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Salouna

Homme switch. Vit à Yerres, Île-de-France, France. 37 ans. est célibataire.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 01/03/21
Elle pénétra sa demeure. Chaque porte-fenêtre était condamnée par de grands volets blancs laqués. Chacun scellé par un cadenas d'or. Elle était là, piégée dans son temple, une brise cavalant à l'échine. Elle sentait poindre cette délicieuse inquiétude de l'épiderme aux aguets. Sa chair ondulait du dedans. - Es-tu vraiment sorcier ? Demanda-t-elle - Je suis ton intime grimoire.. S'amusa-t-il. Il imposait de ces regards malicieux qui inspiraient qu'on s'y soumette. - On dit que tu te changes en bête, en femme ; en toute créature que ta fantaisie convoque.. - Suis-moi ! Répondit sobrement Akenos. D'entrée de jeu, Sofya découvrit son boudoir. Elle ne voyait que le lit, le grand lit qui semblait les attendre. Elle s'allongea bien vite sur le flanc, sous le règne d'un parfait silence.. Sofya sentit bientôt le poids du corps d'Akenos creuser l'épaisseur du pageot. Il était venu se poster derrière elle sans un mot ; tout près.. Le silence implacable trahissait la respiration de Sofya ; son impatiente, son désir et sa peur. Son coeur cognait à fendre-sein. Akenos porta sa main à l'épaule de Sofya qui retint son souffle. Il fit glisser lentement la tunique le long de son bras et laissa la belle ainsi, quelques instants distendus. Tel une caresse de plume échappée du bercement des pesanteurs, il déposa très doucement un baiser délicat sur son épaule douce. Elle n'en pouvait plus de retenir son souffle, elle souhaitait le laisser galoper.. Akenos embrassa son encolure. Il semblait disperser ses baisers comme autant de pierres dessinant un parcours dont il faudrait -tôt ou tard- revenir sans trop d'encombres.. A présent, Sofya sentait le visage du garçon proche du sien. Elle voulait être la proie dont on se saisit, qu'on traine jusqu'à la tanière. Elle rêvait de se faire dépecer ; qu'un homme possédé par une ferveur reptilienne du fond des âges, la dévore tout entière… Elle lâcha un soupir de langueur, largua ses amarres au long cours.. Akenos la retourna brutalement. Elle ferma aussitôt les yeux. Elle sentit le visage de l'amant qui s'approchait tandis qu'elle détournait le sien. Sofya prenait plaisir à se défendre. C'était un apéritif de circonstance avant l'exultation de sa défaite annoncée. Il l'embrassa aux entournures puis descendit sur son sein gauche. C'était le plus sensible des deux ; le plus doux, le plus dense, le plus débraillé ; Sofya avait pour elle l'insolente fraicheur, l'irrésistible outrage de la fleur de l'âge. Ses seins si pleins, si ronds, semblaient éclore de sa tunique comme autant d'audaces, comme autant d'hypnoses rendues à la voute céleste. Le cratère de son volcan se trouvait à présent dans une bouche pleine de lave ! Akenos faisait tournoyait sa langue de vipère tandis que ses doigts ondulaient sous l'arc infiniment doux du sein de la belle.. Son esprit flambait déjà comme une étable sèche dans un été torride. Brusquement, une parcelle du vêtement de Sofya céda comme peau-morte: Akenos venait de déchirer l'étoffe d'un geste violent. Sofya gisait, le poitrail à l'air. Elle était l'agneau du sacrifice sur l'autel du mâle. Elle entrouvrit les yeux et fit la moue. Sa bouche esquissait des non-dits: Qu'attends-tu ? Dévaste-moi ! Prends-moi sauvagement, de toute ta fougue ! Crache-moi tes vices !! Akenos -féroce- plaqua sa bouche sur ses lèvres fiévreuses. Elle le repoussait en vain du plaisir de sentir son torse imposer son poids, sa force et sa loi. L'ivresse montait en elle. Chaque baiser fougueux était une gorgée d'alcool ; de ces alcools intenses qu'on distille entre amants parmi les herbes folles. Sofya sentait ses cuisses goutteler : elle n'avait jamais vu de sexe d'homme autrement qu'en mosaïques parmi les arabesques du palais. A présent elle désirait ardemment sentir la chaleur d'un sexe mâle contre sa cuisse, contre son ventre, contre son sein.. Elle flairait les vapeurs nouvelles émaner d'Akenos. Elle voulait garder cette odeur, ce parfum exquis et rance sur le buvard de sa peau. Sofya voulait gouter à cette peau d'homme dans la force de l'âge, cette peau tannée par endroits. Elle voulait boire de ce vin bien mûr alors elle dégrafa la tunique du prince de sa main fredonnante .. Elle découvrit, fascinée, ses épaules tachetées de morsures solaires. Tandis que la femme venait faire éclore sa main sur le torse de l'homme, Akenos sentit sa poitrine s'irradier de lumière. Tout sorcier qu'il était, le grand, le zélé Akenos se trouvait à son tour sous le joug d'un exquis sortilège.. Sofya découvrit son torse tel un paysage sauvage parsemé de fine toison. La demoiselle plongea chichement sa tête en avant pour lui déposer son baiser. A cet instant, elle sentit le corps d'Akenos à la merci de ses lèvres humides. A présent elle souhaitait follement s'emparer de sa virilité. Sofya voyait la forme lourde épouser l'étoffe du fuseau ; le sexe d'Akenos semblait à peine contenu par un cordon. Et tandis qu'elle butinait son torse, Sofya tira d'une main discrète sur ce ruban d'offrande. Le pantalon glissa sur les cuisses de l'homme. Elle ne s'attarda pas sur la surprise de cette chose qu'elle pouvait désormais contempler. Sofya saisit le sexe du sorcier et entama un lent, un très lent va-et-vient.. La lenteur était sa profession de foi voluptueuse. Elle voulait contempler la lumière grimper peu à peu dans le corps de cet homme ; la voir déborder des remparts et jaillir de toutes parts. Un climax absolu au pic de l'instant. Soudain, la nymphe cessa d'empoigner son homme pour se hisser au bas du lit. Elle se trouvait à présent truffe à truffe avec la queue de l'animal. Son regard était traversé de malice et d'effroi : elle découvrait - oh délice ! - qu'elle aimait goûter à ce genre de peur. Akenos, quant à lui, semblait fébrile, hésitant : sa verge pointait désormais au visage de sa muse. Sofyia semblait s'amuser de cette posture. A présent, elle dévisageait Akenos avec un petit sourire qui traduisant autant de gêne que de désir. Elle entrouvrit la bouche en guise d'invitation sauvage. Dans le silence implacable, Akenos caressa le visage de sa reine avec son pénis. La belle ferma les yeux,.. puis les rouvrit. La liqueur séminale d'Akenos s'était déposée par endroit sur son visage. Elle se mit à froncer les sourcils, plaçant ses lèvres en ventouse sur les trajectoires de sa verge: Elle voulait goûter cette substance. Il plaça son gland sur les lèvres de la furieuse qui, spontanément, y passa la langue. Akenos sentit des oiseaux électriques lui piquer la tête. Le regard de Sofya s'encombrait désormais d'orages menaçants. - Qu'attends-tu pour me violer la bouche ? - Akenos pénétra consciencieusement sa jolie petite gueule vicieuse. Il n'avait pas imaginé un instant que les choses se dérouleraient de la sorte. Sofya inclinait la tête pour inciter le bougre à lui déformer les joues. Akenos prit alors conscience que le chasseur qu'il était s'apprêtait à muter en proie. Il ne souhaitait pas plus longtemps tordre le cou à sa légende: ses instinct guerriers remontèrent bientôt des tréfonds de sa matrice. Celle là même héritée de la très longue lignée de ses ancêtres. Une envie irrépressible de s'enfoncer plus profondément dans sa gorge le saisit. Plus il s'aventurait dans la bouche de sa muse plus elle plissait ses paupières fardées d'une extase troublante.. Elle laissa doucement glisser un main vers sa vulve. Akenos la surprit en flagrant délice. Sur le vif du vit, il cessa ses va-et-vient, s'extirpa de sa bouche et la tira à l'autre bout du lit. Il descendit à terre tel un serpent fluide qui glisserait d'un coussin jusqu'au sol. La petite garce enjouée prit appui sur ses coudes histoire de pister son partenaire. C'est alors qu'elle sentit un corps humide remonter tour à tour chacune des commissures de son entrecuisse. Akenos lui offrit un petit intermède pour caresser de sa joue ses cuisses dodues et douces. Sofya se surprit à couiner comme une chienne ; elle crispait la trogne. Haletante, la petit canine attendait la morsure du maitre. Le gaillard plaça tout le plat de sa langue sur le bouton de rose et remonta son large pinceau jusqu'au mont de Venus. Elle reçut cette étreinte de loup d'un vertige violent. La langue D'Akenos découvrit le petit coquillage de son jardin secret. Il s'amusa à le happer, à le pointer et l'essorer, tandis qu'un de ses doigts s'occupait insidieusement de sa pourpre serrure. Akenos se plaisait à tourner sa langue dans le sens inverse de l'aiguille de son doigt. Il s'excitait d'imaginer la belle perdant tout repère, abandonnée toute entière à ses sens affolés. Il plaquait désormais son doigt contre sa parois interne, frottant lentement sa revanche lubrique. La femelle en chaleur lâcha une exclamation. Elle était devenue la grand-voile infiniment tendue d'un drakkar claquant dans la tempête. Akenos pénétra Sofya de toute la longueur de sa langue, la fouillant comme un damné. La belle n'en pouvant plus, son sexe explosa comme une fontaine dont on aurait sabré la tour. Akenos se retrouva brusquement le visage inondé de son breuvage intime. Possédée par l'ivresse qui venait de jaillir de sa lune, Sofya l'interpella. - Alors sorcier, est-ce donc la première fois que tu goûtes à l'eau d'une femme-fontaine ? Elle s'était soudain redressée, lui attrapant vigoureusement la chevelure et l'invitant à boire le filet de mouille qui s'écoulait encore de sa chatte. Akenos fut frappé d'un coup d'adrénaline aux tempes en recevant cette mixture en bouche. Sofya tanguait, bienheureuse, toute possédée de son ivresse. La lionne ébouriffée posa son pied nu sur le torse du chasseur.. Ce dernier contemplait son petit bracelet de cheville qui tintait d'une douce lumière. D'un coup Sofya projeta l'homme au sol ; il gisait désormais de tout son long. Elle descendit sur lui imperceptiblement, tel un tapis de fumée, et hissa son visage jusqu'au sien ; elle le dévisageait. Akenos sentait à présent sa vulve de silvidre lui taquiner la verge. Sofyia souriait. Elle se mit à lécher son héros. La petite peste ronronnait, grognait de plaisir.. Elle caressa de sa langue fouineuse l'oreille d'Akenos, puis, comme une panthère docile, s'empara de sa lèvre inférieure entre ses babines.. Amoureusement, les yeux mi-clos, elle suçait sa bouche comme une languette sucrée. Bientôt, il ferma les yeux et se laissa glisser dans cette lagune: l'instant s'étira délicieusement en frôlement de langues: Akenos, à son tour, léchait les lèves de Sofya qui souriait de plus belle.. Elle se redressa doucement, en silence. Lui, sous elle, contemplait sa chevelure qui rebiffait, ses tétons qui pointaient, sa bouche béante superbement lascive.. Il caressait les hanches de sa petite jument racée ; aimait soyer du doigt l'orée de sa raie, revêche au toucher. Akenos palpitait de la voir s'asseoir là maintenant sur lui; de pénétrer ses méandres, Sofya savourait sa montée de sève, la houle dans le yeux de son homme.. - Traverse-moi ! dit-elle.. Elle se mit à répéter ces mots, decrescendo, à l'infini ; à se draper dans leur écho. Traverse-moi traverse-moi traverse-moi.. Sofya passa son bras à rebrousse-corps -sous elle- pour s'emparer du membre viril et le placer au mieux à l'entrée de sa vulve. Alors qu'Akenos se décidait promptement à redresser ses hanches, Sofya descendit les siennes. D'une main puissante, il chargea son épaule pour qu'elle s'abatte sur son gun. Akenos risqua la pulpe d'un doigt sur sa rustine plissée visant à lui décontracter le con. Son vit entra d'un coup en elle. Il rencontra à mi-chemin une paroi qui l'empêchait d'aller planter plus haut son drapeau. Empressée, Sofya lui lança un regard consentant. Akenos -chichement- traversa la fleur de Sofya qui dès lors, se cramponnait à lui de tous ses muscles. La belle fronça légèrement ses sourcils, restant un instant en suspens à le dévisager. Sofya releva doucement sa croupe ; Akenos décela un filet de sang sur sa verge. L'ingénue passa lentement une main sur le mont de Venus ; Ses doigts si délicats s'en trouvèrent ensanglantés. De cela elle semblait étrangement satisfaite. La demoiselle redescendit sa croupe sur la queue d'Akenos, entamant une danse des plus con-sciencieuses. Sofya était en re-con-naissance, dans tous les sens du terme. - Dans toute l'essence du derme - Ses hanches dessinaient à présent des volutes, une danse aux cerceaux. Son sang s'écoulait de plus belle de sa membrane, éclaboussant le corps d'Akenos. La demoiselle paraissait ravie du spectacle. Elle se mit à donner des coups de hanches de plus en plus secs contre le ventre du gaillard. Le sang giclait partout : sur le sol immaculé, les jambes d'Akenos, sur chaque carcasse d'amant pourrissant dans l'âpre vérité des sous-sol voraces. Elle remonta son con au sommet de sa verge, à l'affut désormais des assauts du sorcier. Il lui attrapa les hanches et, affectueusement, pilonna son éminence charnue. Sofya chérissait cette impression de s'ouvrir, d'éclore de l'intérieur. La petite fleur qu'elle avait perdue semblait renaitre partout en elle. Etre femme, sans doute, c'était cela: se voir tout à tour éclore puis pulvérisée puis éclore de plus belle. Combien de vies possédait-on ainsi se demanda-t-elle, avant de venir téter le sein d'Akenos. Ce dernier semblait bien apprécier son art combinatoire des stimulis. Elle se redressa et plaça sa main sur le visage de cet homme répandu qui, du sol, contemplait la grâce géométrique de sa pilosité pubienne. Sofya signifia qu'elle reprenait les rennes de son grand canasson pour mener à bien le bouquet final. Et de redoubler ses mouvements de bassin autant qu'elle déchiffrait les sensations d'Akenos sur son visage. Sa main descendit dans la bouche du guerrier tandis que ce dernier malaxait les seins de sa belle. Bientôt, la jolie se trouvait à l'unisson du bellâtre dans l'avènement de la jouissance. Akenos jaillit en elle -avec elle- dans le grand fracas d'un orgasme simultané. Sofya sentit son amant se répandre en semence et saccades. Les spasmes de sa foune aiguisaient ceux de la lance du troupier qui sursautait de son épileptique jouissance. Une bain chaud semblait à présent couler dans le cerveau de ce gros tigre d'Akenos, quant à Sofya, elle avait des larmes de joie qui ruisselaient sur son petit minois. Elle descendit se blottir contre son homme-édredon. Elle raffolait sans fin de caresser sa peau. Il était sa contrée mystérieuse, son damier, son domaine, son désert d'or de jade et de safran. Akenos s'enroulait amoureusement au cou de sa reine. Une odeur insensée grimpait à chaque mur : telle une tenture; telle une fiévreuse alchimie d'âme et de chair. Sofya -groguie- ne voulait pas pour autant voir son homme s'assagir de si tôt. Elle profita de l'abandon d'Akenos à son plaisir, pour s'extraire lentement de lui. Du lait de son homme coulait de son vagin: le fourreau de Sofya baptisait l'épée d'Akenos de sa propre gerbe de miel. Tel un reflux de marée, Sofya rebroussa aux jambes du prince. Akenos sentit une sensation vive au sommet de son pic qui ne manqua pas de réveiller quelques braises folâtres. Il redressa la tête pour contempler la belle qui lui léchait son bien. Habitée d'une troublante ferveur, Sofya se badigeonnait les lèvres de son foutre. Elle relevait sa langue pour recevoir sa dose homéopathique de semence. La belle succube raffolait de sentir sa chair absorber les fluides du mâle. Sa langue vint signer à feu et à sang ce passage à la postérité de leurs postérieurs: Akenos sentit Sofya furieusement affairée à lui lécher son myosotis de dunes. Elle lui glissa un doigt comme une missive et, de son autre main, le branla frénétiquement dans sa bouche. Akenos -surpris- fit entendre son râle. Sofya s'arrêta un instant pour cligner ses jolis yeux de fouine. Akenos lui chopa la tête dans un réflexe félin. Elle résistait en souriant. Il la força de plus belle. Sofya serrait ses lèvres sur la pine du mâle histoire qu'il se consacre à lui baiser la bouche. Elle le fixait, s'amusait d'entrainer Akenos sur ce terrain salace. . Sofya se redressa nette. - Lève toi ! Lui lança-t-elle avec autorité. Akenos se redressa, piqué par ce ton qu'elle avait. Elle le projeta alors contre le mur. Le lascar, à son tour, l'attrapa par le collet et la mit de force à genoux. Il plaça sa queue entre ses crocs de chienne avide et l'enfonça profondément. La petite salope se félicitait intérieurement de la férocité naissante d'Akenos. Le pervers la laissa reprendre sa respiration. C'est alors que, du coin de l'oeil, elle aperçut des huiles précieuses placées soigneusement en rang sur une étagère. Akenos suivit son regard. Sofya s'était déjà redressée pour décapsuler une des bouteilles et se la verser sur le corps. Elle se laissa pétrir les seins par son amant. Sublimée de ce vernis nouveau, Sofya lui adressa un regard de feu. Elle s'accroupit, attrapa sa bite et la plaça entre ses seins qu'elle compressa fermement. Elle le branlait souplement de ses superbes mamelles. La sauvageonne s'interrompit un instant pour verser la bouteille dans sa paume avec laquelle elle entreprit de malaxer la verge. Ses doigts de femme badigeonnés s'aventurèrent alors obscurément vers son arrière train. Akenos frappa la visage de la fille avec sa queue tandis qu'elle se doigtait la raie de sa main huileuse. - ttention au tapis tout de même ! se permit Akenos. - punis-moi ! rétorqua Sofya. Toujours accroupie, elle se mit à uriner sur le kashmir.. Il la propulsa en arrière et vînt sur elle; la bascula de sorte que les chevilles de la meuf se calent de part et d'autre de ses épaules. Le sexe huileux d'Akenos glissa dans le cul de Sofya : Il s'étonna de ce rectum qui épousait si bien sa queue. Alors qu'il caressait ses entrailles, Sofya le gifla puis lui cracha violemment au visage. - plus fort que ça chacal ! Il l'attrapa au cou comme pour l'étrangler et commença à lui prodiguer une série de violentes fessées avec ses reins . Elle l'encourageait de tout son coeur, de tout le coeur de son cul, en vocalises lubriques. Le “barbarian” stoppa net sa progression et se retira. Sofya se redressa pour protester. C'est alors qu'Akenos la retourna pour la choper en levrette. Il la saisit par la crinière et vint percuter sèchement son derrière, avec un rythme martial. Plus il la baisait plus elle ruisselait de mouille et de ce sperme qu'elle contenait encore. Au dernier coup de trique, elle urina sur lui. Akenos se dégagea de son bouquet fleuri. L'arrière train de la belle ruisselait de fluides. Sofya apercevait son superbe cul dans le grand miroir qui semblait dressé pour elle. Pisse, mouille, sang, foutre, transpiration et huiles.. Akenos passa sa queue sur la raie de Sofya pour récolter sa propre semence puis entreprit de souiller les aréoles de la belle. Son pénis battait encore la chamade; tous ses réseaux veineux étaient tendus comme des arcs. Pris à son tour d'un élan de fantaisie décadente, il lui pissa au cou. Sofya plaça sa bouche sur la trajectoire du jet en guise d'ultime fusée pour le bouquet final . Enfin, les deux basculèrent chacun sur le flanc, absolument repus. Akenos contemplait le dos de Sofya. Il le trouvait étrangement expressif ; poétique ; émouvant. Il la caressa longuement dans le silence serein. - Je crois que je vais nous faire couler un bain, qu'en dis-tu ? Elle se mit à rire et vient l'embrasser sur la joue d'un baiser languissant et généreux. Il n'aimait rien d'avantage que ces baisers là, des papillons de sourires en plein soleil. Sofya bondit la première vers la salle de bain, puis après quelques mystérieux instants reparut. Akenos gisait toujours au sol. - Tu m'as bien ramoné les entrailles, ça mérite un petit cadeau ! Lança soudainement Sofya. Elle s'accroupit vers lui et le jeune homme découvrit avec stupeur qu'elle déféquait. Il esquiva partiellement l'assaut de la belle, troublé un bref instant par le spectacle irrésistible de son cul en seize neuvième. Sofya passa son pied nue sur le visage d'Akenos. - Allez, tu vas goûter ça ! Akenos se redressa violemment. Il s'était assoupi dans son bain. Sofya était en train de lui lécher l'orteil. - Comme au bon vieux temps, doux chéri ! Tu t'étais endormi dis-moi ? Akenos contemplait son épouse. Ils avaient décidé de fêter dignement leur vingtième année de mariage. - Te souviens-tu de la première fois où nous avons fait l'amour ? Demanda Sofya.. Ca me parcourt, encore vois-tu ! Ajouta-t-elle. - Et bien figure-toi que je viens de faire une rêverie assez salace à l'instant même !.. - Noooon ? - Si si ! Ils rièrent ensemble de bon coeur. Akenos plongea délicatement ses doigts champouineux dans la chevelure de sa femme. Elle ferma les yeux pour se concentrer sur ses mains qui, tant d'années durant, n'avaient jamais rien perdues de leur ferveur.. Elle se tourna légèrement vers lui. Il l'embrassa avec passion. Tout en éprouvant le baiser d'Akenos, Sofya caressa le sexe de son homme qui ne tarda pas à se raidir. Elle sortit alors du bain, et disparut dans le corridor. Akenos, perplexe sortit à son tour de l'eau. En arrivant dans son salon il découvrit avec stupéfaction une multitude de femmes dispersées ça et là, sur son lit, sur ses chaises, sur son bureau.. Jadis, Akenos se faisait passer pour un sorcier dans l'idée d'attirer les femmes. Il s'était fait prendre à son propre jeu en rencontrant Sofya, véritable sorcière quant à elle, de par sa descendance. - Sofya, mon amour, n'aurais-tu pas transformé à mon insu notre baignoire en marmite à sortilèges ?. - Les huiles parfumées ont parfois des vertus cachées ! Lui répondit-elle, amusée. - Quelle belle idée de cadeau nous fais-tu là petite voyeuse ! Akenos semblait évoluer désormais dans une sorte de rêverie hallucinée. Alors qu'il s'apprêtait à niquer, sous les yeux voraces de sa femme, la plantureuse rouquine qui s'épanchait sur son bureau, il s'aperçut que les demoiselles qui trônaient sagement dans son salon avaient, chacune, quelque chose de Sofya . Quelque chose de ses seins, de ses yeux, de ses jambes… Chacune d'entre elles se dirigea vers Akenos. En tête de cortège, la rouquine en robe noire s'approcha de lui, un sourire en coin. Ses opales aux grands cils semblaient lui sourire. Mais c'est d'un coup de genoux dans les parties qu'elle le salua. Les demoiselles entrainèrent leur esclave au sol. Chacune jeta son dévolu sur chaque extrémité de son corps: Tandis qu'une fille l'embrassait à pleine bouche, une autre lui suçait le sein, une autre encore lui léchait la queue et le cul. Akenos scrutait la jolie blonde qui gobait son orteil lorsqu'on vint s'asseoir sur son visage. Quand on interrogeait Sofya sur sa faculté à prendre toutes sortes de formes féminines, il lui était arrivé de déclarer qu'il s'agissait en réalité de ses soeurs illégitimes. Ses parents s'était unis dans un hôpital qui soignait la nymphomanie.ainsi que quelques cas isolés de cannibalisme. On ne l'avait jamais crue. A grand tord. Akenos lança son regard en direction des portes fenêtres. Chacune des femmes stoppa sa besogne, agitant sous ses yeux une petite clef en or qu'elles avalèrent tour à tour. Akenos se tourna alors vers sa femme qui lui déclara calmement. - Tu ne croyais pas que j'allais te laisser crever de ton cancer sans rien faire, tout de même ? J'en conviens, je te présente mes soeurs un peu tardivement.. Je n'ai plus de frère. Selon notre tradition millénaire, nous avons été tenues de les dévorer pour récupérer leur énergie vitale déclinante. Akenos resta interdit à ces mots. Sofya poursuivit. - Chéri, c'était une idée très romantique de projeter de te faire brûler sur un bûcher face à la mer. Seulement voilà: Très solennellement je t'annonce que chacune de mes soeurs va te faire un enfant, t'épuiser à la baise et te dévorer. L'heure à sonné, c'est ton ultime orgie.
