Antoinette
Trans Domi.
Vit à
Provence-Alpes-Côte d'Azur, France.
Soyez la première personne à aimer.
Lady spencer merci pour votre retour. Ce sera agréable et constructif d'échanger avec vous. La liste des pratiques que j'expose sont classiques et la place pour l'originalité n'est pas encore occupée. Une Maîtresse imaginative devrait savoir y remédier.
Salomé, merci pour cet opinion favorable concernant ma présentation. Vous avez capté ma sincérité et ça me touche.
Urowhip
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Ma première expérience uro : J’avais contacté la dominatrice sur un ‘3615 Domi’ ou quelque chose comme ça. Elle était de Thionville. Nous nous étions donné rdv sur un parking près d’un Macdo à la sortie de l’A31. C’est elle-même qui m’avait précisé le numéro de la sortie à prendre, par téléphone, aucune chance de se tromper. Elle l’avait fait d’une voix directive sans doute car je me souviens d’elle comme de quelqu’un de très sec dans sa façon de me parler. Mais c’était une femme avec de la classe, très bien vêtue et jolie, une vraie blonde, de taille moyenne, plutôt fluette. Je me souviens de ses jambes fines et sensuellement garnies de bas noir. Je suis monté dans sa voiture et nous avons discuté. Cette première rencontre a été uniquement destinée aux présentations. Elle m’a proposé l’uro pour notre prochaine et vraie rencontre mais aussi le scato. J’ai rechigné en lui disant que cela me révulsait, mais pas l’urine que j’ai appris à aimer et même à déguster depuis. Mais à l’époque c’était un fantasme non encore réalisé. Je n’avais jamais pratiqué l’uro. Elle m’avait dit que pour le scato il suffisait d’y penser. Ah bon. J’étais dubitatif. Vingt ans après je pense qu’elle a raison. Il suffit d’y penser, puis de pratiquer. Il faut y aller progressivement je pense. Pour le moment je ne pense pas au scato, mais il ne faut pas que j’oublie d’y penser. La deuxième et ultime rencontre a eu lieu. Je l’ai vu qui attendait dans sa voiture, sur le parking. Elle me fit un appel de phare pour me signaler de la suivre jusque chez elle. C’est un petit lotissement bourgeois, hyper tranquille. La dame travaille au Luxembourg, elle possède un commerce de vêtements de marques. Elle et son mari semblent aisés. Lui-même est le soumis de madame. C’est lui qui fait les tâches ménagères m’a-t-elle dit. Notre séance s’est passée au sous-sol, en dessous d’un rez-de-chaussée surélevé. Aucunes fenêtres pour trahir mes exploits ni pour me permettre de fuir au cas où. Je n’ai pas fui et cette soirée fut la plus jouissive de ma vie. Je n’ai jamais connu un tel orgasme comme cette première fois. Après lui avoir longuement massé les pieds, après qu’elle m’eut adroitement mais de manière perverse humilié, elle m’a conduit au bout d’une laisse dans une autre pièce et m’a ordonné de m’allonger sur le dos. Mes mains ont été immobilisées par des chaines munies de légers cadenas. Elles étaient d’ailleurs assez mal fixées à mes poignets. Ma tête était encastrée dans une boite trouée par le dessus. Mon visage dépassait du trou circulaire. Madame, qui était nue en dessous de la ceinture, s’est assise sur cette boite comme sur une chaise trouée. En s’asseyant sur mon visage j’ai sorti par un réflexe instantané ma langue, ce qui provoqua une volée de coup de cravache sur mon corps et mes jambes. J’étais souvent en apnée pendant cette dure épreuve de face-sitting et cela devait l’amuser, l’exciter même. Je sentais si profondément son odeur de femelle que cela ne me dérangeait pas de ne plus respirer. Je baignais dans son odeur. Son odeur était mon oxygène. Il faut bien mourir un jour. Y a t’il plus belle manière