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L’obscurité libératrice de la honte
L’humiliation. Un mot chargé d’histoire, de tabous, de rejets sociaux. Pourtant, dans l’univers du BDSM, elle se tord, se plie, se redéfinit pour devenir une clé vers un plaisir profond, inavouable, jouissif. La honte, ce poison de l’âme que l’on fuit toute une vie, devient ici un nectar exquis, une offrande volontaire, un terrain de jeu érotique où se mélangent la douleur, l’excitation et la liberté absolue.
Dans cette obscurité où les conventions n’ont plus cours, l’humiliation ne se subit pas : elle se réclame, elle se désire, elle se sculpte comme une œuvre d’art perverse et sublime. Ce n’est plus une punition, c’est une délivrance. Un instant de pure honnêteté où la soumise abandonne tout vernis social, toute prétention de dignité, pour devenir exactement ce qu’elle veut être : un jouet, une chose, un objet façonné par le regard et les mots de son Maître.
Mais comment la honte se transforme-t-elle en moteur du plaisir ? Par quel mécanisme psychologique une injure, une posture de soumission, une exposition dégradante deviennent-elles un déclencheur de jouissance ? Voilà le cœur de cette exploration. Loin de toute complaisance romantique.
Le paradoxe de la fierté et de l’abaissement volontaire
Le pouvoir de l’humiliation repose sur une contradiction fascinante : l’abaissement le plus extrême peut engendrer une fierté dévorante. Se livrer nu, soumis, vulnérable, et voir dans le regard du Maître non pas du mépris, mais une satisfaction carnassière, c’est là que naît l’ivresse. Offrir sa honte comme un présent est un acte de courage, une rébellion contre le monde extérieur qui impose la pudeur, l’image lisse, le contrôle de soi.
Être traité comme une chienne, une esclave, un déchet sexuel, et jouir de cette condition, c’est toucher à une vérité plus profonde que toute convention morale : le pouvoir de se dépouiller entièrement de l’égo. Car dans cette destruction symbolique de la dignité, la soumise retrouve une forme de pureté, une essence brute de désir et d’abandon qui dépasse le simple plaisir physique.
Le monde actuel, obsédé par l’image, la validation sociale et le consentement édulcoré, voit d’un œil suspect ceux qui recherchent l’humiliation. Comment peut-on librement choisir d’être rabaissé, insulté, traîné dans la boue du mépris et y trouver une extase ? C’est une question que seuls ceux qui ont osé briser leurs propres limites peuvent comprendre.
L’humiliation consentie est une transgression, une gifle aux normes policées du sexe aseptisé. Ici, on joue avec l’interdit, avec la souillure, avec les instincts les plus primaires. Ce n’est pas de la simple soumission : c’est une plongée abyssale dans la négation de soi comme individu pour renaître en tant qu’objet de pur désir, manipulé, utilisé, marqué par la domination.
Évidemment, tout ceci repose sur une règle absolue : rien ne se fait sans consentement. Mais ce consentement, dans le cadre de l’humiliation, dépasse le simple « oui » pragmatique. Il doit être un engagement total, une volonté sans réserve d’aller au bout de l’expérience, même lorsque l’égo hurle, même lorsque la société désapprouve.
C’est dans cet abandon extrême que réside la véritable beauté de l’humiliation BDSM. Elle ne détruit pas : elle reconstruit. Elle ne brise pas : elle transforme. C’est un art brut, une science du dépassement de soi, une danse où la douleur de l’ego se mue en plaisir de l’abandon.
De la peur du ridicule à la jouissance de la dégradation
Vicky n’avait jamais soupçonné que son éveil le plus profond viendrait du gouffre de la honte. Pendant des années, elle avait façonné une image respectable, une posture de femme maîtrisée, intacte sous le regard des autres. Pourtant, sous ma main, chaque certitude s’est effritée. La première injure prononcée, le premier ordre humiliant soufflé, et déjà, son monde vacillait. Elle se débattait, tiraillée entre la peur d’aimer cet abaissement et la révélation brûlante qu’il apportait. Mais la honte, lorsqu’elle est désirée, devient une force. Un territoire inconnu qu’elle avait désormais soif d’explorer.
