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MaitreJeanM

Homme Dominateur. Vit à Bruxelles, Bruxelles, Belgique. 53 ans. est engagé(e).
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 14/09/24
Dans la cuisine ouverte de David, baignée par la lumière matinale qui filtrait à travers les larges fenêtres, Vanessa et David s'affairaient autour d'un petit-déjeuner copieux. Vanessa, encore enveloppée dans la douceur de leur matinée intime, versait le café dans deux grandes tasses. David, quant à lui, finissait de préparer des œufs brouillés onctueux. La table était déjà garnie de fruits frais, de viennoiseries diverses, d’une baguette dorée et de jus d'orange fraîchement pressé, disposant ainsi tout pour un début de journée parfait. Ils s'assirent face à face, échangeant des sourires complices et des regards chargés d'affection. Vanessa prit une bouchée de croissant au chocolat, le goût sucré dansant sur sa langue, tandis que David la regardait avec tendresse. « J'aurais aimé que ce moment ne s'arrête jamais, » souffla Vanessa, ses yeux reflétant à la fois le bonheur et la mélancolie de devoir bientôt partir. David saisit sa main sur la table, la pressant doucement. « Chaque moment avec toi est un trésor que je garde précieusement, » répondit-il, sincère. Ils continuèrent de petit-déjeuner, partageant anecdotes et rires, remplissant l'espace de leur complicité et de leur amour naissant. Cependant, l'heure avançait inexorablement, et Vanessa, le cœur lourd, réalisa qu'il était temps de partir pour rentrer chez elle se changer et se préparer pour le déjeuner en famille prévu de longue date qu'elle ne pouvait éviter. Elle en fit part à David et se leva à contrecœur. David l'accompagna à la porte. Avant qu'elle ne parte, il lui tendit un petit paquet cadeau soigneusement enveloppé. « Un petit quelque chose … pour que tu penses à moi … » dit-il avec un sourire mystérieux, l’embrassant ensuite à pleine bouche et l’étreignant avec ferveur. Surprise et curieuse, Vanessa prit le paquet, échangeant un dernier baiser avec David avant de sortir. Arrivée à sa voiture, elle ne put contenir son impatience et toute frémissante elle déchira le papier noir entouré d’un ruban doré qui enveloppait une petite boite en bois d’orme. À l'intérieur, elle découvrit deux sachets, l’un rouge carmin, l’autre bleu turquoise ;  ainsi qu’un petit mot manuscrit de David plié en quatre portant cette simple inscription « A Vanessa ». Le cœur battant, elle déplia le mot et lut. « Ma chère Vanessa, Lorsque j’écris ces mots à la lueur de la bougie, tu es là, endormie, rayonnante de beauté et de sérénité. La couette cache à peine ton corps voluptueux et envoutant … et j’ai du mal à quitter du regard cette vision féérique. Je voulais par ces quelques mots écrits à la hâte mais du fond de mon cœur et de mon âme te remercier pour les moments magnifiques que nous venons de passer ensemble. Tu es une femme absolument sublime : merveilleuse, attachante, belle, élégante, lumineuse, lubrique, enivrante, malicieuse, intelligente, adorable … Je suis pleinement sous ton charme. Et si tu le souhaites, j’aimerais que nous continuions à nous découvrir mutuellement. Te guider dans cette exploration que tu sembles appeler de tes vœux de ce monde de domination et de soumission sublimant notre relation. Je sais ton emploi du temps très rempli par tes activités professionnelles. Mais j’aimerais te revoir très vite si tu le peux, si tu le veux. J’aimerais être auprès de toi, même lorsque nous ne pouvons nous voir. Aussi trouveras-tu dans cette petite boite deux sachets. Dans le rouge, tu trouveras mes clés. Ces clés sont les tiennes, tout comme mon cœur. Elles ouvrent non seulement les portes de ma maison mais symbolisent aussi l'accès à ma vie et à mon âme. Prends-les comme le gage de ma confiance et de mon engagement envers nous. Je t'attends, quand tu le veux.   Dans le bleu, tu trouveras … de quoi parer ta sublime beauté et ne jamais oublier que je suis là … tout contre toi … même loin de toi … A très bientôt, ma Vanessa … je l’espère … Avec tout mon amour, Votre David. » Les larmes montèrent aux yeux de Vanessa, émue par la profondeur de son engagement. Tenant les clés serrées dans sa main, elle savait que ces simples morceaux de métal représentaient bien plus que l'accès physique à son espace personnel ; elles étaient l'invitation à débuter une relation profonde entre eux … Délicatement elle ouvrit le sachet bleu turquoise, intriguée par les mots de David. Lorsqu’elle aperçut le contenu, son visage s’empourpra … Elle leva la tête et regarda aux alentours si personne dans la rue ne la regardait. Des badauds flânaient dans cette rue commerçante en ce samedi matin ensoleillé. Pas l’endroit idéal pour regarder avec précision ces cadeaux très personnels que venait de lui faire David. Elle tira sur les cordons du sachet pour le refermer et le reposa dans la boite qu’elle déposa sur le siège passager une fois fermée. Tout en pensant à ce qu’elle venait de voir, elle fit vrombir le moteur de sa voiture, un sourire malicieux aux lèvres. Vanessa ne mit qu’une vingtaine de minutes à arriver chez elle. Il était déjà presque midi et elle était attendue chez son frère pour une heure pour les 90 ans de leur grand-mère maternelle. Pas question d’être en retard. Il ne lui restait qu’une petite demi-heure devant elle pour se préparer. Elle se précipita à l'intérieur de sa maison, traversant le hall avec une hâte qui trahissait son impatience de se préparer. Vanessa se dirigea directement vers sa chambre et la salle de bain attenante, délaissant ses vêtements sur le sol de sa chambre, et jetant son sac à mains et la boite en bois d’orme de David. Une fois nue, elle ouvrit le robinet de la douche et ajusta la température de l'eau pour qu'elle soit agréablement chaude. Alors que l'eau coulait sur sa peau, Vanessa ferma les yeux, laissant la chaleur envelopper son corps. L'eau glissait le long de ses épaules, dévalait la courbe de son dos et caressait ses hanches avant de s'écouler le long de ses jambes. Chaque goutte semblait effacer la tension résiduelle de la matinée, laissant derrière elle une peau vibrante et un esprit qui s'éclaircissait lentement. Le jet d'eau pulsait contre sa peau, massant doucement ses muscles tendus, un plaisir simple mais profondément sensuel. Après avoir fini sa douche, Vanessa s'enveloppa dans une grande serviette douce et se dirigea vers sa chambre pour s'habiller. Elle ouvrit son armoire et choisit une robe élégante, échancrée juste ce qu'il faut pour révéler la naissance de sa poitrine. La robe, d'un bleu profond, mettrait en valeur ses yeux et contrasterait joliment avec sa peau encore légèrement humide et rosée par la chaleur de la douche se dit-elle. C’est