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Bonsoir Cassy, je ne cherche pas à vous convaincre de quoi que ce soit, et que soit j'explique mal, soit que vous comprenez mal. Je suis d'accord sur le fait que la conclusion finale d'un tel échange aboutirait à un " je vous comprends " mutuel, ce qui ne serait déjà pas si mal.
Par contre, je ne pense pas véhiculer un quelconque message impactant d'autres personnes quelque soit leurs âges, je ne suis pas en campagne électorale ni en mode sermont religioso-spirituel : ce serait tout le contraire des " habitudes de la maison ". C'est juste vous qui interprétez mes propos comme un message. Ils ne sont liés qu'à des constatations sur les comportements séculaires des humains, dont on peut qu'espérer que les plus " sauvages " finissent par disparaitre.
Quant à ce qui se passe parmi les pratiquants du SM, je peux vous dire que j'ai rencontré des gens qui ont beaucoup souffert psychologiquement d'abus, et que les seuls conseils que j'ai pu leur donner est de consulter un psy - car on ne guérit pas seul des abus sexuels comme de la manipulation qui y mène - et d'arrêter de fréquenter des gens toxiques qui ont trouvé par le biais du web un nouveau terrain de chasse facile sur lequel beaucoup de gens veulent expérimenter des pratiques pour lesquelles ils ne sont pas préparés, ou n'en éprouvent pas un réel besoin.
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Cassy, j'aimerais vous répondre sur les points que vous avez soulevés, mais comme ils s'éloignent du sujet originel hormis quelques lignes au début, je préfèrerais le faire par mp si vous êtes d'accord. Je ne crois pas que mes réponses intéressent tout le monde ici quand on évoque l'histoire de l'humanité, la liberté au sens large du terme, les conflits sociaux, l'humanisme, les années 50, et le vécu de ma famille durant le vingtième siècle, qui s'est fait dans le sang et les larmes, mais toujours la tête haute.
Comme une carrière de vieux con se doit de démarrer très jeune, j'avais déjà à votre âge les mêmes idées qu'aujourd'hui, et ce que j'ai appris et déduis à cette époque de mes lectures et de l'éducation que j'ai reçue n'a fait que devenir en grande partie la réalité actuelle... en pire !
Cela dit je vous rassure, on s'en sortira peut-être, mais il faudra en payer le prix fort comme d'habitude.
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La seule force de l'être humain pour avoir survécu jusqu'à nos jours est son intelligence, qui lui a notamment permis de créer des sociétés dont certaines évoluent vers davantage de respect pour ses congénères. Cela n'empêche pas à certains individus d'avoir des comportement associaux, qui s'ils ne sont pas majoritaires, n'en sont pas moins graves ! Et c'est pire lorsque ces comportements sont socialement tolérés ! Les humains sont parfois flippants et arriérés, j'en ai suffisament rencontrés pour le savoir. Tout le monde ne vit pas de la même manière... Le paradoxe de l'être humain est d'être capable d'aller sur la Lune et en même temps de s'entretuer en employant parfois des moyens industrialisant le crime pour des raisons stupides !
Vous avez raison au sujet des parades nuptiales chez beaucoup d'animaux. Cela dit, les actes sexuels peuvent aussi être violents parmi eux. Curieusement, ceux qui font preuve d'une intelligence développée tout en vivant en groupes organisés ne sont pas non plus les moins violents entre-eux, y compris en dehors de leurs périodes de reproduction. Rien ni personne n'est parfait, c'est à nous-mêmes, à chaque individu de se comporter de manière respectueuse vis à vis des autres humains, des autres représentants du vivant et de l'environnement qui assure notre survie. Et il y a du boulot !
Vous penserez peut-être que je n'aime pas les humains ? Non, je les aime, mais leurs comportements me déçoivent car plus le temps passe, plus ils me semblent régresser socialement, minés par l'invidualisme et cultivant des querelles de clochers les isolants en " tribus ", au lieu d'avancer dans une volonté commune d'améliorer le sort de l'ensemble du genre humain.
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Il faut se rappeler avant que les êtres humains sont à la base des animaux, et que seule leur intelligence et la création de comportements sociaux, de lois et de règles de vies leurs permettent dans le cadre d'une vie organisée en société de discerner des valeurs comme le bien et le mal.
