Je teste pour vous les "Quartiers Sans Relous" | 🅥🅘🅓🅔́🅞🅢🅒🅞🅟🅘🅔
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Soyez la première personne à aimer.
Le puritanisme et le pseudo féminisme instaurent la dramatisation des rapports hommes-femmes dans chacun de leurs aspects. La présomption de culpabilité des hommes, la victimisation automatique des femmes, la peur, le soupçon, la défiance mutuelle se généralisent... L'exception des faits divers détermine la règle quotidienne. La méfiance remplace le plaisir. Le climat s'alourdie pour tout le monde. Les femmes parce qu'elles voient des prédateurs partout, les hommes parce qu'ils en ont marre de devoir prouver qu'ils n'en sont pas.
Chacun se retrouve prisonnier de sa frustration affective et sexuelle. Le besoin de sécurité augmente mais les exigences se multipliant d'un côté comme de l'autre, tout se complique dans une escalade qui ne peut mener qu'à l'insatisfaction et l'incompréhension mutuelles.
Même en voulant la même chose, on arrive plus à se comprendre car on ne reconnait plus les intentions de l'autre comme complémentaires et constructives, mais les considère coupables et sources de nos difficultés.
Je suis moi-même tombé dans ce piège. Ayant rendu les femmes responsables de cette situation. Bien que cela ne soit pas complètement faux, car elles intègrent trop facilement ce pseudo féminisme... Hors sans cette intégration, le climat serait plus apaisé. Mais au lieu de simplement lutter contre ce climat délétère, j'ai fini par le nourrir.
Je ne renie pas mes précédents écrits, mais je regrette un manque de recul et une agressivité apparente qui ont pu laisser une impression fautive me concernant.
Je voyais une contradiction entre mes exigences de sécurité sexuelle et les exigences de sécurité affectives des femmes, alors qu'il s'agit du même problème pris sous deux angles différents. Le besoin de certitudes. Le besoin de voir l'autre s'investir en totalité dans la relation pour pouvoir s'y épanouir. Et c'est peut-être notre erreur partagée, attendre que l'autre nous donne tout pour tout lui donner en retour. Car personne ne donne tout à quelqu'un qui garde une réserve.
Soyez la première personne à aimer.
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Soyez la première personne à aimer.
Le pseudo féminisme des années 2000 qui croit tout inventer, alors qu'il réduit les femmes à de faibles victimes, n'est qu'un puritanisme exacerbé...
Ce mouvement d'uniformisation culturelle et législative avec les États-Unis, se double d'un discours parallèle à celui des obscurantistes religieux. La séparation des sexes. L'ange asexué féminin et le pervers masculin. Le refus d'une sexualité dispendieuse, libre et heureuse, vécue par et pour elle-même, au profit d'une dramatisation de toute interaction sexuée. Le refus du plaisir, la suspicion jetée sur les désirs, la présomption de culpabilité des hommes, de la chair et du sexe, la peur... Une convergence dangereuse pour nos libertés.
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Certains hommes d'aujourd'hui ont le malheur de penser que le désir se suffit à lui-même, qu'il peut être vécu pour lui-même, que la recherche et le partage de plaisir peuvent suffire à une interaction sexuelle fondement ou non d'une relation suivie....
Ils voient une femme qui leur plaît, cela leur suffit pour la désirer.
Ils imaginent naïvement que la réciproque est vraie.
Ils n'imaginent pas que les femmes vont demander un "prix" plus important d'attentions, de temps, de moyens déployés... Ils n'imaginent pas que les femmes vont leur demander de gérer leurs problèmes émotionnels, psychologiques et pratiques pour avoir, peut-être, le droit de partager leur intimité. Ils n'imaginent pas cela car ils sont adultes, raisonnables, rationnels, mâtures, éduqués, construits, assumés et égalitaristes.
Ils traitent les femmes en égales, cherchant un échange de désir à désir et ne comprennent pas les reprochent qu'ils subissent. Pour eux, avoir à "payer" un prix supplémentaire est une injustice, une asymétrie intolérable car eux doivent gérer tout seul leurs problèmes, sans quoi "on" les rabaisse, les mêmes féministes qui parlent de masculinité toxique n'hésitant pas à reprocher aux hommes de manquer de virilité... Ils ne demandent à personne de les résoudre à leur place. Et surtout pas en prix d'une relation, tel un chantage affectif.
Un homme est éduqué à subvenir seul à ses besoins, à gérer ses problèmes, à se contrôler, à être fort, droit, debout, fier... Si il cherche une femme c'est d'abord pour le sexe, satisfaire ses désirs de sensualité, d'érotisme, de plaisir pris et partagé, raison pour laquelle la plupart des hommes préfèrent la frustration aux prostituées. Il ne demande donc rien d'autre à cette femme que de lui apporter cette satisfaction libidinale et affective qu'il ne peut trouver seul. Pour le dire autrement, il veut la relation pour la relation.
Mais les femmes ont le plus souvent des attentes supplémentaires.
