Avec une cage en silicone, tu peux essayer de talquer, ou de graisser avec quelque chose de durable (style vaseline).
Essayes de passer une testicule après l'autre : )
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Eh bien, voilà !
Edit : lien récent
http://www.ladepeche.fr/article/2017/06/07/2589373-sanction-csa-touche-poste-prive-publicite-pendant-3-semaines.html
C'est pas moi qui ira pleurer à la censure : )
Note : la sanction concerne le sexisme (pas l’homophobie mentionné par le post à l'origine de ce thread)
Petit troll au passage : allons-nous en profiter pour remercier le CSA et Messieurs les censeurs pour ce bon boulot ? : ) Ils le mériteraient, non ?
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Bonjour,
Pour ma part, je considère qu'on peut rire de tout. Mais jamais "au détriment de".
Parfois, la différence est subtile, et faire de l'humour requiert de la délicatesse quand le sujet est clivant, ou qu'il 'cible' une minorité. Et parfois, c'est raté pour très peu de choses (cf. les débuts du dérapage de Dieudonné).
Donc, OK pour être un minimum tolérant, et les professionnels ont le droit à des ratés, parfois.
Par contre, les gros lourdingues qui en font leurs choux gras à répétition, dans l'entre-soi... Bof bof bof.
Pour ce qui est des sujets abordés, je ne vois pas pourquoi certains devraient être prohibés.
Evidemment, c'est d'autant plus difficile quand le sujet est sensible (holocauste, hommes/femmes, juifs/musulmans, homophobie, etc.)
Mais quand c'est réussi, c'est tout de même plus satisfaisant que 'c'est l'histoire de toto qui va aux cabinets'...
Non ?
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Je cherche un maitre, pour une relation D/s, entre 35 et 45 ans, autoritaire mais raffiné et subtil, qui saura faire face à mon fort caractère, afin de me dominer.
Je cherche à vivre ma soumission au travers d'une vraie vie de couple, avec un homme au physique agréable.
Je ne répondrai ni aux personnes sans annonce, ni à celles ne répondant pas à mes critères. .:.
Bonjour Lady Spencer,
Dire que les hommes sont indélicats revient au même que de dire : les femmes versent dans la sensiblerie, ou bien sont fourbes en édulcorant ce qu'elles pensent vraiment.
Ce n'est pas très agréable à recevoir, n'est-ce pas ?
Voilà pour la délicatesse de la question posée ;)
Mais vous ne pensiez pas sérieusement offenser quelqu'un en écrivant ça, me trompé-je ?
Je vous laisse réfléchir là-dessus.
Plus sérieusement, je vais bien entendu dans votre sens s'il s'agit de conclure que les mâles sont, en moyenne, moins pourvus que la gente féminine en matière de délicatesse.
MAIS. Votre question jauge la délicatesse à l'aune de la référence en la matière : les femmes. Et en l’occurrence, par quelqu'un que j'en suppose généreusement dotée.
Donc, par contraste, évidemment...
De là à décréter qu'il n'en ont absolument aucune... Excusez-moi du peu, mais non !
Si tel était le cas, pourquoi ne déféquerions nous tous pas dans la rue ('nous' les rustres mâles) ?
Que voulez-vous... Voici d'autres généralités, ni moins vraies ni moins fausses : on console les petites filles qui pleurent et on réprimande les garçons... en leur disant que c'est un truc de filles. On nous apprend à être durs, à être forts, à prendre des coups, quand bien même ça nous cabosse parfois au passage. A protéger, à être ceux qui agissent et prennent les décisions. Pas le temps pour le verbiage quand il s'agit d'être dans l'action. Directs et efficaces, y compris dans le langage, voilà des qualités 'masculines'. Il faut bien un revers à la médaille...
Tout ça sans que j'affirme que nous vivions dans le meilleur des mondes, évidemment.
