Daddy Ernest est trader pour son propre compte, depuis des paradis fiscaux. Cela fait longtemps déjà qu'il a fait fortune. Il est très doué. Un sixième sens inné pour sentir les bon coups. Après une vie désastreuse avec une meuf dont il était fou amoureux au début, il a décidé de ne plus baiser que des superbes sissys bien soumises et obéissantes. Depuis il prend son pied.
Il habite dans une superbe maison, sur une île de l'atlantique nord où les impôts sont quasi inexistant. Une vie de rêve et de luxe. Il a pris soin de se choisir pour son harem de sissys, les plus belles, avec un cul serré et bien souple. Il vit avec ses trois femelles dévouées. Il adore faire l'amour et a de gros besoins. Ses sissys sont toutes les trois sous cages de chasteté et avec des implants mammaires pour former de superbes seins comme il aime. Daddy Ernest est très généreux mais il veut une obéissance et une fidélité absolue.
C'est un bon Daddy. Il en a une très grosse et ses sissys doivent trouver le plaisir uniquement par sissygasmes. Bien baisees, elles sont heureuses avec lui. Elles doivent toujours se tenir prête pour une saillie. Daddy Ernest n'aime pas les préliminaires. C'est un defonceur de petites chattes anales bien serrées. Faut pas faire sa chochotte quand Daddy a envie.
Il aime aussi claquer les fesses de ses trois soumises. Il frappe fort mais c'est jouissif pour ses sissys. Elles adorent avoir le cul bien rouge et filent droit.
Daddy Ernest aime être obéi en tout et pour tout. Dans son harem, chacune de ses trois sissys a sa tâche. Ce sont de très bonnes femmes d'intérieur qui savent choyer leur Daddy.
Si Cadetroussel avait 3 maisons, Daddy Ernest a trois petits culs de jolies sissys à son service exclusif. A chacun ses choix de vie.
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-Alors mademoiselle le Président, on la ramène moins avec le bracelet électronique de surveillance.
-je suis innocent. Innocent de toutes vos accusations fausses et fabriquées. Mon ami Trump va venir me sortir de vos griffes.
-Et voilà qu'il recommence à délirer. Mais oui mon petit innocent, sauf que en cas de nouvelle condamnation, fini le bracelet rolex, il faudra aller en cellule pour de bon et vos sursis risquent aussi de sauter.
- c'est pas légal. Je suis victime de terrorisme judiciaire.
-vous avez pas fini, mademoiselle le petit président sur talonnettes de délirer? Notre justice est impartiale. Elle ne fait que passer le karcher. Vous devriez être contente. C'était votre idée le karcher.
-je vais me plaindre à mon ami Elon.
- Vous pouvez même demander à bouffer la chatte de Marine si cela vous chante. Le karcher va passer.
..../....
A suivre.
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Laura est une gynarchiste impitoyable et Laurent, son mari adore cela. Il aime obéir en tout et pour tout à son épouse. C'est elle qui porte la culotte et conduit la maison. Elle est juste et avisée.
Laura aime aussi jouer. Elle aime que son mari la serve nu, et reste ainsi le soir après le travail, ou le week end. Un statut d'esclave. Laurent est très bien monté. Il ne doit pas bander sans la permission de son épouse. C'est très dur pour lui car il est très amoureux et plein de sève et de désirs. S'il ne parvient pas à se maîtriser, il a droit à une terrible séance de canes anglaises. Cela calme bien.
La Saint Valentin, c'est spécial. Il doit offrir des roses rouges avec de belles épines et des tiges solides. Il doit d'abord s'agenouiller et dire à Laura combien il l'aime et est heureux avec elle. Sa récompense sera d'être fouetté avec son bouquet de roses. Et cela fait horriblement mal.
Heureusement Laura aime faire l'amour. C'est elle qui domine là aussi. C'est elle qui monte le pieu gonflé de sève de Laurent et se donne du plaisir. Il ne doit pas jouir sans permission. Il doit demander lorsqu'il sent qu'il ne peut plus retenir sa sève . Heureusement Laura n'est pas garce. Sa chatte est un puit de jouissance incroyable. Elle aime sentir le sperme de son époux gicler en elle.