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Par : le 07/10/20
MINOTAURUS INEST -Veneris monumenta- J'aimerais que tu te postes à nouveau au sommet de mon lit le dos apposé contre le mur de mon salon, quasi-nue. Un quart de siècle nous sépare en âge, mais tes yeux francs, intemporels, presque mystiques m'adressent un familier langage.. Laisse-moi déposer ma joue très doucement dans le creux de ton cou, être la plume qui rejoint son nid.. Je suis un enfant, une panthère, une brise d'Eté; je suis un grand soleil près d'un refuge aux portes de coton.. Ta bouche est une fleur sauvage, qui parfume mon âme de papillon. Vois mon aile silencieuse se poser sur la soie de ton épaule chaude ! Le temps suspendu infuse mon âme à ta presqu'île; Mon souffle sur ta peau me grise: tu es ma vapeur d'absinthe ! Ta chevelure est désormais un vaste champs moissonné à mon vexillum externum. Ton épiderme irradie contre le mien comme un pain chaud sorti des braises ! Aucun des chats sacrés de l'antique Egypte, n'a transporté autant de lumière que ta peau : Hathor, Isis et Rê se sourient et se taisent lorsque je te caresse. Tes deux pyramides sont des flacons de rivages. Fais-moi boire de ton lait; enfante ma déraison ! Mes griffes de faucon ratissent ta nuque; je porte mes dents à ton cou, je mordille ta chair tel un vampire avide.. Je suis ton Minotaure, ton Lucifer, ton Dracula ! Mes doigts délicats viennent broder d'audaces un incertain langage à même tes seins.. Des alcools de prune et de poire coulent à présent de tes tétons; je t'attrape au cou, tel un canidé, pour te tirer lentement vers moi; je sens tes fioles d'effluves infiltrer mon cœur; Ta bouche capture la mienne comme une proie fébrile. Tes bactéries s'engouffrent dans mon sang, restaurent ma matrice.. Je vois des gouttelettes d'eau fines bouillir sur ta peau puis s'évaporer au diapason de tes soupirs.. Tes aréoles crantées pénètrent souplement mon torse. C'est alors que le grand mât du Drakkar se lève et tu l'absorbes sans tarder tout entier en toi, dans ta forêt d'éponges. Ta rosée coule déjà du septième ciel convoité. La chambre se tapisse d'un rouge-violacé.. Je sens ton odeur animale qui s'abat comme une tempête: tu plantes tes yeux intenses tel des ancres dans l'océan de mon âme. Je me retourne tout entier sur toi, ragaillardi par ton puissant courant. Ta bouche carmin a faim de recevoir l'écume de ma lèvre. Je t'ensevelis d'une vague puissante et j'engouffre encore davantage ma corne de Minotaure dans le tréfond de ton corps. Voici l'offrande de nacre: de multiples orages tonnent dans ta chair Tu tressailles d'accueillir dans ton caveau ma liqueur de perle. L'onde de choc de ma queue se prolonge tel un écho parmi tes dunes. Tu m'enfonces tes ongles dans le dos si profondément que je sens distinctement ton nom se graver sur mes os. Je plante à mon tour mes dents dans ta jugulaire tandis que tes canines percent mon épaule. Je m'abreuve, tu me bois, nous nous embrassons follement pour partager ce vin de messe. Je ramasse au sol des caillots de raisin et je les porte à ta petite gueule affamée. Tu les dévores en me dévisageant. Ta bouche coule infiniment jusque dans ton nombril et abreuve les petits papillons qui palpitent dans ton ventre. Le coutelas divin de ton sourire en coin me suggère un sacrifice à venir Tu t'éclipses dans la salle d'eau et déjà tu m'inspires de vilaines rêveries.. Relevant une pièce d'étoffe trop ajustée à tes hanches tu me laisses entrevoir l'arrogante colline hirsute. M'empoignant le vit en me fixant des yeux, tu veux me voir céder à proférer mes ordres rabaissants. Ta bouche lascive de succube réclame la lie de mon calice ! Ta main est un nid à serpents; elle me caresse et me compresse pour que je crache enfin tous mes mots volcaniques. Tu m'engloutis de ta gueule de fauve pour m'assassiner de plaisir. Des torrents hypnotiques se répandent en moi, tandis que tu bois toute ma fontaine. Démon repu, tu m'adresses un sourire. Je suis une comète dans la galaxie de tes yeux fauves. Aucunement je n'ai la beauté d'Artemis, mais je peux être un grand forgeron de volupté ! Fais de moi le gardien secret de tes moiteurs, l'arboriste de ton plus secret jardin.. Je l'avoue, je suis parfois jaloux des visiteurs que tu salues de ton candide balcon. Tous ces mirages, si laborieux, sont autant de déserts.. Et si chaque homme est fait de sable, je serai ton désert de Mojave, ton Dasht-e-lout, ta Kébili. Je serai le Queensland bouillant au milieu des montagnes de feu. Mon orgueil est un empire suintant, et tu le sais toi qui réapparais dans une robe andrinople.. De ton dos je m'approche; tes ourlets, déjà, se pourfendent de flammèches.. Je veux sédimenter encore à ton épaule; j'entrevois tes doux seins dans l'écorchure de ta robe; ta bretelle s'affaisse ainsi que ta chute de reins; soudain, le bas de ta robe s'enflamme Tes doigts fraîchement vernis soulèvent avec une insolente lenteur le tissu embrasé ! Le bas de ton dos est désormais tatoué d'obscurs hiéroglyphes; «Sois indécent» chuchotes-tu. J'ai besoin de lécher ta petite béance, comme un chien des enfers ! Tes canines d'orque scintillent dans le miroir; Tu lèves un bras au ciel; tes doigts gracieux s'éventaillent et s'enroulent tandis que la chambre prend feu. Je pointe à mon tour vers le ciel un index qui se change en verge féconde; et tandis que les parois de ton éminence charnue s'abandonnent à mon autorité, j'enfonce un doigt séminal à ton nombril.. Des Jigokubana naissent soudain dans tes cheveux; une nuée de papillons pourpres et ocres comme sortie des enfers, vient butiner chacune de tes mèches, éteignant les feux alentours de battements d'ailes.. Des abeilles rouge-ponceau surgissent à leur tour. Tu étires ta langue en récupère de tes doigts un étrange miel que tu portes aussitôt à mes lèvres, à mes seins; de mon gland jusqu'au galbé séant. Tu n'aimes rien tant que me sentir palpiter dans ta bouche; tu me dégustes infiniment, tandis que des plumes d'ange tombent très lentement sur nous comme une fine pluie; tandis que des sirènes au lointain nous chantent leurs plus doux sortilèges.. Sois mon alcool, mon brasier, ma folie, sois ma déesse et ma putain, Sois le petit matin des longues nuits. Le soleil s'attarde sur mon torse lorsque tu le caresses. Je veux te voir tournoyer en riant dans des champs de coquelicots mutants. Sidère-moi; écorche-moi de souvenirs violents ! Fais de moi le buvard de ta cyprine et de ta lave, de ton urine et de ta bave. Baise-moi comme si j'allais crever demain. Je veux mourir et ressusciter dans tes bras.. Je veux tes hanches et tes pieds dans ma bouche, ton cul sur ma gueule et ma queue dans ta main. L'un dans l'autre, je veux nous mélanger encore et toujours ! Je veux tes mamelons sauvages, ta peau soyeuse, tes épaules et ton cou.. Je veux surtout tes yeux cosmiques au fond des miens tes cuisses et ton pubis amarrés à ma taille, quand je viendrai cent fois sur toi pour te donner mon âme ! Je rêvasse, je me languis, je me dilue.. Entends-moi s'il te plait, rejoins-moi ! Viens contre mon épaule et contemplons les derniers instants de ce monde-ci ! Je veux me noyer sans fin dans des étreintes folles; je veux brûler d'ivresses, célébrer le feu qui me porte et qui m'emportera jusqu'à l'ultime crémation !
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Par : le 10/02/20
A l'origine, je souhaitais photographier plusieurs dominas et je trouvais normal de leur exposer ma philosophie D/S. Mais en relisant sur ce que j'avais écrit après les shootings, j'ai trouvé cela fort incomplet et maladroit. J'ai dès lors décidé de creuser le sujet, sans tabou et sans censure, pour moi-même.. Or, en franchissant le cap des 20000 mots, je me suis dit que ce serait peut être un peu bête d'avoir alligné une cinquantaine de pages pour les garder uniquement pour moi.. Je lis tellement de choses excentriques, improbables et un rien embarrassantes sur les sites BDSM, que je me suis dit que j'allais peut-être me confesser à mon tour ! Je m'excuse par avance de mon incapacité à incarner une certaine élégance. J'y travaille !   PREAMBULE: MA PHILOSOPHIE D/S J’ai rédigé ce préambule par le prisme du rapport de domination/soumission qui existe indéniablement entre les êtres. Je le considère relativement inhérent au dialogue sexuel. Du moins, mes fantasmes sont souvent emprunts de cette dichotomie qui entraîne parfois l’éclosion d’une connivence neuve et approfondie entre deux amants.. Mon exaltation est corrélée à celle de ma partenaire, c'est pourquoi je peux aussi bien endosser le rôle de dominateur que de soumis. Tout est affaire de connivence et de savoir-faire; d’instinct et d’intelligence.. Les êtres qui ne se donnent pas la peine de bâtir une architecture mentale à partir de leurs instincts sexuels demeurent sous le seul joug de leur déterminisme biologique. Ils sont, en un certain sens, plus proches de l'animalité que de l'humanité. Dans une majorité de cas, cristalliser ces instincts par le prisme d'actes symboliques constitue moins une déviance qu'une transcendance de l'âme & du corps.. Pour ma part, je me définirais par défaut comme 'switch', suivant l'appellation d'usage. Autrement dit, ce que j'attends d'une dominatrice correspond à ce que j’aspire à incarner à titre de dominateur. Le principe de domination masculine étant tout de même plus basique, plus commun, plus ''entendu'' que celui de soumission masculine, je m'attarderai d'avantage sur ce dernier.. Tout d'abord.. .. Je ne suis ni dominateur de vocation ni soumis de caractère ! Cette affirmation peut surprendre dans le contexte de ce blog, mais cela fait pourtant parfaitement sens. Je m'explique ! Si je cherche souvent à imposer ma vision au quotidien, l'idée de laisser une femme prendre l'ascendant dans un cadre intime me semble une perspective enrichissante et excitante: partager un moment unique avec une demoiselle qui ne se serait pas encore aventurée dans quelques méandres immaculés de son intériorité bouillonnante.. Concernant les dominatrices-en-herbe, je suis particulièrement émoustillé à l’idée de composer avec un duo : du tandem de jeunes beautés insolentes à la volupté sauvage, aux femmes felliniennes bigarrées vaguement défraîchies, en passant par ces quinquas aux yeux coquins et au sex appeal préservé.. jusqu'à ces sexas sexy, tout en dégaines malicieuses et sourires en coins.. Je ne suis pas masochiste et de ce fait, pas vraiment emballé par les dominatrices brutales à tendance phallique: un embout plastifié de corde à sauter accompagnant une fellation peut suffire à tenir le garçon que je suis en joug.. Une tape sur les fesses m’est le plus souvent désagréable à moins.. ..qu’elle soit infligée par une femme transportée par un désir ardent ! De même, en tant qu’homme grand et charpenté, je ne saurais dominer une femme sans le désir de lui faire absorber l'onde intense de mon corps massif rejoignant le sien.. Cette énergie vive et primitive déchargée avec aplomb, cette soudaine détermination à pointer un tout autre visage que le sempiternel masque sociétal.. Voilà comment s'acheminer vers la quintessence érotique.. Quelle que soit notre posture, c’est la stupeur occasionnée par l'audace de notre partenaire qui transforme notre sang en lave ! Ici encore, il faut un certain sens du dosage et du timing: un outrage bien amené peut me faire renoncer à bien des tabous ! Je cède volontiers ma pudeur pour sentir monter en moi ce nectar incomparable qu'on nomme adrénaline ! C’est par ce truchement que je m’estime en quête d'une expérience intense & belle susceptible de sceller une relation singulière.. L’amour, qu’il soit cérébral, cordial ou charnel est un dépassement de soi. Il subsiste toujours une marge à franchir pour se sentir un peu plus libre ! toujours un ajustement à faire pour se rapprocher des cimes ! En tant qu'artiste et philosophe, je suis sans cesse en quête de transcendance.. J'aime l'idée d'être pris d'assaut, débordé, malmené, investi et pillé charnellement par une femme; j'y vois l'occasion de vivre une expérience singulière et exaltante.. Je vibre à l'idée de contempler une demoiselle sortir de sa bienséance pour s'abandonner à mes dépens, faire de moi le vecteur de son intériorité. Dans l'absolu, il s'agit de contempler la partenaire se libérer d'une intensité intérieure qui trépignait depuis des lustres; accompagner sagement la demoiselle dans la cristallisation de cette irruption.. J'aspire tout autant à exercer cette effusion sur une femme qui jouirait de s'abandonnerait à moi ! Devenir le peintre, la toile du peintre; cheminer.. Je veux répandre mes fluides dans la chair et sur le corps de ma soumise et je veux que la femme qui me domine en fasse autant.. Qu'elle irradie d'insolence en m'adressant sa bave, sa cyprine, son crachat, son urine, qu’importe ! pourvu que je sois aux premières loges pour recevoir l'expression vive pure et intense de sa savoureuse matrice.. Qu’une belle vienne asseoir son cul sur ma face lorsque je squatte nonchalamment son canapé, ou que je vienne lui fourrer ma verge dans la bouche lorsqu’elle s’étend lascivement sur mon tapis; qu’elle me gifle le visage ou que je lui gifle les seins, il s'agira d'exulter tour à tour en parfaite parité ! L’idéal étant de vivre à tout prix cette conjonction parfaite, l’intensité de baisers sauvages exacerbant la collision des peaux: l'Amour; la passion amoureuse ! J'aimerais tant en vivre une encore.. ..en corps.. ~ MES FANTASMES Le nombre qui évoque le plus le sexe est sans aucun doute le 69. Il évoque également la réversibilité. J'ai donc choisi de corréler - 23 fantasmes du soumis - 23 fantasmes du switch - 23 fantasmes du dominateur afin de constituer un exposé homogène de mes aspirations érotiques. Jusqu'à 38 ans j'étais presque en transe lorsque j'accolais un fantasme à une muse. Aujourd'hui j'aimerais côtoyer à nouveau une femme susceptible de m'inspirer des montées de fièvres intenses.. Je ne sais pas vraiment si passé le cap des 45 ans, on devient, comme notifié en entreprise, un senior.. . quoiqu'il en soit.. . J'aimerais que ma libido fructifie encore, cristallise à nouveau de cet élixir puissant qui me plongeait jadis dans le bain chaud, bouillonnant de vertiges tenaces.. Je préviens tout de même que l'exposé qui suit est passablement prolixe ! ~ TEASER Les points cardinaux d’une boussole dépendent d’une douzaine de points intermédiaires.. Voici dès lors une douzaine de points tirés des 69 chapitres, histoire que vous sachiez un peu où vous vous aventurez.. Par contre, un teaser, c'est souvent mettre les pieds dans le plat avec les gros sabots.. Voici quelques kifs qui mettent dans le ton.. LA JOUISSEUSE ORGASMIQUE. La rencontre idéale serait de tomber sur une lady qui posséderait à la fois un corps véritablement érogène, une sexualité polyvalente et une belle ouverture d’esprit. Je n’ai jamais rencontré de demoiselle qui soit à la fois clitoridienne, vaginale et anale et qui, d’autre part, réponde intensément aux préliminaires annexes (que l’on malaxe son sein, gobe son orteil ou lèche son oreille). Une femme par ailleurs bisexuelle (ouverte aux trios HFF), potentiellement fontaine (ce serait la cerise sur le gâteau). Et, tant qu’à faire, qui serait excitée par les odeurs & «saveurs» masculines plutôt que l’inverse.. Enfin, une nana qui serait apte et soucieuse de faire frétiller mon corps et mon esprit conjointement.. Je suis certain que cette perle rare existe bel et bien. D’ailleurs, si tu en as une dans ton entourage, n’hésite pas à me la présenter ! SUCCUBE & INCUBE. Voir fondre une nana sur moi venue me piller charnellement. J’aime qu’une femme dont je viens à peine de franchir le palier, m’adresse un sourire et glisse vers moi pour m’embrasser et aventurer ses mains sous mes vêtements.. Lorsqu'on veut coucher avec moi il vaut toujours mieux m'empêcher de me cacher derrière mes interminables tirades qui ne sont que les paravents de ma pudeur. Ainsi, à peine aurais-je atterri sur le canapé qu’elle pourrait me mettre sans préambule sa main dans le pantalon pour obtenir de moi une érection comme on obtient un pass’ pour entrer dans une propriété. Ou plus simplement, qu'elle surgisse cul nu et vienne s’asseoir sur mes genoux en frottant son pubis au mien, insidieusement.. L’objectif pour elle serait de me faire jouir dans chacun de ses orifices et partout sur son corps, afin de me vider tout à fait de mon énergie sexuelle en se persuadant d'avoir absorbé la substance de ma matrice.. Elle aurait en outre la satisfaction délectable que mon corps ait absorbé comme un buvard toute sa cyprine et toute la bave de ses grands coups de langue animale.. Bien évidemment il s’agira dans un premier ou second temps pour moi d’incarner l’Incube, celui qui va déposer sa semence et sa salive dans chaque recoin du corps de la Nymphe. Signer, sceller mon odeur en elle.. Je conçois difficilement de faire l’amour sans friction des chairs et mélange des fluides: J’ai besoin d’éjaculer sur la corps et dans la chair de ma partenaire. HFF. Je caresse le même fantasme que la plupart des garçons : à savoir coucher avec deux jeunes femmes (une amie et sa pote un peu timide) pour clôturer idéalement une petite soirée à la cool.. Je nuancerai ce schémas en précisant que j’apprécierais également beaucoup de coucher avec deux sœurs jumelles ! Et dans un autre genre, se voir malmené par deux dominas.. D’autre part, j’aime particulièrement le perspective de tripoter une lesbienne et la pénétrer devant sa meuf avant d’entraîner cette dernière dans la spirale de sa curiosité mal placée.. Coucher avec deux ingénues rencontrées dans une forêt, au sortir d’une teuf en plein air. Ou simplement dans les étages d’une vaste demeure. Une des deux demoiselles m’aurait alors révélé que pour fêter son passage en Khâgne, sa comparse, d’ordinaire bouffeuse de foufoune, aurait bien aimé sucer sa première bite.. Et à défaut de champagne, j’aurais fêté avec elles ce baptême par un jet de sperme abondant sur leurs lèvres pulpeuses et leurs langues mêlées (encore un plan très 'Pornub' mais surtout très fédérateur).. SOUS-BOIS & RIVAGE. J’aimerais faire l’amour au sein de la nature, au milieu de la forêt, parmi les fougères odorantes et les herbes hautes, avec, éventuellement, la pluie d’Eté pour ponctuer les ébats.. Mélanger les fluides et grumeaux des corps enlacés avec ceux des lieux ruisselants.. Et puis plus tard, s’enlacer sur un rivage, conjuguer les va-et-vient de nos sexes avec ceux des vagues.. IRRUMATION. Venir engouffrer sa verge dans la bouche de son amante alors qu’elle se prélasse sur un tapis (d'herbe ou) de salon à se masturber les yeux clos.. Et tenter dès lors d’atteindre un orgasme simultané. Venir se branler de temps à autre dans cette bouche, comme un sagouin sans scrupule (je considère en avoir trop souvent).. SUBLIMER. Cela fait un bon quart de siècle que je fais de la photo de portrait mais je n’ai jamais eu de muse érotique. A savoir une femme que je photographierais pour évoquer la sensualité, la sexualité dans toute sa fiévreuse splendeur. Ce serait pourtant magnifique d’avoir une complice attitrée avec qui explorer pulsions et visions lubriques ; les cristalliser, portés haut par un enthousiasme débridé ! INCITATION A LA DEBAUCHE. Quelques