Je souhaite remercier qui m'a fait decouvrir cette autrice.Je remercie mon amie qui un jour de juillet 2015 m'a attrapé la main et a su me guider,je remericie tous mes amis et amies ici présent qui par des mots ,des émotions, ont su me renvoyer des messages et pour vous tous,je vous transmets ce texte dans lequel je me suis retrouvé.
Alors belle journée à vous tous et gardez confiance en vous.
Ce texte est long mais si riche....
Pendant des années, une petite graine a lutté pour gagner son indépendance.
Elle voulait créer ses propres fruits pour être enfin libre, et trouver sa chance.
Mais, elle s’est fatiguée à cette tache.
Parce qu’elle travaillait sans relâche.
Elle espérait secrètement que les gens aimeraient ses fruits pulpeux.
Elle voulait contribuer à nourrir le monde grâce à sa production de fruits juteux.
Elle faisait donc ce qu’on lui avait appris.
Et reproduisait les méthodes des arbres de son verger et de ses amis.
Comme, ils étaient plus forts et plus grands ;
Ils devaient forcément savoir quelles étaient les meilleures méthodes à appliquer pour créer des fruits géants !
Cette petite graine faisait donc tout pour leur ressembler.
Elle travaillait dur et fort avec ses petits bras musclés !
Pourtant, elle n’obtenait rien de tout ce qui était désiré,
Malgré son acharnement à essayer.
Elle était même devenue un échec ambulant.
Une catastrophe vraiment !
Ses fruits étaient secs, et il y en avait peu !
Elle n’arrivait même pas à se nourrir elle-même, même si elle l’appelait de ses vœux !
Les arbres de son verger étaient même obligés de lui donner leurs propres fruits ;
Pour qu’elle puisse continuer à survivre et à mener sa vie.
Elle n’aimait pas cela et n’avait plus envie…
Car elle était redevable de ces dons non gratuits.
Elle sentait qu’elle pesait à ces arbres ;
Qui avait eux peu d’émotions et restaient de marbres.
Et plus elle essayait de se sortir de ce destin mal engagé,
Et, plus elle se « plantait ».
Elle faisait toujours plus de la même chose ;
Et elle avait vraiment sa dose.
Car malgré ses efforts permanents ;
Elle continuait à échouer lamentablement.
Pourquoi ?
Parce qu’elle n’avait jamais pris le temps de savoir qui elle était vraiment.
Elle avait essayé de ressembler aux autres arbres de son champ ;
Sans prendre le temps de sentir sa graine pleinement.
Elle pensait que c’était le seul moyen d’attirer le regard de ces ifs ! Mais le sien restait encore complètement chétif.
Elle n’arrivait pas à grandir !
C’était toujours de pire en pire !
Elle n’arrivait pas à pousser !
Comme si quelque chose la bloquait et voulait l’en empêcher !
Cette pauvre graine luttait et continuer à croire le fait qu’elle était une moins que rien.
Puisqu’incapable de parvenir à s’autonomiser et à produire des fruits bien pleins.
Pourtant tout son pâturage était rempli d’arbre magnifique !
Et le sien ressemblait à un truc maléfique.
Un matin épuisée, elle s’arrêta de lutter,
Pour juste se poser la question de savoir qui elle était.
Elle essaya de comprendre pourquoi elle échouait systématiquement,
Malgré son acharnement.
Les arbres du verger se mirent à hurler !
« Mais dit-moi petite graine ! Tu t’arrêtes de bosser alors que nous on te donne des fruits pour t’aider ! Et que l’on travaille d’arrache pieds ! »
Mais elle était tellement épuisée, qu’elle ne pouvait faire autrement que de tout stopper !
Elle était en plein « burn-out »avéré, mais personne ne la comprenait.
Cette pause forcée lui fit comprendre une chose essentielle :
Qu’elle avait essayé toutes ces années d’être une autre chose qu’elle.
Elle découvrit que « son soi » était tellement différent de ces autres arbres géants ;
Qu’il lui avait été impossible de se déployer sans être raillée ou rejetée par son clan.
Était-elle prête à prendre ce risque d’être vue dans son authentique ?
À vivre le rejet ? La moquerie ? Le jugement ? L’exclusion ? Ou des piques sarcastiques ?
Au point où elle en était, elle n’avait rien à perdre à essayer.
Car c’était elle finalement qui se rejetait et se jugeait à continuer à agir loin de sa vérité.
Mais, était-elle prête à seule avancer ?
À prendre le risque que les arbres de son verger ne lui donnent plus de fruits pour vivre en sécurité ?
À prendre le risque de ne pas être comprise et intégrée ?
À prendre le risque qu’on ne vienne plus à son secours dans ses échecs répétés ?
Si elle ne jouait plus le jeu d’être une autre et ne faisait plus semblant, comment réagiraient ceux de son clan ?
Était-elle prête à mettre en avant ses atouts si différents ?
Un soir de pleine lune, elle tenta sa différence…
Elle parla avec sa vérité et tenta sa chance :
Les phrases ne manquèrent pas de fuser, et elle resta médusée :
« Mais c’est vraiment n’importe quoi ce que tu dis là. »
« Tu en es arrivé là ? »
Devant tant de phrases assassines et mesquines ;
Elle se replia vite fait et ne fit plus la maline.
