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MaitreJeanM

Homme Dominateur. Vit à Bruxelles, Bruxelles, Belgique. 53 ans. est engagé(e) avec .
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 13/10/24
Vanessa et David rentrèrent tranquillement, main dans la main, chez David. Les yeux de Vanessa transpiraient un bonheur serein. Ils s’installèrent dans le canapé de la terrasse. David avait sorti une bouteille de champagne rosé, la boisson préférée de Vanessa. Il la serra contre lui et l’embrassa avec infiniment d’amour. Vanessa lui rendit ce baiser avec passion. Elle se nicha plus profondément encore dans les bras de David. Ses pensées flottaient entre émerveillement et bonheur. Elle n'avait jamais imaginé qu'elle pourrait se sentir aussi vivante, aussi libérée, aussi sereine. Ce qu’elle vivait avec David était tout simplement incroyable, imprévu. Mais plus encore c’était une découverte sur elle-même. « David, je... je peux vous avouer quelque chose ? » dit-elle soudain. « Bien sûr mon amour ! » lui répondit-il en lui souriant, sa main caressant son visage dans un geste doux et protecteur. « Nous ne sommes pas en séance de domination, tu peux t’exprimer librement ma chérie ». « Je dois vous avouer que je n'aurais jamais pensé être capable de me révéler ainsi, » dit-elle, sa voix basse mais claire dans le calme de la nuit. « Je n'aurais jamais envisagé trouver une telle excitation à m'exposer ainsi …, à observer … , à être observée... Jamais je n’aurais cru que cela pourrait … me plaire … » ajouta-t-elle, son visage rougissant. David l’écoutait avec attention, continuant à caresser son beau visage de sa main droite et dessinant des arabesques tendres dans son dos de sa main gauche. « Et cela te fait peur ? Tu as honte ? » demanda-t-il doucement. « Oh non ! Pas le moins du monde ! » s’exclama-t-elle. « Pas quand je suis avec vous, » ajouta-t-elle avec assurance. « Avec vous, je me sens en sécurité, respectée... heureuse. Je n’ai pas du tout peur. Cependant, je dois vous avouer que c’est … ». Elle cherchait ses mots pour bien traduire ce qu’elle voulait exprimer. «  C’est … étrange et … troublant … et pourtant évident et naturel … grâce à vous » dit-elle enfin. « Waouw » s’exclama David dans un sourire. « Tout cela, ma bien aimée ?! » « Oui » reprit-elle, les yeux plein d’amour pour celui qui faisait battre son cœur comme jamais auparavant. « C’est étrange de se sentir si puissante et si vulnérable en même temps. Etrange de découvrir qu’avec vous je me sens libre d’être moi-même. Troublant … oui troublant de sentir que l’excitation et le fait de le faire avec vous font passer la honte et mes anciens tabous au second plan … oui troublant tellement c'est … naturel et excitant … Et tout cela, c’est grâce à vous, mon amour … ; grâce à votre amour et votre guidance …  vous me faites découvrir des parties de moi-même que j’ignorais …  vous le faites avec une infinie tendresse et un respect total … et tout cela me parait évident et naturel … Je suis heureuse, David. Heureuse et reconnaissante de vivre cela avec vous … heureuse de vous appartenir … » conclut-elle, tendant ses lèvres vers celles de David, comme pour mieux sceller cette déclaration. Ils s’embrassèrent avec amour et tendresse. Ils restèrent silencieux pendant un moment, simplement enlacés, laissant la tranquillité de la nuit les envelopper. La lumière de la lune filtrait à travers les feuilles des arbres du jardin de David, dessinant des motifs lumineux sur leur refuge discret. Autour d'eux, la ville semblait presque endormie, à peine perturbée par le chant occasionnel d'un oiseau nocturne ou le bruissement d’une légère brise dans les arbres. Finalement, Vanessa rompit le silence. « David ? » « Oui Vanessa » « Je pense que je suis prête à explorer encore plus … à aller plus loin, à vos côtés. Je veux découvrir tout ce que ce monde de soumission et de domination avec vous a à offrir, tout ce que je peux être. Guidez-moi… Eduquez-moi … Faites de moi … votre soumise, s’il vous plait … s’il vous plait … Monsieur … » dit-elle avec assurance. En finissant ses mots, elle se leva, releva légèrement sa robe pour dénuder ses cuisses et se mit à genoux devant lui ; jambes légèrement écartées ; mains posées sur ses cuisses, paumes retournées ;  fesses posées sur ses talons ; dos droit ; tête baissée. David regarda Vanessa. Un immense sourire barrait son visage.  Il ressentait un amour intense pour cette femme, renforcé par un respect profond pour la force qui émanait d’elle et la confiance qu'elle lui témoignait. Certes il avait eu des histoires d’amour avant elle. Certes il avait été le Maître d’autres soumises. Bien sûr ils n’étaient qu’au début de leur relation.  Mais jamais encore il n’avait ressenti une telle symbiose avec une femme. Elle incarnait tout ce dont il avait toujours pu rêver. Et plus encore il sentait au tréfonds de lui qu’ensemble ils pourraient découvrir des merveilles infinies d’amour et d’appartenance.   Quelques secondes d’une longueur infinie passèrent pendant lesquelles David regardait avec bonheur Vanessa. Elle était là, agenouillée devant lui. Offerte. Magnifique de volonté et de vulnérabilité. « Vanessa, » commença David, sa voix basse et pleine d'émotion, « je te remercie infiniment pour ton amour et ta confiance. Avant d’aller plus loin je souhaite te dire tout mon amour et le bonheur qui est le mien depuis que tu es entrée dans ma vie. Tu es une femme extraordinaire, Vanessa. Je t’aime, Vanessa. Et toujours je te respecterai et t’honorerai ». A l’écoute des mots de David, Vanessa ne put refreiner un sourire. Elle sentait son cœur battre contre sa poitrine. David l’aimait ! Elle le sentait. Elle osait l’espérer. Mais l’entendre le dire avec une telle force …  Elle était tout simplement heureuse. Une onde continue de chaleur savoureuse traversait son corps de part en part. « Je suis aussi honoré que tu me choisisses comme ton Maitre dans ta volonté de découvrir ta condition de soumission. C’est un honneur qui m’oblige. Sache que nous découvrirons, continuerons à découvrir en fait, ces rivages pas à pas. Que chaque étape se fera toujours avec une communication active entre nous. Que toujours nous le ferons avec ton consentement. Jamais rien ne sera obligé ou forcé qui ne recueille avant tout ton accord explicite. Ton bien-être, ton intégrité – physique et psychologique –, ton équilibre, ton épanouissement seront toujours au cœur de mes préoccupations avant toute chose. » continua David. Vanessa ressentait un mélange de gratitude immense et d'excitation en écoutant David : elle se sentait honorée et choyée d'être ainsi aimée et respectée si profondément. Ces émotions convergentes nourrissaient en elle un sentiment d'épanouissement total, la faisant se sentir précieuse et importante dans l'univers de David. « Vanessa, ce que tu viens de faire à l’instant en t’agenouillant en position Nadu devant moi de ta propre initiative est un geste fort et puissant. Comme l’étaient aussi tes actions tout au long de cette soirée, tant ici, au bar, que dans le parc. En agissant ainsi, tu m’as montré sans le moindre doute ta volonté, ton désir de m’appartenir ; de devenir aux termes de ton éducation, ma soumise. Mais je te le redemande : c’est bien cela n’est-ce pas, Vanessa, tu souhaites devenir ma soumise ? » conclut David. « Oui, Monsieur ! Je veux devenir votre soumise » répondit Vanessa d’une voix assurée, la tête toujours baissée. « Je te remercie Vanessa. Tu es bien consciente que cela impliquera non seulement des expériences physiques, dont certaines seront douloureuses, mais aussi une exploration de tes limites psychologiques ? L’acceptes-tu ? Le veux-tu ? » continua David. « Je le suis, Monsieur. Et oui je l’accepte et je le veux. » répondit Vanessa. « Tu sais que tu pourras interrompre toute action à tout moment de par l’utilisation de ton safe word, Vanessa. Peux-tu nous le rappeler s’il te plait» dit David, bien qu’il se souvenait parfaitement de ce mot. « Le mot que j’ai choisi est « cristal », Monsieur » dit clairement Vanessa, insistant sur ce mot. « Bien Vanessa. Avant d’être ma soumise, tu es ma novice. Tu es d’ailleurs à ce jour ma novice. Et je suis heureux que tu aies ce soir porté avec fierté ton collier de novice. Tu t’es remarquablement bien comportée comme novice aujourd’hui Vanessa. Tu m’as rendu très fier » dit David d’une voix forte et reconnaissante. « Oh merci, Monsieur ! Vous rendre fier est un tel bonheur pour moi » s’exclama Vanessa, tout heureuse d’entendre la fierté de David. Au même instant elle sentit un douleur forte au niveau de son cuir chevelu, alors que David avait saisi ses cheveux et tirait sa tête en arrière. « N’oublie pas que tu n’as pas la parole sauf si je te la donne, petite effrontée. Tu seras punie tout à l’heure pour cette désobéissance. C’est bien compris ? » lui dit David sur un ton ne souffrant aucune rébellion. Les mots fermes de David résonnèrent en Vanessa avec intensité. Elle sentit une forte vague de culpabilité pour avoir oublié cette règle essentielle, mêlée d'un frisson pour la conséquence annoncée. « Pardon … Je suis désolée, Monsieur, j'ai oublié... je vous promets que cela ne se reproduira plus, » murmura-t-elle, sa voix teintée d’un remords sincère. « Merci de me corriger et de m'enseigner la discipline ». David, observant son regret et son engagement à apprendre, relâcha doucement sa prise. « Je sais que tu feras mieux, Vanessa. C'est ainsi que tu grandiras dans ta soumission. » David continua : « Tel est le but de ton noviciat : tu apprendras l’obéissance et la discipline. Pour ce faire, tu accepteras et appliqueras certaines règles ; tu apprendras les positions de base d’une soumise. Tu apprendras aussi à te dépasser, à développer et renforcer ta force mentale. Tu apprendras à développer tes habilités orales pour devenir une experte en fellation, gorge profonde et irrumation pour plaire à ton Maitre. Tu développeras tes capacités vaginales et anales. Tu apprendras à retenir mais aussi à libérer sur ordre ta jouissance. Tu acquerras une pleine maîtrise de toi, de tes ressentis, de tes émotions. Mais tu apprendras aussi petit à petit à lâcher prise, à aimer être indécente à la demande de ton Maitre. En une phrase tu vas t’instruire pour mieux servir, pour devenir une parfaite soumise ». Vanessa buvait les mots de David. Chaque phrase éclairait de manière non ambiguë ce que signifiait son choix. Son cœur battait à tout rompre. Chacun des mots de David tissait un canevas des premières étapes de domination et de soumission consentis entre eux. Le moment était fort. Elle mesurait en cet instant tout ce que signifiait son engagement. David ne lui cachait rien. Le poids tangible de sa décision se manifestait aussi dans son corps : sa peau était couverte d ecahir de poule et, tel un paradoxe, une chaleur immense la parcourait. Elle sentait que son sexe était plus humide que jamais. Ses seins gonflaient. Ses mamelons pointaient. Son souffle était saccadé. Ce que David venait de décrire, ce n'était pas seulement un parcours de soumission physique et psychologique, mais c’était aussi une exploration profonde de ses propres limites et désirs, promettant une transformation qui la terrifiait et l'enthousiasmait à parts égales. Mais en elle en était sûre : malgré sa peur, c’est bien tout ce qu’elle voulait. Parce que c’était Lui. Et qu’elle voulait être à Lui. « Lève la tête et regarde-moi, Vanessa. Est-ce bien ce que tu désires, Vanessa ? » lui demanda alors David. Vanessa leva la tête. Son regard trouva celui de David. Une intensité presque palpable les liaient l’un à l’autre, comme une chaine invisible et pourtant bien présente. Elle inspira profondément, les yeux fixés dans ceux de David : «  Oui, c’est ce que ce je veux, Monsieur … Parce que c’est Vous ... Parce que c’est pour Vous … Parce que je suis à Vous …» dit-elle d’une voix tremblante d’émotion. « Bien ma novice » répondit David en se penchant vers Vanessa et en déposant un doux baiser sur ses lèvres, tout en caressant sa joue. A ces mots et au contact des lèvres de David, les yeux de Vanessa se remplirent de larmes, tant l’émotion était forte. David sentit les flots humidifier sa main. Il regarda Vanessa. Elle pleurait à chaudes larmes tout en lui souriant. Les larmes d’une femme heureuse et bouleversée. Il couvrit son visage de baisers, buvant chacune des larmes de sa bien-aimée qui venait de lui faire don de sa personne dans cet acte puissant. « Tes larmes sont un trésor ma bien aimée. Je les accueille comme la plus belle des offrandes. Elles sanctifient notre relation » lui dit-il prenant son visage entre ses mains et embrassant son front. A ces mots, Vanessa pleura de plus bel, souriant plus encore. Elle voulait prendre David dans ses bras pour lui témoigner ce bonheur. Mais elle savait qu’elle ne pouvait rien exprimer dans cette position sans son accord. Aussi se retint-elle, même si tout son corps, toute son âme voulait étreindre celui qui la rendait si heureuse. « Reste en position ma novice » lui dit-il, tout en se levant. Il quitta la terrasse et se dirigea à l’intérieur du salon. Quelques instants plus tard David revint, tenant un ensemble d’objets dans sa main, et se réassit en face de Vanessa, toujours en position Nadu, si ce n’est que sa tête était désormais relevée. « Pour commencer, je te demande de tenir un journal de tes expériences, de tes sentiments, de tes ressentis, Vanessa. Chaque jour et en particulier après chaque session ou moment ensemble, je veux que tu écrives, décrives ce que tu as ressenti, ce qui t'a plu, ce qui t'a déplu, ou ce que tu aimerais explorer différemment. Chaque mot que tu écriras nous aidera à construire et à affiner notre relation dans une démarche mutuelle » reprit David. Il lui tendit alors un élégant carnet relié en cuir et un non-moins élégant stylo plume . « Voici pour débuter ton journal, ma belle novice ». Vanessa tendit les mains dans une démarche respectueuse, baissant et relevant la tête en guise de remerciement ; interrogeant David du regard pour savoir si elle pouvait s’exprimer. Comprenant le message silencieux de Vanessa, David fit un signe d’approbation de la tête accompagné d’un « Tu peux t’exprimer ma novice. Je te dirai quand de nouveau observer le silence ». « Merci beaucoup Monsieur ! » dit Vanessa, heureuse de pouvoir s’exprimer. « Ce carnet est magnifique. Souhaitez-vous que je vous fasse part chaque jour de son contenu, Monsieur ? » ajouta-t-elle. « Non ma belle novice. Par contre je dois pouvoir le lire ou t’en demander la lecture à tout instant. Lors de nos séances, tu n’oublieras pas de l’emmener avec toi. » « Bien sûr Monsieur ! » répondit Vanessa. « Dans ce carnet, tu trouveras aussi une liste des positions de base qu’une soumise doit maitriser » reprit David. « Tu en as appris récemment quelques-unes. Tu les apprendras toutes pour le week-end prochain . Je testerai alors tes connaissances.  » ajouta-t-il. « Bien Monsieur ! Je travaillerai ces positions pour les maitriser et vous faire honneur » répondit Vanessa. « J’en suis convaincu ma belle novice » dit David, le sourire aux lèvres. « Voici désormais une clé USB » continua David, la lui tendant. Vanessa mit le carnet de cuir et le stylo plume dans sa main gauche et tendit la paume de sa main droite pour recevoir  la clé. « Tu y trouveras un fichier intitulé « Désirs et préférences » » reprit David. « Je te remercie de le compléter et de me l’envoyer d’ici mercredi soir à mon adresse e-mail que tu trouveras dans le même fichier, en indiquant quelles pratiques tu connais, aimes, souhaites découvrir ; quelles sont celles que tu ne connais pas mais es prête à découvrir ; et surtout celles qui sont pour toi des limites indépassables. Ceci nous servira pour établir ensemble ce que nous désirons explorer. Cela nous servira aussi pour établir un contrat de noviciat entre nous ». « Il en sera fait ainsi, Monsieur » répondit Vanessa. « Bien ma novice » dit David, toujours souriant. « Pour finir, en tant que novice, tu porteras bien sûr avec fierté le collier de cuir que tu as porté aujourd’hui. Mais seulement lors de nos séances. Le reste du temps, tu porteras un collier de tissu bien plus discret, te rappelant ton appartenance, mais insignifiant pour celles et ceux qui ne sont pas avertis. » A ces mots, David saisit un très élégant collier de velours vert, orné d’un bel anneau doré sertissant une pierre verte du plus bel effet, et le présenta à Vanessa. « Le voici ma bien aimée, ma belle novice ». À la vue du collier de velours vert, Vanessa fut submergée d’émotions. Le velours symbolisait avec élégance la douceur de leur lien ; la pierre verte la préciosité de leur relation ; et l’anneau doré son soumission volontaire, son lien indéfectible à celui qui était désormais, elle en était sûre, l’homme de sa vie. Une chaleur se diffusa dans sa poitrine et au sein de son sexe ; un sentiment de fierté et d'appartenance qui se renforça lorsque ses yeux rencontrèrent les yeux de David. Ce collier était certes un bijou d’une rare élégance. Mais il était bien plus que cela. Il était le signe tangible de sa soumission volontaire ; une marque de son identité nouvelle et choisie qui lui rappellerait chaque jour, à chaque moment, qu’elle appartenait à David. « Oh merci Monsieur ! «  s’exclama-t-elle d’une voix douce et pleine de sincérité. « Je le porterai avec fierté et déférence » dit-elle les yeux plein de joie et de remerciement. David lui sourit. « Nous inscrirons ton nom et ton statut à l’intérieur, tout à l’heure. Et je le passerai à ton cou lorsque tu partiras demain matin » ajouta-t-il. A ces mots il déposa le collier de velours sur la table basse et débarrassa les mains Vanessa du carnet de cuir, du stylo plume et de la clé USB,  les déposant à côté du collier. Il prit les mains de Vanessa et les reposa sur ses cuisses, paume ouvertes. « Es-tu heureuse, ma novice ? » lui demanda-t-il. « Oh oui Monsieur ! Très heureuse ! Merci Monsieur ! » répondit Vanessa, les yeux brillant et le sourire aux lèvres. « Es-tu prête à plaire à ton Maitre pour te faire pardonner ta désobéissance ? » A ces mots, Vanessa frissonna. Elle savait que la punition allait venir. Elle la redoutait. Mais en même temps, elle voulait lui plaire ; lui montrer qu’elle voulait devenir cette parfaite novice, cette future soumise parfaite qui le comblerait. « Oui Monsieur ! » répondit-elle avec assurance. « Je mérite cette punition pour vous avoir désobéi. Punissez-moi » réussit-elle à ajouter. Dans un élan de courage et de dévotion elle ajouta :«  Faites de moi ce que bon vous semble, Monsieur …  Je suis à Vous ». Ravi de voir sa Vanessa pleinement dans son rôle, David prit le menton de Vanessa et la fixa de son regard. « Déshabille-toi, petite chienne. Ne garde que ton collier »  lui ordonna-t-il. Sans un mot Vanessa s’exécuta. Tout en restant agenouillée, elle retira sa robe, dévoilant son opulente poitrine dont les mamelons étaient déjà dressés d’excitation, et la tendit à David qui la jeta sur le canapé. Elle retira ses chaussures tout en restant en position. Elle reposa alors ses mains, paume retournées, sur ses cuisses. « Ta bouche et ta gorge ne sont que des sexe toys pour mon plaisir, le sais-tu ? » dit David tout en se levant. Ne sachant si elle pouvait s’exprimer, Vanessa se tut, exprimant un signe d’assentiment de la tête. Lui saisissant les cheveux, tirant sa tête vers lui, David répéta « Le sais-tu, petite chienne ?! Dis-le !». La tête tendue, le visage grimaçant sous la douleur, Vanessa d’une voix gémissante répondit « Oui Monsieur … Je le sais … Je suis à Vous …  Ma bouche et ma gorge sont vos sex toys… Utilisez les à votre guise… Je suis votre chienne … » Vanessa frissonna d’excitation et de crainte lorsqu’elle vit le regard et le sourire lubriques de David à l’écoute de ses mots. David baissa son pantalon et dévoila son sexe tendu. « Fais ton office petite chienne » déclara David, guidant le visage de Vanessa vers sa queue turgescente. Vanessa ouvrit la bouche et prit la queue de David en elle.  L'air nocturne était frais, mais la chaleur entre eux était comme un feu ardent qui la consumait. Le contact rugueux des mains de David dans ses cheveux la ramenait dans le moment présent, lui rappelant sa place dans cette dynamique qu'ils construisaient ensemble. Elle était là pour le servir, lui donner du plaisir pour se faire pardonner son impudence. Elle se concentra sur chaque mouvement, chaque sensation, s'abandonnant à l'acte de donner du plaisir. Ses sens étaient exacerbés par la vulnérabilité de sa position et la puissance du contrôle exercé par David. David, sentant la dévotion de Vanessa, la guidait doucement mais fermement, ses doigts entrelacés dans ses cheveux, dictant le rythme. « Oui … prends ton temps avec ta langue … enroule la autour de ma queue … oui … » Vanessa enserrait la queue de David de ses lèvres, faisant glisser son gland au creux de sa langue, alors que David poussait celui-ci chaque fois un peu plus loin dans sa bouche à chaque va et vient. Lorsqu’il atteignit le fond de sa gorge, Vanessa manqua de s’étouffer. David ressortit sa queue et la regarda avec un mélange d’amour et de domination « Laisse-toi guider, ma petite chienne. Ecoute-moi et nous dépasserons ce moment ensemble » Vanessa, qui reprenait son souffle, opina de la tête et se remit en position, ouvrant la bouche pour reprendre la bite de David. David positionna ses mains de part et d’autre de sa tête. « Mets tes mains dans ton dos. Ouvre ta bouche et laisse-moi te guider.  » Vanessa s’exécuta et s’abandonna totalement, devenant un simple objet sexuel dans les mains de David. David attira la tête de Vanessa vers lui et pénétra sa bouche de son gland violacé d’excitation. « Place ta langue sous ma queue et enroule la pour qu’elle glisse plus facilement … oui voilà c’est bien … ». David faisait aller et venir la bouche de Vanessa sur sa queue, allant chaque fois un peu plus loin. « Respire par le nez. Calmement… voilà … détends toi… » Alors qu’il s’approchait de sa gorge, il regarda Vanessa « Regarde moi ma petite chienne. Je vais déflorer ta gorge. Bloque ta respiration. Bloque ta gorge. Tu vas y arriver. Et n’aie crainte, je suis là pour que tout se passe bien. » Vanessa cligna des yeux en signe d’approbation. Lorsque David dans un mouvement de rein vint taper le fond de sa gorge, dépassant sa luette, elle manqua de nouveau de s’étouffer. Mais David lui maintint la tête en place, en l’encourageant « C’est bien ma petite chienne, oui, c’est bien ». Vanessa était parcourue de spasmes, tremblant des pieds à la tête. Elle manquait de suffoquer. Mais David retira sa queue de sa gorge, la laissant toutefois dans sa bouche. « C’est bien ma bien aimée. Respire du nez … Voilà… » Vanessa retrouvait un brin de sérénité, contrôlant sa respiration, mais salivant abondamment avec cette énorme queue qui remplissait sa bouche. « Reprenons » dit David, et il reprit ses va et viens pour tout à coup s’enfoncer dans la gorge de Vanessa et la maintenir ainsi quelques secondes ; chaque fois un peu plus longtemps. David continua ainsi à plusieurs reprises. Des larmes coulaient des yeux de Vanessa. Un torrent continue de salive s’échappait de sa bouche dans une posture de plus en plus indécente. Sa nuque et sa gorge lui faisaient mal sous les assauts répétés de David. Elle n’était plus qu’un sex toy en effet, utilisée pour le seul plaisir de David. En même temps, elle voyait bien que David restait prévenant, regardant avec attention ses réactions et s’arrêtant dès que cela devenait trop difficile pour elle ; la guidant pour qu’elle accepte plus facilement sa queue dans sa gorge. Et cela lui donnait le courage de continuer. L’excitation de David était à son paroxysme. Il pilonnait la bouche offerte de Vanessa. N’en pouvant plus, il se retira et inonda le visage de Vanessa de longs et épais jets de sperme chaud … gémissant de plaisir d’une voix rauque. Au contact de celui-ci sur sa peau, Vanessa sourit ; heureuse d’avoir comblé le désir de son Maitre ; oubliant sa nuque et sa gorge endolories ; fière d'avoir rempli son office. « Nettoie ton Maitre » souffla David encore tout à son orgasme. Vanessa le reprit en bouche, léchant et avalant chaque goutte du nectar sacré de son Maitre, savourant chaque seconde. Heureuse de lire dans le visage de son David le plaisir qu’elle venait de lui procurer. Si elle était sienne, il était assurément sien ... Elle était sa novice, sa future soumise, et ferait tout pour être sa Sublime ... et il était son maitre, son homme, son Tout ...    (A suivre) Source de l’illustration : dessin de l’artiste Erenisch ++++++++++++