La plupart d'entre-eux considèrent qu'une relation sexuele ne peut et ne doit exister qu'avec un consentement mutuel. Mais pas tous ! La possession d'une femelle afin de satisfaire un besoin instinctif de reproduction fait partie de la nature instinctive séculaire de n'importe quel être animal vivant sur cette planète. Elle n'est donc pas lié spécialement à la nature humaine, puisque d'autres animaux pratiquent le viol. Liée à la nature de l'homme en tant que mâle, oui. Lié à " l'humain naturel " : cela dépend de ce que l'on veut dire par ce terme. Lié au patriarcat : non, le patriarcat étant une notion non naturelle faisant partie d'une forme de vie sociétale ou de civilsation.
C'est un comportement instinctif, ou sauvage si vous préférez, que seul notre raison et les valeurs qu'on nous a inculquées, où dont nous décidons de notre propre chef d'avoir nous poussera à pratiquer ou non.
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Bonjour Angelina,
Après avoir lu votre post et celui où vous racontez votre horrible agression sur doctissimo, je comprends que vous vous posiez des questions sur les envies ou besoins de domination et de soumission.
En lisant divers posts ici, vous avez constaté que ce besoin existe autant chez les hommes que chez les femmes, quelques soient leurs attirances pour un sexe ou l'autre, voire les deux. D'un autre côté, qu'est-ce qui peut pousser un homme à violer une femme hors contexte BDSM ?
- Le besoin de sexe sans parvenir à trouver une partenaire pour un homme ne correspondant pas aux critères de beauté des femmes.
- La frustration du rejet permanent des femmes à l'égard d'un individu.
- L'éducation lorsqu'elle apprend aux enfants mâles que les femmes leurs sont inférieures, et sont toutes sexuellement disponibles qu'elles le veuillent ou non !
- Un sadisme profond refoulé, non contrôlé avec le sentiment pour l'individu d'être tout puissant et de disposer de n'importe quel autre individu à sa convenance, et là on entre dans le domaine de la psychatrie puisqu'on a affaire à un psychopate !
- Un manque de confiance en soi, en ses propres qualités dont celles de séduire, une timidité excessive : là encore on est dans le domaine de l'analyse. Cela peut être dû à l'éducation reçue de parents trop rigides, maltraitants leurs enfants dans un état de soumission et d'humiliation.
- Le phénomène de bande ou plusieurs individus se sentent plus forts de ce fait alors que pris individuellement, seuls ceux ayant les plus grandes tendances à commettre des actes criminels parce qu'ils n'ont aucunes limites peuvent en entrainer d'autres plus faibles mais sous leur domination. Quant au fantasme du viol dans un cadre BDSM, c'est à mon sens quelque chose d'extrêmement " borderline ".
Il est parfois même le résultat pervers d'un véritable viol qui détruit tellement la victime psychiquement qu'elle souhaite le revivre pour une raison qui n'a rien à voir avec le plaisir, mais juste avec une réaction de défense naturelle du corps humain durant le viol : la lubrification automatique du vagin du fait de trop nombreuses pénétrations forcées. Ignorant ce mécanisme, ces victimes en déduisaient que le viol collectif était le seul moyen pour elles d'avoir du plaisir !!! Elles ne pouvaient donc plus avoir une relation sexuelle normale car de toutes façons, elles étaient en même temps effrayée par l'idée de l'acte sexuel dans un contexte " normal ", et se sentaient profondément dégradées, bonnes à rien sinon qu'à être violées. La seule chose que je pouvais leur conseiller étant de voir un médecin pour se faire expliquer ce mécanisme et de faire une psychanalyse pour retrouver leur confiance en elles, car les pratiques SM, même si elles sont violentes, s'arrêtent avant la blessure physique. Et tout pratiquant sadique sait avec l'expérience et l'attention qu'il accorde à sa partanaire masochiste, arrêter une pratique avant que le sang ne coule, qu'un étouffement dégénère, etc..
Pour répondre à votre dernière question : " quand vous pratiquez ce jeu, la pseudo-victime sait elle à quel moment cela va arriver ? ou pas ? " :
Personnellement, avant d'entamer une relation avec une soumise, je la questionne toujours sur ses besoins, ses limites, celles qu'elle souhaite dépasser où pas, et bien entendu je lui explique ce que j'attends d'elle. Si la relation commence et que le fantasme du viol fait partie de ses besoins, je ne la préviendrais pas du moment où je réaliserais son fantasme, mais elle sait de toutes façons que c'est moi qui l'exécute et passé l'effet de surprise, nous serons dans le domaine du jeu de rôles et elle s'y pliera avec plaisir.