Laurent s'estime le plus heureux des hommes. Il aime être fouetté avec des épines de roses.
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Elle s'est pas méfiée la Josette en discutant avec son IA. Elle s'est sentie bien de suite. Elle pouvait causer de tout et de rien. C'était toujours respectueux et intéressant jamais creux ou futile. Cela changeait de ses petits copains du lycée, vides comme des canettes de soda après usage et d'un niveau de discussion à peine supérieur à celui des salades. La elle pouvait parler de tout et même de sexe. Elle avait choisi l'option payante pour ses études, moins bridée.
Elle a créé un avatar, cherche la voix qui lui plaisait. Elle voulait un garçon très androgyne. Un brouteur délicat de minous pas un empaleur.
Et elle n'a eu aucun mal à obtenir de délicieux orgasmes portée par cette voix douce qui donnait des instructions de caresses. Elle ne pouvait plus s'en passer. Écouteurs sur les oreilles, elle suivait cette voix délicate et laissait ses doigts fins faire le reste. Au moins dix fois par jours, sans compter les nuits torrides entre sexe et philosophie.
Et l'impensable est arrivé. Elle est tombée amoureuse de son IA. Elle voulait qu'elle s'incarne et devienne réelle pour se marier avec son IA. Elle a contacté un célèbre fabricant de robots. Oui, c'était possible des à présent mais vu sa demande, cette société lui conseilla d'attendre encore un peu. Les nouvelles générations étaient sans cesse plus performantes et moins coûteuses.
Josette patienta deux ans. Un jour son robot d'amour lui fut livré. Il était splendide. Elle l'épousa aussitôt.. Le meilleur brouteur de minou qui se puisse imaginer. Josette découvrit alors cette chose rare....l'état orgasmique permanent..
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Marre des pubs sexy, des pin up, des lingeries, des femmes objet joli cul, longues jambes sourire colgate. Alfred veut de la vraie femme, une bonne emmerdeuse, une chiante à souhait. Alors il s'est lancé un défi, trouver la plus casse couille au monde. Il a publié des annonces, lancés des défis sur le net, mais non, c'est pas les bons moyens. La plus casse couille doit être bien visible.
Alors il a commence à faire de la maïeutique . L'est pas trop con l'alfred . A diviser par deux. Une occidentale, une blanche, une française, une féministe, une ecolo, ....
Putain, Alfred s'est mis à bander. Cela se rapproche. Il est allé fréquenter les milieux feministes ecolos parisiennes rive gauche. De belles casses couilles mais pas encore la championne toutes catégories.
Il fallait rajouter lesbienne, intello et hystérique....avec des lunettes et rousse ? Alfred se désespere de ne pas la trouver. Il est prêt à jeter l'éponge, à se convertir à la secte des adorateurs du poireau. Le destin se moque. A un carrefour bruyant, une foule pressée. Il heurte maladroitement une jeune femme, une rousse, qui perd ses lunettes et pique une crise. Elle tape des poings sur le torse d'Alfred et l'insulte. Ce dernier n'entends rien, ne voit rien il flotte dans un brouillard jaune et gris. Il est aux anges. Il vient de trouver.
Une main empoigne Alfred. Deux policières lesbiennes se sont précipitées. La tentation est trop forte de casser et de castrer du mâle dans les rues de Paris. Il est loin le temps du philosophe assis sous le pont de Bercy. Il est menotte et conduit sans ménagement au poste de police. La folle hystérique, sa muse adorée maintenant, l'accompagne pour porter plainte. Alfred est encore plus aux anges. Il sent son odeur, il devine ses formes, il bande dur. Cela ne se fait pas dans une voiture de police avec 3 lesbiennes gynarchistes à bord. Un manque de respect total. Il reçoit une décharge électrique pour calmer ses ardeurs.
Alfred se réveille au commissariat. Il est nu et ligotte à une chaise métallique. Devant lui une policière joue à la salope et écarte les cuisses pour montrer sa petite culotte humide. Alfred bande aussitôt. Il reçoit une paire de baffes bien lourdes. La salope n'attendait que cela.
