Bonjour,
Soyez le bienvenu !
Soyez la première personne à aimer.
Bonjour,
Je vous souhaite la bienvenue !
On sera nombreux à pouvoir répondre à vos interrogations si vous en avez.
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Mais qui fait une fixation sur un entrejambe ? Décrochez un peu. Puis calmez-vous enfin.
Je vous parle DSM et critères cliniques et vous m'attribuez des trucs de Stern et Moutot ? Et que vient faire la droite là-dedans ?
Vous êtes sûr que ça va ?
À nouveau, arrêter votre délire de persécution, c'est ridicule.
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Chouchou, on m'interroge, je réponds.
Tout va bien avec les trans : j'ai un problème avec les malhonnêtes et assimilés. Est-ce ça, "les gens comme vous" ?
Aucune intolérance : j'ai énoncé un fait. Que vous avez validé a posteriori.
En fait, dire "tatata tu ne me parles plus" puis me calomnier, ça ne peut pas fonctionner.
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Elle est extrêmement puérile. Elle va de pair avec le reste du discours, elle ne vous irait pas.
Je ne suis pas "buté". Je refuse de me faire imposer des dogmes qui ne me concernent pas.
Je refuse qu'on ordonne une déférence à tous, sous prétexte que c'est à la mode.
Demain, je mets une perruque et je m'identifie en tant que femme, j'aurai enfin le droit de me comporter comme le salaud moyen ? C'est non.
Pour le reste du discours : ma femme m'appartient. Autant que je lui appartiens. C'est notre contrat, il n'est pas bien récent, certains diraient désuet même : ça s'appelle le mariage. Mais on est un peu des rebelles.
Faire ce qu'on veut avec son corps ne me dérange pas. Laissez faire les autres ne me dérange pas. Se créer des droits, des privilèges, et les astreindre à d'autres me dérange.
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Est-ce une menace de viol ?
Une personne identifiée homme, qui ferait une remarque similaire, prendrait une vague de commentaires pour le remettre à sa place, et/ou serait banni.
Quelle surprise, el famoso "ah oui il a sûrement des problèmes d'identité". Généralement, les gays proposent ensuite d'essayer, mais bon on est déjà passé aux insultes de bonhomme alors j'imagine que ce ne sera pas le cas ?
Pour ce qui est des soucis : ne prenez pas votre cas pour une généralité. Merci. Selon les critères médicaux, la dysphorie de genre, le trouble mental, ne concerne que 0,005% à 0,5% de la population.
Donc ça va. Après, on a tous les nôtres.
Cessez votre délire de persécution : PAmandine poste une annonce pour chercher du sexe, ille ne précise pas qu'il a une queue (sauf pour menacer de m'enculer !) et c'est moi qui a un problème ? huhuhu.
Je n'ai jugé ni la valeur de la personne, ni son parcours, ni sa recherche.
Je fais les mêmes remarques aux hommes qui viennent "chercher des rencontres discrètes" en précisant qu'ils ont dû "oublier" de mentionner qu'ils étaient mariés, et que leur femme n'était pas au courant.
L'indignation du politiquement imposé et les justifications qui s'ensuivent sont avoureuses. D'autres allégeances ?
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Bonjour,
je vous souhaite la bienvenue !
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Version courte : "Alors, profite juste de ce que tu es. On se fout de l'avis des autres." sur ça je suis d'accord, tant que ça respecte pleinement les autres, peu importe le domaine duquel on parle.
Pour la suite :
Sans offense, je pense que votre point de vu est basé sur votre expérience personnelle et pas sur la littérature scientifique, qui indique un certain nombre de facteurs génétiques, biologiques, environnementaux. A l'inverse, aucune étude sérieuse à ma connaissance n'indique que le facteur sociétale suffise.
Je vous mets l'avis de Grok, avec qui je suis d'accord.
Facteurs biologiques et génétiques :
Plusieurs études suggèrent une composante biologique dans l'orientation sexuelle. Par exemple, des recherches sur les jumeaux (comme celles de Bailey et al., 1991, publiées dans Archives of General Psychiatry) ont montré que les jumeaux identiques (qui partagent 100 % de leur ADN) ont plus de chances d'être tous deux homosexuels que les jumeaux fraternels (qui partagent environ 50 % de leur ADN). Cela indique une influence génétique, bien que non exclusive. Une étude plus récente (Ganna et al., 2019, publiée dans Science) a analysé le génome de centaines de milliers de personnes et a identifié des variantes génétiques associées à l'homosexualité, mais elles ne permettent pas de "prédire" l'orientation sexuelle de manière déterministe. Les gènes joueraient donc un rôle partiel.
Développement prénatal :
Certaines hypothèses pointent vers des influences hormonales pendant la grossesse. Par exemple, l'exposition à certains niveaux d'androgènes dans l'utérus pourrait influencer l'orientation sexuelle. Des études sur les différences dans les structures cérébrales (comme celle de LeVay, 1991, dans Science) ont montré des variations dans l'hypothalamus entre hommes hétérosexuels et homosexuels, suggérant une base biologique précoce.
Facteurs environnementaux et sociaux :
Bien que les facteurs biologiques soient souvent mis en avant, l'environnement postnatal (éducation, culture, expériences personnelles) peut aussi jouer un rôle dans la manière dont l'orientation sexuelle se manifeste ou est perçue. Cependant, les théories selon lesquelles l'homosexualité serait uniquement "apprise" ou liée à des choix conscients ont été largement discréditées par la communauté scientifique.
Consensus actuel :
La plupart des chercheurs s'accordent à dire que l'orientation sexuelle résulte d'une interaction complexe entre des facteurs biologiques (gènes, hormones) et des influences environnementales, mais qu'elle n'est pas un "choix" volontaire. L'American Psychological Association, par exemple, affirme depuis des décennies que l'homosexualité est une variation naturelle de la sexualité humaine et qu'elle n'est pas une pathologie ou une décision consciente.
