ainsi le désir qui l'anime ou l'attraction sexuelle qu'elle suscite.
Mon Maître désigne mes fesses par le terme de croupe, ce que je trouvais insultant, au début. Et puis, j'ai compris que cette appellation était somme toute assez flatteuse,soulignant la rondeur de mes fesses rebondies qu'il aime photograpgier sous toutes les coutures et dans toutes les positions. Quand j'entends ce mot désormais, je ne me raidis plus mais je me cambre et imperceptiblement, je tends ma croupe pour mIeux la lui présenter.
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Habituellement, mon Maître aime jouer sur le contraste entre le blanc et le rouge de mon cul après fessée mais ce jour là, il s'agissait après cette fessée magistrale d"avoir le cul aussi rouge que mon string. Mes limites furent atteintes et je ne pus retenir mes larmes. Longtemps après,j'étais encore brûlante à cet endroit et devoir m'asseoir me rappelait immanquablement le châtiment reçu. J'en retirai quelque fierté. Ambivalence de la soumise qui s'avandonne et se découvre des ressources insoupçonnées mais aussi d'inavouables plaisirs.
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Pour une fille soumise a priori non masoxhiste, quel plaisir trouble à recevoir une fessée ? Quel ressort me poisse à l'accepter ?
Peut-être un retour vers un lointain souvenir d'enfance, le désir inavoué d'être punie et par là-même d'être célébrée d'une manière particulière mais aussi la coupable fierté de s'être entendue gémir et supplier puis finalement, d'exposer son corps marqué en ressentant la cuisante démonstration du châriment reçu. Et si vous avez apprécié de voir mes fesses empourprées complaisamment offertes à votre contemplation; alors demandez-moi d'autres preuves de mon obéissancen d'aitres clichés cuisants.
Charlotta
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La sublime Silvia Kristel dans le film d'Alain Robbe-Grillet que tu m'as fait découvrir, hier. Cette image m'inspire et me poursuit. Serais-je aussi belle quand tu m'auras attachée ? Et à qui me doneras-tu à voir ? Je rêve d'une dominatrice perverse et exigeante qui saurait me cingLer avec des mots en guise de préliminaires.
Ta Charlotta qui se sent de plus en plus bad girl.
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Jézabel commençait à sentir les effets du vaccins se dissiper.
Elle essayait de se rappeler sa semaine de mise à disposition pour en retrouver les effets.
Après avoir été détachée, elle avait été emmenée dans une salle inconnue et avait retrouvé le Directeur qui l'inspecta sous toutes les coutures. Il l'avait trouvée à la fois belle et faisant peine à voir : couverte de sperme sur tout son corps imberbe, les trous béants d'une semaine de baise, ses épais anneaux pendant de ses tétons et ses lèvres vaginales, le crâne toujours lisse de cette épilation complète du corps.
Mais rien à faire.
L'excitation n'était plus là.
Tous ces efforts d'imagination ne suffisait pas.
Puis soudain, le Directeur entra da sa chambre.
Bonjour Jézabel, dit le Directeur, je peux entrer ?
Bonjour Monsieur, bien sûr, lui répond Jézabel, surprise d'autant de politesse.
Sais-tu pourquoi je suis ici ?
Non Monsieur
Je vais démontrer le succès naissant de cette expérience. Et pour cela, je vais t'exhiber devant tout le Gouvernement.
Ils seront ici, Monsieur ?
Non, nous allons en salle de conférence. Ils seront présents uniquement par hologrammes. Mais ce n'est pas une raison pour être moins obéissante. Compris, esclave ?
Oui Monsieur
Que devrais-je faire ?
Tu le sauras le moment venu.
Une fois arrivé en salle de conférence, le Directeur lui demanda :
L'excitation due au vaccin retombe-t-elle ?
Oui Monsieur, je me sens comme avant désormais, c'est presque frustrant.
Ah oui, et quel effet cela te fait ?
Je me sens chienne Monsieur. J'ai été prise par tous les trois sans discontinuer pendant une semaine, et non seulement cela m'a plu, mais cela me manque, dit Jézabel rouge de honte. Je suis visible en permanence, nue, par toute la prison, et pareil, l'excitation initiale me manque.
Je suis ravi de l'entendre. Mais n'espère pas que je te prenne pour te soulager. Je n'ai aucune envie de baiser une souillon pareille. Et tu es tellement dilatée depuis ta semaine de mise à disposition que tu es inutilisable.
Jézabel s'aperçu alors que le Gouvernement avait entendu la fin de leur discussion. Elle n'avait jamais été aussi honteuse de toute sa vie ; elle venait de reconnaitre sa déchéance devant le Gouvernement de sa Patrie ...
"Bienvenue, dit le Directeur. Je suppose que vous avez tous pu profiter de cette semaine au cours de laquelle la déchéance de Jézabel à dépasser toutes nos espérances. Et comme vous venez de l'entendre, cette bouffeuse de bite n'attend que de recommencer. Mais pour la suite de l'expérience, je vous propose un autre spectacle. Jézabel, allonge toi sur ce lit et branle toi.
Combien de temps Monsieur ?
Autant qu'il nous plaira. Nous discuterons des affaires courantes et toi je veux que tu essayes de jouir pour nous. tu peux utiliser tout le matériel que tu veux. Compris ?
Bien Monsieur"
Jézabel s'allongea sur le lit et commença à se doigter. Elle sentit pour la première fois le contact de ces lourds anneaux vaginaux avec ses doigts. Elle augmenta la cadence, continua, tenta d'ignorer le public qui l'observait.
Mais rien.
Elle ne sentais rien.
Non seulement elle se branlait devant une cinquantaine de vieux mâles peu ragoutants, mais en plus elle n'avait aucune sensation.
Continue, dis le Directeur.
Elle testa le vibromasseur, les godes, les plugs, rien ne fonctionnait. C'est comme si elle caressait un autre corps que le sien.
Elle vit que certains hologrammes se branlait et prenait quant à eux beaucoup de plaisir face à sa frustration. Elle tenta d'utiliser cela pour ressentir du plaisir, mais toujours rien.
Messieurs, dit le Directeur, voici l'avenir. Le vaccin que nous avons inoculé à cette salope a des effets secondaires. Pendant une semaine, une excitation extrême, je me disais que nous pourrions tenter d'isoler cet effet pour que nos futures soumises publiques et privées bénéficie de cette excitation d'exception en permanence. Puis, pendant environ trois semaines, une absence totale de plaisir et de sensation. J'ai pensé que nous pourrions tenter d'isoler cette effet pour punir les délinquants et criminels, ou tout rebelle à notre Juste Cause.