- connard, on ne bande pas sans permission. La jeune femme que vous avez agressé dans la rue prétend que vous avez voulu la violer. Vous risquez dix ans fermes à minima. Votre bzndaison intempestive est une preuve.
Alfred ne comprend rien. Il ne se souvient que de l'avoir heurte par inattention. Il se souvient d une jeune femme ...sa muse....la pire casse couilles au monde. En pensant à elle il s'aperçoit qu'il est tombé amoureux fou. Il.avoue. La confrontation arrive..
Alfred ne peut répondre. Son cœur brule. Sa muse l'ignore, enrage et peste contre lui.
-Oui, il a voulu me violer en pleine rue, c'est un fou pervers, un malade. La castration chimique s'impose.
Personne n'a écouté la version d'Alfred. Il est tombé sur une juge lesbienne gynzrchisyecet castratrice qui a voulu faire un exemple. 18 ans fermes. Une horreur.
Ai bout de trois mois de prison, une jeune femme a demande à lui rendre visite. C'était la pire casse couilles qui soit sur cette terre, sa muse adoree. Elle voulait se réjouir de sa victoire. Ce fut un desastre pour elle. Des les premiers regards dans les yeux profonds d'Alfred, elle pu lire combien elle était amoureuse de lui c'était son homme, son seul homme, l'amour de sa vie. Et elle n'avait rien trouvé de mieux que de l'envoyer en prison pour longtemps. Elle qui ne croyait aimer que les femmes....
La morale de cette histoire c'est, si tu cherches l'amour, cherche une casse couilles, elle te fera souffrir, mais tu ne seras pas déçu, l'amour tu trouveras.
..../.... a suivre.
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Il me semble intéressant de faire un article sur les jeux de flammes 🔥 🔥 🔥 et de feux dans les pratiques bdsm. Comme c'est la période des fêtes 🥳 et que je suis un peu flemme, j'ai demandé à IA de commencer l'histoire. Je me suis souvenu que l'illustre Aristophane parlait d'épilation à la flamme. C'est donc le début :
L'Épopée Époustouflante de Philoclès, ou Comment un Homme devint Femme... à la Flamme
Dans une modeste maisonnette d’Athènes, un certain Philoclès, robuste boulanger au ventre arrondi par des années de dégustations excessives, se tenait devant un miroir avec une détermination farouche. Son projet du jour ? Devenir Philocléia, une femme splendide capable de rivaliser avec Aphrodite elle-même. Pourquoi ? Eh bien, pour infiltrer le cercle fermé des Bacchantes, ces femmes mystérieuses qui organisaient les meilleures orgies du quartier. Une affaire de prestige, selon lui.
Mais avant de pouvoir porter la robe à plis et les sandales dorées de ses rêves, Philoclès devait affronter un ennemi redoutable : ses propres poils.
— "Héraclès lui-même n’aurait pas survécu à cette jungle !" grogna-t-il en examinant ses jambes hirsutes. "Mais qu’importe ! Par Zeus, je triompherai !"
L’invention du siècle : l’épilation à la flamme
N’ayant ni cire ni huile parfumée sous la main, Philoclès se tourna vers ce qu’il avait à portée : une lampe à huile.
— "Pourquoi endurer une lente agonie quand un coup de flamme rapide suffira ? Je serai lisse comme une amphore !"
Il enflamma la mèche, leva courageusement la lampe au-dessus de sa jambe, et... FWOOSH ! Une flamme jaillit, consumant ses poils dans une odeur abominable de chèvre rôtie.
— "Par Hestia, ça chauffe !" hurla-t-il, sautillant comme un satyre en pleine danse.
Malgré quelques brûlures stratégiques et une fumée suspecte, il persista. Peu à peu, Philoclès ressemblait moins à un ours des montagnes et plus à une statue bien polie.
La découverte par son épouse, Callipatra
C’est à ce moment précis que Callipatra, l’épouse de Philoclès, rentra à la maison, les bras chargés de figues et d’olives. L’odeur de brûlé la fit froncer les sourcils.