Ben oui, c’était trop dangereux de sentir cela dans son corps fragile…
La raillerie lui faisait trop mal dans sa chair docile.
Il ne lui restait plus alors qu’à se te taire
Et à continuer à avoir l’air.
Le risque est bien trop grand…
La peur et les d’échec d’antan bien trop présents.
Mais un jour, dans une conversation, la négation d’elle-même est trop forte.
Elle ne peut plus faire la morte.
Tout explose comme un cri de tonnerre.
Une rage indicible crépite au creux de sa terre.
Et l’on s’étonne de cette rage …
Elle a l’air de tout sauf d’être sage…
Encore des phrases qui fusent et la jugent :
« Serais-tu une radicale extrémiste? »
« Une hystérique ?… Es-tu devenue folle ou stupide ? »
Et là, tel un roseau, elle plie, mais ne rompt pas…
Ils ne l’auront pas cette fois.
Elle est fière de continuer à être en lien avec cette rage qui gronde encore.
Car grâce à elle, elle sent enfin quelque chose qui monte au creux de son corps.
Elle a besoin de cette rage pour continuer à se sentir malgré les moqueries et les jugements.
Elle a besoin d’elle pour ne pas de nouveau disparaître dans sa coquille et ses fuites d’antan.
Elle sait qu’à partir d’aujourd’hui,
Elle est prête pour sa richesse, son autonomie…
Car malgré les autres qui pensent autrement et la grondent ;
Elle reste campée dans sa vérité profonde.
Enfin, elle sait…Elle sent…
Elle était une graine de pommier qui avait tentée de fabriquer des figues.
Ce qui ne lui avait causée que de la fatigue.
Parce qu’on lui avait dit que les figues, c’est ce qu’il fallait produire.
Ce qui avait fini par la nuire.
Parce qu’on lui avait dit que les figues, c’était les seuls fruits qui devaient exister dans ce verger.
Ce qui l’avait épuisée.
Car elle était née : POMME !!!
Elle avait donc essayé toute sa vie de produire cette figue, ce satané fruit et de le vendre.
Mais son fruit ne pouvait être que sans sève et exsangue.
Car il n’était pas en lien avec sa terre et son eau.
Elle n’était pas un figuier, mais un pommier si beau.
Une fois sa graine de pomme sentie de l’intérieur.
Elle a arrêté de produire ces figues de malheurs.
Elle l’a fait au départ avec au ventre de la peur.
Parce que bien sûr, cela ne se faisait pas d’arrêter de produire les fruits de son clan !
Il criait tous de ne plus la voir faire comme avant !
Armée de courage, elle a poursuivi cette quête vers son senti !
Elle a tout arrêté pour juste essayer de sentir sa propre sève et son élan de vie.
Il est vrai que sa graine à elle était bien profondément enfouie.
ll lui a fallu du temps pour qu’elle se montre à la surface et non restée tapie.
Elle a lors commencé à vouloir la faire sortir de sa terre.
À la montrer à la lumière.
Mais des gens ont voulu marcher dessus.
Et elle est de nouveau rentrée dans sa grotte sans un salut.
Jusqu’à ce que la période de gestation soit suffisamment longue et dense;
Pour que cette graine reprenne de la force et de la puissance.
Alors, avec ses petits bras, elle a poussé la terre, pour aider sa graine à refaire surface.
Et on a de nouveau tenté de lui dire à quel point cette graine ne valait rien en pleine face !
Mais elle n’en avait cure !
Elle a alors arrêté de se planter à côté des figuiers.
Tant qu’elle ne se sentait pas assez forte pour s’y frotter.
Elle a poursuivi sa route avec la force solitaire de ses petits bras. Et a avancé un pas à la fois.
Elle a commencé alors comme par magie à croiser d’autres pommiers.
Sur sa route, ils ont complimenté sa belle graine qui commençait à pousser…
La sève de son arbre s’est petit à petit renforcée.
Et là à sa grande surprise et tout cela sans un bruit ;
Elle a enfin produit un fruit.
Des gens voulaient même bien y gouter !
Ce qui ne lui était jamais arrivé.
D’autres fruits ont commencé alors à éclore !
Elle avait enfin trouvé son trésor !
Des forces invisibles contribuaient même à son propre essor !
Elle ne luttait plus jamais !
Car le soleil l’inspirait, et la pluie l’irriguait !
Ses fruits étaient tellement gros, nourris de sa sève, de sa terre et de son eau,
Que tout le monde en voulait et grimpait jusqu’à sa cime et même plus haut !
Plus besoin de lutter…
Les figuiers ont un jour arrêté de causer.
Ils ont senti qu’il ne pouvait plus rien dire.
Elle n’était plus dans leur ligne de mire.
Le pommier n’avait plus besoin non plus de rugir pour prendre sa place.
Tout simplement , il« était ».
Et cela suffisait pour se faire respecter.
Il était maintenant prêt à donner.