exemples: Surgir chez un petit groupe de filles en collocations dont les tenues seraient volontairement pauvres en boutons et tissus.. Entrer chez une demoiselle qui disparaîtrait un temps puis reviendrait entièrement nue, histoire de me mettre sur le fait accompli.. Débarquer chez une nana assise sur sa table, écartant lentement sa cuisse pour laisser apparaître un sexe nu, telle une offrande.. Faire escale chez une lady pour converser et la voir déployer insidieusement moult postures & gestuelles racoleuses jusqu’à se masturber outrageusement face à moi.. Arriver chez une dame faisant mine d’attraper une bouteille dans son frigo et dévoilant ainsi la nudité d’un joli cul bien ferme sous sa jupe plissée; stagnant dans le bac à bouteilles afin de m’inciter à la choper par les hanches.. J’aime particulièrement lorsqu’une demoiselle me tourne le dos sur un lit, m’invitant indirectement à la déborder pour chercher son sein dans son corsage puis sa bouche et enfin son cul.. Parfois il serait plaisant de découvrir sous une jupe, un gode qui ne demande qu’à être remplacé par une verge.. Lorsqu’une femme se colle pour papouiller innocemment dans un lit, il est parfois plaisant pour l’homme de découvrir que la mignonne avait été se lubrifier au préalable dans la salle de bain.. C’est du moins la réflexion que je m’étais faite la fois où une amie, sans mot dire, s’était emparée de ma bite pour l’enfoncer dans son cul.. C'était merveilleux de constater à quel point cela rentrait si bien.. Enfin, il n’est pas déplaisant lorsque vous dormez dans une vaste maison qu’une ingénue de la chambre voisine vienne vous souhaiter bonne nuit en cherchant insidieusement votre bouche, présentant une nuisette un peu trop échancrée ainsi qu’une main bien baladeuse.. Les plus pudiques pourront s'aventurer à poser une main sur ma cuisse sous la table du bar ou du salon.. Bien entendu il s’agira de donner le change sur le même registre.. Lorsque je suis vraiment en confiance avec une pote, je pourrais tout à faire me foutre à poil devant elle ou venir la désorganiser gentiment, passant en vrac les mains sous ses vêtements, dans son corsage et son pantalon, tandis qu’elle persévérerait encore un temps à me faire la parlote.. Mais la meilleure incitation à la débauche, à mon sens, est le chantage tacite.. Passer voir une ex avec qui on avait couché jadis dans le dos de son conjoint et menacer de tout révéler à ce dernier si la demoiselle ne passe pas à la casserole sur le champs; son gars étant absent tout le week-end pour un voyage d’affaire. Bien entendu, il s’agirait d’un faux chantage basé sur la tenue subtilement explicite qu’arbore mon ex pour m’accueillir.. GAGES. Ma partenaire se plairait à me faire quelques concessions (pouvoir malaxer ses seins, embrasser sa bouche) contre de petites libertés qu’elle décréterait pouvoir se permettre à mon endroit. Parfois, j’outrepasserais volontairement les limites de ce qui m’est octroyé pour récolter de petites sentences lubriques. Je serais averti d’avance de ce qui m’attend en fonction de l’option que je prends, notamment si je décide de m’aventurer trop loin.. Quoi de plus délectable dès lors que de s’épancher outrageusement en attouchements pour être d'autant mieux recadré ? J’aime bien les gages avec une corde à sauter (me faire sucer tout en me prenant une poignet dans le cul après avoir, par exemple, empalé ma queue dans la bouche de la belle, ainsi que chaque embout plastifié dans ses orifices. Je préfère cette approche du 69 à l'approche classique..) FACESITTING. Alors que je me serais allongé un moment sur son canapé pour me détendre, l’ingénue viendrait s’asseoir sur mon visage, sans culotte sous la jupe, le temps de lire quelques pages d’une revue ou de croquer une pomme.. HANDJOB. Après m’être plus ou moins dessapé suivant la volonté de ma partenaire, me dresser face à sa personne tandis qu’elle se saisirait de ma verge à mi-hauteur pour la branler.. La belle porterait une veste recouvrant à peine ses seins nus, afin que je puisse m’exciter de les voir s’agiter quelque peu.. Les yeux maquillés, elle planterait son regard dans le mien pour mieux me défier et se délecter de ma fébrilité. Au moment où je tenterais d'entrouvrir sa tunique, elle viendrait insidieusement titiller mon téton gauche (le droit, depuis son point de vue) pour précipiter mon éjaculation. La demoiselle ne manquerait pas une miette des expressions nuancées de mon visage au moment où j’éjaculerais sur sa main.. Dès lors, elle pourrait passer sa langue sur le revers de ses phalanges, diriger ses doigts à sa bouche, sur son mamelon, vers son entre-cuisse ou arrière train.. SADISME. Prendre de petits coups éparses, des pincements et des morsures alors que mon pantalon viendrait de chuter à mes chevilles, la demoiselle cherchant à me faire chanceler jusqu’à ce que je tombe à ses genoux. En cas de protestation de ma part, notamment pour retirer mes effets, je me ferais instantanément gifler. Ces gifles pourraient par la suite devenir arbitraires, parfaitement gratuites, notamment lorsque je serais enfin aux pieds de la dame. Dans le cas où le froid amènerait mes couilles à former une boule dense et homogène, la lady pourrait se permettre d’attraper mes couilles dans sa main pour faire acte d'autorité, voire de se permettre un léger «ballbusting», à considérer que tout le plaisir dépend ici de la manière de faire monter l’adrénaline.. J’aime l’idée de voir le pubis d’une femme et ses cuisses charnues me surplomber. C’est alors que je recevrais son crachat; au visage et dans la bouche. Elle saisirait mon visage en pressant sur mes lèvres comme sur une bouteille souple pour m’entrouvrir le gosier et baver sur ma langue. En cas d’insolence de ma part, je pourrais être tenu de laver ses talons aiguilles ou encore me faire précipiter dans un petit bureau pour me faire fesser avec une règle. Je pourrais également me retrouver la tête coincée comme dans un étau entre ses cuisses, voire tête au sol sous son pied, à proximité de quelque sécrétion ou linge odorant.. J’aime assez l’idée d’être allongé de tout mon long avec le pubis d’une femme concrètement sous le nez, ses deux mains conjointes me soulevant la tête énergiquement pour me porter jusqu’à son sexe et, par balancier, à son anus. Ce sadomasochisme ne serait pas qu’à sens unique, bien évidemment. Il s’agirait de pilonner la belle en levrette en l’attrapant par les cheveux, de gifler ses seins, son visage, serrer son cou d’une seule main tout en la baisant sèchement. Imposer des gorges profondes, des sodomies à quatre pattes, mon corps en surplomb ; remettre le couvert encore et encore, tout en fessant âprement son cul, quand bien même elle se débattrait, cela jusqu’à dilater durablement chacun de ses orifices.. Encore une fois, le seul pacte serait celui de l’adrénaline.. URO. Se faire pisser au visage sous le regard satisfait et malicieux d’une belle me surplombant. La tendance actuelle est au peegasm : des femmes se retenant d’uriner le plus longtemps possible pour exulter au moment de lâcher les vannes.. J’aimerais qu’une furie me prie instamment de m’allonger dans sa baignoire pour s’accroupir au dessus de moi, me présenter son sublime cul et ouvrir les portes du Canadair en poussant un râle de satisfaction.. Voir défiler un ensemble de femmes dans un jardin la nuit pour réitérer l’expérience.. La satisfaction étant d’offrir à ces gentes dames le plaisir conjugué d’une exultation du corps et de l’esprit par le vice ainsi assouvi.. Et de temps à autre, tout de même, inverser les rôles.. C’est précisément la philosophie du 69 ! Après cette brève évocation, je te livre enfin la mienne ! Du moins, si tu souhaites t'aventurer plus loin avec moi..   69   1. Mon fantasme premier ? L’amour passionné ! De corps, de coeur, d’esprit conjugués !   A 45 ans passés, le déterminisme biologique, autrement dit l’aveuglement par les hormones, n’est plus un facteur majeur dans la cristallisation d’une relation amoureuse. J’y vois la promesse de relations futures plus authentiques. Pourtant, je confesse être encore en quête de la sensorielle ivresse d’un embrasement passionnel: quand une soudaine et intense connivence projette irrésistiblement deux créatures l’une contre l’autre; deux êtres qui, quelques instants auparavant, échangeaient encore humblement de pudiques civilités..   Sans doute que mes muses de jadis me permettaient quelque peu de palier à l’absence d’ater-égo..   2. Durant l’une de mes expositions, des amis ont considéré qu’à travers mes poèmes photographies et chansons, j’avais régulièrement su magnifier mes muses.. Certaines d’entre elles, présentes, ont concédé avoir éprouvé du plaisir à s’en remettre à mon regard et fusionner avec mon univers, jusqu’à parfois y façonner une identité neuve..   Dès lors, je pourrais me laisser aller à la rêverie d’une demoiselle irréelle, superbe et alanguie, tandis que très lentement je passerais ma main sur son corps.. comme un sculpteur le ferait sur sa dernière création achevée. Caresser chaque nuance de son étendue, éprouver les contrastes délicats de ses reliefs; passer mes doigts délicatement dans sa chevelure. Puis, parsemer cette divine créature de baisers et de petits coups de langues éparses; descendre paisiblement de ses dunes jusqu'à son troublant oasis.. J'ai, pour ma part, toujours entretenu la douceur de ma peau; mes jeunes compagnes ont souvent été agréablement surprises de cet état de fait. J'ai néanmoins parfois le sentiment de ne pas m'être fait suffisamment caresser dans ma vie.   En outre, j’aimerais me trouver plus souvent à la merci d’une petite tempétueuse..   3. Une ingénue, lèves rouges écarlates, paupières fardées de noir, arborant une petite veste de skaï à même la peau; cette charmante créature venant insidieusement se placer à ma hauteur pour déboutonner mon pantalon et le faire chuter à mes chevilles; sortant ma queue pour la branler, tout en me scrutant intensément du regard, cherchant à déceler dans mes yeux les fluctuations engendrées par sa main malicieuse.. Et puis, s’amusant de la connivence de mon téton gauche avec ma verge, elle se délecterait de taquiner ma poitrine de la pointe de sa langue, se réjouissant complaisamment de me voir frétiller, de me rendre fébrile.. Ses yeux espiègles acheminés dans les miens pour s’y attarder, je sentirais dès lors ma verge empoignée plus fermement encore.. Je banderais derechef à la vue des seins de la belle s’agitant délicieusement sous sa combinaison. Peut-être oserais-je atteindre un de ses seins. Peut-être dévoilera-t-elle le plus beau des deux de son propre chef pour me voir trépigner de plus belle ? Un petit rictus amusé se dessinerait subtilement sur son visage lorsque ma semence viendrait à se répandre sans bruit sur sa main.. Je ne sais trop ce qui me plairait le plus: qu’elle passe lentement sa langue sur le revers de ses phalanges en me fixant du regard, ou qu’elle aventure ses doigts délicats -suintants- tout en bas de ses reins.. Et pourquoi pas, qu’elle se mette très soudainement en retrait alors que je suis sur le point de venir; elle, à genoux, bras derrière le dos pour m’inciter ardemment à lui baiser la bouche..   Imposant chichement mes coups de reins, la gazelle pourrait tout aussi bien reprendre la main et me branler dans sa bouche ou sur son doux visage..   J’aime éjaculer. J'aime l'idée de me branler comme un souillon dans la bouche d'une jeune femme, tout comme j'aime être défroqué par une femme tirée à quatre épingles, s'emparant de ma queue pour la faire gicler, comme on trairait une vache.. J'ai tant et tant éjaculé que mes petites rivières de foutre se déversent sans doute moins abondamment à présent. En début de trentaine, une phlébologue asiatique m’a recommandé d’adopter le sexualité tantrique, tout en retenue, constatant que mon périnée était déjà congestionné à force, notamment, d’abus de branlettes.. Il souhaitait que je n’éjacule plus que tous les six jours, afin de préserver mon énergie vitale et éviter de plomber mon dos. A ceci près que..   4. ..je ne conçois pas vraiment de partager une intimité avec une femme sans éjaculer sur son corps et dans sa chair.. Je me suis toujours attaché à l’idée que ma semence -ma matrice, mon ADN- soit absorbée par le corps de ma partenaire, comme si ma douce intégrait ma ‘’signature intime’’ en elle.. Jouir sur son dos, sur ses seins, dans son cou, sur ses pieds; éjaculer dans son cul alors qu’elle a déjà le pourtour de la bouche barbouillé et la fente pleine.. N’est-il pas excitant de contempler désarmé -ébahi- une belle récupérant la petite liqueur de son vagin pour le déposer sur ses lèvres, sur ses seins et un peu partout ailleurs ? Peu importe l’orifice par lequel je la débute, par lequel elle se termine, pourvu que ma muse rentre chez elle totalement submergée par des odeurs de baise. Je l’imaginerais prendre le train pleine de vapeurs intenses puis déambulant dans les rues, traversée de vibrations aux échos tenaces.. Idéalement, en vue d'une rencontre avec une nouvelle amante, il s'agirait de ne pas se masturber plusieurs jours durant. Pour être au taquet au moindre attouchement et s'assurer d'éjaculer abondamment dans le corps de la promise. Grisante perspective.. En début de vingtaine, je peinais à trouver le sommeil sans en passer par une petite branlette ! Mais cela ne m'a pas pour autant guidé dans le 'premier lit de nymphomanie' qui se présentait à moi: au cours de mon existence je n’ai jamais eu de ‘coup d’un soir’. Il faut dire que j’aurais sans doute fait bien plus souvent l’amour si il n’y avait pas eu la menace de vilaines maladies qui planait.. Avec mes compagnes, c'est toujours moi qui évoquait la nécessité des tests de MST.. J'ai parfois déploré qu'on fasse tant la promotion du préservatif et si peu du dépistage.. Les types comme moi qui ont un souci de prépuce récalcitrant, ne sentent parfois pas grand chose avec une capote.. En outre, caresser une femme de l'intérieur avec ce gant de latex, créer une frontière entre la chair et la chair et jouir dans cette éprouvette caoutchouteuse.. mon Dieu, quelle horreur ! Dès lors, la parano occasionnée par le Sida m'amène très souvent à freiner mes instincts.. A l’heure où l’envie de devenir père me titille sérieusement, la capacité d’une partenaire à faire preuve d'un véritable sens des responsabilités devient cruciale. Je veille pour ma part régulièrement à m'assurer qu’aucun élément nocif ne s’est aventuré dans mon sang. Il faut dire que je me suis fait opérer à plusieurs reprises de hernies dernièrement et cela m'a permis de me tenir régulièrement à jour ! A ce propos: si durant la vingtaine j'adorais soulever ma copine du sol pour lui faire l'amour, aujourd'hui, avec trois petites plaques préventives dans le corps, je serai moins enclin à le faire ! Beaucoup de jeunes femmes sont complètement inconscientes des risques inconsidérés qu’elles prennent avec de sinistres partenaires, que, trop souvent, elles recouvrent à l’excès d’un vernis mélioratif.. Pour ma part, j’ai eu peu de partenaires sexuelles dans ma vie, et la quasi-totalité d’entre elles ont été des compagnes ou des amies. Parfois aussi je me refrène de coucher avec certaines demoiselles en me représentant la tripoté de lascars vaguement répugnants qui ont ‘officié’ en elles. C'est sans doute désolant, mais il suffit que j’y songe pour que cela m’écoeure quelque peu.. Il m'est arrivé lorsque j'étais amoureux de filles un peu faciles, que cet écoeurement devienne paradoxalement éminemment excitant: le douloureux plaisir de se représenter sa comparse comme un réceptacle ultime des désirs masculins.. On est toujours tenté de s'imaginer sa compagne attelée à jouir différemment avec les autres hommes, avec d'avantage d'abandon.. Je songe notamment à la chanson de Gainsbourg, 'Sexshop'.. Je suis assurément beaucoup moins sujet au dégoût lorsqu’il s’agit de femmes entre elles. Car le raffinement est souvent d’un autre ordre entre ces dames.. Il n'y a qu'à voir sur 'Youporn' & consorts à quel point ces demoiselles sont prêtes à se présenter tirées à quatre épingles, hyper proprettes, en vue de se faire dilater, défoncer et souiller.. Les femmes qui sont peu soucieuses de leur propreté ont assurément tord. La proximité de la vulve avec l'anus, du moins la conjugaison de ces zones est parfois redoutable en matière d'odeurs: il m'est déjà arrivé de me trouver fort indisposé par des effluves d'arrière-train. Les femmes évoquent souvent les odeurs malaisantes des hommes, mais la réciproque est indiscutable. Je suis sensible aux odeurs, à commencer par les miennes. Je me rince toujours le gland après avoir pissé par exemple. Ma dernière compagne en date ne s'aventurait pas à me faire une fellation si la moindre petite odeur suspecte pouvait subsister (le prépuce ayant parfois tendance à garder quelques 'odeurs de chauffe' qu'il occasionne). En revanche, la première fille avec qui j'ai débuté ma vie sexuelle m'a déclaré un jour en passant sa main dans la commissure de ma cuisse, qu'elle estimait que je n'étais pas encore assez fermenté à son goût: elle se délectait au lit de mes odeurs de transpiration. L'alchimie sexuelle est avant tout liée à une complémentarité biologique en vue de la reproduction. Une femme est nécessairement attirée chimiquement par un homme dont le patrimoine génétique est opposé au sien. J'a déjà fantasmé de récupérer des flacons d'hormones animales utilisés par les parfumeurs, pour m'en répandre sur le corps avant de débarquer en soirée ! Je confesse que je préférerai toujours une femme qui a eu peu d’hommes dans sa vie à une autre qui les enchaîne sans discernement. A mes yeux c’est un peu comme acheter des lots de yaourts bon marché, sans saveur, mais qu’on ingurgite en série, espérant que s’esquisse un semblant de contentement en nous. Certaines demoiselles empilent indiscutablement les expériences dignes d’intérêt, mais certainement pas la majorité d’entre elles !   Idéalement, j’aimerais débarquer chez une amie et entrer directement dans le vif du sujet..   5. Je m’imagine grimper les étages d’un immeuble parisien et trouver la porte légèrement entrouverte; franchir le palier et découvrir la demoiselle assise sur sa table ronde, écartant lentement sa cuisse pour m’encourager à la rejoindre.. Une autre fois, à peine la porte refermée, la belle serait déjà postée à un angle, tout sourire, à chercher ma bouche de ses lèvres et ma verge de sa main.. Cela, parfois même sans se soucier de savoir si je suis consentant.. Je me délecte d'une femme au large fessier venant asseoir son cul nu sur mes genoux, s'attelant à frotter langoureusement son pubis contre le mien, m’incitant délicieusement au désir..   Exécuter chaque volonté d’une femme me demandant de m’allonger par là, de l’enfiler par ici.. Du reste, je me contenterais tout à fait d'un mode 'soft' : grisée par un verre d'alcool et la légèreté de l'instant, je serais enchanté qu'une pote de longue date me dévoile un sein ou relève un peu sa jupe. Qu'elle invoque une exquise malice tout à fait inattendue.. Souvent chacun se perd dans cette sempiternelle parlotte qui n'est parfois qu'un puits sans fond; il serait pourtant fort charmant, merveilleux et ludique de découvrir des parcelles du corps de l'autre..   