« Tu sais Paul, tout est possible dans la vie »
20 ans, j'avais 20 ans... Donc il y a 19 ans...
Cela faisait plusieurs semaines que j'échangeais avec une certaine Christine sur un site gratuit de tchat aux thèmes très généralistes.
Christine avait 18 ans de plus que moi, mais j'adorais l'idée de pouvoir peut-être arriver à séduire une femme plus âgée. En tout cas je la faisais rire et ça j’aimais beaucoup :).
Nos échanges étaient basés sur nos passions, nos vies, nos rêves, nos aspirations, mais se sont aussi dirigés très vite vers la sexualité.
Je lui soufflais beaucoup de mes fantasmes et envies, sa réponse était très souvent : « Tu sais Paul, tout est possible dans la vie".
Je lui demandais toujours de me décrire ses tenues, la couleur de ses sous-vêtements, son maquillage, l’odeur de son parfum car elle changeait très souvent… Une sorte de relation épistolaire 2.0 avec une inconnue qui habitait à 30 minutes de mon petit studio de jeune travailleur.
Jusque- là j'avais seulement eu des petites amies de mon âge avec qui je n'avais pas du tout évoqué des sujets tels que : les sex toys, les matières de vêtements, les lieux, les jeux de rôle, les sensations, les scénarios, et puis assez rapidement aussi mon attirance pour les femmes soumises...
Après 2 mois de discussions quotidiennes, Christine a accepté mon invitation. Nous allions nous rencontrer, enfin nous voir, entendre le son de nos voix et pouvoir nous sentir…
Le rdv était fixé un soir d'été sur un parking de grande surface à Strasbourg. J'étais très excité à l’idée de la rencontrer, il n'y avait eu aucune photo partagée et aucun indice concernant le physique.
Il est 20h, j’ai 30 minutes d'avance quand j’arrive sur le parking dans ma petite Polo Volkswagen en attendant que Christine me rejoigne. J’ai le coeur qui bat à mille à l’heure, des papillons dans le ventre, mon imagination qui fuse et un tas de questions.
Est-ce qu’elle va venir, est-ce que c’est vraiment une femme, est-ce qu’elle s’appelle Christine, est-ce que je vais lui plaire…?
Comme prévu, à 20h30 pile, un 4x4 Mercedes gris arrive doucement et se gare à côté de moi. Une femme brune aux cheveux mi-longs, me fait signe de la rejoindre à travers sa fenêtre ...
Me voilà assis à côté de Christine qui m'intimide terriblement, son parfum, sa voix et son regard me déstabilisent complètement.
Le jeune homme fougueux derrière son écran était tout d’un coup moins bavard, timide et un peu fébrile.
Christine était très fine, petite de taille, avec des yeux et une bouche magnifiques. Je lui avais demandé de venir en jupe mi-longue, talons, collants sans rien en dessous, et avec un bustier. Christine a suivi mes instructions au pied de la lettre et l’idée de savoir que son sexe était peut-être en contact direct avec le nylon de ses collants me rendait fou…
Il faisait très chaud dehors et dans la voiture encore plus. Après nos bonjours et lui avoir dit que j'étais très heureux de pouvoir enfin la rencontrer et de pouvoir mettre un visage sur son nom, Christine est restée les yeux fixés sur moi sans rien dire, le sourire aux lèvres pendant de longues secondes. C’était très étrange comme sensation, finalement c’est comme si on se connaissait déjà très bien.
J’ai senti en moi ce quelque chose que je recherchais depuis longtemps, cette confiance dans le regard de l'autre et un dévouement certain.
J'ai pris mon courage à deux mains, posé 2 doigts sur sa bouche en voulant l’effleurer. Christine a ouvert très grand ses lèvres, a pris tous mes doigts d’une main, les a léchés, trempés de salive et enfoncés très loin dans sa bouche en faisant des va-et-vient et en me regardant droit dans les yeux. Mes doigts mouillés par sa salive et ses yeux qui commençaient à briller m'ont fait bander en un quart de seconde..
C'est là que tout a basculé... Je lui ai demandé d'aller à l'arrière du véhicule, de se mettre à quatre pattes et de remonter sa jupe sur ses hanches. Elle s’est exécutée en disant "très bien, tout ce que tu voudras"..
Je lui ai mis une belle paire de fessées et arraché ses collants au niveau de l’entre jambe puis l’ai déchiré jusqu’au dessus de ses petites fesses maigres et musclées... Elle n’avait effectivement rien mis sous son collant... Christine m’a regardé en le disant " Tu vois Paul, je t'avais dit que tout étais possible..."
Ce moment-là, j'en avais rêvé des dizaines de fois, et me voilà devant cette femme cambrée, le collant arraché, la chatte brillante de plaisir. Je lui ai demandé de se caresser et de ne pas faire de bruit, à chaque gémissement trop fort mes mains claquaient de plus en plus son cul.
Elle était toute rouge, je faisais couler de la salive entre son cul, plus elle se touchait le vagin, plus son anus se dilatait.
Christine a joui de cette manière en très peu de temps... Elle est restée là cambrée, la tête contre le fauteuil en reprenant son souffle.
Je lui ai glissé 2 doigts, puis 4, elle était tellement trempée et large que ma main aurait pu rentrer, j'ai fait de même dans son cul qui était encore rempli de ma bave, elle était très ouverte et dégoulinait sur la banquette.
Des lumières de phares de voiture éclairaient de temps à autres nos silhouettes, mais cela rendait le moment encore plus fou et excitant.
J'avais amené avec moi une petite bouteille de champagne pour l’occasion. Christine m'a demandé de la baiser avec, je n'étais vraiment pas préparé à cela et n'ai pas su ou eu le courage de le faire, pourtant j’en mourais d’envie.
Christine s'est assise sur la banquette, a relevé ses jambes et appuyé ses talons sur le dossier du fauteuil avant. Elle m'a demandé la petite bouteille de champagne et l’a enfoncée dans sa chatte en fermant les yeux, j’étais littéralement dans un rêve.
Son collant ne ressemblait plus à rien, son bustier était à moitié ouvert et craqué, nous étions trempés de transpiration.
Pendant qu’elle se pénétrait avec la bouteille, je me suis placé au-dessus d'elle devant sa bouche pour lui enfiler mon sexe bien au fond. Christine a joui très fort une deuxième fois...
Je lui ai demandé de me lécher les couilles et elle s'est mise à me bouffer le cul, je n'avais jamais vécu ça auparavant, j’ai éjaculé d’un coup partout sur son visage et dans ses cheveux. Je me suis excusé et elle a rigolé encore… J’étais complètement gêné…
Christine à ouvert la portière arrière de la voiture pour faire rentrer un peu d'air mais il faisait une chaleur à crever. Elle a débouchonné la bouteille et m'a dit " Tiens, à toi l'honneur et à ta santé... «
Nous sommes restés là à rien dire, allongés sur la banquette à siroter la bouteille au goulot.
Christine m’a fait un bisou sur la joue en me glissant dans l’oreille « Enchanté Paul ».
J’ai revu Christine à plusieurs reprises pendant une année, à son domicile, au restaurant, à l’extérieur, à son travail…
Comme quoi, tout peut est possible dans la vie :)
Merci d'avoir pris le temps de me lire.
P
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