Le dialogue intérieur fut d’abord chaotique. Elle voulait plaire, mais surtout, elle voulait être anéantie sous mes mots. Chaque insulte était une morsure, un frisson violent qui la faisait reculer autant qu’il l’attirait. "Salope", "chienne", "trou à foutre" – elle les redoutait autant qu’elle les espérait. Peu à peu, sa peau s’est faite plus réceptive, son souffle plus court lorsqu’elle entendait ces mots. Son ego fondait à chaque syllabe, et dans cette déchéance consentie, elle trouvait une lumière inédite.
Son corps, lui aussi, apprenait à parler une nouvelle langue. À genoux, offerte sans pudeur, elle savait que son corps ne lui appartenait plus. Je l’avais dépouillée de sa dignité sociale pour en faire un objet de dévotion et d’avilissement. Elle se courbait, se présentait, se laissait modeler par mes exigences. À l’instant où elle accepta de s’exhiber sous mon regard critique, où elle laissa de côté sa dernière résistance pour m’appartenir entièrement, elle toucha enfin à la jouissance pure de la soumission.
Puis vint la souillure. Le premier crachat, déposé lentement sur son visage, la figea dans une stupeur brûlante. Mais au lieu de reculer, elle l’accepta. Le laissa glisser, absorbant ce marquage comme une preuve d’appartenance. Plus tard, ce fut l’urine, la salive, ces fluides qui la redéfinissaient, l’éloignaient définitivement de cette femme qu’elle avait été. Chaque goutte la transformait, chaque humiliation la rapprochait de sa nature la plus crue : celle d’une soumise qui se nourrit du mépris autant que du désir.
Loin de se limiter à la chambre, ces rituels se sont inscrits dans son quotidien. Ne plus porter de sous-vêtements. Savoir qu’à tout moment, je pouvais la forcer à exposer sa honte. Un mot marqué sur sa peau qu’elle devait assumer toute la journée. Le simple fait de boire à genoux, en silence, alors que d’autres ignoraient son état, renforçait cette sensation d’être à moi, soumise à mon bon vouloir même en dehors de nos jeux. Elle ne jouait plus à être soumise : elle vivait son rôle, ancrée dans cette dynamique qui dictait chacun de ses gestes.
Et puis il y avait l’évaluation, brutale et sans concession. Sa bouche, son corps, son obéissance : tout devait être noté, critiqué, perfectionné. Je voulais qu’elle sente le poids de mon jugement à chaque instant. Une fellation jugée trop hésitante, un écartement de jambes pas assez large, une langue pas assez docile : chaque défaut souligné la poussait à s’améliorer, à s’enfoncer encore plus dans cette spirale où l’humiliation nourrissait son ardeur.
Ce que peu pouvaient comprendre, c’est que plus je la rabaissais, plus elle se grandissait. Dans la perte totale de son ego, elle ne disparaissait pas : elle se révélait. Parce qu’en acceptant d’être ma chose, en embrassant chaque ordre, chaque crachat, chaque moquerie, elle avait trouvé un pouvoir que peu osaient explorer. Elle n’avait jamais été aussi soumise, aussi avilie, mais elle n’avait jamais été aussi libre.
Je ne l’avais pas détruite. Je l’avais révélée.
Plonger plus bas – pratiques extrêmes et scénarios de dégradation totale
Vicky voulait s’enfoncer plus loin dans la soumission, ressentir chaque frisson de l’humiliation intensifiée, explorer les limites du plaisir et de la honte entremêlés. Ce n’était plus simplement une question de soumission physique, mais d’un effacement progressif des barrières mentales, où chaque acte devenait une signature gravée dans son corps et son esprit.