Elles font de ces attentes des conditions d'accès à la relation, il faut donc les satisfaire pour être accepté, choisi, désiré...
Seulement voilà, les choses ne sont pas si simples et nous faisons souvent de notre mieux pour satisfaire à ces conditions sans pour autant obtenir quoi que ce soit en échange, parce qu'il aura manqué un je-ne-sais-quoi, parce qu'une condition n'aura pas été remplie, parce qu'une incompréhension aura surgit, parce qu'on aura eu le "tort" de critiquer les dites exigences, leur asymétrie, ou de réclamer ce que nous percevons alors comme un dû, la satisfaction de nos exigences en retour.
Ce soucis réciproque n'est pas perçu ainsi par des femmes qui pensent que l'on essaie de resquiller, de réduire le "prix" exigé, donc leur valeur... Elles ne sont pas éduquées à se débrouiller par elles-mêmes face à un problème, elles ne sont même pas éduquées à voir les choses en terme de problématique à résoudre, sinon en demandant de l'aide, mais plutôt à un laisser aller émotionnel, à une passivité qui conditionne tout le reste de leur attitude...
C'est la raison pour laquelle elles cherchent un homme capable de résoudre leurs problèmes à leur place, un facilitateur d'existence, passent sans discontinuer d'un homme à un autre, et ne font que rarement le premier pas...
Cela explique leur versatilité, leurs caprices, leur relative immaturité, les psychoses, névroses et autres afflictions tenant de la dramatisation lorsqu'elles restent bloquées sur ce mode de fonctionnement puéril.
Car ce n'est pas une fatalité.
Ces femmes peuvent apprendre à se prendre en charge, à contrôler leurs émotions, à régler leurs problèmes, mais elles ont besoin pour cela d'une gifle de réalisme, réelle ou figurée. Car si elles pensent avoir tout les droits et nous tout les devoirs, nous ne sommes pas tenus de leur donner raison. Nous pouvons refuser leurs mauvaises manières. Et leur expliquer en quoi ce sont des mauvaises manières. Même si l'exercice n'est pas facile tant elles ont du mal à supporter la critique...
C'est pour cette raison que j'ai essayé ici d'expliquer la vision du monde d'un certain nombre d'hommes incompris qui passent pour mauvais juste parce qu'ils sont directs et/ou maladroits.
Car cette incompréhension est encore plus grande lorsque l'on cherche une soumise ou une esclave.
Un homme qui cherche une esclave cherche une femme obéissante, c'est une lapalissade mais il n'est pas inutile de le rappeler à certaines... Il cherche une femme qui l'accepte, lui, ses désirs, son rythme et accepte de s'y plier avec humilité, déférence et abnégation. Il veut être au centre de la relation, de l'interaction. Il veut que sa satisfaction, ses exigences priment. Il veut une relation asymétrique, construite de désir à désir, un désir de soumission répondant à son désir de domination... Hors les femmes qui cherchent le même type de relation conservent des manières vanilles à l'opposé de ses attentes.
En effet, nombre de ces femmes conservent les logiques de "surcoûts" relationnels. Elles réclament autre chose que la relation en échange de la relation, autre chose en plus de la satisfaction de leurs désirs de soumission... Ce qui relève pour nous d'un renversement de l'asymétrie recherchée. Une hypocrisie.
On me répondra qu'il s'agit de séduction et non de surcoût, mais c'est bien de cela qu'il s'agit, car elles ne font rien pour nous séduire, comme si être une femme suffisait... Nous demander de les séduire c'est déjà nous demander de gérer leur désir à leur place, sans pour autant qu'elles veuillent gérer le nôtre... Elles sont là pour satisfaire leur propre désir mais nous demandent de le créer... C'est pour le moins paradoxale, sinon contradictoire et hypocrite.
Je veux une égale qui choisit volontairement une position de subordonnée, parce qu'elle veut cette position, sans réclamer autre chose. Et non une gamine acariâtre, vindicative et puérile, incapable de canaliser sa propre volonté sans faire un caca nerveux chaque fois qu'on lui dit non..
Est-ce donc si étonnant qu'un homme qui cherche une esclave, une soumise, veuille se soustraire aux formalités relationnelles du modèle vanille ?!
Chercher une esclave n'est-il pas de fait porteur d'une recherche de "facilité", non dans la recherche mais dans la trouvaille ?
Cette facilité recherchée est-elle un mal ? Et Pourquoi ?
En quoi compliquer les choses est-il porteur de sécurité ? De confiance ? De bonheur ?
Cela fait environ quatre ans que je viens régulièrement ici, j'ai plus l'impression de passer à côté de ma vie que de m'épanouir... Et j'ai la sensation que ce n'est pas une question de profil, de recherche, de méthode, d'attitude, de caractère ou de personnes, mais simplement un climat de peur, d'angoisse, de hantise, de suspicion automatique, de moralisation puritaine, de dramatisation de tout les aspects des relations hommes-femmes... Un climat qui empêche les rapprochements que la recherche d'un plaisir relationnel partagé devrait pourtant faciliter... Un climat qui remplace une prudence légitime par une défiance relativement irrémédiable.