alors que ses yeux tombèrent sur la boite en bois d’orme de David. Encore nue, juste recouverte de sa serviette rose pale, elle se dirigea vers la boite. Elle en sortit le sachet bleu turquoise, les doigts tremblants légèrement d'excitation et de nervosité. Elle tira doucement sur les cordons, libérant le contenu qui semblait à la fois mystérieux et prometteur. À l'intérieur, le premier objet qu'elle découvrit fut un pendentif en or, orné d'une pomme éclatante, symbole classique de tentation et de désir. La pomme, soutenue par une élégante chaine en or, soutenait deux paires de chaînes en or délicates, chaque paire se terminant par des serre-tétons élégamment décorés d’une petite feuille suspendue. L'artisanat était exquis, chaque détail finement travaillé pour une élégance subtile mais audacieuse. En explorant plus avant le contenu du sachet, Vanessa trouva un bijou intime dont la forme et la fonction n'étaient pas immédiatement évidentes pour elle. Elle le tourna entre ses doigts, admirant la façon dont la lumière se reflétait sur le bleu saphir profond d’une longue goutte ronde et légèrement courbée et sur la dorure du serpent qui l'enlaçait. Ce n'est que lorsque la réalisation de son véritable usage lui frappa l'esprit qu'elle sentit ses joues s'empourprer. C'était un bijou conçu pour orner son puits d'amour, un bijou pour le moins intime, fait d'une goutte de saphir entourée d'un serpent doré, attachée à de fines ficelles agissant comme un string. Les sensations qui la traversaient en tenant ces objets étaient un mélange complexe d'émotion et de désir. Elle était touchée par la profondeur de la pensée de David et par l'intimité de ces cadeaux. La nature à la fois artistique et érotique des bijoux faisait écho à la nature de leur relation naissante, pleine de beauté, de confiance et d'exploration mutuelle. Décidée à embrasser pleinement ce que ces cadeaux représentaient, Vanessa choisit de les porter immédiatement, après les avoir nettoyer d’une gel hydro-alcoolique. Chaque pièce, en trouvant sa place sur son corps, lui rappelait les mots de David, son engagement envers leur connexion profonde. Elle commença par attacher délicatement le pendentif autour de son cou, la pomme reposant contre sa peau, un rappel subtil du fruit défendu qu'elle était prête à partager avec lui. Ensuite, avec des mains légèrement tremblantes, elle attacha les serre-tétons ; toute à son excitation, elle n’eut nul besoin de les faire se dresser : ils l’étaient déjà, fiers et superbes ;  la sensation froide du caoutchouc les enlaçant la fit frémir de plaisir ; chaque ajustement des chaînes était un frisson qui parcourait son corps, un rappel de ce que ces bijoux symbolisaient dans leur relation. Finalement, elle se saisit du bijou clitoridien et vaginal. Elle le glissa avec facilité dans son intimité humide, soupirant de plaisir, et ajusta les ficelles autour de ses hanches. Le poids du saphir contre son puits d'amour massait délicieusement son clitoris. Ce bijou était bel et bien un rappel constant de la présence de David, de son désir pour elle, et de son contrôle voluptueux et tendre sur son corps et son esprit. Elle entendit la cloche de l’église gothique du coin de sa rue sonner la demi-heure de midi. Zut, elle allait être en retard. Devant son miroir, Vanessa se maquilla rapidement mais avec soin, appliquant une légère couche de fond de teint pour unifier la texture de sa peau et un rouge à lèvres qui rehaussait la douceur naturelle de ses lèvres. Un trait d'eyeliner noir souligna son regard, lui donnant une profondeur et une intensité qui reflétaient, pour elle seule, les émotions complexes et diverses de la matinée. Ses cheveux roux, coiffés en de douces ondulations, encadraient son visage, lui donnant un air à la fois sophistiqué et accessible. Elle enfila rapidement sa robe qui tomba avec élégance sur son corps et une paire d’escarpins noirs. Une fois habillée, avec les bijoux cachés sous sa robe élégante mais osant à peine trahir leur présence à quiconque autre que elle, Vanessa se sentait comme transformée. Elle était à la fois une femme élégante en route pour un déjeuner familial et une amante secrète portant les marques visibles et invisibles de son engagement envers David. Vanessa jeta un dernier regard dans le psyché qui trônait à côté de son lit : elle se trouvait belle, pleinement satisfaite de son apparence. Avec ces pensées et ces sensations enveloppant son esprit et son corps, Vanessa quitta sa maison, prête à affronter la journée avec une nouvelle assurance et un secret délicieusement intime qui ajoutait une étincelle à ses yeux et un sourire mystérieux à ses lèvres. En pénétrant dans sa voiture, elle saisit son téléphone portable. « Vous êtes diabolique … Je vous aime … Merci … » écrivit-elle à David.   (A suivre) Source de l’illustration : création de Sylvie Monthulé
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Par : le 14/09/24
Alors que l'eau tiède continuait de ruisseler sur eux, mêlant ses caresses à celles de leurs mains encore exploratrices, David et Vanessa s’abandonnaient, silencieux, écoutant le rythme régulier de leur respiration qui commençait lentement à revenir à la normale. Les yeux de Vanessa s'ouvrirent doucement, fixant le plafond avant de se tourner vers David. Sa main trouva instinctivement la sienne, leurs doigts s'entrelaçant avec une tendresse qui parlait plus que les mots ne pourraient jamais le faire. Dans le cocon de leur étreinte, David souleva légèrement le menton de Vanessa, l'incitant à le regarder. « Tu es incroyable, tu sais» murmura-t-il, ses yeux brillant non seulement de désir mais aussi d'une affection profonde et sincère. Vanessa sentit son cœur se serrer sous la force, la puissance de cet amour naissant, un sentiment si puissant et si pur qu'il semblait presque irréel. « Merci, … » répondit-elle, sa voix chargée d'émotions. « Pour tout … Pour ce que nous partageons … Pour ce que vous me faites découvrir … Merci … ». Ses mots étaient un murmure à peine audible au-dessus du bruit de l'eau, mais David les entendit clairement ; chaque syllabe résonnant avec la même intensité que les battements de son cœur. Ils restèrent ainsi quelques minutes, enlacés l’un dans l’autre, peau contre peau, ne faisant plus qu’un, connectés l’un à l’autre. Le monde extérieur n’existait plus. La douche italienne où régnait un vapeur chaude et humide était leur cocon. Finalement, avec une réticence palpable, David rompit leur étreinte. « On devrait sortir, » dit-il doucement, comme à contrecœur. « Nous allons finir par prendre froid ». Avec des mouvements lents, presque révérencieux, David aida Vanessa à se lever, veillant à ce qu'elle soit stable sur ses pieds avant de se stabiliser lui-même. Ils éteignirent l'eau et, main dans la main, sortirent de la douche. David attrapa une grande serviette éponge et l'enroula autour de Vanessa, frottant doucement ses cheveux et ses épaules pour la sécher, ses gestes chargés d'une attention qui rendait chaque toucher spécial. Vanessa, enveloppée dans la chaleur de la serviette et de l'attention de David, se sentait choyée et protégée. Elle attrapa une autre serviette et commença à sécher David, leurs mains parfois se rencontrant, un sourire se formant sur leurs lèvres, un rire s’échappant de leur gorge à chaque contact accidentel. Ce moment, simple mais intime, fortifiait le lien qu'ils avaient tissé, un lien qui, bien qu'encore nouveau, promettait déjà tant. Une fois séchés, David embrassa tendrement Vanessa, lui prit la main et lui dit : « Laisse-moi te détendre avant que nous allions nous coucher ».  