L’environnement lui-même devenait un outil de domination. La pièce où elle était amenée se transformait en un théâtre minutieusement orchestré. Miroirs sur chaque mur, capturant sous tous les angles son abandon, projecteurs accentuant chaque trace sur sa peau, chaque frémissement de son corps offert. Un simple bol posé au sol, une gamelle où elle savait qu’elle devrait boire, des harnais suspendus, des accessoires de contrainte disposés avec soin – tout cela formait un décor où le raffinement contrastait volontairement avec l’abjection de ce qui allait suivre.
Dans ce cadre, les scénarios se succédaient avec une précision calculée. Elle devenait la soubrette indigne, une domestique maladroite forcée de répéter inlassablement ses tâches, corrigée à chaque faute. Chaque imperfection était notée, chaque oubli sanctionné. "Recommence", ordonnais-je, alors qu’elle lavait le sol, son corps courbé, sa jupe remontée révélant l’empreinte de mes exigences sur sa peau. À chaque erreur, un rappel cinglant, un ordre sec. "Trop lente." "Pas assez appliquée." "Incapable de satisfaire." Chaque mot la piquait, la forçant à se surpasser, à rechercher mon approbation même dans le mépris affiché.
Mais la soubrette pouvait devenir chienne. À quatre pattes, privée du droit de se tenir debout, elle rampait sur le sol, son collier fermement tiré, réduite à un état où la parole n’avait plus sa place. Elle devait aboyer à mes ordres, tendre sa langue pour réclamer, manger à même le sol, sentir l’humiliation monter à mesure que chaque mouvement lui rappelait son état. Une tape sur son museau factice lorsqu’elle hésitait, un rappel sec de qui elle était. "Une chienne bien dressée ne réfléchit pas, elle obéit." Elle savait qu’elle devait s’abandonner totalement, se plier aux attentes, savourer cette animalité qui effaçait toute prétention humaine.
Puis venait le jeu de l’exhibition. Être livrée aux regards, sentir la brûlure du regard des autres, l’excitation mêlée à la crainte d’être découverte. Une jupe si courte qu’un geste brusque laissait entrevoir l’intime, des marques visibles sur ses cuisses qu’elle devait assumer dans la rue. Un plug anal télécommandé, vibrant au gré de mon humeur, la rendant fébrile au moindre son. Elle devait marcher normalement, parler avec assurance, feindre l’ignorance alors que son corps la trahissait, que son souffle se saccadait sous l’effet des vagues de plaisir et de honte mêlés. Son excitation grandissait sous cette tension constante, oscillant entre l’envie de se cacher et le plaisir d’être soumise à mon bon vouloir, même en public.
Les accessoires poussaient encore plus loin son immersion. Un masque de chienne couvrant son visage, une cagoule ne laissant apparaître que sa bouche, des pinces tirant sur ses seins marqués par mes précédents jeux. Un seau où elle savait qu’elle serait forcée de boire, des objets qu’elle devait lécher sans discuter, prouver qu’elle acceptait tout ce qui lui était imposé. Elle apprenait à ne plus réfléchir, à n’être que soumission, un corps et un esprit totalement malléables sous mes exigences.
L’humiliation n’était pas seulement physique, elle était mentale. La menace d’être capturée en image, de devoir prouver son dévouement par des photos osées, par des enregistrements de sa voix confessant ses désirs les plus inavouables. Elle savait que tout était consenti, mais cette simple possibilité l’électrisait, faisait naître une crainte délicieuse, un sentiment d’extrême vulnérabilité qu’elle embrassait pleinement. L’excitation montait à chaque mise en scène, chaque jeu où elle cédait une part de contrôle supplémentaire.