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Par : le 06/10/24
Vanessa prit quelques minutes pour redescendre de cette intense jouissance qui l’avait frappée, le visage enfoui dans le cou de David. Celui-ci lui caressait doucement le visage qu’il couvrait de doux baisers. Elle se sentait en sécurité dans ses bras.  À mesure que son souffle se régularisait, Vanessa émergeait de son état d’extase, sa conscience revenant lentement à la réalité du bar chic autour d'eux. Chaque murmure, chaque rire alentour prenaient une teinte nouvelle, plus nette, comme si son expérience venait d'affûter ses sens. Elle se redressa légèrement, cherchant les yeux de David pour y puiser réconfort et affirmation. David, percevant le mélange complexe d'émotions dans son regard, fierté, plaisir, une touche de rémanence de sa vulnérabilité et de honte, sourit doucement, ses yeux brillant d'amour. « Tu es extraordinaire, Vanessa. Chaque limite que tu explores, chaque barrière que tu franchis avec moi renforce la confiance, le respect et l’amour que j'ai pour toi. N'oublie jamais cela. Et n’oublie jamais que tu es libre de dire non quand tu ne veux pas ou ne te sens pas prête. D’accord mon amour ? » Les mots de David agirent comme un baume sur les dernières traces de honte qui tentaient de s'infiltrer dans l'esprit de Vanessa. Oui, elle avait osé, oui, elle avait exploré des profondeurs de son désir qu'elle n'aurait jamais crues accessible ; et elle en ressortait plus forte, plus en phase avec elle-même. « Je... Je n'aurais jamais pensé pouvoir faire quelque chose comme ça. C'était terrifiant …, mais tellement excitant aussi …, » confessa-t-elle, sa voix encore tremblante d'une vulnérabilité à nue. « J’espère qu’on ne m’a pas vu » souffla-t-elle en recalant son visage dans l’épaule chaleureuse de David. David enveloppa Vanessa d'un bras protecteur, la tenant contre lui tout en scrutant la salle d'un œil calme et assuré. « Regarde autour de nous, Vanessa. Les gens sont absorbés dans leur propre monde, leur propre moment. Et ceux qui ont vu quelque chose, comme ce couple là-bas… » Il inclina discrètement la tête vers un couple de leur âge, élégant, dont les sourires étaient teintés d'une chaleur bienveillante. Vanessa osa à peine lever les yeux, mais quand elle le fit, elle rencontra le regard de la femme, une très belle femme brune aux yeux clairs, qui lui sourit et lui envoya un baiser discret de la main. Le geste était empli d'un enthousiasme tacite, presque complice. Vanessa sentit ses joues s'empourprer de nouveau, mais cette fois, le rouge était mêlé d'une chaleur différente, une sorte de connexion humaine qui transcendait la gêne initiale. Elle répondit timidement par un sourire et renvoya un petit signe de la main, soutenue par la présence rassurante de David à ses côtés. « Ils ont vraiment apprécié, crois-moi, ma belle. Leurs sourires… c'est de l'admiration, Vanessa. De la reconnaissance de ta force et de ta beauté. » Vanessa se tourna vers David, ses yeux brillants d'une lueur nouvelle, une combinaison de reconnaissance et de révélation. « Tout cela est si nouveau pour moi, si incroyable… Je me surprends à aimer ces explorations, ces… audaces. Merci, Monsieur, de me guider, de m'ouvrir à ces nouvelles expériences. Je me sens vivante, … tellement vivante. » David caressa doucement sa joue, ses yeux reflétant son affection profonde et son respect. « Vanessa, chaque pas que tu fais, tu le fais avec une telle grâce et un tel courage. Je suis ici pour te soutenir, pour explorer avec toi, toujours dans le respect de tes limites. Ce que tu ressens, cette exaltation, c'est ton esprit et ton corps qui s'harmonisent avec des désirs que tu n'avais peut-être pas envisagés avant. Et c'est juste magnifique à voir. » Sous la caresse de David et ses mots, Vanessa se sentait à la fois ancrée et prête à s'envoler. Ils créaient ensemble un espace où elle pouvait être elle-même, sans filtre, sans barrières, un espace où la honte n'avait pas sa place, remplacée par une acceptation totale. Ils restèrent encore un petit moment ainsi, les yeux dans les yeux, partageant le silence confortable, les regards, les caresses légères. Le monde autour d'eux continuait de tourner, mais pour Vanessa, ce moment avec David était un univers en soi, un sanctuaire de découverte et d'acceptation. « On y va ? » dit soudain David. Vanessa cligna des yeux dans un assentiment tacite. Ils se levèrent, David prenant Vanessa par la main. David régla les consommations au bar et ils sortirent bras dessus, bras dessous par la terrasse du bar qui donnait sur un parc public au milieu duquel s’étalait un bel étang autour duquel courait un sentier et des arbres majestueux. Le ciel nocturne s'étendait au-dessus d'eux,  un long manteau bleu marine infinie parsemée d'étoiles scintillantes. La lueur de la lune dessinait des reflets argentés sur la surface de l'étang. Leurs pas sur le sentier gravillonné étaient légers, rythmés par le chant discret des criquets et le murmure lointain de la ville. L'air était frais, rempli des parfums de la nuit, herbe humide et fleurs nocturnes. Vanessa, se sentant libérée de toute contrainte sous l'éclat des étoiles, respirait profondément, s'imbibant de la paix de l'environnement. David, en observant son émerveillement, ne put s'empêcher de sourire, puis, subtilement, laissa sa main glisser sur les courbes rebondies des fesses de Vanessa. « Vous les aimez, mes fesses, n'est-ce pas ? » dit-elle, un sourire malicieux aux lèvres, tournant légèrement la tête vers lui. David, ne détournant pas son regard des étoiles, acquiesça avec une expression admirative. « Oh oui, je les adore… Elles sont parfaites, charnelles, rebondies, fermes et délicieusement fendues. Chaque fois que je les vois, je… » Sa voix s’abaissa dans un ton plus cru, « Je pense à combien elles sont délicieusement tentantes, faites pour être adorées, caressées, fessées .. ; et abusées …. Tu as un cul fait pour être vénéré et défoncé » dit-il en le regardant intensément. Vanessa rougit, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres. « J'aime quand vous parlez d'elles comme ça… ça me donne des frissons. » Encouragé par son aveu, David pressa doucement sur le plug, provoquant chez Vanessa un petit sursaut mêlé de surprise et de plaisir. « Peut-être qu'il est temps de le retirer, tu ne crois pas ? » Sa voix était douce, mais remplie d'une promesse taquine. Vanessa acquiesça, le désir évident dans ses yeux. « Oui, Monsieur… je pense que oui. » Ils trouvèrent un banc discret au pied de vieux saules pleureurs, un peu à l'écart des sentiers les plus fréquentés. « Penche-toi at appuie-toi sur le banc, ma belle soumise » lui dit David. Vanessa s’exécuta. David souleva alors sa robe, dévoilant les fesses rebondies de Vanessa. Le plug brillait dans les lueurs de la lune au milieu de ses fesses. David resta quelques secondes admiratif devant tant de beauté. Il s’accroupit, caressant de ses deux mains les magnifiques fesses de Vanessa. Il déposa de doux baisers sur chacune d’entre elles, provoquant des gémissements de satisfaction chez Vanessa. Vanessa frissonnait sous chaque caresse ; chaque baiser déposé sur sa peau déclenchait une sensation de chaleur croissante l'enveloppant alors que David continuait son exploration tendre et audacieuse de ses fesses. Alors qu'il manipulait délicatement le plug, elle pouvait sentir la pression et le frisson de plaisir mêlé à une légère appréhension. « Pousse mon amour » lui dit-il … Vanessa s’exécuta, sentant le plug glisser dans ses chairs et forcer l’entrée, enfin la sortie de son anus … Elle aimait cette sensation délicieusement indécente … Avec un geste doux mais ferme, David retira finalement le plug, provoquant chez Vanessa un mélange de soulagement et de vide qu'elle n'avait pas anticipé. Juste à ce moment, un bruissement derrière eux les fit tous deux sursauter et s'arrêter net. Ils se retournèrent vers la source du bruit et découvrirent le couple du bar. La femme, aux yeux brillants de désir, caressait ouvertement le sexe turgescent de son partenaire qui la regardait avec une intense admiration. Le tableau était à la fois érotique et inattendu, et Vanessa, surprise, sentit son cœur battre plus fort, incertaine de la réaction appropriée. « Oh pardon, ne vous arrêtez pas s'il vous plaît. Vous êtes si beaux, » dit la femme avec un sourire chaleureux et une voix doucement enrouée par le désir. David regarda Vanessa, cherchant son accord ou son rejet, respectueux de ses sentiments. « Que souhaites-tu faire, mon amour ? » demanda-t-il, sa voix empreinte de douceur et de sérieux. Sans un mot, mais avec un regard qui disait tout de sa confiance et de son désir de continuer, Vanessa se remit en position, soulevant elle-même le pan de sa robe. David, toujours attentif et délicat, caressa de nouveau ses fesses avec amour et sensualité. Le couple en face d'eux observait, visiblement captivé par la scène devant eux, leur propre excitation palpable dans l'air nocturne. Chaque caresse de David était comme un pinceau trempé dans une palette de sensations, peignant un tableau de désir sur la toile de son corps. Vanessa sentait chaque toucher résonner profondément en elle, la chaleur se construisant, s'étendant bien au-delà de l'endroit de ses fesses et de là où le plug avait été. « J'aime sentir vos mains sur moi, Monsieur …  j'aime que vous … me montriez, … que vous m'affichiez comme vôtre... je suis à Vous … » murmura Vanessa, sa voix trahissant son abandon. David, encouragé par ses mots et son abandon, intensifia ses caresses, chaque mouvement marqué par un amour profond et un désir brut. Le sexe de Vanessa coulait abondamment … Il se releva soudain baissa son pantalon et dévoila son sexe qui était tendu à l’extrême. Il s’assit sur le banc et dit à Vanessa : « Viens t’empaler sur ma queue, ma petite chienne. Et regarde les » Vanessa, respirant profondément pour rassembler son courage et sa passion, obéit sans hésiter. Elle s'approcha de David, ses yeux fixés sur les siens, reflétant un mélange de désir intense et d'audace naissante. Avec une grâce empreinte d'une érotisme palpable, elle se retourna et se plaça au-dessus de lui et souleva sa robe, ses mains trouvant appui sur les cuisses puissantes de David. Lentement, avec une précision délibérée, elle s'abaissa, guidant le sexe de David en elle, la sensation de plénitude et d'intense satisfaction s'épanouissant en elle à mesure que sa chatte s’écartait et s'ajustait à l’épaisseur de sa queue qui la pénétrait. Le couple voyeur les regardait avec une intensité croissante, leurs propres gestes devenant plus audacieux et moins retenus. La femme, les yeux mi-clos mais ne perdant rien du spectacle que leur offrait David et Vanessa, s’était agenouillée et suçait avec entrain le sexe de son homme dans un rythme qui semblait mimer les mouvements de Vanessa, tandis que l'homme, les yeux rivés sur Vanessa, murmurait des encouragements à peine audibles. Vanessa, maintenant pleinement empalée, avait commencé à bouger ;  d'abord doucement, puis avec une assurance croissante. Chaque mouvement de ses hanches était en harmonie avec les soupirs et les respirations de David sous elle. « Vous les aimez vraiment, mes fesses, n'est-ce pas Monsieur ? » répéta-t-elle, un sourire ludique traversant son visage alors qu'elle avait penché sa tête en arrière, arquant son corps, pour capturer les lèvres de David dans un baiser profond. « Plus que tu ne peux l'imaginer, » répondit David entre les baisers, ses mains fermement posées sur ses hanches, la guidant dans un rythme qui approfondissait leur connexion. « Chaque courbe, chaque contour, est un poème que j'adore lire avec mes mains... et bien plus encore. » Cette conversation, chargée de désir et teintée de l'audace de leur exhibition, un sentiment nouveau pour Vanessa, faisait monter la température de leur interaction à un niveau presque insoutenable. Vanessa, emportée par la sensation et la situation, augmenta le rythme de ses mouvements, chaque descente mettant en évidence la force et la profondeur de leur connexion. Ses fesses claquaient sur le bas ventre de David ; comme si sa chatte voulait avaler à chaque fois plus profondément encore la queue de David. Bien que soumise à David, et fière de l’être, c’est bien elle qui en cet instant dirigeait clairement les ébats. Le couple voyeur ne pouvait détourner leurs regards, leurs expressions trahissant un mélange d'envie et d'admiration. Vanessa se surprenait aussi à être très excitée à la vue de cette femme qui pompait ardemment son compagnon. Submergée par les sensations, Vanessa sentit l'orgasme monter en elle, rapide et irrépressible. Elle accéléra ses mouvements, ceux-ci devenant moins précis mais plus passionnés. David, sentant le changement de rythme, la soutint fermement, ses propres gémissements se mêlant aux siens dans une symphonie d'extase. À mesure que l'orgasme la submergeait, Vanessa se cramponna à David, ses cris de plaisir se mêlant à l'air nocturne. Elle sentit le sperme chaud de David envahir son intimité dans un dernier coup de queue qui laissa le sexe de son Maitre, de son amour, planté en elle et tremblant. Les yeux mi-clos, elle vit le foutre de l’homme voyeur qui couvrait le visage de sa femme et le sourire béat et sincère de celle-ci. Elle s’effondra alors de tout son long sur le corps de David, profitant de manière désinhibée de ce pur moment d’extase et d’abandon. David, aux anges, caressait le ventre et la poitrine douce et soyeuse de Vanessa, la serrant contre lui ; apaisant les derniers tremblements de l'orgasme qui secouait encore son corps. Ils restèrent ainsi enlacés, les bruits nocturnes du parc enveloppant leur intimité. Le couple qui les avait observés se rapprocha doucement, la femme ajustant ses vêtements avec un sourire satisfait. Avant de partir, elle se tourna vers Vanessa et David, leur lançant un « Merci, c'était magnifique de vous voir. Merci infiniment » Sa voix portait un mélange de gratitude et d'admiration, un témoignage sincère de la beauté et de l’intensité de l'instant qu'ils avaient partagé. David et Vanessa les regardèrent s'éloigner, mains entrelacées, disparaissant lentement sur le sentier éclairé par la lune. Vanessa se blottit encore plus contre David, cherchant réconfort dans son étreinte. Elle respirait profondément, chaque inspiration semblant laver les dernières traces de doute ou d'inconfort. « Je ne savais pas que je pouvais ressentir quelque chose d'aussi intense, » murmura-t-elle. David répondit par un baiser sur le front, un geste tendre et rassurant. « C'est la beauté de notre voyage ensemble, » dit-il doucement. « Chaque expérience nous construit, nous définit et nous rapproche encore plus. »   (A suivre) Source de l’illustration : photo libre de droit de l'internet
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Par : le 05/10/24
David reposa Vanessa au sol et l’observa avec une tendresse infinie. « Que dirais-tu de sortir prendre un verre en ville, Vanessa ? J’aimerais te montrer à quel point je suis fier de toi. » Sa voix était douce, invitant à la continuation de leur soirée dans un cadre différent. Vanessa, surprise mais ravie par la proposition, acquiesça, un frisson d'excitation lui traversant le corps. « J’adorerais, Monsieur. » Sa réponse fut prompte, teintée d'une joie évidente à l'idée de continuer cette soirée très spéciale. « Bien, mais je veux que tu gardes le plug qui emplit ton beau cul de chienne ... pour que tu t’habitues à sa présence … pour que tu n’oublies pas cette sensation, pour te rappeler à chaque instant que tu es mienne, même là-bas » ajouta David avec un clin d’œil malicieux. Vanessa sentit une vague de chaleur l'envahir à l'idée de garder ce secret intime alors qu'elle serait parmi d'autres. Cela lui donnait un sentiment de connexion continue avec David, très excitante, voire un peu audacieuse. « Oui, Monsieur » lâcha-t-elle en baissant les yeux. « Puis-je cependant aller prendre une douche et me refaire une beauté, Monsieur » demanda-t-elle. « Bien évidemment ma bien-aimée » répondit David. « Tu sais déjà où est la salle de bains …» ajouta-t-il dans un sourire entendu. Après avoir embrassé David et rassemblé ses vêtements et ses chaussures, Vanessa se dirigea vers la salle de bain pour se doucher. Elle déposa sa robe et ses bas sur la commode en chêne et ses talons au pied de celle-ci. Elle fit couler l’eau de la douche à l’italienne et se dirigea vers le lavabo. En se regardant dans le miroir elle découvrit à quel point son visage était dévasté : il était couvert de traces de son rimmel qui avait coulé sous l’effet de ses larmes ; son rouge à lèvres n’était plus qu’un lointain souvenir, des traces couvrant aussi son visage … Devant le grand miroir qui commençait à s’embuer, elle observait son corps nu : les mamelons de ses seins lourds étaient encore dressés par l’excitation de tout ce qu’elle venait de vivre ; ses fesses étaient rouge carmin, couvertes de stries plus marquées, presque violacées, témoins silencieux de la discipline de David. Aussi paradoxal que cela aurait pu lui paraître auparavant elle était heureuse de voir ce qu’elle voyait. Les marques sur ses fesses, bien que douloureuses, ce visage dévasté, étaient des ornements de sa dévotion, chaque ligne un rappel de son abandon et de sa confiance envers son Maître. Elle se tourna légèrement, le miroir capturant la vue du plug qui dépassait subtilement de son anus. L’objet, bien en place, ajoutait une dimension de possession à son reflet, un secret érotique qu'elle portait en elle. Le diamant en verre qui l’ornait était comme un bijou. À la vue de cela, une onde de chaleur mélangée à une satisfaction profonde traversa Vanessa. Le contact du métal froid contre sa peau intérieure, toujours un peu sensible, éveillait une série de frissons qui parcouraient son échine. Elle passa doucement sa main sur ses fesses, frémissant au toucher des zones endolories. La douleur, maintenant douce et familière, se mêlait aux vibrations du plug à chaque mouvement, renforçant son sentiment d'appartenance à David. C’était une sensation complexe, un mélange de douleur, de plaisir, et d’une profonde satisfaction émotionnelle. Vanessa se sentait fière et incroyablement vivante, consciente du chemin qu'elle et David parcouraient ensemble. Chaque marque, chaque sensation était un fil dans le tissu de leur relation, tissé avec soin et respect mutuel. Vanessa se dirigea vers la douche à l’italienne. L’eau chaude coulant sur son corps semblait laver la fatigue mais ravivait également les sensations de la peau encore sensible de ses fesses. La présence du plug, maintenant une sensation presque rassurante, lui rappelait constamment le contrôle de David sur elle, même en son absence immédiate. Elle sourit … elle adorait cela. « J’ai pensé que tu aurais sans doute besoin de ton sac à mains, ma belle » lança David en entrant dans la salle de bains et en déposant le sac sur la commode en chêne. Vanessa, nue sous la douche, sursauta et instinctivement protégea sa poitrine et son sexe de ses mains. David sourit : « Il n’est rien ici que je ne connaisse déjà ma chérie … » dit-il. « Et il est bien dommage de cacher tant de beautés »  renchérit-il tout en s’avançant vers Vanessa. Se sentant un peu stupide, Vanessa laissa ses mains tomber le long de son corps, offrant pleinement sa nudité aux yeux de David. « Voilà qui est bien mieux. Tu es juste superbe, Vanessa » lui dit David en lui envoyant un baiser de sa main. « Tu trouveras tout ce qu’il te faut dans le meuble sous le lavabo. Je t’attends dans la patio. A tout de suite ma chérie ». Après la douche, Vanessa se sécha avec l’une des longues serviettes en coton moelleux vert pomme qui se trouvaient là. Elle nettoya son visage avec la lotion qu’elle emmenait toujours avec elle dans son sac à mains, s’aidant des boules de coton qu’elle avait trouvées sous le lavabo. Elle refit le maquillage de ses yeux et de ses paupières ; déposa une couche délicate de rouge sur ses lèvres pulpeuses ; et un léger font de teint sur ses joues. Elle enfila un à un ses bas noirs sur ses jambes ; puis sa robe qui tomba sur son corps avec élégance,  mettant en valeur chaque courbe de son corps. Devant le miroir, elle brossa puis ajusta ses cheveux de feu, laissant ses boucles tomber librement sur ses épaules. Elle serra enfin les sangles de ses talons hauts qui allongeaient ses jambes et cambraient plus encore ses fesses. Fin prête et fière de ce qu’elle voyait dans le miroir, elle déposa quelques gouttes de parfum sur son cou et entre ses seins et se dirigea vers le patio. David l’y attendait. Il fumait une cigarette et avait tombé la veste. Elle découvrit ainsi qu’il portait les boutons de manchette qui avaient été à l’origine du début de leur relation ; cette conversation qu’elle n’oublierait jamais et qui avait changé sa vie lors de la soirée d’anniversaire de son amie Mélanie. Aussi ne fût-elle pas totalement décontenancée lorsque David lui intima : « Nadu » Immédiatement, se rappelant de leur première nuit ensemble, Vanessa se mit en position devant lui. Elle déposa son sac à mains sur la table basse, releva légèrement sa robe et s’agenouilla devant David, le dos droit, les mains posées paume ouvertes sur ses jambes écartées, les fesses posées sur ses pieds, la tête baissée. « C’est bien Vanessa. Je vois que tu te souviens bien. Es-tu prête à continuer ou préfères-tu que nous passions le reste de notre soirée dans un mode plus « vanille ? » « Je suis à Vous, Monsieur » répondit Vanessa, ne laissant aucun doute sur son souhait de la tournure de la suite de la soirée par l’utilisation de ces mots. « Bien ma belle, nous continuerons donc notre soirée comme nous l’avons commencée ». répondit David. « Collar me » ajouta-t-il. A ces mots, Vanessa redressa sa tête et vint mettre ses deux mains derrière sa nuque, tendant son cou. « Ma belle Vanessa. Tu as choisi en pleine conscience de devenir mon apprentie soumise, ma novice. Voici ton collier de novice. Tu le porteras avec fierté à ma demande ». Le collier était incroyablement significatif pour Vanessa. Il symbolisait non seulement sa soumission, mais aussi l’affection et la protection de David. Elle le regarda avec attention : c’était un fin collier en cuir noir orné d’un superbe anneau doré. A la vue de ce collier, le cœur de Vanessa se mit à battre la chamade, débordant de bonheur et de fierté. Elle sourit et dit « Oh oui, Monsieur … Merci Monsieur » et tendit son cou plus fortement encore. David s’approcha et plaça le collier autour de son cou, ses doigts effleurant brièvement sa peau, provoquant un frisson chez Vanessa. « C’est aussi pour que tout le monde sache à qui tu appartiens lorsque nous sortirons dehors … comme ce soir …  » murmura-t-il. A ces mots, Vanessa lui sourit. David lui rendit son sourire : « Lève-toi ma bien aimée » ajouta-t-il. Vanessa se redressa. David la prit dans ses bras et l’enlaça. Ils échangèrent un long baiser, mêlant leurs langues avec douceur et délectation. David enfila sa veste et prit Vanessa par la main. Ils sortirent ensemble, main dans la main. La soirée était douce. La brise légère de la soirée caressait agréablement la peau de Vanessa à travers le tissu léger de sa robe noire. Chaque pas avec David à ses côtés renforçait son sentiment d'appartenance et d'exaltation. La présence discrète du plug augmentait son excitation, un secret qu'elle portait fièrement alors qu'ils marchaient ensemble. Tout cela était si nouveau pour elle. Jamais elle ne s’était promenée cul nu en ville. Et encore moins avec un plug ornant son anus. La ville nocturne leur offrait