Le Gouvernement sembla emballé. Jézabel quant à elle, n'avait pas reçu autorisation de s'arrêter. Le Gouvernement la fit continuer, il voulait voir jusqu'où cela allait. Alors ils lui bandèrent yeux et mirent à vibromasseur sur son sexe. Pendant de nombreuses et longues minutes. Quan Jézabel en fut libérer, elle ne pu que regretter l'efficacité de ces effets secondaires. Elle n'avait rien senti, mais avait le sexe irrité à force de frottement.
Jézabel, dit le Directeur, qu'as-tu ressenti lors de cette masturbation d'exhibition ?
Rien Monsieur, le vaccin a fait son effet secondaire.
Certes, mais au fond de toi, que ressentais-tu ?
De la honte, Monsieur, de me montrer comme cela devant tout le monde. Et bizarrement, aussi une certaine satisfaction. Celle de ne pas avoir à se cacher. Celle de voir les plus hauts dignitaires de l'Etat se branler sur ma vision. Et de la frustration. De ne rien sentir. De ne pas goûter à ses queues et à ces spermes.
L'exhibition pris fin. Le Directeur emmena Jézabel à la douche et elle fut ramenée à sa chambre.
Jézabel appréhendait la suite. Elle venait d'arriver, et déjà elle ne se reconnaissait plus. Elle était devenue addicte au sexe et à l'orgasme, se remémorant avec délectation sa semaine passée à servir de pute pour la prison.
Elle se demandait jusqu'où ils l'emmènerait, jusqu'où sa déchéance irait.
Elle venait de faire une semaine seulement sur vingt ans de détention à venir.
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Pour la 1re fois, Jézabel pouvait souffler. Après son arrivée tonitruante en détention qui avait ravivée les désirs de tous ces criminels encagés et chastes, sa transformation en chienne, et sa semaine de mise à disposition du personnel, elle n’avait pas vu le temps passé.
Elle avait été plus humiliée, plus été baisée et souillée que tout au long de sa vie cumulée.
Enfin, Jézabel pouvait souffler.
Prendre le temps, de regarder sa cellule.
Sa nouvelle cellule d’ailleurs, on l’en avait changé. Désomais, elle trônait au centre de la prison.
Elle s’y sentait bien. Ce n’était pas très spacieux, mais confortable. Le lit était imposant, probablement pour lui permettre de satisfaire les désirs de chacun des mâles de ce huis-clos. Mais la chambre comprenait aussi un coin beauté avec tous les produits nécessaires. Pas de placards par contre, elle avait vite compris qu’elle n’aurait plus de droit de se vêtir. Et une douche, fonctionnant malheureusement uniquement à l’eau froide. Ce qui avait le malheur de titiller ses extrémités et d’exciter encore plus les détenus grâce à la vue de ses tétons au garde-à-vous.
Comparé aux autres détenus, elle avait conscience d’être choyée.
« tu es convoquée dans le Bureau du directeur, mets toi à quatre pattes que je te prépare » dit le geôlier.
Jézabel ne l’avait pas vu arriver, elle était loin dans ses pensées.
Elle s’exécuta et le geôlier lui mit un baillon gode. Beau bébé le gode, elle avait du mal à respirer tellement il lui remplissait la bouche. Plusieurs fois elle eu un début de nausée, mais elle tint bon. Puis, il lui mit un collier de chien bien large, des bracelet aux mains et aux chevilles, en fer, lourds. Et une ceinture de chasteté, avec deux godes. Un pour chacun de ses orifices. Puis il accrocha la laisse aux lourds anneaux pendant à ces tétons, et il purent ce mettre en marche.
Lui debout, elle à quatre pattes, ils déambulèrent dans tous le centre, visibles de tous, jusqu’au bureau du directeur.
« Bon courage » dit le geôlier avant de la laisser seule, dans le bureau.
Le Directeur arrive.
« Bonjour Jézabel, j’espère que ta nouvelle cellule de plait »
« mmm » répondit-elle baillonée bien trop profondément.
Soudain, elle sentit une chaleur monter en elle. Les deux godes de la ceinture de chasteté étaient connectés, et commencer à se mouvoir en elle. Doucement. Tout Doucement. Mais tellement bon.
« Je vais te retirer ton baillon, il faut qu’on discute. Dis-moi, Jézabel, que penses-tu de ton début de détention.
- ce n’est pas de tout repos, Monsieur le Directeur, mais je sais que je ne suis pas à plaindre.
- Vraiment, après tout ce que tu as subi ? Après les transformations physiques ? La semaine de mise à disposition ?
- J’ai honte de le dire, mais je n’avais jamais connu pareil jouissance que cette semaine. Et pour les transformations, je m’habitue. Aux anneaux, à l’absence de cheveux. En réalité, ça ne me déplaît pas. J’avais toujours eu des fantasmes que je n’osais réalisé, et vous m’y avez forcé. Bien plus que ce que j’aurais souhaité, mais malgré la peur et l’humiliation, il y a une dose de plaisir malgré tout.
- Je suis ravi de te l’entendre dire. Et ta nouvelle cellule ?
- Elle est confortable. Dommage qu’il n’y ait ni eau chaude, ni vêtements.
- tu n’en as pas besoin.
- … »
« Je vais t’en dire plus sur ta cellule, car elle est particulière.
- je sais, Monsieur le Directeur.
- tais toi et ne m’interromps pas, tu ne sais rien. Cette cellule est le fleuron de la science actuelle, avec des murs sans teints. Pour toi ce sont des murs, pour toue personne hors de la cellule, ce sont des fenêtre. Pareil pour le plafond et le sol. Tout le monde te voit en permanence, sans être vu. Tu connais le panoptique ? C’est le fait de pouvoir tout voir d’un endroit sans être vu ; toi c’est l’inverse. Tu ne vois rien de ta cellule, et tout le monde te voit en permanence. Quand tu dors, quand tu te trémousse sous le jet d’eau froide, quand tu te fais belle, quand tu te feras prendre à la chaine par des gars aux bourses bien pleine, quand tu te masturberas.
- Mais n’ai-je donc pas droit à un peu d’intimité ?
- tu n’as donc pas compris, tu es au service de cette prison. Tu ne t’appartiens plus, tu es un corps au service du contrôle sociale, tu es une réponse au désir des hommes. Tu n’as plus droit à l’intimité. Tu n’as plus de droit du tout.
Jézabel sentit les larmes monter face à cette annonce si brutale, et désomais sans le bénéfice de l’excitation qui l’animait de force en ces lieux.
« Sais-tu pourquoi je t’ai fait venir ici, dans cette prison ?
- Bah pour assouvir les désirs de chacun ?