Avec une esclave c'est différent. Son statut me permet de l'utiliser à ma convenance, n'importe où et n'importe comment sans avoir à lui dire quoique que ce soit. Elle est mon esclave volontaire, ma propriété et se doit de subir tout ce que je désire lui infliger. Ce qui ne lui pose pas de problèmes puisqu'elle s'est offerte de plein gré à devenir mon esclave, me donnant ainsi tous les droits sur elle sans aucunes limites, sinon celle de disposer de son existence - il ne faut pas pousser non plus ! - et une limite pour une durée de son esclavage à mon service fixée avant qu'il ne devienne effectif. Mais ce " C.D.D. " n'est pas une obligation, certaines femmes dérisant être esclaves à vie d'un Maître, qui peut cependant les répudier à sa convenance, les donner, et même les revendre à d'autres Maîtres. Cette dernière possibilité dans le cas de la revente tombant sous le coup du code de procédure pénale sur la traite des individus et de l'esclavage. Mais encore plus important : elle peut aussi détruire psychiquement l'esclave malgré qu'elle soit volontaire pour le devenir !
Comme vous êtes nouvelle parmi nous, j'ai été un peu long dans mes réponses mais j'espère qu'elles seront utiles. N'hésitez pas à me poser d'autres questions si vous en ressentez le besoin.
DOMSTOCK
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DomStock a répondu à la discussion "HPI / HPE / Hypersensibilité et particularités en BDSM...." de Azhara.
Bonsoir à toutes et à tous,
Je ne fais ni partie des catégories socio-pro supérieures, étant artiste de profession, ni des HPI malgré le fait que dans ma famille, beaucoup ont un Q.I. supérieur à la moyenne, ce qui leur cause par ailleurs des comportements bizarres, limite associaux dans certains cas.
Ce que je sais de moi, c'est que je suis hypersensible depuis mon enfance, mais aussi incapable de raisoner dans l'abstrait, ce qui m'a handicapé pour avoir une scolarité normale. Mes centres d'intérêts extrêmement pointus dans certains domaines me posent aussi des problèmes de communication du fait qu'on me taxe souvent d'avoir un comportement " professoral ", autoritaire et trop sûr de ce que j'avance lorsque je discute avec d'autres personnes. D'un autre côté, si je n'étais pas sûr avec preuves à l'appui de ce que j'affirme, je fermerais ma gueule ! Dans mon imaginaire sexuel, les relations de ma période " vanille " ont été des échecs car les femmes avec lesquelles je vivais une relation ne comprenaient pas mon imaginaire érotique, le jugeant dégradant, machiste, autoritaire, objetisant et pervers à leur sujet.
Les hasards de la vie et des rencontres m'ont fait découvrir le SM et ses pratiquants, qui ne m'ont pas trouvé plus anormal que la moyenne, et m'ont permis de vivre en réalité les fétiches de mon imaginaire sans trouver à y redire. J'ai rencontré de vrais pervers, dans le monde " vanille " comme dans le nôtre, je sais donc faire la différence entre eux et les autres, et cela m'a rassuré quant à être moi-même un pervers. Au moins ne le suis-je pas ici, tout en étant considéré comme tel chez les " vanilles ".
N'ayant pas pris le temps et consacré les moyens à pousser plus avant mon introspection psychanalytique, je ne sais pas exactement ce que je suis s'il fallait mettre dans une case mes comportements et leurs origines. Mais le psy qui m'a suivi m'a dit qu'il y avait de fortes probabilités que je sois un " Asperger ", et qu'il fallait que je pousse plus avant les consultations afin d'en être sûr, ce que je n'ai pas fait jusqu'à présent.
En attendant de prendre le temps de finir cette introspection, je sais au moins qu'il n'y a qu'au sein des pratiquants du SM que je me sens à peu près compris. Être très sensible me permet aussi de contrôler mon potentiel violent, en le mettant au service du plaisir partagé plutôt qu'ailleurs, de même qu'à porter beaucoup d'attention à ce que je fais ressentir à une masochiste en termes de tortures, pouvant ressentir le moment où je dois m'arrêter avant d'aller trop loin, même si une partenaire n'a pas l'impression d'avoir subi son compte de douleurs, mais comme la frustration fait également partie du plaisir...