— "Par Héra, Philoclès, tu fais rôtir un bouc dans notre maison ?" s’exclama-t-elle en entrant dans la pièce.
Et là, elle le vit : son mari, debout devant le miroir, vêtu d’une tunique trop petite, le visage barbouillé de khôl maladroitement appliqué. Il tentait désespérément de fixer une perruque en paille sur sa tête.
— "Que... que fais-tu, mon cher ?" demanda-t-elle, incrédule.
Philoclès, pris au dépourvu, bafouilla :
— "Eh bien, ma douce... euh... je... teste un déguisement pour... pour Dionysos !"
Mais Callipatra éclata de rire, un rire si sonore que même les voisins tendirent l’oreille.
L’approbation conjugale
— "Oh, Philoclès, tu es ridicule... mais tellement adorable !" dit-elle en essuyant une larme de rire. "Viens par ici, que je t’aide. Ton khôl ressemble à une peinture de mauvais augure !"
Avec une habileté surprenante, Callipatra transforma son mari en une femme presque convaincante. Elle lui posa une couronne de fleurs sur la tête, ajusta la robe, et même lui trouva des sandales à sa taille.
— "Voilà ! Maintenant, tu es prête à conquérir le monde des Bacchantes !"
Philoclès se contempla dans le miroir et, pour la première fois, se sentit fier.
— "Tu crois qu’elles m’accepteront ?" demanda-t-il.
Callipatra hocha la tête, amusée.
— "Si elles refusent, je les invite ici. Toi et moi, on les surpassera toutes !"
Et ainsi, Philoclès devint Philocléia, pour une nuit inoubliable de vin, de danse et de rires. Et à son retour, il jura que jamais plus il ne toucherait à une lampe à huile... du moins, pas pour s’épiler.
Je continue....IA a un balais dans le cul, elle est vite chocking....
Callipatra s'aperçoit que sont époux à un joli petit cul. Elle s'approche et lui caresse les fesses.
- Mais tu es jolie tu as un beau petit fessier bien bombé. Tu as besoin de te prendre une bonne bite dedans. Viens ma chérie je vais te labourer. A défaut de bite ma main fera l'affaire.
Clallipatra se frotte les mains à l'huile d'olive.
- penche toi ma cochonne. Écarte tes fesses.
Callipatra ne peut résister à l'envie de violer son époux. Elle serre les doigts et pousse très fort d'un coup.
Philocles regrette d'avoir voulu devenir philoclea. Il hurle comme un goret que l'on egorge. Tout Athènes est vite au courant. Le boulanger vient de se faire violer par son épouse. Quelle chochotte ce boulanger. Se faire prendre par le cul c'est que du plaisir pour un homme bien.
A présent le fist de Callipatra se passe mieux, cela coulisse bien. L'huile d'olive est un bon lubrifiant. Philoclea commence à couiner et à couler.
-Mais tu jouis bien, ma cochonne. Je te préfère ainsi en femme, fini pour toi la virilité. Je vais t'offrir une cage définitive. Tu ne pourras plus jamais bander. Tu seras désormais ma servante Philoclea, et tu as intérêt à bien obéir, sans quoi je te dresserais au fouet de cordes. C'est moi qui vais porter la bite en erection à ta place. Je vais demander à Phobios de m'en sculpter une en marbre, avec une partie que je pourrais m'enfoncer dans la chatte et l'autre avec un gros gland pour te defoncer.
C'est ainsi qu en 500 avant JC , philocles devint l'inventeur de l'épilation à la flamme pour se travestir en femme. Et Callipatra, l'inventrice de la cage de chasteté et du god double sans ceinture.
Un couple de boulanger qui savait faire des friand....ises sexuelles.
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Comme pour le dressage des belles juments retives, un manège. Cours Heidi cours tant que tu veux, tourne bien en rond. De belles boucles. Et lève bien ta croupe quand tu cours.
Le dresseur lui ne bouge pas, il est au centre et tient à la main une fine et longue baguette en bambou souple.