CAROLINE GAUTHIER
#photoperso
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Aujourd'hui, je vous apporte un sujet peu commun: le soi-disant Geisha mâle ou Taikomochi ou h?kan , qui était la façon courante de les appeler.
Son origine remonte au Japon féodal du s. XIII. Ils faisaient partie de l'assistance personnelle du Seigneur féodal en matière de connaissance de la musique, de la poésie et du rituel du thé. Ils devinrent plutôt des bouffons (daimyo) encouragés à divertir les banquets majestueux.
Plus tard, avec l'arrivée des Samouraïs, ces "geishos" ont été rebaptisés Otogishu , des conteurs de style jongleurs, plutôt humoristiques, bien qu'ils se soient concentrés davantage sur des conversations confidentielles avec le Seigneur, même de nature militaire. qui étaient de vrais conseillers et une partie importante dans les décisions finales sur les stratégies, allant même jusqu'à se battre au coude à coude dans les batailles dans lesquelles leur Seigneur était impliqué. Leur niveau était de haute confidentialité étant considéré comme des camarades, c'est-à-dire doboshu.
Avec l'unification du pouvoir politique et militaire sous la domination du dernier Shogun (Tokugawa Ieyasu), ils ont acquis de nouveaux pouvoirs et un nouveau statut, devenant des courtisans d'une éducation délicate et d'une connaissance approfondie des divers arts, en particulier des histoires érotiques.
C'est quand on leur a donné le nom de Taikomochi.
C'était dès l'apparition de la première geisha (onna geisha), Kikuya, de retour dans l'art. XVIII, lorsque les Taikomochi ont commencé à jouer un rôle encore plus secondaire. Certains étaient de simples compagnons ou assistants de la geisha lors de réunions importantes. D'autres ont profité de l'occasion qui s'est présentée à la suite de l'expulsion de femmes des arts du spectacle pendant le shogunat de Tokugawa. Ainsi, aujourd'hui, seuls les artistes du théâtre Kabuki sont des hommes.
Ils peuvent trouver une infinité d'informations sur le net. Je n'ai fait qu'un bref examen, de nombreux détails ont donc été omis.
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(voici un texte d'une soumise que j'ai glané sur le WEB et que je trouve par certains cotés si juste que j'ai souhaité le partager)
Faisons fi de l’imagerie d’Epinal : le BDSM est tout le contraire de ce qui peut en être cru, c’est à dire l’opposé du « Lasciate ogni speranza, voi ch’entrate » de Dante.
Rien en effet de plus construit, de plus conduit, de plus négocié dans cette relation et c’est ce que, peut-être, je puis admettre qu’elle ait de plus repoussant aux yeux du béotien.
Parce qu’il est bien rare qu’elle naisse spontanément et mûrisse comme le font les autres amours? A quelques rares exceptions près, tous les couples que j’ai vu se former l’ont fait par le biais d’annonce ou assimilé?.
Quelquefois, il est vrai que c’est l’un des deux partenaires qui a eu la chance d’éveiller des méandres semblables aux siens chez son compagnon de vie? Ces couples-là ont eu ou n’ont pas eu d’avenir selon la force de motivation qui était dans le second : le faisait-il parce que « ça » parlait vraiment en lui ou seulement pour « suivre » ?
De la réponse à cette question allaient découler tous les lendemains de l’union de ces deux?
Les autres font donc connaissance virtuellement sur le papier ou sur l’écran, au téléphone ou autrement?. Ils prennent ( je vais choisir de me placer dans le meilleur des cas, c’est à dire celui de deux personnes conduisant une recherche authentique et sérieuse) leur temps, tout leur temps et leurs marques, chacun de son côté.
Ils partent aussi, comme tout couple qui se serait rencontré en forçant le hasard, à la recherche d’autres affinités, de celles qui leur donneront les moyens d’exister et de partager.
Il faut bien en venir ensuite à évoquer le sujet qui brûle et là encore on pénètre dans une très longue période d’exploration, de définitions puisque l’on est déjà au c?ur de la question, celle qui va permettre de définir la relation.
Et l’on en vient aux limites.
Bien étrange d’en parler pour cette sexualité cérébrale où tout l’enjeu consiste d’un côté comme de l’autre précisément à les repousser.
Mais pour comprendre, il faut s’entendre sur ce que l’on nomme limites.
Venons-en tout de suite aux dites « pratiques ». J’ai déjà écrit précédemment qu’un bon tiers des pratiques « extrêmes » assimilées au BDSM (et ce d’ailleurs par bon nombre d’adeptes eux-mêmes) n’étaient en fait rien d’autre que les classiques pratiques sexuelles « extrêmes » qui peuvent concerner ou ne pas concerner tout couple. Un petit détour chez Catherine Millet, qui n’est pas une pratiquante SM en témoigne aisément dans la littérature, de même qu’un coup d’?il au cinéma de Walerian Borowczyk , qui lui non plus ne mit pas en scène le BDSM ?.
Pour avoir laissé de côté ces pratiques sexuelles, vous me ferez grâce de toutes celles réprimées par la loi qui ne nous concernent pas plus.