ses lumières et son ambiance vibrante, et Vanessa se sentait comme dans un rêve, flottant dans une bulle d'intimité malgré les rues animées. Elle était consciente de chaque mouvement de son corps, chaque pas un rappel de la soirée intense qu'ils avaient débutée. La sensation du plug en elle était à la fois un confort et une excitation continue, chaque pas renforçant sa conscience de sa propre soumission volontaire à cet homme qu’elle aimait tant. David, de son côté, ressentait une fierté profonde en marchant avec Vanessa à son bras. Il admirait la manière dont elle portait sa robe, sa posture, la confiance avec laquelle elle marchait à ses côtés. Chaque regard qu'ils recevaient des passants était un témoignage de la magnétique présence de Vanessa, et David savourait la reconnaissance de sa beauté et de sa soumission. Il se sentait honoré et respecté. Elle était certes sa soumise, mais elle était avant tout son égale. Et à deux, il formait un Tout qui dépassait de loin la somme de leur deux individualités. Ils arrivèrent bientôt à un bar chic situé dans un hôtel de luxe de la ville. L'endroit, avec son éclairage subtil et son décor élégant, était un cadre parfait pour continuer leur soirée. Le personnel les accueillit avec discrétion et respect, conduisant le couple à une table un peu à l'écart, offrant intimité et confort. Vanessa se sentait à la fois vue et protégée, une combinaison qui ajoutait une couche supplémentaire à son excitation déjà palpable. S'asseyant sur le canapé moelleux devant la table, Vanessa ajusta discrètement sa position pour accommoder la sensation du plug, un petit geste qui lui rappela encore une fois sa condition et les plaisirs de sa soumission. David, observant son léger mouvement, lui sourit avec tendresse et complicité, rassurant Vanessa de son soutien et de son amour constants, ainsi que de sa grande fierté de la voir ainsi à ses côtés. Il prit place à ses côtés et commanda deux coups de Ruinart rosé, le champagne préféré de Vanessa, ainsi qu’une coupelle de fraises. Un serveur apporta les coupes de champagne et les fraises. David saisit une fraise et l’approcha des lèvres de Vanessa. « Ouvre la bouche, ma belle » lui dit David. Vanessa, un peu gênée d’agir ainsi en public, entrouvrit néanmoins ses lèvres, les yeux fixés dans le regard envoutant de David. « Mords en un morceau » ajouta-t-il. Elle mordit avec sensualité dans la fraise. Le jus sucré envahit son palais. David prit le reste de la fraise et la dégusta. Il se sait des deux coupes et tendit à Vanessa sa coupe de champagne. « Bois ma chérie ». Ils portèrent l’un et l’autre les coupes à leurs lèvres et burent une gorgée. Lorsque le champagne pétillant rencontra le jus sucré des fraises encore présent dans la bouche de Vanessa, elle fut enveloppée d'une explosion de saveurs. La douceur des fraises, pleines et juteuses, se mêlait harmonieusement à l'effervescence vive du champagne, créant une sensation à la fois rafraîchissante et exquise. La boisson, légèrement acidulée, accentuait la richesse fruitée des fraises, tandis que les bulles fines picotaient délicatement son palais, lui apportant une sensation de fête et d'élégance. Vanessa, toujours plongée dans le regard de David, savoura ce mélange, sentant chaque bulle éclater sur sa langue, tandis que le goût de la fraise persistait, doux et riche. Elle se sentait comme emportée dans un moment de pure indulgence, un doux interlude dans leur soirée pleine de promesses et de sensations. « Telle est notre relation, ma belle : à la fois douce et sucrée, mais aussi surprenante, acidulée et pétillante » lui dit David, en embrassant sa main. Vanessa sourit à David, reconnaissante pour cette attention délicate et tout ce qu'elle symbolisait dans leur relation complexe et passionnément tissée. La soirée se continua dans une atmosphère de grande complicité.  Alors qu’ils devisaient de choses et d’autres, tout en appréciant une deuxième coupe de champagne, en plein milieu de la conversation David se pencha vers Vanessa et lui murmura à l’oreille : « Ecarte tes jambes ! » Vanessa sursauta légèrement à l'injonction inattendue de David, une onde de chaleur s'emparant d'elle malgré l'élégance environnante du bar. Son visage, un instant parcouru par une ombre de réticence, traduisait sa gêne face à la demande de David alors qu'ils étaient entourés de personnes. "David, euh … pardon … Monsieur, … je... je suis nue dessous," chuchota-t-elle, sa voix tremblante révélant son incertitude. "Nous sommes en public ..." David capta son regard, son expression était un mélange de fermeté et de tendresse. "Je sais, ma chérie. Mais n'oublie pas, tu es à moi. Et je suis toujours ici pour toi," lui répondit-il fermement mais aussi doucement, cherchant à apaiser ses craintes. "Et si jamais tu te sens trop mal à l'aise, pas prête pour cela, rappelle-toi que tu peux toujours dire ton mot de sécurité…. Ecarte tes jambes" répéta-t-il. Vanessa respira profondément, la présence du mot de sécurité lui rappelant qu'elle avait en réalité le contrôle total sur ses limites. Ce rappel lui donnait la force nécessaire pour explorer plus avant les limites de sa soumission, même dans un cadre aussi public. Elle sentait son cœur battre rapidement, l'excitation et l'appréhension se mêlant en un tourbillon d'émotions. Après un moment de réflexion, elle releva les yeux vers David, cherchant du courage dans son regard protecteur. "Je vous fais confiance, Monsieur," dit-elle finalement, sa voix encore hésitante mais décidée. Lentement, elle écarta ses jambes sous la table, le mouvement à peine perceptible pour quiconque n'était pas directement en train de l'observer. La sensation du plug se fit plus présente, un rappel constant de sa soumission et de son appartenance à David. Le frisson de l'audace mêlé à la peur de l'exposition en public créait un cocktail enivrant. Vanessa sentit le mélange de fraise et de champagne dans sa bouche se transformer en une métaphore parfaite de leur relation : doux mais audacieux, risqué mais excitant. Elle était enveloppée dans une bulle d'intimité avec David, malgré les regards occasionnels des autres clients du bar. Sa décision de se conformer aux désirs de David malgré son inconfort initial renforçait leur lien, chaque acte de soumission forgeant un peu plus profondément son identité en tant que partenaire dévouée dans leur dynamique de pouvoir et de soumission consentie. David, reconnaissant l'effort et la confiance de Vanessa, lui sourit avec admiration et tendresse. "Tu es magnifique, ma chère," murmura-t-il, sa main trouvant la sienne sous la table, la serrant doucement pour lui communiquer son soutien et son amour. Dans cet échange silencieux, ils partageaient un moment de parfaite communion, le monde extérieur s'estompant jusqu'à devenir un murmure lointain. « Caresse toi maintenant » Vanessa sentit son cœur s'accélérer sous la nouvelle demande de David. L'audace de l'instruction, combinée à la vulnérabilité de sa position, la plongea dans un dilemme intérieur profond. Elle regarda autour d’elle, comme affolée, scrutant les visages des autres clients, cherchant des signes d’observation ou de jugement. L'élégance discrète du bar, cependant, semblait envelopper chaque table d'une sphère privée, offrant une illusion de solitude même dans cet espace public. « Je... Monsieur, je ne suis pas sûre, » murmura-t-elle. Son visage s’était empourpré, le rouge colorant ses joues alors qu'elle luttait contre ses propres limites. Son esprit se débattait entre le désir d'obéir et la peur, le tabou de l'exposition publique. David resserra légèrement sa prise sur sa main, un geste de soutien et d'encouragement. "Vanessa, regarde-moi," dit-il doucement. Ses yeux étaient pleins de compréhension et de commandement, un phare dans ses turbulences internes. « Je suis là avec toi, à chaque instant. Et si c'est trop, tu n'as qu'à le dire. »  Le rappel de sa sécurité et la confiance absolue qu'elle avait en David solidifièrent sa résolution. Vanessa prit une profonde inspiration, se rappelant les nombreuses fois où David avait guidé et pris soin d'elle. Elle sentit un nouveau souffle de courage l'envahir. Lentement, presque imperceptiblement, elle laissa son autre main glisser de la table à ses genoux, puis plus haut, sous la robe. La sensation de sa propre main sur sa peau nue sous la table, alors qu'elle caressait doucement ses cuisses, fit monter une nouvelle vague d'excitation. Le tissu de sa robe glissa silencieusement contre sa peau, cachant ses mouvements aux yeux des autres. Vanessa sentait chaque caresse comme un écho à la fois réconfortant et transgressif, un doux frisson qui contrastait avec la chaleur de la salle. David observait attentivement Vanessa, déposant de doux baisers dans son cou, son visage exprimant fierté et admiration. "Continue, ma belle," murmura-t-il, sa voix un velours sombre qui se fondait dans les murmures du lieu. Sa présence, à la fois dominante et rassurante, enveloppait Vanessa d'un sentiment de sécurité. Le contact de sa propre main, guidée par les mots de David, l'encouragea à explorer davantage, à flirter avec les limites de ce qu'elle n'aurait jamais pensé possible en public. Sa main atteint son sexe. Il ruisselait déjà de désir. La sensation du plug en elle devenait en outre un rappel constant de sa soumission et de son lien avec David. Chaque mouvement discret renforçait son excitation, un secret partagé uniquement entre eux deux, caché en vue de tous. À mesure que Vanessa s'abandonnait à ses caresses discrètes sur sa vulve et son clitoris, elle se laissa aller à la sensation de liberté que lui procurait l'acceptation de sa vulnérabilité. Le mélange de peur et d'excitation se transforma en un puissant sentiment de libération. Elle était simultanément exposée et protégée, obéissante et affirmée, vivant pleinement le paradoxe de leur dynamique de pouvoir consentie. Ses limites fondirent comme neige au soleil. David, voyant Vanessa s'épanouir dans l'acceptation de sa demande, lui sourit avec une affection profonde. « Tu es incroyable, Vanessa. Chaque moment avec toi est un cadeau précieux. » A ces mots, Vanessa pressa son clitoris et partit en un orgasme fulgurant. Elle réprima son cri de jouissance en enfouissant sa tête dans le cou de David, son corps tremblant sous l’effet du plaisir qui la parcourait.   (A suivre) Source de l’illustration : création de MaitreJeanM assistée par IA
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Par : le 04/10/24
David resta à genoux derrière Vanessa, observant attentivement son corps s'acclimater à la présence du plug. Il posa doucement ses mains sur ses hanches, ses pouces caressant les courbes tendues par la position. Il se pencha en avant, son souffle chaud contre sa peau. « Comment te sens-tu ma belle chienne ? » chuchota-t-il, sa voix basse empreinte d’un mélange de tendresse et de vice. Vanessa, les yeux fermés, se concentrait sur les sensations qui parcouraient son corps. « C'est différent … mais je me sens bien … Monsieur, » murmura-t-elle, un frisson traversant son échine sous l'effet de sa voix. Encouragé par sa réponse, David commença à explorer plus avant. Sa main gauche continua de masser doucement son cul endolori, tandis que l'autre glissait vers l'avant pour caresser délicatement son ventre, descendant progressivement vers son pubis. Ses doigts effleurèrent son clitoris avec une légèreté presque aérienne, provoquant des soubresauts de plaisir chez Vanessa. De son autre main David exerçait des pressions régulières sur le plug … le poussant plus avant dans les entrailles de Vanessa … puis le laissant se remettre en place … Vanessa gémissait doucement, ses mains crispées dans le bois du pilori, ses sens exacerbés par le contraste entre la douceur de ses caresses et la fermeté du plug qui emplissait et écartait son cul. David augmenta la pression de ses doigts, dessinant des cercles précis et insistants autour de son clitoris, et accélérant les poussées de va-et-vient du plug …  « Lâche-toi … laisse-toi aller à ces sensations, … ma belle chienne, » lui dit David, chaque mot une caresse, un ordre aussi puissant que ses touchers. Vanessa se sentait flotter dans un espace où seule la voix de David et ses caresses existaient. Le monde extérieur avait disparu, laissant place à une bulle de sensation pure. La pression en elle montait, construite soigneusement par l'alternance des caresses de David entre son clitoris et le plug. Elle commençait à pousser doucement son bassin contre ses mains, gênée par ses jambes et ses mains entravées, manquant parfois de perdre l’équilibre,  cherchant plus de contact, plus de friction, plus de pénétration. Soudain, David retira ses mains, laissant Vanessa haletante et suspendue à l'orée d'un plaisir intense. Dans un murmure brisé par la frustration, Vanessa laissa échapper : « Non … Mais pourquoi vous arrêtez-vous, …. Monsieur ? … ». Au moment même où elle allait finir sa phrase, sa voix se fit plus douce, plus hésitante, presqu’inaudible, comme si elle voulait rattraper et reprendre en gorge chacun des mots prononcés, consciente qu’elle venait de commettre un impair. David s’approcha d’elle et la fixa droit les yeux, son expression se durcissant légèrement. « Vanessa, tu as pris la parole sans permission. Cela mérite une punition, » dit-il d'une voix ferme, ses mots précis comme des lames. Vanessa sentit une vague d'appréhension mêlée à un frisson de culpabilité. Elle acquiesça doucement, baissant la tête en signe de repentir : « Oui … pardon Monsieur » souffla-t-elle. Il se dirigea vers le côté de la pièce, où il sortit du coffre en bois d’ébène une petite palette en bois clair, polie mais austère. Revenant vers elle, il glissa sa main sous son menton, la forçant à lever les yeux vers lui. « Comme tu en as pris l’habitude, tu vas compter chaque coup, petite effrontée » dit-il doucement mais avec une autorité indiscutable. Il se positionna derrière elle et sans autre avertissement, la palette s'abattit avec un claquement sec contre sa fesse droite déjà endolorie. Vanessa hurla sous le coup. La douleur était aiguë, se répandant comme un feu à travers les marques précédentes. David attendit, regardant d’un coin de l’œil comment réagissait Vanessa. « Un, … merci Monsieur, » dit-elle d’une voix tremblante mais claire. David ne tarda pas à administrer le second coup, cette fois sur sa fesse gauche, équilibrant la douleur qui s'étalait maintenant comme une onde sur les deux côtés de son cul rebondi. La sensation brûlante amplifiait l'intensité de la punition, rendant chaque respiration de Vanessa un peu plus sifflante. « Deux... Merci, Monsieur, » articula-t-elle, la voix brisée par l'effort de retenir les larmes. Le troisième coup tomba, plus fort, faisant vibrer chaque nerf en éveil. Vanessa se mordit la lèvre pour ne pas crier, ses yeux se remplissant de larmes. « Trois... Merci, Monsieur, » murmura-t-elle, sa résilience testée mais pas brisée, ses pensées flottant entre la douleur et une profonde acceptation de sa soumission. « Comprends-tu pourquoi tu es punie, petite chienne ? » demanda David d’une voix ferme mais douce, sa main caressant maintenant la zone rougie de ses fesses comme pour apaiser la douleur. Vanessa, le souffle court et les yeux baigné de larmes, prit une grande respiration avant de répondre. « Oui, Monsieur... J'ai désobéi … J'ai parlé sans permission » Le quatrième coup tomba dans la seconde qui suivit, comme un écho des précédents, renforçant la chaleur ardente qui semblait maintenant envelopper toute la région de son bassin. « Quatre » hurla Vanessa dans une respiration saccadée… ses mains crispant le bois du pilori, cherchant quelque chose à quoi se raccrocher. La douleur était intense et l’embrasait. Elle reprit son souffle et répéta « Quatre », ajoutant « Merci, Monsieur … ». « A quoi cela sert-il de te punir, ma petite chienne ? » demanda alors David d’une voix forte. Vanessa, encore sous l'effet tumultueux de la douleur et des émotions, essaya de rassembler ses pensées pour répondre de manière appropriée. Elle sentait la chaleur de chaque coup s'entremêler avec une montée d'adrénaline, mêlant paradoxalement douleur et une sorte de clarté mentale accrue. « Cela sert à me rappeler les règles, Monsieur. … A m'éduquer, à m'assurer que je reste obéissante et attentive à vos désirs, Monsieur. » commença-t-elle. « Cela me montre que je dois toujours respecter vos commandements… que … que …. » … Vanessa hésita à prononcer ces mots, mais la dernière barrière mentale céda et elle reprit … «  que je suis votre petite chienne soumise, heureuse d'être dressée par vous … mon Maître … » continua-t-elle avec un mélange de fierté et de soumission, sa voix tremblante mais ferme. David, fier d’elle et profondément satisfait de sa réponse, prépara le cinquième coup. Il s'abattit avec précision sur l'autre fesse, la douleur se répercutant comme une onde profonde à travers tout son corps. « Cinq... Merci, Monsieur, » gémit Vanessa, ses larmes coulant librement maintenant, marquant des sillons sur ses joues déjà humides. La douleur était intense, mais elle y trouvait une étrange forme de soulagement, un renforcement de sa résolution à endurer, à accepter, et même à chérir ce rituel de discipline. Le dernier coup, le sixième, fut donné avec une force mesurée, comme pour sceller leur pacte de domination et de soumission. L'impact résonna en elle, vibrant dans chaque fibre de son être. « Six... Merci, Monsieur, » articula-t-elle, sa voix cassée par l'effort, les larmes coulant encore plus, mais avec elles, un sentiment de libération et de connexion profonde avec David. Les coups terminés, David s’approcha et posa sa main avec douceur sur la joue couverte de larmes de Vanessa, inclinant légèrement sa tête pour capturer son regard. « Tu as bien supporté ta punition, ma belle chienne. C'est bien. Je suis honoré et fier. Tu montres que tu es plus que digne de l'amour et de l'attention que je te porte. Rappelle-toi toujours pourquoi tu es punie et ce que cela signifie pour notre relation, » dit-il, sa voix maintenant empreinte de douceur et de tendresse. Vanessa, respirant profondément, sentait les derniers soubresauts de douleur se mêler à un sentiment de fierté et de profonde affection pour son Maître, son David. Elle se sentait comme purifiée par l'expérience, renouvelée dans son engagement à lui et à leur mode de vie choisi. Les larmes qui continuaient de couler n'étaient plus seulement de douleur mais aussi de gratitude et de bonheur, d'être précisément là, avec lui, liée par plus que de simples entraves ou des règles, mais par un lien indélébile et indéfectible d'amour et de confiance. « Oui, Monsieur, je comprends… je suis heureuse de vous appartenir, » murmura-t-elle, son cœur plein d'un amour inconditionnel pour l'homme qui la dominait, mais qui, dans chaque geste, chaque parole, lui montrait combien elle était précieuse à ses yeux. David acquiesça, ses yeux brillants d'approbation et d’amour. « Tu apprends vite, ma dévouée. Et pour cela, tu seras récompensée, » murmura-t-il, inclinant son visage vers le sien pour capturer ses lèvres dans un baiser qui scellait leur échange, un baiser qui parlait d'amour, de pouvoir, de soumission et d'une promesse éternelle de soin et de respect mutuel. Se levant, David vint libérer les chevilles de Vanessa de l’entrave. Il ne put s’empêcher de contempler avec délectation le cul rouge vif, strié des coups de badine, de sa belle. Il y posa ses mains. Vanessa sursauta et gémit. Ses fesses étaient brulantes. Il se dirigea vers un petit meuble en bois sombre dans le coin de la pièce et en sortit un flacon de crème apaisante.  Revenant vers Vanessa, il ouvrit doucement le flacon, et ses doigts enduits de crème touchèrent la peau enflammée de ses fesses. « Tu vas sentir une certaine fraîcheur, mais ça va apaiser la brûlure, » murmura David. Il étala la crème avec délicatesse, massant doucement les zones endolories. Chaque touche apportait un soulagement immédiat à la peau brûlante de Vanessa, et elle ne put s'empêcher de laisser échapper un soupir de contentement à chaque mouvement circulaire de ses mains. Les mains de David étaient fermes mais tendres, chaque pression dissipant un peu plus de la douleur accumulée, remplaçant l'ardeur des coups par une sensation de guérison et de tendresse. Vanessa sentait la tension s'évaporer sous l'effet des mains expertes de David. La douleur laissait place à un confort croissant, ses muscles se détendant progressivement, et son esprit s'apaisant après l'orage émotionnel et physique qu'elle venait de traverser. Chaque geste de David renforçait leur lien, lui rappelant qu'au-delà de la discipline, il y avait un soin profond et un amour inconditionnel. Les larmes qui coulaient encore doucement sur ses joues n'étaient plus des signes de douleur mais des témoignages de gratitude pour la sensibilité et l'attention que David portait à son bien-être. Elle se sentait chérie, valorisée et incroyablement connectée à lui, chaque caresse sur sa peau meurtrie lui rappelant qu'elle était à la fois protégée et aimée. « Est-ce que cela te fait du bien ? » demanda David « Oui, Monsieur, beaucoup… Merci, Monsieur, » répondit Vanessa avec une douceur empreinte de vénération. Son ton portait la marque d'une soumission joyeuse et d'une confiance absolue en l'homme qui avait désormais la responsabilité de son corps et de son cœur. Après avoir fini le massage apaisant des fesses de Vanessa, David vint la libérer du pilori. Vanessa se redressa avec difficulté. David la saisit par la nuque et le cou et l’embrassa avec passion ; elle se colla contre lui, dans un abandon total. David caressa doucement les cheveux flamboyant de Vanessa, son regard plongeant dans le sien, cherchant à comprendre les profondeurs de son âme. Il lécha ses larmes et baisa ses yeux et sa bouche. « Parle-moi, Vanessa. Dis-moi ce que tu ressens maintenant, tout ce que tu découvres en toi. » lui dit-il. Vanessa, les yeux brillants d'émotions mêlées, pris une profonde inspiration, cherchant ses mots avec soin, voulant transmettre tout ce qu'elle ressentait. « Monsieur... je découvre des parts de moi que je ne connaissais pas. Je ressens... une joie profonde à être soumise à vous. C'est étrange, mais j'aime cela, j'aime être à vous, j'aime... » Sa voix trembla un instant, mais elle se reprit, une détermination claire dans son ton. « J'aime même quand vous m'humiliez, quand vous utilisez ces mots... crus. Ils me font frissonner, mais d'une manière que je n'aurais jamais imaginée. » David écoutait attentivement, ses mains posées sur ses fesses charnues et encore chaudes. « Et cela te rend heureuse, ma belle petite chienne ? » lui demanda-t-il. « Oh oui, Monsieur, plus que je n'aurais jamais cru possible. » Vanessa sourit doucement, une lueur de révélation dans les yeux. « Et je sens... je sens que vous m'aimez aussi, pas seulement en tant que maître, mais... » David acquiesça doucement, un sourire tendre formant sur ses lèvres. Il la souleva de terre et la prit dans ses bras. « Oui, Vanessa, je t'aime. Profondément. Passionnément. » Vanessa sentit son cœur battre plus vite, ses propres sentiments reflétés dans ses mots. « Je suis heureuse ici, … avec vous … dans cette pièce … et ailleurs. Heureuse et honorée d'être celle que vous choisissez de guider, de punir, d'aimer... Je souhaite que vous fassiez de moi tout ce que vous voulez. Je suis à vous, totalement …» David l'attira plus près, son étreinte exprimant toute la force de son engagement et de son désir. « Et je te chérirai, te guiderai et t'aimerai avec toute la force de mon être. Je ferai de toi ma Princesse et ma Putain, ma Sublime. Tu es précieuse pour moi, Vanessa, ma dévouée, ma soumise, ma bien-aimée, ma Merveille Infinie d'Amour. » Les mots de David enveloppèrent Vanessa d'une chaleur rassurante, consolidant leur lien déjà fort. Elle se blottit contre lui, s'imprégnant de sa présence, de son amour, se sentant complète dans cet échange de pouvoir, de douleur et d'amour profond.   (A suivre) Source de l’illustration : dessin de l'artiste Erenisch
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Par : le 03/10/24