On veut une femme parce qu'elle nous plaît. On ne lui impose aucune "surtaxe" pour la choisir elle plutôt qu'une autre. Ce qui compte pour nous, c'est que notre partenaire nous plaise et soit pleinement engagée dans la relation. On ne lui demande rien de plus.
1 personne aime(nt) ça.
J'aurais pu signer des deux mains vos deux premiers paragraphes.
C'est la suite qui m'interpelle.
Le désir tel que le conçois n'est pas quelque chose d'unilatéral, et si j'accepte d'être désirée par un homme, pour lui "céder", j'ai besoin que ce désir soit réciproque.
Pour autant, si tel est le cas, je ne lui demande pas "un prix plus important d'attentions, de temps, de moyens déployés... ni de gérer mes problèmes émotionnels, psychologiques et pratiques pour avoir, peut-être, le droit de partager mon intimité".
J'ai appris il y a longtemps à me prendre en charge, à régler mes problèmes par moi-même, pas toujours bien certes, et je sais gré à mon mec/Maître de m'avoir aidé à y voir plus clair, et à "m'assumer" dans mes désirs.
Mais pour autant ça n'a jamais été une "exigence" de ma part, juste quelque chose qu'il m'a "offert", de sa propre initiative.
Et je suis fière d'avoir réussi à lui rendre au moins un peu de ce qu'il m'a apporté.
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Parce qu'un homme aussi ce peut être "compliqué", au delà de cette image de celui qui est capable de "subvenir seul à ses besoins, à gérer ses problèmes, à se contrôler, à être fort, droit, debout, fier..." qu'il veut donner de lui.
Qui n'est jamais n'est qu'une image.
Parce que ce que j'aime chez un homme, ce sont aussi ses faiblesses, ses doutes, et la manière dont je peux contribuer moi aussi à l'aider à s'assumer dans ce qu'il est.
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J'assume ma soumission à mon Maître.
J'accepte et j'ai besoin de son désir, de m'y plier et d'y céder, que ses exigences parfois priment sur les miennes, ce côté "asymétrique" de notre relation dans le cadre de nos activités sexuelles.
Mais cette asymétrie s'inscrit pour moi dans quelque chose de plus vaste, le respect partagé, l'attention à l'autre, la volonté de nous assumer ensemble dans ce que nous sommes.
Lui, à la fois mon mec et mon Maître, et moi, sa femme en même temps que son esclave au lit.
Différents mais "égaux", complémentaires dans nos désirs, que nous assumons l'un et l'autre avec l'envie de construire ensemble quelque chose qui nous dépasse.
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Je crains que votre impression de "passer à côté de la vie" ne soit pas la conséquence d "un climat de peur, d'angoisse, de hantise, de suspicion automatique, de moralisation puritaine, de dramatisation de tout les aspects des relations hommes-femmes".
Mais davantage liée à votre vision de la femme (et de l'homme) qui me paraît terriblement datée et relever de clichés d'un autre temps.
Parce que pour recevoir, il faut aussi savoir donner.
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Je suis soumise et je l'assume.
Mais je ne serai jamais une soumise "carpette".
Après, il ne faut jamais désespérer.
Il existe aussi des femmes pour qui un homme c'est juste un "plan cul" et celles-là (je suis bien placée pour les comprendre puisque j'ai longtemps été des leurs) ne vous demanderont aucun "prix émotionnel'.
Juste de savoir vous servir de ce que vous avez entre les jambes.
Mais vous ne serez pour elles qu'un "homme objet" utilisé pour satisfaire à leurs désirs.
Et ce ne sera que justice.
Puisque c'est ainsi que vous les voyez aussi.
Bonjour Vice Roi...
Evidemment je ne suis absolument pas d'accord....
Oui ces femmes existent. Vanilles, soumises, esclaves.... et c est en faire une pseudo réalité qui me dérange. Parce que nous ne sommes pas toutes comme ça. Je ne suis pas comme ça. Et je connais des femmes ici qui ne le sont pas non plus.
À 43 ans passés, je vis seule depuis des années et je n ai absolument pas besoin d'un homme, d un mari, d un compagnon ou d un Maître pour régler mes problèmes qu'ils soient d ordre émotionnels, quotidiens, financiers ou autres.
J ai été élevée par une femme forte et indépendante qui m a appris à me débrouiller par moi même.
Et bien vous voulez que je vous dise et là ça va être à mon tour de faire une généralité.
Ça ne plaît pas aux hommes non plus que je sois comme je suis.
Je prends souvent dans la figure que comme je me débrouille très bien toute seule, que je ne m écroule pas comme une pauvre petite chose fragile au moindre problème, que je ne m effrondre pas en pleurs à la moindre petite contrariété, ils en déduisent que je n ai besoin de personne et surtout pas d'eux.... et pour certains encore pire!!!! Ils en profitent pour se permettre des choses qu'ils n oseraient même pas avec une gentille et douce petite demoiselle.
Je ne suis pas une chienne de garde loin de là. Je ne revendique pas le fait d être une femme pour obtenir tout ce que je pense m être dû en tant que telle.