Mais même dans cet univers d’abandon total, la frontière de la sécurité restait intangible. Je connaissais ses limites, je savais jusqu’où la pousser sans la briser. Chaque humiliation était une offrande, chaque soumission une preuve de confiance absolue. La domination ne résidait pas dans la destruction, mais dans la maîtrise, dans cette capacité à la porter exactement au bord du gouffre sans jamais la laisser tomber.
Et elle, dans cet espace de contrôle total, s’épanouissait. Chaque séance creusait plus profondément son désir d’aller encore plus loin, de se découvrir dans des espaces où elle n’aurait jamais osé s’aventurer seule. Son corps portait mes empreintes, son esprit mes marques, son regard la certitude d’être là où elle devait être. Et elle savait qu’il restait encore des frontières à franchir, des limites à explorer. Elle était prête. Et moi, je la guiderais toujours plus loin.
L’après-coup et la gloire retrouvée – l’humiliation comme chemin vers une fierté sublimée
Quand tout s’arrête, quand les marques sur sa peau commencent à s’estomper, quand la tension extrême de la séance retombe, Vicky revient à la surface, flottant entre la fatigue et une satisfaction profonde. Il ne reste plus de hurlements, plus d’ordres claqués, plus de frissons d’exhibition interdite. Juste le silence, la respiration saccadée, le battement lent de son cœur reprenant un rythme paisible.
Je la regarde se recroqueviller sur elle-même, un léger sourire aux lèvres, comme si elle se redécouvrait après avoir franchi une frontière invisible. Ce moment de retour à la réalité est tout aussi essentiel que l’acte lui-même. C’est là que l’expérience prend tout son sens, que la fierté d’avoir exploré ses limites dépasse la simple sensation de soumission. Elle sait qu’elle a traversé quelque chose de rare, d’unique, un voyage intérieur où la honte s’est muée en puissance, où elle s’est dépouillée de toute façade pour toucher son essence brute.
Alors vient le réconfort. Je m’approche, mes doigts glissant sur sa peau encore tiède, marquée par mon empreinte. Les mots changent, ils ne sont plus cinglants, ils deviennent caresses, murmures d’apaisement. Une couverture posée sur ses épaules, une étreinte qui ne cherche pas à dominer mais à rappeler qu’elle est en sécurité. C’est l’équilibre absolu : l’extrême humiliation ne peut exister sans cette douceur qui la suit. Elle repose sa tête contre mon torse, et je sens son corps s’abandonner à une nouvelle forme de soumission, celle du lâcher-prise total, celle qui n’a plus besoin de jeux ni de mise en scène.
Le bain est souvent un rituel après ces séances. L’eau chaude l’enveloppe, effaçant la sueur, la tension, le souvenir immédiat de l’intensité passée. Je la lave, lentement, méthodiquement, et à chaque geste, je la reconstruis. Chaque caresse sur sa peau lui rappelle qu’elle est précieuse, que cette dévotion qu’elle m’a offerte ne la diminue pas, mais la grandit. Elle n’est pas une femme brisée, elle est une femme qui s’est trouvée dans l’abandon.
Ce qu’elle a vécu ne la diminue pas. Au contraire, cela lui confère une force que peu peuvent comprendre. Loin d’une soumission aveugle, elle a choisi chaque humiliation, chaque marque laissée sur son corps. Dans cette totale mise à nu, elle s’est libérée de tout artifice social, de toute image fabriquée. Elle s’est purifiée dans l’excès, a trouvé une sérénité au creux même de la souillure. Et lorsqu’elle se regarde dans le miroir après, ce n’est pas la honte qui l’habite, mais une étrange fierté. Celle d’avoir osé. D’avoir traversé l’interdit et d’en être ressortie plus forte.
Cette dynamique ne s’arrête pas à la chambre. Elle imprègne nos jours, nos gestes les plus anodins. Une simple caresse sur sa nuque dans un café, un regard entendu lorsqu’elle mordille sa lèvre, un murmure qui fait revivre un souvenir brûlant. L’humiliation s’intègre dans le quotidien, elle se glisse dans nos échanges avec subtilité, devenant une alchimie de complicité et de transgression. Parfois, un simple mot, un détail – une jupe trop courte qu’elle porte pour moi, une trace discrète sur sa peau – suffit à rallumer le jeu, à maintenir ce fil invisible qui nous lie, même en dehors des mises en scène extrêmes.
