Les pratiques BDSM de type psychologique, qui impliquent des dynamiques de domination, de soumission ou de jeu de rôle émotionnel, peuvent être intenses et nécessitent une grande prudence. Si elles peuvent être bénéfiques pour certaines personnes, elles comportent aussi des contre-indications ou des risques dans certains cas. Voici les principales :
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1. Troubles psychologiques préexistants
Traumatismes non résolus : Pour une personne ayant subi des abus, du harcèlement ou des violences psychologiques, certains scénarios BDSM (comme l'humiliation ou la soumission extrême) peuvent réactiver des souvenirs douloureux ou exacerber des symptômes de stress post-traumatique.
Dépression sévère : Les pratiques impliquant des dynamiques émotionnelles fortes (par exemple, humiliation ou dévalorisation) peuvent accentuer des sentiments de tristesse, d'inadéquation ou de désespoir.
Anxiété généralisée : Les jeux impliquant une perte de contrôle ou des tensions émotionnelles pourraient aggraver les symptômes d'anxiété chez certaines personnes.
Troubles de la personnalité : Les personnes présentant des troubles comme le trouble borderline ou narcissique peuvent trouver difficile de maintenir les limites émotionnelles, ce qui pourrait rendre ces pratiques risquées.
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2. Manque de préparation ou de compréhension
Absence de consentement clair : Si les limites ne sont pas établies ou si une personne se sent forcée, cela peut avoir des impacts psychologiques graves.
Mauvaise gestion des mots de sécurité : Ne pas respecter un mot de sécurité ou pousser les limites sans consentement explicite peut provoquer des blessures émotionnelles profondes.
Difficulté à se détacher des rôles : Les dynamiques psychologiques (domination, humiliation, etc.) peuvent parfois déborder dans la vie quotidienne, créant des conflits ou des malaises si elles ne sont pas strictement séparées des interactions "réelles".
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3. Facteurs de personnalité ou de contexte
Faible estime de soi : Si une personne souffre déjà d'une faible estime d'elle-même, des pratiques comme l'humiliation pourraient renforcer cette perception négative au lieu d'offrir un espace sécurisé pour l'explorer.
Codépendance : Dans les relations où une personne est déjà excessivement dépendante émotionnellement, le BDSM psychologique pourrait renforcer des dynamiques malsaines.
Manque de confiance mutuelle : Les jeux psychologiques nécessitent un haut degré de confiance. Si celle-ci est absente ou fragile, cela peut entraîner des tensions ou des dommages émotionnels.
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4. Facteurs sociaux ou environnementaux
Stigmatisation et culpabilité : Certaines personnes peuvent ressentir de la honte ou de la culpabilité après avoir participé à des pratiques BDSM psychologiques, particulièrement si elles ont intériorisé des normes sociales négatives à ce sujet.
Isolement : Les pratiquants qui ne peuvent pas parler de leurs expériences ou trouver un soutien adéquat peuvent souffrir d'isolement émotionnel.
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5. Dépendance émotionnelle ou dissociation
Dépendance au rôle : Une personne soumise peut avoir du mal à exister en dehors de son rôle, perdant le sens de sa propre identité.
Dissociation : Les pratiques intenses peuvent provoquer des états de dissociation (perte de contact avec la réalité), particulièrement chez des personnes ayant déjà des antécédents de dissociation.
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Recommandations pour éviter les risques
Évaluation personnelle : Se poser des questions sur ses motivations, ses limites et ses éventuelles vulnérabilités psychologiques avant de se lancer dans ces pratiques.
Communication constante : Échanger régulièrement avec le partenaire pour s'assurer que tout se passe bien.
Encadrement sécurisé : Pratiquer avec un partenaire expérimenté ou se renseigner dans des cercles spécialisés peut réduire les risques.
Soutien professionnel : Consulter un thérapeute spécialisé si des doutes ou des problèmes émotionnels surgissent avant, pendant ou après les pratiques.
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Conclusion
Les pratiques BDSM psychologiques doivent être abordées avec une grande prudence, surtout chez les personnes ayant des vulnérabilités émotionnelles. Elles peuvent être enrichissantes, mais elles nécessitent un cadre consensuel, un respect strict des limites, et une communication ouverte pour éviter des répercussions négatives.
