il y en a qui construisent et d'autres qui déconstruisent (avec talent) ;-) mais faire ou défaire, c'est toujours travailler comme on dit.. Perso, je crois que j'aimerais bien me ballader en vinyl et je pense que le regard des autres n'y serait pour rien, juste pour la sensation.
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je confirme, à éviter absolument la Bretagne ;-)
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En quête d'un soumis à ma mesure, je suis une Maîtresse intransigeante et très investie dans sa mission d'éducatrice et de dresseuse, je maîtrise totalement mon Art. .:.
Baillonné(e) et attaché(e) les mains devant soi ! Ben voyons !
Une chose qui m'énerve prodigieusement, c'est le manque de réalisme et de sérieux dans les scènes de « bondage » dans les films, feuilletons, séries, etc...
Alors... lorsque l'on bâillonne, avec du tape ou d'autres choses encore, une victime les mains attachées devant elle... ça, ça me déçoit beaucoup, mais alors vraiment beaucoup ! J'ai plus d'estime pour un sandwich tout sec oublié dans un coin du frigo que pour le réalisateur.
Donc je pose la question, est-ce qu'on nous prend vraiment pour des truffes ? ;-)
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Est-ce qu’on est obligé d’attacher les mains dans le dos ?
Non je demande parce que pour ma part ça va dépendre de l’effet que je veux produire et de la position que je veux créer.
À mon sens il n’y a pas de règle et on peut trouver satisfaction dans l’un comme dans l’autre.
Maintenant oui, la plupart des scènes de BDSM sont produites par des personnes qui ne s’y connaissent pas.
Mais c’est aussi le cas pour la plupart des choses, regardez une série policière et demandez à quelqu’un du métier de vous faire un retour… la télé est un divertissement, ça ne va pas plus loin.
On peut attacher de la manière que l'on souhaite bien sûr, devant, derrière, en hauteur,... ce n'est pas le propos. C'est juste que dans un contexte fictionnel, si on veut y croire un tant soit peu, bâillonner une personne et lui attacher les mains devant, ça le fait pas du tout. On voit bien que la victime n'a qu'à faire que quelques gestes voire un seul geste pour enlever son bâillon... Peut-être que sur les lieux de tournage il faudrait un expert qui dispense ses enseignements sur l'art et la manière de réaliser un bondage crédible. Moi je veux bien me proposer comme consultant.
Il y a des bondages qui peuvent être bien faits les mains devant mais c'est vrai que dans les films c'est drôle, mais c'est pas des experts du bondage c'est que du cinéma et ils ne prennent pas le risque de faire mal aux comédiens.
perso je regarde pas de film bdsm, mais selon les envie et pratique mes mains son attacher différemment, dans scenario enlèvements, viol effectivement attacher dans le dos et aussi bouche remplie souvent de ma culotte avant de mettre le bâillon ce qui limite beaucoup le son car san ça les cries sorte avec force
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25/08/24
Dans les films c'est souvent l'aspect esthétique et l'effet sur le spectateur qui est recherché, plus que le réalisme. Un film totalement réaliste ne serait peut-être pas très agréable à suivre. Dans le même ordre d'idée, pourquoi est-ce que dans les films de science-fiction les robots ont souvent une voix métallique terrifiante alors que l'on sait faire des voix naturelles depuis un bon moment, pourquoi est-ce que les explosions lors des batailles spatiales font un boucan d'enfer alors qu'il n'y a pas d'air, donc pas de propagation du son dans l'espace, etc. Eh bien, parce que sinon le film serait réaliste, mais ennuyeux...
Oui, ça se tient. N'empêche que perso, je trouverais le film bien moins ennuyeux s'il était plus réaliste. Je me souviendrai toujours de ce film "comment se débarrasser de son patron" où Dolly Parton et ses comparses du bureau kidnappent leur patron et parcourent les magasins de bricolage, les magasins de sport, ou une animalerie (pour le collier de chien) afin de lui faire un dispositif complet de bondage, raccorde au plafond et entièrement sécurisé. J'ai vraiment jubilé en voyant ce film et les détails bien présents cette fois-ci, les tentatives d'évasion (avortées,). Et je suis sur que beaucoup de gens de la communauté ont pris leur pied ;-)
Bonsoir pourquoi se faire attache les mains devant ou derriere je ne vois pas la difference pour mon avis cela ne change rien
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27/08/24
@soumisSM62: le problème soulevé par l'auteur du sondage est qu'avec les mains devant c'est assez facile d'enlever le bâillon, donc ce n'est pas très réaliste. C'est l'association "bâillon + mains attachées devant" qui est incohérente.