En résumé, les publications scientifiques penchent vers l'idée qu'on ne "naît" pas homosexuel au sens strict d'un déterminisme absolu, mais qu'il existe des prédispositions biologiques qui, combinées à d'autres facteurs, influencent l'orientation sexuelle. Si tu veux des références précises, je peux te guider vers des articles spécifiques comme ceux mentionnés ! Que penses-tu de cette synthèse ?
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J'adore.
Vous êtes tellement vertueux, je suis admiratif.
Au fait, c'est vous qui faites des dramas. J'ai juste écrit deux commentaires d'une ligne.
J'ai promis d'être élégant, c'est dur. M'enfin, ça force à être inventif !
@HCL quelle brillante réponse ! Mais normalement après le CE1 la réponse "he ben toi tu as rien dans le cerveau nananère" n'a plus cours. Pour ce qui est des opérations, renseignez-vous sur les pis-aller, ou bien mieux encore : aller vérifier, c'est l'occasion ou jamais.
"Petite amandine dans ca presentation dit : Pronom "Elle" Aucune femme ne preciserait cela." attendez attendez attendez, vous voulez dire que bien qu'elle s'identifie en tant que femme vous dites qu'elle n'en est pas une car elle possède un pénis ? Quitte à être une serpillère à la mode, faites-le correctement.
Quand on trouve normal de préciser un pronom, mais pas les attributs sexuels, je crois qu'on a un problème :')
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Faites donc, pour le signalement et la proposition. Ca ne changera rien aux faits.
On y renonce parce que c'est une boucherie qui n'est qu'un pis-aller et une manne financière pour des cliniques, ici payé par la sécu ? Non ? Zut.
Abjecte, abjecte... Certains diraient "francs", voire "réaliste". Ca demeure un point de vue.
Soyons clair : sur les 300 affichages de post, combien ont eu le même avis que moi..? Sans compter les plus nombreux, qui n'ont même pas ouvert. Je fais vivre un peu le forum, remarquez que mes accueils similaires à celui-ci, engendre systématiquement des retours de soutiens, le signalement de vertu, c'est toujours à prendre. Combien d'autres posts disparaissent sans réponse..?
Merci de la proposition.
J'ai assez vu d'engin, ou de résultats de chirurgies "réparatrices" pour me permettre de décliner. Un intérêt médical morbide, certes, au-delà...
Le politiquement correct l'imposerait, de force et avec des menaces, chez ces courants-là ( https://www.lejdd.fr/societe/terrorisme-trans-un-manifeste-dextreme-gauche-appelle-au-meurtre-de-marguerite-stern-et-dora-moutot-150679 )... Mais la loi ?
En bon stoïcien, je constate, j'énonce uniquement. Ce n'est pas gentil. Mais est-ce obligatoire d'être gentil ?
En réalité, le problème, c'est vraiment ma manière de le dire, ou le sujet ?
Je tenterai d'être élégant la prochaine fois, je promets !
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Quand je parle de manque d'honnêteté, je parle avant tout d'un manque d'honnêteté envers soi-même.
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Ah, donc, il faut ouvrir la présentation, puis ouvrir les profils pour vraiment avoir une présentation ?
Mince, zut, l'accueil ?! Où avais-je la tête ? Ah en fait non, je ne suis pas agent d'accueil, ça va.
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La présence d'une bite dans votre culotte.
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Libération de la parole ou pas, c'est plutôt la science qui permettrait de dire si oui ou non on nait homo. Avoir un avis ne suffit pas.
Curieusement, des lobbys d'une force importante aide à "libérer la parole", ou bien... À en faire taire d'autres.
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Et la mise en page a encore sauté. Pénible ce forum !
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Bonjour, soyez le bienvenu !
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Intime Photographie a répondu à la discussion "Du BDSM fleur bleu avec maîtresse chat et souris." de Petite Souris.
8 enfants au total et le temps d'aller en club libertin ? J'admire...
Bienvenu !
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Pardon, je vais être direct.
Les attachiantes, soumises ou pas, pour moi émanent généralement d'un manque de maturité et d'honnêteté.
Si j'engage une relation, je mets les choses au clair et on part sur cette base. Les "tu veux ou tu veux pas", se cacher derrière une timidité, ou bien vouloir quelque chose mais ne pas l'assumer et forcer l'autre à le faire pour se dédouaner : c'est fatiguant, d'une part. Et ça mène -dans nos disciplines- à de possibles abus, d'autre part.
Soit elle a dit qu'elle accepterait les ordres et elle les accepte, soit elle me dit non. Si elle me dit non, je fais quoi ? Je la force ? bah non. Sauf si elle a précisé qu'elle veut être forcée, mais il faut être honnête sur ce point.
Est-ce un manque d'attention ? Pareil, soyons honnête et disons qu'on a besoin d'attention !
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Bonjour,
Je comprends en partie le raisonnement, mais vous semblez restreindre les possibilités dès le départ.
Dans la plupart des cas, lorsque je pratique le bondage ma soumise n'est pas immobilisée ! C'est une piste sérieuse dans votre cas, sauf si ce que vous cherchez est l'immobilisation.
Dans ce second cas, j'opterais pour des ciseaux d'urgence et une main forcément libre. Ou bien une main attachée très légèrement, pour le principe quoi, mais qui peut se délier et rejoindre les ciseaux.
J'ignore ce que vous utilisez en menottes et chaînes, mais un cheval aurait de la peine à casser les nôtres... Surtout sans se blesser !
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Bonjour,
Je ne suis pas certain de l'approche, mais je vous souhaite bon courage.
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