Notre relation avait démarré quelques mois plus tôt, d'abord des échanges de courriers électroniques de plus en plus enflammés, puis récemment par téléphone... Mais nous ne nous étions encore jamais vu, pas même en photo, craignant, je pense,de briser une forme de charme érotique et sensuel que seul le virtuel peut apporter. Il est vrai que le passage "au réel" est toujours un risque, car c'est le moment où il va falloir assumer les délires numériques etles confronter à la dure réalité du monde physique...
Bref, nous avions décidés de sauter le pas et je me retrouvais maintenant là, un peu bête, dans le froid et l'anonymat d'une grande gare parisienne ce samedi soir de janvier.J'étais nerveux et en avance, il était convenu que notre première rencontre aurait lieu dans un café, officiellement pas rassurer la demoiselle, mais aussi,beaucoup pour me rassurer moi-même. J'avais les mains moites, la gorge serrée,j'avoue que je me faisais un peu l'impression d'être un ado encore puceau lors de son premier rendez-vous amoureux... De toute manière, il était trop tard pour faire marche arrière, je la voyais déjà approcher. Elle m'avait ditqu'elle viendrait avec un imperméable noire et qu'elle serait incroyablement sexy... Mais là... Comment vous dire... J'étais abasourdi. Elle respirait la féminité,bien plus femelle encore que femme, sa silhouette divine et élancée semblait flotter sur le sol. A chacun de ses pas, assurés et conquérants, sa magnifique chevelure brune ondoyait comme au ralenti. Pour tout dire, je me serais cru pour quelques instants dans un film d'aventure, où le héros (obligatoirement beau, ce qui n'était pas vraiment mon cas) allez forcément charmer et attirer dans ses filets, l'héroïne, aussi belle qu'inaccessible et nymphomane, comme il se doit. Si nous n'avions pas été en hiver, j'aurais pu même m'imaginer qu'elle ne portait aucun vêtement sous son imperméable... Fichue région parisienne...
Elle se prénommait Layla, elle était d'origine tunisienne et était encore étudiante en biologie lors de notre première rencontre. 26 ans, belle à se damner, et une tendance à la soumission, comme elle me l'avait très vite expliqué lors de nos premiers échanges. Elle vivait en couple depuis 3 ans, mais son compagnon ne partageant pas ses penchants, elle s'était vite transformée en une chasseuse d'homme, à la recherche de qui saurait la combler dans une relation de domination. C'est là, que j'entrais en jeu. Je me trouvais, finalement, dans une situation tout à fait analogue, ma femme étant farouchement opposée à tout comportement de domination, ou pire de sadomasochisme. Bref, Layla et moi,nous étions trouvés, et s'était donc naturel que tout cela finisse ici,à la gare de l'Est, entre une composteuse et un minable distributeur de sandwichs. Mais qu'importe, nous étions là.
Contre toute attente, nous n'eurent aucun problème à briser la glace, nos longs échanges torrides par écrit ou téléphone avaient fait de nous des intimes plus que des étrangers, et c'est enfin détendus que nous nous sommes assis dans un petit café, à l’abri des regards indiscrets. Comme elle était très officiellement ma Soumise et moi son Maître, je lui avais donné des directives très strictes sursa tenue vestimentaire : Elle devait porter des bas (avec porte-jarretelle,bien entendu) ainsi qu'un ensemble de sous-vêtements très élégants que nous avions repérés ensemble dans une boutique de lingerie en ligne. Nous trouvions en effet tous les deux très excitant et sensuel une belle lingerie, bien plus préférable à la nudité totale, du moins dans un premier temps. Sûrement, pour moi, des réminiscences de ce plaisir enfantin de déballer un cadeau très attendu le jour de Noël. Pourtant, je la savais bien souvent nue chez elle et savais aussi que son sexe était toujours parfaitement épilé.