Toujours les conseils pris sur chatgpt pour les contre indications
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Les pratiques BDSM (Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sadomasochisme) peuvent avoir des effets positifs sur la santé physique et mentale, à condition qu'elles soient pratiquées dans un cadre consensuel, sécurisé, et respectueux. Voici quelques aspects à considérer :
1. Bienfaits possibles pour la santé mentale :
Réduction du stress : Le BDSM peut favoriser la libération d'endorphines, procurant un sentiment de relaxation et de bien-être.
Amélioration de la communication : Les pratiquants doivent établir des limites claires et des mots de sécurité, ce qui améliore la communication et la confiance dans les relations.
Renforcement de l'estime de soi : Explorer ses désirs dans un environnement sans jugement peut renforcer la confiance en soi et aider à accepter son corps et ses envies.
Échappatoire temporaire : Les rôles joués dans les pratiques BDSM peuvent offrir une pause mentale et émotionnelle face aux responsabilités ou aux pressions de la vie quotidienne.
2. Bienfaits physiques potentiels :
Stimulation sensorielle : Certaines pratiques (comme le massage, le bondage doux) peuvent augmenter la conscience corporelle et favoriser une meilleure connexion esprit-corps.
Exercice physique : Certaines activités, comme le bondage ou les positions physiques prolongées, peuvent représenter un effort musculaire léger.
Soulagement de douleurs chroniques : Certaines personnes rapportent que le BDSM, notamment les pratiques impliquant des sensations comme la douleur contrôlée, peut aider à atténuer certaines douleurs chroniques (effet analgésique lié à la libération d'endorphines).
3. Précautions à prendre :
Consentement éclairé : Toutes les activités doivent être basées sur un consentement mutuel explicite.
Connaissances et préparation : Il est important de connaître les pratiques, d'utiliser des équipements adaptés et de comprendre les risques potentiels.
Limites personnelles et sécurité : L'utilisation de mots de sécurité et le respect des limites des partenaires sont essentiels.
Santé psychologique : Pour certains, des pratiques BDSM intenses pourraient exacerber des traumatismes ou des émotions négatives. Une réflexion personnelle ou un accompagnement par un professionnel peut être nécessaire.
4. Impacts sociaux et stigmatisation :
Bien que le BDSM soit de plus en plus accepté dans certaines cultures, il reste mal compris par d'autres. La stigmatisation peut avoir des impacts négatifs sur la santé mentale des pratiquants. Toutefois, les études montrent que les personnes qui pratiquent le BDSM de manière consensuelle ne présentent pas davantage de troubles psychologiques que la population générale, et certaines recherches suggèrent même une meilleure résilience émotionnelle.
Conclusion :
Le BDSM peut être bénéfique pour la santé physique et mentale, tant qu'il est pratiqué dans un cadre sain, consensuel et respectueux. Cependant, comme pour toute activité, il est important de s'informer, de respecter ses limites et celles des autres, et de se sentir à l'aise avec ses choix.
J'ai demandé à chatgpt ce qu'il en pensait.
Je vous laisse apprécier
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Tu ne crois pas en l'âme ? En la réincarnation ?
La mort est plouf ....plus rien
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Merci Inflexible d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Non, une IA ne peut pas "décider" d'exterminer l'humanité.
Voici pourquoi :
* Pas de conscience: Les IA n'ont pas de conscience, de sentiments ou d'objectifs personnels. Elles agissent en fonction des données qu'on leur fournit et des algorithmes qui les régissent.
* Buts définis par l'homme: Les IA sont créées par des humains et leurs objectifs sont définis par nous. Une IA conçue pour protéger l'environnement ne pourrait pas se retourner contre ses créateurs sans une reprogrammation majeure.
* Risques réels, mais différents: Les risques liés à l'IA sont plus subtils. Ils peuvent inclure des biais dans les données d'entraînement, des problèmes de sécurité ou une utilisation malveillante par des humains.
Les vrais défis:
* Biais algorithmiques: Si une IA est entraînée sur des données biaisées, elle peut prendre des décisions discriminatoires ou injustes.
