Les coeurs anesthésiés battent plus longtemps que les autres ; réguliers, sans-à-coups, ils se font oublier. Ils ont trop souffert pour se réveiller, ils contrôlent la survie d'un corps que le désir n'anime plus, incapables de se sentir vivants. Sans espoir, ils évitent les plaisirs et les chagrins
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Je suis dans chaque fleur qui s'épanouit, Je suis dans une pièce tranquille. Je suis dans chaque oiseau qui chante, Je suis dans chaque belle chose. Ne vous tenez pas devant ma tombe en pleurant, Je n'y suis pas
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Le vrai coté du miroir se prépare, courez petits lapins
La drôle de dame avançait sans faire attention au fait que je la suive. Arrivés dans un couloir assez
sombre et rouge sang, elle disparu dans un tournant. Une torche, qui s'alluma sans doute par magie,
me fit découvrir avec effroi que le rouge sang du mur ... étais vraiment du sang.
Quand je fut arrivé au tournant, j’aperçus un jardin magnifique rempli de rose blanche.
- Bien, Bien! Dépêchons nous Alice! Ce blanc commence à me donner des pulsions meurtrières!
- Mais pourquoi les peindre quand on peut simplement les couper ou les déterrer ?
- Mais parce que c'est toi qui m'a donné l'idée Alice!! Enfin tu te moques de moi ?
- Non! Il parait que je suis déjà venu ici. Et que tous le monde me connait. Sauf que moi je ne me
rappelle de rien!
Je cru qu'elle allait pleurer, après tous chaque habitant avait réagi de cette manière.
Mais non sa réaction fut tout autre...
Elle sorti un glaive d'une poche secrète, et s'approcha de moi.
- D'accord, alors tu dois mourir. COUPEZ LUI LA TETE!!!
Elle se mit à hurler cette phrase à tue-tête pendant qu'elle grandissait encore et encore et encore.
Je n'avais pas peur. Après tous ce n'étais qu'un rêve... Oui juste un rêve... D'accord fuyons.
- Halte!
Un homme venait de bondir sur la femme et lui fit avaler une potion étrange. Elle redevint toute petite
et se calma.
- Excuse-moi Alice je ne suis plus très bien depuis la disparition du lapin...
- Excuses acceptée... Si vous m'aidez a me souvenir. Car plus le temps passe, plus il me convint
que tous ceci ... est peut-être réel.. Ou alors je suis juste folle.
- Mais tous le monde est fou, ici, ma très chère Alice.
C'était un homme qui venait de parler. Un homme envoutant est magnifique. Un homme qui a lui seule
aurai pu combattre une armée. Un homme tellement beau que... Houla mais on se calme!
- Qui êtes-vous?
- tu ne le sais pas ? mais oui suis-je bête ta mémoire... Ceci est bien amusant et bien étonnant que
tu es pu nous oublier. Surtout lui... Mais cela remet les compteurs à zéro! Maintenant chacun aura sa
chance! Et je pense gagné un point en venant de te sauver!
- Mais de quoi parlez vous ?! Et qui êtes vous répondez à ma question!!
- Je suis As, le chevalier servant de ma reine! Pour vous servir...
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inventer son histoire, sortir de la réalité.
Etre sûr que c'est l'autre qui ne vous comprend pas.
Alors crier plus fort, devenir agressif et parfois, violent
et puis le lendemain ne se souvenir de rien.
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celui de semer la douleur dans les corps et les esprits, merci Alice, un jour tu y viendras aussi
Sublime illustration qui n'a besoin que de sa propre dualité bichromatique, sincèrement Val
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11/04/25
votre couple est expert dans ce domaine, vous êtes un individu sombre et lumineux Gorce
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11/04/25
La Hyène
Saigne, saigne, mon cœur saigne ! je veux sourire.
Ton sang teindra ma lèvre et je cacherai mieux
Dans sa couleur de pourpre et dans ses plis joyeux
La torture qui me déchire. Saigne, saigne, mon cœur, saigne plus lentement !
Prends garde ! on t'entendrait saigne dans le silence
Comme un cœur épuisé qui déjà saigna tant,
A bout de sang et de souffrance ! Quand parmi les sans-cœur, pauvre cœur, je te traîne,
Sous mon froc étriqué, tu saignes dans ta nuit.
Les six lignes de chair de la poitrine humaine
Pourraient trahir ton faible bruit. Mais je ne permets pas aux hommes de la foule,
Insolents curieux de tout cruel destin,
De t’approcher, cœur fier, pour entendre en mon sein
Dégoutter le sang qui s'écoule. Saigne, saigne, mon cœur J'étoufferai l'haleine
Qui pourrait, à l'odeur, révéler le martyr !
Saigne et meurs, cœur maudit car la Samaritaine
Manque à jamais pour te guérir !
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