Alors, ces limites ?
Et bien, nous en avons toutes et tous.
Certaines sont d’emblée infranchissables, quasiment phobiques et celui qui vous écoute sait le saisir mais d’autres sont et cela, il saura le sentir dès le départ, un mélange d’attraction-répulsion et c’est ce chemin qu’il vous amènera à faire à travers votre propre forêt, parcours initiatique s’il en est..
Non pas du jour au lendemain, mais pas à pas, très très lentement, puisque dans l’idéal cette relation devrait se transformer en amour et alors vous aurez toute la vie pour accomplir le parcours.
Le Dominateur (appelons-le ainsi pour simplifier) n’est pas non plus le sadique animal à sang froid qui veut enserrer sa proie dans ses anneaux pour l’amener au bout du bout du bout. Je vais en surprendre plus d’un en disant qu’il a lui aussi ses limites. Et qu’il arrive dans un bon quart des cas à des soumises un peu trop « exaltées » de tenter sans prendre la mesure du risque de « pousser » le Dominateur dans ses retranchements? Jouer avec le feu, quoi?.
C’est en cela q’un vrai « Maître » doit savoir se maîtriser lui-même, maîtriser aussi son sujet avant d’essayer de maîtriser sa sujette?. Savoir lui montrer l’abîme juste d’assez près pour qu’elle en ait mesuré la profondeur mais avec juste assez de confiance pour qu’elle sache qu’il y a toujours un filet de protection.
Les limites que l’on va être amené(e)s à franchir pas à pas donc relèvent tout autant du physique que du psychique. Soyez néanmoins assuré(e)s que les barrières insurmontables l’autre les a entendues et n’y touchera jamais.
Deux exemples concrets dont l’un au moins vous amusera : je l’ai écrit un autre soir, je joue et m’arrête juste avant « le premier sang » ; je sais que nous n’irons jamais au-delà et je me sens en pleine confiance. J’ai un écoeurement à l’idée du latex ; je sais que j’y échapperai pour mon anniversaire ;-)
En revanche, au début, j’avais une frayeur horrible et donc un rejet de la canne tout en restant fascinée devant ceux qui pratiquaient : M. m’a amenée vers ce plaisir parce que mon ambivalence sur ce point était claire. De même pour la laisse : j’y associais le mot « chienne » et donc totale impossibilité mais en même temps, je ne détachais pas les yeux des femmes qui en portaient une. M. m’ a simplement aidée sémantiquement à défaire mon association chienne-laisse, le plus simplement du monde : ma laisse, c’est moi qui la tiens partout où je la porte.
Je me suis une fois de plus placée pour ce post dans le cadre de mon expérience propre qui est une expérience amoureuse ; l’ensemble de ce que je dis (et qui n’engage que mon avis d’ailleurs) me paraît valable aussi dans le contexte d’une relation plus « indifférente ».
Mais alors, qu’il me soit permis d’évoquer le bonheur dont ceux-là se privent !
L’originalité de cette forêt que sont les limites en BDSM, c’est qu’elle est sans fin.
On sait que l’on n’en atteindra pas le bout demain et que le rapport se renouvelle ainsi par touches impressionnistes chaque jour.
C’est beau une histoire en marche, c’est beau un amour qui ne s’arrête pas même dans ses tâtonnements et découvertes érotiques.
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1. La personne carrément masochiste mais non soumise ou le libertinage sensualiste
Pas de servitude, de scènes d’humiliation ou d’échange de pouvoir, mais simplement certaines formes de douleur et/ou une sexualité épicée, genre petites rudesses animales... Plus un trip des sens à ses conditions et pour son plaisir direct que le fait d’être utilisé(e ) pour assouvir le sadisme du-de la partenaire. Pas du genre à allumer sur les jeux de douleur/plaisir en tant que tel ou à être attiré(e) par le sado-masochisme ou des sports plus extrêmes.
2. Pseudo partenaire de jeu
Apprécie la panoplie des jeux de rôles légers (scènes de la petite école, jouer au docteur, jouer aux cow-boys et aux Indiens, l’infantilisme, le travestisme forcé) mais aucune forme de servitude au menu, même une fois dans le rôle. Dirige largement la scène. Cette personne compte généralement plusieurs partenaires de jeux sur une base non permanente ou sans engagement véritable.
3. Pseudo-soumise
Aime jouer la personne soumis(e) pour voir ce que c’est l’état de servitude. Peut à l’occasion aimer se sentir utilisée pour assouvir les pulsions sadiques du-de la partenaire, et même aller jusqu’à le-la servir dans certains cas, mais à ses propres conditions. Dirige largement la scène, parfois fétichiste (adoration des pieds, par ex). N’a pas nécessairement d’engagement émotionnel envers la personne dominante. Ne désire pas être dressée pour la soumission. Ne cède pas beaucoup de contrôle ou sinon pour de brefs moments. Désire une variété de partenaires de jeux. Peut être avec une personne dominante quelque temps, sans être prête à céder réellement le contrôle.