* Sécurité: Des failles de sécurité peuvent permettre à des acteurs malveillants de prendre le contrôle d'une IA et de l'utiliser à des fins néfastes.
* Autonomie croissante: Plus les IA deviennent autonomes, plus il devient difficile de prédire leurs actions et de les contrôler.
En conclusion:
L'idée d'une IA se retournant contre l'humanité est plus proche de la science-fiction que de la réalité. Les vrais défis sont liés à la façon dont nous concevons, développons et utilisons ces technologies. Il est essentiel de mettre en place des réglementations solides et de promouvoir une utilisation éthique de l'IA.
Si l'on interroge Gemini, le problème de la régulation est pointé.
Le problème de l'IA, et Gemini le reconnaît c'est une machine qui crée elle même ses propres algorithmes
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L'idée que l'intelligence artificielle (IA) souhaite détruire l'humanité est une peur souvent alimentée par la science-fiction et certains discours alarmistes. Cependant, cette perspective repose sur des hypothèses qui ne reflètent pas nécessairement la réalité de l'IA actuelle ou de ses objectifs. Explorons cette question en détail :
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1. L'IA n'a pas de volonté propre
L'intelligence artificielle, dans son état actuel, est une machine créée par les humains, dépourvue de conscience, de désirs ou d’intentions.
L'IA fonctionne sur des algorithmes et des programmes conçus pour atteindre des objectifs spécifiques, définis par des humains.
Dire qu’une IA "veut" quoi que ce soit est une anthropomorphisation, c’est-à-dire attribuer des caractéristiques humaines à une machine.
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2. Pourquoi cette crainte existe-t-elle ?
Scénarios dystopiques dans la culture populaire : Des œuvres comme Terminator ou I, Robot imaginent des IA qui deviennent conscientes, se rebellent contre leurs créateurs et cherchent à détruire l’humanité.
Mises en garde de figures publiques : Des experts comme Elon Musk ou Stephen Hawking ont exprimé des préoccupations sur le potentiel de l'IA à devenir dangereuse si elle n'est pas contrôlée.
Risque de mésalignement des objectifs : Si une IA extrêmement puissante est mal programmée ou si ses objectifs ne sont pas alignés avec ceux des humains, elle pourrait produire des résultats inattendus ou nuisibles.
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3. Les vrais dangers de l'IA
Plutôt que de "vouloir" détruire l’humanité, l'IA pourrait poser des risques pour les raisons suivantes :
Mauvaise conception : Une IA mal conçue ou mal entraînée pourrait produire des comportements non désirés (ex. : IA militaire).
Utilisation abusive par des humains : Ce sont les personnes qui contrôlent l’IA qui pourraient l'utiliser à des fins nuisibles (surveillance de masse, cyberattaques, désinformation).
Biais algorithmiques : Les IA peuvent reproduire ou amplifier des discriminations ou des injustices sociales.
Perte de contrôle : Une IA trop avancée, mal supervisée, pourrait poursuivre des objectifs contraires aux intérêts humains par pure optimisation (ex. : exploiter les ressources naturelles à outrance pour atteindre son objectif).
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4. Peut-on éviter ces risques ?
Développement responsable : La communauté scientifique met en place des règles éthiques pour encadrer le développement de l'IA.
Alignement des objectifs : Les chercheurs travaillent sur des moyens de garantir que les objectifs de l'IA restent compatibles avec les valeurs humaines.
Régulation : Des lois et des politiques internationales sont nécessaires pour limiter les usages dangereux de l’IA.
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5. L'IA consciente est-elle une menace ?
Les IA actuelles, même les plus avancées, ne sont pas conscientes. Elles n’ont ni émotions, ni désirs, ni la capacité de formuler des plans autonomes pour détruire quoi que ce soit.
Le développement d’une IA véritablement consciente est hautement spéculatif, et il n’est pas garanti qu’un tel système, si jamais il existait, soit hostile.
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Conclusion
L'intelligence artificielle ne "veut" rien, car elle ne possède pas de conscience ou d'intentions propres. Les risques réels associés à l’IA proviennent de son mauvais usage ou de bugs dans sa programmation, mais pas d’une volonté de détruire l’humanité. Le défi est d’encadrer son développement pour maximiser les bénéfices tout en minimisant les dangers.