Le visage de Vanessa était un tableau de contrastes intenses. Ses joues étaient striées de larmes, des traces brillantes soulignant la courbe de son visage et se mêlant à des lignes noires où son rimmel avait coulé. Ses yeux, encore humides de pleurs, étaient bordés de cils épais, alourdis par le maquillage qui avait perdu sa perfection délicate initiale. Pourtant, au milieu de ce chaos, elle était resplendissante. Son sourire, large et sincère, illuminait son visage, trahissant une joie profonde et une satisfaction qui transpirait de chaque pore de sa peau. Ses lèvres, légèrement tremblantes, brillaient de bonheur ; tandis que ses yeux, malgré la fatigue et les larmes, scintillaient d'une lueur nouvelle … celle d'une femme qui venait de s'abandonner entièrement et en ressortait plus forte, plus radieuse que jamais. Nue au milieu du cercle, éclairée par les bougies le formant, la tête posée sur l’épaule accueillante et protectrice de David, Vanessa sursautait légèrement alors que David tout en embrassant son front lui caressait le cul. Vanessa sentait toujours la brûlure vive et persistante envahir ses fesses, une chaleur intense qui semblait pulser avec chaque battement de son cœur. La peau de ses fesses était hypersensible, chaque mouvement, chaque frémissement exacerbant la douleur, mais aussi l’étrange plaisir qui y était associé. C’était une douleur qui irradiait, se diffusant lentement dans tout son corps, la faisant se cambrer instinctivement pour essayer de soulager l'inconfort, sans y parvenir vraiment. Pourtant, cette douleur n’était pas purement punitive ; elle avait quelque chose de profondément électrisant, une sorte de feu qui la consumait et l’excitait à la fois. Chaque picotement, chaque sensation brûlante la ramenait à l'instant présent, à l'acte d’abandon total qu’elle venait de vivre. La douleur avait été graduelle et de plus en plus intense et restait présente bien que s’apaisant peu à peu ; mais au-delà de celle-ci, il y avait une fierté nouvelle, une satisfaction intime d’avoir traversé cette épreuve pour lui, pour son Maître. Et au milieu de cette chaleur lancinante, elle sentait un désir croissant, une envie presque incontrôlable de plus, de se plonger encore plus profondément dans cette dynamique de soumission et de plaisir. David murmura doucement à l'oreille de Vanessa, sa voix empreinte d'une douceur qui contrastait avec l'intensité des moments précédents. "Veux-tu continuer, ma dévouée ?" demanda-t-il, ses mots caressant son âme comme ses mains sa peau sensible. Vanessa, malgré la brûlure persistante sur ses fesses, n'hésita pas un seul instant. Son cœur battait toujours à un rythme effréné, mais au-delà de la douleur, elle ressentait une connexion profonde avec David, une sensation de se trouver exactement là où elle devait être. "Oui, Monsieur," répondit-elle d'une voix qui, bien que faible, était empreinte d'une détermination claire. David, satisfait de sa réponse, se redressa légèrement et prit sa main, l'entraînant vers un coin sombre de la pièce. Il appuya sur un bouton qui fit s’éclairer cette partie de la pièce. Là, un lit à baldaquin se dressait majestueusement, ses colonnes en bois sombre sculpté montant vers le plafond, soutenant des drapés épais de velours rouge sombre. Le lit était large, avec une couverture en soie d'un noir profond, contrastant avec les drapés rouges qui encadraient l'espace de manière presque théâtrale. À l'extrémité du lit, se trouvait un pilori, un cadre en bois massif, patiné par le temps, ses contours adoucis par les années, mais imposant, témoignant d'une solidité rassurante. Vanessa sentit une vague de chaleur l'envahir en voyant cet instrument de soumission, son cœur battant plus fort à l'idée de ce qui allait suivre. Chaque pas vers le pilori amplifiait son excitation et sa vulnérabilité. Le bois, bien qu’ancien, dégageait une certaine noblesse. David guida Vanessa avec une fermeté douce jusqu'à ce cadre. Il prit le temps de caresser ses épaules, ses mains glissant avec une précision mesurée jusqu'à sa nuque pour mieux l’enserrer, où il la guida doucement pour qu’elle place sa tête dans l’ouverture centrale du pilori. Vanessa ressentit un mélange de frissons d’appréhension et de d’excitation tandis qu'elle inclinait la tête sous la pression ferme de la main de David enserrant sa nuque, se préparant à ce nouvel abandon. Ses poignets trouvèrent tout aussi naturellement leur place dans les ouvertures latérales, ses mains tremblant légèrement sous l’effet de l’excitation. Le bois contre sa peau était froid, offrant un contraste saisissant avec la chaleur brûlante qui subsistait sur ses fesses. Vanessa ressentait une étrange tranquillité mêlée d’un désir ardent, comme si chaque cellule de son corps acceptait cette soumission avec un mélange d’impatience et de sérénité. Le claquement sec du pilori se fermant autour de son cou et de ses poignets la fit frissonner, un sursaut d’adrénaline envahissant son être. Elle était maintenant totalement immobile, enfermée dans cette position de soumission absolue, son corps tendu vers l’avant, ses fesses offertes de nouveau, ses seins lourds pendant du fait de la gravité ; les bras et la tête attachés, ne lui laissant d’autre choix que de se soumettre à ce qui allait suivre. Les sensations dans ce pilori étaient paradoxales. Elle se sentait à la fois piégée et protégée, à la merci de David ; mais en même temps, portée par une confiance totale en lui. Elle pouvait sentir chaque battement de son cœur résonner dans ses oreilles, amplifié par le bois entourant sa tête. La position accentuait sa vulnérabilité, mais cette vulnérabilité était précisément ce qu’elle recherchait, ce qui la faisait vibrer de l’intérieur. David se déplaça lentement derrière elle. Il ne put s’empêcher d’admirer le corps de Vanessa. Les courbes de Vanessa dessinaient une silhouette pleine de grâce et de volupté, ses hanches délicatement arrondies se fondant dans la cambrure de son dos, accentuant la douceur de sa taille. Ses seins, fermes et généreux, étaient comme deux pamplemousses dont on n’avait juste envie de goûter le nectar et la douceur, tandis que ses fesses pleines et rebondies appelaient au toucher … chaque ligne de son corps évoquait une sensualité naturelle et irrésistible. Face à tant de beauté David ne put réprimer un sourire de bonheur. D’un superbe coffre en bois d’ébène, il sortit une entrave rigide d’un bon mètre recouverte d’un cuir noir de noble facture se terminant à ses deux extrémités par deux chevillières du même cuir. David se pencha, sa main effleurant doucement le bas du dos de Vanessa, avant de glisser lentement vers ses chevilles. Avec des gestes précis et mesurés, il passa la première boucle autour de la cheville gauche de Vanessa. Il resserra doucement la sangle, la laissant parfaitement ajustée, ni trop lâche ni trop serrée. Vanessa frissonna sous ce contact, sentant la pression légère du cuir contre sa peau. La sensation était curieusement apaisante, comme une extension de l'abandon qu'elle ressentait déjà. Chaque nouveau lien la rendait un peu plus consciente de sa propre soumission, accentuant ce mélange d'appréhension et d'excitation qui la consumait de l'intérieur. David se déplaça lentement vers l'autre cheville, posant cette fois-ci une main rassurante sur sa jambe, ses doigts glissant délicatement sur la peau fine avant de fixer la seconde boucle. Vanessa sentit immédiatement la contrainte physique, la rendant encore plus consciente de son état de soumission. Ses jambes étaient maintenant largement écartées, exposant davantage son intimité à son Maître, et cette pensée seule fit monter une chaleur encore plus intense en elle. David se plaça à genoux juste derrière elle, son souffle chaud caressant délicatement la peau sensible de ses fesses encore marquées par la badine. D’un geste doux mais ferme, il posa ses mains sur ses hanches, ses doigts glissant sur sa peau avec une précision contrôlée. Il descendit lentement, ses paumes se plaçant de chaque côté de ses fesses généreuses, avant de les écarter doucement. Le contraste entre la fermeté de ses gestes et la tendresse de son toucher provoqua un frisson immédiat chez Vanessa, qui se tendit légèrement sous l'effet de cette nouvelle sensation. David observait en silence, admirant l'intimité offerte de Vanessa, son souffle se faisant plus profond. Ses mains, larges et puissantes, encadraient ses fesses, les écartant lentement pour révéler toute sa vulnérabilité. Il resta ainsi un instant, appréciant la vue et la réaction de son corps, avant de murmurer d’une voix rauque : « Tu es parfaite, ma dévouée… » David savourait la vue qui s’offrait à lui. La fleur de Vanessa s'épanouissait avec une délicatesse infinie, comme une rose encore couverte de rosée, ses pétales d'une douceur satinée s'ouvrant lentement sous le souffle chaud de la passion. Ses contours, à la fois subtils et généreux, offraient une symphonie de textures et de courbes, où chaque frémissement révélait une sensibilité cachée, prête à éclore. Au centre, telle une gemme précieuse, son cœur palpitait, vibrant d'une chaleur intime, irradiant une beauté aussi fragile qu'envoûtante, comme la promesse d'un plaisir infini et tendre. Vanessa ressentit un frisson intense lorsque la langue de David explora délicatement sa fleur épanouie, chaque passage éveillant un mélange de douceur brûlante et d'excitation palpitante. L'attention minutieuse de David suscitait en elle une cascade de sensations, amplifiant chaque frémissement de plaisir qui parcourait son corps en résonance avec le toucher tendre et explorateur de son Maitre. Dans un mouvement continu David vint explorer son intimité la plus profonde … Lorsque David pratiqua une feuille de rose sur Vanessa, elle ne put s’empêcher de retenir un petit cri : elle éprouva une onde de sensations nouvelles et intensément intimes. La douceur inattendue de sa langue contre la délicate zone provoqua en elle un frisson qui se propagea en vagues puissantes à travers tout son corps. Chaque contact était un mélange de surprise et de plaisir, transformant chaque souffle en un murmure de désir accru, tandis qu'elle se laissait submerger par cette expérience sensuelle et profondément personnelle. Vanessa avait jusqu’alors un tabou profond pour cette zone de son corps. Elle n’avait jamais laissé ses précédents amants accéder à cette partie de son corps qu’elle trouvait « sale ». Alors laisser son amant embrasser son anus, le laisser le lécher, l’explorer de sa langue … cette idée lui était plus qu’étrangère. Elle était jusqu’alors bannie de son esprit. Mais là, bizarrement, elle se laissait faire. Elle pouvait à tout moment tout arrêter ; elle en avait le pouvoir. Mais non seulement elle ne voulait pas arrêter, mais plus encore elle souhaitait qu’il continue. Chaque coup de langue de David, chaque introduction de son intimité par la langue agile de David était un émerveillement, une découverte qui la faisait fondre de plaisir. La honte qui aurait été la sienne il y a encore quelques temps laissait place à un plaisir jusqu’alors inavoué. David se releva et vint se placer à côté de la tête de Vanessa et lui murmura : « As-tu déjà été enculée, ma belle petite chienne ? » Les mots crus de David excitaient Vanessa de plus en plus. Elle frissonnait à chaque syllabe, chaque mot prononcé renforçant l'intensité de son désir, éveillant en elle un mélange de nervosité et d'excitation profonde. Elle se surprenait même à adorer cela. Elle adorait ce mélange d’amour et d’humiliation. Elle aimait qu’il l’aime et qu’il la traite de chienne dans leur moment de domination et de soumission. Mais avec cette question, c’est aussi un frisson parcourut Vanessa de la tête aux pieds, ses muscles se tendirent sous l'effet de la surprise et d'une appréhension soudaine.  Vanessa prit une profonde inspiration, son cœur battant si fort qu'elle craignait presque qu'il soit audible. Ses yeux, emplis d'une lueur d'appréhension mélangée à une confiance inébranlable en David, rencontraient les siens. « Non, Monsieur, » sa voix tremblait légèrement, mais elle parvenait à maintenir un ton résolu. « Je... je suis vierge … de ce côté-là. » Elle déglutit, cherchant à rassembler son courage tout en se demandant comment David réagirait à cette révélation.   David observa Vanessa, ses yeux scrutant les moindres détails de son expression, cherchant à y déceler toute trace de peur ou d'hésitation. Il s'agenouilla pour être à la hauteur de son visage, sa main caressant doucement sa joue. « Es-tu prête à explorer cette nouvelle expérience avec moi, ma dévouée ? » demanda-t-il, sa voix basse et rassurante. Vanessa acquiesça, une lueur d'excitation mêlée de nervosité brillant dans ses yeux. "Oui, Monsieur, je vous fais confiance, » répondit-elle, sa voix à peine audible mais ferme. « Je vous appartiens … » David lui sourit doucement, touché par sa confiance. « Je prendrai soin de toi, avec amour. N'hésite pas à me dire si tu veux arrêter, à tout moment, » lui rappela-t-il en maintenant son regard dans le sien pour accentuer la sincérité de ses mots. Il se redressa et attrapa une petite bouteille d'huile, la réchauffant entre ses mains avant de commencer à l'appliquer délicatement autour de l'anus de Vanessa. Ses doigts agiles et doux massèrent la zone, la détendant progressivement. Vanessa sentait chaque frôlement de ses doigts, chaque mouvement circulaire qui lui apportait à la fois détente et une excitation croissante. Après quelques instants, David sorti du coffre prit un petit plug anal se terminant par une forme de diamant de couleur rouge rubis. Il le présenta à Vanessa. « Nous allons débuter tout doucement. Ceci va t'aider à te détendre et à t'habituer, » expliqua-t-il doucement en montrant l'objet à Vanessa. Il enduisit le plug d'huile, le rendant luisant et glissant. Il alla se placer derrière Vanessa. « Respire profondément et détends-toi, » murmura-t-il alors qu'il commençait à placer le plug à l'entrée de son anus. Vanessa prit une grande respiration, se concentrant sur la sensation de pression douce alors que David insérait lentement le plug, son autre main caressant son bas du dos pour l'apaiser. « Très bien, ma chérie, tu le fais parfaitement, » la complimenta David, une fois le plug bien en place. Vanessa, bien que tendue, se sentait étrangement comblée et rassurée par les soins méticuleux de David. Le sentiment d'être remplie ainsi était nouveau, étrange, mais pas désagréable. Elle se sentait plus ouverte, plus vulnérable et pourtant protégée et choyée. Elle était aussi remplie de fierté de lui offrir ce cadeau.   (A suivre) Source de l’illustration : image libre de l’internet
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Par : le 22/09/24
Vanessa sentait son cœur s'accélérer alors qu'elle observait David, son allure imposante et élégante la captivant complètement. Dans cette position d’Inspection, elle se savait vulnérable, exposée, mais en même temps, elle ressentait une fierté inattendue à l'idée d'être ainsi scrutée par lui. La sensation de l'air frais sur sa peau nue contrastait avec la chaleur qui montait inexorablement en elle, alimentée par l'intensité de la situation. David la fixait avec une intensité qui la faisait frémir. L'objet qu'il tenait dans sa main et qui retenait maintenant toute l’attention de Vanessa, créant en elle un mélange d'appréhension et d’excitation, était une cravache en cuir … D'une longueur d'environ 70 cm, c’était un objet de raffinement et de subtilité. Son pommeau, d'une élégance rare, était finement sculpté, offrant une prise en main à la fois ferme et agréable. La tige, souple mais résistante, se courbait légèrement sous les doigts de David, témoignant de sa qualité et de sa flexibilité. Elle se terminait par un morceau de cuir rectangulaire, soigneusement découpé, ajoutant une touche finale à son allure sophistiquée et assurée. David jouait avec cette cravache, la faisant glisser entre ses doigts, la courbant doucement pour en tester la souplesse, laissant présager l'usage qu'il allait en faire. Vanessa retenait son souffle alors que David continuait de jouer avec la cravache, ses gestes lents et délibérés amplifiant l'atmosphère déjà chargée de tension. Elle sentait chaque seconde s'étirer, comme si le temps lui-même avait ralenti pour intensifier ce moment. La cravache devint le centre quasi-exclusif de son attention ; elle sentait sa présence comme une extension de la volonté de David, prête à explorer chaque centimètre de son corps, à la marquer. David fit glisser la cravache sur la peau de Vanessa, en commençant par la courbe de son épaule, la faisant courir lentement le long de son bras. Le cuir était doux mais porteur d'une promesse implicite de contrôle, voire de douleur. Le frôlement léger provoqua un frisson le long de sa colonne vertébrale. David continua son exploration, guidant la cravache le long de son dos, puis la faisant glisser sur ses hanches, épousant chaque courbe avec une précision calculée. La sensation était à la fois douce et électrisante, chaque mouvement éveillant plus encore ses sens, la laissant à la merci de ses émotions, partagée entre l'appréhension et le désir. Lorsqu'il remonta la cravache le long de sa cuisse, s'attardant un instant sur l'intérieur de son genou, Vanessa sentit une vague de chaleur envahir son bas-ventre. Ses jambes tremblaient légèrement sous la caresse ferme mais délicate, son corps réagissant instinctivement au contact. Son souffle s'accélérait, son esprit se vidant de tout sauf de l'intensité du moment. David, sans un mot, continua de la scruter, sa main ferme sur la cravache, ses yeux capturant chaque réaction, chaque frémissement qui trahissait l'effet de ses gestes sur elle. La tension était presque palpable, et Vanessa, malgré son désir de plaire, ne pouvait s'empêcher de se sentir de plus en plus vulnérable, exposée non seulement physiquement, mais émotionnellement aussi. David fit remonter la cravache le long du corps de Vanessa, chaque mouvement calculé pour provoquer un mélange de sensations contradictoires en elle. La fine lanière de cuir glissait avec une délicatesse trompeuse sur ses côtes avant de s’attarder sur la courbe de ses seins. Le contact, à la fois doux et ferme, éveillait en Vanessa un frisson de plaisir mêlé de crainte, ses tétons se durcissant instinctivement sous cette caresse inattendue. Il traça lentement des cercles autour de ses seins, frôlant à peine la peau tendue et sensible, avant de laisser la cravache effleurer ses tétons. Chaque passage, léger mais plein de promesses, envoyait une décharge de désir à travers le corps de Vanessa, accentuant sa vulnérabilité et son besoin de se soumettre. Le mélange de douceur et de la possibilité d'une douleur future la plongeait dans un état de tension délicieuse, chaque nerf en éveil. David, toujours silencieux, observait attentivement chaque réaction de Vanessa, ses yeux scrutant les moindres détails. Satisfait de ce qu’il voyait, il abaissa la cravache, la faisant glisser lentement le long de son ventre, chaque contact éveillant un peu plus son désir. Vanessa se tenait immobile, ses lèvres légèrement entrouvertes, son souffle s'accélérant sous l'effet de l'excitation. La cravache s’insinua alors dans son entre-jambes. Dans un mouvement lent mais ferme elle coulissa entre ses lèvres intimes, frottant son clitoris déjà surexcité. Vanessa ne put retenir un râle de plaisir, suivi d’autres alors que la tige de la cravache avait entamé un mouvement de va et vient sur son sexe humide. David retira la cravache et avec une lenteur délibéré, les yeux plantés dans ceux de Vanessa, il amena la cravache devant son visage et la fit glisser jusqu'à ses lèvres entrouvertes . Le cuir frais maculé de son miel intime contrastait avec la chaleur de sa bouche. Elle frissonna de tout son corps. Ses lèvres se refermèrent instinctivement autour de la lanière de cuir, comme si son corps cherchait à établir un contact plus profond, plus intime avec l’objet qui symbolisait le contrôle qu’il exerçait sur elle. « C’est bien ma dévouée » dit David. « Garde la en bouche. Goûte ton miel. C’est ainsi que tu dois toujours être pour ton Maitre : le sexe humide, les mamelons de tes seins fiers et dressés. Prête à être saillie ». À l'écoute des mots de David, Vanessa sentit une énième vague de chaleur intense envahir tout son corps. Elle sentait son sexe qui coulait abondamment. Son cœur battait à tout rompre, chaque battement résonnant dans ses oreilles comme un tambour martelant son excitation et sa soumission. Les mots de David, pleins d'assurance et d'autorité, la pénétraient profondément, éveillant en elle un mélange de fierté, de désir et de soumission. L'idée de se savoir ainsi désirée, prête à être possédée, la plongeait dans un état de vulnérabilité délicieuse. Elle se sentait à la fois exposée et envoûtée par la domination de David, chaque mot, chaque geste, chaque caresse la rapprochant un peu plus de cet abandon total qu'elle désirait tant. Son corps tout entier vibrait, ses sens en éveil, chaque fibre de son être réclamant ce lien intime et profond avec son Maître. Le goût de son propre désir sur ses lèvres, sous l'ordre de David, la faisait frémir, renforçant encore cette connexion intense et indéniable qui les unissait. « Cependant tu m’as désobéi en laissant échapper ces cris de jouissance et de plaisir sans que je te le permettes. Pour cela tu mérites d’être punie. » ajouta David, reprenant la cravache de la bouche de Vanessa. « Penche-toi en avant et cambre bien tes fesses de chienne » lui ordonna-t-il. Vanessa, les joues en feu et le cœur battant à tout rompre, s’exécuta sans hésiter. Elle se pencha en avant, les mains toujours derrière sa tête, et cambra ses fesses comme David le lui avait ordonné. La position la rendait encore plus vulnérable, ses fesses exposées et offertes à son Maître, mais elle sentait en elle un mélange de honte et de fierté qui amplifiait son excitation. Mais elle découvrait qu’elle aimait cette impudeur qu’elle lui offrait. Parce que c’était lui. Parce que c’était pour lui. David se plaça derrière elle, sa présence imposante renforçant son sentiment d'abandon. « Tu vas compter chaque coup, ma dévouée, et me remercier. Et tu ne feras plus d’erreur », déclara-t-il d’une voix ferme, mais contrôlée. Le premier coup de la cravache tomba, rapide et précis, sur la peau tendre de ses fesses. La douleur vive qui suivit provoqua un sursaut en elle, mais au-delà de la douleur, il y avait un étrange plaisir qui montait. « Un … Merci Monsieur », dit-elle, sa voix tremblante, à peine plus qu'un murmure. David ne tarda pas à administrer le second coup, cette fois un peu plus fort, comme pour marquer son autorité ; mais aussi pour juger de la réaction et de l’acceptation de Vanessa. Vanessa respira profondément avant d’articuler : « Deux ... Merci Monsieur » Le cuir de la cravache mordait la peau de ses fesses avec précision, mais Vanessa ne ressentait pas seulement la douleur ; elle percevait également l'acte comme une purification qui la rendait plus digne de son Maître. David continua, sa main ferme sur la cravache, chaque coup précis et calculé pour éveiller en Vanessa une gamme complexe de sensations. Le troisième coup tomba, mordant un peu plus profondément dans la chair tendre de ses fesses rondes et charnues. Vanessa sentit la douleur s'étendre, mais avec elle, une vague de plaisir inattendue qui parcourut son corps. « Trois... Merci Monsieur, » dit-elle, sa voix se faisant plus rauque, plus vibrante d'émotion. Chaque coup suivant renforçait ce mélange étrange et enivrant de douleur et de plaisir. Le quatrième coup la fit vaciller légèrement, les larmes commençant à poindre aux coins de ses yeux. « Quatre... Merci Monsieur .. » Elle sentit les larmes couler lentement sur ses joues, mais elle ne les repoussa pas. C’était son choix, son désir de se soumettre entièrement à David, de lui offrir tout, même ses larmes. Le cinquième coup tomba avec une précision implacable, le cuir cinglant à nouveau ses fesses. La douleur la fit frémir, mais au lieu de se rebeller, elle s’enfonça plus profondément dans l’abandon. « Cinq... Merci Monsieur … » murmura-t-elle, sa voix tremblante mais résolue. Elle savait que David faisait attention, qu'il surveillait chaque réaction, prêt à arrêter si elle le souhaitait. Cette certitude, loin de la calmer, alimentait son désir de continuer. Le sixième coup, plus fort encore, la fit gémir, un mélange de douleur et de plaisir envahissant tout son corps. « Six... Merci … Monsieur, » articula-t-elle, tandis que son souffle se faisait plus court, plus saccadé. Elle était surprise de s’entendre apprécier cette douleur, de se sentir vivante et connectée à David d'une manière qu'elle n'avait jamais imaginée. Le septième coup la fit vaciller de nouveau, mais elle se redressa rapidement, déterminée à continuer, à montrer à David qu'elle pouvait le supporter. « Sept... Merci Monsieur, » dit-elle, sa voix teintée de détermination et d’un profond désir de plaire, mais aussi tremblante des pleurs qui coulaient sur ses joues. Le huitième coup tomba, cette fois un peu plus bas, presque sur l'arrière de ses cuisses. Vanessa étouffa un cri, sentant la brûlure s'étendre, mais elle tint bon. « Huit... Merci Monsieur … » dit-elle, sa voix brisée par les larmes, mais pleine de résolution. Le neuvième et dernier coup tomba, cette fois entre ses jambes, frappant directement son sexe humide. La douleur fut fulgurante, mais elle fut immédiatement submergée par une vague de plaisir si intense qu’elle la laissa sans voix pendant un instant. Les larmes coulaient librement sur ses joues, mais elle ne put s’empêcher de ressentir une étrange satisfaction, une profonde connexion avec David. « Neuf... Merci Monsieur …  » dit-elle enfin, sa voix n’étant à peine plus qu’un souffle. David s’avança alors vers elle, ses doigts se glissant dans ses cheveux avec une tendresse inattendue. Il la redressa doucement, tirant sa tête en arrière, et faisant descendre ses bras le long de son corps. Il planta ses yeux dans les siens. « Je t'aime, ma merveilleuse dévouée, » murmura-t-il avant de l’embrasser avec une passion brûlante. Vanessa se perdit dans ce baiser, sentant toute la douleur, toute la vulnérabilité se transformer en amour et en appartenance. « Bienvenue chez toi … chez nous … » ajouta-t-il, ses lèvres effleurant encore les siennes, scellant ainsi ce moment de soumission et de connexion profonde.   (A suivre) Source de l’illustration : image libre de l’internet