de mourir ? Madame était donc assise sur mon visage tout en sirotant le Champagne que je lui avais apporté. Après longtemps, c’est-à-dire une bonne heure, le temps de vider toute seule sa bouteille, elle se leva brutalement et me dit que j’allais boire du Champagne à température ambiante, par comparaison je suppose, au Champagne frais qu’elle venait de boire. Passé dans ce jolie corps le voilà réchauffé ce Champagne et transformé en bonne urine chaude. Elle m’ordonna d’un ton sévère et menaçant d’ouvrir grande la bouche et de ne laisser rien couler sur le sol, sinon je devrais tout nettoyer. J’étais à partir de ce moment-là, sublime moment de réalité qui ressemble au rêve le plus érotique, dans un état d’excitation jamais ressenti. Elle m’ordonnait de fermer les yeux pendant l’opération, ce que je ne fis pas totalement. Je gardais les yeux mis ouvert pour attendre et voir sortir le divin nectar, ce nectar rêvé et fantasmé des centaines de fois peut-être et maintenant à quelques secondes de le recevoir. Mais Dieu que ces secondes sont belles, que ces secondes sont éternelles ! Et cette incertitude, coulera t’elle ou ne coulera t’elle pas la source chaude ? elle coulera c’est sûr, mais quand ? A quelle seconde ? Elle est toute proche, seconde magique qui en appelle d’autres, cette attente se termine et jaillit la source. Quand cela commença à couler, je sentis un chaud liquide clair comme de l’eau un peu amer et salé dans ma bouche puis couler au fond de ma gorge. Je bu ma première gorgée d’urine de femme, une urine de belle femme. Je sentais bien que cette urine avait un gout d’alcool. Il devait bien persister quelque pourcentage d’alcool dans cette urine. Je vais me souler. La seconde coulée fut une giclée longue et abondante. Je bu tout comme me l’avait ordonné Maitresse. Mais je bu avec délectation. Malheureusement je réussi à me libérer une main qui me servit à me toucher car je n’en pouvais plus. J’ai littéralement explosé et la jouissance a envahi toute ma tête telle un feu d’artifice cérébral indescriptible. C’est sans doute ça l’extase. Je l’ai connu c’est sûr. Ayant joui je n’étais plus apte à apprécier d’avantage. Je fus libéré. Je m’en suis retourné dans ma voiture, le cœur léger pour l’éternité. La Maitresse m’a recontacté par téléphone quelques jours plus tard. Je m’en souviens comme-ci c’était hier car l’occasion que j’ai eu ne s’est pas représentée. Elle m’a proposé de venir chez elle, elle organisait une soirée avec d’autres gens bien sûr, des copines à elles avec leur soumis. Elle avait bien deviné que j’étais fait pour ça. Je dis ça maintenant, mais à l’époque j’étais bien trop peureux et n’avais pas bien compris ce qui pouvait me rendre heureux. Je n’étais pas dans mon assiette ce jour-là, j’avais trop fumé de cannabis sans doute, j’avais l’esprit embué. J’ai décliné l’invitation. Tu as tords de ne pas venir, il y a aussi des récompenses me dit t’elle. Je n’ai donc jamais su de quoi elle voulait parler. Un merveilleux souvenir en tout cas que cette soirée où je bu ma première urine de femme.
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Moi j'ai déjà pratiquer l'uro, et j'ai aimer ( surtout avec de Belle Femmes ) Mais j'aime pas trop ( un peu en douche dorée comme la photo.) part contre j'aimerais plus le pratiquer en Face-sitting ou avec un entonnoir dans la bouche les mains attaché dans le dos, pour pas en perdre une goutte et pas en mettre part terre et sur le visage, ( c'est bien plus cruelle ) NON ont bois tous; et ont reste propre ( regardez ma Maîtresse faire dans un grand verre et me le donner avec une paille pour que je bois tous, ça aussi c'est excitant.)
