asiaToy

J'aimerais beaucoup réaliser ce scénario un jour, avec un domi qui me recevrait chez lui (ou même une domina, c'est facilement transposable) : "Vous me faites entrer chez vous, mais vous restez caché pour pas que je vous vois. Je me déshabille dans l'entrée puis vais dans la sdb prendre une douche. Puis je sors avec une serviette autour de la taille, m'allonge sur votre lit, lit un magasine 1mn, puis m'endors. Vous entrez alors silencieusement dans la chambre, m'examinez un peu sans me toucher, puis prenez mes bras, et attachez mes poignets au 2 coins supérieurs du lit (ou aux pieds du lit) Ensuite vous m'attachez les chevilles aux 2 autres pieds du lit, pour que je sois maintenu immobile en croix. Je suis toujours profondément endormi, alors vous me mettez une cagoule integrale en tissu sur la tête (j'en ai une que je peux ramener). C'est là que je me réveille et commence à protester. Je ne vois rien et mes protestations sont masquées par la cagoule. J'essaie de me débattre en vain. Puis vous commencez à caresser mon corps doucement, pour faire connaissance avec votre nouveau jouet sexuel, et voir où sont ses zones sensibles. Vous enlevez ensuite la serviette pour voir mon sexe, et commencez à caresser mon pubis sans toucher la bite. Vous caressez bien tout autour et vous amusez à l'effleurer pour voir mes réactions. Au début je chercherai à me dérober malgré les liens, mais finirai sans doute par souhaiter avec impatience que vous me caressiez enfin la bite, qui devrait déjà bien bander. Mais avant de me toucher là, vous attacher une cordelette autour de mes couilles pour bien les séparer de la tige, et tirez un peu dessus pour vérifier que tout est en place et que je me tortille bien de douleur. Une fois mes bourses bien bondées, vous mettez du gel sur ma bite et commencez à la branler doucement à pleine main, très lentement, pour bien me frustrer. Vous me dites "supplies moi si tu veux que j'aille plus vite". Je ferai non de la tête car je ne veux pas me rabaisser à ça, alors vous stoppez la branle. Vous serrez mes bourses d'une main, et me chatouillez aux aisselles, là où je suis le plus sensible. Je ne peux pas me débattre à cause de votre main qui maintient mes testicules et qui me fait trop mal quand je bouge, alors je ne peux que bouger la tête et pousser des cris, à la fois de douleur et de chatouilles. Vous me dites alors "supplies moi d'arrêter ou je continue". Au bout d'un moment, je serai obligé de vous supplier d'arrêter, et vous arrêtez de me chatouiller en lâchant mes bourses. Vous me remettez du gel sur la bite et reprenez la branle très lentement, pendant assez longtemps pour me voir lutter entre l'envie de vous supplier et le désir de pouvoir être bien branlé. Mais au moment où je vous supplies enfin d'accélérer, vous me dites "trop tard, j'ai envie de jouer avec une autre partie de ton corps." Vous lâchez ma bite, et glissez un doigt à l'entrée de mon anus, sans l'enfoncer. Avec l'autre main, vous reprenez les chatouilles sur mes aisselles jusqu'à ce que, à force de me débattre, je m'empale de moi-même sur votre doigt. Au bout d'un moment, vous ressortez votre doigt pour me mette du gel sur l'anus, puis placez 2 doigs à l'entrée et recommencez les chatouilles pour que je m'empale encore de moi-même. Vous me dites "supplies moi d'arrêter." Lorsque je vous supplies enfin d'arrêter, vous cessez de me chatouiller mais continuez les vas et vients dans mon cul avec vos doigts. Avec votre main libre, vous me branlez avec un peu de gel pour me récompenser de m'être soumis et de vous avoir supplié. La branle est un pur moment de bonheur malgré les doigts qui tourmentent mon cul. Je vous préviens instinctivement que ça vient et je tend mon bassin en avant pour laisser jaillir mon sperme. Mais vous stoppez net tout contact sur ma bite et me regardez gémir de frustration en tendant ma queue vers l'avant à la recherche de la caresse qui me libérerait. Mais en vain. Dans l'éventualité où vous vous êtes arrêté un peu tard, c'est alors un orgasme ruiné où vous verrez ma bite se contracter toute seule dans le vide et le sperme quand même expulsé, mais je ne ressentirai pas le sentiment de délivrance du vrai orgasme. Vous me laissez à peine le temps de souffler et reprenez la branle sur ma bite, alternant de longues périodes de mouvements très lents avec de petites périodes de branle normale. Je suis encore sur le point de jouir (je préviens toujours instinctivement), mais vous stoppez immédiatement tout contact sur ma bite, comme tout à l'heure. Je vais sans doute crier et me débattre tellement