Sonnet de l'acrobate
Un jour tu m’as écrit, tu as capté mes yeux
J’étais le jeune inscrit, je me suis vu joyeux
Moi dominant conscrit, j’ai lu tes mots soyeux
Ouvre toi manuscrit, dès lors lisons curieux
Les premiers mots, tu m’as exprimé tes craintes
Nous avons parlé de tout, et surtout de rien
Jamais vain, tu m’as marqué de ton empreinte
Depuis, de ton coeur, je me suis fait prétorien
Ô muses, vous m’avez fait croisé son chemin
Ses manières qui me disent de vivre le lendemain
Foulons le chantier glorieux, suivons le chemin
Nos doigts croisés amènent un avenir harmonieux
Sous le regard des dieux nous sommes des fidèles pieux
Ouf ! La nuit ! Nos ébats seront irréligieux.
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