J'étais son professeur il y a si peu de temps. Elle est maintenant une jeune femme et veut me montrer que ses opinions fraichement forgées sont le fruit du libre-arbitre dont j'ai tant parlé.
Elle veut que je la possède, devenir ma chose, mais elle ment et je le sens.
Elle obtient mon numéro et me bombarde de photo de lingerie, silhouette audacieuse, reins bouillants. Elle me parle si peu discrètement de ses cours de cabaret, de ses bas, de son plug, de ses lèvres roses et humides qui supplient ma présence.
Le chien en moi veut aboyer mais le lion est déçu.
Comment peux-tu être ma chienne, chère femme forte et fière, si tu ne reconnais pas mon autorité ?
Pourquoi fais-tu du cabaret tout en prétendant que la femme "doit se libérer" chère féministe ? Tu es soit anti patriarcat soit le fruit du désir des hommes. Tu ne peux être les deux à la fois. Tik Tok et Instagram ont emmêlé ton âme. Comment souhaites-tu être mienne si tu n'appartiens vraiment à personne ?
Comment oses-tu croire qu'un homme qui cherche LA femme, une vraie force, celle qui se soumet sans conditions et s'abandonne en toute confiance car elle se sait impératrice, regarderait une fillette qui compte garder le contrôle ?
Tu me dis vouloir être attachée, soumise, violée, mais que je te dise également que tu es ma supérieure ? Tu ne l'es pas puisque tu le demandes. Dans le silence, tu le saurais et le serais.
Ma femme ne demanderait jamais cela. Ma femme comprendrait qu'en devenant ma chose elle obtiendrait le monde, parce que je suis son serviteur, je l'ai toujours été. Une reine ne réclame pas de couronne. Elle se la voit remettre.
Ton corps est lisse et jeune, tendre et désirable, mais la force des guerrières laisse des marques. Un soldat sans cicatrices n'est rien d'autre qu'un faussaire. Où sont les vergetures que je voudrais embrasser ? Où sont tes poignées d'amour que je veux saisir. Tu n'es pas une femme forte, tu es une enfant capricieuse et tu n'auras rien de moi jeune woke. Je pourrais te faire jouir, plus que tu n'as jamais jouis car j'étais soldat et j'atteindrai toujours ton objectif. Un vrai soldat sait s'oublier pour vaincre comme une vraie reine sait abdiquer pour gouverner.
Mais tu ne veux poser genoux à terre que par posture tendance. Tu ne veux pas t'abandonner. Alors c'est moi qui disparaît.
Tu ne le sauras jamais mais en exigeant le trône, tu l'as perdu.
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Mon petit soumis est incroyablement provocateur... J'ai donc décidé lui faire faire ce que je lui dis tout le temps, comme un chien. Parfois, il s'écarte du droit chemin, je dois donc dans le remettre en place. J'ai trouvé bien plus efficace qu'un bon coup de pied au cul. Quand il n'est pas sage, j'enferme son petit pénis dans une superbe cage de chasteté en métal et il reste enfermer comme un rat jusqu'à ce que je prenne la décision qu'il puisse être libéré.
Il m'arrive de le laisser enfermé durant plusieurs jours, sans la moindre libération, ça le rend fou et j'adore ça. Nous avons une relation d'amour parfumé à la haine. Il se donne un genre, mais en réalité je sais qu'il adore quand je le fais se soumettre et s'enfermer... Je sais que ça l'excite. Ce qui le rend dingue, c'est de ne pas pouvoir toucher sa bite, et évidemment, de ne pas être capable de bander.
Il m'arrive de faire exprès de cuisiner en string pour le stimuler, je me penche en avant pour ouvrir le four et parfois j'écarte la ficelle afin qu'il garde puisse baver comme un chien devant ma petite chatte serrée. Je suis une Maîtresse très perverse et j'adore jouer avec la psychologie (accessoirement son sexe). J'ai acheté un autre cadenas afin d'obtenir des clés similaires à celle de sa cage.
Après plusieurs jours d'enfermement, j'aime faire semblant d'oublier les clés sur la table du salon, ou de les faire tomber par terre avant de sortir... J'aimerais tant voir son visage se noyer dans l'humiliation lorsqu'il se rend compte que ce ne sont pas les bonnes clés.
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Nouvelle journée qui commence. Mon maitre, (virtuel pour l'instant), est marié. Comme moi il n'est pas gay. Il est bisexuel marié, discret. La bisexualité parait dans l'intimité débridée aujourd'hui, entre bisexuels nous pouvons je pense assurer notre équilibre, Sans être vulgaire nous n'avons plus peur dans notre jardin secret. Les barrières entre hommes et femmes ne sont pas les memes. Nous pouvons nous "lacher" tout en nous respectant. Plus jeune j'ai connu des Femmes Maitresses, dans l'ombre, avant qu'elles s'affirment et s'affichent dans le couple, avant l explosion de l'équilibre bien fragilisé par la jalousie, la possessivité (Couple, Amant, Maitresse). Aujourd'hui je voulais dire, Maitre, que vous m'avez trouvé, naturellement vous m'avez appelé "Ma soumise", et comme un bon élève, ci joint votre souhait, Chemise blanche, collant et short. Au plaisir de vous lire Monsieur.
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Comme toujours Maîtresse @Marie arrive par le train, mais cette fois-ci elle arrive directement dans ma ville. Mon rendez-vous chez l’esthéticienne n’étant pas terminé, Maîtresse m’y rejoint. C’est alors qu’une fois seules dans la cabine d’épilation je me mets à genoux et lui tend mon collier. Maîtresse est la seule à pouvoir refermer ce magnifique bijou qu’est mon collier autour de mon cou. Le moment est symbolique mais très fort car pour la première fois ce n’est pas à la maison que nous le faisons. Le faire dans un lieu public me plait beaucoup et m’excite aussi un peu je dois l’avouer. Oui je suis fière de ma place et fière de le montrer à qui peut le comprendre en voyant mon collier. Je suis fière et heureuse de ce que Maitresse et moi accomplissons. Heureuse pour elle et heureuse pour moi car cela libère la femme que je suis. Le BDSM c’est surtout ça : être capable de se libérer dans cet univers et je ne m’en doutais pas mais les effets ne se ressentent pas que sur la soumise mais aussi sur la femme que je suis, sur la femme que je deviens. Cette femme-là s’épanouie et est heureuse. Merci Maîtresse.
Peut-être qu’un jour ce collier se refermera dans une place publique. J’en serai encore plus excitée, mais là c’est mon côté exhibitionniste qui parle. Une fois le collier à mon cou et habillée, Maîtresse et moi quittons l’institut pour rejoindre la voiture. Je marche derrière elle, à ma place, heureuse et fière.