Mais tout cela ne serait rien sans ma maîtrise. Loin de n’être qu’un bourreau, j’ai sculpté son abandon avec une précision chirurgicale. Chaque ordre, chaque acte, chaque humiliation était un équilibre entre puissance et protection. J’ai pris plaisir à la voir se plier sous mon regard, à l’entendre haleter sous l’effet de la honte désirée, mais jamais je n’ai franchi la ligne qui aurait brisé quelque chose en elle. C’est là la vraie jouissance du Dom : voir sa soumise fléchir, vaciller, mais toujours la maintenir en sécurité, la voir renaître plus forte, plus dévouée, plus ancrée dans ce qu’elle est.
Vicky sait maintenant qu’elle ne sera jamais une femme ordinaire. Loin de la soumission passive, elle a trouvé un chemin de puissance dans l’abandon. L’humiliation n’est plus une faiblesse, mais un rituel de transformation. Chaque séance, chaque mot dégradant prononcé sous mon souffle devient une étape de plus vers une vérité qu’elle embrasse pleinement : elle est une femme qui s’élève en se donnant totalement.
L’apothéose de la honte lumineuse
L’humiliation, lorsqu’elle est désirée et menée avec intelligence, n’est pas une destruction, mais une libération. Elle ne réduit pas, elle révèle. Elle est une danse entre contrôle et abandon, entre pouvoir et vulnérabilité, entre effacement et exaltation. Bien plus qu’un simple jeu de domination, elle ouvre les portes d’un plaisir brut, viscéral, où chaque marque, chaque mot, chaque geste construit une expérience unique et inoubliable.
Mais cette exploration extrême ne peut exister sans lucidité. Jouer avec la honte, c’est manier un outil d’une puissance psychologique immense, une arme à double tranchant qui exige une confiance absolue entre les partenaires. Rien n’est laissé au hasard : l’humiliation, pour être un moteur de jouissance et non une blessure, doit s’ancrer dans une compréhension mutuelle et une communication sans faille. C’est là que réside toute la subtilité de ce jeu : il ne s’agit pas de briser, mais d’amener l’autre à se reconstruire, à renaître à travers la soumission et l’excès.
C’est aussi une invitation à dépasser les barrières. La peur du regard extérieur, du jugement moral, de l’inacceptable social est ce qui freine bien des âmes à s’aventurer dans ces territoires interdits. Pourtant, l’humiliation consentie est une épreuve de vérité, une transgression salvatrice où chacun peut toucher du doigt une facette cachée de son désir. C’est une zone de turbulence, exigeante mais gratifiante, où l’on apprend à se connaître sous un jour nouveau, délesté de toutes les fausses pudeurs imposées par la société.
Et c’est dans cette acceptation que se trouve l’apothéose. Loin d’être une chute, la honte devient un joyau sombre, une clé ouvrant les portes d’un plaisir que peu osent effleurer. Elle est le sésame qui permet d’explorer la profondeur de l’abandon, d’embrasser l’extrême sans crainte, de se consumer dans l’instant sans regret. Elle est ce vertige délicieux où l’ego se dissout pour renaître sous un regard dominateur et rassurant.
L’humiliation, lorsqu’elle est transcendée, n’est plus une faiblesse : elle est une puissance. Elle est un chemin vers l’extase, une alchimie entre la soumission et la maîtrise, une promesse d’abandon où chaque instant vécu avec intensité laisse une empreinte indélébile sur le corps et l’esprit. Ceux qui osent s’y plonger savent qu’il n’y a pas de retour en arrière – seulement une soif plus grande, une envie d’aller toujours plus loin, de toucher du bout des doigts cette frontière où la honte devient lumière, où la soumission devient une célébration.