4. Personne soumise dans les jeux de rôles définitivement non esclave
Offre une partie de sa volonté seulement sur des bases temporaires et à l’intérieur de limites spécifiques, et retire sa satisfaction de la soumission autrement que dans l’acte de servir ou d’être utilisée. Le suspense l’allume, tout comme le fait de se sentir vulnérable et de céder ses responsabilités. Ne dirige pas la scène sauf à quelques exceptions, mais recherche surtout son propre plaisir, plutôt que celui de la personne dominante. Joue à fond durant la scène, mais en sort une fois que tout est terminé.
5. Personne soumise-jouet
Lâche rarement prise hormis peut-être sur des bases temporaires, durant de brèves scènes et à l’intérieur de limites bien spécifiques. Retire sa satisfaction dans le fait de servir/d’être utilisée par la personne dominante pour des motifs de plaisir, généralement érotiques. Cherche son propre plaisir avant tout.
6. Soumis(e)
Donne réellement le pouvoir à la personne dominante (généralement à l’intérieur de certaines limites); veut servir, obéir, plaire et être utilisée par la personne dominante; souhaite offrir ses services à des fins érotiques ou non; peut même se glisser dans un rôle d’esclave à temps plein durant quelques jours. A généralement une relation à long terme avec son-sa Maître(esse), relation faisant l’objet d’un contrat et d’un engagement profond. Est beaucoup plus dévouée aux besoins, demandes et désirs de la personne dominante, qu’aux siens propres. Son plaisir provient généralement du besoin viscéral de servir, complaire et obéir à son-sa Maître(esse). Retire une fierté de ce besoin de servir et est généralement bien entraînée. Certaines de ces personnes peuvent vivre avec leur Maître(esse) sur une base partielle ou à temps plein, bien que ce ne soit pas toujours le cas. La majorité des personnes soumises portent le collier de leur Maître(esse)
7. Soumise consensuelle mais réelle soumise, à temps partiel
Dans une relation suivie et se considère la propriété de son-sa Maître(esse) en tout temps. Veut lui obéir et lui plaire sur tous les plans dans la vie, érotiques et non érotiques. Peut dédier une partie de son temps à d’autres engagements mais son sa Maître(esse) a le dernier mot sur ses temps libres. En général, une entente spécifique et écrite lie les parties.
8. Soumise à temps plein sur une base consensuelle
Hormis sur quelques menus aspects et limites, cette personne considère n’exister que pour le bien-être et le plaisir de son-sa Maître (esse) En retour, elle s’attend à être vue comme un cadeau de grand prix (propriété) Un grand nombre d’esclaves cumulent les tâches professionnelles et ménagères, et leur salaire est volontiers remis au-à la Maître(esse) afin qu’il-elle en prenne soin. Vu par le prisme du BDSM, un tel arrangement tient compte du consentement de la personne esclave et reconnaît explicitement les dangers d’un tel statut, par l’échange de pouvoir en cause, ce qui se traduit bien souvent par des pré-arrangements plus clairs et définis que bien des contrats de mariage traditionnels. Un contrat écrit étant de rigueur, dans plusieurs de ceux-ci, on peut lire en toutes lettres que si la personne esclave demande à être libérée et que sa demande lui est refusée, alors elle doit honorer son engagement et rester auprès de son-sa Maître(esse)
9. Soumise entière et sans limites sur une base consensuelle
Un fantasme répandu bien que rarement appliqué dans la vie quotidienne (sauf dans le cas de certains cultes religieux et d’autres situations ou le consentement est induit par lavage de cerveau ou par des pressions sociales ou économiques). Certains puristes insisteront sur le fait que vous n’êtes pas une personne réellement esclave tant que vous n’acceptez pas de faire absolument tout ce que la personne dominante vous demandera. Plusieurs se réclameront de l’esclavagisme total sans limites.... bien que nous ayons tous et toutes nos limites, quelles qu’elles soient. Croire le contraire est illusoire.....
(texte d'une inconnue glané sur la toile)
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Parlé du bandeau et de la privation sensorielle, de la source d’excitation et d’exaltation de l’esprit qui en résulte.
En BDSM, le bâillon fonctionne de la même façon : il prive de la parole. Plus ou moins selon sa consistance : simple tissu, foulard ou bâillon plus sophistiqué.
Le fait est que de ne pouvoir s’exprimer est tout à coup entrer en étrange pays dans son propre paysage intérieur.
Le bâillon fait selon moi, mauvais ménage avec le bandeau, d’un simple point de vue esthétique tout d’abord?Mais là, il s’agit d’un avis personnel, certaines s’aiment encagoulées à l’extrême. Cela n’est pas mon cas.
Là où les mots ne peuvent plus dire, il faut que ce soit le regard qui parle. La photo que j’évoquais traduisait très bien cela. Celle que j’ai trouvée pour vous aussi, même si ce regard là est moins expressif que celui dont je me souviens ?
Ah ! Que de choses on peut faire passer dans un regard !
L’angoisse, la peur, omniprésentes, qui font partie intégrante de ce jeu amoureux? La supplique parfois?Et comme ne pouvoir parler que par les yeux vous fait sentir petite, démunie?