En amour j’ai toujours été fidèle comme un bon chien, mais je dois confesser qu’avec le recul je regrette un peu que certaines amies n’aient pas su abuser de moi en me forçant la main dans le dos de certaines compagnes indignes..   Un nombre non négligeable de femmes confessent avoir déjà fantasmé de simuler un viol avec leur partenaire. Certaines de mes copines prenaient effectivement plaisir à émettre de petites protestations pendant que je venais les déborder... Pour ma part, je ne serais en rien contre le fait de me laisser renverser par l’autorité d’une femme qui m’ordonnerait de me déshabiller et de m’allonger dans son salon..   6. J’aimerais assez qu’une pote me mette la main dans la culotte sans crier gare et que son visage s’éclaire en sentant mon sexe s’épaissir.. Ce serait comme lui délivrer une autorisation en règle, des aveux signés en vue de me baiser ! En espérant toutefois que sa frénésie ne retombera pas comme un soufflet en ne décelant pas d'emblée dans mon pantalon, le gros bazar espéré: certains mecs gagnent un tiers de queue en érection. Pour ma part c'est une bonne moitié.. Visuellement, je préfère avoir un attribut de taille modérée au repos que me balader avec une sorte de tuyau d'arrosage.. Néanmoins, la symbolique phallique en impose encore sur la psyché masculine: j'esquive encore et toujours les vespasiennes ainsi que les douches publiques ! Le sexe des femmes s'atrophie lorsqu'elles n'ont pas fait l'amour depuis longtemps. C'est un peu pareil pour les hommes, notamment sujets au phimosis. Au moment où j'écris ces lignes, cela fait plus d'un an que je n'ai pas eu de rapports sexuels. J'ai l'impression de devoir tout réapprendre. Et autant le faire avec une espiègle personne qui ne vous mettra pas la pression..   La demoiselle, enchantée d'avoir éveillé mon désir, viendrait bien vite au dessus de moi, à m’enfoncer sa langue dans la bouche pour y déverser un long filet de bave avant de me lécher le corps sauvagement. Puis empalerait son cul sur ma queue moite de mouille pré-séminale pour me foudroyer. Se badigeonnant ainsi de ma jouissance sous mes yeux, comme un bel animal dans l'expression de sa pureté sauvage. J'ai eu une compagne particulièrement vaginale, qui, paradoxalement, ne mouillait pas beaucoup de la chatte. Lorsque je ne mouille pas moi-même durant un ébat, que ma queue n'a pas été lubrifiée de salive et que ma partenaire est sèche, il y a toutes les chances que mon prépuce me fasse souffrir dès les premiers instants de l'acte. Ce qui est dommage à considérer que la pénétration à sec m'excite. Mon prépuce peut se décalotter en érection mais ce n'est pas toujours gagné. D'ailleurs, d'une saison à l'autre, il est plus ou moins souple. Et il est vrai que mon frein permet tout juste de dévoiler le gland. Parfois quand je vois des mecs se faire branler saisis par le sommet de la bite, je suis jaloux. Jaloux aussi parfois des glands en forme de champignon, car bien que moches, ils épousent parfaitement l'entrée du vagin et surtout de l'anus. Je trouve la nature bien faite; c'est souvent, il est vrai, épatant à contempler. Je pense d'ailleurs que c'est la vraie raison du nombre de vues ahurissant des vidéos pornos sur le net. Ma psychologie sexuelle et ma personnalité auraient été très certainement différentes sans ce petit souci.. Lorsque je matte une vidéo de cul, je suis notamment envieux des hommes qui se font gober le gland comme si il s'agissait d'un gros bonbon en gélatine. Pour ma part, cela implique de tirer le frein au maximum, c'est un peu moins aisé, moins naturel pour moi. Durant la trentaine, il arrivait que tout cela se détende. C'est souvent en Eté que ma peau est la plus souple. Je pense qu'il suffirait simplement que je me remette à faire l'amour régulièrement. Il m'est arrivé plus d'une fois, allongé près d'une femme, de perdre ma vibration initiale par crainte de la douleur. Certaines ont des vagins plus alambiqués que d'autres ! Néanmoins, et fort heureusement, j'ai d'avantage de plaisir et de sensations lorsque j'éjacule dans un sexe de femme que dans ma main. On a beau mieux contrôler les choses de ses doigts, la nature reprend ses droits en matière d'impératif catégorique ! Actuellement, je débute un traitement à la corticoïde (qui semble efficace) recommandé par les dermatologues britanniques. Ce n'est pas la première fois que je tente un crème, mais peut-être la dernière. Je redoute les effets que cela peut occasionner sur l'érection et sur les sensations..   Fort heureusement, le plaisir consiste aussi à faire naître celui de sa partenaire..   Venir m’agenouiller aux cuisses de la belle pour lui faire un cunni et me faire attraper d'entrée par ce qui me reste de cheveux, contraint de lui lécher l’anus et de recevoir un peu de sa fontaine au visage.. Une autre fois encore, alors qu’elle serait jalouse d’une demoiselle que je fréquente, je la trouverais nue à quatre pattes, la rustine luisante, m’engageant à l’enfiler par le cul. Cela afin qu'elle sente, éprouve en profondeur sa capacité à reprendre la main sur une autre femelle.. Dans ce genre de contexte, la proie n’est pas forcément celle qui trône au milieu de la pièce..   Et puis j’aimerais beaucoup être acculé sur un lit, la contemplant elle et ses grands yeux débordants d’une malice diabolique, torse nue, les seins superbes et insolents, s’apprêtant à m’empoigner, me gober, me sucer, m’avaler intensément.. Plutôt que de l’encourager par une litanie passablement prévisible de «oui, ouI, oUI, OUI !!» j’adopterais une déferlante de «non, noN, nON, NON, NOOOON !!!!», histoire de l’encourager à exulter dans son rôle démoniaque !!   Enfant je fantasmais beaucoup sur les "Sylvidres", créatures ultra-gaulées et suprêmement maléfiques qui hurlaient en mourant, carbonisées par une pluie de lasers fatals. Ces furies délicieusement flippantes pourchassaient sans relâche Albator, glorieux corsaire de l’espace ! Je me souviens tout particulièrement d’un épisode où la Sylvidre en chef, démesurée, disposait notre héros dans un cercueil en verre et s’attelait à égarer ses mains sur le corps de l’homme piégé, tout cela, en poussant des soupirs de satisfaction sensuel et de petits rires de délectation.. Ce spectacle m’avait vraiment troublé, laissant une emprunte tenace dans la matrice de ma sexualité ! J’aimerais me faire baiser fougueusement tout un week-end, jusqu’à ce que la furie ait absorbé en elle tout ce dont je dispose de sécrétions masculines.. Etre réveillé au milieu de la nuit par son désir intense de grimper sur moi en silence, pour qu’elle satisfasse son besoin irrépressible de sexe. Soyons toutefois réaliste: si jusqu'à la trentaine je pouvais bander ''H24'', quelles que soient mon humeur et mon état de santé, à 45 ans passés, mes dispositions érectiles sont tout de même plus variables; moins certaines. La meilleure garantie chez moi étant la qualité de mon sommeil. En vieillissant on s'étonne tout aussi souvent d'une érection franche et bien dure que d'une un peu poussive et vaguement molle. J'entends qu'on ne sait plus trop pourquoi, certains soirs de branlette, attelé à fantasmer, l'organisme se montre franchement motivé et d'autres soirées assurément moins.. Ce côté aléatoire qui n'existait pas dans ma jeunesse, me gonfle un peu parfois.. D'autant que cela peut s'avérer une source d'inquiétude au moment de se retrouver dans un contexte intime.. Je me souviens m'être fait plus ou moins engueuler par la fille avec qui j'avais eu une panne car je ne bandais pas au doigt et à l'oeil. Trop souvent les jeunes femmes, aveuglées par leur propre personne, manquent cruellement d'humilité et gagneraient à encadrer les hommes plutôt qu'à les blâmer suivant leur vanité. Mais ce n'est que mon point de vue !   Quarante cinq années passées sans faire d’enfant pourraient me laisser succomber au désir d’une domina désireuse d’enfanter sans avoir à s’encombrer d’un mari conventionnel.. La féline, exubérante, m’annoncerait être en période d’ovulation avant de me baiser frénétiquement plusieurs jours durant..   Beaucoup de femmes s’imposent une contenance, une gravité parfois excessive, afin de se donner le sentiment, nécessaire à leurs yeux, d’une autorité, d’une crédibilité qu’elles angoissent parfois de ne pas avoir..   7. Il est particulièrement excitant de contempler des femmes bien élevées sortir brutalement de leurs bienséances pour mettre un homme à leurs genoux, afin de le gifler, de lui cracher au visage. J’envisage l’intensité du corps féminin déployant son énergie vive comme une sorte de feu d’artifice organique, un spectacle unique et singulier !       Tenu de remplacer prochainement deux couronnes dentaires, j'éviterai toutefois les graines de boxeuse..       Une dominatrice en herbe peut volontiers se permettre, en me contemplant empêtré d'un pantalon sur les chevilles, de m’asséner des coups, des tapes, des pincements, en vue de me déséquilibrer. J’aime assez l’idée de chuter aux pieds d’une belle..     - comment ose-tu bander devant moi misérable !?       Ayant encore quelques varicocèles sous les testicules hérités de l'adolescence, je suis particulièrement réservé concernant la perspective de me faire malmener l’entre-jambes. D’autant que je n’ai pas encore d’enfants et que, comme je l’évoquais plus tôt, je désire vivement en avoir !   Les bourses sont parfois pendantes, parfois gonflées comme deux fruits gorgés.. C’est dans ce dernier cas qu’une fille peut symboliquement me signifier son ascendant en empoignant mes couilles dans sa main; en les tapotant éventuellement par le dessous avec une règle.. En revanche, je demeure pour l’heure hostile aux étranglements de testicules et de verge.   Il m’est arrivé plus d’une fois de fantasmer sur la pratique du ‘ballbusting’ mais il est vrai que je redoute tout de même la sensibilité de mon testicule gauche..   Bref, avec parcimonie, dosage et tempérance !   Ou du moins, dans un accès de fièvre promettant un feu d’artifice suffisamment mémorable pour que je concède à me mettre en joug.. Dans ce genre de contexte c’est encore le feeling, l’intuition qui décident..       Je ne laisse pas une femme prendre l’ascendant sur moi si elle ne dispose pas des capacités à le faire; autrement dit, si elle est dépourvue d'esprit, de répartie, de charme, de charisme.. Une demoiselle gauche, vile, inculte, ne saurait me mettre en condition, notamment si elle a tendance à écorcher outrageusement la langue française. A moins que je recherche précisément une personne de ce genre pour satisfaire une envie soudaine et passagère.. Mais, en matière de filles arrogantes et agressives, je préfère un binôme de décadentes ou un trio d’arrogantes !   Depuis que j’ai franchi le cap de la quarantaine, rares sont les filles qui me rendent ivres de passion. De ce fait, mes envies et mes fantasmes peuvent se retrouver parfois livrés aux aléas de montagnes russes.. Je ne demande qu’à être plus souvent porté vers les hauteurs d’un violent désir !       8. Je ne suis pas soumis de caractère; parfois sans doute un peu trop diplomate.. Néanmoins, je considère que la soumission sexuelle peut avoir des usages judicieux qui dépassent le simple contexte rituel ou ludique..   Les hommes qui se soumettent d’emblée à n’importe quelle domina comme si il s’agissait d’une nécessité naturelle me semblent paradoxalement ne pas emprunter la voie d’un réel cheminement. Il n’y a pas de maturation véritable à mon sens, sinon un épanchement aveugle, diluant l’identité dans l’indignité.       Tu éprouves un frétillement sexuel qui demande à être épanché mais ta douce a des règles trop importantes ce soir là ou ne souhaite simplement pas se lancer dans des ébats à rallonge. Elle consentira dès lors volontiers à se mettre à genoux pour te gober le vit. Tu pourras aussi lui demander instamment de le faire: certaines petites chiennes adorent qu’on leur donne des ordres.. et toi tout autant, pourvu que ta belle en impose !   ll est tout aussi constructif qu’excitant de subir quelques sévices lubriques orchestrés par une pote qu’on aurait contrarié malgré soi, plutôt que de se trouver confronté à une tension sourde et latente engendrant une brouille durable..   Ma pudeur, mes fluctuations, mes tergiversations en ont vraisemblablement agacé plus d’une, du moins je le suppose.. Certaines nénettes ont très certainement pensé que je ne les désirais pas alors que j’étais simplement un peu lâche, un peu dégonflé.. L’intimité m’intimide, que voulez-vous ! Je n'ai pas confiance en moi. Et à 45 ans, cela ne va pas forcément s’arranger. Il m’arrivait encore il n’y a pas si longtemps d’avoir des montées de sève en songeant à une pote mais une fois la branlette achevée, je me félicitais de ne pas l’avoir contactée ! Mes hormones capricieuses trompent encore parfois mon jugement. A moins que ma rationalité prenne désormais trop de place. Je n’arrive pas vraiment à trancher sur ce point.. Je botterai en touche en déclarant simplement que je suis Balance (amour, partage, rêverie) ascendant Capricorne (méthode, rigidité, isolement) ! Je valide l’astrologie d’un point de vue statistique. En deux mille ans, les observations se sont précisées et tiennent la route.. J’ai d’ailleurs été en couple avec une demoiselle qui était née le 25 Septembre comme moi. Néanmoins, beaucoup plus jeune.. En effet, il y a une douzaine d’années j’ai pris ma voiture après une nuit blanche pour faire trois cent bornes et rejoindre cette fille à peine majeure dans un hôtel. Une demoiselle toutefois plus expérimentée que moi en matière de sexualité, qui allait devenir ma compagne quelques temps, par la suite.. Je n’avais pas dormi ni déjeuner et en débarquant -hypoglycémie- j’ai connu ma première panne sexuelle.. Jusqu’alors je bandais sur commande, quand je voulais et aussi longtemps que je le souhaitais sans me poser la moindre question. Suite à cette expérience, j’ai perdu l’assurance naturelle qui m’accompagnait jusqu’alors, du moins, en ce qui concerne ma virilité. A noter que chaque fois que je sors d’une relation longue, comme c’est le cas depuis une petite année, je ne réponds plus de rien en matière de confiance envers mes aptitudes sexuelles.. Je fais mine de venir au bord du plongeoir mais au final je me jette assez rarement à l’eau.. Comme me le reprochait ma mère et mon meilleur ami durant ma vingtaine, j'ai une tendance au Don Juanisme: je flirte, j'allume et je ne conclue pas. Même lorsque je tentais d'en tirer quelque vanité, mon manque de cran m'accablait. Et c'est encore le cas aujourd'hui !       Pour prolonger l’anecdote, c’est la demoiselle avec qui j’ai connu le ''traumatisme'' de la panne, qui m’a initié aux marathons sexuels de trois jours..       Je préfère qu’une femme s’adonne à quelques sévices sur ma personne plutôt que de rester sur une frustration, notamment, si je ne lui ai pas donné pas satisfaction durant une approche sexuelle alors même qu’elle trépignait de jouir intensément. Comme tout le monde ou presque, j’ai connu des partenaires avec qui ça collait presque toujours et d’autres avec qui c’était souvent laborieux..   Il s’agit en quelque sorte d’une voie alternative pour qu’une femme puisse atteindre une forme de contentement. D’autant qu’une femelle agacée épanche plus chichement son énergie primale. Et quoi de plus fascinant que la cristallisation des abîmes intérieurs d’une femme ?       Il est tout à fait jouissif de prendre une femme au mot lorsqu’elle vous déclare échaudée que vous mériteriez une bonne correction !!       9. Me retrouver précipité dans un petit bureau et projeté le ventre contre une petite table ancienne, déculotté, en vue d’une fessée. L’assaillante ayant à disposition un double décimètre pour m’infliger sa correction.   Je suis d’ordinaire réfractaire à la moindre tape sur mon cul. Néanmoins, si je sens que la femme qui s’emporte est possédée par une envie irrépressible de m’imposer sa sentence, l’excitation prendra le dessus, pourvu que je sente la garce sortir de ses gongs.   Paradoxalement, je ne recherche aucunement à subir de sévisses qui engendrent une souffrance durable. Et je pense que c’est dans cet état d’esprit qu’une demoiselle souhaitera être à son tour réprimandée !   J’aime, du reste, qu’une belle meuf me mette une main au cul en me signifiant son appétit.   J’aime bien aussi les nanas fringuées en post-lolitas, jupette et culotte de coton, qui veulent se faire fesser intensément et attraper par les hanches, puis par la bouche afin d’être pilonnées. Certaines d’entre elles jouissent de se sentir dépossédées de leurs corps et abusées sans ménagement.   Je souscris à cela d’autant plus si le week-end s’étend sur trois jours, afin que je puisse dilater durablement leurs orifices et imprégner leurs corps de mon odeur.   J'aime lécher un clito dans le sens des aiguilles d'une montre tout en doigtant la chatte de la fille dans le sens inverse, cela, en caressant également du bout d'un doigt son anus de bas en haut.. En général, cette perte de repère cumulées à une conjonction de stimulis engendre souvent un abandon délectable.   Ma dernière copine en date était assez frigide (elle peinait à se faire jouir elle-même) et j'aimerais bien du coup, dans l'idéal, faire l'expérience d'une femme hyper vaginale, à qui on peut avoir le plaisir de donner de gros orgasmes aisément.. Ma toute première compagne était un peu de cette vaine, mais j'aimerais faire l'expérience d'un cas exponentiel..       Les demoiselles apprécient d’entendre leur corps claquer, telle une grande voile dans la volupté du vent.       10. Gifler les seins, le visage, les fesses de celles qui aiment les échanges toniques.. J’apprécie les petits gémissements, les petits cris de surprise et le silence qui s’ensuit qui incite à réitérer les sévices.. Je n’ai giflé le visage d’une fille qu’une seule fois, à sa demande, durant un ébat..     Coup de queue, gifle et crachat simultanément pour la garce en manque de sensation forte.. Parfois l'homme aimerait jouir dans tous les orifices à la fois, alors un crachat accompagnant le jet de foutre, fera l'affaire, du moins pour celles qui aiment ça..   ..et il y en a..       J’aime une femme qui s’abandonne lorsqu’elle est prise en levrette; l’attraper par les cheveux pour qu’elle se redresse et contempler son dos s’incurver et se tendre comme un arc. Spectacle d’autant plus plaisant lorsqu’il est exécuté devant la compagne de la demoiselle..       11. Baiser la compagne d’une femme sous ses yeux, en la narguant de façon appuyée et suggestive.   L’une étant bi, l’autre assez gouine. Cette dernière, traversée de contradictions: à la fois curieuse, excitée et hostile, se laisserait bientôt débordée, abusée à son tour avec la complicité avisée de sa belle..   A moins que la superbe créature qui m’aura contemplé 'casser le cul' de sa copine me rejoigne discrètement pour coucher à son tour avec moi..   A l’heure où l'on célèbre les clitoridiennes, j’ai une sympathie envers celles qui perdent gentiment la tête pour quelques va-et-vient dans leur petit vagin.. Clito et chatte sont, on le sait ben, de connivence dans les frottements pubiens.       Laisserais-je une femme casée s'abandonner à moi ?   Pour ma part, je n’ai jamais trompé aucune de mes compagnes et je serais de ce fait assez enclin à venger gentiment l’infidélité d’un homme envers une femme..       