Merci Luminae d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
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Parfois il faut sévir légèrement ! La muse devient docile…
09/02/25
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Tout change suivant les époques
https://www.radiofrance.fr/franceculture/quand-des-intellectuels-francais-defendaient-la-pedophilie-2026242
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N'oublions pas que certains d'entre eux sont toujours en fonctions, et/ou, y compris, aux plus hauts rouages de l'état, ou sont toujours invités sur les plateaux télé comme "expert"...
Alors oui, Insupportable comme l'écrit Gorce !
Pour ma part, autant l'idée de certaines pratiques intellectuellement sont excitantes, je ne les mettrai jamais à l’œuvre car sachant que des enfants peuvent assister à la scène, même accidentellement, comme tenir une femelle à 4 pattes dans un parc par exemple...
Sous-titre :
Quand l’Alsace rencontre le BDSM, ça donne une expérience… fermentée, charnue et inoubliable et un hommage à ma muse...
Matériel de préparation :
✅ Une table solide ou un grand lit protégé (les accidents de vin blanc et d’uro sont si vite arrivés…)
✅ Une nappe en plastique ou une bâche de peintre (surtout si le modèle est chatouilleuse…)
✅ Un tablier de cuisine… mais porté sans rien en dessous (sexy et pratique, les éclaboussures de choucroute, ça brûle !)
✅ Une playlist alsacienne sensuelle (ou du Rammstein pour une version plus hardcore)
✅ Une bouteille de schnaps en cas de petite frilosité
Ingrédients :
🥬 500g de choucroute bien acidulée (comme votre partenaire après une blague douteuse)
🌭 4 saucisses de Strasbourg (à aligner façon piste de décollage)
🥓 200g de lard bien fumé (parfait pour recouvrir des zones stratégiques… ou chatouiller des hanches)
🍖 2 jarrets de porc tendrement confits (à utiliser en guise de repose-mains pendant le repas)
🥔 4 pommes de terre bien fermes (comme… enfin, vous voyez l’idée)
🍷 1 bouteille de vin blanc sec (un verre pour la cuisine, trois pour l’ambiance)
🫐 Quelques baies de genièvre (ou comment transformer votre partenaire en délicieux terrain de chasse sensorielle)
🔥 Moutarde forte (à doser avec précaution… sauf si vous aimez le pimenté au mauvais endroit)
Préparation du festin vivant
L’installation du plat
Votre partenaire consentante prend place au centre de la table (ou sur un drap qu’il ne faut plus espérer récupérer).
Petit massage à l’huile pour détendre et préparer la peau à l’expérience gastronomique. Optionnel, mais recommandé.
Prévoir une légère tiédeur pour les aliments… l’excitation oui, la brûlure non.
Le dressage charnel
La choucroute est répartie en courbes artistiques, suivant les formes de votre modèle vivant et une certaine quantité bien enfoncée dans la chatte (l’esthétique compte autant que le goût).
Les saucisses sont stratégiquement placées… 2 dans la chatte et 2 dans le cul !
Le lard fumé peut être enroulé autour des poignets ou des chevilles pour donner une légère impression d’emprisonnement gastronomique… ou juste pour le fun.
Un léger filet de moutarde dessinant des symboles mystérieux sur le ventre… histoire de marquer le territoire gustatif.
Le rituel de la dégustation
Aucun couvert autorisé. Les mains sont aussi interdites, seules les lèvres et la langue peuvent être utilisées. (Le festin devient un véritable jeu de patience et de tentation…)
Un point pour chaque bouchée prise sans éclater de rire.
Bonus si vous arrivez à vous faire nourrir par votre partenaire sans rien renverser… (Mission impossible, mais le fun est dans l’échec).
Penser à alterner chaud et froid pour titiller les nerfs sensoriels (et les autres nerfs aussi).
Le climax gustatif
Une lampée de schnaps directement versée entre les seins ou le creux des hanches pour un effet brûlant-glacial immédiat.
Une ultime bouchée échangée bouche à bouche, pour la touche romantico-salace.
Dernier défi : qui finira la dernière saucisse sans les mains ? (Suspense et éclats de rire garantis.)