Vanessa lui répondit d’un sourire approbatif.  Quittant momentanément Vanessa, David se dirigea vers l'armoire de la salle de bains et en sortit un flacon d'huile de massage Shunga, connue pour ses propriétés relaxantes et son parfum subtil de jasmin et de rose. « Allonge toi sur le tapis, ma belle », lui dit David. Vanessa s'installa confortablement sur le ventre sur le grand tapis moelleux posé à même le sol de la salle de bains. David s'assit devant elle, versant quelques gouttes de l'huile dans ses mains qu’il frotta pour la faire tiédir. Il commença par ses pieds, ses doigts habiles pétrissant doucement la plante, chaque orteil, remontant progressivement le long de ses mollets. Les mouvements étaient lents, rythmés, chaque pression déliant les tensions accumulées, chaque passage adoucissant la peau. L'huile rendait ses mains glissantes, facilitant leur progression sur les jambes de Vanessa, remontant vers ses cuisses. David prenait son temps, appréciant la douceur de la peau de Vanessa sous ses doigts, la manière dont elle se détendait progressivement sous son toucher. Il effleurait l'intérieur de ses cuisses charnues, laissant parfois ses doigts s'aventurer près de son intimité, arrachant à Vanessa un frisson et un soupir de contentement. David concentra ensuite son attention sur son dos et ses fesses, zones qui détenaient les secrets d'une relaxation profonde. Il versa d'abord un filet d'huile chaude le long de la colonne vertébrale de Vanessa, et ses mains suivirent le sillon créé par l'huile, étalant le liquide chaud avec des mouvements larges et fluides qui englobaient tout son dos. Chaque pression appliquée par ses mains fortes mais délicates semblait chasser le moindre stress accumulé, et chaque mouvement augmentait la chaleur corporelle de Vanessa, la faisant frémir sous l'effet combiné de la chaleur de l'huile et du toucher de David. Ses pouces s'enfonçaient profondément le long des muscles tendus de son dos, glissant vers les côtés pour contourner et envelopper ses côtes dans une étreinte rassurante. En descendant vers les hanches de Vanessa, David renforça la pression, adaptant ses gestes ensuite à la texture ferme mais moelleuse de ses magnifiques et généreuses fesses. Il pétrissait la chair douce et résiliente, laissant l'huile pénétrer et adoucir chaque tissu. Les mouvements circulaires sur ses fesses se faisaient plus insistants, mais empreints d’une infinie douceur ; venant prendre soin de celles qu’il avait martyrisées plus tôt dans cette soirée. A intervalles réguliers un doigt venait se perdre dans le profond sillon fessier de Vanessa, venant caresser avec délicatesse son anus … déclenchant comme une décharge électrique en elle … Puis, doucement, ses mains remontèrent le long de la colonne de Vanessa, effleurant à nouveau chaque vertèbre avec une précision presque méditative.  Redescendant, David appliqua l'huile de nouveau sur les hanches de Vanessa, ses mains glissant avec assurance sur ses côtés, enveloppant doucement son abdomen dans un massage apaisant. Il la fit se retourner doucement, pour qu'elle soit allongée sur le dos, et continua son travail, étendant l'huile sur son ventre, montant vers sa poitrine. Avec une délicatesse infinie, il massa ses seins, la texture riche de l'huile permettant à ses mains de glisser sans effort, accentuant la sensualité de chaque mouvement. Il s’attarda avec envie sur ses mamelons délicats. Vanessa fermait les yeux, se perdant dans les sensations, dans la chaleur des mains de David qui la parcouraient, dans le parfum enivrant de l'huile qui s'élevait autour d'eux. Les mains de David se firent plus audacieuses, explorant, prenant possession de son cou et de ses épaules, zones qu'il savait particulièrement sensibles. Vanessa gémit doucement, la tête renversée, totalement abandonnée à l'expertise de David. Il finit par remonter jusqu'à sa tête, ses doigts travaillant avec douceur le cuir chevelu de Vanessa. Après une série de gestes tendres et précis, David conclut le massage. Vanessa, enveloppée dans un état de détente profonde, se sentait reconnaissante et profondément connectée à David. Elle se leva doucement, soutenue par les mains sécurisantes de David. « Ça va ?  Tu te sens bien ?» demanda David avec un doux sourire, ses mains guidant Vanessa vers la chambre à coucher. « Infiniment bien …, grâce à Vous …." répondit Vanessa, sa voix empreinte de gratitude et de tendresse. Elle se serra contre lui. Ensemble, ils s'étendirent sur les draps frais. David les recouvrit de la couette aux couleurs safranées. Le silence de la chambre était rempli de la résonance de leur intimité partagée. David, enroulant son bras autour de Vanessa, la tira contre lui. Ils s’endormirent rapidement, leurs corps enlacés, leurs respirations synchronisées créant un rythme apaisant qui berçait leur sommeil. Lorsque le premier rayon de soleil filtra à travers les rideaux, Vanessa émergea doucement de son sommeil. Elle observa David, encore perdu dans les bras de Morphée. Son visage, détendu dans le sommeil, évoquait une sérénité qui toucha Vanessa au plus profond d'elle-même. Elle contempla les lignes de son visage, les courbes de ses lèvres, la paix et la force qu'il dégageait. Une onde de bonheur pur traversa son cœur, un mélange de gratitude et d'amour qui la fit sourire doucement. « Comment puis-je être aussi chanceuse ? » murmura-t-elle pour elle-même en se blottissant encore plus près de David, cherchant à capturer et conserver cette proximité. Son esprit divaguait entre ce qu’ils venaient de vivre, des pensées de leur futur, des rêves éveillés de ce qu'ils pourraient découvrir et expérimenter ensemble. Ce moment de tranquillité matinale était un cadeau précieux, un instant volé au temps où tout semblait possible. Prise d’une envie, soudaine mais matinalement coutumière au réveil, de soulager sa vessie, Vanessa s’extirpa avec précaution et sans bruit du lit pour ne pas réveiller David et se dirigea vers la salle de bains où elle avait vu que se trouvaient des toilettes. Nue, elle s’assit sur la cuvette en émail des toilettes et relâcha ses muscles. Laissant son corps profiter de ce plaisir physique d’abandon naturel, son esprit divaguait …  Elle pensait à la profondeur de sa soumission à lui, un engagement qui la terrifiait autant qu'il l'exaltait. « Cet homme, » pensait-elle, « a dévoilé des parties de mon être que je ne connaissais pas. Son emprise sur moi, douce et ferme, réveille un désir ardent de lui appartenir complètement. » La sensation de sécurité qu'elle éprouvait avec David était paradoxale, car elle s'exposait à une vulnérabilité qu'elle n'avait jamais osé explorer auparavant. Chaque ordre de lui, chaque contact, renforçait son désir de se soumettre à lui, de devenir sa protégée, son trésor.  « Être à lui, sous sa protection, sous son contrôle, » réfléchissait-elle, « c'est comme si chaque fibre de mon être reconnaissait son maître légitime. » Cette reconnaissance de sa propre soumission n’était pas sans provoquer un mélange d’appréhension et d’excitation. Vanessa savait qu’elle se tenait à l'aube d'un chemin à la fois terrifiant et magnifiquement libérateur. Elle s’imaginait à ses côtés, explorant des profondeurs de passion et de confiance qu’elle n’avait jamais connues, chaque moment se révélant comme un chapitre nouveau et exaltant de leur livre à écrire ensemble. Toute à ses pensées et à son abandon corporel, les yeux fermés, Vanessa n’avait pas entendu David qui se tenait dans l’embrasure de la porte de la salle de bains, les yeux fixés sur elle, un sourire aux lèvres devant tant de beautés. Lorsqu’elle ouvrit les yeux et le vit, elle ne put réprimer un cri de surprise. Dans un geste instinctif de protection, elle referma instantanément ses jambes, cachant son sexe d’une main et ses seins de l’autre. Remplie de honte, ses joues s’étaient immédiatement empourprées. La tête baissée, n’osant pas le regarder, elle lâcha « Oh David … désolée … j’ai oublié de fermer la porte … ». David s'avança doucement vers elle, un sourire rassurant effleurant ses lèvres. « Mais non, surtout pas... c'était très beau, » dit-il avec douceur, dissipant l'atmosphère de gêne qui commençait à s'installer. Il s'approcha encore, se pencha pour capturer ses lèvres dans un baiser tendre et réconfortant, ses mains trouvant les siennes, les enveloppant dans une étreinte rassurante. « Continue, je t'en prie... ne t'arrête pas pour moi, ... au contraire ...» murmura-t-il, encourageant Vanessa à reprendre son geste naturel. Vanessa, bien que troublée par la situation inattendue et terriblement indécente, ne put qu'obéir, touchée par l'acceptation et le désir non dissimulé dans les yeux de David. Lentement, elle écarta ses jambes puis relâcha de nouveau ses muscles, laissant le flux reprendre son cours sous le regard attentif et admiratif de David. Tandis que le murmure apaisant de son propre corps reprenait, Vanessa se laissa submerger par les émotions qui affluaient : le mélange de honte initiale, de vulnérabilité, et cette étrange excitation de se savoir complètement acceptée et même adorée dans son état le plus naturel, même dans cette position si indécente. David était comme subjugué par le flot ininterrompu de nectar doré qui s’échappait de Vanessa. La voir ainsi, exposée, impudique et néanmoins si belle dans son humanité la plus pure, le touchait profondément. C'était comme si elle lui offrait un cadeau d'une intimité sans pareille, renforçant le lien unique qu'ils partageaient.  Il ressentait aussi un frisson de pouvoir, conscient de l'effet de sa présence sur elle, et du contrôle qu'il exerçait dans leur dynamique. Cette reconnaissance de sa soumission volontaire à son encontre procurait une satisfaction qui résonnait bien au-delà du plaisir physique, s'ancrant dans une connexion émotionnelle et psychologique. Toutefois, ce n'était pas seulement le pouvoir qui le captivait, mais la confiance qu'elle déposait en lui. Il se sentait responsable de cette confiance, valorisé et honoré par sa capacité à se montrer si ouverte et sincère avec lui. Chaque moment comme celui-ci renforçait son engagement à être digne de cette confiance, à la protéger, à la soutenir, à la chérir, à la guider. La sensation d'être observée dans un acte si intime et personnel ajoutait une couche supplémentaire à la soumission de Vanessa, intensifiant l'expérience d'une manière qu'elle n'avait jamais anticipée. Lorsque David plaça sa main entre ses jambes, recueillant le liquide chaud qui émanait d’elle et commença à masser sa chatte, elle faillait s’évanouir de plaisir … La main de David était douce, presque révérencieuse, comme s'il honorait chaque partie de son être à travers ce geste audacieux. Vanessa sentit son corps répondre instantanément, chaque touche de ses doigts électrisant sa peau déjà hypersensible. « C'est... c'est incroyable, David... » souffla-t-elle, sa voix tremblante de désir et de révélation. David répondit avec un sourire entendu, ses yeux plongés dans les siens, un miroir de la passion qu'il ressentait. « Je t'ai dit... tout de toi est magnifique, Vanessa. Je veux que tu saches à quel point tu es belle, en tout temps, dans chaque état. » Les mots de David, prononcés avec tant de sincérité, semblaient faire fondre toutes les barrières restantes entre eux. Vanessa, se sentant adorée et valorisée, se laissa aller encore plus profondément dans cette expérience, laissant les sensations et les émotions l'envahir pleinement. « J'aime être à vous, David... à vous… complètement, » murmura-t-elle, les yeux mi-clos, abandonnant chaque once de réserve. Ce simple aveu semblait sceller un pacte non-dit entre eux, un accord profond et immuable de dévotion et d'exploration partagée. La douceur de la main de David contrastait et complétait la domination implicite de son contrôle, offrant à Vanessa une expérience de soumission totale qui transcendait le physique pour toucher son âme. Chaque mouvement de ses doigts, chaque pression contre elle n'était pas seulement un acte de plaisir, mais un acte de communication, affirmant leur lien unique et la profondeur de leur connexion. Alors que la main habile de David couverte du nectar doré de Vanessa continuait à la caresser et à l’explorer, Vanessa sentit une montée irrésistible de plaisir s'amplifier en elle, propulsée non seulement par les caresses physiques mais aussi par la profondeur émotionnelle de l'instant. « Vas-tu venir pour moi, Vanessa ? » murmura David, sa voix basse vibrante d'un désir contrôlé. Elle ne pouvait que hocher la tête, incapable de parler, alors que les vagues de plaisir commençaient à déferler en elle. Sous la maîtrise experte de