"pour mon avis cela ne change rien": mais du coup, pourquoi est-ce que vous votez oui?
Si vous regardez le film de "L'Agence Tous Risques", vous pouvez voir une scène dans laquelle le protagoniste explique clairement pourquoi il ne faut jamais attacher les mains d'un prisonnier dans le dos. En gros, tout simplement parce qu'on ne peut pas voir ses mains.
Mais bon c'est vrai que selon le contexte, être bâillonné et les mains attachées devant, c'est bien moins réaliste que dans la réalité. C'est comme les baillons, dans énormément de films on voit la victime bâillonnée de façon toute simple et pourtant incapable de produire le moindre son alors que dans la réalité on peut facilement s'en défaire pour crier ou au moins produire un son.
Il y a cependant toujours moyen d'attacher devant ou derrière de telle façon à ce que la victime ne puisse pas si facilement se défaire de ses liens ou de son bâillon, je trouve donc ça aussi dommage qu'il n'y ai pas plus de réalisme dans ces scènes.
Cela dit, il faut aussi prendre en compte l'histoire, l'intelligence, la peur et les compétences des différents personnages. Tous, ne sont pas toujours capables de faire des nœuds suffisamment solides pour ligoter une tierce personne. Et dans le rôle de la victime, ce n'est pas toujours facile non plus de trouver assez de courage pour se défaire de ses liens pour pouvoir s'échapper. Pis que ferais donc un kidnappeur s'il retrouve sa victime débâillonnée ? Que sont les risques pour la victime ? 🙃
Bref tout ceci dépend des différents facteurs qui tournent autour de ces scènes. Si tu retrouves une scène de ce genre dans un film ou une série pour nous donner un exemple visuel de ce que tu veux dire, c'est toujours un plus. 😋
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19/09/24
Il y a différentes écoles. Dans la police on estime qu'il est plus sécure de menotter la personne dans le dos pour éviter qu'elle ne fasse de ses menottes une arme . Certains prétendent qu'il vaut mieux attacher la personne avec les mains devant pour pouvoir la surveiller et éviter qu'elle ne tente de crocheter en catimini ses menottes ou faire dieu sait quoi à l'abri des regards pour se détacher (en passant, il y a dans un des premiers Jason Bourne, une scène entre Bourne et un tueur à ses trousses à qui il oblige d'enfiler un ziptie expressément devant lui, pour mieux pouvoir le tenir à l'oeil). Enfin bref, cette dernière théorie ne vaut que si l'on reste bien planté là, à regarder les mains de sa victime devant elle, et que dans le cas où cette cette victime aurait été "excessivement capable" de se détacher les mains dans le dos. Donc, là je crois que l'on se gratte un peu pour se faire rire.
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20/09/24
Aux origines des désirs BDSM (trauma, famille, enfance, génétique ?)
On laisse entendre que l'orientation bdsm est parfois dû à un trauma dans l'enfance. Pour ma part, je n'ai pas l'impression que cela soit le cas (à moins qu'il ne soit bien enfoui dans ma mémoire). On dit encore que la configuration familiale peut y être pour quelque chose (père absent ou effacé et mère dominante, omniprésente,..). Pour le coup, ça se rapprocherait peut être un peu plus de mon vécu.
Bref, j'ai l'impression qu'on se perd toujours en conjectures sur l'origine de cette orientation (par ailleurs très multiple). Peut-être est-ce génétique, qui sait ? Ou alors multifactoriel, histoire de brouiller encore davantage les pistes. Bref, ça me dépasse ! Comment peut-on jouir d'être impuissant, contraint, humilié, etc... On est pas très premier degré dans le bdsm finalement ;-) Idem pour les dominants. Alors dites-moi, quelles sont vos explications ?