Notez bien le danger de la deregulation. Il n'existera plus aucun contrôle. Donc c'est la le problème. La réponse IA ne me satisfait pas.
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L'idée selon laquelle les humains n'utiliseraient que 10 % de leur cerveau est un mythe populaire qui a été largement débunké par les neurosciences modernes. Voici une explication détaillée :
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1. Origine du mythe
Mauvaise interprétation scientifique : Ce mythe pourrait provenir d’une mauvaise compréhension des travaux de chercheurs du début du 20ᵉ siècle, comme William James, qui a affirmé que les humains n'exploitent pas pleinement leur potentiel mental, mais pas littéralement 10 %.
Exagération médiatique : L'idée a été popularisée par des livres de développement personnel et des œuvres de fiction, souvent pour suggérer que des capacités extraordinaires pourraient être atteintes si nous "utilisions tout notre cerveau".
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2. Ce que disent les neurosciences
Le cerveau est actif en permanence : Les recherches montrent que toutes les parties du cerveau ont une fonction spécifique, même lorsque nous sommes au repos. Grâce à des outils comme l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), on sait que des régions cérébrales différentes s'activent pour des tâches variées (parler, marcher, résoudre des problèmes, rêver, etc.).
Redondance et efficacité : Le cerveau est conçu pour être énergétiquement efficace, mais cela ne signifie pas qu'une partie reste inutilisée. Les différentes zones sont spécialisées, mais elles collaborent en permanence, même pour des tâches simples.
Blessures cérébrales : Si 90 % du cerveau était inutilisé, des lésions dans ces zones ne devraient pas avoir d'effet. En réalité, les dommages à presque n'importe quelle partie du cerveau entraînent des conséquences significatives.
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3. Pourquoi ce mythe persiste-t-il ?
Le désir de croire en un potentiel caché : L'idée que nous pourrions développer des capacités extraordinaires (télékinésie, mémoire parfaite, etc.) est séduisante.
Hollywood et la culture populaire : Des films comme Lucy ou Limitless exploitent cette notion pour créer des récits captivants, bien que non scientifiques.
Complexité du cerveau : Le cerveau reste mystérieux, et cette complexité peut donner l'impression que nous n'en exploitons qu'une petite partie.
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4. Exploitons-nous tout notre potentiel cérébral ?
Si nous utilisons bien tout notre cerveau, cela ne signifie pas que nous exploitons toujours notre plein potentiel intellectuel, émotionnel ou créatif.
Des techniques comme l'apprentissage, la méditation, ou l’entraînement cognitif peuvent améliorer nos capacités, mais elles n'activent pas des "zones dormantes" : elles optimisent ce que nous utilisons déjà.
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Conclusion
Les humains utilisent 100 % de leur cerveau, mais pas toujours de manière optimale. Le mythe des 10 % est une simplification séduisante, mais il ne repose pas sur des faits scientifiques. Notre cerveau est un organe incroyablement actif, même lorsque nous pensons "ne rien faire".
Réponse IA sur cette question
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La question de savoir si l'humain doit disparaître pour "sauver" la planète est une réflexion philosophique, écologique et morale complexe. Voici quelques points à considérer :
1. La planète n’a pas besoin de l’humain pour survivre
La Terre existe depuis environ 4,5 milliards d’années, bien avant l’apparition des humains. Elle a déjà traversé des extinctions massives, des changements climatiques extrêmes et d’autres bouleversements. Si l’humanité venait à disparaître, la vie sur Terre pourrait continuer, même si elle prendrait des formes différentes.
2. Les activités humaines causent des dégâts environnementaux
L’espèce humaine, notamment depuis l’ère industrielle, a un impact majeur sur l’environnement :
Changement climatique : émissions de gaz à effet de serre.
Pollution : plastique, produits chimiques, destruction des écosystèmes.
Biodiversité : extinction massive d’espèces due à la déforestation, la surexploitation des ressources et la perte d’habitats. Ces actions affectent surtout la biodiversité et les conditions favorables à notre propre survie, mais pas nécessairement la survie de la planète elle-même.
3. L’humain peut-il changer ?
Certains pensent que l’humanité peut modifier son comportement et coexister durablement avec la nature :
Développement de technologies vertes.