David, Vanessa jouit intensément, un cri étouffé s'échappant de ses lèvres alors qu'elle s'accrochait à la réalité par un fil. David, attentif à chaque tremblement, ralentit ses mouvements, prolongeant son extase, avant de doucement retirer ses doigts trempés des nectars de son intimité. Avec un geste délibéré, il porta ses doigts à ses propres lèvres, goûtant les nectars mélangés de Vanessa, les yeux fixés sur elle. « C'est toi... tout de toi, » dit-il, savourant chaque instant. Puis, il offrit ses doigts à Vanessa. « Goûte, » invita-t-il, encourageant une intimité partagée. Avec une hésitation initiale qui se transforma rapidement en acceptation, Vanessa lécha doucement, puis plus fermement, les doigts de David. Le goût salé et doux de son propre corps sur sa langue était un rappel puissant de leur intimité partagée, un acte qui scellait davantage son désir de se soumettre à lui, de lui appartenir. David, regardant Vanessa avec une intensité qui allait bien au-delà du désir physique, sentit une connexion encore plus profonde se solidifier entre eux. « Tu es parfaite, » murmura-t-il, et ce simple compliment semblait porter en lui toute la puissance de son engagement envers elle. « Merci, » souffla-t-elle finalement, un sourire timide se frayant un chemin sur ses lèvres. Sa gratitude n'était pas seulement pour son acceptation en ce moment, mais pour tout ce qu'il avait éveillé en elle, pour l'espace qu'il avait ouvert où elle pouvait être elle-même sans réserve. « Mon Maître, mon amour, mon protecteur, » songeait-elle en sentant son cœur battre contre le sien, « guide-moi là où tu voudras, car ma confiance en toi est entière ». Le sentiment de plénitude qui l'envahissait alors que le soleil montait dans le ciel et embrasait la salle de bains était comme un signe, un symbole indéniable qu'elle avait trouvé non seulement un amant, mais aussi un guide, un maître auquel elle désirait se dédier entièrement. Elle voulait n'être nulle part ailleurs que là où elle se tenait.   (A suivre)   Source de l’illustration : Dession de Calypso Redor
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Par : le 10/09/24
Dans l'apaisement qui suivit, un silence doux enveloppa la chambre, parsemé seulement par les respirations entrecoupées de Vanessa et de David, témoins de leur ardeur passée. Vanessa, encore frissonnante sous l'effet des ondes de son plaisir, sentait la fraîcheur des draps contre sa peau brulante, un contraste qui apaisait doucement ses sens enflammés. Son corps détendu gisait dans une pose de soumission satisfaite, ses yeux mi-clos reflétant un mélange de fatigue et d'extase. David reprit petit à petit ses esprits. Il n’avait pas joui aussi intensément depuis bien longtemps. Regardant Vanessa, allongée là, si vulnérable et pourtant si pleinement offerte, un sentiment de profonde admiration et de respect s'infiltra dans le cœur de David. Cette femme était un cadeau du ciel. La lueur des bougies se reflétait sur sa peau, accentuant les contours de son visage détendu, ses cheveux de feu éparpillés autour d'elle comme un halo sauvage. Ses fesses toujours tendues étaient un temple de beauté au creux duquel se tenaient des trésors encore palpitants. Dans le regard de David, il y avait une lueur de quelque chose de plus tendre, plus profond que les simples désirs physique et de domination qui l’habitaient. Il se sentait incroyablement privilégié, conscient de la confiance immense que Vanessa lui avez accordé, lui accordait. Chaque soupir, chaque frisson qu'elle avait partagé avec lui ce soir renforçait son attirance envers elle. Elle n'était pas seulement une partenaire de jeux, mais une complice de son âme, quelqu'un qui lui permettait d'explorer les profondeurs de sa propre nature sans jugement. O’ certes, ils n’étaient qu’au tout début de leur relation ; et il était bien trop tôt pour faire des plans sur la comète. Mais la relation qui se tissait entre eux était comme une évidence. La beauté de son abandon lui rappelait pourquoi il cherchait cette connexion si intense, ce mélange de pouvoir, de contrôle et d'intimité. En elle, il voyait non seulement une possible future soumise mais aussi une partenaire égale dans leur danse de volontés, une possible compagne avec qui évoluer dans la vie main dans la main, les yeux braqués dans une direction commune. Elle lui inspirait une passion qui allait au-delà du plaisir physique, touchant des parties de son être qu'il ne livrait pas facilement. David sentait une vague de tendresse l'envahir, mêlée à une protection presque instinctive. Il savait qu'il ferait tout pour garder, développer, enrichir et faire grandir ce lien précieux intact, pour explorer avec elle de nouveaux territoires de leur relation complexe et enrichissante. Tandis qu'il observait Vanessa respirer doucement, il se promettait de continuer à mériter la confiance qu'elle lui avait donnée. David se pencha doucement, ses gestes mesurés et pleins de révérence. Avec une délicatesse palpable, il retira la chaîne dorée qui reliait les menottes de Vanessa, libérant ses bras qui tombèrent, lourds et fatigués, de chaque côté de son corps. Chaque mouvement était un ballet de soins et d'attention, comme s'il manipulait les pièces les plus précieuses d'un trésor fragile. Ensuite, il s'attaqua aux attaches de cuir qui liaient les chevillières de Vanessa au lit. Le déclic des fermoirs résonna doucement dans la pièce silencieuse, comme la fermeture d'un chapitre intense et passionné. À mesure que les contraintes se relâchaient, le corps de Vanessa s'affaissa, une liberté retrouvée enveloppant son être. Elle s’étendit, relâchant chaque muscle, chaque tension conservée pendant leur jeu intense. Le sperme encore tiède de David, témoin de leur connexion ultime, coulait lentement le long de ses fesses rebondies … certaines gouttes avaient trouvé leur chemin dans la raie profonde de ses fesses formant un chemin luisant qui brillait et mettait plus en valeur encore l’intimité humide de Vanessa. Les fesses de Vanessa ondulaient doucement au contact de ce nectar tiède qui venait s’insinuer  Le spectacle qui s’offrait à David était d’une beauté et d’un érotisme saisissant : une œuvre d'art vivante, une célébration de la sensualité. David vint s'asseoir à côté d'elle, caressant doucement son dos avec une affection tendre. Son toucher était un murmure contre sa peau, promettant soin et protection après l'intensité de leurs étreintes. Vanessa, répondant à la douceur de son geste, se tourna pour le regarder, ses yeux reflétant une gratitude silencieuse et une profonde satisfaction. « « Merci … » souffla-t-elle, dans un sourire radieux. « Merci à toi ! » lui répondit David en l’embrassant tendrement. « Tu es juste incroyable, … sublime … » continua-t-il. Vanessa, touchée par les paroles et les gestes de David, sentit son cœur s’emplir d’une émotion nouvelle et profonde. Son soudain tutoiement la faisait fondre et la ravissait. Par contre elle ne se voyait pas le tutoyer. Elle était trop impressionnée.   