Bonjour,
Je me permet d'intervenir sur votre mur. Vous vouliez qu'on échange sur le sujet de la profession de foi du diable?
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La profession de foi du diable, souvent évoquée dans la littérature ou dans certains courants ésotériques, est une expression symbolique qui décrit l’opposition à la foi religieuse traditionnelle et l’affirmation d’une liberté totale face aux dogmes. Elle se présente comme une sorte de pacte, non pas seulement avec une entité démoniaque, mais surtout avec soi-même, incarnant une rébellion contre l’autorité divine, les conventions morales, et les valeurs établies.
Le diable, dans cette perspective, n’est pas simplement une figure de mal absolu, mais plutôt un symbole de la contestation, du refus des contraintes et du désir de savoir interdit. Adopter la "profession de foi du diable", c'est embrasser une voie où l’individu choisit délibérément de rejeter les règles imposées par une entité supérieure, préférant suivre ses propres instincts et désirs, même si cela conduit à des conséquences perçues comme dangereuses ou taboues.
Dans les récits de pactes avec le diable, tels que ceux de Faust ou des légendes anciennes, la profession de foi est souvent scellée par un contrat, un acte où l'âme est mise en jeu en échange de connaissances, de pouvoir ou de plaisir. Mais au-delà de la notion d’échange spirituel, cette profession symbolise la prise en main de son propre destin, l’acceptation des ténèbres comme voie de connaissance et de puissance.
Cependant, cette révolte contre le divin n’est pas sans ambiguïté. Il y a une conscience que cette voie est risquée, qu’elle est semée de tentations et d’épreuves. Mais pour celui qui fait cette profession, la liberté acquise, même au prix de l’âme, vaut bien plus que la sécurité d’une foi imposée. Le diable, dans cette quête, devient le mentor qui enseigne les vérités cachées, l’éveilleur des désirs et des ambitions refoulées.
Ainsi, la profession de foi du diable incarne le choix de l’individualisme absolu, de l'exploration de l'interdit, mais aussi de la responsabilité face à ses propres actions. Elle est une voie où l'on embrasse l'ombre pour mieux comprendre la lumière, une quête d’autonomie spirituelle et philosophique dans un univers dominé par des forces invisibles.
La profession de foi du diable c'est sa propre profession de foi avec soi même.
Mon angélisme correspond surtout au prénom que ma mère et mon père on choisi pour moi... J'ai mis longtemps a l'apprécié, grâce à lui je sais qui je suis, il me défini dans toute les facettes de ma vie ... Je suis toujours amusé par le côté fantasmagorique qu'il réveille dans l'univers BDSM.
Je ne suis malheureusement plus un ange à débourré...
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18/09/24
Je n'ai jamais arrêté de danser la question et donc ailleurs. Je m'ennuie rapidement a devoir m'adapter a la subtilité des phrases et des mots donc pour faire simple est concis vous me voulez quoi exactement ?
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18/09/24
Vous avez de l'imagination vis a vis d'une parfaite inconnue... Me demande bien ce qui a provoquer tout ça une photo un texte ou le défis cacher dans mon profil ?
Danser avec le Diable, c’est s’aventurer dans l’inconnu, accepter de s'abandonner aux ténèbres tout en gardant la lumière du consentement pour guide. Dans le monde du BDSM, cette danse est une métaphore puissante de la relation entre la domination et la soumission, où chaque pas, chaque mouvement est un équilibre entre contrôle et abandon, douleur et plaisir, pouvoir et vulnérabilité.
Le Diable, ici, n'est pas une figure maléfique, mais un symbole des désirs cachés, des pulsions que l'on garde au plus profond de soi, inavouées, inexplorées. Danser avec lui, c’est embrasser ces parties sombres de soi-même, ces envies qui défient les normes et les conventions. C’est accepter que dans la profondeur du lien entre un Maître et une soumise, il y a cette part d’ombre, cette tension qui pousse aux limites, qui défie les frontières du corps et de l’esprit.
J'avais bien compris Maître-Shogun mais ma vision sur l'ensemble a évolué je préfère danser avec un Homme qui deviendra mon diable plutôt qu'un diable qui n'a rien d'un Homme... Mes deconvenus mon mené a cela...
Le glas ne sonne que pour ceux qui sont morts pour tout les autres ils reste l'espoir...