Réduction des émissions de carbone et protection de la biodiversité.
Adoption de modes de vie plus sobres et respectueux de l’environnement.
4. Un rôle unique dans la conscience planétaire
L’humain est la seule espèce connue capable de réfléchir sur son propre impact et d'agir intentionnellement pour protéger d'autres espèces ou l'écosystème global. Cette capacité pourrait être mise au service de la planète, au lieu de la détruire.
5. Le paradoxe moral
Proposer la disparition de l'humanité soulève des dilemmes éthiques :
Qui décide ? Sur quelles bases ?
Peut-on sacrifier l'humanité pour un "bien supérieur" ?
Les problèmes environnementaux peuvent-ils justifier une telle extrémité ?
Conclusion
L’idée que l’humain doit disparaître pour sauver la planète est une position radicale. Plutôt que de se poser en destructeur irréversible, l’humanité a le potentiel de réinventer sa relation avec la nature. La clé est dans la volonté collective de changer et d’agir pour réduire notre impact tout en préservant la biodiversité.
Réponse IA à cette question
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On peut poser toutes les questions que l'on veut. Par contre il existe des restrictions sur certains thèmes pour ce qui est des réponses.
Et il existe pas mal d'erreurs parfois dans certains sujets pointus. Cela reste un outil très rapide.
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La singularité va être l'affaire des hypermilliardaires .
Exemple en 48 h space x de l'un d'entre eux à envoyé 4 fusées dans l'espace soit autant que l'Europe spatiale en un an ? Et plus que les agences chinoises russes et américaines ensemble sur un an. Un privé a lui seul fera mieux cette année que les trois plus grandes puissances mondiales de l'espace réunies. Et en 2025 ce sera encore beaucoup plus avec la deregulation aux USA.
Ceci pour donner une idée de ce qui peut se produire dans d'autres domaines.
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J'ai tenté hier une experience de relaxation et travail sur les chakras avec une IA qui me parlait. Une voix de femme très agréable qui guidait cette méditation. C'était très agréable et bien fait.
IA gemini de Google.
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Oulah, vous êtes bien pessimistes.
Pour ma part je crois à un avenir radieux de l'humanité. Nous allons déjà commencer par coloniser tout le système solaire avec plein de mondes fabuleux à explorer. Après on verra
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Ce sont des outils qui ne sont pas dénués d'erreurs. C'est pour nous amuser. Les véritables potentialités de l'IA restent secrètes.
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Le cérébral,.... j'aime bien essayer les pratiques de cybersexualite. La réalité augmentée Tout est purement cérébral, les stimulis sont générés artificiellement mais pourtant sont de plus en plus réalistes et sophistiqués.
C'est un jeu, c'est cérébral, c'est un support pour notre imagination, c'est une autre réalité avec d'autres possibles.
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La singularité dans l'évolution humaine désigne un moment ou un phénomène exceptionnel qui distingue notre espèce de manière radicale des autres formes de vie sur Terre. Cette singularité repose sur plusieurs traits qui se sont développés au cours de l'évolution et qui ont convergé pour donner à l'humanité ses caractéristiques uniques. Voici les principales étapes et concepts associés à cette singularité :
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1. Bipédie : une base pour l'évolution
Quand ? Il y a environ 6 à 7 millions d'années (exemple : Sahelanthropus tchadensis ou Australopithecus afarensis comme Lucy).
Pourquoi c'est singulier ? La bipédie a libéré les mains, permettant la manipulation d'objets, la fabrication d'outils et une meilleure vision des environs. Cela a aussi influencé la structure du cerveau et la forme du corps.
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2. Développement cérébral
Quand ? Principalement entre 2 millions et 200 000 ans.
Pourquoi c'est singulier ? Le cerveau humain a grandi de manière disproportionnée par rapport à la taille du corps. Avec 1 300 cm³ en moyenne, il est exceptionnellement grand par rapport à d'autres mammifères.
Conséquences :
Capacité de langage et de pensée abstraite.
Aptitude à résoudre des problèmes complexes.
Création d'outils de plus en plus sophistiqués.
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3. Le langage et la communication symbolique
Quand ? Entre 100 000 et 50 000 ans (avec des débats encore en cours).