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Rien de tout ça je pense, comme on dit les goûts et les couleurs ne se discutent pas 🤣
Merci Music9669, je vais m'y intéresser. Merci aussi pour vos réponses très instructives. En effet Soumisebrat, les goûts et les couleurs ne se discutent pas, je tente juste de déceler ce qui selon nous, les 'bdsm addict', a été à l'origine de cette singularité. 66% des personnes estiment qu'il s'agit d'autre chose... oui mais quoi?
Par curiosité, j'ai posé à ChatGPT (désolé de devenir vulgaire ici ;-)) la question des hypothèses sous-jacentes à l'origine d'une préférence pour le BDSM et je trouve que je ne suis pas tombé trop loin. Ses hypothèses sont les suivantes :
Conditionnements précoces : Des expériences de l'enfance ou de l'adolescence (comme des jeux ou des situations impliquant des dynamiques de pouvoir ou des contraintes) pourraient avoir planté les graines de l'intérêt pour le BDSM plus tard dans la vie.
Influence des relations familiales : La manière dont un individu a vécu les relations de pouvoir, de contrôle ou de soumission au sein de sa famille peut jouer un rôle dans le développement de ses préférences sexuelles à l'âge adulte.
Modèles de comportement appris : Certaines personnes peuvent être influencées par des modèles de comportement qu'elles ont observés ou expérimentés dans leur environnement immédiat, y compris des relations où le pouvoir ou la domination étaient des thèmes récurrents.
Réponse à des traumatismes ou événements marquants : Dans certains cas, des expériences traumatiques ou marquantes peuvent influencer le développement d'une attirance pour le BDSM, soit comme une manière de reprendre le contrôle, soit comme une façon de revisiter ces expériences dans un cadre sécurisé.
Prédispositions neurobiologiques : Il est possible que certaines personnes aient des prédispositions neurobiologiques qui les rendent plus susceptibles de rechercher des sensations extrêmes ou de réagir de manière positive à des pratiques impliquant la douleur, la contrainte ou la domination.
Exploration de la différence : Le désir de se démarquer des normes conventionnelles peut être une motivation initiale pour explorer des pratiques alternatives comme le BDSM, influencé par une quête d'identité ou d'individualité dès un jeune âge.
Dans la foulée, j'ai aussi posé la question à ChatGpt des raisons pour lesquelles quelque chose à priori de négatif, de contraignant ou d'humiliant est source de satisfaction et parfois de satisfaction sexuelle. Les réponses m'ont semblées intéressantes, mais je ne voudrais pas vous saouler avec ça.
Qu'on le veuille ou non, l'enfance, l'adolescence marquent notre psychique à tout jamais ! Nous sommes le fruit de notre histoire, heureuse ou malheureuse. Il est fort probable que certains d'entre nous cherchent inconsciemment à "exorciser" leurs blessures ou traumas dans le BDSM, blessures ou traumas souvent enfouis au plus profond d'eux même. Et d'autres pour de multiples raisons, largement evoquées par Tamanra7. L'essentiel est de vivre un BDSM heureux, de trouver son equilbre, se reveler en toute liberté, sans aucun jugement.
Je comprend tout à fait que l'on veuille comprendre pourquoi on en est arrivé là mais j'ai un peu de réserves quant au fait de considérer les pratiques bdsm obligatoirement liées à un épisode traumatique, ce qui signifirait que le bdsm releverait d'une sorte de trouble psychologique.
Est ce que c'est le cas pour certaines personnes voire une majorité? Peut-être. Est ce que je coche les cases du trauma et de l'enfance pas fantastique? Absolument, comme beaucoup de personnes et comme beaucoup qui n'ont pas ce genre de sexualité. Est ce que cela peut avoir eu un impact sur ce que j'aime sexuellement? C'est possible, mais peut-être est-ce se poser la question à l'envers.
Je pense que la véritable question à se poser n'est pas ce que l'on peut potentiellement essayer de soigner/compenser/reproduire par le bdsm, mais plutôt: qu'est ce qui nous pousse à revenir à chaque fois à ce genre de pratique? Qu'est ce qui nous attire réellement dans quelque chose qui de l'extérieur pourrait être vu comme négatif?