Nous primes notre temps, devisant gentiment autour d'un café, ce qui ne m'empêcha pas à plusieurs reprises et le cœur battant à tout rompre du fait du lieu et de la situation,d'aller lui flatter impudiquement le sexe, lui faisant bien comprendre qu'elle était à ma disposition, en devoir d'assouvir toutes mes pulsions même – et surtout - les plus viles. Loin d'être choquée, elle semblait y prendre plaisir ce qui m'incitait à m'enhardir plus encore. Quand nous en fûmes au point où elle me léchait les doigts emplis de son nectar intime, la respiration courte et le pourpre aux joues, nous décidâmes de nous diriger vers la chambre quej'avais réservée dans un petit hôtel voisin...
La chambre était vraiment laide, genre hôtel de passe, mais qu’importe le flacon, pourvu qu’onait l’ivresse… Jamais Musset n’avait sonné aussi juste à mes oreilles, et puis ce cadre glauque, en un sens, m’excitait profondément.
Je la poussais sans ménagement sur le lit et elle émit un petit cri de surprise. Je mis longtemps à la déshabiller, profitant pleinement de la situation. Nous savions tous les deux que peut-être plus jamais nous ne revivrions ces instants et nous comptions bien en profiter. Etendue sur le lit, elle restait offerte, neportant plus que ces bas, son tanga et son soutient gorge... Je pris mon temps,définitivement... J'ai commencé par lui lécher et lui embrasser la gorge puis je suis doucement descendu entre ses seins, ma main juste posé sur son entrejambe dont je pouvais sentir l'abondante humidité malgré le tissu me cachant encore pour quelques instants sa grotte exquise. Avec mes dents, je dévoilais ses tétons que je léchais et mordillais jusqu'à la faire gémir, de cet espèce de gémissement soumis dont on ne sait trop s'il exprime la douleur ou le plaisir. Sûrement les deux, à cet instant-là, lui faire mal m'excitait au plus au point et m'effrayais tout autant. Je ne voulais pas lui faire mal, et pourtant je le désirais ardemment. Descendant de son nombril jusqu'à son entrejambe, ma langue ne s'attarda pas sur son sexe dont je respirais l'odeur à plein poumon.
"Lève-toi etagenouille toi sur le sol" furent mes seules paroles. Ces yeux rivais dans les miens elle s'exécuta, sa voix tremblante me répondant dans un souffle court d'excitation "oui, Maître". Une fois à genoux, je la poussais dans l'angle de la pièce où j'immobilisais son visage pris en étaux entre l'angle de mur et ma poigne dominatrice totalement assumée. Sans autre forme de procès,j'ai pénétré violemment sa bouche de mon sexe turgescent et violet de désir et j'ai commencé une extraordinaire irumation dans sa bouche devenue maintenant simple objet de mes pulsions. Elle ne bougeait pas, elle ne pouvait pas bouger et mes vas et viens s'accéléraient sans qu'elle ne put lutter le moindre instant. Je la pénétrais jusqu'à la garde de mon sexe, l'enfonçant le plus profondément possible dans sa gorge. Elle hoquetait, avait du mal à respirer, mais elle était ma prisonnière, enchaînée de son plein grès à mon désir, la transformant pour un instant en un simple kleenex. Je jouis longuement en elle... Mon flot de sperme était tel qu'elle faillit s'en étouffer, une quantité non négligeable lui ressortant de la bouche malgré mon sexe et ces lèvres serrées avide de cenectar chaud et salé que je lui offrais. Quand je me retirais, en me regardantdroit dans les yeux, elle se lécha les lèvres d'un excitant coup de langue,pareille à une chatte lapant du lait. Nous ne dirent rien, il n'y avait rien à dire, j'avais jouis et elle n'avait servi que de réceptacle à mes vices..."Met toi en position de levrette à même le sol et fait toi jouir, Salope!". "Oui Maître, merci Maître", encore une fois, elle s'exécuta et ôta son tanga, puis se mis en position de manière obscène et servile devant moi, sa main droite fouillant frénétiquement sa chatte trempée. S'est alors queje me mis à la fessée. Plus ses fesses magnifiques devenaient rouges, plus ses doigts s'agitaient et plus ses râles de plaisir et de douleur se faisaient sonores. Son orgasme fut phénoménal et l'anéanti complétement.