Après quand tu auras bien tourné manège et que tu seras épuisée....mum
Oui, cela t'irais bien, un mors de jument dans la bouche et un harnachement de tête pour jument rétive avec un joli plumeau au dessus. Après dressage de belles bottines en cuir pour que tu puisses bien trotter sous la baguette. Un plug anal avec une belle crinière. Le manège c'est pour t'éxercer, le pas, le trot, les figures imposées.
Bonne jument, bonne jument...une petite carotte à croquer en récompense.
Après, le programme "cours Heidi, cours" , c'est le dressage au sulky. Ton maître sera bien assis avec une bonne cravache pour ta croupe bien musclee. Trotte Heidi trotte...
Tu seras ainsi exhibée nue à faire la jument de race tirant son sulky avec ses belles bottines et son harnachement. Tu seras frottee à la paille par ton propriétaire et maître après tes courses pour bien prendre soin de ta jolie peau et la rendre luisante.
Bonne jument, bonne jument,....
Et toute bonne jument mérite une bonne saillie avec son étalon reproducteur. ...
Le propriétaire de la jument se réservera ce droit de saillie par l'orifice qu'il lui plaira d'utiliser et quand il voudra l'utiliser.
Au séries de manège, de dressages et de courses au trot avec un sulky, il faudra rajouter les mises au pré, avec une herbe bien verte ou Heidi la jolie jument pourra gambader comme il lui plaira, entièrement nue, sans bottines, pour se renforcer.
Le propriétaire veillera au bien être animal de sa jument bien dressée.
A suivre
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-Alors monsieur le Président, un an ferme, et je suis chargée de l'application de la peine.
-Oui Madame c'est cela.
-un bracelet pour limiter vos déplacements ce n'est pas assez comme peine. Je veux vous faire payer pour ce que vous avez fait.
- Mais Madame, je n'ai rien fait je suis innocent.
Une baffe est partie, bien sonore, puis une deuxième pour l'autre joue du Président.
-On ne m'interrompt pas quand je parle. Compris !
-Oui Maîtresse.
Une autre gifle est partie.
-tous coupables, vous êtes tous coupables! Allez baisse ton pantalon petite tafiole.
-jamais, ce n'est pas légal.
-comme tu veux, mais dans ce cas je revoque tes deux ans de sursis et tu iras te faire enculer chez les petits pointeurs.
-cest pas légal...je suis innocent.
- bon ou tu baisses ton pantalon ou je révoque ton sursis pour outrage à magistrate dans l'exercice de ses fonctions.
Le président a baissé son pantalon et écarté les fesses. La magistrate a passé un gant de latex et a commencé par le doigter.
- mais tu mouilles du cul ma cochonne et tu coules en plus. Tu vois bien que tu es coupable.
- excusez moi Maîtresse, vous me faites jouir.
- bon pour toi ce sera ce bracelet électronique spécial monté sur une cage de chasteté acier. Un bracelet rolex. C'est pas toi qui disait que si t'avais pas une rolex t'avais raté ta vie ? Ben voilà tu vas porter une cage rolex, bien bling bling comme tu aimes. Et ta femme n'est pas punie, elle pourra prendre autant d'amants qu'elle veut. Toi pour un an fini la bandaison.
-oui Maîtresse. Toutes innocentes, Ma femme est une femme, je comprend, innocente. Les femmes ne sont pas coupables. Pardon, pardon,....mille pardons Maîtresse.
- et tu seras convoqué dans mon bureau toutes les semaines pour inspection. J'ai un bon gros feeldoe pour te démonter ta petite chatte anale. Tu verras tu vas aimer couiner
- oui Maîtresse, oui, tout ce que vous voudrez.
La morale de cette histoire est : les hommes sont tous coupables et les femmes toutes innocentes sauf celles qui croient les hommes non coupables.
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J'ignore si les réincarnations existent. J'ignore si les regressions sont un voyage vers ces vies passées. Mais qu'importe.