Rien ne m'est dû d ailleurs.
Ce que j ai ou ce que j ai obtenu ça l a été de haute lutte et je l'ai mérité en tant que personne et pas spécialement en tant que femme.
Par contre, je me battrais toujours contre ceux qui sous prétexte que je suis une femme essayeront de me rabaisser.
Mais vous voulez que je vous dise...
J aime les Hommes justement pour ce qu ils sont... ce qui aurait pu me rendre aigrie me permet d avancer et trouver celui qui sera différent...
Alors que vous ... je finis vraiment par croire que vous n aimez pas les Femmes.... pour les mêmes raisons....
J'ai fait le choix si on peut appeler ça comme ça parce que ca n en est pas vraiment un puisque c est ce que je suis d être soumise....
Et il n y a rien à perdre ou gagner en contrepartie.
Juste de trouver en face la bonne personne qui me plait, à qui je plais, qui me correspond et à qui je corresponds, il s agit juste de construire et d établir une vraie relation qui convienne aux deux.
Et c'est cela qui est compliqué.
Je suis venue dans le BDSM tard et peut-être qu il faut une certaine maturité, que ce soit réellement un choix et que seules les expériences de la vie peuvent vous faire comprendre certaines choses je ne sais pas.
Une chose est sûre. Il y a des défauts, des torts, des choses à changer des deux côtés.
Et ce n'est pas en généralisant de la sorte que ça fera bouger ce qui peut l être.
Déjà je ne suis pas satisfait non plus du portrait féminin que je dresse. Il ne s'agit pas de ma vision des femmes mais d'un type de femme que j'ai trop souvent croisée... Donc déjà ma vision des femmes n'est pas en cause dans mes échecs. Je suis devenu critique et soupçonneux à force de déceptions.
(Voyez comme la présomption de votre culpabilité n'est pas agréable...)
Quand tu es romantique, que tu prends le temps, que tu fais connaissance avec une personne, que tu crois la connaître et bâtir quelque chose avec elle, et qu'elle te lourde du jour au lendemain sans explication, et que la chose se reproduit plusieurs fois, qu'on te zappe ou te pose des lapins, tu commences à te poser des questions sur l'honnêteté de tes interlocutrices.
Mon interprétation est-elle la bonne ? J'en sais rien. Est-elle parsemée de lacunes, d'erreurs, d'oublis, d'imprécisions ? Sûrement.
Encore une fois j'essaie de comprendre comment des femmes venues se soumettre font des pieds et des mains pour ne jamais satisfaire ce désir. Si vous avez une explication, et pas une connerie de platitudes sans arguments qui font de moi le seul fautif parce que je ne saurais pas m'adapter à leur comportement ou à leurs attentes, je suis preneur.
(Sérieusement, sur un autre site, j'ai déjà discuté avec les mêmes femmes sous différents pseudos, utilisant chaque erreur pour définir une nouvelle approche. J'ai pu constater le non à géométrie variable. Un coup tu es trop dominant, un coup tu ne l'es pas assez, la troisième fois elle te pose un lapin, la quatrième elle te zappe en pleine discussion, ou inversement...)
Suis-je misogyne ? Non.
est-ce que je réduis toutes les femmes à cette description ? Non, puisque je cherche clairement une femme qui y échappe.
Je le dis clairement, je cherche une égale. Ce n'est pas de ma faute si certaines femmes sont de vieux clichés ambulants qui donnent raison aux misogynes.
Sur la question du désir, je pense avoir raison. Un homme qui désire une femme n'attends pas d'elle autre chose que la satisfaction de ce désir, qui n'est pas juste sexuel mais "libidinal" au sens large avec tout ce que cela comporte d'appartenance, de lien privilégié etc, quand une femme attend toujours plus et multiplie les conditions restrictives. Ce qui ne cadre guère avec une soumission sincère...
FFE : comment fais-tu pour toujours comprendre l'inverse de ce que j'écris ?! Mon hypothèse: un filtre hypocrite branché sur ton cerveau... :p
1_Je n'ai jamais décris le désir comme unilatéral. Ce que je dis c'est que ton désir, c'est à toi de le gérer, de l'assumer, de le reconnaître et de le suivre, voir de le devancer. Alors que beaucoup de femmes semble attendre passivement qu'un homme vienne le déclencher...
2_ Je ne cherche pas un plan cul !!! Là j'ai envie de t'insulter. Tu ne comprends vraiment rien. Pour toi il n'y a que deux options, la mélasse émotionnelle et les plans cul sans affects. Je rejette l'une, tu me colle dans l'autre. Bah non.
Je cherche une subordonnée sexuelle volontaire pour une soumission h24, et une appartenance définitive. C'est pas un plan cul bordel !!!
C'est au pire un " mariage de raison".
Oui, je veux de la facilité, parce qu'après toutes ces années j'en ai ras le bol. Mais je veux AUSSI du sérieux. L'un n'empêchant pas l'autre. Contrairement à ce qu'enseignent les religions et autres variations ascétiques.