Dans le contexte D/s, j'ai rencontré parmi nous des femmes trouvant normaux mes fétiches et le besoin impératif pour ne pas dire vital que j'en ai pour éprouver du plaisir, et de plus heureuses de s'y soumettre. Pour répondre à l'une des questions d'Azhara, c'est un avantage relatif parmi nous, mais une contrainte en dehors de ce milieu.
Allez, au suivant ! :)
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Bonjour Yüna,
Voilà des questions bien intéressantes auxquelles je vous réponds avec... plaisir !
Êtes vous adepte du Edging ? ( Contrôle d'Orgasme )
Oui, tout à fait !
Le subissez vous ? Faites le vous subir ?
Les deux ! En ce qui me concerne, j'ai découvert cette pratique par hasard quand j'étais ado, et très très très loin d'envisager une sexualité SM. Et elle ne m'a jamais quitté depuis. C'est en me réveillant le matin en érection que je me suis rendu compte que me maintenir dans cet état dans un demi-sommeil en ayant des pensées érotiques créait - probablement par la sécrétion d'endorphines - un état de bien-être et de détente total. Un orgasme qui n'en finit pas, du moins jusqu'à ce que se retenir devienne douloureux au point qu'il devient indispensable d'éjaculer. Le pratiquer en me masturbant m'a évidemment donné plus tard l'idée de le faire subir à mes partenaires, qui en général appréciaient cette pratique, à quelques exceptions près ne comprenant pas le plaisir que j'éprouvais à les faire monter et redescendre très longtemps, et qui finissaient pas péter un câble ! Je précise que je n'étais pas dans le SM à l'époque.
Quelles sont les Techniques utilisées ?
Tout est bon pour y parvenir, la stimulation avec les doigts, la bouche, le sexe, les sextoys et quelques accessoires de cuisine lorsque je n'ai rien d'autres sous la main !
Lorsque je fais subir à une soumise, cela me procure une sensation de domination évidente et puissante. Il m'arrive même de rire pendant que je le pratique dans les moments où ma femelle souffre de ne pouvoir jouir et me supplie de la laisser venir.
Comment psychologiquement êtes vous après ?
Lorsque je le pratique sur moi, je me sens hyper détendu après, voire un peu défoncé comme en fumant un joint.
Dans la pratique à deux c'est différent. Étant forcément moi-même très excité par ce que je fais subir à ma soumise, je vais la pénétrer et me vider sauvagement en elle !
Cette Pratique est dans quel But ?
Partager du plaisir et affirmer le contrôle que j'ai sur sa jouissance, son excitation, son désir d'être baisée, se vautrer mutuellement et sauvagement dans une excitation intense, voir son corps ruisseler de sueur en m'enivrant de son parfum. Désolé pour les âmes sensibles :D, l'odeur de la sueur de femmes m'excite ! ;)
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DomStock a répondu à la discussion "Homme grand qui aime les femmes petites : Fétichisme ou pas ?" de bdsmsoft.
Bonsoir,
L' attirance pour un ou des types de physiques particuliers est une forme de fétichisme que je qualifierais pour ma part de léger, car les affinités que l'on éprouve lors de rencontres peuvent êtres extraordinaires avec des femmes qui ne correspondent pas nécessairement aux critères basique de sons propre désir. Mais nous avons presque tous des physiques qui nous attirent plus que d'autres, sur lesquels nous pouvons fantasmer, et avec lesquels une relation sera beaucoup plus intense du fait de cette attirance.
Pour ma part, j'aime les petites grosses, mais j'ai rarement eu la chance de vivre une relation avec ce type de femmes. Par contre, ces rares relations que j'ai vécues étaient d'une très grande intensité car ces femmes avaient de petit plus attisant mon désir.
Les personnes plus petites ou plus grandes que la moyenne ne vivent pas toujours bien ces différences. Il y a quelques années, j'avais dans mon cercle d'amis une femme petite et mince. Nous avions beaucoup de choses en commun, des passions même, et même si elle n'était pas apriori " mon type ", à force de partager beaucoup de choses ensemble, je lui ai proposé d'avoir une relation, mais elle a coupé court avec des arguments qui m'ont donné l'impression de me prendre un mur en pleine gueule ! D'autant que me connaissant assez bien pour cause de psychanalyse, l'attirance que j'éprouvais pour elle n'avait rien à voir avec ses craintes dues à de mauvaises expériences, une analyse ne lui aurait pas fait de mal pour résoudre ses problèmes !