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Sinon, pour résumer le sujet du thread et forcer un peu le trait, il y a ça :
https://youtu.be/xM4Ax9tLHFQ?t=54s
Et pour une attitude masculine un plus positive, pour les anglophones :
https://www.youtube.com/watch?v=PvLz5kCVIss
Je vais poster ce dernier lien sur le mur général, je pense :)
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Ouuuuhh le vilain choix de mots !
Heureusement qu'on assume de se faire traiter de porcs :p
Moi je dis, ré-équilibrons la balance immédiatement : les truies d'un côté, et les lions de l'autre.
Elle.a, vous qui aimez l'équilibre, je compte sur votre "J'aime" !
Edit : Gruiiiik !
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Voilà un truc pêché sur internet qui montre avec tact et "bon mauvais goût" que les femmes peuvent être aussi grossières que les hommes quand elles veulent reprendre leurs codes. Sauf qu'a priori ça ne les intéresse pas (et c'est tant mieux).
https://www.youtube.com/watch?v=xVT3_BXRNVQ
Je trouve ça très bon, au premier, au deuxième et au dernier degré.
Et je trouve ça bien plus efficace et intelligent que "gna gna gna, les hommes ils sont tous nuls" ou "oh le méchant vilain mot, me voila offensée".
J'espère que vous rirez autant que moi (enfin, il faut aimer le rap et le second degré).
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ici pour faire des connaissances interessees par les relations d/s ou vanille .:.
Marina... Je vous fait gentiment remarquer que vous citez un homme pour résumer vos pensées de femme.
Juste en dessous d'un post fustigeant le "mansplaining", je goûte l'ironie avec délice :)
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Je fais ce que je peux ! :D
Parfaitement. Et c'était exactement mon propos. Mais relisez le sujet du thread. Il est étroitement focalisé sur le mot. C'est cela que je conteste, et vous... vous êtes dans le vrai, mais hors sujet.
Moui. C'est vrai. Et alors ? Vous voulez ouvrir le débat ? Allons y en grand alors !
"Pervers", "obsédé", "enculé". Les équivalents féminins sont dissymétriques ou inexistants, vides de sens. Où sont les forums féministes qui veulent s'en occuper ?
Moi, j'ai la prostate sensible et coquine. Si vous pouviez me trouver un mot respectueux qui résume la pratique, sans paraphraser ni utilser des termes médicaux, et sans renvoyer à l'homosexualité (que je resepcte mais n'en suis pas), je vous en saurais gré.
Question subsidiaire : où sont les forums féministes qui défendent le droit des hommes ? Le combat féministe est-il une invitation au respect mutuel (je suis pour), ou bien une défense sexiste du droit des femmes ? En terme de droit, je rappelle qu'il n'y a plus aucun référence au sexe ni au genre dans les codes pénal et civil.
Et pour autant...
Attendez, attendez, j'ai mieux pour tous les défenseurs des égalités en droit : où sont les féministes qui militent pour que les hommes puissent imposer l'IVG s'ils sont le père biologique (c'est bien LEUR progéniture à tous les deux, après tout, non ? :) Je devrais ouvrir un thread là-dessus, mais je n'aime pas trop me faire lyncher...
Et tiens, tant qu'on y est, il faut aussi militer pour introduire le genre neutre dans la langue française. Pourquoi 'UNE' chaise ? Pas féminin, ça. 'UNE' couille. Damned ! La vie est mal faite... Allez zou, au neutre ! Ce serait une très bonne idée - et là, je suis sincère - mais je ne m'en sens ni la force, ni le courage.
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Elle.a, je suis d'accord avec vous. Et des fois qu'il y ait eu confusion, je précise : je n'ai pas dit que vous étiez ridicule, et j'ai encore moins dit que la cause que vous défendez l'était.
Je discrédite la méthode (se focaliser sur un mot et réclamer son bannissement du langage), que je trouve inefficace, et à vrai dire absurde. Je ne discrédite pas l'engagement de fond, au contraire.
Martin Luther King dans son fameux discours a dépeint la vision du monde qu'il voulait voir advenir. L'inventaire est très long, et aurait tout à fait pu inclure dans la liste un "je rêve qu'on ne me traite plus de nègre".