Par exemple en ce qui me concerne, je pense qu'à côté de beaucoup d'entre vous je suis plutot light dans mes pratiques, je suis dans le bdsm "mignon" on va dire... mais je sais ce que je viens y chercher et ça n'a absolument rien de négatif. Déjà je trouve que le lien crée avec son partenaire est beaucoup plus fort, qu'il faut une confiance et une complicité qui dépasse largement celles que l'on peut ressentir dans des pratiques plus basiques. Et autre raison, qui découle de la première, c'est que j'aime sentir que l'autre est totalement prête à s'abandonner à moi, sentir qu'elle n'a plus de volonté propre et que notre lien est assez fort pour qu'elle renonce à tout dicernement pour se confier entierement à moi, physiquement et psychologiquement. Pour moi les pratiques bdsm sont avant tout un don de soi et une confiance absolue. En tant que dominatrice je trouve qu'il n'y a pas de plus beau cadeau qu'une personne prête à m'accorder ce niveau de confiance et que l'on puisse ensemble avancer et faire tomber les barières. Je pense aussi d'ailleurs que cela demande une confiance en soi et une sérénité face à ses émotions. Cela demande d'apprendre à contrôler/se laisser aller à des émotions très forte. D'ailleurs physiologiquement la douleur est grandement lié au plaisir, cela n'a rien d'anormal. Peut-être avons nous juste envie de vivre plus fort que les autres...
Chacun est libre de voir autre chose dans le bdsm, d'y avoir des motivations différentes, mais pour moi ce sont celles-là et je trouve qu'elle vaillent la peine que je considère ma sexualité comme quelque chose de positif et épanouissant et non comme quelque chose liée à un trauma.
il y a certainement, l'adoration de la femme en ce qui me concerne, dès l'adolescence ! à cette époque point d'internet, n'y de minitel , je l'ai compris très tard, mais mes recherches se sont portées vers des femmes mûres, habillées class , ou en cuir ! bien plus tard, je saurai que j'ai une tendance à la soumission, cela était en moi, et me démangeait fortement , j'ai lutté contre cela fort longtemps avant de l'accepter , c'est une addiction impossible a oublier
Je pense que c'est Génétique ??? ( Mais de façon uniquement personnel ) car c'est nous même, dans notre corp, qui nous nous sentons plutôt femme ou Homme ? ( ou les 2 ? ) ou avoir des envie de pratiquer des fantasmes ou des désirs SOFT ou HARD dans le monde du BDSM ?.
et n'y un trauma / n'y dans ma famille ? / et n'y dans mon enfance j'ai U ce genre de désir ? ( Moi, mon origine du BDSM date depuis 2018, cela fait 6 ans )
Je pense que si il peux y avoir des origines traumatique mais souvent ce n'est pas le cas. Ainsi des gens avec du pouvoir peuvent sentir un besoin dans leurs vies privée d'être totalement soumis et de lacher prise. Le masochisme peux venir d'une neuroatypie comme d'autre source. Les psychiatres ont vu qu'ils y avait pas plus de trouble mentaux chez les pratiquants du bdsm que la moyenne. Cela à fait qu'il ont enlevé du DSM le bdsm car il y avait aucune preuve. En clair souvent nos différence ne sont pas si souvent génétique mais aussi lié à une grosse part de hasard. Ainsi par exemple le TSA est en partie génétique mais une grosse partie est lié à des connexion différente ou mal faite ce qui donnent des hypersensibilité à certaines choses etc...
Je dirais la société le monde du travail la famille
Dès le plus jeune âge le rapport de force commence je me souviens quand j'étais petit j'ai toujours été le souffre douleur le dernier qu'on choisissait pour jouer au foot parce que j'étais un gros nul je me souviens aussi être humilié par ma maîtresse d'école en me privant d'aller au toilette....