Le bâillon ne permet même pas de « dédramatiser » les choses par le biais d’un sourire, comme le fait le bandeau?
Là, vous n’avez plus que vos yeux.
Que vos yeux pour dire l’amour aussi.
Et cependant, quelle expérience intime ! Ce foulard qui s’imprègne peu à peu de votre salive, laissant à peine filtrer quelques soupirs, cris ou gémissements.
Ce bâillon qui vient se rajouter à vos liens vous donne l’incroyable sentiment de devoir chercher en vous d’autres ressources que les mots, ces mots auxquels nous sommes si habitués. C’est toute une « expression corporelle » qui se met là en jeu. Tout un travail sur soi.
L’inverse exact d’une séance psy?Rires.
Mais quasiment le même résultat. Rires encore.
La parole étouffée vous fait plonger en vous. Elle fixe d’autres termes. Vous accomplissez un chemin, les yeux dans les yeux de l’autre : il devient votre seul interlocuteur, tout ce que vous lui dites de vos yeux revêt une importance extrême.
Plus de vaines paroles comme dans la vie de tous les jours (surtout pour moi qui suis une incorrigible bavarde !)
Le bâillon, c’est aller d’un coup de baguette magique à l’essentiel. Au vrai moi.
(Texte d'une inconnue glané sur la toile tellement Vrai)
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Lune du matin.
Sans un bruit, dissimulée par la pénombre
Elle profite de mon sommeil pour rejoindre le soleil.
Une nuit de passion pour savourer une rencontre.
Les yeux ouvert, et le corps en sommeil
Je le regarde.
Je le regarde.
Dévêtu il suit la trace de nos tissus mélangés
Tel un lion , silentieusement il évolut
De ses formes masculines, je rêve de la nuit.
Pour lui je dors.
Pour lui je dors.
Mais l'ambre de mes yeux glissent sur sa lune.
Haute dans le ciel pour un matin
Ce suivez moi Madame
Attire mon intérêt, a les voir évoluer de ci de la.
Ce balançant au grès de sa démarche
Ses fesses, douce et blanche
Attise mon desir
Attise mon souvenir
De les avoir caressées
De les avoir réchauffées.
Dénudées elles s'exposent à ma tentation
Douce lueur de lune,
douce aventure de brune
N'ai-je point l'envie de m'en accaparer la propriété.
Une loi devrait être faite dans ce sens
Elles qui troublent mes sens.
L'envie est là
Elles sont là
Alors d'un élan assure par ma nuditee
De mes mains j'attrape ce pain défendu
Pour en faire mon petit déjeuné
Jusqu'au souterrain de la nuit sans lune.
Madame
Merci Ma Dame pour m'avoir ,en son temps,ecrit ce texte que je vous ai inspiré
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Exister pour celle qui pose son regard
Empli de certitude Sur celui qui hagard
Se prête à s’enivrer de ces quelques mots
Que par ce jolie mois de janvier prés de Bordeaux
Cette Dame à la plume si légère sur son velin
Lui rédigea ce qu’elle lui soufflait à faire de sa main
Caresse ,vas et viens pour faire tendre ce mandrin
Mais que d’un mot elle stoppa car il lui appartient
Que ces quelques vers emprunts de servitudes
Trouvent un jours la Dame qui reposera cette certitude
A celui pour qui ces quelques phrases de soumission
Eut envie d'offrir par un matin d'hiver à nouveau sa détermination
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voici un texte que j'ai écrit il y a quelques temps à l'attention de celle qui fut ma Maitresse pour un temps
Madame
Bouche affamée que la votre
Vous dévorez mon âme et mon corps,
Vous peignez des arabesques compliquées
Vos mains exaspèrent ma peau.
Exigeante metteuse en scène diurne
Vous me transformez je deviens interprète
Quand vous vous servez de mes sens en alerte
Pour vos trames à la saveur perverse.
Prédatrice, vous me poussez dans mes retranchements
Où je garde, docile, mes yeux de proie baissés.
Mais dites-moi, quand douleur et plaisir s’entremêlent,
Quand dans les cris on distingue deux voix
Qui donc est le chasseur et qui est le gibier…
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1-j'ai eu une enfance heureuse ,choyé et avec beaucoup d'amour.
2-A la naissance j'ai failli passé déjà de l'autre coté
3-rebelote à 3 ans et à 23 ans
4-j'adorais la natation surtout quand j'ai failli faire couler le moniteur qui m'a appris
5-j'ai aimé les sports d'équipe
6-j'ai embrassé ma 1 ere fille à 12 ans mais déjà c'est elle qui m'avait attrapé
7- A 15 ans j'ai fait le Tour de Gironde en Solex et j'ai tellement adoré qu'après j'ai participé au 24H du solex avec un engin qui roulait à plus de 100km/H
8-la voile m'a accroché, et je revis régulièrement ces longues nuits à dormir sur le pont à la belle étoile
9-Punaise décider socialement pour les autres ce n'est pas facile
10-Je me sens l'âme d'un Don Quichotte, à vouloir toujours me battre contre les moulins à vent
11-Je dis toujours ce que je pense mais en mettant les formes et le temps
12-j'adore le Saint Honoré et le Vacherin avec plein de Meringue
13-J'aime la crème fouettée , mais on est pas obligé de se limiter à la crème
14- "la liberté des uns s'arrête ou commence celle des autres " précepte qui me suit toujours
15-Roi Faune vous en avez imposé 35 , ce n'est pas rien
16-la famille c'est sacrée
17-Découvrir son "Moi "tardivement à des avantages et des inconvénients
18-Avantage= on a l'expérience de la maturité même tardive
19-Inconvénient=" j'ai une vie et il est difficile de tout concilier" , et ma frustration de ne pas le vivre est d'autant plus grande
20-Avec l'expérience on apprend la patience
21-Ce construire ne ce fait pas en un jour mais chaque étape quand on est bien conduit et bien guidé est encore plus fort.