Elle se tourna vers lui, une hésitation dans la voix, et révéla son trouble. « David, je suis plus que ravie de tout ce que nous vivons ensemble... par contre … euh … je … enfin, je suis très heureuse que vous me tutoyiez … mais … je me sens plus à l'aise de continuer à vous vouvoyer, si vous le permettez. Ça me donne une certaine distance... nécessaire, je pense, pour moi, … dans ce que nous vivons … vous … euh … vous m’impressionnez …  » dit-elle en rougissant comme une adolescente. David, l'écoutant attentivement, acquiesça d'un signe de tête, son regard empreint de compréhension et de respect pour ses besoins, et aussi d’une infinie tendresse devant une femme aussi attirante et touchante. « C’est comme tu le sens, Vanessa. Je veux que tu te sentes à l’aise et en confiance, toujours, » dit-il avec douceur, la rassurant. Alors qu’ils s’étreignaient de nouveau, enlacés l’un contre l’autre, enivrés par l’odeur de leurs corps qui respirait le sexe, l’horloge du salon sonna 5 heures. Ils s’interrompirent, les yeux dans les yeux, et partirent d’un éclat de rire commun : «  Il est déjà 5 heures ! On est un peu fou, non ?! » dit David. « Oh oui », sourit Vanessa… « Mais c’est tellement bon » continua-t-elle, rougissant de nouveau … Souriant doucement, David lui caressa la joue. Vanessa était d’une beauté renversante en cet instant. « Et si nous allions nous rafraîchir un peu? » dit David. Elle s’approcha de ses lèvres ; y déposa un tendre baiser. « Je vous suis David »   Avant de se diriger vers la salle de bains, David, avec des gestes pleins de tendresse, retira un à un les menottes, les chevillières et le collier qui ornaient encore le corps de Vanessa. À chaque retrait, il déposait un baiser sur ses poignets délicats, ses pieds fins et son cou accueillant. Tous deux nus, ils se dirigèrent vers la salle de bains. David appuya sur l’interrupteur à intensité : la pièce s’illumina d'une lumière douce et chaleureuse. Les murs carrelés en marbre blanc créaient une atmosphère luxueuse et apaisante. Une grande baignoire îlot trônait au centre, invitante avec ses courbes élégantes et ses robinets en laiton poli qui scintillaient sous l’éclairage tamisé. À côté, une douche à l’italienne en verre transparent promettait une cascade rafraîchissante, complétée par un panneau de commandes moderne permettant de régler la température et l'intensité des jets d’eau. David s'approcha des commandes de la douche, ajustant les divers robinets pour que l'eau soit à bonne température. L'eau commença à couler du plafond comme une lente cascade, créant un bruit apaisant qui emplissait la pièce. Vanessa, entraînée par David sous le jet doux, sentit l'eau chaude couler sur son corps voluptueux. Elle ferma les yeux, laissant l'eau caresser sa peau, glissant sur ses épaules, le long de ses courbes, et entre ses seins. L'eau enveloppait Vanessa, réchauffant son corps tout en apaisant les traces de leur jeu passionné. Elle pouvait sentir chaque goutte explorer sa peau, chaque frisson amplifié par la chaleur de l'eau qui contrastait avec la fraîcheur des draps qu'elle avait quittés. L'expérience sensorielle était renforcée par la vue de David, nu devant elle, son corps baigné dans la lumière douce qui accentuait chaque muscle, chaque ligne de son corps. David ouvrit un flacon de baume nettoyant de chez Molton Brown, dont l'arôme de bois de cèdre et d'orange japonaise se mêlait à la vapeur d'eau pour remplir la salle de bains d'un parfum relaxant et masculin. Il prit une noisette du baume dans ses mains, les réchauffant entre ses paumes avant de les poser sur le corps de Vanessa. Avec des mouvements méticuleux et sensuels, il commença à masser le baume sur elle, partant de ses épaules pour descendre doucement vers ses seins, où chaque cercle de ses mains attisait un désir encore vibrant en elle. Les mains de David glissèrent ensuite vers ses hanches et plus bas encore, massant le baume sur ses fesses dans des mouvements qui mêlaient fermeté et douceur, provoquant chez Vanessa des soupirs de plaisir. Lorsqu'il atteignit ses cuisses, il prit le temps de les malaxer doucement, ajoutant à la détente physique une promesse érotique presque palpable. Chaque contact de David était un mot d'amour écrit sur sa peau avec le baume, chaque mouvement affichait son dévouement et son désir de prendre soin d'elle. Vanessa, à son tour, prit du baume et commença à l'appliquer sur David. Ses mains explorèrent d'abord son torse, prenant soin de caresser et de pincer ses mamelons dont elle avait décelé qu’il y était très sensible ; puis elles descendirent vers son ventre. Lorsqu'elle atteignit son sexe, elle le saisit doucement, le branlant avec une tendresse teintée d'urgence, sentant David frémir sous ses caresses. Le pénis de David était de nouveau raide et palpitant. Ce qui fit fondre Vanessa. Enhardie par ses réactions, elle quitta le sexe de david et se mit à masser ses seins avec le baume, laissant ses mains glisser sur son propre corps en une danse ensorcelante, alors que David, porté par l’excitation s'était mis à la doigter, explorant son intimité avec une précision qui la ramenait au bord de l'extase. La douche se transforma en sanctuaire de leur plaisir partagé. Vanessa, électrisée par la sensation des doigts de David qui glissaient profondément en elle, gémissait contre le mur carrelé, la chaleur de l'eau amplifiant chaque caresse, chaque intrusion. David, encouragé par ses gémissements, accentuait ses mouvements, ses doigts habiles jouant avec elle dans un rythme de plus en plus insistant. L'eau chaude coulait sur eux, enveloppant leurs corps dans un voile humide et brûlant, dessinant des ruisseaux le long de leurs peaux et s'entremêlant avec le savon et la sueur. L'odeur du baume se mélangeait avec l'arôme naturel de leur désir, créant une fragrance unique qui marquait ce moment comme hors du temps. David, avec une ardeur renouvelée, plaqua Vanessa contre le mur de la douche, son corps contre le sien, son sexe dur pressant contre elle. Sans plus attendre, il la pénétra, sa poussée douce mais puissante la remplissant complètement. Vanessa poussa un cri étouffé, une exclamation de plaisir pur qui résonna contre les carreaux. Sous l'assaut rythmé de David, chaque mouvement plus profond que le précédent, Vanessa sentait une montée irrésistible de plaisir. Ses propres mains couraient sur son corps, pinçant ses mamelons durcis, suivant les lignes de ses propres muscles tendus par l'effort et le plaisir. David, avec une main