L’après-choucroute
Option 1 : une douche bien méritée où l’on finit ce qu’on a commencé (ou pas).
Option 2 : un duel de coussins pour évacuer l’excès de vin blanc.
Option 3 : une sieste digestive, mais en cuillère… et avec quelques bisous pour conclure ce festin épique.
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09/02/25
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Je repost mon article publié sur mon compte cherybybi le 18/11/24. Ce compte est bloqué sans sommation suite a la publication d'une photo interdite. 169 vues
J'y ai ajouter les ligne pertinentes de VraiEsclavagiste.
Un colistier avait commentait la chatte de Mia : " jolie chatte " et cela m'a inspiré cette tirade façon le nez de Cyrano !
Ah ! Non, c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… bien des choses en somme,
En variant le ton, par exemple, tenez :
Érotique :
« Cette chair, palpitante comme un fruit mûr sous les doigts,
Ouvre un abîme moite où les plaisirs se noient. »
Obsédante :
« Ce pli obscur, luisant sous la lumière,
Respire des promesses de plaisirs singuliers. »
Vulgaire :
« Une fente large comme un gouffre, prête à engloutir
Le moindre désir, jusqu’à en rugir. »
Visuelle :
« Ces lèvres gonflées, ourlées d’un rouge carmin,
S’ouvrent comme une corolle trempée de matin. »
Hédoniste :
« Un calice suintant, offert à la langue gourmande,
Où chaque goutte de vie s’abandonne et s’épanche. »
Cynique :
« C’est un trou, oui, rien de plus, et pourtant tout commence là :
Les cris, le chaos, et souvent même l’embarras. »
Cruelle :
« Une crevasse profonde, humide comme une terre gorgée,
Prête à boire l’homme jusqu’à le laisser brisé. »
Amoureuse :
« Une source de vie où l’on dépose son cœur,
Et qui parfois répond par un spasme de ferveur. »
Lascive :
« Ce repli odorant, aux contours presque féroces,
Aspire les âmes perdues dans un râle fécond. »
Dramatique :
« Sous ces plis de chair, le destin se forge,
Mélange de jouissance et de douleur qui dévore. »
Réaliste :
« Une odeur qui s’impose, un goût qui enivre ou dégoûte,
Mais qui ne laisse jamais l’homme tout à fait intact. »
Naif :
« Ah ! c'est donc cela une chatte! je pensais que c'était la femelle du chat... »
Curieux:
« Et quand vous mettez un tampax, la chatte joue-t-elle avec la ficelle ? »
Coquet :
« N'y manque-t-il pas là quelque bijoux ? »
Pédant :
« Il existe des centaines façon de s'en servir. Que pensez-vous de la toupie tonkinoise ? »
Sadique :
« Peut-elle supporter cent coups de ceinture ? »
Horticole :
« Ne ferait-elle pas un joli pot? »
Interrogatif:
« Un aveugle en passant à coté ne s'est-il jamais pris pour être dans une poissonnerie ? »
Scientifique :
« Pourquoi dire que c'est une moule alors que c'est une chatte ? »
Sportive :
« Et quand vous faite le grand écart, cela ne fait-il pas trop ventouse ? »
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Alors...
Puisque l'occasion se présente, je vais encore plus tenter de coller à cet exercice de style en reprenant des parties de la tirade des nez et en mettant en rimes les propositions que j'avais faites précédemment en les complétant, en espérant avoir le nez creux !
Ah ! non ! c’est un peu court, cher ami !
On pouvait dire… Oh ! Dieu !… tant de choses, ici !