Au cours de la soirée, Maîtresse me donne carte blanche pour m’occuper de ses seins. Nous sommes dans le lit, à califourchon sur elle je commence à les sucer très vigoureusement. Je prends l’initiative de planter mes ongles dans sa chair ainsi que de la griffer. Maîtresse essaye de contrer mon action, c’est alors que je vais chercher une sangle pour l’immobiliser. Une fois fait, je peux me concentrer sur sa poitrine. Ce moment est tout nouveau pour moi, je suis un peu surprise mais soumise doit répondre aux désirs et attentes de Maîtresse. Prendre le « dessus » est totalement nouveau pour moi : il y un certain plaisir lié à l’excitation, lié à la nouveauté de la situation mais rapidement je me rends compte je ne suis pas à ma place. Je me sais capable de prendre le rôle le temps d’un instant dans une situation donnée mais pas d’aller plus loin. Je me sais soumise au plus profond de moi…
Le lendemain est consacré à la préparation de l’après-midi et de la soirée car nous recevons Yrys, une amie qui sera la playpartner que j’ai proposée à Maîtresse pour cette soirée. C’est la première rencontre entre ma Maîtresse et Yrys et afin de faciliter cela, Nausika est présente auprès de sa Maîtresse. En effet notre invitée à également à un animal de compagnie… Nausika me permet vraiment de me vider la tête, j’entends tout mais je ne retiens absolument rien. D’autant plus qu’Yrys a offert des jouets très attractifs à Nausika J Le repas se passe dans les meilleures conditions et nous finissons par le dessert préféré de Maîtresse : un tiramisu à manger sur mon corps. La pratique plait également beaucoup à notre invitée. Quant à moi je suis aux anges comme lors du Nyotaimori. Mon plaisir réside dans le fait de voir mes partenaires prendre du plaisir. D’autre part c’est un moment très D/s car je suis considérée comme un objet : je n’ai pas le droit à la parole, même si cela parle de sujets pour lesquels je souhaite intervenir. Etre là sans totalement l’être en fait, il suffit « juste » de lâcher prise.
Ma convalescence m’oblige à rester assez sage durant cette soirée. Je deviens pour la première fois l’assistante soumise de Maîtresse pour une séance d’impacts sur Yrys. Etre sa complice est très plaisant même lorsque Maîtresse use de toute sa perversité. En effet, je dois choisir certains instruments d’impacts qu’elle utilisera sur mon amie Yrys. Les quelques soirées passées avec cette amie dans un tout autre cadre m’ont donnée l’intuition qu’Yrys est plutôt masochiste. C’est pour cela que les instruments que j’ai choisis sont progressifs : du simple paddle au fouet… Je retiens deux points très marquants lors de cette soirée :
Le premier est de voir Maîtresse dans son œuvre. J’ai pu voir à quel point le bonheur est si grand lorsqu’elle applique sa Domination. Je suis heureuse de la voir ainsi.
Le deuxième c’est Yrys. Je ne m’étais pas trompée sur ton côté masochiste, je ne pensais juste pas que tu aimais autant les sensations si fortes J Le fouet dès la première séance ce n’est pas courant. Tu as pris tarif !
Après Yrys, ce sera à mon tour mais très léger vu ma situation. Putain que c’est bon, putain que cela me manque. Les impacts sont peu nombreux mais je les apprécie énormément, à tel point que j’ai même eu le droit de commencer par 5 coups de fouet directement… Maîtresse, pensant à ma convalescence, me freine dans mes ardeurs car je n’ai qu’un seul mot en tête : « Encore ».
La soirée continue de manière plus posée en discutant tranquillement sur le canapé. Une longue discussion entre Maîtresse et Yrys durant laquelle je n’interviendrai que lorsque Maîtresse me donne la parole.
A ma place, sans réellement savoir pourquoi, je développe un instinct félin et j’ai tendance à frotter mon visage contre la cuisse de ma Maîtresse. Mon instinct semble plaire et exciter Maîtresse puisque sans crier garde elle me lance par devant notre invitée « Val, ce soir je vous baise ». Il n’en fallait pas plus pour réveiller la salope qui sommeille en moi. A partir de cet instant, plus rien d’autre ne compte. Je souhaite juste une chose : me faire prendre. J’aime beaucoup le faire en musique, cela me désinhibe pas mal. Maîtresse me demande d’aller chercher la tablette : je le fais à quatre pattes en ondulant du cul le plus outrageusement possible. Maîtresse ne résiste pas à mon indécence et enfile son gode ceinture pour me baiser devant notre invitée. J’ai joué à la chienne, à moi d’assumer maintenant : Maîtresse m’empale d’un coup d’un seul. Je me fais prendre au rythme de la musique et putain que j’aime ça. En levrette, je crie mon plaisir. Ma bouche trouve celle de notre invitée et nous nous embrassons pendant que je m’empale sur le gode ceinture. Je prends un plaisir de malade et lorsque la musique se termine je m’affale sur le canapé tellement c’était intense. Il me faut un peu de temps pour me remettre de tout ça…
La soirée continue encore un peu mais il est déjà plus de 3h00, il est temps de nous coucher.
Ce n’est que le lendemain que je comprends que j’ai vécu la veille ma première exhibe sexuelle. J’en suis heureuse et très excitée.
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Je suis libertin depuis de nombreuses années et j'y ai fait de nombreuses rencontres, toutes plus enrichissantes les unes que les autres.
Mais depuis quelques années, mes envies ont évolué, elles vont de plus en plus vers le milieu bdsm sans pour autant oublier mon côté libertin.
J'ai déjà rencontré des couples candauliste mais toujours avec des hommes hétéros. Mais depuis quelques temps, je souhaite découvrir et passer du temps avec un couple Hbi actif pour assouvir leurs envies sans gènes et tabous.
À proprement parler, je ne suis pas attiré par les hommes ou la pénétration mais plus par une situation.
Ce qui m'excite dans cette situation, serait de ne pas avoir le choix...
De me retrouver à genoux nu devant vous, inférieur. Dans l'attente d'un ordre ou d'une action de votre part.
Que ce soit l'humiliation verbale, crachats, fouet, attaché, anulingus, face-sitting, fellation forcée, pet play, uro ainsi que jeux de sperme.
Pénétration diverses et variées (Mr et sextoys), mais dans mes limites et le respect.
Car malgré toutes ces envies, j'imagine que cela se fera dans une ambiance conviviale, où chacun aura sa place naturellement et l'espace de ces instants, nous ne ferons plus qu'un.
Je rêverais que cette relation soit dans l'idéal suivie pour passer d'autres moments intenses ensemble.
Si ce récit vous a plu, inspiré et donné envie, n'hésitez pas à me contacter car je souhaite qu'il ne reste pas un fantasme mais qu'il devienne réalité.
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Bonjour a vous tous et toutes 💕
Il y a quelques années, je trainais sur un site porno (Très original 😁) et je suis tombé sur les vidéos d'une certaine Domina et son Soumis/cocu.
La première vidéo d'elle que j'ai vue, elle était avec un homme noir TBM et son homme cocu qui était à leurs genoux et laisse.
Elle l'insultait, se moquait de lui, lui mettait la queue de cet homme puissant devant le visage.