toujours sur la paroi de la douche pour se stabiliser, explorait son corps, encourageant chaque cri, chaque gémissement qui s'échappait de ses lèvres. Il enserra tendrement mais fermement le cou de Vanessa dans un geste d’amour et de possession. Leurs corps s'alignaient parfaitement, le sexe de David glissant avec aisance dans la chaleur de Vanessa, chaque coup accompagné par le son de l'eau qui clapotait contre eux. Vanessa, portée par une vague d'émotions et de sensations, sentait son orgasme monter rapidement. La pression de l'eau sur son corps, la main de David autour de son cou, tout contribuait à son ascension vers l’orgasme. Dans un dernier cri rauque, Vanessa atteignit l'orgasme, ses muscles se contractant autour du sexe de David, l'entraînant dans son propre abandon. David, poussé par l'intensité de l'orgasme de Vanessa, accéléra ses mouvements. « Puis-je venir en toi » murmura-t-il à Vanessa d'une voix saccadée par l’excitation. « Je vous en prie » souffla Vanessa. David redoubla l'intensité de ses mouvements jusqu'à ce qu'il atteigne à son tour l’orgasme, son corps se tendant dans un spasme de libération ; son nectar nacré prenant possession de l’intimité de Vanessa… Épuisés mais exaltés, ils s'effondrèrent ensemble sur le sol de la douche, leurs corps enlacés dans un tapis d'eau tiède qui continuait de couler doucement sur eux. La chaleur de l'eau mêlée à la chaleur de leurs corps créait une atmosphère presque tropicale, un microclimat de leur intimité et de leur passion partagée. Le souffle court, ils se tenaient l'un contre l'autre, leurs cœurs battant à l'unisson sous le jet apaisant de la douche, leurs esprits flottant quelque part entre la réalité et un rêve éveillé.   (A suivre) Source de l'illustration : photo libre de droit de l'internet
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Par : le 08/09/24
Vanessa ressentait chaque pince comme une morsure délicate, une invitation à un monde d’abandon fait de plaisir intense et de douleur exquise. Le poids des bijoux en verre vénitien tirait légèrement sur ses tétons, provoquant une cascade de sensations qui couraient le long de son échine, amplifiant son désir et laissant son sexe palpitant de désir et de plus en plus humide. David saisit les bijoux et tira lentement sur les pinces vers lui, étirant les mamelons jusqu’à l’extrême. Le sang affluait à foison dans les mamelons distendus de Vanessa devenus pourpres, les rendant plus épais et plus sensibles encore. David observait les réactions de Vanessa : les yeux clos, la tête penchée en arrière, elle se mordait les lèvres sous l’effet de la douleur contrôlée que lui infligeait David. Plutôt que de se refuser, elle s’offrait : la poitrine offerte et tendue vers lui, les cuisses plus ouvertes que jamais. Satisfait de l'effet produit, le visage illuminé par un mélange de fierté et de désir. David murmura des mots de louange, accentuant l'atmosphère de confiance et de complicité qui les enveloppait. « Chaque gémissement, chaque frisson de votre corps, me confirme que vous êtes faite pour ressentir ces plaisirs, » lui dit-il d'une voix basse et rauque. Vanessa, en réponse, laissa échapper un soupir chargé de désir, son corps entièrement réceptif aux expériences que David continuait à orchestrer avec une précision et une tendresse maîtrisées. Lorsque David relâcha sa pression sur les pinces, les seins de Vanessa rebondirent légèrement comme dans un film au ralenti ; les mamelons gonflés et rougis par l'intense stimulation lançant les bijoux dont ils étaient ornés dans une danse électrisante qui ravissait la vue de David et tirait un soupir de soulagement et de plaisir de la bouche entrouverte de Vanessa. Glissant sa main droite entre les jambes écartées de Vanessa, David enserra doucement son sexe palpitant de désir. Sa paume chaude et ferme se pressa contre elle, englobant la chaleur et l'humidité de son intimité que révélaient son tanga imbibé de cyprine . « Comment vous sentez-vous, Vanessa ? » demanda-t-il, sa voix basse résonnant d'un mélange d'autorité et de douceur. Vanessa ouvrit les yeux lentement, rencontrant le regard intense de David. Les mains toujours derrière sa nuque, la poitrine offerte et le corps arqué, elle était décidément d’une exceptionnelle beauté se dit David. Elle respira profondément, cherchant ses mots dans un souffle haletant, « Je me sens… ». Elle marqua un silence : elle cherchait ses mots tant les intenses émotions qu’elle ressentait étaient multiples et embrouillaient son esprit. « Je me sens incroyablement vivante entre vos mains » finit-elle par articuler, sa voix tremblante témoignant de la profondeur de ses sensations et de son abandon total à l'expérience. À ces mots, David resserra son emprise sur le sexe de Vanessa, sa main épousant chaque contour avec une précision qui amplifia instantanément son plaisir. La pression accrue fit dégouliner de désir le sexe déjà humide de Vanessa, des gouttes de plaisir pur s'échappant librement. Elle gémit plus ouvertement, son corps répondant par des spasmes de plaisir à la prise ferme et assurée de David ; chaque mouvement de sa main envoyant des vagues de plaisir intense à travers son corps. David sourit tendrement à Vanessa et déposa un baiser sur son front, son geste doux contrastant avec l'intensité de leur interaction. « Continuons alors. Restez en position, » murmura-t-il de sa voix rauque et sécurisante. Il se déplaça derrière elle, et, avec une délicatesse qui contrastait avec la fermeté de ses intentions, prit un à un ses bras pour les placer délicatement dans son dos. David saisit alors une des chaînes dorées qu’il avait placé sur les draps et fixa ses extrémités aux anneaux des menottes de Vanessa, rapprochant ses mains liées pour accentuer son emprise, à la fois physique et psychique, sur elle. Saisissant les mains enchaînées de Vanessa d'une seule main, il l'attira doucement mais fermement contre lui. La tête de Vanessa se cala contre son épaule, sa respiration s'alourdissant sous l'effet de sa proximité et du contrôle exercé. David, ses mains désormais libres, commença à caresser ses seins opulents avec douceur avant de les pétrir plus fougueusement ; ses doigts habiles venant parfois saisir les pinces pour étirer de nouveau les mamelons sensibles et gorgés de désir de Vanessa. Vanessa frémissait sous chaque manipulation, les sensations de douleur accentuant son excitation et déclenchant un plaisir profond. Chaque pression sur sa poitrine envoyait des ondes de chaleur à travers son corps, centrées sur son sexe déjà inondé de désir. La manière dont David manipulait ses seins, avec à la fois force et précision, exacerbait son besoin de se soumettre à lui, chaque toucher renforçant son envie de rester captive dans cette étreinte dominante. « Nous allons accentuer, intensifier les choses, Vanessa » lui susurra-t-il à l’oreille. « Etes-vous prête ? ».  