En variant le ton, — par exemple, tenez :
Naïf : « Qu’est-ce donc, cette chatte, un mystère, en vérité,
Je l’avais crue, hélas, la compagne du félin, en toute naïveté ! »
Curieux : « Dites-moi, quand vous mettez ce tampax,
La chatte joue-t-elle avec la ficelle, comme un petit relax ? »
Coquet : « Mais n’y manque-t-il point un bijou, un ornement,
Pour parer cette beauté, la rendre éclatante, assurément ? »
Pédant : « Sachez qu’il existe mille manières de l’utiliser,
Que diriez-vous de la toupie tonkinoise, pour l’amuser ? »
Sadique : « Peut-elle supporter cent coups de ceinture,
Sans fléchir, sans ciller, dans cette épreuve si dure ? »
Horticole : « Ne serait-elle pas un pot de fleurs charmant,
Un écrin pour la nature, un abri pour le vent ? »
Interrogatif : « Un aveugle, en passant, ne pourrait-il se méprendre,
Et croire, en son chemin, qu’il est dans une poissonnerie à défendre ? »
Scientifique : « Pourquoi dire que c’est une moule, alors que c’est une chatte,
Un paradoxe, un mystère, que la raison abatte ? »
Sportive : « Et quand vous faites le grand écart, n’est-ce pas un peu trop,
Une ventouse de l’air qui vous saisit, comme un flot ? »
Dramatique : « C’est un abîme de mystères, quand elle se dévoile,
Un océan de secrets, une mer sans voile ! »
Admiratif : « Pour un jardinier, quelle merveille, quelle beauté !
Cette chatte, en vérité, est un trésor à contempler ! »
Lyrique : « Est-ce une muse, êtes-vous un poète en quête d’inspiration ?
Ou bien un simple rêveur, perdu dans l’admiration ? »
Respectueux : « Souffrez, madame, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir grâce et vertu ! »
Campagnard : « Hé, parbleu ! C’est-y une chatte ? Non, mais quel animal !
C’est un melon géant ou bien un navet colossal ! »
Militaire : « En ligne, mes amis, préparez-vous à l’assaut !
Cette chatte, en vérité, est un vrai cadeau ! »
Pratique : « Voulez-vous la mettre en loterie, cette beauté ?
Assurément, mes amis, ce sera le gros lot, à parier ! »
Enfin, parodiant Pyrame en un sanglot :
La voilà donc, cette chatte, un secret, un écho,
Qui, des âmes égarées, a fait un doux désordre,
Elle enflamme les esprits, et les cœurs, elle les mord
Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit,
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit :
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.
Je repost mon article publié sur mon compte cherybybi le 21/11/24. Ce compte est bloqué sans sommation suite a la publication d'une photo interdite.
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Le BDSM (bondage, discipline, domination, soumission, sadisme, masochisme) repose sur un principe fondamental : le consentement mutuel éclairé. Chaque pratique, chaque geste, chaque échange dans cette dynamique se construit sur une base solide d'accord entre les parties impliquées.
Contrairement aux idées reçues véhiculées par une société qui juge parfois sévèrement ce qu’elle ne comprend pas, les pratiquants du BDSM ne s'engagent jamais dans des activités sans discussions préalables, sans limites définies, et sans consentement explicite.
Le BDSM, loin d'être un espace de violence ou de domination unilatérale, est une forme d'exploration consensuelle de plaisirs, de limites, et de confiance. Le respect de la volonté de chacun est au cœur de cette pratique. C'est pourquoi les notions de safewords, de négociations claires, et de communication constante sont fondamentales.
Dans un monde où de nombreux comportements abusifs se produisent sans consentement, le BDSM offre un modèle de respect et de transparence qui dépasse souvent les normes relationnelles traditionnelles.
Alors que la société dite "bien-pensante" tend à bannir ou à stigmatiser ces pratiques, elle passe parfois à côté d'une leçon essentielle : le consentement n'est pas seulement un pilier du BDSM, mais une valeur universelle que toute relation humaine devrait cultiver.
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La bien-pensance vise à faire tomber toutes les barrières à la consommation de masse pourvu que cela devienne un enjeu consumériste qui prenne place.
Donc les valeurs du BDSM sont un frein!
Le wokisme ayant pour objectif d’abattre le pouvoir universel de l’homme blanc, mais aussi toute domination qui ne soit issue d’une minorité (ethnique) donc nos belles reines Gynarchiques sont elles aussi au bord de l’échafaud…
Les I-e-El seront bientôt le pouvoir Suprême !
Cet ordre établi du BDSM, où chacun a choisi sa place, même si elle est évolutive, sein et bourré de valeurs humaines, n’a sans doute pas vocation à survivre pour laisser la place à une certaine « anarchie organisée »
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j'aime voir tes échanges en live sur mes photos ma petite pute...
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