Plus tard le rapport de force continue le rendement privilégié par rapport a la qualité la pression constante sur les cadres l'oppression sur les ouvriers pousse même les gens au suicide
La famille autorité culpabilité être a l image de ... Ne pas accepter la différence qu'on considère comme une maladie mentale ....je vous épargne les insultes que j ai subi
Merci pour le retour Carl. Ce qui m'intrigue toujours, c'est pourquoi alors que l'on a subi cette situation de soumission , d'humiliation, etc... ET que l'on en a visiblement souffert durant l'enfance, on reproduit ce schéma de soumission, de masochisme, pour en retirer cette fois-ci du plaisir ou de la satisfaction. Si quelqu'un a l'explication, qu'il m'éblouisse de ses lumières !!!
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12/10/24
Bonjour parce que il y a un consentement on ne subit plus ....
Le bdsm j'aime pas trop ce terme trop généraliste je fais pour ma pars la distinction entre ce que j ai vécu mon côté auto destructeur et la soumission que j éprouve pour celle que j aime donc il y a vraiment plus rien de négatif mais que du positif ce que je refoule elle m aide par son amour elle me soigne je peux m abandonné dans ses bras elle me fera pas du mal car mon ennemi c est tout simplement moi j'ai été conditionné comme ça après pour les actes plus hard comme l abandon total le désir de devenir un esclave il faut faire attention esclave soumission totale c est très dangereux heureusement enfin je l espère celà reste à l état de fantasme ...Tout passe d abord par la tête et vous savez récompense et punition c est comme ça toute notre vie qu'on soit Dom ou soumis
Bonjour Tamanra7,
Je suis revenue voir ce sondage puisque vous en avez cité les résultats sur le forum, en me demandant pourquoi je n'y avais pas répondu. En fait il y avait deux raisons:
(1) Je n'ai pas compris quelle est la question. Est-ce "Quelle est LA principale raison qui VOUS a amené(e) au bdsm?" / "Quelles sont LES raisons qui VOUS ont amené(e) au bdsm?" / "Quelle est à votre avis LA principale raison qui amène les personnes au bdsm (indépendamment de votre cas personnel) ?" / "Quelles sont à votre avis LES raisons qui amènent les personnes au bdsm (indépendamment de votre cas personnel) ?" ?
Comme vous envisagez le cas multifactoriel, on peut supposer (mais sans certitude) qu'il faut retenir les versions avec "LES". Par contre, je ne sais pas quelle version est la bonne entre les deux qui restent.
(2) Si la question est l'une des deux versions avec "LES", le problème est que le panel de réponses proposées ne couvre pas toutes les possibilités: par exemple si on veut répondre l'un des 4 motifs précis listés et un autre non listé, ce n'est pas possible.
Pas d'inquiétude, si vous n'avez pas envie de me répondre, je sais bien que les sondages du site n'ont pas vocation à être publiés dans une revue scientifique 😂 et que c'est surtout ludique (mais si vous avez envie de me répondre, la réponse m'intéresse).
Pour pousser le côté ludique, ça pourrait même donner lieu à un sondage complémentaire: "Quand vous avez répondu à ce sondage, à quelle version de la question aviez-vous répondu?" car ce qui est amusant c'est que dans les statistiques obtenues se trouvent mélangées des réponse qui concernent en fait des questions différentes.
Il y avait eu un sondage, qui a malheureusement disparu car l'auteur a clôturé son compte je crois, qui était absolument génial: la question était formulée de telle sorte qu'elle comprenait en fait une question et la question totalement opposée, et il fallait répondre oui ou non. Il y a eu énormément de réponses sans qu'apparemment qui que ce soit ne se demande quelle était en fait la question. Car si l'on répondait oui à une version, on devait logiquement répondre non à l'autre version, donc réponse impossible, en toute rigueur. Le plus amusant c'est que c'était apparemment involontaire, car j'avais mis un commentaire et visiblement l'auteur ne voyait pas où était le problème - je suppose qu'il m'a prise pour une emmerdeuse 😂.
je reconnais bien là votre esprit analytique chère Sylvie, pour ne pas dire pinailleur
je confesse que ce sondage n'est pas tiré au cordeau comme il aurait dû l'être, honte à moi.
néanmoins, je ne me suis pas contredis comme l'autre andouille dont vous venez de parler, et que vous n'avez pas hésité à asticoter ! (pas bien Sylvie, pas bien ! faut-il y voir une raison de son départ ? )
Enfin, en y jetant un coup d’œil rétrospectif, j'imagine que dans mon esprit, je demandais plutôt aux sondés ce qu'il en était pour leur cas personnel (et que par extension, nous en déduirions une tendance générale) et que, en ce qui concerne les LA et les LES,...... non mais c'est pas bientôt fini ! C'est les 2 ! Voilà ! c'est comme la mécanique quantique.