12. Qu’une dame m’accorde les faveurs que son compagnon a tenté d'exiger d’elle en vain. Du moins, lui infliger les choses qu’il n’a osé lui faire; d’autant plus si il est allé l’assouvir avec une autre.. Incarner la revanche d’une femme ou, plus simplement, concrétiser avec elle un de ses plus grands tabous..       Parfois aussi, incarner ma propre revanche:       13. Faire du chantage à une ex que je retrouve par hasard et avec qui j’ai eu le loisir de coucher jadis dans le dos de son compagnon, sans qu’elle en éprouve le moindre scrupule..   Revoir une ex désormais mariée, cela m’est arrivé une fois en retrouvant la première volage avec qui j’avais vécu une passion naïve.. J’avais été fiancé à cette fille et le pacte n’avait jamais été brisé, c’est pourquoi je me sentais modérément en faute.. Du moins, j'avais envie de me dire que j'étais un peu légitime de récupérer ce corps pour moi. C'est mon côté prédateur qui se manifeste encore régulièrement.   Aujourd’hui, j’aimerais menacer gentiment une volage de tout révéler à son compagnon si elle ne passe trois jours à coucher avec moi durant un déplacement de son conjoint.   Cela serait bien évidemment un chantage relatif, sachant d’avance à la tenue qu’elle porte pour m’accueillir, qu’elle n’attend que ça !       La psychologie de la femme est, à juste titre, souvent considérée comme plus sinueuse et escarpée que celle de l’homme; je fantasme d’autant plus sur des attitudes inattendues et déroutantes de la part de ces dames..       14. J’ai eu, il est vrai, une rêverie assez récurrente consacrant une femme, le pied posé sur un rebord de baignoire ou de chaise, ouvrant doucement sa cuisse comme un rideau de théâtre pour m’uriner au visage avec une délectation non feinte.   La jeune femme se trouvant, notamment, surélevée par rapport à mon corps agenouillé, voire adossé, porté en arrière par son joli pied..   Me surplombant, elle serait là à m’observer, arborant un petit rictus amusé, le regard pétillant de malice..   Je l’imaginerais bien aussi me présenter son cul pour s’abandonner au plaisir intense de 'lâcher sa vessie' après s’être retenue trop longtemps. C’est le fameux ‘’peegasm’’, qui vaut également, mais dans une moindre mesure, pour les hommes !   La petite perverse ferait d’une pierre deux coups, en conjuguant un orgasme organique tout en gratifiant son psychisme d’un acte fort vicieux..   La première fois que je me suis retrouvé le nez sur un sexe de fille, ce dernier exaltait fortement l’urine. Cette sympathie pour l'urologie est sans doute née de cette expérience, ainsi que d’associer la projection de fluide à l’orgasme. Et je n’ai jamais eu le plaisir jusqu'alors de rencontrer une femme-fontaine..   Certains individus ayant une odeur d'urine pouvant se rapprocher parfois de celle d'un pneu de voiture cramé, j'évoque ce fantasme avec quelques réserves de bienséances..   Je repense notamment à cette fille qui m'avait déclaré que son sexe sentait le gâteau de Gascogne. J'avais failli tourner de l'oeil en allant vérifier ses dires..   Pas mal de jeunes femmes se présentent comme de super coups, de super suceuses, de très belles créatures, et parfois c'est tellement grotesque qu'il vaut mieux encore se taire.. Un peu comme ces filles qui prennent des poses totalement ridicules sur Instagram et qui se trouvent pourtant irrésistibles..   Comme disait Brigitte Fontaine dernièrement: les hommes sont couillons mais les femmes sont connes.       Si durant un quart de siècle j’ai aimé me laisser piquer par de violentes envies salaces, je dois dire que ces derniers temps je me demande si je n’ai pas débuté d'ors et déjà mon chemin vers l’andropause.. Est-ce la vacuité féminine contemporaine, que mes hormones, moins puissantes,peinent à vernir ? Encore que ce blog n'existerait pas si tel était vraiment le cas !   Quoiqu'il en soit, avant de glisser bel et bien dans l'andropause, je souhaiterais au préalable, me glisser entre deux androgynes puis glisser, tant qu'à faire, dans l'une d'elles;   dans chacune !       Tant qu’à assouvir mes déviances, autant le faire en trio. Je trouve d’autant plus excitant d’avoir à composer avec un duo de vicieuses..       15. J’en pince pour les couples -homogènes- de femmes désireuses d’incarner ponctuellement un charmant tandem de dominas ludiques..     J’imagine ainsi quatre cas de figures:       - Deux jeunes étudiantes en début de vingtaine (j’ai une préférence pour la tranche 19-29 ans, mes compagnes n’ayant jamais excédé les 27 ans). J’aime la fermeté du cul et des seins qu’ils soient coniques, en pommes ou comme des sacs lourds. J’aime les aréoles d’un rose doux et clair, j’aime les tétons qui pointent chichement comme si ils restituaient une allégresse de vie. Je ne me lasse jamais des tubercules de Montgomery.   J’aime les garçonnes brunes lorsqu’elles sont grandes et élancées. J’aime les pubis bruns bien dessinés, triangulaires et denses; graphiques. J’aime certaines lèvres plutôt que d’autres: certaines me donnent envie d’emblée de faire l’amour; d’être en amour. J’aime les cuisses charnues qui se touchent; les hanches et la chute de reins, prononcées. Un léger rebondi du ventre pour poser sa tête et amortir les coups de verge.. Quelques grains de beauté dispersés majestueusement. J’aime les jolis pieds délicats, notamment lorsqu’une très fine chaîne orne leurs chevilles.. J’aime les petits nombrils en creux, les décolletés de dos et d’épaule, les nuques dévoilées, à nue. Je n’aime pas les rides au front, les odeurs d’arrière-train trop sales et âpres. J'abhorre les oreilles excessivement grandes et les longs nez crochus, bossus. J’exècre les sourcils trop épilés et peints à la truelle ainsi que les ajouts de cils et d’ongles démesurés. Je n’aime pas les clavicules et les vergetures trop apparentes, les femmes squelettiques et celles empesées dans leurs larges bourrelets.. Je trouve effroyable tous ces regards dénués d'âme, vides, désincarnés.   Donc, je disais :   - deux ingénues de moins de trente ans.   - Deux femmes plutôt mûres mais pas encore cougars, dans le genre femme d’affaire en tenue circonstanciée.   - Concernant les dames de plus de quarante ans, je m'imagine parfois des nanas bien en chair, par vraiment élégantes ni belles, un peu trop peroxydées. Une tendance fellinienne peut-être.. notamment lorsqu’il s’agit d’être entraîné dans des plans régressifs..   - Enfin, je ne suis pas réfractaire aux femmes dans la cinquantaine et parfois même à une sexa sans botox, élégante mais un brin débraillée, tempérée mais d’un grain de malice ornée..Douce, spirituelle, charmante…   Il m'est aussi arrivé de me représenter une petite communauté de dames autoritaires un brin sournoises avec laquelle j’aurais eu à découdre sexuellement..       Le nec-plus-ultra serait un couple de 'switchs', demoiselles aimant être tantôt dans la posture de domination, tantôt dans la posture de soumission, et tantôt dans les deux simultanément..       Parfois il est vrai qu’on ne sait plus trop qui a l’ascendant sur l’autre..       16. Se retrouver avec un couple de femmes dans une baignoire, nettoyé délicatement par leurs quatre mains. Jusqu’à ce qu’une d’entre elles m’enfonce insidieusement -délicatement- un puis deux doigts dans le cul, et enfin sa longue langue agile et chaude..   Sa comparse, quant à elle, s’attelant consciencieusement à me sucer.. Dans ce cas de figure, il y a à la fois de la domination et de la soumission dans leurs posture conjointe..       A vrai dire, j’aurais plutôt tendance à aller prendre un bain après avoir forniqué au sol..       17. Découvrir une langoureuse beauté alanguie sur mon tapis les yeux clos, attelée à se donner du plaisir.. Parcourir lentement son corps de caresses, de baisers, et tandis qu’elle esquiverait vaguement mes lèvres par jeu, lui amener ma verge en bouche..   Accélérer lentement les balancements de mes reins en connivence avec les modulations de ses soupirs et gémissements..       Autant j’ai vraiment du mal avec les femmes qui se répandent en vocalises tonitruantes pendant l’acte, autant j’aime les demoiselles qui vont 'pimenter la bande passante' en modulant leur jolie voix, saupoudrant la séquence d’accents toniques propres à m’émoustiller..     Une Fipette s’il vous plaît !       Concernant la baise au sol, j’aime tout autant l’idée qu’une femme vienne me porter son sexe aux lèvres..       18. Je voudrais qu’une femelle m’invite à m’allonger sur son canapé pour que je la vois venir tranquillement s’asseoir sur mon visage, le temps pour elle de feuilleter une revue ou de croquer une pomme.   La jupe serait trop courte et le sexe dénudé; la vulve légèrement humide, répandant sur mon visage un singulier fumet de cyprine animale aux légers accents de transpiration et d’urée..   Puis se levant avec un grand sourire de satisfaction, elle ferait mine de s’éloigner pour revenir vers moi et me tirer par le bras afin de me faire glisser sur son parquet.. C’est alors qu’elle déposerait à nouveau son sexe sur mon visage en s’accroupissant face à moi et porterait ma bouche à son sexe de ses mains fermes pour m’inciter à le lécher. Bientôt elle agiterait sa croupe énergiquement pour que ma langue puisse passer de son clito à sa rustine plissée..   Une fois rassasiée de ce petit jeu, elle attendrait que ma bouche éprouvée s’ouvre une ultime fois pour faire jaillir sa cyprisse (cyprine/pisse) de femme-fontaine dans ma bouche.. Elle se relèverait alors pour me surplomber de toute sa superbe volupté, les seins suspendus comme des obus, et achèverait de déverser ses fluides sur mon visage et mon torse. Enfin, elle empoignerait ma queue pour se la carrer énergiquement en bouche ou dans son antre, histoire de me faire venir en elle..   En matière de facesitting musclé, je me représente surtout des nénettes très plantureuses, et plutôt métissées..       Certaines femmes sont également excitées par les odeurs de l’entre-jambe masculine, du pubis, de la verge, au moins autant que par la contemplation de l’organe érectile..       19. La première fois que je me retrouve dans l’intimité avec une femme. J'ai rarement confiance en moi. D’autant plus après une longue période d’abstinence..   Si je sens que la fille est également un brin timide, nous pourrons éventuellement s'accorder à lui bander les yeux. Les demoiselles timides dans l’intimité s’avèrent souvent impatientes et voraces.. Je l’inviterai à se mettre à genoux face à moi tandis que je sortirai mon sexe pour lui étaler toute mon odeur animale sur le visage. Et la voyant trépigner, lui engouffrer enfin ma verge dans sa jolie petite bouche..       Les hommes imaginent toujours mille manières d’être gobés..     Une petite réserve toutefois concernant les femmes aux dents-avant trop longues: en effet, je possède un grain de beauté (et même deux) sur la verge. Il m'est arrivé de retenir mon souffle par peur de me les faire scalper !       20. J’aime les demoiselles qui vous embrassent intensément dans la pénombre et se mettent à genoux pour vous prendre en bouche. D’autant plus lorsqu’il s’agit de passer rendre visite à une vieille complice dans la soirée..   Je m’imagine souvent intercepter dans la nuit une femme de retour des toilettes pour l’abaisser à mes tibias.   Je visualise aussi très bien une petite squatteuse en chemise de nuit étendue sur mon canapé, la tête posée sur mon ventre, matant vaguement une série en ma compagnie.   Dans la quiétude de la soirée sa tête viendrait se rapprocher innocemment de mon pubis..   Constatant mon excitation, la coquine sortirait mon sexe de mon pantalon pour le porter en bouche. D’une main baladeuse je viendrais pour ma part échancrer sa tenue, afin de palper la rondeur de son sein et la moiteur de sa vulve..   Réveiller une petite lubrique assoupie sur vous en lui présentant votre queue en bouche n’est-ce donc point délectable ?   J’aime enjoindre une nymphette à me prendre en bouche, mais également à me lécher le cul, à me sodomiser avec sa langue.   A moins qu’elle me contraigne..   Je me souviens d’une compagne qui sans criait gare, s’était mise à me lécher énergiquement l’anus avant d’y glisser un doigt tout en me suçant la queue. Cet entrain inattendu m’avait décontenancé et beaucoup plu !       Mon petit fion est devenu sensiblement plus délicat avec l’âge, mais si une femme ne s’avère pas trop gauche dans ses gestes (j’en ai connu de vraiment maladroites), je peux volontiers accepter de me laisser contraindre..       21. Je suis tout à fait enclin à me prendre une poignée de corde à sauter, une poignée de porte ou deux doigts dans le cul, pourvu que je me fasse sucer en même temps !       Et je suis, à mon tour, tout disposé à combler les béances de madame..       22. Enfoncer les deux embouts d’une corde à sauter dans les orifices d’une mignonne tout en empalant ma queue dans sa bouche.       Cependant, j'opte souvent pour une «entrée en matière» plus feutrée..       23. J’ai un faible pour les femmes allongées sur le flanc qui me présentent leur dos en silence, attendant un rien fébrile que je les déborde, que j’aventure ma main dans leur corsage..   La seule sensation de cette masse douce qu'on malaxe en silence, est un instant d'éternité et d'extase.   J'aime l'idée qu'on ne possédera jamais ce sein; que la seule façon de posséder une femme finalement revient à immortaliser l'ineffable émanation de sa féminité par le prisme de créations littéraires et artistiques.   Bien que je soupçonne la sensibilité artistique masculine de sublimer la phénoménologie féminine..     Plusieurs options s’offrent dès lors à moi: égarer ma main dans leurs petites culottes, lécher leurs sexes, remonter à hauteur de leurs visages; chercher à embrasser leurs bouches entrouvertes et lascives tandis qu’elles m’esquiveraient gentiment, les yeux clos. Les embrasser souplement alors que ma verge les pénètre..     Ou encore, toujours sur le flanc, remonter délicatement la jupe de la pépée et découvrir un plug profondément enterré dans sa raie; jouer délicatement avec l’objet guidé par les gémissements discrets de la vilaine avant de venir contre son dos pour le subtiliser, enfonçant désormais ma verge doucement, profondément en elle..   A ce propos, je me sens plus à mon aise dans mes mouvements lorsque je trône à droite, sur le lit. Même après l'amour, ma tête trouve plus aisément sa place sur l'incurvé d'une épaule, en me positionnant à droite..   J’aime les femelles contre lesquelles on est accolé pour papouiller et qui, très soudainement, s’en vont sans un mot dans la salle de bain et reviennent près de vous en saisissant votre sexe pour l’enfoncer dans leur cul. C’est alors qu’on comprend que ces demoiselles sont parties se lubrifier et qu’elles ont, ni plus ni moins, envie de se faire baiser par le cul..   Les hommes aiment la sodomie car ils retrouvent la même pression que lorsqu’ils tiennent leur queue en main, mais comme si cette main réagissait à chaque impulsion; comme si cette main, souple et élastique, épousait leur queue..   J’ai une certaine sympathie pour les sauvageonnes qui aiment se faire forcer l’entrée. Pour ma part, je trouve cela très excitant.   J’ai toujours eu des compagnes qui aimaient la sodomie. Je m’en suis longtemps privé avec une immense frustration, du fait d’un prépuce récalcitrant -léger phimosis- avec lequel je me dépatouille un peu mieux désormais.. A ce propos, je déconseille à ma future partenaire de me saisir par le sommet de la queue pour me branler à sec, cela risquerait de me faire assez mal. Il est préférable de me saisir à la base.   Concernant la branlette espagnole, un peu de lubrifiant est le bienvenu aussi. J’adore qu’une femme me branle avec ses seins en gardant les lèvres aux aguets pour recevoir son 'petit gloss'. Puis qu’elle attrape ma queue pour la passer sur son sein gauche; en recouvrir le pourtour de l’aréole de ma liqueur d’amour..       Enormément d’hommes se font circoncire pour s’apercevoir avec horreur que la kératinisation de leur gland entraîne la disparition de leurs chères sensations..   Du reste, beaucoup d'hommes circoncis ont besoin de cogner leur sexe dans celui de la femme pour éprouver une sensation, et certaines demoiselles finissent par souffrir de cela dans leur chair. Tant d'hommes dans les vidéos de cul semblent peiner à se finir. Ce qui me fait quelque peu relativiser sur mon prépuce qui aurait plutôt tendance à préserver ma sensibilité.   Dans l'absolu, lorsqu'une intensité s'installe entre deux êtres, on s'accommode, on compose avec les singularités du corps de l'autre. J'affirme d'ailleurs qu'aimer un être implique nécessairement d'apprendre à aimer ses singularités; ainsi que ses postures singulières..       Comme je le laissais entendre, certaines femmes se positionnent volontiers en proie. Pour ma part, j’aimerais volontiers faire l’expérience d’un duo de proies..       24. Je m’imagine parfois déambuler dans un vaste parc la nuit, revenant d’une fête nocturne comme il y en a souvent en été. Et croiser des jeunes femmes un brin alcoolisées.. L’une d’elles m’expliquant que sa copine est très inexpérimentée mais désireuse de profiter de la vibration du soir pour s’abandonner..   Et moi, de dépuceler sa bouche, et éventuellement sa chatte et son cul tout au long d’une nuit dantesque..       Je me représente également parfois un groupe de femmes comme sorties d’une secte, s’apprêtant à dévêtir une nymphe pour l’offrir à ma fantaisie sexuelle.. Le genre de rituel que l’on peut sans doute parfois vivre dans des clubs BDSM..     Durant ma jeunesse, il m'est arrivé de déambuler dans la pénombre le long d'une rive et de tomber sur une demoiselle qui s'est arrêtée pour converser avec moi. J'étais dans un camping au sein d'une bande de gars avec qui je passais ma 'conduite accompagnée'.. Elle digressait vaguement sans avoir quelque chose de notoire à raconter, parlait sans doute pour me retenir un peu, et au milieu de cette nuit d'Eté j'aurais été sans doute mieux inspiré de l'embrasser chaotiquement, de sentir son coeur battre et sa langue entrer dans ma bouche, lorsque ma main aurait fait tomber sa bretelle de robe puis sa petite culotte.   J'aurais raffolé de m'enchevêtrer dans les bras d'une jouisseuse et ceux des fougères, plongés dans la pénombre de la nuit, sous la clarté vicelarde de la lune.     J'ai sans doute raté trop d'occasions de vivre des moments forts.. Et il est peut-être encore temps de jouir de grisantes maladresses partagées dans l'improvisation du soir !   Je m'imagine encore de temps à autres, débarquer la nuit dans la petite maison de ma première compagne et la voir descendre de son escalier à demi-nue, s'avançant sans bruit dans la pénombre.       A deux reprises dans ma jeunesse, je suis sorti avec des jeunes femmes qui s’apprêtaient à fêter leur majorité. Je précise tout de même, histoire de relativiser, que la seconde fois j’avais vingt ans de moins que Vincent lorsqu’il épouse Tina..   Ces deux relations ont sans doute constitué mes plus grandes passions naïves. Bien que je fantasme plus volontiers sur des femmes aux portes de la trentaine, j’associe encore les demoiselles à peine majeures à la possibilité d’un revigorant vertige érotique, aussi frénétique -exaltant- que morsures fusionnelles de monseigneur Dracula !       