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Par : le 21/09/24
Vanessa se détendit dans la douce chaleur de sa chambre, son esprit encore enveloppé par les sensations intenses qu'elle venait de vivre. La satisfaction se mêlait à une légère excitation doublée d’une petite impatience, celle de savoir comment David réagirait à la vidéo qu'elle venait de lui envoyer. Le silence de la nuit était apaisant, contrastant avec la jouissance qui l'avait consumée quelques instants plus tôt, comme en témoignait son intimité encore humide. Elle se leva lentement, savourant la sensation de ses muscles relâchés après l’orgasme. Son psyché lui renvoya l'image d'une femme sereine et épanouie, une femme qui savait désormais ce qu'elle voulait et à qui elle appartenait. Le sourire qui s’épanouissait sur ses lèvres en était la preuve. Vanessa se dirigea vers sa salle de bains, ses pieds nus effleurant le sol froid, une sensation qui contrastait agréablement avec la chaleur encore présente dans son corps. La lumière douce du plafonnier éclaira la pièce d'une lueur tamisée, créant une atmosphère intime et apaisante. Elle se tenait devant le miroir, observant de nouveau son reflet. Les bijoux intimes, qui avaient si parfaitement épousé son corps tout au long de la journée, brillaient doucement sous la lumière. Le pendentif en forme de pomme reposait encore contre sa poitrine, les serre-tétons tirant légèrement sur sa peau délicate. Quant au bijou intime qui parait son sexe, il avait laissé son empreinte sur son corps. Avec une lenteur délibérée, elle commença à retirer ces parures. Ses doigts glissèrent doucement sur la chaîne du pendentif, détachant le fermoir avec précaution. Un frisson la parcourut tandis que ses doigts effleuraient ses seins pour détacher les serre-tétons. Elle les retira un à un, ressentant une légère tension se relâcher, suivie d'une vague de douceur qui envahissait ses seins libérés. Les petites feuilles dorées cliquetèrent doucement. Elle fit glisser l’ensemble avec délicatesse entre ses doigts, le déposant sur le bord du lavabo. Puis vint le tour du bijou intime, également jouet de plaisir. Vanessa se pencha légèrement, ses mains glissant le long de ses hanches pour détacher les fines ficelles qui tenaient la goutte courbée bleu saphir contre son puits d’amour. Lorsqu'elle retira enfin le bijou, un soupir de satisfaction s'échappa de ses lèvres, mêlé d'une douce nostalgie pour le plaisir qu'il lui avait procuré tout au long de la journée. Lorsqu’elle constata que celui-ci n’était pas seulement humide mais était maculé de son miel intime, elle rougit. C’était encore un peu de la honte mais c’était aussi et surtout un sentiment de surprise et de satisfaction qui l’envahissait en découvrant combien elle était désormais capable de lâcher prise, de vivre pleinement et sans tabou ces moments intimes. Elle fit couler l’eau du robinet en laiton du lavabo et lava délicatement la goutte courbée. Après l’avoir séchée, elle la nettoya de nouveau avec une lingette alcoolisée qu’elle avait sortit de sa boîte se trouvant dans l’armoire en bois clair se tenant à la droite du lavabo. Elle déposa ensuite le bijou au côté de l’autre avant de se diriger vers la douche. Se sentant légère et libre, Vanessa fit couler l’eau de la douche. La vapeur commença à envahir la salle de bains, enveloppant la pièce d’une brume douce et chaude. Elle entra sous le jet, laissant l'eau chaude couler sur son corps. Sa peau portait encore les marques subtiles de ces ornements, une mémoire tactile de ce qu’elle avait vécu sous leur influence. Les gouttes caressaient sa peau avec douceur, glissant sur ses épaules, le long de ses bras, et sur sa poitrine, avant de dévaler le long de ses hanches et de ses jambes. Vanessa ferma les yeux, s’abandonnant à cette sensation apaisante. L’eau massait ses muscles encore légèrement tendus par l’intensité des émotions qu'elle avait ressenties. Elle se laissa aller sous ce déluge réconfortant, son esprit vagabondant entre les souvenirs récents de ses interactions avec David et la sérénité que cette douche lui procurait. Elle se saisit d’un flacon de mousse pour douche au jasmin et déposa quelques noisettes du gel dans ses mains. Ses mains glissèrent sur son corps, massant doucement les muscles de ses épaules, de son cou, descendant le long de sa colonne vertébrale pour détendre les derniers nœuds de tension. Elle caressa et pétrissa doucement ses seins, sentant leur douceur naturelle, et descendit jusqu’à son ventre, effleurant son sexe avec une tendresse infinie. L’eau s’infiltra partout, emportant avec elle les dernières traces de la journée. Lorsque Vanessa éteignit enfin l'eau et sortit de la douche. Elle s'enveloppa dans une grande serviette moelleuse, étreignant la chaleur réconfortante du tissu contre son corps. Tandis qu'elle sortait de sa salle de bains, ses pensées dérivaient doucement vers David, vers ce qu'ils avaient partagé et ce qu'ils partageraient encore. Elle se sentait plus que jamais prête à se laisser guider, à explorer encore plus profondément cette relation unique qui la comblait. Elle ajusta légèrement la serviette qui entourait encore son corps, s'approchant de la fenêtre de sa chambre pour regarder les étoiles. Le ciel nocturne était clair. Un long manteau bleu marine constellé d’étoiles le parait. De petites lumières scintillantes qui lui rappelaient la lueur dans les yeux de David lorsqu'il la regardait. Cette pensée la fit frémir de plaisir. Le son de son téléphone, un léger tintement qui résonna dans le calme de la pièce, la tira de sa rêverie. Vanessa se précipita pour voir le message. C’était David. Son cœur s'emballa à l'idée de lire ses mots, de ressentir à travers eux sa présence si proche et pourtant si lointaine. Mais ce n’était pas un message écrit, mais un message vocal.  Elle appuya, fébrile, sur la flèche de lecture. La voix rauque de David emplit la pièce : « Ma chère Vanessa, Merci pour cette superbe vidéo. Tu m’as comblé. Ta dévotion et ton abandon sont un véritable trésor pour moi. Voir ta beauté capturée dans ces moments d’intimité m’a procuré un plaisir immense. Tu es parfaite, exactement comme je l'avais imaginé, et même bien au-delà … Ta soumission volontaire, ta confiance en moi, tout cela me remplit d’honneur et de fierté. Ce soir, tu m'as offert bien plus qu'une simple vidéo : tu m'as offert ton âme et ton cœur …  Je t'en suis éternellement reconnaissant. Tu es à moi, ma Vanessa. Je te veux comme apprentie soumise, novice. Je veux faire de toi ma Sublime. Ma Princesse et ma chienne ; mon amour et ma salope … Je veux être à toi. Être ton homme et ton Maitre … Que Nous formions un Tout … Et qu’ensemble nous écrivions le livre de notre vie, dans le respect de nos personnalités et l’osmose de nos désirs … dans cette appartenance mutuelle de domination et de soumission consenties … et d’un amour profond … Si tel est aussi ton ressenti et ton souhait, je te donne rendez-vous chez moi demain soir à 20h30. Tu connais l’adresse et tu as les clés … Tu porteras une courte robe noire qui mettra en valeur tes jambes parées de bas noir, ainsi que tes courbes généreuses. Je te veux aussi avec des talons hauts. Ne porte pas de bijoux autour de ton cou et laisse tes cheveux tomber en cascade sur tes épaules et ton dos. Sous ta robe, tu ne porteras … rien … Je t'attends …  mon amour … ma dévouée … » Vanessa resta immobile un instant, le souffle court, alors que les derniers mots de David résonnaient encore dans la pièce. Son cœur battait à tout rompre, une vague de sensations contradictoires la submergeait. Excitation, appréhension, désir... Tout se mélangeait dans un tourbillon d’émotions intenses.  Elle sentit une chaleur douce l'envahir, comme si les mots de David avaient embrasé chaque fibre de son être. Ses mains tremblaient légèrement tandis qu'elle serrait le téléphone contre sa poitrine, son souffle court se mêlant à la montée d'une excitation irrésistible. Elle ferma les yeux, se laissant porter par l'idée de se retrouver entre ses mains, de s'abandonner entièrement à lui. Les mots de David, "Ma princesse et ma chienne; mon amour et ma salope," résonnaient en elle comme une douce caresse et un commandement puissant, éveillant en elle une profonde dualité de fierté et de soumission. Elle se sentit à la fois élevée et possédée, enivrante contradiction qui la fit frémir de désir et de dévotion pour lui. La sensation de la serviette contre sa peau nue lui semblait soudainement insuffisante, presque superflue, comme si elle voulait déjà se préparer pour lui, se dépouiller de tout artifice. Son esprit vagabondait entre la douceur de son amour pour David et l'intensité de la soumission qu'elle était prête à lui offrir. Elle se sentait à la fois vulnérable et puissante, enivrée par l'idée de répondre à ses attentes. La simple pensée de se présenter devant lui, dans cette robe noire qu'il avait choisie, sans rien en dessous, faisait monter en elle un désir brûlant. Son corps tout entier réagissait, une douce tension se mêlant à l'impatience d’être déjà à nouveau à ses côtés. Le lendemain, la journée de Vanessa au travail se déroula comme dans un rêve. Chaque tâche qu'elle accomplissait semblait baignée dans une douce impatience, chaque seconde qui s'écoulait la rapprochant de cette soirée tant attendue. Son esprit ne cessait de revenir à David, à la manière dont ses mots avaient éveillé en elle un désir et une dévotion qu'elle n'aurait jamais cru possibles. Elle se surprenait à sourire à la moindre pensée de lui, ses joues s'empourprant légèrement lorsqu'elle se rappelait les instructions qu'il lui avait données. Bizarrement elle était aussi très excitée par l’idée d’être traitée de salope et de chienne … Tout simplement parce que ces mots venaient de lui … celui à qui elle se sentait appartenir … celui qui la possédait corps et âme… Bien que cela pouvait paraître irrationnel alors qu’ils se connaissaient depuis fort peu de temps, Vanessa savait qu'elle avait trouvé en David non seulement un maître, mais aussi un amour profond, un homme capable de la combler, de la comprendre et de la guider dans cette exploration intime de ses désirs. L'idée de le retrouver ce soir, dans cette ambiance qu'il avait soigneusement préparée, l'électrisait. À chaque battement de son cœur, l'excitation grandissait, une chaleur douce se répandant dans tout son corps. Lorsqu'elle rentra enfin chez elle, elle n'avait qu'une seule pensée : se préparer pour lui, exactement comme il l'avait demandé. Elle se dirigea d'un pas décidé vers sa garde-robe et en sortit la robe noire qu'elle savait être parfaite pour l'occasion. Le tissu léger épousait ses formes, soulignant ses courbes de manière élégante et sensuelle. Vanessa l'enfila avec soin, appréciant la sensation du tissu contre sa peau nue, la robe glissant sur elle comme une seconde peau. Elle ajusta ses bas noirs, remontant délicatement la dentelle le long de ses jambes. Chaque geste renforçait en elle la sensation d'être belle, désirée, prête à se soumettre à la volonté de David. Une fois prête, elle se regarda dans son psyché. Ses cheveux tombaient en cascade sur ses épaules, exactement comme il l'avait demandé, et son regard brillait d'une lueur à la fois douce et intense. Vanessa se sentait à la fois belle et vulnérable, consciente de ce qu'elle allait offrir à David ce soir. Elle enfila une paire de talons hauts, accentuant encore plus sa silhouette et ses fesses rebondies. Le temps semblait suspendu tandis qu'elle se dirigeait vers la maison de David. L'excitation grandissait à chaque pas, mêlée à une appréhension délicieuse. Arrivée devant sa porte, elle sonna, son cœur battant à tout rompre. Aucun bruit ne se fit entendre de l'intérieur. Elle attendit quelques instants, et resonna. Toujours rien. Elle répéta l’opération plusieurs fois, toujours en vain. Elle ressentit comme une appréhension, une tristesse : peut-être n’était-il pas là ? et s’il avait changé d’avis ? Ou peut-être lui était-il arrivé quelque chose ? Soudain elle se rappela les clés que David lui avait offertes. Avec des mains légèrement tremblantes, elle les sortit de son sac à main, les inséra dans la serrure, et tourna. La porte s'ouvrit dans un léger grincement, révélant une maison plongée dans la pénombre, éclairée seulement par la douce lueur vacillante de bougies disséminées un peu partout. Vanessa sourit, rassurée. Il voulait qu’elle utilise ses clés. L'atmosphère était intime, presque mystique, baignée dans une lumière chaleureuse et apaisante. À l'entrée, Vanessa aperçut une enveloppe portant son nom. Elle la prit délicatement, l'ouvrant avec une légère appréhension mêlée d'excitation. « Ma douce Vanessa, Bienvenue. Ta présence ici ce soir est la preuve de ta dévotion, et je t'en remercie. Suis les bougies qui te guideront jusqu'à une pièce de la maison que tu ne connais pas encore. Là-bas, tu trouveras un cercle de bougies allumées au sol. Place-toi en son centre, mets tes mains derrière ta tête, ferme les yeux, baisse la tête et ne parle pas. A plus tard, ma belle apprentie soumise. Votre David » Les mots de David résonnèrent en elle comme une douce promesse. Elle sentit un frisson la parcourir, une onde de chaleur qui naquit dans son ventre pour se répandre à travers tout son corps. Sans hésiter, elle posa son sac à main près de l'entrée et se mit en route, suivant les bougies qui formaient un chemin lumineux à travers la maison. Chaque pas la rapprochait de lui, et l'excitation ne cessait de grandir en elle. Arrivée dans la pièce, elle découvrit le cercle de bougies allumées, leur lumière créant une aura presque sacrée. Vanessa entra dans le cercle, son cœur battant à tout rompre. Elle mit ses mains derrière sa tête, ferma les yeux, baissa la tête et s'abandonna à l'attente, son corps vibrant d’excitation. Vanessa attendait dans le silence, ses sens en éveil ; chaque fibre de son corps tendue vers l'inconnu. Le temps semblait s'étirer à l'infini, amplifiant la tension délicieuse qui montait en elle. Soudain, une musique baroque s'éleva doucement dans la pièce, emplissant l'espace de sonorités anciennes, riches et envoûtantes. Le rythme mesuré de la musique, ni trop fort, ni trop doux, ajoutait une dimension mystique à l’atmosphère déjà chargée de la pièce. Vanessa sentit son cœur battre plus vite, son souffle devenir plus court. Elle entendit alors des pas assurés se rapprocher. David … Son corps réagit immédiatement, une vague de chaleur la traversa, partant de son ventre pour irradier jusqu’à ses doigts qui tremblaient légèrement derrière sa tête. Elle se concentra sur le son de ses pas, tentant de deviner ses intentions, chaque pas renforçant ses sentiments de vulnérabilité et d'excitation. David fit lentement le tour d'elle, ses yeux la scrutant, prenant en compte chaque détail de son apparence, chaque courbe, chaque mouvement infime. Vanessa sentait son regard, presque comme une caresse, une évaluation silencieuse qui la faisait frissonner. Elle voulait être parfaite pour lui, digne de son attention et de sa confiance. « Tu as bien suivi mes ordres. C'est bien, ma dévouée, » déclara-t-il d’un ton ferme et assuré, sa voix résonnant comme une vérité incontestable dans le silence de la pièce. Les mots de David pénétrèrent profondément en elle, la remplissant d’une satisfaction immense. Elle se sentait reconnue, valorisée dans son rôle, et cela renforça son désir de se soumettre pleinement à lui. Son cœur se gonflait de fierté, de plaisir intense à l’idée d’avoir répondu à ses attentes. David s'approcha alors davantage, et d’un geste délicat mais ferme, plaça sa main sur son cou, enserrant légèrement sa gorge. Vanessa sentit une nouvelle vague de chaleur l'envahir, son corps tout entier réagissant à ce geste de possession. La sensation de la main de David sur son cou, cette emprise douce mais ferme, éveillait en elle un désir brûlant, la plongeant dans un état d’abandon total. Elle se sentit entièrement sienne, prête à tout pour lui plaire, pour recevoir sa guidance. Il releva sa tête avec douceur et l’embrassa. Vanessa lui rendit son baiser avec une passion contenue, mêlant douceur et dévotion dans ce contact intime. Leurs lèvres se rencontrèrent, partageant un moment de complicité et de promesse, un lien qui se renforçait à chaque seconde. Puis, David s’écarta légèrement, avant de reprendre la parole. « Tu es dans la pièce où tu seras désormais éduquée et parfois dressée pour devenir une soumise parfaite… Ma soumise parfaite… Ma Sublime ... Ma princesse et ma putain … Une femme vénérée et aimée .. et une chienne lubrique et indécente …. Ici, et pour l’heure, tu ne m’appelleras plus David mais Monsieur … Es-tu toujours d'accord pour cela ? » Sa voix, ferme et pleine d’assurance, résonnait en elle comme une invitation irrésistible. Vanessa, les yeux encore fermés, sentait son cœur battre à tout rompre. Une vague d’émotions la submergea, un mélange de gratitude, de désir, et d’un profond sentiment d’appartenance. Elle savait, sans l’ombre d’un doute, que c’était tout ce qu’elle désirait. Elle était à lui. Totalement. D'une voix douce mais assurée, elle murmura, « Oui, Monsieur, je suis à Vous. » David sourit doucement en entendant la réponse de Vanessa. Il laissa planer un instant de silence, puis murmura d'une voix basse mais claire : « Bien, ma dévouée. Et n'oublie pas que tu as un mot pour arrêter tout cela à tout moment ». Il marqua une pause, s'assurant qu'elle comprenait pleinement ce qu'il venait de dire. La sécurité, la confiance entre eux, était primordiale, même dans ce moment de soumission intense. « Garde cette pose, ainsi que les yeux fermés. Ne parle plus. » Son ton était ferme, mais empreint de douceur, comme une caresse verbale qui s'ajoutait à l'atmosphère déjà chargée de la pièce. Vanessa sentit un frisson lui parcourir l'échine alors que David se déplaçait derrière elle. Elle était immobile, mais son corps vibrait en anticipation de ce qui allait suivre, chaque fibre de son être tendue vers ce qui allait venir. Son souffle s'accéléra légèrement, son cœur battant à un rythme rapide mais régulier. Elle se sentait à la fois exposée et protégée, en totale confiance malgré la vulnérabilité de sa position. David posa ses mains sur ses épaules presque dénudées, la chaleur de son toucher se diffusant immédiatement dans le corps de Vanessa. Lentement, ses doigts glissèrent le long de ses bras, effleurant sa peau avec une douceur calculée. Chaque mouvement était maîtrisé, précis, comme s'il connaissait déjà par cœur la carte du corps et des désirs de Vanessa. Il laissait ses mains dériver, caressant doucement le creux de ses coudes, remontant jusqu'à ses omoplates, dessinant des arabesques invisibles. Il descendit ensuite vers le bas de son dos, ses doigts effleurant la courbe délicate de sa colonne vertébrale, avant de se poser sur ses hanches. Vanessa retint son souffle lorsque ses mains descendirent sur ses fesses rebondies, les pétrissant avec une fermeté mesurée, savourant la sensation de leur rondeur sous ses paumes. Le contraste entre la douceur de ses caresses et la fermeté de sa prise éveillait en Vanessa un désir brûlant, un mélange de plaisir et de soumission qui la rendait encore plus réceptive à ses gestes. David continua son exploration, ses mains glissant sur l'arrière de ses cuisses, puis remontant lentement, traçant un chemin de feu sur la peau délicate de Vanessa. Il s'attarda de nouveau sur ses fesses, les modelant, les pressant légèrement, avant de remonter à nouveau vers sa taille, ses doigts effleurant le tissu fin de sa robe. Chaque mouvement semblait délibéré, calculé pour maximiser le plaisir qu'il lui procurait. Il déplaça ensuite ses mains vers l'avant de son corps, remontant le long de ses flancs jusqu'à atteindre la courbe de ses seins. Vanessa sentit son souffle se couper alors que les mains de David se refermaient doucement sur ses seins, les caressant, les soupesant avec une délicatesse qui la faisait frémir. Ses doigts effleurèrent ses tétons à travers le tissu, provoquant une décharge de plaisir qui la fit presque vaciller. Elle se mordit la lèvre pour ne pas laisser échapper un gémissement, se rappelant l'ordre de ne pas parler. Les mains de David continuaient de caresser ses seins à travers sa robe, les pétrissant doucement, jouant avec ses tétons déjà durcis par l'excitation. Vanessa se sentait à la fois envahie et comblée par ses gestes, chaque caresse la plongeant un peu plus dans un état de soumission totale. Elle se laissait totalement aller à ses sensations, son esprit se vidant de tout sauf du contact des mains de David sur son corps. Son cœur battait à tout rompre, son corps réagissant avec une intensité qu'elle n'avait jamais connue auparavant. La musique baroque, entrecoupé seulement par leur respiration, amplifiait chaque sensation, chaque frôlement. Le désir montait en elle, irrépressible, une vague de chaleur qui se propageait depuis son bas-ventre jusqu'à la pointe de ses seins. David retira soudainement ses mains, rompant le contact qui avait enveloppé Vanessa dans une chaleur enivrante. Le temps semblait s'étirer à l'infini, la laissant dans une attente presque douloureuse, une frustration douce-amère qui faisait battre son cœur encore plus fort. Chaque seconde passée dans cette immobilité, sans savoir ce qui allait suivre, accentuait son désir, la plongeant dans un état de vulnérabilité totale. Puis, elle sentit un léger mouvement dans son dos, suivi du bruit discret de la fermeture éclair de sa robe qui glissait lentement. L'air frais de la pièce caressa sa peau nue lorsque le tissu léger tomba à ses pieds, dévoilant son corps totalement offert. Une onde de frissons parcourut son corps, mélange d'excitation, de nervosité et d'une sensation d'exposition totale. Elle se sentait à la fois terriblement vulnérable et étrangement puissante et fière, consciente de l'effet que cette nudité avait sur elle-même et sur David. Son souffle se fit plus court, chaque battement de son cœur résonnant dans ses oreilles comme un écho de l'attente délicieuse qui l'envahissait. David se pencha. Il prit un à un les pieds de Vanessa, retirant délicatement ses chaussures à talons et les dégageant de la robe les entravant. Il déposa le tout sur un fauteuil en cuir non loin de là. Revenant vers Vanessa il s’adressa de nouveau à elle : « Ecarte les jambes ! » Vanessa obéit sans hésiter, écartant doucement les jambes, ressentant immédiatement une nouvelle vague de chaleur l'envahir. David continua d'une voix calme mais autoritaire : « Ouvre les yeux, ma dévouée. » Elle obéit, découvrant David debout devant elle. Il était habillé d'un costume sombre qui épousait parfaitement sa silhouette, ses chaussures Richelieu brillantes ajoutant une touche d'élégance à son allure. Sa chemise blanche légèrement ouverte laissait entrevoir son torse, et la lumière des bougies accentuait les ombres sur son visage, le rendant encore plus séduisant, presque imposant. « Cette position s'appelle 'Inspection'. Tu t’en souviendras » déclara-t-il d'une voix douce mais ferme. Vanessa acquiesça silencieusement, ses yeux capturant chaque détail de son apparence, notant avec une légère appréhension l’objet qu'il tenait à la main ... Ses émotions se mélangeaient entre appréhension et désir, fascinée par l'aura de contrôle et de puissance qui émanait de lui.   (A suivre) Source de l’illustration : création de MaitreJeanM - la tenue de Vanessa pour se rendre chez David