Alors, à ceux qui hésitent, à ceux qui frémissent à l’idée d’explorer cet abîme, il n’y a qu’un seul conseil à donner : osez. Dépassez les limites, défiez le regard du monde, et laissez-vous emporter par cette onde de plaisir brut et indomptable. La honte est une porte, et derrière elle se cache un univers d’une intensité rare. À vous de choisir si vous voulez l’entrebâiller… ou l’enfoncer à jamais.
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Maîtresse chevronnée et passionnée, en quête d'un nouveau soumis déterminé à s'abandonner sous mon joug, sur les chemins sinueux de sa perdition .:.
Bonsoir ! Je vous souhaite une bonne et heureuse année 2025 avec tous vos désirs devenant une réalité !
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Bonjour à toutes et tous ! Je vous souhaite de passer de bonnes fêtes de Noël ! Plein de bonnes choses !
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Bonjour et bienvenue venue à vous ! Bonne recherche dans votre domaine !
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Personnes/Personnalités »
Artiste
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Je trouve cette histoire bien belle ! Un drôle d'entretien intéressant ! Mais une belle mise dans le bain !
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Je trouve utile de le rappeler
Pegging
· Il semble aujourd’hui important d’évoquer les méthodes d’encadrement courantes pratiquées par les vraies femmes dominantes dans le quotidien des soumis, soumis confirmés et soumis-esclaves.
· Il est toujours bon de le rappeler, ces méthodes ne concernent que les sujets en appartenance réelle à demeure et sous contrat. Le soumis de passage sauf organisation d’un jeu par après-midi pluvieux et en couple vanille …. n’est pas concerné par ce qui suit.
· On s’en serait douté, un sujet en appartenance réelle n’a pas vocation à rester les bras croisés assis sur le canapé en attendant que sa Maîtresse lui donne une petite fessée, une fois de plus, les sites internet regorgent de vidéos très mal orchestrées et il sera facile pour les amateurs d’y trouver leur bonheur et de faire travailler leur imagination.
La formation
Un soumis en appartenance a généralement en charge 95% des travaux domestiques. Durant les toutes premières semaines de son intégration au foyer juste après les préparations d’usage , morales et physiques, le sujet reçoit une formation domestique complète et intense abordant chaque thème souhaité par la Maîtresse.
Le sujet soumis devra être particulièrement attentif d’autant que la majorité des dominantes interdisent les prises de notes. Au-delà de l’acquisition de connaissance pour le bon fonctionnement des appareils ménagers, le sujet devra être très à l’écoute des habitudes et manies de sa Maîtresse.
Cette dernière va se décharger totalement du travail domestique mais elle compte bien que cela se déroule de manière transparente et compte bien obtenir un service de qualité équivalent ou supérieur à ce qu’elle pourrait obtenir avec un tiers rémunéré.
Le sujet en soumission et les corvées
Dans les critères de sélection, la femme dominante va privilégier un sujet déjà familiarisé avec le travail domestique.
Nettoyage des sols, aspiration, poussière, rangement, lavage main, lavage machine, gros repassage, vitres, nettoyage placards, nettoyage cuisine, nettoyage four et plaque de cuisson, literie, repassage effets vestimentaires délicats de Maîtresse, balais , entretien général de la maison, préparation des repas, vaisselle main, vaiselle machine, petites réparations, entretien des extérieurs si maison…… etc
Dès le départ il faudra faire comprendre au sujet qu’il est là pour bosser et selon la cadence souhaitée par sa Maîtresse.
Les dominantes n’envisagent pas de consacrer 10 heures par jour à jouer de la cravache.
Les ordres
Ils sont en général communiqués la veille inscrits sur le cahier de discipline ou affichés. Ils seront aussi donnés de façon aléatoire surtout dans les changements de planning sans délai de prévenance. En appartenance rien n’est stable et tout bascule d’une minute à l’autre sans prévenir.