- mais encore ? Je serai effectivement ravi de me vider en toi, mais ce n’est qu’un bénéfice secondaire. Pourquoi t’ai-je fait éviter la mort, la vraie raison ?
- je ne sais pas Monsieur …
- Ce régime ne fonctionne pas Jézabel. Il a été mis en place parce que des réactionnaires était contre l’évolution, contre la libération des mœurs, contre la libération de la femme. Mais ce n’est aps mieux maintenant, le porno n’a jamais été autant consulté, le Ministère ne parvient pas à réguler la sexualité, il y a de la résistance.
Tu vas nous permettre de gagner ce contrôle. En contrôlant ta sexualité, on contrôlera celle des autres et donc celle de tous.
Tu es la réponse face à l’échec des politiciens. Tu es la femme qui fera en sorte que la politique des hommes finira par fonctionner, la femme qui nous donnera le contrôle sur les hommes de ce pays. Tu es l'expérience qui me fera monter en grade quand ils verront que ton corps suffit pour réussir là où les milices échouent lamentablement.
C’est ça ton rôle. Et ce ne sera pas de tout repos. Ce que tu as vécu … ce n’est qu’un début."
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Nouvelle journée qui commence. Mon maitre, (virtuel pour l'instant), est marié. Comme moi il n'est pas gay. Il est bisexuel marié, discret. La bisexualité parait dans l'intimité débridée aujourd'hui, entre bisexuels nous pouvons je pense assurer notre équilibre, Sans être vulgaire nous n'avons plus peur dans notre jardin secret. Les barrières entre hommes et femmes ne sont pas les memes. Nous pouvons nous "lacher" tout en nous respectant. Plus jeune j'ai connu des Femmes Maitresses, dans l'ombre, avant qu'elles s'affirment et s'affichent dans le couple, avant l explosion de l'équilibre bien fragilisé par la jalousie, la possessivité (Couple, Amant, Maitresse). Aujourd'hui je voulais dire, Maitre, que vous m'avez trouvé, naturellement vous m'avez appelé "Ma soumise", et comme un bon élève, ci joint votre souhait, Chemise blanche, collant et short. Au plaisir de vous lire Monsieur.
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De nouveau seule, Jézabel repensa à la séance de préparation qu'elle avait subi. Par plaisir, d'une part, puisque l'effet du vaccin était toujours bien vivace et il lui fallait désormais bien pu pour connaître les orgasmes les plus forts de sa vie. Par introspection également, car Jézabel avait été littéralement transformée. D'être jolie jeune femme, elle était devenue une chienne, une jouet sexuel à destination de tous pour qui le pratique prime sur l'esthétique.
L'injection du vaccin avait fait très peur à Jézabel. S'il avait un côté rassurant, la piqûre avait été la chose la plus douloureuse qu'elle ait vécu, pénétrant dans toute sa longueur son clitoris naturellement si sensible. Mais depuis .... Waouh ce sont des sensations uniques. Ils ont été obligés d'attacher Jézabel dans son lit car l'envie de se toucher de redécouvrir ces plaisirs à la fois si simples et si complexes était trop forte. Pour être sûr à 100%, ils l'ont également perfusés pour ses repas, et mis une couche pour ses besoins. Ca, c'était le summum de l'hmiliation pour Jézabel, ce qui lui a fait vraiment comprendre qu'elle n'était plus qu'une méthode de maintien de l'ordre par le sexe.
Elle repensa également à ces anneaux. Lourd, épais, grossiers. Elles les trouva fort laid dans un premier temps. Mais elle commeçait à s'habituer à voir ses tétons et sa vulve ainsi orné. Elle n'en comprenait pas l'intérêt, encore moins des anneaux sur le clitoris et son nez, mais après tout, on lui avait fait comprendre que son avis comptait bien pu. Voire que si elle avait le malheur d'exprimer son avis, ils feraient l'inverse juste pour lui retirer ce dernier reliquat d'humanité. Elle repensa à la douleur d'être percée, sans anesthésie, sur ses zones les plus intimes. La douleur ... avec le vaccin c'est cependant vite dit. Chaque piercing lui avait fait connaître un orgasme plus puisant que le précédent. Elle ne se l'expliquait pas, certes elle avait toujours eu un petit côté maso, mais à ce point là, elle en se reconnaissait déjà plus. Après seulement quelques heures de détention, "ça promet", se dit-elle, "quoique s'il s'agit de jouir comme ça tous les jours, ça vaut le coup" ...
Mais le plus marquant vu son épilation. Intégrale. Vraiment intégrale. Elle se rappelait encore les vibrations de la tondeuse sur sa tête, qui la traversaient jusque son bas ventre. Elle se rappelait voir les mèches de cheveux tomber une à une au sol, l'allégeant de leur poid pour ne lui laisser quec celui de la sexualité. Elle se rappelait encore le frottement de la lame de rasoir sur son crâne désormais imberbe. Elle avait pleuré pendant ce rasage. Il lui avaient même retirés les sourcils ! Perdre ses cheveux, c'était perdre sa féminité. Perdre sa féminité, c'était perdre sa raison d'être. Il ne restait, selon elle, d'elle qu'un corps. Et pourtant, qu'est-ce que cela l'avait excité. Vraiment. Cette déshumanisation avait quelque chose de plaisant au final ; fini les responsabilités, fini les tracas du quotidien, il lui suffirait de satisfaire des hommes, des dizaines d'hommes au quotidien. "On a connu pire se dit elle". En tout cas, c'est ce qu'elle avait compris.
Ils avaient poussés le vice à lui épiler le maillot à la pince à épiler. Chaque poil entrainait une douleur, qui entrainait un plaisir intense. Chaque poil retiré l'avait fait mouiller davantage, mené à la jouissance, sous les rires du médecin qui avait bien compris qu'il faisait face à un specimin bien particulier. Il se faisait plaisir, et en un sens il lui faisait plaisir également.
Mais le moment le plus difficile mentalement à été de jeter tout au feu. La clef de son lourd collier de fer. Ses papiers d'identité, et médicaux. Son passé. Qu'adviendrait-il d'elle ? Que lui réservait-on ? Pourquoi lui retirer son identité et son passé ? Elle a certes été condamné, mais à 20 ans de réclusion criminelle, pas à perpétuité, elle devrait donc sortir ! Elle ne comprenait pas, elle était en colère. Elle avait peur aussi. Peur de ce qu'ils feront d'elles. Peur de ne jamais sortir. Peur de pas finir ces 20 années.