Puis elle commença à le sucer profondément et sauvagement à quelques centimètres de son cocu qui regardait silencieusement, cela m'intrigua mais rien de plus, quand tout à coup, elle se retourne vers son soumis, lui force à ouvrir la bouche et crache dedans..
a ce moment là, j'ai senti des frissons parcourir mon corps. Une sensation d'excitation et d'humiliation que je n'avais encore jamais vue.
Mais cela n'était que le début, car par la suite, une fois que le mâle alpha avait sa queue au plus dure, elle prend la tête de son soumis et le force à faire une gorge profonde... Mon excitation était a mon comble, et je ne comprenais pas pourquoi, car je n'avais jusque la été attiré par la soumission, le cocufiage, la bisexualité et les hommes noirs.
Mais là encore, nous étions loin du compte, car ensuite, elle commence à s'empaler sur ce sexe épais et dur, tout en prenant la tête de son soumis par les cheveux, lui ordonnant de lui lécher le cul. L'homme sortait sa queue et obliger au cocu de lui lécher la bite avant de la remettre dans son sexe.
Le cocu continuait de lécher sa maitresse, mais aussi les couilles de l'homme et on sentait qu'il prenait beaucoup de plaisir.
Quand tout a coup, l'homme sort sa queue et des jets de sperme puissants et intenses se mettent à recouvrir le sexe et le ventre de cette femme.
L'homme satisfait s'approche de la dominatrice, qui lui attrape la queue encore dure et ordonne à son soumis de la lécher avec sa langue. Mon excitation était à son paroxysme.
Je croyais que cela était fini mais bien évidemment que non...
La Domina attrapa pour la dernière fois la tête de son soumis cocu pour qu'il lèche tout son sperme, ce qu'il fît avec délectation.
C'est à ce moment là que je me suis mis à avoir mon orgasme... d'une rare intensité devant un porno.
Evidemment, vous allez me dire qu'il n'y a rien d'exceptionnel à cette histoire aujourd'hui, mais il y a 15/20 ans cette pratique était plutôt taboue ou du moins beaucoup moins exposée.
Ce que j'ai aimé dans cette vidéo, c'est cette complicité qu'il y avait entre eux 3.
Peu importe, Dominatrice, Alpha, soumis, il y avait une osmose et ils ont tous pris tellement de plaisir. Les statuts n'avaient plus d'importance.
Cela m'a ouvert l'esprit sur énormément d'envies et la chance que d'être un 'Soumis/Cocu'
Depuis ce jour, je rêve de tomber sur une Femme avec qui je pourrais vivre ça et bien plus encore 💕
Ou encore un couple pour être à leur service, sachant que la couleur de peau du mâle alpha, ou de la Domina n'est qu'un détail pour moi.
N'hésitez pas à commenter et me dire quel a été le déclic qui vous a permis d'en être là aujourd'hui.
Et à me joindre en MP, si vous êtes intéressé 😘
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J'étais en couple avec une magnifique Femme Dominatrice.
Au tout début de cette relation, nous avions discuté de nos envies et attentes, de nos kinks.
Je lui avais expliqué que je souhaitais découvrir la bisexualité forcée sous ces ordres, mais cette idée était restée sans suite.
En tant que soumis, je me plie aux envies de ma Domina et non aux miennes, cela me semble une évidence.
Nous n'habitions pas ensemble, mais nous étions très souvent ensemble, assez pour qu'elle ait les clés de chez moi.
Environ un an après cette première conversation, elle m'appelle pour me dire qu'elle n'est pas seule et qu'elle a une surprise pour moi.
Elle me demande donc de me préparer avant leur arrivée, à savoir d'être nu intégralement, de porter un plug, et chose rare, de mettre un bandeau sur les yeux et de les attendre à genoux, mains sur les cuisses.
J'étais tremblant et excité à la fois. Cette sensation est tellement intense, je sentais mon cœur battre à cent à l'heure ne sachant pas ce qu'il allait m'arriver.
Le temps d'attente m'a paru une éternité ,quand tout à coup, j'ai entendu la clé dans la serrure, je me suis redressé, tête droite et en position.
Sur la table était posée une bouteille de vin blanc sucré, le préféré de ma Domina, avec deux verres, pour son invité et elle-même.
Je tremblais mais je n'arrivais pas à me calmer, les yeux bandés, nu, à genoux sur le carrelage froid de mon salon.
Cela dura cinq bonnes minutes, car j'entendis le vin couler et les verres s'entrechoquer, Ils venaient de trinquer, mais j'ignorais toujours si c'était une femme ou un homme dans la pièce avec ma Domina.
Quelques secondes après, je sentis la main ferme de ma domina sur ma tête, je sentais son parfum enivrant qui se diffusait dans la pièce.
Elle me dit de sa voix douce et autoritaire 'Es-tu prêt mon lapin rose?'
(C'est ainsi qu'elle m'appelait depuis des mois après m'avoir fait porter un plug de queue de lapin, ainsi que des oreilles de lapin rose.) voir photos sur mon profil.
Elle me retira le bandeau des yeux, et là je me retrouve nez à nez avec un un sexe d'homme épais au repos. cela était la première fois pour moi.
A la vue de ma stupéfaction, ma domina se mit à rire, ce rire pervers et sadique qu'elle avait quand elle savait que j'avais honte et que je me sentais humilié.
Autour de son cou, elle portait un appareil photo.
Je levais les yeux en regardant ma Domina et elle dit seulement "Vas-y"
A ces mots, je pris le sexe de cet homme dans ma main, il était épais et chaud... C'était une étrange sensation pour moi, mais j'avais l'envie de le faire durcir. Alors je me suis mis à la caresser, la branler et au bout de quelques instants l'envie de la prendre dans ma bouche, ce que je fis.
Au loin j'entendais ma Domina rire, se moquer de moi et le crépitement de l'appareil photo, mais j'étais dans ma bulle... heureux de faire durcir le sexe d'un inconnu dans ma bouche, devant ma Domina.
Une fois son sexe bien dur dans ma bouche, ma domina me donna l'ordre de le prendre a pleine main et demanda à l'homme de prendre à son tour mon petit sexe mou pour comparer et prendre des photos.
Cette situation était très humiliante pour moi, mais je sais qu'à ce moment là, ma Domina prenait beaucoup de plaisir, cela était le plus important pour moi 💕
Ensuite la séance s'est déroulée sous les ordres de ma Domina.,
Il m'a doigté, pluggé, godé mais jamais pénétré. (Voir photos sur mon profil)
Je ne serais dire combien de temps a durée cette séance et qui était cette homme, je m'en moqué. Je me sentais vide, épuisé, heureux.
Une fois partie, cet inconnu partit, ma Domina me regarda intensément, je compris dans la seconde que cette séance l'avait grandement excitée.
Alors je m'allongeai au sol sans un mot, elle se déshabilla rapidement et s'assit sur mon visage. il ne lui fallut pas longtemps pour qu'elle ait un orgasme intense et humide.
Sans un mot, nous sommes parties sous la douche, et nous nous sommes allongées dans les bras l'un de l'autre.
A ce moment là, nous ne faisions plus qu'un.