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Par : le 20/09/24
Vanessa arriva chez son frère un peu après l'heure prévue, le cœur battant d'une excitation à peine contenue. En entrant dans la maison familiale, elle fut accueillie par les rires et les voix familières de ses proches, un contraste apaisant après le tourbillon de sensations qui avait animé son corps et son âme ces dernières heures. Elle embrassa chaleureusement sa grand-mère, qui rayonnait de bonheur entourée de sa famille pour célébrer ses 90 ans. Tandis que l'après-midi s'écoulait, Vanessa ne pouvait s'empêcher de sentir les bijoux intimes qui lui caressaient la peau à chaque mouvement. Le pendentif en forme de pomme, qui reposait délicatement contre sa poitrine, semblait pulser en écho avec son propre cœur. Les serre-tétons, bien cachés sous sa robe, tiraient doucement sur ses seins à chaque respiration, provoquant des frissons de plaisir qui la parcouraient parfois sans prévenir. Mais c'était le bijou intime, celui qui ornait son clitoris et emplissait délicieusement son sexe, qui la troublait le plus. La goutte courbée couleur saphir, lovée contre et dans sa chair sensible, se balançait à chaque pas, envoyant des vagues de sensations délicieuses qui la tenaient constamment à la limite de l'excitation. Elle essayait de participer aux conversations, souriante et enjouée comme à son habitude, mais une partie d'elle était toujours consciente de la présence de ces bijoux, de la manière dont ils soulignaient son abandon à David, même au milieu de sa famille. Ce secret, bien que caché aux yeux de tous, ajoutait une couche d'intensité à tout ce qu'elle faisait. Elle se sentait à la fois vulnérable et puissante, comme si elle portait une part de David en elle, même loin de lui. Comme s’il était là et la possédait. Alors que la fête battait son plein dans le jardin ensoleillé de son frère et qu'elle était en train de servir du gâteau à sa grand-mère, son téléphone vibra discrètement dans sa poche. Vanessa attendit un moment plus propice avant de se retirer dans un coin tranquille du jardin pour vérifier son message. Le cœur battant, elle sortit son téléphone et découvrit que c'était un message de David comme elle s’en doutait. « Comment se passe ton après-midi, ma belle ? Et surtout, …. que ressens-tu en portant ces bijoux que je t'ai offerts ? … » lui écrivait David, concluant ce message de deux smileys des plus évocateurs ❤️😈 Vanessa sourit, une chaleur douce envahissant son cœur, alors que ses joues rougissaient. Il savait. Bien sûr qu'il savait. Il avait anticipé qu'elle ne pourrait résister à l'envie de porter immédiatement ces cadeaux intimes, qu'elle se sentirait liée à lui, même dans une situation aussi ordinaire que ce déjeuner familial. Son sourire s'élargit alors qu'elle tapait sa réponse, ses doigts tremblant légèrement d'excitation. « Mon après-midi est… intensément délicieux. Je ressens votre présence à chaque instant. Ces bijoux sont bien plus que de simples accessoires, ils me rappellent combien je suis à vous, même ici, entourée de ma famille. Je ne peux m'empêcher de penser à vous à chaque pas, chaque respiration. Vous me manquez, mais je me sens incroyablement connectée à vous. Merci pour ce merveilleux cadeau… Votre dévouée Vanessa» David répondit rapidement, comme s'il attendait son message avec la même impatience qu'elle avait ressentie en lisant le sien. Son téléphone vibra à nouveau, envoyant une décharge d'excitation à travers le corps de Vanessa. « Je n'en attendais pas moins de toi, ma belle. Tu es à moi, clairement et profondément … Rien ne me rend plus fier que de savoir que tu portes mes marques en ce moment, même au milieu de ta famille. J'aimerais que tu m'envoies maintenant une photo… que je puisse admirer ce que je t'ai offert, porté par la femme qui est mienne … » Vanessa sentit son souffle se couper en lisant ces mots. Une chaleur intense monta en elle, envahissant chaque parcelle de son être. David n'était pas seulement un homme qui l'attirait ; il la possédait, mentalement et émotionnellement. Il la dominait d'une manière qui la faisait frémir de désir et de soumission. Cette domination douce mais implacable était ce qu'elle avait toujours cherché, sans jamais oser l'admettre pleinement. Elle en était désormais pleinement convaincue. Avec lui, elle n'avait pas à jouer un rôle ; elle pouvait se révéler telle qu'elle était vraiment, sans retenue, sans filtre. Et ce qu'elle était, elle le réalisait de plus en plus, c'était une femme qui aimait être à la disposition, sous la coupe de son homme, de son amour, … de son Maître. Le désir de répondre à sa demande brûlait en elle, mais un léger voile d'anxiété venait troubler cette envie. Comment faire cela en plein milieu de l'anniversaire de sa grand-mère ? Mais elle savait, au plus profond d'elle-même, qu'elle le ferait. Non par obligation, mais par désir. Parce que c'était ce qu'elle voulait, ce qu'elle désirait faire au plus profond d’elle. En pleine conscience. C’était son choix, sa liberté. Prenant une profonde inspiration pour calmer le tremblement de ses mains, Vanessa se dirigea vers l'intérieur de la maison, prétextant un besoin de se rafraîchir. Elle entra discrètement dans une pièce vide, un petit bureau qui offrait l'intimité nécessaire pour accomplir ce que David avait demandé. La lumière filtrée par les rideaux donnait à la pièce une atmosphère douce, presque intime. Elle se tenait devant un grand miroir mural, et en voyant son reflet, elle réalisa combien elle était excitée. Sa respiration était rapide, son cœur battait à tout rompre. Elle glissa doucement la fermeture éclair de sa robe, laissant le tissu glisser le long de son corps, révélant peu à peu ses courbes vertigineuses et les bijoux qui ornaient sa poitrine et son intimité. Le pendentif en forme de pomme, suspendu juste au-dessus de ses seins ornés des serre-tétons dorés, brillait doucement dans la lumière tamisée. Elle s'examina dans le miroir, fascinée par la manière dont ces bijoux accentuaient sa féminité et son désir. Elle prit son téléphone, ajusta la caméra pour capturer son reflet dans le miroir, s’assurant que chaque détail soit visible. La pomme dorée, les chaînes délicates qui reliaient les serre-tétons, la goutte de saphir lovée entre ses cuisses. Son visage reflétait un mélange d'excitation et de soumission. Elle prit la photo, son cœur battant à tout rompre, avant de la regarder une dernière fois pour s'assurer que tout était parfait. Vanessa hésita une seconde avant d'appuyer sur le bouton « Envoyer », mais ce fut une hésitation fugace. Elle savait que c'était ce qu'elle voulait, ce qu'elle désirait profondément. Appartenir à David de cette manière, lui donner tout ce qu'elle était, même dans les moments les plus intimes et les plus privés. Lorsque le message fut envoyé, une vague de satisfaction l'envahit, accompagnée d'une douce chaleur qui la fit frissonner. Elle savait que David serait satisfait, que son acte de soumission le comblerait. Et cela la comblait elle aussi, d'une manière qu'elle n'aurait jamais cru possible. Elle se rhabilla rapidement, se sentant à la fois légère et libre, et retourna discrètement rejoindre sa famille, un sourire complice aux lèvres. L'après-midi se poursuivit comme si de rien n'était, mais Vanessa savait que quelque chose avait définitivement changé en elle. Chaque fois que son téléphone vibrait, les battements de son cœur s’accéléraient, se demandant si c'était un autre message de David. Mais surtout, elle se sentait plus proche de lui, plus à lui que jamais. Elle était fière de ce qu'elle venait de faire, et l'idée de ce que David penserait et ressentirait en voyant cette photo l'excitait au plus haut point. Elle était véritablement à lui, et rien ne la rendait plus heureuse que de se soumettre à sa volonté. Alors que la fête d'anniversaire touchait à sa fin, Vanessa se tenait sur le pas de la porte, saluant les membres de sa famille. Les rires et les conversations s'estompaient peu à peu, laissant place à la douceur de la soirée. Pierre, son frère, s'approcha d'elle avec un sourire complice, son regard la scrutant avec curiosité. « Je te trouve radieuse, ma sœurette ; tu sembles très heureuse. Y aurait-il un nouvel homme dans ta vie ? » demanda-t-il, l’œil pétillant de malice. Vanessa ne put s'empêcher de sourire, se sentant prise en flagrant délit. Mais elle aimait cette sensation, ce secret qu'elle portait en elle, comme une flamme intime. Elle répondit d'un ton tout aussi complice, « Peut-être... » Pierre haussa un sourcil, mais n'insista pas, se contentant de lui faire un clin d'œil avant de la serrer dans ses bras. Vanessa prit congé, le cœur léger, mais avec une intensité intérieure qui ne la quittait pas. En rentrant chez elle, elle trouva sur le pas de sa porte un magnifique bouquet de roses rouges. Ses yeux s'illuminèrent de surprise et d'émotion. Elle s'agenouilla pour ramasser le bouquet, remarquant une enveloppe délicatement posée parmi les fleurs, portant son nom écrit à la main d’une écriture qu’elle reconnaîtrait désormais entre mille. C'était David. Son cœur battait la chamade alors qu'elle entrait chez elle, refermant doucement la porte derrière elle. Elle s'assit sur le canapé de velours bleu marine de son salon, posa le bouquet à côté d'elle sur la table basse en verre fumé et ouvrit l'enveloppe. Elle déplia la lettre et commença à lire, chaque mot la plongeant un peu plus dans cet état de soumission volontaire qu'elle découvrait chérir de plus en plus. « Ma chère Vanessa, ma belle soumise … Merci infiniment pour la photo que tu m'as envoyée. Tu étais magnifique, exactement comme je l'avais imaginé, portant fièrement les bijoux que je t'ai offerts. Cette image de toi restera gravée dans mon esprit, comme un souvenir précieux de ta beauté et de ta dévotion. Je savais que tu porterais ces bijoux sans hésitation, parce que tu es désormais prête, profondément et sincèrement, à répondre à mes demandes. Ta soumission m'honore, et je veux que tu saches combien j'apprécie chaque geste, chaque signe de ta confiance. Ce soir, avant de te coucher, je te demande de te donner du plaisir. Prends ton temps, explore ton corps avec la même attention et le même désir que je le ferais. Filme cet instant pour moi, pour que je puisse partager cette intimité avec toi, même à distance. Envoie-moi cette vidéo, ma dévouée, avant de t'endormir ;  et souviens-toi que même lorsque nous sommes loin l'un de l'autre, tu es toujours à moi... je suis toujours là ... Avec toute mon affection et mon désir, Votre David, votre Maître. » Vanessa sentit une vague de chaleur monter en elle, mélange de désir, de soumission et d’excitation. Les mots de David l'enveloppaient, l'enivraient. Elle se savait à lui, profondément. Et elle aimait ça. Cette domination qu’il exerçait sur elle, cette autorité douce mais implacable, la faisait se sentir vivante, pleinement elle-même. Sans hésiter, elle se leva et se dirigea vers sa chambre. Son psyché lui renvoyait l'image d'une femme belle et désirable. Elle retira sa robe et ses chaussures. Elle ajusta l'éclairage pour que la lumière douce mette en valeur les courbes généreuses de son corps, encore paré des bijoux qu'elle portait depuis ce matin. Elle posa son téléphone sur le bord de son lit, ajustant l'angle pour que la caméra capture chaque mouvement, chaque frisson. Vanessa s'allongea sur le lit, sentant l'excitation monter en elle, le désir de répondre à l'appel de David la consumant. Elle commença à caresser son corps, explorant chaque courbe, chaque creux, avec une lenteur délibérée. Les serre-tétons tiraient doucement sur ses seins à chaque mouvement, ajoutant une délicieuse intensité à ses caresses. Elle laissa ses mains glisser vers son intimité, effleurant le bijou couleur or et saphir qui ornait son clitoris. Chaque contact envoyait des vagues de plaisir à travers tout son corps. Les gémissements qui s'échappaient de ses lèvres étaient doux, presque un murmure, mais porteurs d'une intensité croissante. Elle savait que David regarderait cette vidéo avec attention, et cela la poussait à se donner entièrement, sans retenue. Ses mouvements devinrent plus insistants, ses doigts explorant son sexe avec plus d'urgence, de désir. Elle jouait avec cette goutte courbée comme s’il s’agissait d’un gode : pénétrant sa chatte de plus en plus fort ; venant presser son clitoris désormais dressé et devenant de plus en sensible. Son autre main tirait sur les chaines pour étirer ses tétons, ce qui la faisait frissonner dans un mélange subtil de douleur et de plaisir. Elle se sentait totalement désinhibée ; totalement femme ; totalement soumise à son homme, son Maitre. Fière et heureuse de l’être. Le plaisir montait, inéluctable, et elle le laissa venir, se donnant complètement à l'instant..., à David... Lorsqu'elle atteignit l'orgasme, son corps se tendit sous la vague de plaisir qui l'envahit, ses gémissements se transformant en une succession de cris de de plaisir. Son souffle était rapide, ses mains tremblantes alors qu'elle atteignait l'apogée de ce moment de plaisir et de soumission. Vanessa resta allongée quelques instants, savourant les dernières vagues de plaisir qui parcouraient son corps. Elle se dirigea vers son téléphone en train de la filmer. « Pour vous, David. Pour vous … mon Maître » dit-elle dans un sourire avant d’éteindre la caméra. Elle regarda la vidéo avant de l'envoyer à David, satisfaite de ce qu'elle voyait : une femme entièrement dévouée, entièrement à lui, sans tabou, libre et heureuse. En appuyant sur « Envoyer », elle ressentit une nouvelle vague de satisfaction, mêlée à une non moins douce et excitante soumission. Elle savait que David serait satisfait, que ce moment partagé, même à distance, renforcerait encore plus leur lien. Ce lien qui la rendait plus heureuse que jamais.    (A suivre) Source de l’illustration : création de Sophie Monthulé
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Par : le 14/09/24
Dans la cuisine ouverte de David, baignée par la lumière matinale qui filtrait à travers les larges fenêtres, Vanessa et David s'affairaient autour d'un petit-déjeuner copieux. Vanessa, encore enveloppée dans la douceur de leur matinée intime, versait le café dans deux grandes tasses. David, quant à lui, finissait de préparer des œufs brouillés onctueux. La table était déjà garnie de fruits frais, de viennoiseries diverses, d’une baguette dorée et de jus d'orange fraîchement pressé, disposant ainsi tout pour un début de journée parfait. Ils s'assirent face à face, échangeant des sourires complices et des regards chargés d'affection. Vanessa prit une bouchée de croissant au chocolat, le goût sucré dansant sur sa langue, tandis que David la regardait avec tendresse. « J'aurais aimé que ce moment ne s'arrête jamais, » souffla Vanessa, ses yeux reflétant à la fois le bonheur et la mélancolie de devoir bientôt partir. David saisit sa main sur la table, la pressant doucement. « Chaque moment avec toi est un trésor que je garde précieusement, » répondit-il, sincère. Ils continuèrent de petit-déjeuner, partageant anecdotes et rires, remplissant l'espace de leur complicité et de leur amour naissant. Cependant, l'heure avançait inexorablement, et Vanessa, le cœur lourd, réalisa qu'il était temps de partir pour rentrer chez elle se changer et se préparer pour le déjeuner en famille prévu de longue date qu'elle ne pouvait éviter. Elle en fit part à David et se leva à contrecœur. David l'accompagna à la porte. Avant qu'elle ne parte, il lui tendit un petit paquet cadeau soigneusement enveloppé. « Un petit quelque chose … pour que tu penses à moi … » dit-il avec un sourire mystérieux, l’embrassant ensuite à pleine bouche et l’étreignant avec ferveur. Surprise et curieuse, Vanessa prit le paquet, échangeant un dernier baiser avec David avant de sortir. Arrivée à sa voiture, elle ne put contenir son impatience et toute frémissante elle déchira le papier noir entouré d’un ruban doré qui enveloppait une petite boite en bois d’orme. À l'intérieur, elle découvrit deux sachets, l’un rouge carmin, l’autre bleu turquoise ;  ainsi qu’un petit mot manuscrit de David plié en quatre portant cette simple inscription « A Vanessa ». Le cœur battant, elle déplia le mot et lut. « Ma chère Vanessa, Lorsque j’écris ces mots à la lueur de la bougie, tu es là, endormie, rayonnante de beauté et de sérénité. La couette cache à peine ton corps voluptueux et envoutant … et j’ai du mal à quitter du regard cette vision féérique. Je voulais par ces quelques mots écrits à la hâte mais du fond de mon cœur et de mon âme te remercier pour les moments magnifiques que nous venons de passer ensemble. Tu es une femme absolument sublime : merveilleuse, attachante, belle, élégante, lumineuse, lubrique, enivrante, malicieuse, intelligente, adorable … Je suis pleinement sous ton charme. Et si tu le souhaites, j’aimerais que nous continuions à nous découvrir mutuellement. Te guider dans cette exploration que tu sembles appeler de tes vœux de ce monde de domination et de soumission sublimant notre relation. Je sais ton emploi du temps très rempli par tes activités professionnelles. Mais j’aimerais te revoir très vite si tu le peux, si tu le veux. J’aimerais être auprès de toi, même lorsque nous ne pouvons nous voir. Aussi trouveras-tu dans cette petite boite deux sachets. Dans le rouge, tu trouveras mes clés. Ces clés sont les tiennes, tout comme mon cœur. Elles ouvrent non seulement les portes de ma maison mais symbolisent aussi l'accès à ma vie et à mon âme. Prends-les comme le gage de ma confiance et de mon engagement envers nous. Je t'attends, quand tu le veux.   Dans le bleu, tu trouveras … de quoi parer ta sublime beauté et ne jamais oublier que je suis là … tout contre toi … même loin de toi … A très bientôt, ma Vanessa … je l’espère … Avec tout mon amour, Votre David. » Les larmes montèrent aux yeux de Vanessa, émue par la profondeur de son engagement. Tenant les clés serrées dans sa main, elle savait que ces simples morceaux de métal représentaient bien plus que l'accès physique à son espace personnel ; elles étaient l'invitation à débuter une relation profonde entre eux … Délicatement elle ouvrit le sachet bleu turquoise, intriguée par les mots de David. Lorsqu’elle aperçut le contenu, son visage s’empourpra … Elle leva la tête et regarda aux alentours si personne dans la rue ne la regardait. Des badauds flânaient dans cette rue commerçante en ce samedi matin ensoleillé. Pas l’endroit idéal pour regarder avec précision ces cadeaux très personnels que venait de lui faire David. Elle tira sur les cordons du sachet pour le refermer et le reposa dans la boite qu’elle déposa sur le siège passager une fois fermée. Tout en pensant à ce qu’elle venait de voir, elle fit vrombir le moteur de sa voiture, un sourire malicieux aux lèvres. Vanessa ne mit qu’une vingtaine de minutes à arriver chez elle. Il était déjà presque midi et elle était attendue chez son frère pour une heure pour les 90 ans de leur grand-mère maternelle. Pas question d’être en retard. Il ne lui restait qu’une petite demi-heure devant elle pour se préparer. Elle se précipita à l'intérieur de sa maison, traversant le hall avec une hâte qui trahissait son impatience de se préparer. Vanessa se dirigea directement vers sa chambre et la salle de bain attenante, délaissant ses vêtements sur le sol de sa chambre, et jetant son sac à mains et la boite en bois d’orme de David. Une fois nue, elle ouvrit le robinet de la douche et ajusta la température de l'eau pour qu'elle soit agréablement chaude. Alors que l'eau coulait sur sa peau, Vanessa ferma les yeux, laissant la chaleur envelopper son corps. L'eau glissait le long de ses épaules, dévalait la courbe de son dos et caressait ses hanches avant de s'écouler le long de ses jambes. Chaque goutte semblait effacer la tension résiduelle de la matinée, laissant derrière elle une peau vibrante et un esprit qui s'éclaircissait lentement. Le jet d'eau pulsait contre sa peau, massant doucement ses muscles tendus, un plaisir simple mais profondément sensuel. Après avoir fini sa douche, Vanessa s'enveloppa dans une grande serviette douce et se dirigea vers sa chambre pour s'habiller. Elle ouvrit son armoire et choisit une robe élégante, échancrée juste ce qu'il faut pour révéler la naissance de sa poitrine. La robe, d'un bleu profond, mettrait en valeur ses yeux et contrasterait joliment avec sa peau encore légèrement humide et rosée par la chaleur de la douche se dit-elle. C’est alors que ses yeux tombèrent sur la boite en bois d’orme de David. Encore nue, juste recouverte de sa serviette rose pale, elle se dirigea vers la boite. Elle en sortit le sachet bleu turquoise, les doigts tremblants légèrement d'excitation et de nervosité. Elle tira doucement sur les cordons, libérant le contenu qui semblait à la fois mystérieux et prometteur. À l'intérieur, le premier objet qu'elle découvrit fut un pendentif en or, orné d'une pomme éclatante, symbole classique de tentation et de désir. La pomme, soutenue par une élégante chaine en or, soutenait deux paires de chaînes en or délicates, chaque paire se terminant par des serre-tétons élégamment décorés d’une petite feuille suspendue. L'artisanat était exquis, chaque détail finement travaillé pour une élégance subtile mais audacieuse. En explorant plus avant le contenu du sachet, Vanessa trouva un bijou intime dont la forme et la fonction n'étaient pas immédiatement évidentes pour elle. Elle le tourna entre ses doigts, admirant la façon dont la lumière se reflétait sur le bleu saphir profond d’une longue goutte ronde et légèrement courbée et sur la dorure du serpent qui l'enlaçait. Ce n'est que lorsque la réalisation de son véritable usage lui frappa l'esprit qu'elle sentit ses joues s'empourprer. C'était un bijou conçu pour orner son puits d'amour, un bijou pour le moins intime, fait d'une goutte de saphir entourée d'un serpent doré, attachée à de fines ficelles agissant comme un string. Les sensations qui la traversaient en tenant ces objets étaient un mélange complexe d'émotion et de désir. Elle était touchée par la profondeur de la pensée de David et par l'intimité de ces cadeaux. La nature à la fois artistique et érotique des bijoux faisait écho à la nature de leur relation naissante, pleine de beauté, de confiance et d'exploration mutuelle. Décidée à embrasser pleinement ce que ces cadeaux représentaient, Vanessa choisit de les porter immédiatement, après les avoir nettoyer d’une gel hydro-alcoolique. Chaque pièce, en trouvant sa place sur son corps, lui rappelait les mots de David, son engagement envers leur connexion profonde. Elle commença par attacher délicatement le pendentif autour de son cou, la pomme reposant contre sa peau, un rappel subtil du fruit défendu qu'elle était prête à partager avec lui. Ensuite, avec des mains légèrement tremblantes, elle attacha les serre-tétons ; toute à son excitation, elle n’eut nul besoin de les faire se dresser : ils l’étaient déjà, fiers et superbes ;  la sensation froide du caoutchouc les enlaçant la fit frémir de plaisir ; chaque ajustement des chaînes était un frisson qui parcourait son corps, un rappel de ce que ces bijoux symbolisaient dans leur relation. Finalement, elle se saisit du bijou clitoridien et vaginal. Elle le glissa avec facilité dans son intimité humide, soupirant de plaisir, et ajusta les ficelles autour de ses hanches. Le poids du saphir contre son puits d'amour massait délicieusement son clitoris. Ce bijou était bel et bien un rappel constant de la présence de David, de son désir pour elle, et de son contrôle voluptueux et tendre sur son corps et son esprit. Elle entendit la cloche de l’église gothique du coin de sa rue sonner la demi-heure de midi. Zut, elle allait être en retard. Devant son miroir, Vanessa se maquilla rapidement mais avec soin, appliquant une légère couche de fond de teint pour unifier la texture de sa peau et un rouge à lèvres qui rehaussait la douceur naturelle de ses lèvres. Un trait d'eyeliner noir souligna son regard, lui donnant une profondeur et une intensité qui reflétaient, pour elle seule, les émotions complexes et diverses de la matinée. Ses cheveux roux, coiffés en de douces ondulations, encadraient son visage, lui donnant un air à la fois sophistiqué et accessible. Elle enfila rapidement sa robe qui tomba avec élégance sur son corps et une paire d’escarpins noirs. Une fois habillée, avec les bijoux cachés sous sa robe élégante mais osant à peine trahir leur présence à quiconque autre que elle, Vanessa se sentait comme transformée. Elle était à la fois une femme élégante en route pour un déjeuner familial et une amante secrète portant les marques visibles et invisibles de son engagement envers David. Vanessa jeta un dernier regard dans le psyché qui trônait à côté de son lit : elle se trouvait belle, pleinement satisfaite de son apparence. Avec ces pensées et ces sensations enveloppant son esprit et son corps, Vanessa quitta sa maison, prête à affronter la journée avec une nouvelle assurance et un secret délicieusement intime qui ajoutait une étincelle à ses yeux et un sourire mystérieux à ses lèvres. En pénétrant dans sa voiture, elle saisit son téléphone portable. « Vous êtes diabolique … Je vous aime … Merci … » écrivit-elle à David.   (A suivre) Source de l’illustration : création de Sylvie Monthulé