Mais elle s'était vu dans le miroir. Chauve. Lisse. Percée. Avec son collier. Pour la féliciter de sa "réceptivité", le médecin l'avait un petit peu maquillée les yeux et la bouche. De manière un peu extravagante bien sûr, pour la renforcer dans son rôle, mais il avait fait ça bien. Et elle se trouvait belle ainsi. Presque fière d'être ce qu'ils avaient fait d'elle.
Attachée sur son lit, la réalité avait rattrapé Jézabel. Une fois la nuit passée, le Directeur avait ouvert la porte :
" ta première semaine débute. tu es à disposition de tout le personnel.Ils peuvent faire ce qu'ils veulent de toi".
Le médecin avait eu raison quelques jours plus tôt, bien rares étaient ceux à appeler Jézabel par son prénom.
La plupart se contentaient d'une insulte ou simplement ne l'appelait pas.
Cette première semaine a été un doux enfer pour elle.
L'effet du vaccin était encore à son maximum. Elle était toujours excitée comme jamais elle n'aurait pu l'imaginer.
Cette amplification lui faisait découvrir que certaines choses l'excitait.
Une insulte, une humiliation, et elle partait dans un nouvel orgasme.
"150 surveillants, cela fait tout de même beaucoup, se dit-elle avant que cela ne démarre, surtout en une semaine".
Elle calcule. Elle se fera prendre en moyenne 22 fois par jour. 8 fois, s'ils viennent toujours par trois pour la prendre par chacun de ses trous.
Avec son excitation hors norme, cela ne poserait aucune difficulté ...
Ces chiffres l'effrayaient. Ils l'effrayait d'autant plus qu'elle savait que ça pourrait être plus, si certains voulaient revenir dans son lit.
Pour prévenir toute difficulté, la prison avait maintenu la perfusion pour éviter toute difficulté liée aux repas.
"C'est par précaution, tu pourras toujours boire du sperme et bouffer de la bite" lui avait dit le médecin dans un moment d'élégance dont lui seul à le secret.
Jézabel, apprécia sa prose habituelle, ravala sa fierté, et ignora son excitation ravivée.
Mais il n'avait pas tord, elle allait prendre plus en une semaine que n'importe qui en une vie.
"- tu auras juste à faire ton travail et à obéir aveuglément aux surveillants, répondit le médecin. De toute façon, si tu rechignes, nous le saurons, dit-il en montrant une caméra
- Je suis filmée, Monsieur ?
- Bien sûr, salope. Tu n'imagines quand même pas que notre expérimentation ne sera pas évaluée. L'intégralité du Conseil des Moeurs et du Conseil des Ministres a un accès en direct et en différé à chacun de tes exploits. Ca leur permet de vérifier le bon déroulé de ton dressage, ou de revisionner un passage qu'ils aiment particulièrement. Ils vont pouvoir constater qu'en moins de quelques heures, tu es devenue la pute de toute la prison, et qu'en plus tu y prends ton plus grand plaisir"
Jézabel rougit de honte et se cacha derrière ses cheveux. Enfin, elle essaya. La réalité la rattrapa de nouveau : elle n'avait plus de cheveux ...
"- Répète le, sale chienne, cria le médecin, tout content de son nouveau pouvoir.
- Je suis la pute de cette prison, et j'y prends mon plus grand plaisir, Monsieur" répondis Jézabel plus honteuse et excitée que jamais.
Elle avait toujours aimé les mots sales. Mais là, c'était différent. Ce n'était pas du jeu. Elle était vraiment devenue la pute de la prison. On le lui avait bien fait comprendre. Elle allait le vivre incessament sous peu. Sans les effets du vaccin, elle aurait probablement été incapable de le dire. Mais là son excitation était telle en sachant ce qui l'attendait qu'elle pouvait difficilement le nier. Elle sentait ses orifices se dilater, s'ouvrir de plus en plus, avide d'être comblés. Et depuis ces mots des plus avilissants, elle sentait que cela s'accentuait encore davantage.
Ce fut là le début d'une semaine de baise non stop pour Jézabel. Et ce fut pire qu'elle ne l'imaginait. Les surveillants, frustrés par les nouvelles lois, ne cessaient de revenir. Rapidement, ils comprirent qu'ils devaient venir par groupe de trois pour optimiser et profiter davantage.
Au cours de cette semaine, Jézabel n'eut pas un instant de répit. Pas un repas. Pas un moment de sommeil. Elle voulu manger, boire, dormir, mais sa déshumanisation l'en empêchait. La perfusion gérait ses repas, l'excitation bloquait son sommeil, les fantasmes des uns et des autres pallait l'absence de toilettes.
Elle constata rapidement que le vaccin ne touchait pas que sa chatte, mais également son cul et sa bouche, l'excitation d'être pénétrée par chacun de ses orifice était décuplée. Grâce au vaccin, ses orifices s'ouvraient d'eux mêmes, quelle que soit la taille ou le nombre de membre qui la pénétrait. Elle finit béante et couverte de sperme, et tout aussi humiliée qu'heureuse.
Car malgré l'humiliation, le vaccin fit de cela une semaine d'orgasme ininterrompus. Mentalement et corporellement, elle était épuisée. Epuisée par ces orgasmes. Epuisée du manque de sommeil. Epuisée du sexe en continu. Elle se sentait humiliée, avilie, voulait juste prendre une douche pour retirer ces couches de spermes séchées qui couvraient son épiderme. Elle espérait que son corps se refermerait après autant de vas et viens en elle.
Mais elle était heureuse. Heureuse de ces orgasmes, de ce plaisir, du plaisir de ces hommes. Elle ne savait comment se situer par rapport à elle-même, à ses contradictions. Elle ne s'interrogeait plus sur la suite, tant la fatigue et l'euphorie neutralisaient toute capacité de projection.
Elle l'ignorait, mais le médecin s'était inquiété pour elle :
"- Vous pensez qu'elle tiendra le coup, Monsieur le Directeur ? Les chiennes supportent habituellement mal cette excitation, alors, même si celle-ci est hors norme, avec toute cette stimulation ...
- Ne vous inquiétez pas Docteur, faites confiance à la chienne qu'elle est. Elle y trouvera bien davantage son compte qu'elle ne l'imagine, et son corps encaissera. Et de toute façon, ce sont les ordres du Gouvernement. Donc faites votre travail et assurez-vous que tout se passe bien"
Le Directeur avait eu raison, une fois de plus. Le Docteur n'eût pas besoin d'intervenir. Jézabel supporta le traitement et la stimulation. La démonstration du succès de l'expérience était pour le moment sans appel et la réussite du Directeur, flamboyante.
Mais cela ne faisait qu'une semaine que Jézabel étaient détenue. Son parcours était encore long et ses questionnements n'en étaient qu'à leurs débuts ...