Si tu ne comprends toujours pas, prends le cas d'un contrat de travail. Tu ne connais pas ton employeur et pourtant tu t'engages à bosser pour lui pendant X mois ou années. C'est plus clair comme ça ?! Et ce n'est qu'une image où ta rémunération serait la satisfaction de tes désirs de soumission et d'appartenance. Puisqu'il faut toujours tout préciser...
On cherche du partage bordel ! Pas une lutte, pas un échange d'individus autistes fermés sur eux-mêmes qui utiliseraient chacun l'autre pour jouir sans se soucier de cet autre ! Sinon j'irai aux putes au lieu de perdre mon temps à écrire des textes à rallonge. Et oui, si je n'étais qu'une bite, je n'écrirai pas autant !!!!
Poppy. Je ne les aime que malgré leurs défauts, malgré les formats qu'elles suivent sans réfléchir. Certaines croient qu'on les aimes à cause de tout ce fatras qui remplit la notion de féminité, mais non.
Ce que je n'aime vraiment pas c'est le modèle de fonctionnement qu'elles suivent et tout ce qu'il implique de préjugés et de représentations religieuses ascétiques, même laïcisées.
Ma description est passéiste parce que j'ai l'impression que les mentalités féminines ont régressées, autant que celles des hommes, mais bien plus côté amoureux et charnel.
Pour ce qui est des torts partagés, je ne crois pas avoir dit le contraire. Seulement les hommes font des efforts de compréhension, les femmes beaucoup moins à ce qu'il me semble.
Merci pour le "filtre hypocrite branché sur mon cerveau", ma compréhension même pas limitée mais mon incapacité de comprendre.
Quant au contrat de travail, d'une part je ne suis pas soumise au droit du travail, mais surtout si ses conditions de travail ne lui conviennent pas, tout salarié est libre d'y mettre fin.
Et comme visiblement, avec des mots différents, nous sommes d'accord sur le fond avec Poppy, je ne suis pas certaine que nous ayons tort dans notre analyse, mais que votre principal problème, ce peut-être vous.
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27/05/21
Je ne continuerai pas à discuter parce que vous persistez et à faire des généralités, à critiquer et à descendre la gente féminine... je ne supporte pas en fait...
Et visiblement nous les femmes nous ne sommes pas en capacité de réfléchir je vous laisse avec vos idées et vos croyances.
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27/05/21
sweethell Toujours semblable à toi-même. Ne changes surtout pas °3
Poppy, FFE, Il me semble avoir suffisamment devisé avec chacune d'entre vous pour que vous ne me colliez pas dans la catégorie des simples "consommateurs de viande". Alors ne vous étonnez pas du ton sur lequel je vous réponds. Un ton qui reste relativement poli et argumenté.
Alors Vice Roi permettez moi de vous dire de bien relire ce que J'AI écrit et à AUCUN MOMENT je ne parle de consommer, consommation ou de consommateur. Ne me faites pas dire ce que je n ai pas dit merci.
Je dis simplement qu il est inutile de discuter avec vous puisque vous êtes enfermé dans un discours et une pensée où toutes les femmes sont comme ça et point barre.
Aller bonne journée et bonne continuation.
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28/05/21
Quant à moi, je constaterai simplement nous avons visiblement une appréciation différente de ce qu'est la politesse
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28/05/21
Le puritanisme et le pseudo féminisme instaurent la dramatisation des rapports hommes-femmes dans chacun de leurs aspects. La présomption de culpabilité des hommes, la victimisation automatique des femmes, la peur, le soupçon, la défiance mutuelle se généralisent... L'exception des faits divers détermine la règle quotidienne. La méfiance remplace le plaisir. Le climat s'alourdie pour tout le monde. Les femmes parce qu'elles voient des prédateurs partout, les hommes parce qu'ils en ont marre de devoir prouver qu'ils n'en sont pas.
Chacun se retrouve prisonnier de sa frustration affective et sexuelle. Le besoin de sécurité augmente mais les exigences se multipliant d'un côté comme de l'autre, tout se complique dans une escalade qui ne peut mener qu'à l'insatisfaction et l'incompréhension mutuelles.
Même en voulant la même chose, on arrive plus à se comprendre car on ne reconnait plus les intentions de l'autre comme complémentaires et constructives, mais les considère coupables et sources de nos difficultés.
Je suis moi-même tombé dans ce piège. Ayant rendu les femmes responsables de cette situation. Bien que cela ne soit pas complètement faux, car elles intègrent trop facilement ce pseudo féminisme... Hors sans cette intégration, le climat serait plus apaisé. Mais au lieu de simplement lutter contre ce climat délétère, j'ai fini par le nourrir.
Je ne renie pas mes précédents écrits, mais je regrette un manque de recul et une agressivité apparente qui ont pu laisser une impression fautive me concernant.