22-Punaise j'ai envie d'une bonne assiette d'huitre à déguster en face du bassin D'Arcachon avec un bon Sancerre blanc
23-Si je ne juge pas les autres , alors laissez moi me juger seul
24-J'aime et j'ai besoin d'échanger
25-je préfère OUI ou Non à "Peut être"
26-rien ne vaut même avec mon expérience s'abandonner pour lâcher prise que de résister pour subir
27-Echanger avec des personnes qui se comprennent c'est très fort pour tout le monde
28-Loic ce n'est pas mon prénom
29-J'ai eu la chance de rencontrer une Domina formidable et je sais qu'une autre prendra le relais pour parfaire mon "Moi" à son image
30-Attention j'ai ma personnalité et j'espère moi aussi lui apporter ce quelle attend pour s'élever avec Moi
31-Roi Faune je vous ai battu
32-je suis admiratif de tous ceux qui vivent à fond leur vérité
33-Merci au Site , j'ai rencontré plein de personnes qui me permettent d'aller vers mon "Moi"
34-plus qu'une ,alors je vous embrasse toutes et tous qui " liker" mes photos, même les autres
35-Bon Mesdames qui me lisez, n'ayez pas peur d'échanger avec moi , je ne vous en voudrai pas
Je vous respecte et vous aime
Loic
RAPPEL DES RÈGLES DU JEU :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Loic33 »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Bonjour
voilà un article que j'ai trouvé lors de mes recherches
je vous le retranscrit telle que je l'ai trouvé mais je le trouve tellement juste que je souhaite le partager
"Le bonheur ne réside pas seulement dans le plaisir mais dans le contentement de soi qu’éprouve celui qui vit des sensations (parfois pénibles) valorisantes. il implique la présence, au moins fantasmée des autres, car être content de soi c’est se reconnaître (et être reconnue au moins virtuellement) comme valeur ; or cette valorisation de soi suppose une référence en des valeurs sinon universelles au moins généralisables. La conscience humaine est réflexive (conscience de soi) et cette réflexivité implique nécessairement le jugement des autres sur soi, sinon pour le faire sien, au moins pour le contester au nom de valeurs qui ne peuvent valoir pour soi que parce qu’elles devraient valoir pour d’autres que nous imaginons à notre image et ou à l’image de Dieu (ce qui revient au même) .
Ainsi le désir humain, comme désir d’être heureux, est désir du désir des autres pour mieux se désirer soi-même ; il se décline en désir de possession et de prestige (je possède ce que tu ne possède pas et que tu désires posséder), en désir de domination ( je te possède et donc je te suis supérieur en valeur) ou en désir d’amour réciproque et, dans le meilleur des cas, égalitaire (je désire t’aimer pour être aimé, je désire ton désir de moi ; je te désire autant comme sujet de désir que comme objet de désir). L’homme égoïste ne peut être heureux car il est un déçu de la vie et cette déception a deux origines : la défaite dans compétition sociale pour le pouvoir et l’honneur (ressentiment); et la mauvaise gestion de son désir d’être dans ses relations avec le désir des autres qui lui interdit d’obtenir ce qu’il désire : le désir « autonome » d’autrui. Ce qui veut dire que le désir d’être heureux dans l’amour ou désir réciproque doit être régulé dans sa relation au désir d’autrui pour avoir quelque chance de succès ; non par une morale du devoir toujours culpabilisante et dépréciative de soi, mais par une éthique pragmatique de la joie réciproque selon une stratégie donnant/donnant et/ou gagnant/gagnant. Les autres déclinaisons du désir (possession et domination) repose sur des stratégies gagnant/perdant qui peuvent procurer le bonheur dans la certitude toujours fragile de sa supériorité instituée et reconnue socialement, donc objectivement. Mais se croire indépendant des autres est une illusion qui ne peut conduire qu’au délire paranoïaque du pouvoir absolu, retourné en délire de la persécution, ou à une solitude affective et psychologique dévalorisante et suicidaire. Ce que l’on peut désirer c’est être plus autonome dans nos projets d’autovalorisation (donc plus raisonnable dans le gestion de notre désir d’être heureux dans la reconnaissance de soi par les autres) vis-à-vis des autres dont notre désir de bonheur dépend toujours. Il ne faut pas confondre donc l’indépendance (n’être en rien dépendant des autres) et l’autonomie (accroître sa marge de manœuvre dans le relation de dépendance plus ou moins réciproque entre notre désir et celui des autres)."
en tout cas ce qu'il en ressort pour moi, c'est que l’égoïsme ne peut amener nulle part et donc le Bonheur c'est le résultat de l’échange.
bien à vous tous
Loic
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voilà 7 mois un monde nouveau se révélait à moi , celui de mon "Moi" profond celui de "Soumis"
Depuis plusieurs années lors de rencontre au fil de la vie, je côtoyais le monde D/s sans savoir qui j'étais.