Pourrions nous convenir que si son discours s'était restreint au bon usage du mot "nègre" ou à viser son interdiction, alors ce discours n'aurait pas eu la portée historique qu'il a eu ?
C'est là mon propos.
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Pas d'accord :)
Personnellement, je me vois bien lutter contre le schéma en utilisant le mot lui même : "les femmes ne sont pas (toutes ^^) des salopes". Ca passe bien, non ? (merci de ne pas polémiquer sur le 'pas toutes' que j'ai volontairement laissé). Et puis, 'salope' c'est un problème, mais 'connasse', ça va ? Ridicule...
Se priver du mot c'est appauvrir son vocabulaire, même les jurons. Le jour où aucun homme n'aura ni rancune ni colère envers une femme, le terme - celui là et tous ses confrères - disparaîtront. Corollaire : le jour où ça arrivera, c'est que tous les hommes seront indifférents envers les femmes. Je ne suis pas pressé.
Se focaliser sur le mot, c'est prendre le problème par le tout petit bout microscopique de la lorgnette.
Un combat 'féministe' intelligent, pour qu'il y ait respect mutuel entre les genres ? Je dis cent fois oui. Celui là ne me semble pas en être un.
Au passage, pour ceux qui se souviennent de 'La vie est un long fleuve tranquille' :
https://www.youtube.com/watch?v=KxeQisjXDjo
J'en ris encore ! Vous aussi, n'est-ce pas ? :)
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J'ajoute : l'injure a au moins le mérite de donner un exutoire à une violence qui, exprimée autrement, aurait tôt fait de se transformer en passage à l'acte...
Si vous voulez bannir les sentiments de colère et de haine, je suis avec vous. Mais s'il suffisait de le décréter ou de museler le langage pour que le bonheur soit réalisé sur Terre...
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Je ris. C'est une lutte de pouvoir pour définir le terme ? Une volonté de lui mettre un copyright ?
Le language est un bien étrange objet, qui a sa vie et son évolution propre, et que personne ne possède, et encore moins se targuer de contrôler, même pas notre Vénérable Académie qui ne peut au mieux que se borner à constater et enregistrer son usage (ce qui me semble utile, tout de même).
Pour 'se battre' sérieusement contre un mot, et lui conférer le sens qu'on voudrait qu'il porte, le mieux serait d'écrire des livres, des articles ou des nouvelles, plutôt que d'en débattre en cercle feutré. Des écrits qui le mettraient en scène et l'introduirait subtilement dans le contexte opportun qu'on veut lui conférer, pour lui rendre ses lettres de noblesse déchues par de rudes et grossiers personnages...
Mais fi ! Quand bien même le succès serait au rendez-vous, lesdits grossiers personnages dépossédés de leur terme préféré auraient vite fait de s'en trouver un autre : n'y a-t-il pas pour eux nécessité d'exprimer leur mépris/vulgarité/sexisme/violence (rayez les mentions inutiles si vous en trouvez) ? Ainsi fonctionne une langue vivante, outil d'expression des sentiments qui varie au gré des usages que l'on en fait...
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Peut-être, peut-être pas. Nous serons morts et enterrés avant que cela soit une réalité ET une pratique communément admise et acceptée. Techniquement, nous pourrions dès aujourd'hui choisir le sexe et la couleur des yeux, etc. de nos enfants. La société ne l'accepte pas, sauf indication médicale, que vous soyez pour ou contre. Moi je trouve ça bien.
J'attends en revanche avec impatience la pilule pour les hommes ! Enfin ! Ne plus se faire faire des enfants dans le dos ! Voilà qui libérera les hommes...
Je suis heureux que vous qualifiiez ça d'horreur :)
Rassurez-vous, comme pour l'eugénisme, ce n'est pas pour demain.
Vivre avec son temps, c'est aussi ne pas tomber dans le 'futurisme'
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Vous êtes d'une mauvaise foi confondante....