Il en va de même avec beaucoup de personnes ayant un physique " hors normes " de la mode et de la société courante, elles n'assument pas toujours l'intérêt sincère et le désir qu'elles peuvent susciter, l'assimilant trop souvent à des fantasmes de " coups d'un soir "', pensant que leurs physiques ne leur permet pas d'avoir une véritable relation avec un homme plus grand ou plus petit qu'elles. L'une de mes exes m'a dit se sentir gênée d'être beaucoup plus petite que moi lorsque nous étions dans la rue, que ça faisait " dépareillé ". Le fait que je me fiche du potentiel regard des autres ne suffisait pas à la rassurer. De même avait t'elle du mal à comprendre en quoi je la trouvais belle... Et ce n'est pourtant pas faute de lui avoir expliqué ! Parfois, un regard bienveillant, aimant, ne suffit pas à rassurer une personne en conflit avec elle-même sur son propre regard sur sa personne. Et si je la comprenais, j'étais son Dom, pas son psy. Il me semble que seule une personne non impliquée émotionnellement et surtout professionnelle peut en aider une autre à avancer.
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petulla
femme soumise.
Vit à
rambouillet, Île-de-France, France.
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Virjiny
femme soumise.
Vit à
La petite maison dans la prairie à New Aquitaine, France.
Soyez la première personne à aimer.
La cérébralité... C'est un peu l'auberge espagnole, car chacun y trouve ce qu'il y amène, ce dont il a envie. Tonton Sigmund écrivait à peu près que notre premier organe sexuel est le cerveau. Logique, le bidule commande le reste du corps dans ses fonctions mécaniques.
Finalement, la cérébralité est principalement constituée par les images, les situations, les vêtements - ou pas - les objets, qui provoquent en nous le désir, et les scenarii qu'ils nous inspirent pour lui donner une forme que l'on espère se concrétiser dans la vie réelle. Encore faut t'il trouver la personne qui partage les mêmes vues sur leur mise en pratique.
Certains sont dans le domaine du jeu de rôles, d'autres ne jouent pas un rôle, et sont réellement dans leur quotidien l'image vivante de leur sexualité. Quelques personnes recherchent une image et des attitudes liées à une personnalité qui ne s'avère qu'illusoire dans la réalité, cachant une vérité personnelle plus pauvre, voire pire : un véritable pervers.
Nous sommes tous cérébraux de part notre appartenance à l'espèce humaine, mais s'il convient de partager ses besoins, prenons garde à ne pas les confondre avec des illusions, menant irrésistiblement à des désillusions... :)
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totalement dévoué pour me servir et me vénérer, sous mon joug vous apprendrez à vous lover à mes pieds comme le chien méritant que vous deviendrez .:.
DomStock a répondu à la discussion "Relation Dominant(e) / soumis(e), plaisir et abnegation" de Courtie.
Courtie,
Je vais faire simple. Le plaisir de la soumise consiste à éprouver du plaisir en donnant du plaisir à son Maître. Ça, c'est pour l'état d'esprit, et éventuellement le but à atteindre si l'on ne ressent pas déjà une prédisposition naturelle à servir.
Dans la pratique, en partant du principe que chaque être humain est unique, qu'il faut se connaitre totalement sur tous les plans si l'on veut qu'une relation aille plus loin que le jeu et/ou le coup d'un soir, je n'ai jamais hésité à donner du plaisir à une soumise, déjà pour le simple plaisir de la voir perdre totalement le contrôle de son corps et de ses émotions, de la sentir partir le plus loin possible. L'amener à cela est totalement jouissif pour moi. Ensuite pour connaitre ce qui la stimule, connaitre son corps sur le bout de tout ce qui peut le toucher, ses émotions, ses ressentis, lui donner envie de s'offrir totalement à moi et me donner sans restrictions et naturellement du plaisir des manières dont j'en ai envie.
Le sadique qui est en moi aime également savoir comment la frustrer, la contrôler, la punir, la priver de ses sources de plaisir pour mieux les lui rendre lorsque je le désire afin que ses sensations soient encore plus exacerbées.
Vivre une relation D/s n'empêche pas de donner pour recevoir, plus on donne, plus on reçoit, Quelque soit la nature de ce que l'on donne. Cela reste un échange basé sur la complémentarité des besoins de chacun et l'équilibre de leur satisfaction.
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Voilà une femme qui a tout compris à l'essence profonde de l'homme ! :) Elle aurait pas des disciples qui trainent ?
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