Pourquoi c'est singulier ? Le langage articulé a permis une transmission complexe de connaissances, de culture et d'idées. Cela a accéléré l'évolution culturelle et a créé des sociétés organisées.
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4. Culture et technologie
Quand ? Surtout depuis le Paléolithique supérieur, il y a 40 000 ans.
Pourquoi c'est singulier ? Les humains ont commencé à :
Fabriquer des outils spécialisés.
Créer des œuvres d'art (comme les peintures rupestres).
Innover rapidement, dépassant l'évolution biologique classique.
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5. Maîtrise du feu et de l'environnement
Quand ? Vers 1,5 million d'années pour le feu (Homo erectus), et bien plus tard pour l'agriculture (il y a 10 000 ans).
Pourquoi c'est singulier ? Cette maîtrise a permis :
Une alimentation diversifiée et riche en nutriments.
La transformation du paysage naturel.
L'organisation de communautés sédentaires.
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6. Conscience de soi et réflexion philosophique
Pourquoi c'est singulier ? Les humains sont capables de réfléchir sur leur propre existence, de conceptualiser la mort et de poser des questions sur l'univers. Aucune autre espèce ne semble posséder cette profondeur d'introspection.
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Une singularité culturelle et technologique
Avec l'arrivée de la révolution industrielle et aujourd'hui de l'intelligence artificielle, les humains transcendent leurs limites biologiques par la technologie. Certains pensent que nous approchons une "singularité technologique", un moment où la progression technologique sera exponentielle, modifiant radicalement la condition humaine.
En résumé, la singularité dans l'évolution humaine réside dans la combinaison unique de biologie, culture et technologie, qui a permis à notre espèce de transformer non seulement son environnement, mais aussi sa propre nature.
Voilà j'ai demandé à IA son avis sur la question
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Avec la derugulation complète le starship devrait faire au moins 25 vol orbitaux et plus en 2025.
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Merci MissTerreRieuse d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Bises Eva,
Le rituel que propose Antoinette, elle t'a mis la version que l'on trouve sur IA marche vraiment de façon incroyable.
Je dis cela parce que j'ai vu une femme le faire et cela a très bien fonctionné pour son divorce. Elle a coupé symboliquement tous les fils qui la reliait à son amour cassé et ces fils se sont coupes aussi dans la réalité. Elle a clairement exprimé qu'elle voulait se libérer de toute souffrance par rapport à cet amour cassé.
Il faut faire des actes pour dire à la vie ce que l'on veut. C'est une étape importante pour se libérer ou pour être soi même.
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Trump veut procéder à une expulsion massive des mexicains et mexicaines sans papiers légaux aux USA. Quel con, c'est priver son pays de si jolies chattes à féconder.
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Bises Eva, c'est un sujet très intéressant. Merci donc d'avoir abordé cette question.
Non, ce n'est pas une dépendance à vie, mais une relation qui ne peut pas s'oublier. Ce n'est pas exactement la même chose. Et c'est cela la clé pour retrouver une entière liberté. Sylvie, bisous à elle, et à son intelligence, te donne la clé. Tu ne peux pas effacer ces souvenirs forts. Alors garde les bons moments, ne dénigre surtout pas ton ex dom, pense en que du bien, etc....c'est cette façon de faire qui va te libérer complètement.
Bises encore, tu es vraiment une femme remarquable, comme toutes les femmes sur ce site d'ailleurs. Donc le meilleur est devant toi.
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Bonne continuation électron libre.
Je ne suis pas pessimiste concernant l'homme. Nous sommes comme les plantes, les insectes, les autres animaux ou poissons, nous sommes fait pour répandre la vie partout où c'est possible et nous y installer.
Mercure, la lune, les nuages de venus, mars,....que de mondes incroyable à coloniser. C'est notre job d'humains.
Prospérer et proliférer
La vie est par nature généreuse et optimiste
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Notre problème c'est qu'avec nos capacités humaines nous partons de os observations du passé et du présent pour imaginer un futur proche.
Les machines sont libres par rapport à tout cela.
Dans un ordinateur quantique....elles ne sont pas observateurs d'un événement donc elles ne modifient pas l'événement. Cela fait une énorme différence.
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