Les femmes sont les seules qui PEUVENT porter un enfant. Rien ne vous y oblige en tant qu'individu, mais les hommes, eux, ne peuvent pas.
Ai-je ne serait-ce qu'impliqué qu'une femme sans enfant n'en est pas une ? Non.
Crevez de rire la tête dans le sable, mais sans femme pour enfanter, c'est la fin de l'humanité. C'est normal et inévitable que la société s'organise autour de ça, indépendamment de votre désir personnel, qui est bien entendu respectable.
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Je plussoie ardemment. J'ai une sainte horreur de la télé, de ce qu'on y voit, ce qu'il s'y dit, et de l'emprise qu'elle a sur notre pensée et notre inconscient collectif.
Bien utilisée plutôt qu'au service de Coca-Cola et des pulsions les plus médiocres, quel outil formidable c'eut pu être !
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L'histoire du sac n'était qu'un exemple vécu, en même temps qu'une analogie. L'exemple de la force physique me paraissait pertinent pour argumenter sur les différences biologiques qui sont - en moyenne encore une fois - indéniables.
Maintenant, pour ce qui est du marché du travail contemporain, voici des faits : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2013-009.pdf
Ce n'est pas moi qui les invente.
Et il y a les congés maternité, bien entendu. Que je ne remets absolument pas en cause, évidemment !
Mettez vous deux secondes dans la peau d'un employeur.
Et je vous accorde que, tous ces facteurs pris en compte, il reste un biais de sexisme. Mais il est bien moindre que vous ne l'imaginez.
Certains postes nécessitent d'être debout, ne vous déplaise. Les hommes sont bêtes, ils font le boulot sans rechigner ? Est-ce là votre argument ? : )
Les bourricots, ce sont eux qui vident vos poubelles, bougent vos meubles et construisent vos maisons. Un peu de respect pour eux. Et très peu de femmes semblent avoir envie de prouver qu'elles peuvent le faire aussi... Quant à moi je suis ingénieur, je vous invite à venir tater mes neurones : ) En tout bien tout honneur !
Je ne vais pas défendre le machisme, et il est en effet regrettable que quiconque bave sur qui que ce soit en asseyant sa domination quel qu'en soit le prétexte, qu'il soit avéré (la force) ou non (l'intellect). Je suis avec vous sur ce point.
Vous noterez quand même que, la différenciation des rôles dans la société en fonction du genre date de... toujours. Les femmes s'occupent du foyer et de la progéniture, et les hommes chassent et protègent. Des dizaines de milliers d'années durant. Ce n'était pas un hasard, mais une nécessité.
En fait, le terme 'machisme' est apparu récemment quand les technologies ont permis de mettre entre parenthèse l'avantage que conférait la force physique pour la majorité des travaux productifs. L'organisation homme/femme de la société en général, et des emplois en particulier, est alors devenue illégitime. D'où les premières revendications féministes du XXème siècle, progressistes et bienvenues.
Vous parlez ensuite de "valeur" des femmes. Eh bien, il y a de grosses inégalités... Mais cela dépend de quelle valeur nous parlons. Les compétitions sportives séparent TOUTES hommes et femmes. Sinon les femmes seraient hors jeu et elles seraient invisibles. Ce qui n'empêche pas que n'importe quelle athlète féminine me bat à plate couture.
J'ai déjà adressé la question de la valeur purement économique dans le domaine de l'emploi.
Je vous rejoins sur le fait que des pans entiers de l'économie sont masqués car non rémunérés objectivement, et n'en sont pas moins du travail : tâches domestiques, éducation des enfants. Et que, notamment sur ce dernier point, il faut beaucoup de courage, de patience et de persévérance, ce dont les femmes ne manquent aucunement.
Edit : mon propos n'est évidemment pas d'essentialiser les femmes (ni les hommes), ni de les confiner ad vitam dans leur rôle historique. Je donne des faits actuels, et tant mieux si les lignes bougent à l'avenir. Mais celà prend du temps. Et c'est toujours les femmes qui porteront en elles nos enfants. Si ce n'est pas une différence, ça !
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