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Faites entrer la chienne svp !!
Les surveillants pénitentiaires font entrer J. et la mettent à genoux dans l'infirmerie de la prison
Bien, dis-le, médecin. Déshabille-toi en vitesse. Je vais t'expliquer ce qu'on va faire de toi. Je ne veux pas t'entendre dire un mot, je ne veux pas te voir bouger sauf si je te le demande. Compris ?
J. opine du chef et retire ses vêtements.
Bien, tu comprends vite. Le Directeur a raison. Quand tu sortiras de cette salle, ton toi passé n'existera plus. Je vais te préparer à devenir la pute de cette prison et à aimer ça. Je vais commencer par t'injecter un vaccin universel contre toutes les maladies sexuellement transmissibles. Il te rendra stérile aussi, ça permettra de te faire sauter à longueur de journée sans risquer une maladie ou une grossesse. Compris ?
Les yeux embués de larme, J fait oui de la tête.
Le bon côté, c'est que pendant une semaine, ton excitation sera multipliée de manière exponentielle. Il parait que certaines ont même joui juste en allant pisser. Le Directeur ne veut pas que tu en profites de trop, donc tu seras attachée en permanence pour ne pas te caresser. Puis pendant environ trois semaines, tu n'auras au contraire plus de sensation de plaisir. Après un mois, tout reviendra à la normale.
Le médecin sort une grande seringue, "je te préviens, je dois remonter toute la longueur de ton clitoris avec cette seringue, ce ne sera pas agréable. Mais une fois injectée, tu ne devrais pas m'en tenir rigueur"
J. se trouve attachée en croix, comme en lévitation, un saut posé au sol entre ses jambes. Le médecin commence l'injection, J. crie de douleur.
Mais le vaccin tient ses promesses, dès l'injection effectuée, J. cesse de crier. Au bout de quelques minutes, ses tétons, ses lèvres et son clitoris se gorgent de sang, se dressent, durcissent et triplent de taille.
Mais quelle salope, dis le médecin, on bat tout les records avec elle !
A peine ces mots prononcées que J pars dans un orgasme dantesque. Ces mots l'ont excitée. Avec le vaccin, il n'en fallait pas plus.
Rapidement, elle se retrouve avec un anneau à chaque téton, au clitoris, deux sur chaque lèvre vaginale et un entre les narines. Elle est totalement totalement épilée, son crâne est également rasée.
Durant cette transformation, J jouit de nombreuses reprises.
Pour finir, le médecin lui ferme un collier autour du coup. Un médaille pends, avec un nom. Jézabel.
Voilà ton nouveau nom, même si je doute que beaucoup l'utiliseront. Pour finir ta transformation, mets tes vêtements, ta fouille et la clef de ton collier dans le four là-bas.
J. hésita. Il y avait tous ses documents d'identité dans sa fouille. Face à ce temps d'hésitation, ce fut dix coups de ceinture qui s'abattirent sur ses fesses. Et un nouvel orgasme en prime.
"Décidément, ce vaccin est diablement efficace" pensa-t-elle en constatant le flot de cyprine couler le long de ses cuisses.
J. obéit, mit sa vie d'avant au feu. Le médecin lui passa les menottes pour qu'elle ne se touche pas, elle fut ramené dans sa cellule.
Jézabel était née. La chienne nue et rasée de la prison qui jouissait en permanence à cause des effets temporaires de ce vaccin et qui allait servir à assouvir les passions de tous les hommes de la prison.
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J. arrive aux locaux du Centre pénitentiaire. Elle ne voit que des hommes. Que ce soit parmi les détenus ou parmi les geôliers. Elle commence à s'inquiéter. Son bienfaiteur a tenu sa parole et lui a évité la mort, mais comment pourrait-il la garder en sécurité ici ?
Des dizaines, des centaines de regards se posent sur elle et la déshabille des yeux. Ils savent tous qui elle est.
L'angoisse commence à prendre J. Heureusement, elle arrive dans sa cellule. Individuelle, comme prévue. Plutôt confortable. Et fermée à clefs, c'est le plus important pour le moment.
"- Parloir
"- Qui veut me voir ? demanda-telle
- tu le sauras bien assez tôt, rétorque le gardien"
Elle entre dans le local parloirs.
"A genoux, mains sur les cuisses, et ne bouge pas avant l'arrivée de ton visiteur" dit le geôlier.
J. s'exécute. La position n'est pas inconfortable. En tout cas sur le court terme ...
Les minutes passent, et personne n'apparaît et la douleur se fait sentir au genoux. J n'ose pas bouger, n'ose pas désobéir. Elle a trop peur que les surveillants laissent la porte de sa chambre ouverte aux autres détenus en représailles, même si ça n'a aucun sens.
Enfin, jusqu'aux dernières élections, cela n'aurais eu aucun sens. Désormais, tout est possible ...
La porte s'ouvre enfin.
J. me voit se lève.
"Reste à ta place, je ne t'ai pas autorisée à te lever" dis-je sèchement.
Elle sursaute, je vois son regard surpris. Elle obéis toutefois.
"- Je suis le Directeur. Comme convenu, je t'ai évité la mort. tu es désormais à mon service et tu devras obéir au moindre de mes ordres. Satisfaite ?
Oui, mais j'ai quelques craintes par rapports aux autres détenus et surveillants.
On dit oui Monsieur, soumise.
-Oui Monsieur, pardonnez-moi ...
Bien, tu comprends vite. Ici tu m'appartiens et tous le monde le sait. Le premier qui te touche sans autorisation sera libéré de ses couilles. tu peux donc être tranquille.
Merci Monsieur.
Mais je dois également acheter la paix sociale. Concernant les surveillants, cette prohibition ne prendra effet que dans une semaine. Ceux qui le veulent ont donc une semaine pour se vider les couilles en ou sur toi, où ils le veulent, quand ils le veulent, comme ils le veulent. C'est simple :pendant une semaine, tu fais tout ce qu'ils te demandent, sans résister, sans protester".
Je vois J blêmir.
"- Un commentaire ?
Non Monsieur
Parfait, une fois par mois nous ferons une journée de cohésion du personnelle. tu en seras l'enjeu : selon leur classement, ils auront plus ou moins de droits sur toi. Ca me permettra de maintenir l'ordre et de les motiver à être efficace".
J baisse les yeux de honte, rougis. elle est toujours à genoux au sol, mais ces annonces lui ont fait oublier la douleur.
"Concernant les codétenus, rassure-toi ils sont tous encagés par suite de leurs crimes.
Encagés ?"
la joue de J se mis à bruler sous l'effet de cette claque : "on dit, Monsieur !!"