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Nous ne pensions pas, après notre première rencontre, qu'il y en aurait d'autres, comme si, d'une certaine manière, notre intense relation dans un minable hôtel de passe avait épuisé le sujet de notre érotisme, ou tout du moins qu'un seul écart dans nos vies biens rangées ne constituait pas, en soi, un adultère intégralement consommé. D'ailleurs, lorsque nous nous quittâmes ce soir là, ce fut sans un mot, et sans contact pendant presqu'un mois. Le temps sûrement de digérer, pour moi le profond sentiment de culpabilité qui me rongeait à chaque fois que je pensais à elle et d'assumer la présence d'un priapisme violent à la seule pensée de celle qui était en train de devenir mon fantasme absolu. Pourtant, bien souvent, la réalité n'est jamais à la hauteur du fantasme... Mais dans ce cas là, ce fut clairement le contraire. La charge érotique était telle que 4 semaines plus tard, j'en arrivais à me demander si je n'avais tout simplement pas rêvé cette nuit torride passée avec Layla. Bref, un mois plus tard, je rongeais mon frein, partagé entre l'envie folle de la recontacter et la peur viscérale que la même action provoquait en moi. C'est elle qui brisa ce silence tacitement imposé entre nous. Un simple "Je vous appartiens Maître" reçu dans un mail sans objet, me plongea dans des abîmes de désirs insoutenables. Elle avait été ma chose, et l'avoir traité de la sorte me faisait m'interroger sur moi, ma sexualité, mes valeurs. Bon, j'étais paumé quoi. Le concept même d'adultère avec elle m'excitait... Mais la "dominer", faire d'elle une poupée de chaire acceptant par avance tout ce que je pourrais lui faire "subir", dépassaient dans le désir et l'excitation tout ce que j'avais pu vivre jusque là. Je *voulais* abuser d’elle. La domination et la soumission, le sadomasochisme, relevaient avant elle d'une tendance très théorique sans réelle et profonde signification. J'avais peut-être trop lu "fifty shades of grey" sans vraiment comprendre... (Je préférais néanmoins le marquis de Sade). Mais maintenant je comprenais. Je comprenais que ma vie venait de changer et qu'elle en ferait à jamais parti, d'une manière ou d'une autre. Je comprenais qu'elle était *à moi* et qu'elle s'offrait entièrement sans demander aucune contre partie que celle de mon propre plaisir. Je comprenais aussi et surtout que ma sexualité venait de changer sans possibilité de retour en arrière.
Je lui ais donc donné rendez-vous devant la même gare de l'Est. Même heure, même endroit. Le distributeur était toujours là, encore plus sale et plus minable qu'un mois plus tôt. Une éternité. La gare elle même était d'un terne révoltant, terne encore accentué par un ciel gris et des odeurs nauséabondes de désinfectants sous une chaleur étouffante. J'avais été très clair dans mes directives, elles avaient été données de manière très laconiques et sans aucune chaleur. J'essayais très maladroitement de rentrer dans mon rôle de "dominant", avec la conscience aiguë que je m'y prenais mal... Mais qu'elle ne m'en tenait pas rigueur pour autant, trop heureuse d’enfin appartenir à quelqu’un. J'avais en bandoulière un sac contenant un petit "équipement" de jeu... Je voulais lui faire une surprise, mais sans aller "trop loin"... enfin...