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Il avait pris l'habitude d'arriver un peu en avance. Cela ne me dérangeait pas, mais cet après-midi là, en acceptant sa venue un peu plus tôt je souriais secrètement au téléphone. "Oui bien sûr, tu peux venir maintenant, je t'attends..."
À peine arrivé, petit salut habituel et aussitôt le baise-pied que je lui ai appris à offrir dignement. Puis, je lui annonce que puisqu'il est arrivé avec 10mn d'avance, il va pouvoir rester à genoux sur le tapis de l'entrée jusqu'à l'heure prévue. Les mains sur la tête et l'air penaud, il s'exécute sans un mot. Amusée, je l'observe du coin de l'oeil, faussement affairée sur mon portable.
La fin du doux sévice est annoncé rapidement par le carillon de l'église qui sonne notre horaire de rendez-vous.
Il est temps donc de le faire se déshabiller puis de procéder à l'inspection de ce corps nu. Mots, coups de cravache, morsures, griffures, pincements, claques... et je finis par lui attacher son collier autour du cou avant de lui ordonner de se mettre à quatre pattes. Là, je ne peux m'empêcher de saisir le martinet et de commencer à faire rougir ce joli cul offert si ostensiblement. Après m'être défoulée sur son derrière bien coloré à présent, je m'installe dans le fauteuil et lui ordonne de s'occuper de mes pieds. Massage, baisers, coups de langue, orteils sucés un à un, puis les cinq ensemble, la plante aussi, léchée abondamment, etc... L'application d'un fétichiste passionné des pieds éveille généralement en moi des sensations tellement différentes et intenses à la fois que les effets finissent par me détendre, voire m'enivrer d'un désir irrépressible...
"- Tu ne lèches vraiment que les pieds ?
- Non Maîtresse"
...
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Chapitre 2 : Préparation Clinique
Une main effleura doucement sa joue, geste délicat cherchant à apaiser ses craintes. Les doigts glissaient lentement sur sa peau, caressant chaque contour de son visage avec une douceur infinie. Ils descendirent le long de sa mâchoire avant de remonter vers sa tempe. La main s'attarda, transmettant une chaleur douce et constante qui contrastait avec l'air ambiant froid.
« Calmez-vous, 17, » murmura-t-elle d'une voix douce mais assurée, retirant lentement sa main. Puis, avec urgence, ajouta, « Aujourd'hui, nous avons beaucoup à faire. »
Un corps se glissa dans son champ de vision, révélant l'infirmière qui se tenait maintenant devant lui, penchée en avant pour l'observer attentivement. Elle était une figure élégante et professionnelle, ses cheveux tirés en arrière dans un chignon strict, la nuque dégagée. Ses lunettes transparentes encadraient un regard perçant accentué par le masque en latex blanc, soulignant la pâleur de sa peau et mettant en valeur ses yeux.
Elle portait un tablier en latex qui épousait avec élégance ses courbes féminines, mettant en avant ses épaules dénudées et sa silhouette gracieuse, laissant entrevoir sur les côtés sa poitrine et ses hanches. Ses ongles, soigneusement peints en rouge vif, ajoutaient une touche de contraste audacieux à son uniforme immaculé.
« Cela devrait vous aider à vous détendre », annonça-t-elle. Le mélange de gaz dans le masque modifia légèrement la sensation de l'air qu'il respirait. À mesure que le mélange de gaz changeait, une sensation de calme artificiel commença à se répandre dans les poumons du patient, engourdissant légèrement sa conscience mais n'atténuant en rien son angoisse profonde.
Alors qu'elle se tenait près de la table d'examen, elle attrapa une paire de longs gants noirs en latex dans un tiroir métallique à côté d’elle. Se retournant, elle lui offrit une vue de ses fesses non couvertes par le tablier.
« Patient numéro 17 » dit-elle d'une voix calme mais ferme, « Le moment est venu de commencer. » Lentement, méthodiquement, elle enfila les gants et les remonta lentement le long de ses bras jusqu'au début de ses épaules. Étirant chaque doigt avec une détermination presque mécanique. Le latex épais s'étira et claqua doucement contre sa peau, brillant sous les lumières cliniques de la pièce. Chaque mouvement était comme une danse calculée, une mise en scène implacable de son autorité. Elle se dandinait légèrement en lui parlant de dos, ajoutant une touche de provocation. Les gants noirs symbolisaient le contrôle absolu qu'elle exerçait sur la séance, une extension de sa volonté froide et déterminée. Chaque clic des gants résonnait dans l'atmosphère chargée de la salle, ajoutant à l'intensité de l’instant, tandis que le patient, malgré sa vision altérée par le masque, avait une vue imprenable sur la scène.
Elle prit le spéculum du plateau d'instruments méticuleusement préparés à côté d’elle, le tenant fermement dans sa main pour que le patient puisse voir l'instrument métallique.
« Je vais procéder à une inspection interne de votre orifice pour m’assurer d'une préparation adéquate avant votre purge intestinale », expliqua-t-elle, glissant ses doigts le long du spéculum avec une précision chirurgicale. « Cet instrument sera inséré doucement puis ouvert progressivement pour permettre une visualisation claire et complète de l’intérieur de votre rectum. C'est une étape essentielle pour garantir que vous êtes prêt pour la procédure à venir. »
L'infirmière ajusta l'écartement au plus petit à l’aide de la molette, puis reposa délicatement l'instrument sur le plateau tout en continuant ses explications. « Vous pourriez ressentir une légère pression pendant l'insertion, mais je vais m'assurer que cela soit aussi confortable que possible. »
Elle ajusta la lampe scialytique au-dessus de la table d’examen, faisant glisser les bras métalliques pour positionner la lumière blanche directement sur le patient. La salle se remplissait d'une lueur clinique intense. Elle saisit ensuite une seringue en verre remplie de lubrifiant. « Ce lubrifiant facilitera l'insertion et minimisera tout inconfort. » L'éclat de la lumière blanche était presque éblouissant, accentuant chaque détail.
L'infirmière s'accroupit devant le patient, faisant face à ses jambes écartées. Sa posture était professionnelle, reflétant sa concentration sur la tâche à accomplir. Son regard scrutait minutieusement chaque détail, préparée à agir avec précision et délicatesse. Elle posa délicatement deux doigts autour de l'orifice du patient, qui se contracta instinctivement, réagissant à la stimulation et à la présence proche de l'infirmière.
Ce réflexe involontaire témoignait de sa réaction physique au contact direct, une réponse naturelle de surprise. Exerçant une légère pression pour l'écarter doucement, elle dit : « Ce n’est rien, détendez-vous », scrutant chaque réaction du patient. Celui-ci gémit légèrement sous la pression initiale, puis commença à relâcher les muscles tendus.
À mesure que l'ouverture s'élargissait, l'infirmière introduisit lentement la seringue transparente, remplie de lubrifiant frais. Le patient ressentit un léger frisson de fraîcheur lorsque la pointe en acier pénétra doucement son sphincter. La sensation de froid du lubrifiant contre ses parois internes provoqua un autre gémissement, cette fois teinté d'une surprise mêlée de soulagement.