Les yeux embués de larmes, J. balbutie un "Désolé Monsieur, je n'oublierai plus"
"Pour te répondre à ton impertinente question, ils portent une cage de chasteté. Ils ne peuvent donc pas bander. Mais pour les motiver, ceux qui suivront leur programme de réinsertion sérieusement pourront te baiser une fois par mois. J'ai bon espoir que dès le mois prochain, ils soient tous rentrés dans le rang."
Le visage de J. se décomposa encore plus à cette annonce.
"Que ce soit clair, si je t'ai fait venir ici, c'est pour en prendre plein les trous. Le Gouvernement s'est aperçu d'une augmentation de la consommation de pornographie depuis leur arrivée au pouvoir et ça ne leur plait pas. Je leur ai donc proposé l'idée de soumises afin de permettre aux citoyens d'assouvir leurs passions. tu es la première à servir d'expérimentation et je ne compte pas échouer. Si tu me réponds à mes attentes et exigences, je pourrai te prendre comme soumise privée et je te traiterai bien. Dans le cas contraire, tu deviendras une soumise publique et tu seras à disposition de qui le souhaite. Que préfères-tu ?
Vous appartenir Monsieur.
Bien alors, obéis moi et donne moi satisfaction et peut-être que cela arrivera.
Puis-je Vous poser une question Monsieur ?
Si tu veux
Pourquoi faites vous cela pour moi ?"
Je lui offris pour seule réponse un sourire. Il est trop tôt pour lui révéler mes intentions.
"Nous en avons terminé. Les gardiens t'emmèneront à la salle de préparation pour que tu ressembles enfin à une vraie soumise. Au fait, pour ton information, il y a 150 surveillants et 300 codétenus dans cet établissement".
Avant qu'elle n'ait pu dire un mot, je suis ressorti. Elle a été parfaite. Elle a tenu sa position, n'a pas rechigné, est restée silencieuse et a obéis aux ordres.
Elle a du potentiel.
En l'ayant à mes pieds, elle pourrait bien avoir le Monde aux siens ...
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"Dring", la sonnette retentie.
"La Cour !"
Tout le monde se lève, suspendu aux lèvres du Président de la Cour. L'accusée est tremblante. Elle me regarde. Elle sait, elle craint, et elle espère.
"J" est jugée pour adultère, bisexualité et pluralité devant la Cour des mœurs criminelle. Depuis l'arrivée eu pouvoir des intégristes, l'adultère est un crime passible de peine de mort. Et "J" a fauté. Plus d'une fois. Avec plus d'un homme. Et plus d'une femme. C'était une adepte des plans à trois.
Mais elle a été dénoncée. Depuis, elle est l'ennemie public numéro 1. Elle est la honte de sa famille, ses amis se sont détournés d'elle, elle a perdu son emploi.
C'est là que je suis entré en scène. Je lui ai proposé un marché : je l'aide, et elle se soumet à moi. Totalement. Sans retour. Elle rompt totalement avec sa vie précédente. Elle perd sa liberté, son identité, sa dignité.
"- Et si je suis condamnée ?
J'utiliserai mon réseau pour que tu profites d'une cellule individuelle et confortable, afin d'exécuter ta soumission comme je l'entends.
Si je refuse ...
Vu la vindicte populaire, ce sera probablement la mort.
De toute façon, je n'ai plus ni travail, ni famille ni ami désormais ..." m'avait-t-elle dit au moment d'accepter.
Je sors de mes pensées, le Président prend la parole.
"L'accusée est déclarée coupable des faits d'adultère, de bisexualité et de pluralité. Elle est condamnée à la peine de 20 ans de réclusions criminelle à exécuter dans un établissement adapté".
Elle me regarde, à la fois soulagée et inquiète.
Je la regarde, je lui souris avec bienveillance pour la rassurer.
Elle l'ignore encore, mais l'établissement adapté, c'est le mien. J'en suis le Directeur. C'est un établissement pour ce qu'on appelle les nouveaux criminels, ceux qui étaient dans la légalité il y a de cela quelques années. Et en tant que première femme à l'intégrer, elle bénéficiera d'un tout nouveau programme expérimental de réinsertion sociale et sexuelle.
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Comme toujours Maîtresse @Marie arrive par le train, mais cette fois-ci elle arrive directement dans ma ville. Mon rendez-vous chez l’esthéticienne n’étant pas terminé, Maîtresse m’y rejoint. C’est alors qu’une fois seules dans la cabine d’épilation je me mets à genoux et lui tend mon collier. Maîtresse est la seule à pouvoir refermer ce magnifique bijou qu’est mon collier autour de mon cou. Le moment est symbolique mais très fort car pour la première fois ce n’est pas à la maison que nous le faisons. Le faire dans un lieu public me plait beaucoup et m’excite aussi un peu je dois l’avouer. Oui je suis fière de ma place et fière de le montrer à qui peut le comprendre en voyant mon collier. Je suis fière et heureuse de ce que Maitresse et moi accomplissons. Heureuse pour elle et heureuse pour moi car cela libère la femme que je suis. Le BDSM c’est surtout ça : être capable de se libérer dans cet univers et je ne m’en doutais pas mais les effets ne se ressentent pas que sur la soumise mais aussi sur la femme que je suis, sur la femme que je deviens. Cette femme-là s’épanouie et est heureuse. Merci Maîtresse.
Peut-être qu’un jour ce collier se refermera dans une place publique. J’en serai encore plus excitée, mais là c’est mon côté exhibitionniste qui parle. Une fois le collier à mon cou et habillée, Maîtresse et moi quittons l’institut pour rejoindre la voiture. Je marche derrière elle, à ma place, heureuse et fière.