Exemple : « Tu arrêtes le lavage sol et tu files ranger la cave. Ensuite retour ici pour nettoyage WC et reprise des sols ! Plus vite !! »
– Oui Maîtresse !
Le dressage au plan domestique
On séparera le dressage et le dressage domestique. Pour ce dernier, il est facile de se fixer un objectif.
« On commence ce jour ta formation-dressage domestique et cela pendant trois semaines. En conséquence je vais être sur ton dos en permanence pour noter tes faiblesses de compréhension et apporter les mesures correctives. Tu sais qu’ici en ce domaine en plus être mon soumis tu es ma bonniche et tu vas très vite comprendre ce que je souhaite : qualité, rapidité, masse de travail, obéissance, et silence. »
Le décor est planté. Chaque jour et pendant trois semaines divers tests sont réalisés portant en particulier sur la rapidité à réaliser un travail. Les mesures correctives pleuvent.
Exemple : Une Maîtresse dure mais calme et méthodique
« On va travailler au chrono. Dans 3 minutes tu te tiens prêt dans la cuisine en position de discipline avec l’aspirateur et le nécessaire de nettoyage pour les sols. Tu retires ton tablier et tu travailles nu avec tes sandales. Quand je donnerai le top chrono tu auras 15 minutes pour nettoyer le carrelage et je reste là, assise pour noter ta manière de travailler. Si je vois la moindre trace il y aura des mesures correctives, et tu recommences à zéro, ensuite on passe aux travaux de repassage. Tu t’appliques, tu la boucles et tu concentres ton esprit sur ton travail sinon tu files en salle de discipline ! Quand tu auras terminé tu resteras debout en position de discipline en attendant que tout soit sec avant inspection ».
Oui Maîtresse !
Exemple : Une Maîtresse plus colérique avec un soumis nouvellement intégré.
« A genoux ! Tu as été formé pendant plusieurs heures pour bien maîtriser le repassage et le pliage de mes chemisiers. C’était un test. Je découvre à l’instant un véritable chiffon dans mon armoire. Tes mains croisées dans le dos et tu t’approches à genoux ! STOP !!! Ecartes toi de mes pieds sinon je ne peux pas gifler correctement ta tête d’abruti !! Une bonne série de 12 sur ta face de rat pour commencer, ensuite ce soir tu reprends cette pile de linge qui est là et tu y passeras toute la nuit s’il le faut ! Si ce n’est pas impeccable tu me refais tout !! Je vais t’en faire bouffer du repassage !! Dans une pile au moindre faux plis je fiche tout par terre en boule et tu refais tout. De plus, tu seras très sévèrement corrigé samedi. Comme hors d’œuvre tu vas chercher ton plug et la raquette de ping pong et tu viens ici sur mes genoux pour une bonne fessée pour bien te chauffer la raie ! «
– Oui Maîtresse !
Les contrôles
Une fois familiarisé avec les exigences de sa Maîtresse, le soumis commence à fonctionner normalement. Son planning sera particulièrement chargé lors des premiers mois toujours pour motif de test et de bonne formation.
On distinguera les contrôles aléatoires et les contrôles annoncés.
Les contrôles sont la hantise des soumis. Au plan aléatoires ils peuvent avoir lieu chaque jour et aux moments où le sujet ne s’y attend pas. Un exemple de contrôle.
» Viens ici ! C’est comme ça que l’on fait un lit ? Tu as vu l’état de ma couette ? Tu arrêtes de suite le nettoyage de la salle de bain et tu refais ce lit correctement. Je reste là pour te voir travailler. »
Dans cet exemple, le sujet fait face à de grandes difficultés pour intégrer correctement la couette dans sa housse. Il n’a jamais fait ça et la formation que lui a donné sa Maîtresse a été inutile car trop rapide. La couette semble se mettre en boule et donne un aspect disgracieux à la literie. A chaque tentative, la Maîtresse non satisfaite du résultat prendra un malin plaisir à ressortir la couette de son enveloppe et ainsi contraindre le sujet à tout recommencer.