« Je vais vider le contenu de la seringue maintenant que je suis à l'intérieur, » annonça-t-elle d'une voix assurée et calme, se tenant près de l'orifice du patient, avant d'appuyer lentement sur le piston de la seringue.
Le liquide pénétra progressivement à l'intérieur de son bas-ventre, procurant une sensation de fraîcheur qui se transforma en une douce chaleur, engourdissant légèrement ses sensations et offrant un confort inattendu.
« Ce gel lubrifiant à base de lidocaïne est conçu pour induire une détente progressive », précisa-t-elle.
Le patient se détendit davantage, ses gémissements devenant plus doux, alors que l'infirmière vidait doucement la seringue. Une fois celle-ci vidée, elle la reposa soigneusement sur le plateau d'instruments, puis se tourna à nouveau vers le patient, lubrifiant doucement un de ses doigts.
« Maintenant, je vais vérifier votre degré de dilatation. » Elle inséra doucement son doigt ganté à l’intérieur de son orifice déjà quelque peu endolori. Dès que son doigt ganté entra en contact avec les parois internes de l'orifice, l'infirmière observa attentivement la réaction du patient. Le passage lubrifié facilitait l'insertion, minimisant la friction et maximisant le confort, comme elle l'avait prévu. Les muscles internes du patient, déjà préparés par le lubrifiant, offraient une résistance douce mais perceptible alors qu'elle progressait plus profondément.
Pour le patient, la sensation était une combinaison étrange de pression et de légère douleur, adoucie par la présence de lubrifiant. Chaque mouvement délibéré de l'infirmière était ressenti avec une clarté presque étonnante, accentuée par la vigilance accrue de ses sens face à cette intrusion délicate mais nécessaire.
L'orifice, déjà sensibilisé par les préparatifs précédents, réagissait par de petites contractions, une réaction involontaire face à cette exploration médicale minutieuse.
« Continuez à respirer régulièrement. Nous progressons bien. » Murmura-t-elle, ses mots résonnant dans la salle clinique.
L'infirmière continua à insérer son doigt avec une précision chirurgicale, évaluant la dilatation et la réponse physique du patient à chaque mouvement. Elle maintenait une communication rassurante, guidant le patient à travers les sensations nouvelles et parfois inconfortables.
« Sentez-vous cette légère pression ? C'est normal. Cela nous aidera à évaluer correctement. » Expliqua-t-elle, offrant une explication claire pour apaiser toute inquiétude. Pour le patient, cette expérience était une confrontation entre des sensations physiques et émotionnelles, face à la réalité clinique de l'examen. Chaque ajustement subtil de l'infirmière, chaque vérification minutieuse, était ressenti comme une intrusion contrôlée mais nécessaire, illustrant à la fois la délicatesse et l'expertise de l'infirmière tout en préservant le confort relatif de l'expérience médicale. La vérification de la dilatation se poursuivit méthodiquement, chaque étape étant soigneusement mesurée pour assurer que le patient était prêt pour la prochaine phase de la procédure médicale. L'infirmière retira son doigt ganté avec une précision rapide mais contrôlée, respectant la sensibilité de l'orifice maintenant dilaté. Un léger frisson parcourut le patient au moment où le doigt quitta son intimité, laissant une sensation fugace de vide après cette exploration tactile.
« Je vais maintenant préparer le spéculum, » poursuivit-elle, anticipant les besoins suivants tout en maintenant une communication claire avec le patient. Son ton était à la fois directive et douce, soulignant sa maîtrise de la situation tout en respectant la dignité et le confort du patient.
Pendant ce temps, la lumière blanche de la salle clinique continuait de baigner l'environnement dans une aura stérile mais sécurisante, accentuant chaque détail de l'examen médical en cours.
Après avoir préparé le spéculum avec soin, l'infirmière revint vers le patient, le spéculum lubrifié en main. Elle le positionna délicatement devant l'orifice dilaté, prête à poursuivre la procédure. Avec expertise, elle commença l'insertion, guidant le spéculum avec précision dans l'ouverture préparée. Le métal froid et lisse se glissait progressivement, élargissant doucement l'orifice sous le contrôle attentif de l'infirmière. Le patient pouvait sentir une légère pression à mesure que l’instrument s'ouvrait, révélant l'intérieur jusque-là caché.
Pour l'infirmière, c'était une vue familière mais cruciale. À travers la lumière blanche éclatante de la salle clinique, elle observait l'ouverture de l'orifice avec une attention minutieuse, confirmant visuellement la préparation adéquate du patient pour la suite de la procédure.
« Parfait. » Murmura-t-elle, « Tout semble en ordre pour procéder à votre injection rectale. »
Elle ajusta légèrement la position du spéculum pour un meilleur angle d'observation, assurant une inspection complète et détaillée de la muqueuse interne. Chaque détail était examiné avec un professionnalisme absolu.
Après avoir retiré doucement le spéculum, l'infirmière prépara le mélange qui serait utilisé pour le lavement.
« Pour le lavement, » expliqua-t-elle en préparant le mélange final, « Nous utilisons de l'eau gazeuse et du lubrifiant à 3% pour maximiser votre confort tout en facilitant le processus. »
Pendant qu'elle parlait, le patient commença à s'agiter légèrement, gémissant de panique à travers son masque tout en respirant fort. Ses gestes étaient nerveux, réagissant à l'inconfort anticipé. L'infirmière perçut son agitation et se pencha doucement vers lui. « Respirez profondément. Tout va bien se passer, » dit-elle d'une voix douce mais assurée, cherchant à apaiser ses craintes.
Le patient hocha la tête, ses yeux exprimant à la fois anxiété et confiance dans le professionnalisme de l'infirmière.
Elle prit un instant pour vérifier les instruments à côté d'elle, confirmant sa préparation méticuleuse. « Le lubrifiant ajouté garantit une insertion en douceur et réduit toute sensation d'inconfort. Vous pourriez ressentir une légère sensation de ballonnement due aux bulles d'air dans le liquide, mais cela est parfaitement normal et temporaire. »
Elle fit une pause, laissant ses paroles résonner dans l'air chargé de la pièce avant de continuer. « Cette irrigation va préparer votre corps à l'élimination quotidienne des sécrétions, assurant une purification complète de vos intestins. »
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Chapitre 1 : Réveil Stérile
Ses sens émergèrent lentement, comme s'ils se déployaient à travers un brouillard épais et insidieux. Ses paupières s'ouvrirent lourdement, révélant un environnement aseptisé, baigné dans une lumière crue émanant des néons au plafond. Il cligna des yeux pour s'adapter à l'éclat impitoyable, prenant lentement conscience de sa situation.