Je lui avais demandé de venir nue sous son trench-coat. Quoi ? On a bien le droit de se taper son petit fantasme personnel non ? Et puis le trench coat c'est comme les bas avec porte-jarretelle, ça fait parti de l'inconscient fantasmatique collectif. Bon, ok, c'était aussi une preuve de mon manque d'imagination... Je lui avais aussi imposé une "pute-attitude", laissant à sa discrétion le choix de l'interprétation du concept, flou, même pour moi. J'étais dans ma demande très loin de l'image très érotiquement polissée que nous avions décidés la foi précédente, et je savais que ça allait indirectement contre ses propres goûts. Une manière encore une fois de m'imposer... Et, j'en étais certain, de la contenter dans son désire masochiste de m'appartenir coûte que coûte.
Ca pour une "pute-attitude", je ne fus pas déçu. Une fois encore, je la vis s'approcher comme au ralenti, subjugué par sa beauté et sa vulgarité contenue. Elle portait bien évidemment de hautes cuissardes. Cette femme avait la classe, et quoi qu'elle fasse, elle ne pourrait pas avoir l'air *vraiment* vulgaire. Même le chewing-gum qu'elle avait dans la bouche, pour faire "plus vrai", était mâché avec féminité et élégance. Ce fut bien simple, tous les mâles présents à cette heure devant l'entrée de la gare se tournèrent vers elle, bouche entre-ouverte, tandis-que les femmes la dévisageaient, mi-intriguées, mi-scandalisées, mi-envieuses (...). J'éprouvais à la voyant arriver, un sentiment d'orgueil et de propriété vaniteuse que je ne me connaissais pas et qui me surpris tout autant qu’il me scandalisa et m’excita. Elle fusilla tout le monde du regard et tous les visages se détournèrent d’elle, mais ses magnifiques yeux s'adoucirent immédiatement lorsque nos regards se croisèrent. Elle était à moi et elle le savait. Tout son caractère, toute son intelligence, tout son être se mettaient au service de mon plaisir et se donnaient à moi sans retenue, acceptant tout par avance. Je la pris par la main et la guidais vers l'hôtel voisin où je sentais que nous allions avoir, in fine, nos habitudes.
Entrés dans la chambre je lui dis "met toi nue" et elle fit tout simplement glisser son trench coat, révélant son corps superbe et tout dévoué à mon plaisir.
« Tiens toi bien droite et ne bouge pas… quoi qu’il arrive… ». J’avais changé le ton de ma voix en prononçant ces dernières paroles, et j’espérais qu’elle y avait bien lu une forme de sadisme latent des plus inquiétants. Un frisson la parcourut… pour ma plus grande satisfaction tandis-qu’une ombre indéfinissable passait dans son regard. Que se disait-elle ? Avait-elle peur de moi ? Peur de ce rendre compte que j’allais *vraiment* abuser d’elle et que je n’étais peut-être pas celui qu’elle pensait, mais un monstre sadique digne des faits divers les plus vils ? A moins qu’elle n’ait *envi* que j’use et abuse d’elle comme bon me semble... Cette ombre n’était peut-être finalement que de l’impatience contenue. Dans la chambre mitoyenne, quelqu’un écoutait la radio, et la scène en prenait une allure des plus surréalistes. Elle ne bougeait pas, acceptant sans broncher, pour le moment, ce rôle activement passif que je lui imposais. Moi, je prenais mon temps, faisant glisser mes mains, mes doigts sur son corps, l’inspectant comme un esclavagiste inspecterait un futur esclave. Son visage, son coup, son dos, le bas de ses reins, ses fesses, ses jambes puis ses seins, son sexe, sa bouche… J’allais partout de la manière la plus impudique qui soit, lui faisant bien comprendre qu’elle n’était rien d’autre qu’un mannequin manipulé et habillé par mon désir. Mes doigts venaient flatter son sexe et la pénétraient sans ménagement de plus en plus. Elle, en retour, ne bougeait pas, restait immobile, et mouillait abondamment… Mes doigts étaient trempés de ses sécrétions intimes, et je les lui faisais