« Travail de porc, je retire la couette et tu recommences 10 fois s’il le faut jusqu’à perfection. Tu seras puni sévèrement de toutes les façons. Ce n’est pas pardonnable puisque tu as été formé, je t’ai expliqué comment faire. Tu n’es qu’une nullité tout juste bon à lécher mes pieds. »
Autre type de contrôle mais cette fois programmé
« Tu le sais, à 14h je fais une revue de cuisine, j’espère que tout sera impeccable sinon tu connais le tarif. Pour l’inspection tu seras prêt de moi. A la moindre trace tu briques jusqu’à ce soir, ça te fera du bien.
Notations : Les notations hebdomadaires concernant la qualité des travaux ménagers débutent à partir du moment où la Maîtresse estime le dressage domestique terminé. Il faudra mettre en place des minimas en dessous desquels des sanctions plus ou moins dures seront appliquées. Il faut bien intégrer le fait que le soumis pour s’impliquer correctement doit sentir en permanence au-dessus de son crâne la menace des sanctions.
Soumis présent depuis 6 mois :
» A 17h00 tu te présenteras en position de discipline face à mon fauteuil de commandement en salle de dressage. Je vais te communiquer tes notes mensuelles au plan de tes travaux domestiques. Je puis déjà te dire que ce n’est pas brillant. Tu peux déjà t’attendre à un gros serrage de vis. »
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Je sais fermement que cela ne doit pas exister en réel, je me dis donc pourquoi ne pas le créer avec une femme qui voudrait bien partager cela !
Je suis certainement fou , mais je suis comme ça !
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Bonjour en fait pour être plus clair je verrai plutôt cela comme une amitié très particulière ! Un choix très singulier je dois le reconnaître ! Mais j'y tiens beaucoup !
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Pour cfnm traduit en français, cela donne Femme vêtue homme nu !! Pour freeuse on peut le traduire par , usage libre !
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Il me semble que l'on peut écrire sur tous les sujets ! Ou ai-je mal compris ?
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Dominatrice cérébrale et sadique, mon soumis est bienvenu au paradis de l'humiliation, de la rougeur et de la douleur.
toute activité sexuelle ne pourra avoir lieu, en aucun cas ; ne soyez pas ridicule, cela exclut également cunnilingus et anulingus, votre plaisir sexuel nest pas le mien .:.
Rêve très personnel
Bonjour à tous et toutes !
Je viens ici vous parler d'un rêve que j'ai, je sais plutôt étrange ! Pourtant il me tient fort à cœur, et j'aimerais le voir devenir réalité ! Mais je ne sais comment l'on pourrait appeler ce style de relation que je cherche !
Cette relation avec une femme, d'âge mûre, ou jeune ! Pour partager une relation vraiment très particulière ! Je dirais à la fois freeuse et cfnm , mais avec des particularités spécifiques ! Que l'on puisse tous deux se faire souvent des bisous autant sur les lèvres, que partout sur le corps, même les parties très intimes ! Que l'on soit très souvent nus ensemble, moi toujours, elle quand elle veut ! Que l'on dorme nus ensemble, avec câlins et bisous partout ! Qu'elle puisse bien sûr souvent se moquer gentiment de moi et ma nudité permanente ! Que en ville ou en public, donc vêtus tous deux on continue les bisous sur les lèvres et les gestes bien équivoques !
Tout cela sans qu'il y est la moindre relation sexuelle proprement dite ! Je sais c'est plus que bizarre, et sûrement que ça n'existe pas ! Pourtant cela me trotte dans la tête depuis un bon moment ! Désolé si ce contenus peut déranger, cela n'est pas l'intention !
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