c'est frustrant. Vous laissez la pression retomber quelques instants puis recommencez l'edging, pour encore 1 ou 2 cycles, jusqu'à ce que je n'en puisse plus et vous supplie de me laisser jouir. Mais vous me dites "c'est bien, tu as compris ce que j'attends de toi. Mais pour jouir, il te faudra être plus méritant." Vous retirez alors les doigts de mes fesses et me détachez une jambe. Je crois que vous allez me libérer, mais vous attachez l'extrémité d'une petite cordelette autour de mon gros orteuil et ramenez mes chevilles contre ma cuisse pour me forcer à plier la jambe. Vous attachez l'autre extrémité de la cordelette autour de mes bourses. Je suis obligé de garder ma jambe ainsi pliée sous peine de m'arracher les couilles. Vous faites pareil avec mon autre jambe et attachez l'autre gros orteuil avec mes bourses de la même façon. Je suis obligé de garder les jambes pliées en permanence sous peine de me faire mal aux couilles, et forcé à dévoiler ma bite et mon anus dans cette position humiliante. Vous me laissez quelques instants ainsi à apprécier l'humiliation que je ressens, et vous filmez ou m'exhibez en webcam dans cette position. Vous appelez même plusieurs de vos amis en me montrant en vidéo et les invitez à vous rejoindre. En les attendant, vous continuez à jouer avec mon corps. Vous prenez alors un gode, le recouvrez avec une capote et du gel, et me sodomisez en douceur avec. Je suis encore très serré alors vous me pénétrez tout doucement, millimètre par millimètre, en appréciant de voir mon corps se raidir et toute mon attention focalisée sur ce corps étranger qui force mon anus. Au bout d'un moment, je bouge mon bassin pour essayer de me soustraire à la pénétration, alors vous tirez sur la cordelette autour de mes bourses pour que je me tienne tranquille. Une fois le gode enfoncé de moitié, vous me chatouillez de nouveau sous les bras jusqu'à ce que je me débatte assez pour m'enfoncer le gode complètement au fond du cul. J'aurais beau vous supplier d'arrêter, vous me répondez "enfonce le toi d'abord jusqu'au bout" et continuez à me chatouiller tant que le gode n'est pas au fond du cul. Une fois qu'il est en place, vous arrêtez de me chatouiller pour me branler un peu, en récompense de ma bravoure. Mais vous ne me laissez pas encore jouir. Vous commencez à faire des mouvements de vas et viens avec le gode et me branlez en même temps jusqu'à ce que je sois encore sur le point d'éjaculer . Mais vous stoppez encore avant, et remplacez le gode par votre bite, que vous recouvrez d'une capote. Vous me sodomisez en douceur tout en me branlant. Mais cette fois au lieu de stopper tout de suite lorsque je vais jouir, vous continuez un peu pour amorcer l'éjaculation, et vous me lâchez juste après pour ruiner mon orgasme et voir ma queue se contracter toute seule dans le vide. Vous appréciez de sentir mon anus se contracter autour de votre bite et de voir mon sperme sortir de ma queue sans que je ne ressente le bonheur du vrai orgasme. Je gémis et me débat suite à cette terrible frustration. Vous attendez quelques secondes que je reprenne mon calme, puis vous recommencez à me branler, tout en labourant mon cul. Il se peut que vos invités arrivent à ce moment, et vous continuez à jouer avec mon corps à plusieurs. Vous me forcez ainsi à subir plusieurs orgasmes ruinés successifs, jusqu'à essayer de me faire jouir à sec. Mes suppliques ne feront rien, vous ne me laissez pas avoir de vrai orgasme libérateur. Tout au plus, vous pouvez avoir pitié de moi et acceptez d'arrêter les sodomies, mais vous ne me branlez jamais jusqu'au bout, et vous arrêtez toujours dès la 1ère contraction. Lorsque je serais épuisé ou à sec, vous attendez que vos invités s'éclipsent, puis vous revenez caresser ma bite molle pour voir si elle réagit encore. Si elle rebande, alors vous la branlez lentement en accélérant le rythme, dans le but de la faire jouir avec un vrai orgasme libérateur. Une fois les dernières contractions éteintes, et peut-être une dernière goutte de sperme expulsée, vous continuez à branler ma bite pour une petite torture post-orgasme. Pour moi ce sera insupportable, et je crierai et me débattrais en vous suppliant d'arrêter. Après ce dernier orgasme, ou si ma bite est restée molle, vous la prenez en photo comme un trophée, pour me rappelez plus tard que j'ai été vaincu. Vous arrêtez alors de me torturer en me disant : "c'est bien, tu as été brave, tu mérites une petite douche." Et vous me libérez pour que je parte prendre une douche pendant que vous vous cachez quelque part pour pas que je vous voies. FIN"