Dans les faits, les jeunes femmes contemporaines qu’il m’est donné de côtoyer en tant que prof ou photographe peinent, la majeure partie du temps, à me captiver.. Peut-être que mes hormones ne font plus le job; peut-être aussi que je vois désormais les femmes telles qu’elles sont.. Peut-être enfin que ma relative maturité s'accommode moins de cette moderne inconséquence typique des ingénues contemporaines..   Et puis j’ai aussi besoin, parfois, de me sentir désiré. On pourrait finir par croire que c'est le privilège des femmes. Ces dames ont d'ailleurs trop souvent tendance à se laisser désirer. Quoi qu’il en soit, cela fait bien longtemps que je n’ai plus écrit un poème à une demoiselle, guidé, soulevé, transporté par une passion dévorante.. Je me contenterais volontiers, en ces temps obscurs, de me laisser happer par un petit vent de fraîcheur espiègle..       25. Dans une vaste maison de famille, une demoiselle fraîchement majeure entrerait dans ma chambre sans crier gare, et viendrait vers moi pour me dire bonne nuit. Elle se pencherait doucement, me laissant le spectacle de ses seins lourds, à peine retenus par sa nuisette soyeuse..   La petite chérie, le sourire en coin, me tendrait ses lèvres très soudainement au moment même où je m’apprêterais à embrasser sa joue. Ne me laissant pas le temps d’être surpris, elle viendrait déployer fougueusement sa langue dans ma bouche. La furie, portée par son élan, serait déjà à placer sa poitrine sur mon visage, se hâtant déjà de fouiller sous mon drap pour s’assurer de son petit effet sur moi.. Bientôt, elle viendrait sans un mot s’asseoir sur ma queue ferme, débutant des va-et-vient -des vagues langoureuses- afin de m’éprouver en elle. Harponné à ses courbes, je la regarderais marquer intensément l’instant de sa vertigineuse volupté..       Le lendemain déjà, un nouvel acte se dessinerait..       26. Entrer dans la chambre de deux sœurs et les trouver assises sur un lit. Comprendre alors qu’elles vous attendaient pour débuter une petite orgie.. Deux audacieuses qui se laissent emporter par leurs pulsions et n’hésitent aucunement à vous rejoindre dans un lit pour assouvir les palpitations tenaces de leur entre-cuisse..   A ce propos, je craque vraiment en contemplant les jambes soyeuses et impeccables des jeunes beauté déambulant dans de petits shorts en jean. Difficile également de résister à ces demoiselles qui vous parlent avec assurance tout en arborant un tee-shirt de coton blanc à travers lequel on voit distinctement leurs aréoles pointer, joliment dessinées..   Durant ma jeunesse, je flanchais pour les pubis à la pilosité douce, naturelle et graphique.. La beauté naturelle est toujours éloquente, subjuguante, désarmante.   Je regrette parfois de ne pas avoir connu une soirée post-Bac du temps où je débutais comme prof. J'aurais baisé en fin de soirée avec une demoiselle en chaleur, pas forcément une élève; j'aurais vu nous rejoindre et défiler dans une chambre ouatée, la plupart des filles avec qui nous aurions discuté de cul quelques instants auparavant. On est toujours héroïque dans les rêveries. Les miennes mettent souvent en scène l'homme que je ne sais pas être.   J'aurais aimé raccompagner une fille d'une fiesta et concrétiser chez elle les fantasmes dévoilés par ses amies au fil des bavardages de soirée.   Je n’ai pas totalement abandonné le projet de baiser avec deux jumelles.. J’aurais aimé naître triplé pour faire débarquer mes deux semblables et prendre ma compagne par tous ses orifices simultanément.       Aussi dingue que cela puisse paraître, il m’est arrivée que la mère de ma meilleure amie me demande en mariage devant ses parents et me propose de faire un enfant à sa fille; me suggérant, qui plus est, de nous installer tous les trois..   Maintenant que je suis prof particulier, il m’arrive parfois de m’imaginer, l’espace de quelques instants, me retrouvant à nouveau dans une situation alambiquée de ce genre..       27. Je ne sais ce qui serait le plus tordu; coucher avec une mère et sa fille sans qu’aucune des deux ne soit au courant ou coucher avec les deux sans cachotteries et un beau jour en présence l’une de l’autre.. J’imagine assez bien une famille de hippies dont l’homme aurait déguerpi. Et moi de baiser avec fille, mère, cousine..       Je ne suis pas réfractaire à la polygamie !       28. Un méga-fantasme serait de vivre une relation polyamoureuse dans une grande maison et d’avoir plusieurs enfants de plusieurs femmes..       Je me souviens avoir songé l’espace d’un instant, en terminant ma scolarité au lycée, que j’aurais bien fait un enfant à chacune des filles auxquelles j’étais attaché !       29. A partir de quarante cinq ans, il n’est plus possible de déposer sa semence dans des banques de sperme. Dès lors, pourquoi ne pas faire un enfant à toute femme charmante croisée sur le chemin qui souhaiterait procréer ? Moi qui n’ai pas encore d’enfant, l’idée d’en concevoir une multitude apparaît, dans mes rêveries déraisonnables, fort séduisante ! Il faudrait que je puisse mettre à la disposition de chaque enfant quelques disques, films et livres; passer voir chacun régulièrement !   Parfois on s’imagine de bien étranges scénarios, à contre-sens de nos vies réelles: histoire de voir ce qu’aurait pu donner un itinéraire bis.. Des types comme Clint Eastwood ont eu tellement d’enfants de tellement de femmes que ça donne le vertige ! Mais à y réfléchir par deux fois, je trouve cela finalement assez judicieux.. Il vaut mieux faire l'expérience de la vie que non (sauf malformations et maladies graves). Le rapport d’exclusivité entre parents et enfants d’une petite famille standard est plus souvent asphyxiant que constructif et épanouissant.. Cela dit, cela se passe très bien depuis quelques temps dans la mienne, bien que par le passé cela fut un véritable enfer.. En tant que prof, je vois de plus en plus de femmes seules avec leurs enfants.       Les femmes peuvent faire des enfants toutes seules. Les hommes non.       30. A considérer ma singulière polyvalence (une séduisante conseillère à l’emploi m’a déclaré un jour que j’avais le profil le plus riche et varié qu’elle ait jamais rencontré), je trouve assez dommage d’avoir vécu finalement assez peu de relations fortes; et beaucoup trop de passions à sens unique..   Il y a un moment de cela, je m’étais inscrit sur un site d’escort et mon profil avait été retenu. J’avais pourtant finalement renoncé à cette option.. J’aurais aimé compter pour un plus grand nombre de femmes au cours de mon existence..   A voir la quantité sidérante de sinistres crétins parmi la gente masculine; à considérer que je possède tout de même un florilège assez unique de cordes à mon arc, suffisamment rare pour être revendiqué (pourquoi développer une multitude d'aptitudes si c'est pour se priver d'en partager les bienfaits avec d'autres âmes ?). Je suis toujours sidéré de constater que les gros cons en puissance trouvent toujours aisément une meuf avec qui fonder un enfer de foyer..   J’aimerais à nouveau partager des conversations passionnées et tisser des liens précieux avec ces dames, à une époque où l’art de la conversation se perd. Dans mon coin paumé d’Essonne, je n’ai malheureusement pas le loisir d’entrer des dans bars au hasard des rues pour faire d’heureuses rencontres..   A l’heure où je perds en silhouette et gagne en calvitie, je ne suis pas mécontent de l’apparition de sapiosexuelles revendiquées ! Et je ne serais pas contre en rencontrer quelques unes, histoire de voir si ça pourrait 'matcher' !       Parfois une connivence débute de peu de choses..       31. Lycéen, j’étais troublé qu’une fille me prenne une sucette de ma bouche pour la mettre dans la sienne. Et j’aimais tout autant avoir l’opportunité de finir la sucette de la charmante acolyte. C’était à l’époque où les sucreries devenaient des allégories, des suggestions relationnelles assez chiches quand j’y repense..       Bébé, j’avais en permanence une tétine dans la bouche.   Il me semble que tout à chacun, dès la petite enfance, est voué à développer une approche ludique de l’oralité. En vue d’y laisser infuser son âme ou plus simplement sa bestialité.   Il m’est déjà arrivé d’éjaculer sur une friandise que j’adressais par la Poste à une fille. Parfois je souillais les enveloppes noires que contenait le colis de bricoles éparses envoyé à ma meuf.   Tel Françis Bacon envoyant son fameux jet de peinture séminale sur ses toiles..   On n’est pas sérieux quand on a.. 33 ans.       32. Je ne sais d’où me vient cette inspiration de donner la becquée à une femme nue assise sur une chaise: lui tendre des cuillères de petits pots de compotes en atteignant sa bouche de façon de plus en plus approximative; en débordant de la commissure de la bouche, en laissant échapper le contenu de la cuillère sur un téton. Et de ce manque de dextérité flagrant venir à plonger deux doigts dans le pot pour les engouffrer dans la bouche lascive de l’affamée.   Dans un second temps badigeonner les zones de son corps suivant l’inspiration du moment, et lécher allègrement ici et là..     Il serait de bon ton aussi, de jouer avec du chocolat chaud, avec de la chantilly, de la confiture.. Histoire de se bouffer avec gourmandise, de se lécher avec expertise, de se salir outrageusement..       J’aime lécher, mais malheureusement ma bouche est petite et le frein de ma langue est court. Je n’ai jamais osé le faire sectionner, à considérer que mon métier repose sur l’expression orale..   Parfois, je souffre d’avantage de ma nuque que je ne prends plaisir à faire un cunni.. J’aime d’autant plus pouvoir projeter les cuisses d’une femme en arrière pour dévorer son sexe de mes lèvres, tel un festin d’odeurs et de chair.   Je ne peux pas vraiment déployer une langue interminable pour aller gratter le fond du palais d’une femme. J’arrive à m’en sortir en inclinant la tête, mais c’est une vraie frustration. Sans doute que si j’avais plus souvent l’occasion d’embrasser des femmes, ce frein se détendrait..   J'ai débuté mon adolescence en me demandant comment j'allais faire avec mes problèmes de frein, de prépuce, de varicocèle et de dépigmentation de lèvre.. Je me demandais si Dieu souhaitait à ce point que je somatise mes pulsions pour faire de moi un cérébral, un créateur.. Car j'ai vite constaté que mes frustrations allaient bientôt participer à alimenter ma créativité. En un certain sens, je les ai sublimées, transcendées, mais pas tout à fait digérées encore.. Est-ce vraiment possible de digérer cela tout entier ? Assurément non.       33. J’aimerais tomber sur une femme conquérante, qui aime fourrer sa langue dans la bouche de son mec plutôt que d'attendre de subir la sienne.. Me faire fouiller, caresser par une experte avide et besogneuse.       Je savoure le cabotinage des femmes qui mettent de l’huile sur le feu et qui laissent mijoter..       34. J’aime qu’une fille s’apprête à me sucer et reste en suspend, dans l’attente que je la contraigne verbalement ou que je lui chope la tête pour l’entraîner chichement vers mon entre-jambe. Mais ce que je préfère, ce sont les demoiselles qui posent un doigt délicat sur leur lèvre inférieure en levant des yeux faussement apeurés, pour mieux m’inviter à jouir à leur bouche, sur leur langue..       La connivence des vices est délectable.       35. Debout tout près de la belle qui me tourne vaguement le dos et moi qui me décale de telle sorte que je puisse lui lubrifier doucement la rustine tout en lui présentant ma bite, à hauteur de son flanc gauche. Elle se saisirait de ma verge pour l’astiquer lentement d’huile. Nous échangerions des regards lubriques et décontractés avant d’en venir au fait..       J’avais un prof de sport au lycée qui nous enjoignait à souffrir durant la séance d’échauffement, prétendant que la zone de plaisir dans le cerveau était très proche de celle de douleur. Parfois je me suis dit que cela était sans doute vrai aux vues des culs fouettés jusqu’au sang qu’on peut découvrir stupéfait sur les sites BDSM.   Je suis disposé à me prendre des coups de fouet cinglant sur le dos si j’en suis remis dans la foulée. Je ne conçois pas de garder des blessures douloureuses sur le corps, plusieurs jours durant. A moins que ce soit des tracés d’ongle dans le dos, car ça j’ai connu. Et quand on est raide dingue d’une fille, on aime garder quelques stigmates de cet amour avec soi..   Encore que désormais, j'ai beaucoup plus de grains de beauté dans le dos !   Certains individus prennent d’avantage de plaisir lorsque le sexe est accompagné d’un soupçon de douleur; voire d’une certaine dose ! Je songe aux coréennes habituées aux petits pénis qui crient tout en jouissant lorsqu’elles baisent avec un européen. Il m’arrive d’être séduit à l’idée d’exercer un petit épanchement sadique avec une partenaire.. Baiser la bouche d’une vorace en lui infligeant une gorge profonde.. Dilater un petit cul bien serré à grands coups de hanches.. Pour l’heure je ne me suis jamais vraiment totalement lâché, même avec des partenaires qui le réclamaient explicitement..   Mais je pense que cela est lié psychologiquement au fait que je n'ai jamais eu de compagne stable avec moi. Je pense que ça joue beaucoup pour moi.     Si l’idée de me faire gifler m’emballe dans un contexte de jeu érotique, je ne serais pas contre un jour enchaîner des gifles franches et des fessées corsées à une chipie que ça ferait mouiller à mort.. Courser une fille qui s’est planquée dans une maison et prendre plaisir à la tenir en joug, puis à la dessaper. Sentir son coeur battre alors qu’elle se débat mollement, trop mouillée déjà de l’entre-cuisse pour faire correctement semblant de se défendre.. La demoiselle, hagarde, ivre d’envie de se faire prendre, en jouirait d’autant plus violemment. Faire éclater les boutons de sa chemise blanche, dégonder son soutien-gorge et déployer ses seins, retirer sa petite culotte sèchement de sous sa jupe et entrer enfin dans ce cagibis exigu pour l’enfiler sans préambule..   J'aime l'onde de choc qui résulte de la pénétration. J'ai déjà capté le regard inquiet d'une amie qui attendait pourtant instamment que son cul cède sous la pression, s'affaisse et s'écarte sous les assauts frénétiques du mâle.. Une femme ne jouira jamais autant que lorsqu'elle ouvrira en grand la porte de ses coffres à son cambrioleur pour mieux se laisser piller à outrance !       Une autre fois, la belle prendra sa revanche et me menacera d’une lame afin de me sommer de me déshabiller.   Il me semble qu'on se laisse emporter par l'audace d'une partenaire lorsque cette dernière est réellement irradiée et transfigurée par l'intensité de sa pulsion. Lorsqu'elle vous sent, vous cerne dans l'instant..       Je me méfie toutefois des pratiques susceptibles de m’échapper et d’échapper à ma partenaire.       Si je me laisse volontiers tripoter, j’ai plus de réserve à la perspective d’être ligoté !       36. J’aime l’idée d’être attaché, mais plutôt par des rubans dont je pourrais éventuellement me libérer : trop souvent je me suis pris des coups de tête, des ablations sauvages de grains de beauté et même un déplacement de dent..   Une quantité non négligeable de femmes sont vraiment maladroites, pour ne pas dire empotées.. Et la plupart sont pourtant persuadées de tout gérer comme des reines virtuoses..   L’intérêt pour moi de me trouver ligoté, c’est d’abord l’opportunité de contempler une femme se réjouir de pouvoir me tripoter, me lécher, m’embrasser, me doigter à sa guise.. Et moi, d'avoir le plaisir de contempler son contentement malicieux..   J’aime notamment l’idée d’être capturé par surprise à une menotte, d’être séquestré et abusé, surtout si c’est une amie de longue date qui me fait le coup..       Je ne suis pas encore certain d’apprécier que ma geôlière en profite pour m’imposer un homme ou un couple d’éphèbes qui débarqueraient pour me baiser outrageusement.       37. Je me suis déjà hasardé à imaginer faire des choses avec un ou deux hommes.. Dans l’idée, je parviens à me représenter cela de façon plutôt plaisante, que je sois actif ou passif.. Mais dans la vraie vie, je n’ai jamais été attiré sexuellement par un homme. Ou alors, c’est incroyablement refoulé. Je considère que si en 45 années, je n’ai jamais rêvé une seule fois que je couchais avec un homme, c’est de toute évidence que je suis véritablement hétéro..   J’ai parfois attiré des hommes et certains m’ont fait des propositions frontales qui ne m’ont pas inspiré: on sent une fièvre, une folie, une brutalité dans lesquelles je ne me projette aucunement..   J'ai déjà imaginé une femme demander à deux hommes de passage de se rassasier de ma bouche et mon cul sous ses yeux. Quand j'étais jeune, lorsque je tentais d'imaginer un homme me prendre par derrière, ce songe s'achevait invariablement par la décapitation de l'amant. Il était hors de question que je laisse un homme survivre à sa jouissance, dès lors qu'il l'avait obtenu de moi. Sans doute est-ce l'expression du mâle Alpha que je considérais peut-être incarner à mon insu ! Mais je tendrais plutôt à dire que j'ai en moi un instinct de souveraineté typique d'un prédateur. Dans ma vie, les gens qui viennent un peu trop marcher sur mes plates-bandes sont pulvérisés. Je me souviens notamment de cette responsable de colo qui prenait un malin plaisir à pincer et frapper mes coups de soleil. Un jour où elle épanchait un peu trop longuement sa perversité, j'avais fini par lui envoyer ma valise en pleine gueule et elle avait volé dans les airs comme dans un cartoon.. J'ai beaucoup de patience mais lorsqu'on outrepasse les bornes, je considère qu'il faut savoir le signifier à hauteur du préjudice éprouvé..   Lorsque je me retrouve en bonne intelligence avec une demoiselle, il en va bien entendu tout autrement.   Avec les femmes, je n’ai jamais été frontal, n’ayant aucune confiance en moi en matière de séduction ! J’ose à peine m’appréhender dans le regard de l’autre: Je crains d’apercevoir dans de beaux yeux impartiaux la disgrâce que je pourrais potentiellement inspirer..   Parfois on se sent moche, on chancelle, on peine à donner le change..   Certaines femmes vous acceptent d’emblée, tout entier, c’est marqué dans leurs yeux; mais d’autres semblent vous décortiquer dans les moindre détails avec parfois un pincement de sourcil réprobateur..   Dès lors, je crains moins de me retrouver en compagnie de deux femmes que d’une seule. Car la rivalité latente -naturelle, de principe- entre deux femmes est tellement fréquente qu’un garçon ne se sentira pas en ligne de mire, comme un lapin sous les phares d’une voiture.. Du reste, deux femmes qui viennent à se reprendre mutuellement dans la conversation permettent à l’homme de se recentrer sur lui-même l’espace d’un instant. Et cela est toujours salutaire: on récupère la main, pour ainsi dire..   Je n’aime rien tant que la perspective d’une soirée agréable passée en compagnie de deux charmantes demoiselles glissant très lentement -irrésistiblement- vers l’inéluctable..       38. Je me délecte à converser jusque tard dans la nuit dans l’appartement d’une amie en compagnie de sa meilleure pote. Pourvu qu’éclairés par les lumières de la rue, nous improvisions un plan langoureux à trois..   