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Par : le 14/09/24
Alors que l'eau tiède continuait de ruisseler sur eux, mêlant ses caresses à celles de leurs mains encore exploratrices, David et Vanessa s’abandonnaient, silencieux, écoutant le rythme régulier de leur respiration qui commençait lentement à revenir à la normale. Les yeux de Vanessa s'ouvrirent doucement, fixant le plafond avant de se tourner vers David. Sa main trouva instinctivement la sienne, leurs doigts s'entrelaçant avec une tendresse qui parlait plus que les mots ne pourraient jamais le faire. Dans le cocon de leur étreinte, David souleva légèrement le menton de Vanessa, l'incitant à le regarder. « Tu es incroyable, tu sais» murmura-t-il, ses yeux brillant non seulement de désir mais aussi d'une affection profonde et sincère. Vanessa sentit son cœur se serrer sous la force, la puissance de cet amour naissant, un sentiment si puissant et si pur qu'il semblait presque irréel. « Merci, … » répondit-elle, sa voix chargée d'émotions. « Pour tout … Pour ce que nous partageons … Pour ce que vous me faites découvrir … Merci … ». Ses mots étaient un murmure à peine audible au-dessus du bruit de l'eau, mais David les entendit clairement ; chaque syllabe résonnant avec la même intensité que les battements de son cœur. Ils restèrent ainsi quelques minutes, enlacés l’un dans l’autre, peau contre peau, ne faisant plus qu’un, connectés l’un à l’autre. Le monde extérieur n’existait plus. La douche italienne où régnait un vapeur chaude et humide était leur cocon. Finalement, avec une réticence palpable, David rompit leur étreinte. « On devrait sortir, » dit-il doucement, comme à contrecœur. « Nous allons finir par prendre froid ». Avec des mouvements lents, presque révérencieux, David aida Vanessa à se lever, veillant à ce qu'elle soit stable sur ses pieds avant de se stabiliser lui-même. Ils éteignirent l'eau et, main dans la main, sortirent de la douche. David attrapa une grande serviette éponge et l'enroula autour de Vanessa, frottant doucement ses cheveux et ses épaules pour la sécher, ses gestes chargés d'une attention qui rendait chaque toucher spécial. Vanessa, enveloppée dans la chaleur de la serviette et de l'attention de David, se sentait choyée et protégée. Elle attrapa une autre serviette et commença à sécher David, leurs mains parfois se rencontrant, un sourire se formant sur leurs lèvres, un rire s’échappant de leur gorge à chaque contact accidentel. Ce moment, simple mais intime, fortifiait le lien qu'ils avaient tissé, un lien qui, bien qu'encore nouveau, promettait déjà tant. Une fois séchés, David embrassa tendrement Vanessa, lui prit la main et lui dit : « Laisse-moi te détendre avant que nous allions nous coucher ».  Vanessa lui répondit d’un sourire approbatif.  Quittant momentanément Vanessa, David se dirigea vers l'armoire de la salle de bains et en sortit un flacon d'huile de massage Shunga, connue pour ses propriétés relaxantes et son parfum subtil de jasmin et de rose. « Allonge toi sur le tapis, ma belle », lui dit David. Vanessa s'installa confortablement sur le ventre sur le grand tapis moelleux posé à même le sol de la salle de bains. David s'assit devant elle, versant quelques gouttes de l'huile dans ses mains qu’il frotta pour la faire tiédir. Il commença par ses pieds, ses doigts habiles pétrissant doucement la plante, chaque orteil, remontant progressivement le long de ses mollets. Les mouvements étaient lents, rythmés, chaque pression déliant les tensions accumulées, chaque passage adoucissant la peau. L'huile rendait ses mains glissantes, facilitant leur progression sur les jambes de Vanessa, remontant vers ses cuisses. David prenait son temps, appréciant la douceur de la peau de Vanessa sous ses doigts, la manière dont elle se détendait progressivement sous son toucher. Il effleurait l'intérieur de ses cuisses charnues, laissant parfois ses doigts s'aventurer près de son intimité, arrachant à Vanessa un frisson et un soupir de contentement. David concentra ensuite son attention sur son dos et ses fesses, zones qui détenaient les secrets d'une relaxation profonde. Il versa d'abord un filet d'huile chaude le long de la colonne vertébrale de Vanessa, et ses mains suivirent le sillon créé par l'huile, étalant le liquide chaud avec des mouvements larges et fluides qui englobaient tout son dos. Chaque pression appliquée par ses mains fortes mais délicates semblait chasser le moindre stress accumulé, et chaque mouvement augmentait la chaleur corporelle de Vanessa, la faisant frémir sous l'effet combiné de la chaleur de l'huile et du toucher de David. Ses pouces s'enfonçaient profondément le long des muscles tendus de son dos, glissant vers les côtés pour contourner et envelopper ses côtes dans une étreinte rassurante. En descendant vers les hanches de Vanessa, David renforça la pression, adaptant ses gestes ensuite à la texture ferme mais moelleuse de ses magnifiques et généreuses fesses. Il pétrissait la chair douce et résiliente, laissant l'huile pénétrer et adoucir chaque tissu. Les mouvements circulaires sur ses fesses se faisaient plus insistants, mais empreints d’une infinie douceur ; venant prendre soin de celles qu’il avait martyrisées plus tôt dans cette soirée. A intervalles réguliers un doigt venait se perdre dans le profond sillon fessier de Vanessa, venant caresser avec délicatesse son anus … déclenchant comme une décharge électrique en elle … Puis, doucement, ses mains remontèrent le long de la colonne de Vanessa, effleurant à nouveau chaque vertèbre avec une précision presque méditative.  Redescendant, David appliqua l'huile de nouveau sur les hanches de Vanessa, ses mains glissant avec assurance sur ses côtés, enveloppant doucement son abdomen dans un massage apaisant. Il la fit se retourner doucement, pour qu'elle soit allongée sur le dos, et continua son travail, étendant l'huile sur son ventre, montant vers sa poitrine. Avec une délicatesse infinie, il massa ses seins, la texture riche de l'huile permettant à ses mains de glisser sans effort, accentuant la sensualité de chaque mouvement. Il s’attarda avec envie sur ses mamelons délicats. Vanessa fermait les yeux, se perdant dans les sensations, dans la chaleur des mains de David qui la parcouraient, dans le parfum enivrant de l'huile qui s'élevait autour d'eux. Les mains de David se firent plus audacieuses, explorant, prenant possession de son cou et de ses épaules, zones qu'il savait particulièrement sensibles. Vanessa gémit doucement, la tête renversée, totalement abandonnée à l'expertise de David. Il finit par remonter jusqu'à sa tête, ses doigts travaillant avec douceur le cuir chevelu de Vanessa. Après une série de gestes tendres et précis, David conclut le massage. Vanessa, enveloppée dans un état de détente profonde, se sentait reconnaissante et profondément connectée à David. Elle se leva doucement, soutenue par les mains sécurisantes de David. « Ça va ?  Tu te sens bien ?» demanda David avec un doux sourire, ses mains guidant Vanessa vers la chambre à coucher. « Infiniment bien …, grâce à Vous …." répondit Vanessa, sa voix empreinte de gratitude et de tendresse. Elle se serra contre lui. Ensemble, ils s'étendirent sur les draps frais. David les recouvrit de la couette aux couleurs safranées. Le silence de la chambre était rempli de la résonance de leur intimité partagée. David, enroulant son bras autour de Vanessa, la tira contre lui. Ils s’endormirent rapidement, leurs corps enlacés, leurs respirations synchronisées créant un rythme apaisant qui berçait leur sommeil. Lorsque le premier rayon de soleil filtra à travers les rideaux, Vanessa émergea doucement de son sommeil. Elle observa David, encore perdu dans les bras de Morphée. Son visage, détendu dans le sommeil, évoquait une sérénité qui toucha Vanessa au plus profond d'elle-même. Elle contempla les lignes de son visage, les courbes de ses lèvres, la paix et la force qu'il dégageait. Une onde de bonheur pur traversa son cœur, un mélange de gratitude et d'amour qui la fit sourire doucement. « Comment puis-je être aussi chanceuse ? » murmura-t-elle pour elle-même en se blottissant encore plus près de David, cherchant à capturer et conserver cette proximité. Son esprit divaguait entre ce qu’ils venaient de vivre, des pensées de leur futur, des rêves éveillés de ce qu'ils pourraient découvrir et expérimenter ensemble. Ce moment de tranquillité matinale était un cadeau précieux, un instant volé au temps où tout semblait possible. Prise d’une envie, soudaine mais matinalement coutumière au réveil, de soulager sa vessie, Vanessa s’extirpa avec précaution et sans bruit du lit pour ne pas réveiller David et se dirigea vers la salle de bains où elle avait vu que se trouvaient des toilettes. Nue, elle s’assit sur la cuvette en émail des toilettes et relâcha ses muscles. Laissant son corps profiter de ce plaisir physique d’abandon naturel, son esprit divaguait …  Elle pensait à la profondeur de sa soumission à lui, un engagement qui la terrifiait autant qu'il l'exaltait. « Cet homme, » pensait-elle, « a dévoilé des parties de mon être que je ne connaissais pas. Son emprise sur moi, douce et ferme, réveille un désir ardent de lui appartenir complètement. » La sensation de sécurité qu'elle éprouvait avec David était paradoxale, car elle s'exposait à une vulnérabilité qu'elle n'avait jamais osé explorer auparavant. Chaque ordre de lui, chaque contact, renforçait son désir de se soumettre à lui, de devenir sa protégée, son trésor.  « Être à lui, sous sa protection, sous son contrôle, » réfléchissait-elle, « c'est comme si chaque fibre de mon être reconnaissait son maître légitime. » Cette reconnaissance de sa propre soumission n’était pas sans provoquer un mélange d’appréhension et d’excitation. Vanessa savait qu’elle se tenait à l'aube d'un chemin à la fois terrifiant et magnifiquement libérateur. Elle s’imaginait à ses côtés, explorant des profondeurs de passion et de confiance qu’elle n’avait jamais connues, chaque moment se révélant comme un chapitre nouveau et exaltant de leur livre à écrire ensemble. Toute à ses pensées et à son abandon corporel, les yeux fermés, Vanessa n’avait pas entendu David qui se tenait dans l’embrasure de la porte de la salle de bains, les yeux fixés sur elle, un sourire aux lèvres devant tant de beautés. Lorsqu’elle ouvrit les yeux et le vit, elle ne put réprimer un cri de surprise. Dans un geste instinctif de protection, elle referma instantanément ses jambes, cachant son sexe d’une main et ses seins de l’autre. Remplie de honte, ses joues s’étaient immédiatement empourprées. La tête baissée, n’osant pas le regarder, elle lâcha « Oh David … désolée … j’ai oublié de fermer la porte … ». David s'avança doucement vers elle, un sourire rassurant effleurant ses lèvres. « Mais non, surtout pas... c'était très beau, » dit-il avec douceur, dissipant l'atmosphère de gêne qui commençait à s'installer. Il s'approcha encore, se pencha pour capturer ses lèvres dans un baiser tendre et réconfortant, ses mains trouvant les siennes, les enveloppant dans une étreinte rassurante. « Continue, je t'en prie... ne t'arrête pas pour moi, ... au contraire ...» murmura-t-il, encourageant Vanessa à reprendre son geste naturel. Vanessa, bien que troublée par la situation inattendue et terriblement indécente, ne put qu'obéir, touchée par l'acceptation et le désir non dissimulé dans les yeux de David. Lentement, elle écarta ses jambes puis relâcha de nouveau ses muscles, laissant le flux reprendre son cours sous le regard attentif et admiratif de David. Tandis que le murmure apaisant de son propre corps reprenait, Vanessa se laissa submerger par les émotions qui affluaient : le mélange de honte initiale, de vulnérabilité, et cette étrange excitation de se savoir complètement acceptée et même adorée dans son état le plus naturel, même dans cette position si indécente. David était comme subjugué par le flot ininterrompu de nectar doré qui s’échappait de Vanessa. La voir ainsi, exposée, impudique et néanmoins si belle dans son humanité la plus pure, le touchait profondément. C'était comme si elle lui offrait un cadeau d'une intimité sans pareille, renforçant le lien unique qu'ils partageaient.  Il ressentait aussi un frisson de pouvoir, conscient de l'effet de sa présence sur elle, et du contrôle qu'il exerçait dans leur dynamique. Cette reconnaissance de sa soumission volontaire à son encontre procurait une satisfaction qui résonnait bien au-delà du plaisir physique, s'ancrant dans une connexion émotionnelle et psychologique. Toutefois, ce n'était pas seulement le pouvoir qui le captivait, mais la confiance qu'elle déposait en lui. Il se sentait responsable de cette confiance, valorisé et honoré par sa capacité à se montrer si ouverte et sincère avec lui. Chaque moment comme celui-ci renforçait son engagement à être digne de cette confiance, à la protéger, à la soutenir, à la chérir, à la guider. La sensation d'être observée dans un acte si intime et personnel ajoutait une couche supplémentaire à la soumission de Vanessa, intensifiant l'expérience d'une manière qu'elle n'avait jamais anticipée. Lorsque David plaça sa main entre ses jambes, recueillant le liquide chaud qui émanait d’elle et commença à masser sa chatte, elle faillait s’évanouir de plaisir … La main de David était douce, presque révérencieuse, comme s'il honorait chaque partie de son être à travers ce geste audacieux. Vanessa sentit son corps répondre instantanément, chaque touche de ses doigts électrisant sa peau déjà hypersensible. « C'est... c'est incroyable, David... » souffla-t-elle, sa voix tremblante de désir et de révélation. David répondit avec un sourire entendu, ses yeux plongés dans les siens, un miroir de la passion qu'il ressentait. « Je t'ai dit... tout de toi est magnifique, Vanessa. Je veux que tu saches à quel point tu es belle, en tout temps, dans chaque état. » Les mots de David, prononcés avec tant de sincérité, semblaient faire fondre toutes les barrières restantes entre eux. Vanessa, se sentant adorée et valorisée, se laissa aller encore plus profondément dans cette expérience, laissant les sensations et les émotions l'envahir pleinement. « J'aime être à vous, David... à vous… complètement, » murmura-t-elle, les yeux mi-clos, abandonnant chaque once de réserve. Ce simple aveu semblait sceller un pacte non-dit entre eux, un accord profond et immuable de dévotion et d'exploration partagée. La douceur de la main de David contrastait et complétait la domination implicite de son contrôle, offrant à Vanessa une expérience de soumission totale qui transcendait le physique pour toucher son âme. Chaque mouvement de ses doigts, chaque pression contre elle n'était pas seulement un acte de plaisir, mais un acte de communication, affirmant leur lien unique et la profondeur de leur connexion. Alors que la main habile de David couverte du nectar doré de Vanessa continuait à la caresser et à l’explorer, Vanessa sentit une montée irrésistible de plaisir s'amplifier en elle, propulsée non seulement par les caresses physiques mais aussi par la profondeur émotionnelle de l'instant. « Vas-tu venir pour moi, Vanessa ? » murmura David, sa voix basse vibrante d'un désir contrôlé. Elle ne pouvait que hocher la tête, incapable de parler, alors que les vagues de plaisir commençaient à déferler en elle. Sous la maîtrise experte de David, Vanessa jouit intensément, un cri étouffé s'échappant de ses lèvres alors qu'elle s'accrochait à la réalité par un fil. David, attentif à chaque tremblement, ralentit ses mouvements, prolongeant son extase, avant de doucement retirer ses doigts trempés des nectars de son intimité. Avec un geste délibéré, il porta ses doigts à ses propres lèvres, goûtant les nectars mélangés de Vanessa, les yeux fixés sur elle. « C'est toi... tout de toi, » dit-il, savourant chaque instant. Puis, il offrit ses doigts à Vanessa. « Goûte, » invita-t-il, encourageant une intimité partagée. Avec une hésitation initiale qui se transforma rapidement en acceptation, Vanessa lécha doucement, puis plus fermement, les doigts de David. Le goût salé et doux de son propre corps sur sa langue était un rappel puissant de leur intimité partagée, un acte qui scellait davantage son désir de se soumettre à lui, de lui appartenir. David, regardant Vanessa avec une intensité qui allait bien au-delà du désir physique, sentit une connexion encore plus profonde se solidifier entre eux. « Tu es parfaite, » murmura-t-il, et ce simple compliment semblait porter en lui toute la puissance de son engagement envers elle. « Merci, » souffla-t-elle finalement, un sourire timide se frayant un chemin sur ses lèvres. Sa gratitude n'était pas seulement pour son acceptation en ce moment, mais pour tout ce qu'il avait éveillé en elle, pour l'espace qu'il avait ouvert où elle pouvait être elle-même sans réserve. « Mon Maître, mon amour, mon protecteur, » songeait-elle en sentant son cœur battre contre le sien, « guide-moi là où tu voudras, car ma confiance en toi est entière ». Le sentiment de plénitude qui l'envahissait alors que le soleil montait dans le ciel et embrasait la salle de bains était comme un signe, un symbole indéniable qu'elle avait trouvé non seulement un amant, mais aussi un guide, un maître auquel elle désirait se dédier entièrement. Elle voulait n'être nulle part ailleurs que là où elle se tenait.   (A suivre)   Source de l’illustration : Dession de Calypso Redor
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Par : le 10/09/24