Je voyais une contradiction entre mes exigences de sécurité sexuelle et les exigences de sécurité affectives des femmes, alors qu'il s'agit du même problème pris sous deux angles différents. Le besoin de certitudes. Le besoin de voir l'autre s'investir en totalité dans la relation pour pouvoir s'y épanouir. Et c'est peut-être notre erreur partagée, attendre que l'autre nous donne tout pour tout lui donner en retour. Car personne ne donne tout à quelqu'un qui garde une réserve.
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02/06/21
Effectivement c est dommage... parce que personnellement je ne me méfie pas des hommes en général, je ne les regarde pas d un mauvais oeil au contraire, je n'ai pas peur d eux et je ne vois absolument pas de prédateurs partout où je vais.... et me mettre dans cette pseudo globalité me déplaît, avec comme seul argument le fait que je suis une femme.
Maintenant je ne fais pas n importe quoi non plus, je prends les précautions qui s imposent et qui me semble nécessaires... pas plus... pas moins.
Mais vous avez raison sur une chose.... comment demander à quelqu'un de s investir et de tout donner quand soi même on est dans le rejet et la défensive... ca ne me paraît pas possible...
J espère sincèrement que vous trouverez ce que vous cherchez...
Ce qui me frappe dans ce témoignage comme dans d'autres que j'ai pu lire, c'est qu'aucune contrainte physique n'est exercée.
Il n'y a même pas de chantage.
La seule contrainte se trouve dans la tête de la présumée victime.
Elle ne réagit pas à la situation en train de se jouer mais à une projection dans sa tête. Une projection qui tient sur un postulat de culpabilité des hommes, des désirs et de la sexualité vécue par et pour elle-même. Selon ce postulat, un homme qui manifeste concrètement ses désirs est obligatoirement un violeur et un violeur est obligatoirement un tueur.
Dès lors, elles choisissent de se laisser faire, elles obéissent au demandes de l'homme en question de se placer de telle ou telle manière, bonjour la "sidération", pour éviter le pire. Sauf que ce pire est imaginaire.
En effet, elles peuvent avoir affaire à un homme taiseux, à la communication non verbale, un homme tactile, peut-être trop entreprenant mais pas violeur pour autant.
Dans ce témoignage, on le voit bien, peu importe que les faits soient avérés ou imaginaires, il a suffit qu'elle proteste pour que tout s'arrête. Elle pouvait donc tout arrêter dès le départ.
Pourquoi ne l'a-t-elle pas fait ? Parce qu'elle n'a pas réagit au réel mais à une projection mentale, parce que pour elle une femme est une victime et un homme un prédateur sans limite.
À voir les commentaires, déjà il y a un problème clair de rationalité, puisque ce témoignage est pris pour argent comptant par la plupart des femmes... Comme si une femme ne pouvait pas mentir... Mais surtout, ces mêmes femmes font de ce masseur un criminel récidiviste... Sans la moindre preuve. Encore une fois le même postulat est à l'œuvre... La femme victime, l'homme coupable. Imaginer cet homme en face de la foule des femmes ayant laissé un commentaire sous cette vidéo me fait froid dans le dos. Il finirait condamné sans procès, sur une simple accusation et sans droit de se défendre. Bonjour le progrès des mentalités...
Qu'un masseur ne demande pas la permission de toucher la personne qui vient se faire masser me semble plutôt logique. La personne vient pour ça. Que certains gestes puissent être mal interprétés sous le règne du postulat susmentionné, aussi.
Cette dramatisation autour des corps, de la sexualité, des consentements verbalisés ou non, toute cette peur, toutes ces angoisses... Je trouve ça triste.
Où est donc passée l'époque des plaisirs simples, du partage, de l'amour libre, de la jubilation joie-jouissance ?
Vraiment notre époque me déconcerte. (J'ai la trentaine et pourtant je me rappelle d'une époque bien plus tranquille et apaisée...)
D'un côté on devrait tout mettre en mots, sauf le refus féminin qui, lui, devrait être deviné "sur des signes"... Mais si tu formules tes désirs masculins, clairement et sans ambiguïté, si tu es honnête et sincère, tout en restant respectueux, tu te fais traiter de porc comme le dernier des connards... Bref, ce postulat et ses productions me semblent franchement irrationnels, contradictoires et hypocrites. Mais surtout, il me semble qu'il rend impossible de saines relations, ou en tout cas les complique grandement.
En tant qu'homme on doit montrer pattes blanches, la présomption de culpabilité encore et toujours, mais difficile de prouver ses intentions à des femmes dramatisant le moindre mot jugé de travers... Dès lors, quoi d'étonnant à ce que des hommes ne pouvant plus rien dire sans se faire insulter use plutôt de gestes, fussent-ils déplacés, et recourent à une communication non verbale ? Problème, si toutes les formes d'expression de ses désirs deviennent coupables, comment un homme peut-il encore les exprimer ?
Et comme les femmes ne feront pas le premier pas, parce qu'être une fille trop "facile" serait infâmant, ou dégradant pour leur égo, on se demande pourquoi... Si ça continue, on finira par en revenir aux entremetteuses, aux choix des parents, ou autres joyeusetés, parce que faire soi-même le premier pas sera s'exposer à se faire traiter de violeur.
