Publication BDSM
À toi qui m'a écrit ceci...
Dans le silence vibrant, où l'écho des mots se dissipe,
Les nuages dansent, ombres éphémères,
Tissent des rêves sur les rivages de l’oubli,
L'adieu se murmure, dans un souffle de prière.
Le roi lyre, symbole d'harmonies perdues,
Sa musique s'éteint, comme un parfum de roses,
Les accords flottent, dans l’air suspendus,
Et le temps s’arrête, le cœur explose.
Étourdi par la mélodie des instants,
Le silence se pose, tel un voilier à l'horizon,
Jusqu'à ce qu'une étoile, au loin, scintille lentement,
Rappelant l’éclat des souvenirs en filigrane.
Dans ce paysage de tristesse et de beauté,
Les battements du monde se font discrets,
Et chaque nuage devient un reflet doré,
D'un passé révolu, où la musique s’apprêtait.
Alors, du fond des cœurs, monte un chant discret,
Un hommage au roi, à sa lyre éteinte,
Au silence étourdissant, aux ombres qu’on regrette,
Dans la poésie des cieux, une éternelle complainte...... lentement je m'éteins, restera les mots laissés tels des petits cailloux blancs.
Au bout du chemin ....
Un mandala, il était une fois, une vague idée d'humanité.
Je te réponds cela...
Dans le bruit immense, où l’écho des mots se meure ;
Les nuages qui stagnent, tels des ombres lourdes,
Tissent des cauchemars sur les rives de la mémoire,
L’accueil se crie, dans un souffle rédempteur.
La reine harpe, symbole des chagrins revenus,
Sa musique s’envole, comme des volutes de fumée,
Les harmonies coulent, dans les eaux abyssales,
La vie continue, mais le cœur s’éteint
Empoisonné par la malsaine mélodie,
Le brouhaha se pose, tel un radeau de la méduse
Jusqu’à ce que le néant… au loin, l’engloutissant lentement,
Rappellent les douleurs passées.
Dans ce paysage de douleurs et de laideurs,
Les battements du monde ne sont qu’immoralités
Où tous les nuage deviennent les pierres noires
De ce passé inachevé, où la musique larmoyait.
Alors, du fond des cœurs, germe un chant de révolte,
Un hommage à la reine, à sa harpe mourante,
Au silence des défaites et aux ombres des batailles qu’on regrette…
Dans la voix du destin, un éternel poème… lentement je m’efface, restera la ritournelle des maux tels des petits cailloux noirs.
Au bout du chemin…
Un dessin, il était une fois, une vague idée d’une bestiale animalité.
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Enkaje
Dans le doux murmure du vent léger,
Je te souhaite la paix, un doux abri,
Que chaque instant soit un chant apaisé,
Où l'âme danse, libre et épanouie.
Que les lourds fardeaux s’évanouissent,
Légèreté d’être, comme plume dans l’air,
Que l’amour t’enlace, que l’espoir fleurisse,
Et que le bonheur t’accompagne,
Le temps est venu
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24/12/24

SaraKajiraPanthère
C’est au cœur du rugissement de la tornade,
Bercée par son tumulte,
Que j’ai trouvé paix, quiétude et abri.
C’est de son centre silencieux,
Que mon âme délestée de ses fardeaux,
Et mon esprit lavé de ses peines,
Prennent leur envol.
Mon Essence se faisant légère
Se met à virevolter comme une plume…
Et mon Moi en s’élevant
Se laisse enlacer par le bonheur,
De l’amour de soi pour aimer les autres.
Le temps de la paix intérieure est enfin venu…
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24/12/24
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