Merci pour votre réponse ! Oui, oui, je pinaille, c'est vrai, mais c'est fait pour être pris avec le sourire 🙂
Oh ben, j'espère qu'il n'est pas parti à cause de moi, car ma remarque n'était pas méchante, à moins qu'il n'ait vraiment pas le sens de l'humour. A la fin, je lui ai dit que j'allais répondre NOUI, car je ne pouvais répondre ni oui, ni non. Et puis, je crois que je lui avais dit qu'il pourrait donner une bonne idée au gouvernement pour un référendum: poser une question qui comprend une version et son contraire, et puis, après le dépouillement, le gouvernement décidera à quelle version la population a vraiment répondu 😂
Etre à mes pieds, c'est entrer dans mon sanctuaire, à l'abri du monde, confronté à mes exigences, pour vivre un lâcher-prise dans la confiance et la sérénité d'une vraie relation .:.
Les liens et le sens du devoir
En cas de bondage trouvez-vous normal de pouvoir éprouver les liens et d'essayer de vous détacher par tous les moyens ? Moi, oui
L'obéissance est une chose, mais une personne dominante ne serait-elle pas qu'une petite créature bien peu sûre d'elle-même si elle attendait de sa/son soumis(e), voire lui demandait, de ne pas essayer de se libérer ?
(poser la question c'est y répondre... mais je laisse juge les membres de ce site)
Soyez la première personne à aimer.
Bonjour etant un peu rebelle et maso je ferais tout pour essayer de me liberer sans l accord du dom meme si la punition sera plus severe bonne journee
Bonjour.
Bondage, lien, obéissance, droit.
Des mots qui peuvent aller ensemble, mais qui, selon moi, ne sont pas de même nature.
Le bondage : Pratique sexuelle BDSM qui est élevé au rang d’art en Asie dans laquelle un des partenaires est attaché. (Allégorie de l'Amour et de la Sagesse, Isidoro Bianchi.)
Le lien est une allégorie. il peut être matériel évidemment, mais représente dans le monde DS l’attache entre deux partenaires d’une relation.
L’obéissance la notion principale émanant de la confiance du Soumis (e) à son Dom.
Le droit : ensemble des règles, directives, formalisations qui dans une relation déterminés BDSM, règlent le statut des personnes et régit le quotidien de la relation.
S’agit t’il dans votre question d’une vraie démarche de bondage. C’est dire de rendre l’immobilisation artistique. Ou s’agit il d’une immobilisation de ficelage pour profiter pleinement du soumis (e) par jeu pour le dresser, pour le punir, etc..?
Dans le premier cas ; le soumis(e) a fait vœux d’obéissance et de soumission. Il doit avoir la compréhension de la démarche artistique pour ne pas bouger et ne cherchera pas a se libérer. Mais dans le second cas, le soumis quel que soit son degré d’engagement et de soumission, même un ( e ) esclave qui est le plus haut degré d’appartenance, tentera de vérifier la qualité de l’ouvrage. Eventuellement tenter de s’en échapper. Et le maitre n’attend que cela, pour mesurer sa soumission et le respect au règles. On pourrait presque dire que cela fait parti du droit. Ce n’est pas formalisé ainsi évidemment. Donc oui le ou la soumise a le droit de vérifier la qualité de ses liens. Et même est presque invité (e) à le faire, la réaction de son Dominant n’aura que plus de saveur.
Je comprends ce que vous vous voulez dire Tamara7. Mais on doit pouvoir discerner le bondage en tant matière artistique et l'action de supprimer la liberté de mouvement. Mettre des menottes ou autre n'est pas une matière artistique. Pas plus d'attacher son/sa protège (e) à un piquet. Il s'agit de liens. Pas plus . Je parle pour moi ...