Une odeur chimique et pénétrante envahissait ses narines, émanant du masque fixé à son visage par des sangles élastiques passant derrière sa tête. Ces dernières pressaient légèrement contre sa peau, confortablement. Seul le nez et la bouche étaient capturés par le masque. Des joints en silicone doux entouraient les bords, assurant une étanchéité parfaite. Deux gros tubes en caoutchouc noir, flexibles, étaient reliés à une machine respiratoire à l'avant du masque. Deux bouteilles chromées, étaient positionnées côte à côte parfaitement alignées sur un chariot, chacune ornée de valves et de manomètres argentés. Chaque inspiration profonde l'enfonçait davantage dans un état de somnolence contrôlée, entre éveil et inconscience.
Le bruit des machines dans la pièce créait un fond sonore presque hypnotique, ponctué par le sifflement doux et régulier de la valve s'ouvrant à chaque cycle respiratoire. Au milieu du ballet mécanique, le bip régulier du moniteur de tension artérielle et de pouls résonnait, ponctuant l'atmosphère de sa cadence méticuleuse. Le rythme des machines et le son apaisant de sa propre respiration dans le masque formaient un contraste étrange avec l'incertitude de la situation.
Le carrelage blanc, immaculé, réfléchissait chaque étincelle de lumière, créant une atmosphère glaciale. Les vitrines en verre alignées le long des murs exposaient une vaste collection d'instruments médicaux, chacun soigneusement disposé. Les clamps en acier chirurgical, brillants, occupaient une place centrale. À côté, des embouts de lavement et des sondes d'urètre attendaient leur utilisation, disposés avec précision. Des plugs en verre et en acier, de différentes tailles. Les proctoscopes en verre, transparents, côtoyaient les roulettes de Wartenberg aux pointes acérées, prêtes à l'emploi. Les baillons écarteurs et les seringues de diverses tailles complétaient cet arsenal, tandis que des spéculums et des écarteurs anaux étaient également à portée de main. Les meubles en métal chromé comportaient des tiroirs soigneusement étiquetés, et sur les étagères étaient disposés des solutions antiseptiques, analgésiques, salines et différents lubrifiants stériles à base d’eau ou de silicone, eux aussi étiquetés méticuleusement.
Son corps nu reposait sur une table d'examen gynécologique, dont le matelas en latex noir, froid et légèrement collant, épousait ses courbes. Ses jambes étaient maintenues écartée et levée par des jambières en acier. Chaque partie de la table semblait avoir été conçue pour l'immobiliser complètement, avec des sangles qui serraient ses poignets, ses chevilles et son torse. Les attaches, ajustées avec précision, épousaient parfaitement les contours de ses membres. Il tenta de se débattre. Il tira et se contorsionna, ses efforts désespérés faisant crisser le latex contre sa peau. Malgré toute sa force et sa détermination, il ne parvint pas à se libérer. Les attaches, solidement ajustées, ne cédèrent pas d'un millimètre, renforçant l'impression d'une situation inéluctable à son égard. Chaque mouvement amplifiait l'odeur du gaz chimique qu'il inhalait, exacerbant sa panique. Sa respiration s'accélérait, chaque bouffée d'air devenant plus difficile à gérer, tandis que l'air humide se condensait à l'intérieur du masque, ajoutant à son inconfort. Sa peau devenait moite de transpiration, chaque goutte se mêlant à la sensation collante du latex contre sa peau. Son cœur battait de plus en plus vite, martelant sa poitrine comme un tambour furieux, amplifiant la sensation d'étouffement et d'impuissance. Ses muscles tendus et ses tentatives désespérées de se libérer ne faisaient qu'exacerber sa détresse.
Soudain, un bruit de porte coupa sa respiration instinctivement, ses yeux grands ouverts, emplis de terreur. Chaque fibre de son être était tendue, à l'écoute du moindre son. Il entendit une paire de talons résonner sur le sol carrelé, le bruit se rapprochant inexorablement derrière lui.
Chapitre 2 : Préparation Clinique
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Hier matin recevant Votre message me disant de venir ayant provoqué en moi ce besoin insatiable de prendre place à Vos pieds
Je me suis jetée à l'eau, me préparant, prenant le chemin me conduisant à Vous.
Suivant mon instinct, plus j'avançais sur le trajet et plus je ressentais cette exaltation montée en moi, sourire aux lèvres ressentant diverses émotions prendre possession de mon être.
Arriver en avance, Vous attendant, je me suis surprise de la sérénité que je ressentais plus le temps passait me rapprochant de Vous.
Lorsque Vous êtes arrivé, voir Votre visage apparaître me provoquant cette douce chaleur m’envahissant de nouveau, provoquant tant en moi, heureuse que ce moment arrive enfin.
Prenant place à Vos côtés, tout ce que je pensais et ressentais été confirmés Monsieur.
Arriver chez Vous, prenant un thé, j'ai profondément apprécié Votre façon d'être dans Vos actes, Vos mots afin que je me sente à l'aise.
Lorsque vint le moment ou Vous m'avez demandé, ma nudité m'invitant à prendre place à Vos pieds.
Ce bien être ressenti tant lorsque j'ai pris place à Vos pieds que lorsque ma tête s'est posée sur Vos genoux, ressentir Votre main sur ma nuque, ma peau caressante.
Fut un moment indescriptible tant je me sentais à ma place Monsieur à Vos pieds sous Votre main.
Je dois avouer Monsieur que lorsque Vous m'avez demandé d'apposer ma bouche sur Votre chibre à travers Votre pantalon afin de le sentir, ressentir.
L'eau à la bouche, de Vous goûté, mon entrejambe gagné de par l'humidité, je n'avais qu'une envie, que Vous m'offriez ce plaisir de me délecter de Vous.
Ressentir Votre main se resserrant sur mon cou, sentir mon souffle entre Vos mains me procurant, accentuant ce besoin de m'en remettre à Vous tout en ressentant Votre regard, Votre bienveillance, ma confiance en Vous étant totalement présente.
Je m'en remets totalement à Vous dans cette emprise respectueuse, je suis Votre Monsieur.
Je ne Vous cache pas avoir pris grand plaisir à Vous caresser de ma langue, faire glisser mes lèvres sur toute Votre longueur, Vous offrir ma gorge, Vous suçant, Vous aspirant, prendre Vos bourses en bouche.
Un plaisir tel que mon intimité Vous réclamait déjà toute trempée de ce désir que Vous m'inspirer Monsieur.
Sourire, état exact que je ressens en cet instant en Vous faisant ce compte rendu ce jour Monsieur.
Lorsque vint le moment ou Vous m'avez demandé de prendre place à quatre pattes sur le canapé, m'exécutant à Votre demande sous Votre regard, mon être, mon corps, la plus infime partie de moi Vous réclamant, mon désir que Vous preniez possession de mon être à part entière n'ayant de cesse de grandir.
Sentir Votre main glisser sur mon être, s'immiscer entre mes cuisses, Votre main découvrant ce désir ardent que je Vous porte tant je mouillais pour Vous en cet instant.
J'étais là, à ma place, sous Votre regard, ressentant ce plaisir incommensurable de sentir Vos carresses, Vos doigts prendre possession de mon intimité, mon cul.
M'offrant à Vous ainsi, mon être épris de Vous de part en part, courbant l'échine.