lécher régulièrement sans qu’elle n’émette le moindre son. Après un bon quart d’heure de ce traitement, j’avais suffisamment dilaté son sexe pour pouvoir y introduire presqu’intégralement ma main. Elle jouit brutalement, tout son corps se raidissant et vibrant d’une manière incontrôlée… Elle ne réussit pas à retenir un râle guttural des plus excitants et je ne lui permis pas de s’allonger… Elle devait rester debout parce que tel était mon désir, et ces yeux noirs exprimaient un mélange d’extase absolue mêlée à quelque chose d’autre, totalement indéfinissable… De la colère ? de la haine ? De l’abandon peut-être. « Retourne toi et reste bien droite ». Elle resta là, sans bouger, me tournant le dos et moi je ne disais rien, ne bougeais pas, au point même qu’elle devait se demander si j’étais encore là. Puis, très lentement, j’ouvris mon sac, faisant jouer la fermeture éclaire avec le plus de bruit possible. Je sortis un tube de lubrifiant et je lui enduis l’anus avec une infinie douceur. Elle ne s’attendait pas à mon contact, et elle tressaillit de surprise. « Ne bouge pas ! » lui entonnais-je et immédiatement elle se ressaisit. Je sortis aussi de mon sac un énorme godemichet que je posais ostensiblement dans son champ de vision de même qu’une paire de menottes, une bougie et une cravache… Elle se mit à trembler de manière visible, l’angoisse montant au creux de son ventre, tout comme l’excitation qui atteignait des sommets, son jus intime dégoulinant maintenant abondamment entre ses cuisses et le long de ses jambes, son bassin ondulant légèrement au rythme d’un amant invisible. Dans la pièce d’à côté, Balavoine chantait « on nous prend pour des fous… ce qu’on peut penser de nous on s’en fout… »… Toujours ce côté surréaliste… L’univers entier fomentait un complot et nous faisait un clin d’œil. Je me mis enfin nu, et c’est sans ménagement que je me mis à la sodomiser, avec une brutalité à peine contenue et un plaisir évident. Je voulais voir jusqu’où elle était capable d’aller, et je commençais à craindre, que ses limites ne soient plus lointaines encore que les miennes. Son corps était secoué par mes coups de boutoir mais elle tenait bon et ne bougeait pas, même si je sentais qu’elle contractait périodiquement les muscles de son vagin… La petite câtin arrivait à se masturber sans se toucher et cette simple constatation augmenta encore mon érection. Je mis ma main dans sa chatte pour mieux sentir son plaisir. Malgré elle, elle se mit à gémir autant de plaisir que de douleur et je n’intervins pas. Je jouis en elle abondamment, mon sperme inondant largement hors de sa grotte interdite et glissant le long de ses fesses. Elle avait mal, je le savais, je le *voulais*, et de cette douleur même elle tirait de la satisfaction… celle de porter dans sa chaire la douleur de mon plaisir. Elle s’oubliait elle-même, s’abandonnant à mes envies. Je la poussais à genoux et mon sexe à nouveau turgescent pénétra sa bouche tandis- que je me saisissais de la cravache. Elle hésita, frémissant de crainte et d’envie mêlées et son regard clairement angoissé maintenant se fondit dans le mien. Et pourtant, elle continuer à silencieusement se masturber… Je lui souris et contre toute attente lui dit « un mot de toi et je m’arrête ma Layla ». Elle ne dit rien et je la fis se relever, accompagnant son mouvement de mes doigts dans son sexe trempé. Elle me regardait, clairement partagée entre le plaisir, le désir et l’appréhension. Je sortis alors de mon sac une magnifique corde de lin qui finit à côté de la bougie et du godemichet… Elle me lança un regard d’une perversion absolue, jouissant par avance de ce qu’elle allait me laisser faire… Notre nuit ne faisait que commencer… et moi je me mis à me demander qui de nous deux dominait l’autre finalement…
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