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05/10/24
Bon, je ne suis pas vraiment d'accord avec vous. Mais peut être que le problème de départ vient du terme artistique. Je reformulerai peut-être mon intervention précédente en parlant d'esthétique. Par ailleurs, il me semble premièrement que l'on peut très bien développer un bondage "artistique" ou dirons-nous plutôt esthétique (pour éviter de galvauder le terme artistique qui finalement est un peu crétin dans ce contexte*) tout en étant extrèmement efficace, voire imparable et sans pour autant recourir à des menottes ou l'attache à un piquet, ce qui me semble aussi être une vision très étriquée du champ des possibles. (*) je conçois que le bondage et notamment l'usage des cordes, en live, en photo, ou représenté puisse avoir un côté artistique (par exemple les oeuvres de Araki), mais il faut déjà avoir un beau niveau de maîtrise. Enfin, soit, je pense que ça ne sert pas à grand chose de gloser sur ce sujet. Ce qui me rassure en lisant votre profil, c'est que vous n'avez pas une vision dogmatique ni ne prétendez être un théoricien du bdsm. ;-)
Quand on regrette son fantasme !
Parfois, il faut se méfier de ses désirs de peur qu'ils se réalisent.
Vous est-il déjà arrivé de fantasmer et de réaliser une chose qui s'est révélée finalement très regrettable?
N'hésitez pas à partager vos petits ou gros regrets en la matière.
Soyez la première personne à aimer.
Moi je n' est qu'un seul regret, c'est de ne pas réaliser mes fantasmes, avec une personne de confiance, après ? ont peut aimer ou pas aimer ce fantasme, (et nous passons à un autre fantasme ???) mais jamais le regretter, car un fantasme C fait pour être réalisé à la base. (il y aurait dû avoir aussi une case dans ce sondage. / Je ne peux pas savoir, j'ai jamais réalisé aucun fantasme.)
moi je crois qu'on peut réaliser un fantasme et en être très déçu, voir en être traumatisé. Pour le coup, 29% des votants ont des regrets. Il s'agissait parfois d'une simple déception (8%), mais pour les autres cela a été un peu plus rude visiblement. Est-ce qu'il n'y avait pas parfois des ambitions beaucoup trop grandes ? Pour 70% des gens, la réalisation de leurs fantasme n'a suscité aucun regret, top ! Pour ce qui concerne le niveau d'ambition, je pensais notamment à ce témoignage assez intéressant https://www.youtube.com/watch?v=MQ_OfVOdcvY -
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21/08/24
pour être traumatisé, il faut que ça soit vraiment très violent ? (et un fantasme ça ce commence, doucement, Progressivement dans un premier temps pour savoir si on peut le faire ?) maintenant c'est sur si on fait tout et n'importe quoi, et avec n'importe qui ? c'est vraiment pas sérieux.
Bonjour, le principal de mes fantasmes étant d'être mis en libre service comme trou à plaisir gratuit pour tous, ne m'a jamais déçu. Le seul regret que j'ai, c'est de n'avoir toujours pas trouvé un voyeur sympathique et de confiance qui pourrait assurer ma sécurité pendant que je me fais passer dessus à répétition. Ainsi que le manque d'actifs. Il y a quelques années en arrière,, sur un parking routier, un soir de pleine lune, il y avait une dizaine de mecs autour de moi, l'ambiance était bonne et il y en a plusieurs qui m'ont possédé plusieurs fois.
Mais j'ai quand même regretté qu'il n'y en ait pas plus.. Avec un peu d'entraînement, j'aimerais bien me faire passer dessus par au moins 40 ou 50 mecs de suite, et cela régulièrement.
Alors si il y a un voyeur sympathique pour assurer ma sécurité pendant que je suis utilisé, n'hésitez surtout pas à me contacter.
Bonne journée à tous '
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23/08/24
pour le moment jamais regretter mais attentions c'est vrais j'ai adorer mais suite d'avoir réalisé mon fantasme d'autre fantasme me son venue et a chaque fois j'ai des fantasme de plus en plus loin dans les pratiques, alors peu être que un jour j'irais trop loin
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25/08/24
Bonsoir, oui, même pour l'escalade, il faut faire attention et prendre un guide qui pourra vous emmener plus haut que ce qui était prévu au départ.
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25/08/24
Merci Fgamer78 d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.