Mon seul désir, ma seule pensée étant que cela ne s'arrête pas.
Appétit vorace de Vous prenant place, mon cul réclamant Votre queue, mon être viscéral tant que cérébrale étant Votre bien avant Notre rencontre, je vacille, vibre entre Vos mains.
À l'instant où j'ai ressenti Votre chibre à l'orée de mon cul, je n'attendais que cela dégoulinante d'envie que Vous me preniez.
Plus je Vous sentais me prendre, durcissant, Vos couilles claquant sur mes fesses, plus j'avais ce besoin de Vous sentir encore, plus profondément plus fortement.
D'une de Vos mains me tenant le bassin de l'autre agrippant mes cheveux, cette douce cadence enivrante poussant mon être dans une veille indescriptible tant que délicieuse.
Vous sentir, Vous ressentir, Vôtre voix au creux de mon oreille, Votre souffle sur ma nuque, Vos douces morsures, Votre odeur poussant mes sens à de tels niveaux.
Je suis en pleine conscience de la dimension que le don que je Vous fais de mon être est sans demi-mesure, Vous remettant une part de moi que personne ne pensait pouvoir avoir, où son existence.
Part de mon être que mon être cachait au plus profond de moi Monsieur.
Je sais ce don plein et entier, sans réserve aucune et dans une confiance infinie.
Enivrer de Vous appartenir, d'être terre de Vos vices et perversions, souillant de plaisir Votre canapé, coulant à Votre désir, je succombe entre Vos mains accueillant Votre plaisir en moi.
Pendant que Vous allez à la salle de bain, je nettoie mes souillures.
Nous nous désaltérons, discutons un moment, je Vous demande permission de fumer une cigarette sur la terrasse.
Puis revenant à ma place, Vous me dites qu'il serait temps que je découvre Votre donjon.
Je Vous demande autorisation d'aller aux toilettes.
Pendant ce temps, Vous allez préparer et allumer quelques bougies.
En sortant des toilettes ma curiosité est telle que je viens pour Vous rejoindre.
Vous me faites remarquer que je devrais être à ma place.
Gêner sachant que je n'aurai dû, je retourne au sol, la ou je dois être dans le salon à ma place Vous présentant mes humbles excuses.
Je Vous confirme que cela ne se reproduira plus, me prenant par les cheveux, Vous m'invitez à me lever et Vous suivre.
M'exécutant avec grand plaisir, je Vous suis Monsieur.
À ce moment précis, je ressens cette part de mon être prendre une place de plus en plus considérable en moi.
Ne me doutant pas de ce qui allait se réveiller sous Votre main, ni de la manière que cela allait se réveiller.
Vous m'invitez à choisir trois objets, trois choses qui me feraient envie.
Observant sur la droite le dessus de la cage et les divers jouets, mon regard repartant vers la gauche Vers les divers fouets, martinets, touchant de mes doigts les différentes textures, matières, leurs diverses résistances, mon choix se pose.
Vous trouvez entraves à la finesse de mes mains, poignées puis m'invitez à prendre place sur la croix de Saint André.
Je dois avouer que cela faisait bien longtemps que je n'avais eut ce plaisir, mon fort intérieur brûlant de danser sous Votre main, de sentir ressentir à nouveau le cuir sur ma peau, les impacts transcendé mon être.
Lorsque Vous avez commencé, je dois avouer être surprise, ne comprenant pas le ressenti sur ma peau qui ne correspondait pas à mes choix.
Mon attention posée sur ce questionnement, n'ayant jamais ressenti un contact autre que le cuir sur ma peau, ayant toutefois reconnu le daim.
Mon plaisir a commencé sous les impacts, ressentant cette chose qui fait toute la différence avec le cuir chauffant ma peau.
Chaque impact raisonnant en mon être à part entière mouillant de manière incontrôlable plus Vous alternez les impacts et Votre main entre mes cuisses.
À un moment, je prends conscience de Vous avoir appelé Maître, cela, c'est exprimer tant naturellement.
Lorsque Vous me l'avez fait remarquer, je Vous ai de nouveau appelé Monsieur.
Je dois Vous avouer avoir lutté contre mon moi profond qui Voulait et ressentait le besoin l'envie de Vous reconnaître comme tel, ressentant et ayant réellement le sentiment d'être à ma place à Vos pieds.
Mon corps mon esprit cherchant le contact de Votre corps tout en désirant à la fois sentir ressentir sous Votre main, Sous Votre fouet.
Régulièrement Vous sentir Votre souffle, Votre bienveillance prenant soin de savoir comment je vais, si je souhaite continuer me poussant inlassablement à Vous à Vous exprimer le plaisir que j'éprouve, à ce que Vous n'arrêtiez pas.
Sentir Vos lèvres effleurent les miennes, goûté Votre langue se mêlant à la mienne.
Tous mes sens s'offrant à Vous, exacerbant, démultiplient tout en moi.
Le moindre geste, le moindre effleurement de Votre main, le moindre impact ouvrant plus encore cette part de mon être que je découvre en même temps que Vous.
Cette part de mon être que j'avais volontairement enfermé au plus profond de moi, part que je m'étais toujours interdite à offrir par manque de confiance en "l'autre" et ce besoin de contrôle par crainte que j'avais de cette inconnue en moi dont je ne connaissais et ne connaissent toujours pas les limites.
Hier Monsieur sous Votre main, à Vos pieds, ce "fusible" de sécurité qui
bloquait cette part à sauter au sens propre du terme, chose qui ne s'était jamais produit auparavant.
Vous me détachez me conduisant au centre de la pièce, m'invitant à lever les bras m'attachant ainsi.
De Votre fouet s'enroulent encore et encore sur mon dos mon corps, je transpire de plaisir, mouillant à en perdre pied.
Succombent sous Votre regard.
Je suis là suspendue croulant de plaisir sous Votre fouet et ressens mon corps attiré comme un aimant partir vers Vous.
À cet instant, je ne contrôle plus rien, je me sais attacher et mon être part en Votre direction cherchant le contact.
Mon regard plongé dans le Vôtre, une chose casi indescriptible se passe en moi, un besoin insatiable, un ressenti d'une telle force a prise place, ressentant cette part bestiale jaillir, à en ressentir jusqu'à la moindre réaction.
En aillant ressenti mon regard changé, ressentant cette intensité grandir en moi.
Je dois avouer que le moment auquel je ne m'attendais pas est cet instant où en entendant le bruit des attaches, des suspension m'a fait comprendre que mon esprit, mon fort intérieur me poussaient inlassablement à aller vers Vous.
J'étais là attachée devant Vous, mon regard Vous dévorant, l'eau à la bouche, mon intimité s'écoulant sur le long de mes jambes.
Prenant toujours plus de plaisir sous Votre fouet, Votre main revenant régulièrement entre mes cuisses, sentir Votre corps, mes jambes cherchant à Vous retenir contre moi.
Vous collant derrière moi, mes fesses ne pouvant s'empêcher de remué contre Votre chibre dur dans toute sa longueur.