Dans l'apaisement qui suivit, un silence doux enveloppa la chambre, parsemé seulement par les respirations entrecoupées de Vanessa et de David, témoins de leur ardeur passée. Vanessa, encore frissonnante sous l'effet des ondes de son plaisir, sentait la fraîcheur des draps contre sa peau brulante, un contraste qui apaisait doucement ses sens enflammés. Son corps détendu gisait dans une pose de soumission satisfaite, ses yeux mi-clos reflétant un mélange de fatigue et d'extase. David reprit petit à petit ses esprits. Il n’avait pas joui aussi intensément depuis bien longtemps. Regardant Vanessa, allongée là, si vulnérable et pourtant si pleinement offerte, un sentiment de profonde admiration et de respect s'infiltra dans le cœur de David. Cette femme était un cadeau du ciel. La lueur des bougies se reflétait sur sa peau, accentuant les contours de son visage détendu, ses cheveux de feu éparpillés autour d'elle comme un halo sauvage. Ses fesses toujours tendues étaient un temple de beauté au creux duquel se tenaient des trésors encore palpitants. Dans le regard de David, il y avait une lueur de quelque chose de plus tendre, plus profond que les simples désirs physique et de domination qui l’habitaient. Il se sentait incroyablement privilégié, conscient de la confiance immense que Vanessa lui avez accordé, lui accordait. Chaque soupir, chaque frisson qu'elle avait partagé avec lui ce soir renforçait son attirance envers elle. Elle n'était pas seulement une partenaire de jeux, mais une complice de son âme, quelqu'un qui lui permettait d'explorer les profondeurs de sa propre nature sans jugement. O’ certes, ils n’étaient qu’au tout début de leur relation ; et il était bien trop tôt pour faire des plans sur la comète. Mais la relation qui se tissait entre eux était comme une évidence. La beauté de son abandon lui rappelait pourquoi il cherchait cette connexion si intense, ce mélange de pouvoir, de contrôle et d'intimité. En elle, il voyait non seulement une possible future soumise mais aussi une partenaire égale dans leur danse de volontés, une possible compagne avec qui évoluer dans la vie main dans la main, les yeux braqués dans une direction commune. Elle lui inspirait une passion qui allait au-delà du plaisir physique, touchant des parties de son être qu'il ne livrait pas facilement. David sentait une vague de tendresse l'envahir, mêlée à une protection presque instinctive. Il savait qu'il ferait tout pour garder, développer, enrichir et faire grandir ce lien précieux intact, pour explorer avec elle de nouveaux territoires de leur relation complexe et enrichissante. Tandis qu'il observait Vanessa respirer doucement, il se promettait de continuer à mériter la confiance qu'elle lui avait donnée. David se pencha doucement, ses gestes mesurés et pleins de révérence. Avec une délicatesse palpable, il retira la chaîne dorée qui reliait les menottes de Vanessa, libérant ses bras qui tombèrent, lourds et fatigués, de chaque côté de son corps. Chaque mouvement était un ballet de soins et d'attention, comme s'il manipulait les pièces les plus précieuses d'un trésor fragile. Ensuite, il s'attaqua aux attaches de cuir qui liaient les chevillières de Vanessa au lit. Le déclic des fermoirs résonna doucement dans la pièce silencieuse, comme la fermeture d'un chapitre intense et passionné. À mesure que les contraintes se relâchaient, le corps de Vanessa s'affaissa, une liberté retrouvée enveloppant son être. Elle s’étendit, relâchant chaque muscle, chaque tension conservée pendant leur jeu intense. Le sperme encore tiède de David, témoin de leur connexion ultime, coulait lentement le long de ses fesses rebondies … certaines gouttes avaient trouvé leur chemin dans la raie profonde de ses fesses formant un chemin luisant qui brillait et mettait plus en valeur encore l’intimité humide de Vanessa. Les fesses de Vanessa ondulaient doucement au contact de ce nectar tiède qui venait s’insinuer  Le spectacle qui s’offrait à David était d’une beauté et d’un érotisme saisissant : une œuvre d'art vivante, une célébration de la sensualité. David vint s'asseoir à côté d'elle, caressant doucement son dos avec une affection tendre. Son toucher était un murmure contre sa peau, promettant soin et protection après l'intensité de leurs étreintes. Vanessa, répondant à la douceur de son geste, se tourna pour le regarder, ses yeux reflétant une gratitude silencieuse et une profonde satisfaction. « « Merci … » souffla-t-elle, dans un sourire radieux. « Merci à toi ! » lui répondit David en l’embrassant tendrement. « Tu es juste incroyable, … sublime … » continua-t-il. Vanessa, touchée par les paroles et les gestes de David, sentit son cœur s’emplir d’une émotion nouvelle et profonde. Son soudain tutoiement la faisait fondre et la ravissait. Par contre elle ne se voyait pas le tutoyer. Elle était trop impressionnée.   Elle se tourna vers lui, une hésitation dans la voix, et révéla son trouble. « David, je suis plus que ravie de tout ce que nous vivons ensemble... par contre … euh … je … enfin, je suis très heureuse que vous me tutoyiez … mais … je me sens plus à l'aise de continuer à vous vouvoyer, si vous le permettez. Ça me donne une certaine distance... nécessaire, je pense, pour moi, … dans ce que nous vivons … vous … euh … vous m’impressionnez …  » dit-elle en rougissant comme une adolescente. David, l'écoutant attentivement, acquiesça d'un signe de tête, son regard empreint de compréhension et de respect pour ses besoins, et aussi d’une infinie tendresse devant une femme aussi attirante et touchante. « C’est comme tu le sens, Vanessa. Je veux que tu te sentes à l’aise et en confiance, toujours, » dit-il avec douceur, la rassurant. Alors qu’ils s’étreignaient de nouveau, enlacés l’un contre l’autre, enivrés par l’odeur de leurs corps qui respirait le sexe, l’horloge du salon sonna 5 heures. Ils s’interrompirent, les yeux dans les yeux, et partirent d’un éclat de rire commun : «  Il est déjà 5 heures ! On est un peu fou, non ?! » dit David. « Oh oui », sourit Vanessa… « Mais c’est tellement bon » continua-t-elle, rougissant de nouveau … Souriant doucement, David lui caressa la joue. Vanessa était d’une beauté renversante en cet instant. « Et si nous allions nous rafraîchir un peu? » dit David. Elle s’approcha de ses lèvres ; y déposa un tendre baiser. « Je vous suis David »   Avant de se diriger vers la salle de bains, David, avec des gestes pleins de tendresse, retira un à un les menottes, les chevillières et le collier qui ornaient encore le corps de Vanessa. À chaque retrait, il déposait un baiser sur ses poignets délicats, ses pieds fins et son cou accueillant. Tous deux nus, ils se dirigèrent vers la salle de bains. David appuya sur l’interrupteur à intensité : la pièce s’illumina d'une lumière douce et chaleureuse. Les murs carrelés en marbre blanc créaient une atmosphère luxueuse et apaisante. Une grande baignoire îlot trônait au centre, invitante avec ses courbes élégantes et ses robinets en laiton poli qui scintillaient sous l’éclairage tamisé. À côté, une douche à l’italienne en verre transparent promettait une cascade rafraîchissante, complétée par un panneau de commandes moderne permettant de régler la température et l'intensité des jets d’eau. David s'approcha des commandes de la douche, ajustant les divers robinets pour que l'eau soit à bonne température. L'eau commença à couler du plafond comme une lente cascade, créant un bruit apaisant qui emplissait la pièce. Vanessa, entraînée par David sous le jet doux, sentit l'eau chaude couler sur son corps voluptueux. Elle ferma les yeux, laissant l'eau caresser sa peau, glissant sur ses épaules, le long de ses courbes, et entre ses seins. L'eau enveloppait Vanessa, réchauffant son corps tout en apaisant les traces de leur jeu passionné. Elle pouvait sentir chaque goutte explorer sa peau, chaque frisson amplifié par la chaleur de l'eau qui contrastait avec la fraîcheur des draps qu'elle avait quittés. L'expérience sensorielle était renforcée par la vue de David, nu devant elle, son corps baigné dans la lumière douce qui accentuait chaque muscle, chaque ligne de son corps. David ouvrit un flacon de baume nettoyant de chez Molton Brown, dont l'arôme de bois de cèdre et d'orange japonaise se mêlait à la vapeur d'eau pour remplir la salle de bains d'un parfum relaxant et masculin. Il prit une noisette du baume dans ses mains, les réchauffant entre ses paumes avant de les poser sur le corps de Vanessa. Avec des mouvements méticuleux et sensuels, il commença à masser le baume sur elle, partant de ses épaules pour descendre doucement vers ses seins, où chaque cercle de ses mains attisait un désir encore vibrant en elle. Les mains de David glissèrent ensuite vers ses hanches et plus bas encore, massant le baume sur ses fesses dans des mouvements qui mêlaient fermeté et douceur, provoquant chez Vanessa des soupirs de plaisir. Lorsqu'il atteignit ses cuisses, il prit le temps de les malaxer doucement, ajoutant à la détente physique une promesse érotique presque palpable. Chaque contact de David était un mot d'amour écrit sur sa peau avec le baume, chaque mouvement affichait son dévouement et son désir de prendre soin d'elle. Vanessa, à son tour, prit du baume et commença à l'appliquer sur David. Ses mains explorèrent d'abord son torse, prenant soin de caresser et de pincer ses mamelons dont elle avait décelé qu’il y était très sensible ; puis elles descendirent vers son ventre. Lorsqu'elle atteignit son sexe, elle le saisit doucement, le branlant avec une tendresse teintée d'urgence, sentant David frémir sous ses caresses. Le pénis de David était de nouveau raide et palpitant. Ce qui fit fondre Vanessa. Enhardie par ses réactions, elle quitta le sexe de david et se mit à masser ses seins avec le baume, laissant ses mains glisser sur son propre corps en une danse ensorcelante, alors que David, porté par l’excitation s'était mis à la doigter, explorant son intimité avec une précision qui la ramenait au bord de l'extase. La douche se transforma en sanctuaire de leur plaisir partagé. Vanessa, électrisée par la sensation des doigts de David qui glissaient profondément en elle, gémissait contre le mur carrelé, la chaleur de l'eau amplifiant chaque caresse, chaque intrusion. David, encouragé par ses gémissements, accentuait ses mouvements, ses doigts habiles jouant avec elle dans un rythme de plus en plus insistant. L'eau chaude coulait sur eux, enveloppant leurs corps dans un voile humide et brûlant, dessinant des ruisseaux le long de leurs peaux et s'entremêlant avec le savon et la sueur. L'odeur du baume se mélangeait avec l'arôme naturel de leur désir, créant une fragrance unique qui marquait ce moment comme hors du temps. David, avec une ardeur renouvelée, plaqua Vanessa contre le mur de la douche, son corps contre le sien, son sexe dur pressant contre elle. Sans plus attendre, il la pénétra, sa poussée douce mais puissante la remplissant complètement. Vanessa poussa un cri étouffé, une exclamation de plaisir pur qui résonna contre les carreaux. Sous l'assaut rythmé de David, chaque mouvement plus profond que le précédent, Vanessa sentait une montée irrésistible de plaisir. Ses propres mains couraient sur son corps, pinçant ses mamelons durcis, suivant les lignes de ses propres muscles tendus par l'effort et le plaisir. David, avec une main toujours sur la paroi de la douche pour se stabiliser, explorait son corps, encourageant chaque cri, chaque gémissement qui s'échappait de ses lèvres. Il enserra tendrement mais fermement le cou de Vanessa dans un geste d’amour et de possession. Leurs corps s'alignaient parfaitement, le sexe de David glissant avec aisance dans la chaleur de Vanessa, chaque coup accompagné par le son de l'eau qui clapotait contre eux. Vanessa, portée par une vague d'émotions et de sensations, sentait son orgasme monter rapidement. La pression de l'eau sur son corps, la main de David autour de son cou, tout contribuait à son ascension vers l’orgasme. Dans un dernier cri rauque, Vanessa atteignit l'orgasme, ses muscles se contractant autour du sexe de David, l'entraînant dans son propre abandon. David, poussé par l'intensité de l'orgasme de Vanessa, accéléra ses mouvements. « Puis-je venir en toi » murmura-t-il à Vanessa d'une voix saccadée par l’excitation. « Je vous en prie » souffla Vanessa. David redoubla l'intensité de ses mouvements jusqu'à ce qu'il atteigne à son tour l’orgasme, son corps se tendant dans un spasme de libération ; son nectar nacré prenant possession de l’intimité de Vanessa… Épuisés mais exaltés, ils s'effondrèrent ensemble sur le sol de la douche, leurs corps enlacés dans un tapis d'eau tiède qui continuait de couler doucement sur eux. La chaleur de l'eau mêlée à la chaleur de leurs corps créait une atmosphère presque tropicale, un microclimat de leur intimité et de leur passion partagée. Le souffle court, ils se tenaient l'un contre l'autre, leurs cœurs battant à l'unisson sous le jet apaisant de la douche, leurs esprits flottant quelque part entre la réalité et un rêve éveillé.   (A suivre) Source de l'illustration : photo libre de droit de l'internet
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Par : le 08/09/24
Vanessa ressentait chaque pince comme une morsure délicate, une invitation à un monde d’abandon fait de plaisir intense et de douleur exquise. Le poids des bijoux en verre vénitien tirait légèrement sur ses tétons, provoquant une cascade de sensations qui couraient le long de son échine, amplifiant son désir et laissant son sexe palpitant de désir et de plus en plus humide. David saisit les bijoux et tira lentement sur les pinces vers lui, étirant les mamelons jusqu’à l’extrême. Le sang affluait à foison dans les mamelons distendus de Vanessa devenus pourpres, les rendant plus épais et plus sensibles encore. David observait les réactions de Vanessa : les yeux clos, la tête penchée en arrière, elle se mordait les lèvres sous l’effet de la douleur contrôlée que lui infligeait David. Plutôt que de se refuser, elle s’offrait : la poitrine offerte et tendue vers lui, les cuisses plus ouvertes que jamais. Satisfait de l'effet produit, le visage illuminé par un mélange de fierté et de désir. David murmura des mots de louange, accentuant l'atmosphère de confiance et de complicité qui les enveloppait. « Chaque gémissement, chaque frisson de votre corps, me confirme que vous êtes faite pour ressentir ces plaisirs, » lui dit-il d'une voix basse et rauque. Vanessa, en réponse, laissa échapper un soupir chargé de désir, son corps entièrement réceptif aux expériences que David continuait à orchestrer avec une précision et une tendresse maîtrisées. Lorsque David relâcha sa pression sur les pinces, les seins de Vanessa rebondirent légèrement comme dans un film au ralenti ; les mamelons gonflés et rougis par l'intense stimulation lançant les bijoux dont ils étaient ornés dans une danse électrisante qui ravissait la vue de David et tirait un soupir de soulagement et de plaisir de la bouche entrouverte de Vanessa. Glissant sa main droite entre les jambes écartées de Vanessa, David enserra doucement son sexe palpitant de désir. Sa paume chaude et ferme se pressa contre elle, englobant la chaleur et l'humidité de son intimité que révélaient son tanga imbibé de cyprine . « Comment vous sentez-vous, Vanessa ? » demanda-t-il, sa voix basse résonnant d'un mélange d'autorité et de douceur. Vanessa ouvrit les yeux lentement, rencontrant le regard intense de David. Les mains toujours derrière sa nuque, la poitrine offerte et le corps arqué, elle était décidément d’une exceptionnelle beauté se dit David. Elle respira profondément, cherchant ses mots dans un souffle haletant, « Je me sens… ». Elle marqua un silence : elle cherchait ses mots tant les intenses émotions qu’elle ressentait étaient multiples et embrouillaient son esprit. « Je me sens incroyablement vivante entre vos mains » finit-elle par articuler, sa voix tremblante témoignant de la profondeur de ses sensations et de son abandon total à l'expérience. À ces mots, David resserra son emprise sur le sexe de Vanessa, sa main épousant chaque contour avec une précision qui amplifia instantanément son plaisir. La pression accrue fit dégouliner de désir le sexe déjà humide de Vanessa, des gouttes de plaisir pur s'échappant librement. Elle gémit plus ouvertement, son corps répondant par des spasmes de plaisir à la prise ferme et assurée de David ; chaque mouvement de sa main envoyant des vagues de plaisir intense à travers son corps. David sourit tendrement à Vanessa et déposa un baiser sur son front, son geste doux contrastant avec l'intensité de leur interaction. « Continuons alors. Restez en position, » murmura-t-il de sa voix rauque et sécurisante. Il se déplaça derrière elle, et, avec une délicatesse qui contrastait avec la fermeté de ses intentions, prit un à un ses bras pour les placer délicatement dans son dos. David saisit alors une des chaînes dorées qu’il avait placé sur les draps et fixa ses extrémités aux anneaux des menottes de Vanessa, rapprochant ses mains liées pour accentuer son emprise, à la fois physique et psychique, sur elle. Saisissant les mains enchaînées de Vanessa d'une seule main, il l'attira doucement mais fermement contre lui. La tête de Vanessa se cala contre son épaule, sa respiration s'alourdissant sous l'effet de sa proximité et du contrôle exercé. David, ses mains désormais libres, commença à caresser ses seins opulents avec douceur avant de les pétrir plus fougueusement ; ses doigts habiles venant parfois saisir les pinces pour étirer de nouveau les mamelons sensibles et gorgés de désir de Vanessa. Vanessa frémissait sous chaque manipulation, les sensations de douleur accentuant son excitation et déclenchant un plaisir profond. Chaque pression sur sa poitrine envoyait des ondes de chaleur à travers son corps, centrées sur son sexe déjà inondé de désir. La manière dont David manipulait ses seins, avec à la fois force et précision, exacerbait son besoin de se soumettre à lui, chaque toucher renforçant son envie de rester captive dans cette étreinte dominante. « Nous allons accentuer, intensifier les choses, Vanessa » lui susurra-t-il à l’oreille. « Etes-vous prête ? ».  À ces mots, Vanessa, tout en respirant profondément, répondit dans un murmure chargé d'excitation et d’impatience « Oui, David... je suis à vous ». Quasi-instantanément, David répondit d'un ton impérieux mais chargé d'affection : « Oui, tu es à moi, ma petite salope. » Sa main la poussa alors vigoureusement en avant : la tête et les épaules de Vanessa vinrent épouser les draps, tout en soulevant et cambrant sa croupe vers le ciel. David saisit son tanga et le tira avec violence vers le bas comme s’il voulait l’arracher. La dentelle fine ne résista pas à l’assaut et se déchira. Utilisant ses deux mains, David peaufina son ouvrage et mit cette délicate pièce de lingerie en lambeaux. La position de Vanessa était maintenant d’une indécence totale : elle ne cachait rien de son intimité à David ; elle la lui offrait même. Elle ressentait un sentiment jusqu’alors inconnu pour elle : un mélange paradoxal de honte et de fierté ; de vulnérabilité et de puissance. Honte de se tenir dans une telle position peu digne de la femme respectable et bien élevée qu’elle était ; mais en même temps si fière de déclencher chez cet homme ce désir et cette autorité vis-à-vis d’elle et de voir dans ses yeux combien il l’admirait. Elle se surprenait aussi à aimer la position dans laquelle elle était : les mains liées dans le dos, elle ressentait la fraîcheur des draps contre sa peau chaude ; le poids de son propre corps poussait ses seins vers le matelas, augmentant la pression et l'excitation générées par les pinces ; ses fesses offertes étaient une invitation qu’elle assumait totalement. Dans cette posture d'abandon total, elle était à la merci des désirs de David, chaque commande, chaque mot de lui se gravant profondément dans son esprit, éveillant une soumission de plus en plus fervente. En même temps, si elle se sentait certes soumise, elle était aussi totalement maitresse de son destin, sachant qu’elle pouvait arrêter ce jeu à tout moment en utilisant le mot magique que David lui avait demandé de choisir. David, toujours méthodique dans son approche, écarta un peu plus les jambes de Vanessa, positionnant son corps pour une exposition maximale. Ses mains expertes commencèrent à explorer les fesses rebondies et généreuses de Vanessa, les caressant, les malaxant, les empoignant, voire les fessant avec une assurance qui provoquait des frissons sur sa peau. Chaque fessée appliquée faisait échapper à Vanessa des gémissements doux, des sons qui se mêlaient à l'atmosphère chargée de la chambre. La main de David glissait de temps à autre entre ses fesses, caressant avec audace sa vulve palpitante et son anus, chaque contact envoyant des vagues de plaisir à travers son corps déjà en émoi. Poursuivant sa domination, David prit une des attaches de cuir et la fixa à l’anneau de la chevillière du pied droit de Vanessa, puis la lia à l'attache ciselée du lit. Il répéta la procédure avec la chevillière gauche, s’assurant ainsi que Vanessa ne puisse plus bouger de cette position offerte et indécente. Les contraintes étaient serrées juste assez pour limiter ses mouvements sans causer de douleur, accentuant le sentiment d'emprise et d'exposition. David, se délectant de la situation, resta un moment à contempler Vanessa, immobilisée et offerte. Il pouvait voir chaque frémissement parcourir son corps, chaque respiration haletante accentuer la courbure de son dos. Avec un désir grandissant, David fit glisser ses doigts le long des courbes exposées de Vanessa, s'attardant sur sa vulve humide et palpitante de désir. Il jouait avec elle, ses doigts habiles caressant, explorant, écartant délicatement les lèvres pour découvrir l'intimité trempée de Vanessa, provoquant chez elle des gémissements de plaisir pur. Son excitation à lui était palpable, visible dans la tension de son corps, l'érection forte qui se pressait contre caleçon en étant l’incarnation la plus directe. N’en pouvant plus, David baissa son caleçon pour libérer son sexe tendu. Il le prit en main et laissa son gland dur frôler et taquiner l'entrée de la vulve de Vanessa … glissant entre les lèvres humides … remontant jusqu'à son clitoris pour un instant de stimulation directe qui arracha à Vanessa un cri étouffé de plaisir. Il se lança dan un va-et-vient entre les lèvres chaudes et le clitoris dressé de Vanessa, la tenant fermement par les fesses. Vanessa, électrisée par chaque contact, sentait son corps répondre avec une intensité qu'elle n'avait jamais connue auparavant. Sa vulve, enflammée et réceptive, coulait de désir, et accompagnait chaque mouvement de David. Elle sentait les attaches emprisonner ses chevilles. Le seul mouvement qu’elle maitrisait était celui de son bassin qui prenait le contrôle de tout son être dans une danse harmonieuse avec la queue raide de David.   Malgré l’excitation et l’attirance intenses qui unissaient leurs corps, David maintenait le contrôle, poussant Vanessa aux limites de son désir sans jamais la pénétrer complètement. Chaque fois que son gland effleurait son clitoris, Vanessa gémissait, implorant presque dans son souffle haletant un soulagement que David refusait encore de lui donner. Il s'amusait à explorer, à stimuler, à tourmenter les lèvres gonflées de Vanessa, chaque mouvement étant un mélange exquis de promesse et de torture. Dans un moment de désespoir croissant, Vanessa se tourna vers lui, sa voix tremblante : « S'il vous plaît, David, je vous en supplie... prenez-moi …». Sa demande était un murmure, un aveu de sa dépendance totale aux sensations qu'il lui offrait. Mais David, avec un sourire en coin, continuait son jeu sadique, son gland glissant encore une fois tout le long de son sexe détrempé, appuyant juste assez pour qu'elle puisse sentir ce qu'elle manquait. Ne pouvant plus supporter cette frustration exquise, Vanessa implora de nouveau, cette fois avec plus d'intensité. « Prenez-moi, David, maintenant, je ne peux plus attendre ! » Sa voix brisée par le désir était presque irrésistible. « Tu veux ma queue, petite chienne ? » lui demanda alors David, la fixant de son regard, tout en continuant de la supplicier de son mouvement de va-et-vient. « Oui … » lâcha Vanessa dans un souffle. « Je n’ai pas bien compris » répondit David dans un sourire espiègle et presque diabolique, redoublant d’intensité dans son regard. « Oui je la veux » répondit  Vanessa. « Où cela, petit chienne ? » demanda David en empoignant ses bras enchainés, la faisant se cambrer. « Dans ma chatte …» se surprit à répondre Vanessa dans un souffle, elle qui n’utilisait d’habitude jamais de tels termes. Ses joues se mirent à rougir … « Où cela, ma petit chienne ? » répéta David affermissant la tension de son dos arqué en tirant plus avant sur ses bras. « Dans … dans ma chatte de petite chienne … » lâcha-t-elle, son visage s’empourprant de honte et de plaisir mêlés … À ces mots, David, les yeux emplis d'une lueur sauvage, saisit fermement les longs cheveux roux de Vanessa, tirant sa tête en arrière avec une maîtrise qui lui arracha un cri de surprise mêlé d'excitation. Il positionna son gland à l'entrée de la vulve palpitante de Vanessa, humide et ouverte, prête à l'accueillir. D'un mouvement doux mais implacable, il la pénétra de toute sa longueur, provoquant un hurlement de plaisir qui résonna dans la chambre. Vanessa sentit chaque pouce de son être se remplir, son corps s'arc-boutant sous l'assaut puissant. « Tu es à moi, ma petite chienne …» murmura David, maintenant immobile en elle, savourant la sensation de plénitude. « Oui … à vous … toute à vous, » gémit Vanessa, ses mots confirmant son abandon complet. David commença alors à se mouvoir en elle, lentement d'abord, puis avec une intensité croissante, chaque poussée plus profonde et plus ferme que la précédente. Les sensations que Vanessa éprouvait étaient indescriptibles; la plénitude, le frottement du gland et de la queue raide de David contre ses parois internes, chaque mouvement amplifiant le plaisir qui s'enroulait, serré et chaud, dans son ventre. L'excitation montait en Vanessa à chaque mot cru que David prononçait, chaque terme vulgaire éveillant en elle une résonance sauvage qu'elle n'aurait jamais imaginée aimer. Sa honte initiale se transformait en un désir ardent, poussant ses hanches à rencontrer les siennes avec un abandon fébrile. Le rythme s'intensifiait, les sons des corps qui s'entrechoquaient remplissaient l'air, mélangeant gémissements et souffles coupés. Vanessa, submergée par l'intensité de son plaisir, sentit l'orgasme monter irrésistiblement. Avec un cri qui déchira le silence, elle se libéra, son corps secoué de spasmes alors que son orgasme la submergeait complètement. À l'apogée de son excitation, David se retira du sexe bouillant de Vanessa. Dans un dernier mouvement, sa queue glissa entre les fesses de Vanessa et libéra son nectar nacré sur son fessier rebondi, arrachant un râle de satisfaction de sa bouche.  Vanessa sourit de satisfaction lorsque le sperme chaud de David vint se répandre sur ses fesses. Son corps encore frémissant sous l'effet de leurs échanges passionnés, elle leva ses yeux vers David dont le corps était encore tremblant de sa jouissance. Oui elle était toute à cet homme qui la révélait à elle-même  … ou tout au moins elle voulait vraiment, pleinement l’être … Elle ferma les yeux, profitant de cet instant d’une rare plénitude. (A suivre) Source de l'illustration: photo libre de droit de l'internet
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