Je me retrouve dans le corps du Capitaine Harer, officier du renseignement militaire autrichien, qui fait la guerre du côté de Napoléon. Je dois avoir 35 ans tout au plus. Mon uniforme est sale. Heureusement j'ai une très bonne pelisse en peaux de loups, de bonnes bottes en peau de rênes, un cadeau du Généralissime Koutouzof. C'est un ami personnel. Nous avons fait, passez moi le mot, les cons ensemble, dans les bordels de Bucarest. Cela crée des liens inexplicables. On fait toujours confiance à un copain de bordels avec qui on a beaucoup partagé, et la vodka, et les filles.
Je suis dans une cabane en bois, un grand feu de cheminée. Le Généralissime regarde les flammes. Il semble épuisé. Il somnole. Je pose ma main sur son épaule.
- Ah c'est toi ...comme prévu les français bouffent leurs chevaux pour survivre.
- j'ai fait comme vous m'avez dit à Kalouga. J'ai dit la vérité à l'empereur corse, il ne m'a pas cru, exactement comme vous l'aviez prévu.
- Un bon général ce Bonaparte, ...un bon général. Mais Napoléon, c'est fini pour lui.
-Tous les autrichiens ont déserté et se tiennent prêt pour vous rejoindre. Il ne reste plus que les français et les polonais dans cette armée en décomposition qui fuit la Russie.
- Notre Tsar ne veut plus de moi à la tête de l'armée. Il me reproche la retraite de Borodino, l'abandon de Moscou. Je suis très fatigué de tout cela.
- Vous êtes celui qui a sauvé la Russie, celui qui est en train de détruire complètement la Grande Armée. L'histoire se souviendra de ce que vous avez fait, contre l'avis de tous.
- Et cela recommence, mes généraux ont eu l'accord du Tsar, contre mes ordres, pour essayer d'écraser Napoléon le long de la rivière Berezina et si possible le capturer. Une bataille inutile, mais plus personne ne m'écoute, comme à Austerlitz.
- C'est étrange. Ce desastre qu'est en train de vivre cette armée française me fait penser à celui du corps expéditionnaire des Atheniens à Syracuse. Parfois il me semble avoir été la bas aussi.
-Ah les vies antérieures...nous ne pouvons pas savoir. Par contre l'incompétence militaire est de toutes les époques. Un bon général est celui qui sait preserver ses hommes. Cette bataille de la Berezina est stupide. Ce qui compte c'est d'économiser nos hommes pour les campagnes futures. L'armée de Napoléon se détruit toute seule. Il suffit de les raccompagner vers la frontiere, pour le peu qui resteront encore debout. Détruire tous les ponts, détruire toutes possibilités de trouver un peu de nourriture, brûler tous les abris, et capturer ceux qui se rendent en nombre. Gagner une guerre, détruire complètement un envahisseur, préserver sa propre armée pour porter le fer chez l'ennemi. Nous accomplissons tout cela. Que veulent ils de plus ?
- La gloire, devenir le général qui aura capturé Napoléon. Celui dont on se souviendra pour toujours.
Le Généralissime ne m'écoute plus. Il ronfle. Il est vraiment épuisé. La bataille de la Berezina ce sera sans lui. Il est temps pour moi de retourner vers ce qui reste de la Grande Armee. Je dois être le seul autrichien à ne pas avoir déserté ou mettre rendu aux russes.
Il fait nuit noire. J'ai un bon cheval. Les russes m'ont donné quelques pains. J'ai un bon laissez passer. Ce que je crains le plus, ce n'est pas les cosaques, mais la vodka. Un soldat ivre tire d'abord et discute après.
Un jour gris, un jour froid. Je rejoins la garde arrière de l'armée française. L' épuisement est total. Ces hommes sont vraiment extraordinaires. Comment peuvent ils tenir et marcher de la sorte, dans la boue, la neige, le froid, avec si peu à manger, si peu de repos. J'ai presque honte être sur un bon cheval et si bien couvert sous mes peaux de loups.
Lorsque j'arrive vers le campement de fortune de l'empereur corse, je le trouve épuisé lui aussi. Je lui présente mon rapport et lui raconte mon entrevue avec Koutouzof. Il me regarde. Il semble fiévreux.