Au cours de la soirée, Maîtresse me donne carte blanche pour m’occuper de ses seins. Nous sommes dans le lit, à califourchon sur elle je commence à les sucer très vigoureusement. Je prends l’initiative de planter mes ongles dans sa chair ainsi que de la griffer. Maîtresse essaye de contrer mon action, c’est alors que je vais chercher une sangle pour l’immobiliser. Une fois fait, je peux me concentrer sur sa poitrine. Ce moment est tout nouveau pour moi, je suis un peu surprise mais soumise doit répondre aux désirs et attentes de Maîtresse. Prendre le « dessus » est totalement nouveau pour moi : il y un certain plaisir lié à l’excitation, lié à la nouveauté de la situation mais rapidement je me rends compte je ne suis pas à ma place. Je me sais capable de prendre le rôle le temps d’un instant dans une situation donnée mais pas d’aller plus loin. Je me sais soumise au plus profond de moi…
Le lendemain est consacré à la préparation de l’après-midi et de la soirée car nous recevons Yrys, une amie qui sera la playpartner que j’ai proposée à Maîtresse pour cette soirée. C’est la première rencontre entre ma Maîtresse et Yrys et afin de faciliter cela, Nausika est présente auprès de sa Maîtresse. En effet notre invitée à également à un animal de compagnie… Nausika me permet vraiment de me vider la tête, j’entends tout mais je ne retiens absolument rien. D’autant plus qu’Yrys a offert des jouets très attractifs à Nausika J Le repas se passe dans les meilleures conditions et nous finissons par le dessert préféré de Maîtresse : un tiramisu à manger sur mon corps. La pratique plait également beaucoup à notre invitée. Quant à moi je suis aux anges comme lors du Nyotaimori. Mon plaisir réside dans le fait de voir mes partenaires prendre du plaisir. D’autre part c’est un moment très D/s car je suis considérée comme un objet : je n’ai pas le droit à la parole, même si cela parle de sujets pour lesquels je souhaite intervenir. Etre là sans totalement l’être en fait, il suffit « juste » de lâcher prise.
Ma convalescence m’oblige à rester assez sage durant cette soirée. Je deviens pour la première fois l’assistante soumise de Maîtresse pour une séance d’impacts sur Yrys. Etre sa complice est très plaisant même lorsque Maîtresse use de toute sa perversité. En effet, je dois choisir certains instruments d’impacts qu’elle utilisera sur mon amie Yrys. Les quelques soirées passées avec cette amie dans un tout autre cadre m’ont donnée l’intuition qu’Yrys est plutôt masochiste. C’est pour cela que les instruments que j’ai choisis sont progressifs : du simple paddle au fouet… Je retiens deux points très marquants lors de cette soirée :
Le premier est de voir Maîtresse dans son œuvre. J’ai pu voir à quel point le bonheur est si grand lorsqu’elle applique sa Domination. Je suis heureuse de la voir ainsi.
Le deuxième c’est Yrys. Je ne m’étais pas trompée sur ton côté masochiste, je ne pensais juste pas que tu aimais autant les sensations si fortes J Le fouet dès la première séance ce n’est pas courant. Tu as pris tarif !
Après Yrys, ce sera à mon tour mais très léger vu ma situation. Putain que c’est bon, putain que cela me manque. Les impacts sont peu nombreux mais je les apprécie énormément, à tel point que j’ai même eu le droit de commencer par 5 coups de fouet directement… Maîtresse, pensant à ma convalescence, me freine dans mes ardeurs car je n’ai qu’un seul mot en tête : « Encore ».
La soirée continue de manière plus posée en discutant tranquillement sur le canapé. Une longue discussion entre Maîtresse et Yrys durant laquelle je n’interviendrai que lorsque Maîtresse me donne la parole.
A ma place, sans réellement savoir pourquoi, je développe un instinct félin et j’ai tendance à frotter mon visage contre la cuisse de ma Maîtresse. Mon instinct semble plaire et exciter Maîtresse puisque sans crier garde elle me lance par devant notre invitée « Val, ce soir je vous baise ». Il n’en fallait pas plus pour réveiller la salope qui sommeille en moi. A partir de cet instant, plus rien d’autre ne compte. Je souhaite juste une chose : me faire prendre. J’aime beaucoup le faire en musique, cela me désinhibe pas mal. Maîtresse me demande d’aller chercher la tablette : je le fais à quatre pattes en ondulant du cul le plus outrageusement possible. Maîtresse ne résiste pas à mon indécence et enfile son gode ceinture pour me baiser devant notre invitée. J’ai joué à la chienne, à moi d’assumer maintenant : Maîtresse m’empale d’un coup d’un seul. Je me fais prendre au rythme de la musique et putain que j’aime ça. En levrette, je crie mon plaisir. Ma bouche trouve celle de notre invitée et nous nous embrassons pendant que je m’empale sur le gode ceinture. Je prends un plaisir de malade et lorsque la musique se termine je m’affale sur le canapé tellement c’était intense. Il me faut un peu de temps pour me remettre de tout ça…
La soirée continue encore un peu mais il est déjà plus de 3h00, il est temps de nous coucher.
Ce n’est que le lendemain que je comprends que j’ai vécu la veille ma première exhibe sexuelle. J’en suis heureuse et très excitée.
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C'était une collègue de boulot, je la trouvais très belle et très sexy.
La quarantaine, bcbg, féminine et très élégante.
En jean, je me délectais de ses formes : ses hanches, sa fine taille, son cul…
En chemisier ou un haut près du corps et j’appréciais la générosité de sa poitrine…
En jupe, j'imaginais ses bas, son string ou sa dentelle...
J’avais clairement envie de la baiser !
Je ne la laissais pas indifférente, les signes ne manquaient pas.
On se jaugeait, on se cherchait, tout en restant très prudent. Au boulot...c'est jamais évident.
Quelques mois plus tard, nous avions franchi le pas.
Un soir que je la retrouvais à l'hôtel, on se jetait l'un sur l'autre, aussitôt la porte de la chambre ouverte.
Au bout d'un moment, dos au mur, à subir mes assauts et mes caresses...je pose une main sur son épaule pour lui signifier que c’est le moment de s’accroupir ...
Ce qu'elle fait en silence pour se retrouver avec son visage à hauteur de ma queue.
Elle n'a pas dit un mot, pas un geste, elle suce comme il se doit : avec plaisir et docilité.
Ensuite la tête appuyée contre le mur, je commence mes mouvements de va et vient…je lui baise la bouche, de plus en plus profond.
J'ai compris ce soir-là qu'elle pouvait être une belle chienne docile !
Quelques mois après, après m'être confié à elle sur mes penchants bdsm, elle a accepté officiellement de se soumettre à moi.
Dorénavant, agenouillée à mes pieds, elle était capable de répondre à ces deux questions :
Tu es qui ?
Je suis ta Soumise...
Tu es quoi ?
Je suis ta Chienne...
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Je suis libertin depuis de nombreuses années et j'y ai fait de nombreuses rencontres, toutes plus enrichissantes les unes que les autres.
Mais depuis quelques années, mes envies ont évolué, elles vont de plus en plus vers le milieu bdsm sans pour autant oublier mon côté libertin.
J'ai déjà rencontré des couples candauliste mais toujours avec des hommes hétéros. Mais depuis quelques temps, je souhaite découvrir et passer du temps avec un couple Hbi actif pour assouvir leurs envies sans gènes et tabous.
À proprement parler, je ne suis pas attiré par les hommes ou la pénétration mais plus par une situation.
Ce qui m'excite dans cette situation, serait de ne pas avoir le choix...