Ma bouche devient sèche, je Vous demande de l'eau, Vous me demandez d'attendre.
Continuant à me fouetter, gémissante de plaisir ma faim de Vous est tellement intense, plus je ressens les impacts et plus l'envie de Vous sentir en moi, de sentir Votre queue dans mon cul est forte.
Je commence à ressentir une gêne avec les entraves scratchs qui me gêne dans le maintien de mes poignées, des fourmillements dans mes mains.
Ayant toujours la bouche sèche, je Vous demande de l'eau.
Vous Vous rapprocher de moi me demandant si Vous pouvez m'impacter plus fortement à cinq reprises avant de me détacher.
J'accepte sans hésitations ni craintes aucune, un réel plaisir de ressentir la vague de sensations traversant mon être à chaque impact Monsieur.
Vous me détachez, mes lèvres se déposent sur Vos mains.
Vous m'invitez à Vous suivre, Vous assaillant. Je me prends place à Vos pieds entre Vos jambes, posant ma tête sur Votre cuisse câline, bien être absolu d'être ainsi à ma place.
Votre main se faisant douce, Vos carresses me bercent, Vos mots mots continuent à enflammer le creux de mes reins, le son la résonance de Votre voix continuent à nourrir ce désir ardent que Vous provoquer en moi.
De ma bouche Vous m'invitez à découvrir à mon plus grand plaisir, Votre queue dressée de cette alchimie s'étant tissée durant ce moment entre Vos mains, dans cette danse sous Vos impacts.
L'envie de ma gourmandise, de Vous prendre en bouche, de Vous goûté, de sentir Votre queue au fond de ma gorge, de sentir ressentir la douce chaleur de Votre nectar s'écouler en ma bouche est si fort Monsieur.
Vous libérez Votre chibre que je prends en bouche, le caressant de ma langue, l'enserrant entre mes lèvres, le guidant au plus profond de ma gorge, main faisant des vas et viens sur Votre longueur, Vous aspirant.
J'aime tant Vous sentir ainsi en moi que je n'ai plus besoin de boire ayant tellement l'eau à la bouche de Vous sentir Vous déverser en moi.
Vous me demandez et me prévenez qu'ainsi Vous allez jouir en ma bouche et si j'en ai conscience.
Souriante Votre queue dressée en cette dernière, j'acquiesce continuant jusqu'à sentir cette douce chaleur explosée y prendre place et me délecter de Vous.
Monsieur un plaisir hautement partagé dont je Vous remercie.
Nous retournons au salon à Votre souhait, à Vos pieds, je prends une goutte d'eau, nous discutons, nous regardons des photos.
Je Vous demande permission de fumer une cigarette sur la terrasse.
Sourire une araignée pointe le bout de son nez, je Vous avoue ma phobie de ces dernières.
Vous m'invitez à éteindre ma cigarette ainsi qu'à fermer la porte afin que cette dernière ne rentre pas.
Je m'exécute à Votre demande.
Sourire tendre Monsieur, ma phobie ne me fera aucunement quitter ma place à Vos pieds.
L'heure tournant, Vous m'invitez à me rhabiller, le moment de me reconduite à la gare est venu.
Nous montons en voiture, discutons sur le trajet, arrivant à la gare, j'embrasse Vos mains, reconnaissante.
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Le week-end à la ferme
Ce vendredi Maîtresse m’emmène pour le week-end chez un homme à qui elle m’a prêtée. Après une petite heure de route, nous arrivons devant une vieille ferme. Un homme d’une cinquantaine d’année en sort, de taille moyenne mais avec un gros ventre, un bear et bien barbu. Il me fait peur
Maitresse m’aide à sortie, j’ai mes orthèses et mes cannes. iL dit pas besoin du fauteuil ! Maitresse s’en va en me demandant d’être gentille.
Il me soulève du sol et me porte à l’intérieur. C’est propre mais vétuste. Vive le formica ! Il me pose à même le sol et m’ordonne de retirer mes vêtements. Je suis en slip avec ma couche et mon soutien-gorge. Je lui dis que je devrais me laver avant car ma couche est souillée.
-« sale cochonne « me dit-il en me portant dans sa baignoire. Je me lave sous sa surveillance. Ma fait un lavement.
Retour dans le salon, il me met un collier large de quelques centimètres en cuir épais avec un grelot, m’attache les mains derrière le dos avec une barre. Me soulève et me sodomise, ça n’arrête pas, je sens sa sueur. Enfin il termine, mais non il me retourne et plante sa queue dans ma bouche. La retire, me met sur le dos et recommence en gorge profonde. Sa queue est sale, elle sent fort. J’ai presque vomi. Enfin il jouit et se retire.
C’est bien dit-il mais tu peux faire mieux. Il me laisse ainsi avec juste une couverture. Je ne peux même pas ramper pour me déplacer avec mes mains attachées. Mais avant de partir, il me retire mes appareils auditifs, me mets mon masque de cuir en fermant les ouvertures des yeux et des oreilles.
J’ai une gamelle avec une sorte de bouillie et de l’eau avec une paille. Il me dit « pas besoin de cage ainsi tu ne pourras pas partir ». Néanmoins, il fixe la chainette à mon septum (piercing nasal) qu’il cadenasse au radiateur. Je me dis que je vais au moins avoir une nuit tranquille.
Je me suis trompée, je dormais, il me réveille, me met l’entonnoir à pisse dans ma bouche et se vide. Ensuite il répare comme si rien ne s’était passé.
Le matin arrive, je suis courbaturée, ma couche est pleine, j’ai soif.
Il arrive, me plante sa bite dans ma bouche et je suce. Ensuite il me détache les mains et me porte dans la baignoire. Je dois me débrouiller seule.
Miracle il m’offre un café, le déguste mais il me dit qu’il me coutera cher ! Il me retire le collier de cuir pour le remplacer par un en acier bien lourd et remplace la chainette de mon piercing anal par une autre petite chaine plus lourde. Ca tire, ça me fait mal. Il me porte et nous allons dehors. Et là il me pose dans une brouette et nous parton en direction d’un bosquet d’arbre. Il cadenasse l’extrémité de la chaine à un arbre et il me laisse seule dans ma brouette.
Deux mecs arrivent, aussi des bears. Ils semblent rustres. Le premier dison Marc, ouvre la bouche passe un doigt sur mes gencives et dit « c’est vrai qu’elle n’a pas de dent la pute » Et il m’enfile son zob dans la bouche. Le deuxième disons Claude, s’amuse avec mon clito bite. Marc se retire et Claude me retourne et s’enfonce en moi, il me pilonne tel un marteau piqueur, il n’arrête pas. Enfin il explose. Ils se mettent à me remplir de gel et ensuite j’ai droit au double fist, ponctué de baffes.
Marc se saisit d’une branche de noisetiers bien souple et se met à me frapper. Je hurle, demande d’arrêter. Il stoppe. Les deux me roulent une galoche et s’en vont. Je reste dans ma brouette à attendre.
La suite une autre fois
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