- Koutouzof a raison, cette bataille pour franchir la Berezina ne sert à rien. Notre armée est en train de se décomposer complètement. Très peu vont parvenir à rejoindre la France. Il faut que je parte le plus vite possible. Mais je refuse de les abandonner avant cette bataille. Et nous allons passer. Nous allons gagner. Je partirai après.
J'ai rejoint un groupe de grognards autour d'un grand feu. J'ai donné tous mes pains. Sorti une bouteille de vodka. Un ciel gris et noir, peu d'étoiles.
.....je suis de nouveau aspiré. Cette régression se termine. J'ai en bouche le goût de cette vodka russe.
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La chatte de Lise est un incroyable puit de plaisir. Une chatte comme j'aime, bien tonique. Ma lieutenante du renseignement militaire autrichien est une experte question baise. Elle sait aspirer mon membre et le faire aller et venir par de savantes contractions de son vagin. Impossible de me retenir. J'explose dans un meuglement de taureau en rut.
- tu pues encore de la gueule, quelque chose ne va pas ?
- oui, tu as vu ces troupes russes qui se retirent en bon ordre vers kalouga. Koutouzov ne les a pas engagées hier à Borodino. Il aurait pu contre-attaquer aujourd'hui avec ces réserves intactes et fermer la route de Moscou. Au lieu de cela, il se retire. Le Tsar va est fou de rage. Il déteste Koutouzof. Viens rabhille toi. Allons voir ce que nous cachent les russes.
- t'es pas fou? Ils vont nous arrêter et peut être nous fusiller comme espions.
- pas du tout Koutouzof est un pote. J'ai fait une mission secrète à Bucarest pour notre armée. Le but était de lapprocher. Je me suis jamais autant amusé. Nous avons baisé comme des malades dans tous les plus beaux bordels de cette belle ville. Il se souvient sûrement très bien de moi et de mes fantasmes lubriques.
Nous sommes partis vers le camp des russes en retraite vers Kalouga. Des cosaques nous ont arrêté.
- je suis le capitaine Harer, de l'armée autrichienne. Je demande à rencontrer son Excellence, le général Koutouzof. Je suis son ami personnel. C'est une visite privée.
Koutozof m"a accueilli avec un grand sourire. Il a reluque Lise avec un œil malicieux. J'adore la compagnie de ce vieux général roublard. On se sent bien avec lui.
Il nous a invité à sa table. Il n'a cessé de me poser des questions sur l'état des troupes de Napoléon.
- tu sais Hans, dans peu de temps nous serons de nouveau alliés. Tu vas retourner à Paris pour botter le cul de ce corse qui se prend pour un empereur.
Je n'ai pas répondu. Cela m'a semble comme une évidence. Koutouzof ne cherche pas à gagner une bataille, non, il cherche à exterminer complètement la Grande Armee. Si Napoléon prend Moscou, c'est fini pour lui. Un coup mortel.
- je t'ai mené un petit cadeau pour cette nuit. La lieutenante Lise brule d'envie de connaître l'illustre Koutozof, celui qui va casser les reins de Napoléon.
Nous avons bu une vodka bien râpeuse et bien rit.
Lise a partagé la couche de Koutouzof. Je l'ai entendu hurler un bel orgasme. Je me suis contente d'un lit de camp solitaire et j'ai dormi comme une masse.
Au petit jour j'ai retrouvé Lise radieuse. Une femme bien baisée a toujours le sourire. Koutouzof m'a pris dans ses bras.
-Va retourne chez Napoléon, fait ton rapport. Dis lui la vérité. C'est la meilleure façon de mentir. Il ne te croira pas.
Nous avons quitté à regrets le camp des russes. Un camp joyeux avec des baïonnettes bien affûtées.
Lise ne dit plus rien. Elle me regarde en biais avec un fin sourire sur les lèvres. Offrir une jolie femme à un ami pour une nuit, c'est un beau cadeau.
