shibarijin

En lisant ce texte, j'etais complètement en désaccord. (et surtout a cause de Vincent qui entend "destruction" )Sans rancune Destruction.. je n'ai pas vu ce mot et la c'est un peu trop.Le kinbaku vise a briser les defenses.. oui. Beaucoup de positions / figures insistent sur l'exposition du corps.Ce qui peut être assez humiliant.Par contre, mais c'est peut-être la façon de penser de Boxis, le point sur "sublimer le corps" qui serait a cote de la plaque... Je n'ai qu'a citer Hajime Kinoko : "Si le corps de la femme n'est pas plus belle (ou si la femme n'est pas plus belle, traduction ambiguë.. ) une fois encordée, c'est que c'est mal fait".Donc oui.. Cheyenne a raison. Car il existe des tas d'écoles différentes, donc des façons de faire différentes et des fins différentes. C'est la que l'article est mal foutu car ils disent qu'il y a des tas d'écoles différentes mais il n'ont qu'un seul point de vue et les autres, c'est faux. Bref.. L'article de Master est un bon resume.Par contre, il a cree un trou dans l'espace temps.. ^^Entre 'la fin des samurais' et .. 1950 Comme les samurai, les cordes reviennent dans les kabuki (genre de piece de theatre / musical / .. ), ou les scenes de combat et autres ( dont la torture) reviennent. Mais d'une façon plus esthétique. C'est en quelque sorte un tournant de l'histoire du kinbaku. Du moins, c'est ce que l'on ma raconte. Source fiable Puis au final, a chacun de faire ce qui veut en accord avec sa partenaire. Que ce soit pour embellir, en faire une oeuvre d'art ou humilier ou ci ou ca ou plusieurs choses a la fois. L'article semble avoir une penser unique... Pour ma part, c'est une promotion pour Boxis et un article mer****. Dommage.On dirait que le journaliste a ecoute Boxis ( et aucune critique envers lui, je ne pourrais me le permettre), qu'il en a fait son opinion, en accord avec son interviewe (c'est du français ca?? interviewee en anglais) et qu'il n'a meme pas fait de recherches par lui-même. Les femmes sont trop... Bienvenu au Japon conservateur. Mais meme la-bas, ce sont encore les femmes qui tiennent les ficelles derriere les rideaux..