De me retrouver à genoux nu devant vous, inférieur. Dans l'attente d'un ordre ou d'une action de votre part.
Que ce soit l'humiliation verbale, crachats, fouet, attaché, anulingus, face-sitting, fellation forcée, pet play, uro ainsi que jeux de sperme.
Pénétration diverses et variées (Mr et sextoys), mais dans mes limites et le respect.
Car malgré toutes ces envies, j'imagine que cela se fera dans une ambiance conviviale, où chacun aura sa place naturellement et l'espace de ces instants, nous ne ferons plus qu'un.
Je rêverais que cette relation soit dans l'idéal suivie pour passer d'autres moments intenses ensemble.
Si ce récit vous a plu, inspiré et donné envie, n'hésitez pas à me contacter car je souhaite qu'il ne reste pas un fantasme mais qu'il devienne réalité.
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Cela remonte à un moment déjà, bien avant que je prenne conscience de mon penchant pour la domination, bien avant que j'apprenne l'existence même du terme bdsm.
A l'époque, un tchat assez populaire, permettait de rencontrer des partenaires du coin assez rapidement. C'était simple et efficace.
On tombait parfois sur des Escorts qui monnayaient leurs services et ma réponse était toujours la même :
"Désolé mais je n'ai pas besoin de payer pour avoir une relation"
Là où c'est devenu un peu marrant un jour, c'est quand je retombais systématiquement sur la même Escort qui changeait régulièrement de pseudo, à force de se faire éjecter du site. A un moment donné, je la reconnaissais, même avec un pseudo différent, je devançais ainsi ses avances et on a fini par en rire.
Jusqu'au jour où nous avons un peu discuté et le fait de voir que je ne craquais pas et restais ferme sur ma position a commencé à lui plaire...
Je vous passe les détails mais à un moment donné, nous avons convenu de se voir. J'avais sans le savoir à l'époque déjà des kinks sur la tenue notamment :
Elle devait porter une jupe ou robe et rien dessous. Elle a accepté très facilement la proposition.
Le jour J, elle m'avait donné rdv devant son lieu de travail et elle m'avait dit plus tôt par sms, que son collègue avait bavé toute la journée à la voir dans cette tenue et qu'elle avait pris du plaisir à l'allumer ainsi, d'autant plus qu'il ne la touchera jamais ! Une vraie petite garce...sourire.
j'ai compris quand je l'ai vu ! Une robe d'été moulante, courte...sur de longues jambes perchées sur des talons et un corps magnifique !! Elle était vraiment canon et très belle !
On s'est retrouvé devant son boulot et elle me demandait de patienter un peu, elle avait bientôt fini sa journée.
Elle est revenue comme prévu et je l'ai suivi en voiture jusqu'à chez elle.
En arrivant dans sa résidence, elle me montre d'un signe de la tête une voiture garée sur le parking intérieur de la résidence : "C'est ma voiture..."
Une Porsche...rien que ça !
Elle ouvre la porte et m'invite à rentrer chez elle, je vise un peu l'appartement et vais me poser tranquillement sur le canapé.
Je ne sais plus si elle m'offre un verre ou pas mais en passant devant moi, elle me décoche un "Je ne sais pas si ça va le faire, je suis plutôt attirée par les mecs du style rugbyman d'habitude..."
C'est sûr qu'avec mon gabarit d'asperge effilée sur mes grands échasses, je suis mal barré mais au moment où elle dit cela en passant devant moi, j’attrape spontanément son poignet. Je suis assis sur le canapé, elle s'est arrêtée, debout face à moi. Au même moment, je lui demande :
"Sinon pour la tenue, tu portes bien ce qu'on a dit ?"...tout en caressant sa cuisse et en remontant ma main le long de celle-ci. Très vite, j'ai ma main entre ses cuisses et je la caresse, elle commence à mouiller très vite cette petite chienne !!
"Faut pas faire ça, sinon je vais très vite exploser", me dit-elle...sans pour autant bouger, ni m'empêcher de continuer à la caresser.
"Tant mieux, c'est le but !!"
S'en était terminé de sa résistance et de ces pseudos rugbymen.
On avait déjà évoqué ce qu'on ferait quand on serait ensemble alors quand je me suis mis debout, après l'avoir retournée face à moi, et que j'ai commencé à dégraffer mon jean, spontanément elle s'est mise accroupie sur ses talons, ses longues et belles jambes bien écartées et elle a commencé à me sucer.
Elle m'a proposé ensuite d'aller dans sa chambre pour y être plus confortablement installés. Elle était à poil, c'était pas difficile, il lui a suffit d'enlever sa robe !
J'étais nu, allongé sur le lit, le dos appuyé contre le mur et elle s'est mise à 4 pattes perpendiculairement à moi, pour continuer à me sucer. Elle avait gardé ses talons et je trouvais çà très excitant ! Elle était juste sur ma droite et j'en profitais pour la caresser et la doigter bien comme il faut.
Très vite j'ai commencé à bander très dur, elle suçait vraiment bien cette petite salope et prenait du plaisir à se l'enfoncer pleine gorge avec un rythme soutenu...je savourais !!
Au bout d'un moment, je lui ai demandé où elle préférait recevoir mon foutre et elle me répondit très naturellement :
"J'aime beaucoup sur le visage !"
Je ne répondis rien, je l'attrapais juste par les cheveux pour lui signifier de poursuivre ainsi, ce qu'elle fit docilement et en silence !
Quand j'ai senti que l'éjaculation approchait, j'ai posé légèrement ma main sur sa tête pour lui faire comprendre qu'elle ne devait pas bouger, elle a continué à sucer jusqu'à ce que je remplisse sa bouche, elle s'est délectée de ma semence jusqu'à la dernière goutte avec grand plaisir.
Quand elle a fini, spontanément, sans réfléchir, ça m'est venu comme ça :
"Maintenant, si tu veux une faciale, tu sais ce qu'il te reste à faire..."
Elle m'a regardé droit dans les yeux, elle a souri et, sans un mot, elle a recommencé à me sucer ! Bien évidemment, c'était encore plus long cette fois-ci et elle prenait toujours autant de plaisir cette petite pute.
Quand le moment de la récompense est arrivé, j'ai tenu ma promesse et me suis répandu sur son visage...
Elle adorait clairement ça !
Ensuite je l'ai baisé...
J'ai compris quelques années plus tard, que cette expérience a fait partie de mon envie de bdsm par la suite.
J'ai compris que je pouvais être directif, voir humiliant, sans pour autant être un salop, un gros connard ou dans la violence et que cela pouvait plaire à certaines femmes d'être traitées ainsi comme une belle chienne à baiser et à dresser.
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