Puis au mois de juin dernier , discutant avec un de mes amis Dominant dans sa nature, et dans son couple, celui ci me dit:
" ne serais tu pas en fait un soumis? "
cela me travailla et venant sur le site de BDSM que je découvrais , je créais un profil de soumis, dévoilant qui j'étais et exprimant ma volonté de me soumettre à une Domina ,mes contraintes personnelles, non pas une folle du fouet, non pas une professionnelle mais une Maîtresse capable de me conduire et de m'éduquer pour me permettre de me révéler à moi-même.
C'est là que prenant contact avec des Dames au profil plus intellectuelles que physiques , je rentrais en relation par messagerie avec Maîtresse Sarah.
Nos échangeâmes beaucoup alors sur nos désirs respectifs, et je pénétrais un monde qui alors m'étais en réalité totalement inconnu.J'avais soif d'apprendre , mais en même temps étant depuis si longtemps dans cette construction de mon "être" cela sonna comme une évidence pour tous les deux ; que Maîtresse Sarah pouvait me conduire vers elle et ma soumission à son endroit.
Ni une ni deux , rendez vous fut pris et je rencontrais alors pour la 1 ere fois ma Domina qui en plus de l’intellectuelle, avait le physique et qui sut dés le début créer l’atmosphère idéal pour une rencontre qui allait être ma "Naissance".
Permettez moi de gardez pour nous le récit de ce moment mais sachez que je découvris ce que le lâcher prise était effectivement .
Maîtresse Sarah, dés le début m'avait prévenu que sa carrière professionnelle pouvait évoluer et quelle pourrait être amené à quitter la région. Mais sentant chez moi un tel besoin de m'abandonner elle accepta de me conduire.
Nos échanges quotidiens nous permettaient de vivre même à distance une vraie relation et deux mois plus tard nous nous rencontrions à nouveaux. Et là ce fut encore plus fort.
Mais effectivement Madame du s'éloigner de la région , et nos rencontres étaient compliquées. malgré tout , elle vint sur Bordeaux et nous passâmes une excellente soirée en compagnie de mon ami Dominant.Un souvenir mémorable!
Depuis plusieurs semaines , étant repartie loin de moi, nous continuâmes à échanger quotidiennement, mais l'un et l'autre savions au fond que ce type de relation passe aussi par le physique surtout quand c'est une construction.
Voilà pourquoi , Maîtresse Sarah a décidé et je lui en suis gréé , de me libérer de ce collier quelle m'a fait porter par 2 fois signe de ma soumission à son égard et de sa domination
Merci à vous Madame
Aujourd’hui orphelin ou célibataire comme vous voulez ,sans collier, surement , je cherche une Domina qui accepterai de reprendre ce rôle d'éducatrice envers le soumis que je suis , qui à soif d'apprendre.
Je suis un cérébral, Oui mais pas que!!
J'ai besoin aussi de me donner à une Dame qui voudrait vivre dans un échange ou à la fois je lui donnerai ce qui lui revient de Droit parce quelle est une Femme et ce que je pourrais recevoir car je recevrais ses désirs.
Comme je disais plutôt les pro et les folles du fouet (il n'y a pas que ça dans la vie!!) passez votre chemin, je ne cherche pas ce type de relation et de toute façon je ne me donnerai pas à la juste mesure de mes moyens
.
De la même façon je n'ai pas une âme d'esclave, mon coté taquin est une partie de moi,mais toujours respectueux de part ma position et de celle de la" Femme" , feront que notre relation ne pourra être qu'une relation d'échange ou chacun fera grandir l'autre et ou j'ai besoin de me donner ou plutôt de m'abandonner.
J'ai perdu ma Domina , mais je conserve l’éducation quelle m'a donné avec la personnalité de chacun et je l'en remercie.
Alors Madame qui lisez ce témoignage et ,vous , qui trouvez une sincérité peut être puérile mais si véridique, n'hésitez pas à me contacter pour échanger mais de grâce, n'habitez pas à 500 km !!!
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Suite à la proposition de Lady Spencer je mets en ligne un article agrémenté d'un dessin
En fait la question est :
voilà une expérience que je ne connais pas réellement quel plaisir ou souffrance y a t'il à être Milké comme il est souhaité par certaine Maîtresse et quelle est la véritable différence avec l'orgasme avorté que j'ai subi pour le désir de ma Domina.
Il y a un article sur le milkage très détaillé mais le retour des Dominas ou soumis seraient très apprécié
Bien à vous tous
Loic
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