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16/11/23
Présentation de UROWHIP
Je m’adresse à vous Maîtresse, que je ne connais pas encore, permettez-moi d’essayer de me vendre Je suis un soumis : A 55 ans je ne suis plus novice dans le bdsm, même si je n’ai pas pratiqué régulièrement depuis mes vingt ans, l’âge où j’ai commencé à côtoyer cet univers fascinant. Mes expériences les plus marquantes et initiatiques seront narrées et postées sur le site bdsm.fr car j’aime bien ce genre d’exercice qui mêle érotisme et littérature. J’ai déjà posté un premier récit intitulé ‘ma première expérience uro’. Tout le monde et toute chose peut être érotisée. Vous voyez bien chers coquins et coquines de quoi je parle. Je suis et j'assume ma condition de soumis que j'aime. Je suis sérieux et je désire progresser dans cet univers magique du bdsm. J’aime la soumission par la contrainte, être attaché, lié, bâillonné, coincé dans un sling, les mains dans le dos, les yeux bandés, avec perte des sens, c’est un vertige, une transe qui arrive, le laisser- aller tant recherché, le lâcher prise si vertigineux ! Je suis masochisme : Cela fait très longtemps que je suis capable de me donner du plaisir en passant par la douleur. Cette douleur doit aller crescendo pour ce qui me concerne. Quand on le fait seul, il n’y a pas que des désavantages car on contrôle mieux l’intensité de la douleur. Mais c’est mieux avec une Maîtresse, c’est certain, mais Il faut une bonne Maîtresse, une Maîtresse expérimentée pour doser correctement les excitations électriques sur les tétons ou autres zones érogènes. J’aime également m’amuser avec de la cire chaude. Ce qui est remarquable, c’est que toutes ces pratiques masochistes que j’ai exercées très tôt vers l’âge 20 ans, sans connaissances préalables, sans avoir vu de films sur le sujet, sont en fait assez communes. Pour les plaisirs électriques j’utilisais des piles 9V et de l’eau salée L’eau salée facilite la conduction. J’excitais mes tétons jusqu’à me faire vraiment mal. De petites brûlures pouvaient apparaître sur les aréoles et rendre mes tétons très douloureux. J’ai maintenant, comme les photos le montrent, toute sorte de dispositifs électriques achetés sur des sites spécialisés. J’adore être fouetté, avec ou sans contrainte. Je me suis acheté un magnifique fouet en cuir chez un artisan spécialisé dans ce genre de produit bdsm en cuir. J’ai l’ai testé une seule fois avec une Maîtresse. J’en redemande. Je suis gourmand. Je me sens un vrai soumis maso, plus maso que soumis d’ailleurs, Maîtresse, vous ne pouvez pas en douter. J’espère que cette relation se fera. Si elle se fait, je souhaite qu’elle s’établisse dans la durée et qu’elle soit basée sur la confiance et le respect des codes bdsm. J’aimerai appartenir à une Maîtresse expérimentée qui pourra m’apporter la servitude recherchée et peut être aussi m’aider à réaliser des fantasmes inavouables. C’est vous qui déciderez. Je suis ouvert à toutes ces pratiques : Etre féminisé, découvrir le shibari, pratiquer la sodomie, l’urolagnie, subir des tortures douces et de moins en moins douces comme cette succession de plaisirs mordants et sonores donnés par tous ce beaux jouets : le martinet tout d’abord pour bien préparer le terrain, le paddle pour une fessée efficace, le cinglant fouet pour le plaisir extrêmement subtil, la verge autoritaire et l’intraitable canne anglaise. Le phantasme d’être pris dans une tournante, pourquoi pas, on peut rêver. Ma Maitresse me mènera t’elle en club pour cela ? Avec mes respects les plus profonds Maîtresse Urowhip
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Hinata Vi Britannia
Femme Dominatrice.
Vit à
Pays de la Loire, France.
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