M’aventurer dans le cou d’une douce et agréable inconnue et dégrafer son corsage, l’embrasser tandis qu’elle ferme les yeux et qu’elle se laisse aller à son plaisir d’être délicatement cambriolée d’âme et de corps. Cela sous les yeux de la propriétaire des lieux, bientôt harponnée à son tour.   Quoi de plus bandant que de saisir deux femmes conjointement entre ses bras avant de se conjuguer à elles jusqu’à partager l’orgasme final.   Ejaculer dans une chatte et achever de gicler dans une autre. Voir la mignonne couler sur ma queue et sa pote venir consciencieusement s’asseoir sur ma verge.   C’est très cliché mais j’aimerais beaucoup éjaculer sur les langues conjointes de deux femmes qui s’embrassent. Qu’une mignonne me branle dans la bouche de sa coloc. Et bien évidemment me faire branler et lécher par deux étudiantes émoustillées.   Ayant passé des années dans des classes essentiellement constituées de filles, je ne m'explique pas trop qu'une telle soirée de gentille débauche en trio n'ait pas eu lieue..   Bref, vous êtes une femme et vous souhaitez me faire une surprise ? Conviez-moi chez vous en présence de votre amie la plus cool et la plus chaude !     La seule chose que je redoute, c'est l'aérophagie et le ventre qui flanche: rien de pire que se retrouver précipité dans les toilettes exigus de son hôte, avec une porte mal isolée, trop proche du salon. Cela ne m'est jamais arrivé, mais je suppose que certains individus ont déjà vécu ce moment embarrassant..   Je suis souvent un peu ennuyé de mon petit appart impliquant d'avoir les toilettes presque accolées au salon, sans fenêtre d'aération.. Dans la grande majorité des cas, j'évite la grosse commission lorsque je reçois une visiteuse l'espace d'un week-end. Je suis rarement expéditif lorsque je suis aux toilettes et je redoute le scénario où les selles sont si mous qu'ils nécessitent les deux tiers d'un rouleau pour en venir à bout. Notamment lorsque la puissance de la chasse d'eau est minime.. Là encore, je ne me souviens pas que cela me soit arrivé. Mais je connais une fille qui a vécu une grand moment de solitude dans les toilettes de ma première compagne. Un moment dantesque et particulièrement trash, que je me garderai de relater ici !   Je me souviens également d'une fille qui a ouvert la porte de mes chiottes pour me parler et l'odeur était tellement atroce que cela m'a dégoûté d'elle durablement.   J'encourage donc les filles à tirer une première fois la chasse à peine après avoir fait leurs besoins, et une seconde fois après s'être essuyées. Le coussin de papier sur l'eau, le bruit de la chasse en synchro, tout est légitime pour éviter les bruits scabreux qui sont de vrais tue-l'amour..       Lorsque je débarque dans des soirées estivales en pavillon j’ai souvent le désir de rejoindre la plus espiègle des convives dans les dédales de la maison et baiser avec elle au dernier étage pendant que la fête bat son plein.   Une autre fois encore, aller à la rencontre de jeunes femmes gentiment alcoolisées pour échanger en toute décontraction des baisers langoureux.. et plus si affinité !   L’alcool favorise les sympathies soudaines mais je n’en ai jamais profité !   L'espace de quelques instants se retrouver au milieu d’une marée de jeunes femmes comme sorties d’un songe hippie..       Il est plaisant d’être l’inquisiteur mais parfois aussi de déposer les armes aux pieds de la nymphe..       39. Lorsqu’une demoiselle est particulièrement belle et bien apprêtée, il va du soi de la vénérer. Toute chose portée à un paroxysme mérite adoration.   Et pourquoi ne pas célébrer un couple de déesses ? Durant ma jeunesse j’appréciais de contempler en contre plongée l'autorité des cuisses charnues de ma compagne et son pubis, tel un écusson sauvage et sacré..   Nettoyer les chaussures de la belle, recevoir son orteil dans la bouche, embrasser ses chevilles, éjaculer à ses pieds, tout ce qui vous plaira ma reine !       Tenir tête à l’autorité féminine est également une délicieuse perspective, du moins dans un cadre érotique..       40. Refuser de se déshabiller tout à fait lorsque madame l’ordonne pour mieux l’écouter exposer les sanctions qui vont peser sur moi: toujours cette même quête d’adrénaline..       Les jeux de domination/ soumission sont souvent sur la corde raide, en équilibre précaire. Et c’est ce qui les rend attirants.       41. Une grande majorité de dominatrices aiment promener un soumis à quatre pattes, comme si il s’agissait d’un chien. Je pourrais céder à ce genre de trip dans un grand appartement, dans un jardin retranché ou en forêt.   J’imagine plus facilement un duo de femmes; une me tenant en laisse et l’autre assise les jambes écartées pour m’appâter.   Me trouver piégé, la tête coincée entre des cuisses hargneuses, avant de les voir s'entre-ouvrir. Et de lécher frénétiquement l'offrande moite..   A moins de recevoir d'entrée un jet foudroyant d’urine..       Je ne suis pas réfractaires aux coups de pieds au cul pour faire avancer l’animal récalcitrant, mais avec le plat ! Encore une fois, les femmes sont souvent maladroites et je tiens tout de même à mon coccyx et à mes couilles !   Je me représente de moins en moins la probabilité de me retrouver dans ce genre de posture, Les dominas auto-proclamées n’ont, le plus souvent, pas grand-chose de la femme Alpha qu’elles prétendent incarner.. Du reste, il faut un vrai talent pour transformer une situation grotesque en une expérience inoubliable et transcendante..       Je ne suis pas adepte des poses de collier, comme cela se fait dans le milieu BDSM. Je ne conçois pas la possibilité tangible de pouvoir réellement appartenir à quelqu'un; du moins pas avant d’avoir partagé des années de vie communes avec un être. Néanmoins, j’apprécie les petites attentions symboliques, bien qu’elles puissent connoter un désir de possession.   Si j’avais conçu un logo vraiment puissant au cours de ma vie, j’aurais pu en venir à marquer une âme-sœur-soumise au fer rouge: j’ai constaté que cela se pratiquait aussi dans les donjons. Mais cela impliquerait une certaine dose de folie amoureuse.   Je suis devenu si raisonnable que ma tempérance est, en un certain sens, devenue plus déconcertante à mes yeux que mes passions d’hier..       42. Se faire offrir un bijou d’appartenance, symbolique; un bracelet, un pendentif, à arborer fièrement en arpentant les rues. Je conçois cela dès lors que la partenaire nous révèle à nous même, contribue à nous réinventer..   Si la relation se prolonge dans une forme de transcendance, un tatouage complémentaire pourrait être envisagé.       Je cherche souvent à cristalliser une relation de qualité par le prisme d’un art.       43. Le kiffe serait de rencontrer une femme singulière, drôle, débridée et magnifique; curieuse charismatique et créative; hyper sensuelle et chaleureuse, susceptible de devenir mon modèle-photo privilégié..   Sur ce coup là, comme dirait Bashung, j’ai dû rêver trop fort !   Pour être honnête, je ne pense pas être à la hauteur de mes rêveries, mais quel meilleur challenge que de tenter d’aller décrocher le pompon ?   Je me suis imaginé récemment être posté dans le dos d’une modèle, tous deux assis dans une baignoire, moi réajustant délicatement sa chevelure, sa bretelle de liquette et sentant soudainement son regard superbe et insistant tourné vers ma personne.. Puis fondre l’un sur l’autre très soudainement, irradiés par la fougue passionnée d’une baiser ardent, fiévreux, tandis que nos mains tâteraient à l’aveugle des parcelles, si sensorielles soudain, de nos épidermes émus..       Et puis j'aimerais tout de même bien avoir quelques modèles féminins attitrés avec qui explorer autant que possible l'expression de la sensualité et de la sexualité. J'aimerais tant vivre une expérience transcendante de ce genre !           Je me suis toujours fait photographier par mes compagnes, parfois à poil dans des positions sensuelles voire carrément scabreuses..   J'aime aussi poser, être mis en valeur. Cela fait un moment qu'on ne me fait plus cet honneur..     Mais bon.. quoiqu'il en soit, voir débarquer une fille qui s'est fait belle pour vous c'est tout de même fantastique..       Je suis favorable aux rituels visant à célébrer la beauté d’un couple.       44. Si ma muse savait faire preuve d’une réelle spiritualité, je serais enchanté de célébrer -sceller- notre relation à travers un rituel inouï, beau, inoubliable. Agrémentant le tout d’un savant cocktail de petites drogues sympathiques !   D’ici là, je tente d’entretenir ma libido avec de savants mélanges à base de maca, gingembre, avocat et citrulline :-)       Le signe de la Balance -premier décan (Venus & Lune)- est sans doute le plus enclin au partage et, en ce qui me concerne, cela joue clairement sur mon épanouissement..       45. J’ai notamment des ‘fantasmes culturels’ consistant à transmettre à la femme avec qui je partagerais une intimité mes références artistiques et littéraires. Ces dernières sont d’ailleurs souvent intimement liées à l’âme, à l’instinct, aux sens et au coeur, plutôt qu’au seul intellect.. Mais dès lors qu’on s’aventure dans les profondeurs du corps d’une femme, on souhaite également s’aventurer dans les profondeurs de l’âme..       La fantaisie est également cruciale dans un couple !       46. Il y a une douzaine d’années, j’adorais inventer des contes lubriques à ma compagne et l’écouter se masturber au téléphone.. C’est un peu comme chuchoter directement à l’oreille de la chipie..       Rien de mieux qu’une retour à l’essence même de l’amour après s’être savamment chauffés !       47. Faire l’amour passionnément au milieu des herbes hautes, dans les tréfonds perdus d’une forêt, et pourquoi pas sous des trombes d’eau, parsemés de granules de terre et de tous nos fluides déployés dans l’exaltation débridée des odeurs de sous bois. Miser le lot entier de nos audaces dans un bodypainting vertigineux de terre, de cyprine, de feuillages et de salive; de pluie, de pisse, de petit bois et de foutre; de parfums et d’odeurs.. Marquer l’instant d’un éternel écho: une onde folle adressée à Dieu, si il en est, et au Cosmos !       Puis au milieu de la nuit, s’agiter à nouveau dans les marécages du lit..       48. Lorsque la passion coule dans mes veines, je ne manque jamais de saisir le corps bouillant de ma compagne pour la prendre en levrette au beau milieu de l’apesanteur somnolente de la nuit..       Et durant un après-midi de glande..       49. ..éjaculer sur sa compagne qui se masturbe, à l’instant même de son orgasme..       A ce propos, j’envie l’intensité de l’orgasme féminin.       Est-ce le fait d'un traitement viral, antibiotique, d'un nerf altéré du dos ou du gland, d'un méat quelque peu dilaté ou d'une baisse hormonale ? Toujours est-il que je n’ai plus cette sensation de chaleur se répandant comme une mer dans ma caboche lorsque je jouis. Je ne sens plus ma semence écarter -titiller- le sommet du méa et créer cette singulière sensation qui engendre l’orgasme intense. En début de vingtaine, je me souviens avoir perdu tout plaisir à éjaculer durant une petite période. Puis cela était revenu naturellement.   Le dernier orgasme hyper-intense dont je me souvienne date d’une dizaine d’années.. Cela remonte à loin. Non que je ne jouisse plus dans ma quarantaine, mais le fait d’être amputé d’un orgasme véritablement foudroyant entraîne fatalement une fièvre quelque peu estompée envers le beau sexe.. J’ai noté que la musique me donnait également un peu moins la grosse chair de poule qu’auparavant.. En fin de trentaine, j'avais vraiment les poils qui se dressaient intensément lorsqu'un morceau me piquait à vif. Je ne sais pas trop si je suis sur une pente de déclin sensoriel ou si en réalité, la varicelle tardive que j’avais contracté à 23 ans, avait décuplé la réceptivité nerveuse de mon corps, qui était effectivement particulièrement érogène. Il suffisait que je passe mes ongles délicatement sur mes avant-bras pour ressentir un indicible plaisir.   Désormais cela me fait plutôt mal et marque ma peau.. Encore que tout dernièrement, j'ai noté un début d'amélioration !   Depuis que j’ai chopé une stupide infection virale durant un périple de 4000 bornes, depuis le traitement administré je n’ai plus de sensation exponentielle de plaisir, que ce soit en me passant les ongles sur la peau, en éjaculant ou en écoutant de la musique.   Durant la trentaine, j’avais encore des sensations addictives lorsqu’on me grattouillait la tête. Désormais, cela m’irrite rapidement. C’est extraordinairement frustrant d’être passé d’une hyper sensibilité orgasmique à presque l’inverse.. Je pense interroger prochainement des spécialistes du système nerveux et de la peau. Consulter des magnétiseurs, des hypnothérapeutes voire des acupuncteurs. Peut-être que ma piste est mauvaise car, après tout, j’ai également été opéré d’une hernie depuis l’apparition de ce souci, ce qui peut également altérer les réflexes nerveux et l’épanchement hormonal..   Je m’étais également pris un terrible coup de soleil il y a quelques années sur les bras et le crâne qui a peut-être achevé d’anéantir les propriétés érogènes de ma peau. Malgré tout, les jeunes femmes demeurent étonnées par la douceur de mon épiderme: je l’entretiens toujours, malgré tout.   Je n’ai pas de ride, pas de cheveux blancs. On me donne souvent moins que mon âge. Depuis le seuil des 45 ans passés, je trouve néanmoins que je coïncide d'avantage physiquement avec mon âge. Dernièrement, j’ai toutefois perdu une dizaine de kilos en conservant ma carrure. Je veux tenter d’être encore présentable, me donner les moyens de vivre encore des sensations neuves, intenses et belles avec des femmes.. Je ne me suis jamais senti aussi posé, aussi serein dans mon existence, ce serait dommage de ne pas faire de belles rencontres dans ces conditions là, conditions qui ne vont peut-être pas durer. .   Mon âge met désormais de l’urgence dans ma quête, ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose..       Il va falloir se donner d’avantage encore, s’ouvrir autant qu’il est possible de le faire.       50. A mon sens, une femme sublimement belle devrait faire au moins une fois dans sa vie offrande de sa beauté à un homme au physique moins rutilant. Et inversement.   Dans un contexte érotique, je trouve les contrastes de beauté et d’âge assez excitants ! Très excitant aussi de voir une personne parfaitement inaccessible se donner soudainement et sans ménagement à un de ses semblables..   J’aimerais qu’une dominatrice me fasse don de sa magnifique et chère ‘esclave’ et.. que la situation lui échappe quelque peu..   Je me suis déjà imaginé embarquer une soumise hyper canon et suprêmement fringuée à un dîner de famille. Juste pour faire sensation et m’amuser intérieurement !       Cabotiner un peu en société n'est pas superflu..       51. Se rendre charmeur auprès des copines de ma partenaire tandis que cette dernière fait de même avec mes potes.   Histoire que lorsque la soirée s’achève enfin, l’émulsion fructifie au plumard ! Je trouve d’ailleurs qu’on n’accapare jamais autant le désir de l’autre qu’en se montrant irrésistible en société. C’est un peu comme chez les gorilles: celui qui tape le plus fort sur son poitrail rafle la mise !     J'aime aussi écouter bavasser une amie et venir m'infiltrer au sein de sa logorrhée en déboutonnant son chemiser, en infiltrant mes mains partout sous ses vêtements..       La belle aura toujours l’opportunité de prendre sa revanche..       52. J’aime que mon infernale bien-aimée déploie son sex-appeal étourdissant et fasse calmement requête que je ne la touche point de mes mains.   A me voir trépigner, elle me proposerait que je me masturbe face à elle.   J’ai notamment fait cette expérience via skype: une amie se dessapant soudainement sur son matelas et se donnant un orgasme devant mes yeux stupéfaits.       Se masturber à deux, c’est assez sympa aussi parfois !     Et puis caresser longuement une femme qui vous interdit de la pénétrer mais qui vous branle ensuite..       Je peux envisager que ma partenaire fasse débarquer une tierce personne pour mieux m’exclure, histoire de me faire bouillir. Cela fonctionnerait plutôt, selon moi, avec les femmes au caractère de cochon qui cherchent continuellement à exaspérer leur homme et faire fructifier par là-même leur petite vanité. Accessoirement, les vraies salopes enjouées s’épanouissent aussi dans ce genre de procédé..       53. Devenir voyeur et contempler mon amante réaliser sous mes yeux un de mes fantasmes inassouvis avec un autre.   J’ai une ex que je me plaisais à imaginer chauffer les ouvriers venus retaper sa baraque. Et d’encourager moi-même ces types à épancher leurs pires penchants..       Le gang bang, je le veux aussi pour moi !       54. Je raffolerais qu’un groupe de femmes s’attelle à titiller chacune de mes zones érogènes, comme si l'ensemble de ces dames, de ces filles ensemble, n’en formaient qu’une seule, tentaculaire..   Me faire lécher le nombril, les tétons, les doigts, les orteils, le cul, la bite simultanément et prendre une succession de langues, de nichons et de vulves en bouche et à chaque extrémité de mes doigts..     J'avais jadis écrit une nouvelle érotique qui s'achevait par une scène d'orgie où un homme condamné par une maladie, se faisait dévorer par un groupe de femmes.. Un peu comme dans ces tribus de cannibales qui font voeu de récupérer l'énergie vitale du défunt, tel un ultime hommage..       Parfois je me demande si il faut aller se frotter à ses limites pour franchir une sorte d’éveil..       55. La moindre odeur d’excrément me donne la nausée et pourtant, dans le contexte sexuel, l’adrénaline suscitée par la stupeur peut primer. Je m’imagine toujours que plus une femme adoptera un comportement insensé et inattendu, plus l’adrénaline occasionnée aboutira à une forme de plaisir délectable. Ainsi, il m’est déjà arrivé de me représenter allongé au sol, contemplant une femme s’accroupir au dessus de moi, m’offrant un panoramique de son sublime cul (un beau cul est de rigueur), avant de déféquer, sans crier gare sur mon visage.   Il faudrait une sacrée dose de feeling pour oser ce genre de chose à considérer que cela peut avoir surtout l’effet d’une douche glacée..       Me retrouver porté au sol n’est pas pour me déplaire. Voir une femme jouer d’autorité n’est jamais déplaisant dans un cadre sexuel..       Mademoiselle trépigne dans ce refuge en montagne. Elle veut faire pipi dans le trou qui sert de chiotte au dehors. Mais il pleut des cordes. Alors me voilà suggérant timidement une solution; ma petite personne projetée d’un coup au sol par la tempétueuse.. Me prenant un premier jet d'urine au visage - quelle idée de se retrouver dans ce trou paumé ! me lancerait la dame, puis tout le reste en bouche, tête en arrière, maintenu par les cheveux avec autorité.. J’aime les élans sanguins inattendus, en particulier chez une femme qui s’illustre d’ordinaire par sa tempérance.. Et j’apprécie lorsqu’elle sort des limites de la bienséance sans aucune retenue alors même qu’elle incarne aux yeux de tous le stricte respect des bonnes manières d’antan. J’adore lorsque la situation bascule d’un instant sur l’autre et que notre partenaire nous scotche sur place.   