Je force le trait, mais si peu, ça passe déjà presque pour du harcèlement sexuel... Le fameux "harcèlement de rue"...
https://www.youtube.com/watch?v=sWDU4XSqEzo
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Soyez la première personne à aimer.
La question du Libre Arbitre c'est la question de la causalité et de la responsabilité des comportements.
Le Libre Arbitre classique suppose une absence de causalité des comportements, une volonté volontaire qui serait son propre produit tel une cause incausée.
Induisant une responsabilité des individus dans leurs comportements.
Le déterminisme suppose à l'inverse que nos comportements sont régis par des causes (biologiques, anthropologiques, sociologiques, psychologiques, etc) dont la conscience et le contrôle nous échappe, induisant une absence de responsabilité individuelle.
Là où le Libre Arbitre classique innocente les circonstances, donc la société, le déterminisme leur rend leur part de responsabilité dans les comportements individuels. Ce qui le place en opposition à la plupart des autorités...
Le fatalisme est une description normative, une proposition politique conservatrice qui tient davantage de l'obscurantisme que du déterminisme. En effet le déterminisme suppose la possibilité du changement par l'intelligence, du moment que l'on peut agir sur les causes. Cette volonté d'agir sur les causes obéissant elle-même à des causes.
Là où le fatalisme veut interdire à l'intelligence d'agir sur les causes en brandissant une impossibilité toute théorique.
https://www.youtube.com/watch?v=FuqIY-Xf5Is
Les philosophes ne comprennent rien à la LIBERTÉ
De quoi le libre-arbitre est-il le nom ? Eh bien, ce n'est peut-être pas aux philosophes qu'il faut le demander...
L'article de blog qui complète la vidéo (et où je discute notamme
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Je serai plus mesuré. Il est évident qu'un philosophe digne de ce nom ne saurait être un penseur enfermé dans une tour d'ivoire, cependant, à trop vouloir se plier aux "intuitions" du commun des mortels, on peut oublier que ces "intuitions" sont souvent le produit d'une éducation comportant un certain nombre de biais... Ou de préjugés. Ainsi le sens du mot "matérialiste" devrait-il être limité au sens vulgaire sous prétexte que les religieux l'ont souillé pendant des siècles ? Non. Au contraire, on constatera l'incompatibilité entre ces deux signification, et dès lors il faudra choisir entre l'usage et le sens le plus juste, entre la personne avide de possession et celle qui pense les choses à travers leur matérialité et pour laquelle la propriété est illusoire.
Pour moi la tâche du philosophe est de permettre le dialogue entre les visions du monde, mais un dialogue soumis à la raison, ce qui nécessite de poser les choses en termes clairs et d'abolir les raisonnements caduques. Pour moi cette seconde vidéo qu'il fait sur ce sujet n'apporte aucune clarté, au contraire.
J'irai même jusqu'à dire, un peu abusivement peut-être, que le "compatibilisme" unifiant absence de liberté fondamentale et liberté usuelle me rappelle les mélanges corps vivants-corps enveloppe des spiritualistes qui refusent de voir leurs croyances disparaître...
Car il semble penser que plus personne ne croit au Libre Arbitre comme absence de causalité des comportements... Ce qui viendrait magiquement rendre caduque l'analyse de ce concept de liberté ontologique dans sa version originale... Hors nos institutions judiciaires sont basées dessus, et nombre de personnes y croient encore ou ne voient pas la nécessité d'une mise à jour des dites institutions comme si le fait qu'elles aient été bâties sur des fictions ne comptait pas.
Hors la raison, c'est précisément remettre en cause ce qui doit l'être à la mesure des progrès de notre compréhension de la réalité.
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24/05/21
Merci fred1973 d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
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Je suis un homme simple, un peu naïf, parfois profond, avec un certain nombre de valeurs: la raison, la gentillesse, la tranquillité, le plaisir, le partage, la simplicité.
J'aime la nature, la philosophie, les chats et les animaux en général, leur liberté, et plein d'autres choses...
Je cherche une femme simple, douce, sans fioritures, une beauté naturelle, sans maquillage ni épilation des sourcils. Une femme intelligente, rationnelle, avec des sentiments sans tomber dans un sentimentalisme excessif, une femme qui sait pourquoi elle cherche un homme et assume cette recherche, une femme qui ne coupe pas inutilement les cheveux en quatre, qui ne postule pas une culpabilité des hommes ou de leurs désirs, qui ne confond pas ses postulats avec la réalité, une femme sans projet dissimulé, une femme qui vive notre relation pour elle-même et non en y projetant autre chose... Une femme honnête et sincère, au caractère franc et direct, qui ne craint pas la confrontation et me parlera sans filtre ni détour. (J'aime la clarté.)
Une femme simplement douce, gentille, tendre, amoureuse, chaleureuse, souriante, docile, obéissante, qui cherche juste de l'amour, de la tendresse, une appartenance, de l'érotisme, du partage, en un mot de la complicité.
