ravi de l'apprendre
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Sélective à la découverte d'un nouveau jouet. Etre à ma merci est un privilège... .:.
Bonjour,
Même si je ne saurais citer les traits de caractères qu’une telle qualité exprime, je pense que certains d’entre nous naissent dominant ou soumis, de même qu’il existe des personnes dociles, d’une intelligence sans mesure, d’un talent pour l’art et tant d’autres.
Je suis aussi convaincu que le vécu en influe l’évolution. On peut chercher à le développer ou au contraire à le mettre sous le boisseau. Ce peut être fait sciemment ou induit par le cours de notre vie. Une personne qui occupe une fonction de responsabilité ou qui bénéficie d’une position sociale en vue peut développer un comportement dominant. Même si à mon sens on est plus dans la notion de personne de pouvoir.
Toutefois toutes les personnes qui expriment une dominance ou une soumission à l’autorité dans leur quotidien ne pratique pas le BDSM. De même toutes les personnes pratiquant le BDSM ne sont pas fondamentalement dominant ou soumis, beaucoup endossant un rôle pour un instant.
Il existe de multiples raison de vouloir offrir sa soumission, sans que ce soit exhaustif et classé par ordre alphabétique.
Autodestruction, Douleur, Être vaincu.e, Être violé.e, Fétichisme, Humiliation, Intensité sexuelle/Perversion, Intimité, Perte de contrôle Narcissisme, Sécurité émotionnelle, Service, Spiritualité.
Le raisonnement est identique pour ce qui nous mènent à vouloir dominer notre partenaire .
Ce long préambule pour dire que ressentir ce besoin explique pourquoi on entrouvre la porte mais ne saurait suffire à expliquer notre motivation à franchir le pas. Plus que l’inné ou l’acquis, il me semble que comprendre ses motivations profondes permet de savoir ce que l’on recherche et par la même défini le type de relation désirée.
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Bonjour Albadeo, j'ai actuellement une soumise en dressage dans un Donjon "virtuel", j'ai remarqué dans vos interventions que vous aviez un peu d'esprit ... Pourrriez-vous être
intéressé de participer au dressage "virtuel" d'une soumise avec d'autres Doms/Dominas ? Confraternellement µµ Dominotaure µµ
ktycat35
femme soumise.
Vit à
RENNES, Bretagne, France.
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M Dressée et Soumise
femme soumise.
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Bonjour,
La gifle a incontestablement une symbolique particulière et un impact fort dans l’imaginaire collectif. Comme le dit @Sylvie35 autant dans le cadre d’une relation vanille elle est inacceptable autant je lui trouve des vertus pédagogiques dans une relations D/s mais doit comme toute pratique BDSM faire l’objet d’une discussion préalable entre partenaire. Utilisée dans le cadre d’un rappel à l’ordre elle permet à mon sens deux choses, la première une autocorrection par la soumise et deuxièmement la prise de conscience qu’elle savait ce qui était attendu d’elle et qu’elle peut donc en se concentrant respecter cette consigne. Bonus comme le dit @Sylvie35 en éviter le retour. Nos exigences vis-à-vis d’elle sont rarement simples et faciles. Tenir une position provoque douleurs musculaires et contractures obéir à des consignes contredisant l’éducation reçue à laquelle notre réaction est instinctive nécessite un gros travail sur soi une attention de tous les instants jusqu’à inscrire ce nouveau comportement dans notre inconscient. Une éducation, un apprentissage, quelque soit le sujet suit toujours la même succession d’étape. La première consiste à apprendre et à comprendre la règle, c’est la période ou la règle est rappelée systématiquement. La deuxième consiste en l’application consciente de cette règle, on doit réfléchir pour l’appliquer, peu ou pas d’erreur mais un délai dans l’application. La dernière consiste en l’application inconsciente de la règle, on l’applique naturellement.
Cette éducation peut être plus ou moins strict et rigoureuse à chacun de définir celle qui lui convient.Pour ma part je ne vois pas l’intérêt de définir une règle si c n'est pas pour veiller à son application rigoureuse.
Comme @Sylvie35, je m’interroge sur votre utilisation du mot vengeance qui pour moi est un acte impulsif et hors justice et donc un concept qui je n’associe pas à la relation BDSM. Il peut arriver qu’une soumise fasse preuve de manquement répété ou consciemment ou grave qui nécessite d’appliquer une punition. Punir est un acte important à ne pas prendre à la légère et nécessite réflexion. La première question que je me pose est puis je pardonner si la réponse est non alors je n’ai plus qu’à mettre fin à la relation. Définir une punition en rapport à la faute et prendre le temps l’expliquer à la soumise et surtout une fois appliquée pardonner et ne plus jamais faire référence à cette faute.
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ktycat35
femme soumise.
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Mon souhait concerne un beau chien fétichiste dont le bonheur consistera à se coucher à mes pieds .:.