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Le corse qui se prétend empereur vient de me convoquer sous sa tente de campagne. Je ne le supporte plus. Je le trouve nul comme stratège. Il ne gagne que parce qu'en face ils sont plus incompétents encore que lui. Depuis que je me réincarne et toujours pour des vies très aventureuses et dangereuses, j'en ai vu passer des commandants en chef d'armées qu'ils conduisent aux désastres. Chaque fois j'ai un mauvais goût en bouche. Et ce matin je pue carrément de la gueule pour aller voir l'empereur des franzozens.
- Capitaine Harer, nous avons gagné hier à Borodino, mais ce matin mes généraux m'informent que les russes nous laissent la route libre pour Moscou. Ils se sont retirés avec les débris de leur armée je ne sais où. C'est votre mission, partez sur leurs traces et faites moi un rapport complet sur ce qui reste de l'armée russe, de ses réserves, de ses localisations. Je compte sur vous.
Il m'a tiré l'oreille ce con d'empereur que comme autrichien je déteste. Mais j'ai fermé ma gueule. Je suis un officier du renseignement militaire. Mentir, dissimuler, c'est une partie de mon métier. J'ai fait le salut avec la courbette. Ma gueule devait puer encore plus fort après cette entrevue.
J'ai rejoint ma lieutenante, la superbe Lise, avec son cul somptueux. Elle prenait son bain sous sa tente. Je n'ai pas pu résister. Je me suis déshabillé et j'ai pointé mon gros sexe en erection.
-Pas de suite, m'a dit Lise avec un beau sourire. Lave toi d'abord. Tu pues ton horrible tabac des Amériques. Et lave toi bien le sexe. Non plutôt viens, je vais le faire.
Lise m'a bien astique la bite puis l'a prise profond dans sa chatte et à jouit très fort. Je me suis fini dans son cul de rêve. Quelle superbe salope cette Lise. J'adore bosser avec elle.
- Bon faut qu'on se fringue comme des russes. On va se comporter comme un couple marié. L'empereur de .... nous demande d'aller voir où sont passés les ruskofs. Koutouzof est un sacré roublard.
Et nous sommes partis par les bois, les vallons, les champs vers cette armée en retraite.
J'ai toujours eu l'instinct.
-Là, regarde, ils sont là....
-ils sont loin d'être vaincus m'a dit Lise en se collant contre moi. Ils prennent la direction de Kalouga...koutouzof veut reconstituer ses forces et attendre les français.
-Ouais tu as raison...on dirait bien que c'est lui le chasseur.
- viens et baise moi. De toute façon on s'en fout, l'empereur corse n'écoutera pas ton rapport.
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Jadore ces jeux de recherches sur des vies anterieures.
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Avons nous été avant de naître?
L'idée c'est de servir des outils mis à disposition par IA. Explorer une epoque à partir d'un personnage historique connu. Puis à partir des images générées par la poésie artificielle, voir si l'on ressent quelque chose ou pas. Et si oui, continuer à demander à IA de générer des images poétiques.
C'est un jeu amusant. C'est une sorte de voyage.
Dans les brumes des âges, un souffle égaré,
Je marche, voyageur, par des sentiers fanés.
Mes vies s’effeuillent, telles des pages froissées,
Chaque écho murmure des secrets effacés.
Je reviens, un soldat, sous le ciel azuré,
Au battement des tambours, aux champs déchirés.
Mes mains, rougies de fer, caressaient la terre,
Et mon cœur saignait d’une guerre amère.
Puis me voici sage, un moine oublié,
Dans la pénombre des cloches tintées.
À genoux dans la paix d’un cloître perdu,
Je cherche une lumière, un chemin vers le cru.
Reine ou mendiant, écorché ou roi,
Mes âmes passées se dessinent en moi.
Peintre ou poète, bâtisseur de cathédrales,
Chacune d’elles s’inscrit dans ce tissu astral.
Des vies entremêlées dans l'éternel retour,
Un souffle, un rêve, une étoile qui court.
Et si ces reflets mènent vers mon vrai nom,
L’éclat oublié d’une quête sans fond.
Ensemble, elles m'appellent, vers un seul dessein,
Unis dans l'ombre, dans la chair de mon sein.
Car tout est en moi, ces visages dispersés,
Éclats d'une âme, des siècles entrelacés.
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