Ma femme idéale ? Une petite geek pétillante et drôle, lumineuse et éclatante, vive et pleine d'esprit, affriolante et sensuelle même dans un vieux jogging troué...
Mais je reste ouvert car je cherche une femme et non une idée.
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@FFE Je ne prétends pas avoir toutes les réponses... Seulement quand je m'exprime, j'ai déjà réfléchis. Sinon, je n'ai rien à dire et je ne dis rien.
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Chose promise, chose dûe, je reviens sur le sujet de l'arrogance...
Un homme qui se met en avant passe pour arrogant, imbu de lui-même et "nous ne l'aimons pas"...
Mais les personnes imbues d'elles-mêmes ne sont pas toujours celles que l'on croit...
Lorsque un homme met son physique en avant, est-il orgueilleux ?
Ou bien est-il humble, considérant sa personnalité trop commune ou trop peu importante pour être mise en avant ?
Et si il s'agit d'une femme ? La considère-t-on orgueilleuse ?
Et si cette personne fait l'inverse ? Si elle mets son intellect en avant ? Sa personnalité ? Son caractère ? Ses désirs ?
N'y aurait-il pas plus d'orgueil et d'arrogance a croire notre personnalité si unique et digne d'intérêt qu'elle dépasserait, transcenderait, transfigurerait, les affects de base de notre orientation sexuelle ?
Qu'on doive donc nous aimer, nous courtiser pour elle seule, sans que l'on ai le moindre effort à produire, satisfaire tout nos caprices, sans autre motivation parfaitement désintéressée que de rendre hommage à notre "merveillosité" individuelle?
Question plus pertinente encore, qui est donc ce "nous" dont on parle, pourquoi et comment certains y sont-ils inclus et d'autres non ?
Pourquoi la fierté de conformité à la meute passe-t-elle pour de l'humilité quand la fierté d'être ce que l'on est passe pour de l'orgueil ?
La première ne tient-elle pas de l'arrogance des imbéciles ?
Et la seconde n'est-elle pas naturelle et au demeurant parfaitement saine.
Ce que l'on peut considérer comme de la maladresse peut en être, et l'on peut questionner ici cette exigence de performance littéraire, ainsi que sa contradictions avec le rejet des belles paroles illusoires... à moins que ces maladresses apparentes ne constituent une forme d'honnêteté radicale qui a juste le tort de ne pas être en phase avec une époque et les considérations majoritaires...
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@Lady Spencer, Je n'ai rien contre la morale, ce qui me gène c'est quand certains veulent la confisquer et l'écrire en solo, à leur guise. Comme je l'ai dit plus haut, il faudrait mettre un videur à l'entrée du site, au lieu d'y cultiver la paranoïa... Le "ressenti" c'est gentil mais c'est très subjectif...
J'ai parlé plusieurs fois de "morale moralisatrice moralisée", formule qui me sert à décrire une morale qui refuse toute éthique, toute réflexion sur les principes constitutifs de la dite morale. Les gens raisonnables se soucient des conséquences. Faire une chose est mal car cela fait du mal à quelqu'un, cela cause une souffrance. Mais nombreux sont encore les gens de par le monde à ignorer tout conséquentialisme. Soit on suit leur code arbitraire, soit on est immoral...
Zapper c'est bien, je crois qu'aujourd'hui les gens ne savent plus se taire... Chacun veut donner son avis même sans être concerné ou apporter quoi que ce soit au débat. Si tant est que le débat existe encore... Et quand on apporte du solide au débat, on parle dans le vide...
Je suis impatient de te lire sur le sujet de la domination masculine / féminine.
Caliméro... C'était pas le surnom d'un œuf vibrant ? ^^
Comme je le disais, au lieu de mettre des pancartes "danger" dans tout les coins du site, il faudrait plutôt surveiller les entrées pour qu'il devienne un espace serein...
Mais on devine pourquoi ce n'est pas le cas, n'est-ce pas ?
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@FEmmeFemelleEsclave, Je pose des questions qui contiennent clairement les réponses que j'apporte.
D'habitude, je m'épargne juste de retranscrire la part des interrogations pour livrer mes réponses.
Ce que tu trouves péremptoire. Peut-être parce que les questions t'échappent...
"ce que nous avons choisi d'être"... Je ne crois pas que l'on choisisse ce que l'on est, par définition, être c'est être quelque chose, et dès lors que l'on est ce quelque chose, je vois mal comment on pourrais le choisir, sinon comme une adhésion fière à ce que l'on est déjà... "Deviens celui que tu es" comme disait Nietzsche.
Le Libre-Arbitre comme absence de causalité des comportements est une fiction, je l'ai déjà expliqué...
"L'arrogante projection de l'égo"... Il faudra vraiment que je revienne sur ce sujet de l'arrogance... Un homme se met en avant, il est arrogant, une femme le fait, aucun problème... étrange asymétrie, mais j'y reviendrai.
"Chacun a sa place ici"... C'est peut-être le problème, peut-être qu'il faudrait vérifier les profils, mettre un videur à l'entrée du site au lieu d'y cultiver la paranoïa.
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Merci lasuccubebrat d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.