Enfant, mes deux petites voisines, plus âgées que moi néanmoins, avaient surgi nues de leur piscine gonflable en me fixant amusées, avant de disparaître quelques instants pour mieux réapparaître et me courser dans le but de me porter au sol et me déculotter.   Je crains que ça ait laissé quelques traces en moi, là encore..       56. Je ressasse l’idée d’être tenu en joug sous le pied d’une femme, notamment si c’est pour me parler durablement avec insolence, me porter vers une de ses sécrétions laissée au sol, ou encore dans son sac de linge répandu, ses petite culottes exhalant leur lot d’odeurs démentielles !       Et tant qu’à verser dans le dément, elle pourrait porter la culotte et moi la robe !       57. Tenir le rôle de la femme, travesti pour l’occasion, à moitié recouvert par la pénombre d’une pièce, histoire que cela reste un tant soit peu crédible.. Voir la porte de la chambre s’ouvrir et découvrir la belle habillée en homme, les cheveux portés sous un béret; découvrir la bite factice sortant de sa braguette, humectée de sécrétions féminines diverses et me trouvant bientôt tenu de sucer tout ce nectar.. Puis ma robe relevée, sentir le gode s’enfoncer en moi. Cerise sur le gâteau, sentir la créature devenue fontaine me gicler au cul..   Pour ce genre de trip il faudra vraiment que je me trouve dans une humeur, un feeling inhabituels et que la demoiselle impose un tempérament certain ! Surtout si il s'agit de voir surgir un garçon la bite à la main, à titre de suppléance lubrique..   Chacune de mes compagnes, d'après leurs dires, auraient aimé avoir une bite pour m'enculer..       Sans doute parce que j’ai du mal à m’abandonner tout à fait, la part purement bestiale inhérente à la sexualité ne manque pas de me fasciner, de me troubler et déstabiliser.       58. J’aime assez l’idée de profiter qu’une pote un brin lubrique pisse en forêt pour m’approcher de son corps accroupi et lui placer ma bite dans la bouche. J’ai été jusqu’à m’imaginer un duo de femmes me demandant de chier accroupi devant elles, m’essuyant pour mieux titiller ma prostate..   Pour tromper l’ennui de rêveries passablement récurrentes, on s'aventure parfois vers d'étranges territoires !       J’aime également voir les femmes à mes pieds, surtout lorsqu’elles supplient que je leur fasse des choses un peu sales et vaguement humiliantes..       59. J’adore qu’une fille m’implore à genoux de lui faire des trucs complètement déments.. Qu’elle m’incite surtout à gicler en elle, en usant conjointement à moi des quelques vulgarités exaltantes du langage pour faire monter ma sauce..   J'aimerais aussi -par jeu- qu'une femme se présente comme une poupée dont je puisse disposer à volonté. Je pourrais la déshabiller, la malaxer, lui faire des requête qu'elle ne pourrait refuser..       Je me délecte de l’idée que l’esclave devienne le maître et inversement.       60. J’aime renverser la vapeur, imposer un charisme qui brise les clivages: en venir à dominer une domina.   Se faire obéir au doigt et à l'oeil; contempler la diva sacrifier sa superbe pour se répandre dans la fange onctueuse de l'avilissement. Faire d'elle ma Geisha.       Dans un autre genre, je pourrais bien un jour m’aventurer à accepter des propositions très spéciales de couples..       61. Baiser la femme d’un homme devenu impuissant en sa présence, ou simplement parce que le couple est excité à l’idée que madame se fasse baiser devant monsieur. Un certain nombre d’hommes fantasment de voir leur conjointe prendre leur pied avec un autre; devenir spectateur de ce moment singulier. Certains même voudraient voir l’abandon qu’ils n’obtiennent pas tout à fait avec leur chérie se cristalliser dans cet ébat paradoxalement douloureux pour leur amour propre. D’obscurs motivations existentielles mènent parfois certains couples à pousser la porte de clubs libertins..       S’aventurer dans des lieux de débauche.       62. Participer en visiteur à un petit gang bang. Jouir dans la bouche de la nymphe ou dans son cul, du moins si je suis le premier à inaugurer la demoiselle.. Je ne me résous pas à enfiler une femme dont la chatte est déjà imbibée par un autre homme..   Par contre je me vois très bien éjaculer dans la gueule d'une femme déboussolée par la grosse bite qui la traverse à l'autre extrémité..   La mienne n'a jamais dépassé les 18 centimètres; au meilleur de ma forme et en tassant la graisse de mon pubis. Quand je suis très excité, ma verge devient beaucoup plus dense. Lorsque je suis modérément excité, je tourne autour des 15 centimètres à peine. Et il faudrait donc que je trouve de nouvelles pistes pour brûler à nouveau d'un désir ardent.. A noter que mon prépuce implique souvent que je jouisse en chauffant du gland, à moins que je mouille..   Parmi les lieux de débauche, faire un petit tour par les clubs SM.. J'avoue que j'aimerais assez attacher plusieurs soumises au même arbre. Cela ferait une photo saisissante. Et puis placer une ultime soumise contre un tronc, pour la fouetter et abuser de son cul. Le fait est, beaucoup de femmes maso' exultent en se faisant fouetter..       S’aventurer à devenir libertin..       63. Séduire les femmes qui nous sont interdites.   Les meilleures amies, sœurs, cousines, mères de mes ex. Et de mes amis. Et de mes ennemis !Baiser avec une nudiste qui s’ennuie en vacances tandis que son jules est remonté plus tôt pour le boulot. Baiser une bergère à beaux seins avec son fameux tissu blanc ondulant sur la tête. Lui téter ses seins de jeune mère délaissée, jusqu’à en extraire le lait. Baiser tout un week-end une femme qui venait de se mettre en couple, parce qu’on considère à juste titre, son mec comme un parfait tocard. Baiser la jeune allumeuse qui vous demande de lui enduire le corps sur le bord de sa piscine privée. Saisir la petite corde de sa petite culotte de bain parce qu’elle nous nargue avec, en imaginant que nous n’oserons pas tirer dessus. Lui retirer enfin son sourire malicieux en pilonnant ardemment son cul crémeux qui achèvera de jouir dans la honte..   Baiser la Khâgneuse qui vous chauffe à mort depuis des mois: la prendre en vrac, sur son bureau, sur sa chaise et sur son lit.. pour la féliciter de sa progression de notes..   J'aurais assez aimé avoir une étudiante vraiment lubrique dont toute la science, tout le génie auraient consisté à me chauffer, à me déboussoler..   Je me souviens d’une élève de Terminale qui avait déposé dans ma boite mail (myspace) une lettre érotique où elle me suggérait de partir en week-end avec elle ainsi qu'une autre élève pour nous peindre respectivement sur le corps et finir en orgie.. Je n’ai jamais couché avec une de mes élèves, bien que l’année où j’ai débuté ma carrière de prof fut la moins évidente à gérer sur ce plan là. Les filles étaient majeures ou quasi-majeures, hyper entreprenantes, et j’étais en début de trentaine, encore vert, encore propice aux satanées ‘sensibleries hormonales’ qui vous font doucement chavirer pour une belle ingénue. Aujourd’hui, je m’imagine mal succomber à une femme qui ne serait pas au moins aux portes de la trentaine. Quand je vois Vincent Cassel à cinquante balais passés se marier avec une jeune femme de dix huit ans, j’ai l’impression qu’il balaye par là-même devant la porte de mes errances passées..   J’ai également songé pour le fun à rejoindre une communauté d’asexuels pour mieux proposer à une fille sympathique de tenter le truc ''une fois au moins pour ne pas mourir idiot''.   C’est parfois en mangeant que vient l’appétit et, par acquis de bonne conscience, ce ne serait pas si vain d’expérimenter à fond la chose au moins une fois avant de se permettre de poser des conclusions radicales et définitives ! Tels seraient mes arguments !   Il m'est arrivé que des jeunes femmes m'envoient des photos d'elles nues ou des vidéos les présentant en train de se verser de la cire sur le corps. La grande majorité des fois où je reçois des coquineries, je ne l'ai pas sollicité.   Le pied serait que ce soit une amante homologuée qui vous envoie des courriers celés à la cire et à la cyprine ainsi que des mémos sexy avec petits soupirs, gémissements, timbres lubriques.. Des photos de langue balayant la lèvre supérieure; de chemisier dévoilant un sein; de jupette révélant un cul..       J’aime assez dans l'idée, les filles qui tentent de retenir l’expression de leur plaisir et qui finissent par être submergées et exploser en vocalises ! C’est un des rares scénarios où j’aime m'imaginer une femme en train de gueuler: lorsque la gaillarde s’était persuadée qu’elle garderait le contrôle sur elle-même et qu’elle le perd de plus belle !     Se retrouver avec une pote sur la plage et la voir soudainement se foutre à poil pour aller nager dans la nuit.   La rejoindre et s'enlacer, mélangés de vertiges, de reflux de sable et de coquillages, sous la clarté divine de la lune..       Certaines femmes désapprouvent intellectuellement ce dont elles raffolent sexuellement. Et cet antagonisme est souvent délectable dès lors qu'elles s’y adonnent..   Par exemple, une fille peut redouter l'image qu'elle donnera si elle arpente le salon de son ami à quatre pattes, comme un chat, pour se diriger vers sa chaise et atteindre son entre-jambes. Ou encore, de se mettre à genoux, regard vers le sol, en tendant à bout de bras vers son maître le fouet qui servira à son sévisse..   Certaines nanas aiment sucer leur homme passionnément, en le contemplant comme si il s'agissait d'une divinité grecque, mais s'encombrent du sentiment de s'abaisser aux yeux de l'autre.       64. Etre visitée par une ex qui m’adresserait d’entrée un regard hostile, désapprouvant l’objet de sa propre venue. Nostalgique des moments de dépravation partagés jadis, elle souhaiterait être souillée à nouveau et prendrait place à mes pieds, non sans réprobation, pour que je fouille son corsage, que je gifle son visage insolent et me branle dans sa bouche..       Mes compagnes éprouvaient parfois une sympathie certaine envers la dépravation mais mon versant romantique a toutefois survécu à cela. Le détachement -la liberté- avec laquelle les demoiselles peuvent parfois vous évoquer les expériences les plus trashs de leur jeune existence m’a souvent remué et choqué..       65. Il m’arrive parfois en donnant un cours à une adulte gracieuse ou en buvant un verre dans un bar avec une pote d’être pris du désir fulgurant d’embrasser la demoiselle.. J’aimerais tant oser parfois fondre sur des lèvres sans retenir sans cesse ma pulsion. Ce manque d’audace est un vrai regret. Et nous vivons une ère où cela ferait polémique.   L’époque se gargarise de controverses, de plus en plus souvent en dépit du bon sens..       C’est pourquoi je suis favorable aux femmes qui viennent me trouver avec l’intention de mettre à mal mes bonnes mœurs..       66. J’adore les allumeuses raffinées ! Je le répète, j'adore recevoir des mails poétiques et fiévreux, des textos écrits et audios bien chauds.. Des courriers lubriques et codés à la Georges Sand scellés à la cire.   Me faire chauffer par une demoiselle qui me confierait en passant qu’elle vient de faire une grande lessive de ses sous vêtements au sacrifice de son ultime petite culotte. Et d’ajouter qu’elle a longuement appliqué une toute nouvelle crème sur sa peau dont elle est très contente, qui rend ses cuisses incroyablement douces.. Bref, un jeu qui m’amènerait à mettre fatalement ma main sous sa jupe..   Certaines femmes, plus séduisantes encore, arrivent à leurs fins avec une multitude de petits signaux imperceptibles (un chemisier un peu trop saillant, des lèvres un peu trop rouges et suggestives..). Dernièrement, j’ai l’oeil qui s’est égaré une fraction de seconde sur la forme du sein volumineux d’une de mes élèves de terminale, enveloppée par son pull. Elle était de profil devant moi. J’ai constaté qu’elle avait capté mon œil et enregistré -archivé- cette donnée pour elle, comme un faucon. Le cours suivant, la jeune femme portait désormais un décolleté sous mon nez alors que l’hiver battait son plein..   Les femmes ne manquent jamais une occasion de faire fructifier leur capital séduction. Ca les rassure, ça les met de bonne humeur.. La nature leur demande d’être désirable, potentiellement fécondable. Car les hommes peuvent se reproduire indéfiniment; elles, une fois par mois éventuellement. L’enjeu n’est pas vraiment le même entre créatures..   Je n'ai jamais eu le loisir de réserver durant mes vacances, une chambre d’hôtel dont la fenêtre se serait trouvée pile poil alignée sur celle d’une ravissante étudiante-exhibi.. Elle m'aurait fait un petit show savamment orchestré chaque fois qu’elle m'aurait vu passer entre mes rideaux. Jusqu’à ce que je finisse par me décider à aller frapper à sa porte..   J’imagine très bien cette situation alors que je serais en compagnie d’une amie, voire même d’une compagne.   Nous nous rendrions alors à deux au rendez-vous, tout excités..     Je raffole de regarder une femme se déshabiller puis se rhabiller. Photographier cela.   Parfois prendre part à retirer un bas, une petite culotte ou faire glisser une robe sur d'étourdissantes hanches. Embrasser des jambes soyeuses avec délicatesse. Embrasser des pieds comme si il s'agissait d'oeuvres d'art. L'ornement irrésistible d'une chaîne légère sur un torse, sur un poignet gracieux; sur une cheville..   Un vernis subtil sur des ongles soyeux..       J’apprécie qu'une femme risque sa main sur ma cuisse durant une soirée, ou dans un bar, sous la table, en présence de convives. Que cette main s’attarde pour me jauger. J’aimerais rendre la politesse en caressant l’intérieur d’une cuisse soyeuse à peine recouverte d’une jupette d’été. J'apprécierais aussi que la main féminine me guide jusqu’aux abords humides de son intimité.   Parfois même, en tête à tête avec une jeune femme qui décèlerait trop bien que je suis sous son charme, il serait si bon qu’elle plonge discrètement ses doigts dans sa vulve et qu’elle me les pose sur les lèvres;   qu’elle me fasse goûter l’âme de son corps..       Rejoindre une belle plante un beau jour, dans les toilettes du bar, au sous sol, pour lui gratter frénétiquement son petit bouton de point G de mes deux doigts les plus habiles..       Une femme qui transpire et qui mouille est toujours sexy.       67. Gloire aux filles qui aiment ruisseler ! Les concours de tee-shirt mouillés improvisés durant lesquels certaines nanas se font gentiment courser par un ou plusieurs mâles, bouteille à la main.   Les filles urinant devant vous en pleine nature ou qui vous rejoignent brusquement dans la salle de bain au moment où vous pissez, histoire de vous aider à viser, puis, constatant que vous bandez, propose leur bouche, leur torse, leur antre pour vous soulager.. C’est très animal, une femme accroupie. Cela tranche avec l’obsession-du-glamour qu’ont la plupart.. Le contraste est tellement fort qu’il en devient beau..   Ne serait-ce qu’une femme vous tirant par la main dans le lointain perdu d’un champs de blé pour soudainement retirer ses vêtements de société et devenir tout à coup sous vos yeux le bel animal sensuel de la terre, sous le regard majestueux du ciel.       J’aime les jeux, surtout ceux engageant des gages !       68. Forcer gentiment la main d’une amie amusée qui se défend mollement par de petites tapes, de petites gifles, chaque fois que je tente de tâter sa poitrine ou de l’embrasser dans le cou.. Elle me menacerait bientôt de subir un gage à la perspective de me voir sucer son sein. Et après avoir pris connaissance de la sentence qui m’attend, je poursuivrais néanmoins de plus belle !   Je vibre de partager de petites transactions salaces..   Tout ce qui exprime une vivacité, une outrance du partenaire me ravit. Si la meuf me prévient que j'aurai droit à des représailles en cherchant à embrasser son sein, je l'embrasserai de plus belle, goulûment !     Echanger un baiser langoureux contre une sentence trash, une concession contre un gage. C'est souvent dans ce genre de contexte, de jeux pervers, qu'on peut gérer une montée d'adrénaline et s'en délecter.       Etre réveillé en pleine nuit pour être délicatement dérouillé.. Refuser de quitter un vêtement devant une petite tempétueuse et se faire déculotter chichement par ses mains puis être appréhendé par elle, arborant un vague dédain: l’homme orgueilleux -ambitieux- devient tellement pathétique, nu avec sa queue qui bande, empesé d'un déterminisme hormonale aussi désespérément vain qu'est son désir lubrique..   J'aime devoir me déshabiller au milieu de femmes restant habillée pour me jauger, distiller quelques petites remarques acerbes.. Mais parfois, j'aime aussi me dessaper pour imposer ma structure masculine aux yeux de la femmes.       Il ne faut néanmoins pas perdre de vue la dimension ludique de l’affaire qui l'emporte tout de même sur la dramaturgie existentielle.   Comme disait Voltaire, ''rien ne se fait sans un peu d'enthousiasme''.     Il y a une bonne vingtaine d’années de cela, j’avais conçu un jeu de loi érotique pour m’amuser un brin avec certaines copines ambiguë de mes potes... J’aimerais en refaire un nouveau à partir de cette liste de petites envies éparses..   J’avais notamment songé à concocter un jeu en ligne, via Youtube, avec des pistes audios référencées, dont le procédé serait le même qu’un 'livre dont vous êtes le héros'.   Mais j’ose espérer que parmi mes amies femmes, une au moins saura me déployer son petit échiquier intérieur sans préambule et le déployer dans mon salon ou dans le sien voire au dehors, qu’importe..       69. Je caresse le désir qu’une amie trop clean et trop belle pour moi soit prise d’un élan inconsidéré pour ma personne et me saute dessus, me harponne à elle sans y réfléchir à deux fois, épanchant avec moi durant un très long week-end ses désirs les plus sulfureux et inavouables..       ~       Peut-être bien qu’une femme qui lira mes considérations (pour ne pas dire mes confessions) sexuelles, souhaitera en cristalliser certaines avec moi..   Il est bien évident qu’un fantasme consiste à faire coïncider une idée avec la réalité d’un moment adéquat et surtout avec une partenaire en connivence avec soi. Il faut vraiment une bonne dose de feeling avec sa complice pour décrocher la timbale..       C’est pourquoi l’avantage d’avoir ratissé large en matière de fantasmes permettra à celle qui voudra s’y coller avec moi d’adapter le scénario en fonction de la vibration qui s’imposera sur le moment. Mais les demoiselles à qui j'oserai faire lire cette somme de considérations ne seront pas nécessairement tenues de me faire part de leurs plans..       Quoi qu’il en soit, cher lectrice, si certains passages t'ont procuré quelques vibrations et visions plaisantes, tu peux m'en faire part !     Je suis habitué aux langages suggestifs de la musique et de la poésie, c'est pourquoi je ne suis pas vraiment à l'aise avec le fait de livrer pareilles confidences d'un bloc, sans détour et sans fard. Néanmoins, je voulais tenter l'expérience ! Mes délester par écrit de mes idées lubriques.       En espérant que cette somme se soit avérée plus amusante, excitante que consternante à découvrir !     Je dois avouer que j'ai un gros doute sur ce point !
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