À ces mots, Vanessa, tout en respirant profondément, répondit dans un murmure chargé d'excitation et d’impatience « Oui, David... je suis à vous ». Quasi-instantanément, David répondit d'un ton impérieux mais chargé d'affection : « Oui, tu es à moi, ma petite salope. » Sa main la poussa alors vigoureusement en avant : la tête et les épaules de Vanessa vinrent épouser les draps, tout en soulevant et cambrant sa croupe vers le ciel. David saisit son tanga et le tira avec violence vers le bas comme s’il voulait l’arracher. La dentelle fine ne résista pas à l’assaut et se déchira. Utilisant ses deux mains, David peaufina son ouvrage et mit cette délicate pièce de lingerie en lambeaux. La position de Vanessa était maintenant d’une indécence totale : elle ne cachait rien de son intimité à David ; elle la lui offrait même. Elle ressentait un sentiment jusqu’alors inconnu pour elle : un mélange paradoxal de honte et de fierté ; de vulnérabilité et de puissance. Honte de se tenir dans une telle position peu digne de la femme respectable et bien élevée qu’elle était ; mais en même temps si fière de déclencher chez cet homme ce désir et cette autorité vis-à-vis d’elle et de voir dans ses yeux combien il l’admirait. Elle se surprenait aussi à aimer la position dans laquelle elle était : les mains liées dans le dos, elle ressentait la fraîcheur des draps contre sa peau chaude ; le poids de son propre corps poussait ses seins vers le matelas, augmentant la pression et l'excitation générées par les pinces ; ses fesses offertes étaient une invitation qu’elle assumait totalement. Dans cette posture d'abandon total, elle était à la merci des désirs de David, chaque commande, chaque mot de lui se gravant profondément dans son esprit, éveillant une soumission de plus en plus fervente. En même temps, si elle se sentait certes soumise, elle était aussi totalement maitresse de son destin, sachant qu’elle pouvait arrêter ce jeu à tout moment en utilisant le mot magique que David lui avait demandé de choisir. David, toujours méthodique dans son approche, écarta un peu plus les jambes de Vanessa, positionnant son corps pour une exposition maximale. Ses mains expertes commencèrent à explorer les fesses rebondies et généreuses de Vanessa, les caressant, les malaxant, les empoignant, voire les fessant avec une assurance qui provoquait des frissons sur sa peau. Chaque fessée appliquée faisait échapper à Vanessa des gémissements doux, des sons qui se mêlaient à l'atmosphère chargée de la chambre. La main de David glissait de temps à autre entre ses fesses, caressant avec audace sa vulve palpitante et son anus, chaque contact envoyant des vagues de plaisir à travers son corps déjà en émoi. Poursuivant sa domination, David prit une des attaches de cuir et la fixa à l’anneau de la chevillière du pied droit de Vanessa, puis la lia à l'attache ciselée du lit. Il répéta la procédure avec la chevillière gauche, s’assurant ainsi que Vanessa ne puisse plus bouger de cette position offerte et indécente. Les contraintes étaient serrées juste assez pour limiter ses mouvements sans causer de douleur, accentuant le sentiment d'emprise et d'exposition. David, se délectant de la situation, resta un moment à contempler Vanessa, immobilisée et offerte. Il pouvait voir chaque frémissement parcourir son corps, chaque respiration haletante accentuer la courbure de son dos. Avec un désir grandissant, David fit glisser ses doigts le long des courbes exposées de Vanessa, s'attardant sur sa vulve humide et palpitante de désir. Il jouait avec elle, ses doigts habiles caressant, explorant, écartant délicatement les lèvres pour découvrir l'intimité trempée de Vanessa, provoquant chez elle des gémissements de plaisir pur. Son excitation à lui était palpable, visible dans la tension de son corps, l'érection forte qui se pressait contre caleçon en étant l’incarnation la plus directe. N’en pouvant plus, David baissa son caleçon pour libérer son sexe tendu. Il le prit en main et laissa son gland dur frôler et taquiner l'entrée de la vulve de Vanessa … glissant entre les lèvres humides … remontant jusqu'à son clitoris pour un instant de stimulation directe qui arracha à Vanessa un cri étouffé de plaisir. Il se lança dan un va-et-vient entre les lèvres chaudes et le clitoris dressé de Vanessa, la tenant fermement par les fesses. Vanessa, électrisée par chaque contact, sentait son corps répondre avec une intensité qu'elle n'avait jamais connue auparavant. Sa vulve, enflammée et réceptive, coulait de désir, et accompagnait chaque mouvement de David. Elle sentait les attaches emprisonner ses chevilles. Le seul mouvement qu’elle maitrisait était celui de son bassin qui prenait le contrôle de tout son être dans une danse harmonieuse avec la queue raide de David.   Malgré l’excitation et l’attirance intenses qui unissaient leurs corps, David maintenait le contrôle, poussant Vanessa aux limites de son désir sans jamais la pénétrer complètement. Chaque fois que son gland effleurait son clitoris, Vanessa gémissait, implorant presque dans son souffle haletant un soulagement que David refusait encore de lui donner. Il s'amusait à explorer, à stimuler, à tourmenter les lèvres gonflées de Vanessa, chaque mouvement étant un mélange exquis de promesse et de torture. Dans un moment de désespoir croissant, Vanessa se tourna vers lui, sa voix tremblante : « S'il vous plaît, David, je vous en supplie... prenez-moi …». Sa demande était un murmure, un aveu de sa dépendance totale aux sensations qu'il lui offrait. Mais David, avec un sourire en coin, continuait son jeu sadique, son gland glissant encore une fois tout le long de son sexe détrempé, appuyant juste assez pour qu'elle puisse sentir ce qu'elle manquait. Ne pouvant plus supporter cette frustration exquise, Vanessa implora de nouveau, cette fois avec plus d'intensité. « Prenez-moi, David, maintenant, je ne peux plus attendre ! » Sa voix brisée par le désir était presque irrésistible. « Tu veux ma queue, petite chienne ? » lui demanda alors David, la fixant de son regard, tout en continuant de la supplicier de son mouvement de va-et-vient. « Oui … » lâcha Vanessa dans un souffle. « Je n’ai pas bien compris » répondit David dans un sourire espiègle et presque diabolique, redoublant d’intensité dans son regard. « Oui je la veux » répondit  Vanessa. « Où cela, petit chienne ? » demanda David en empoignant ses bras enchainés, la faisant se cambrer. « Dans ma chatte …» se surprit à répondre Vanessa dans un souffle, elle qui n’utilisait d’habitude jamais de tels termes. Ses joues se mirent à rougir … « Où cela, ma petit chienne ? » répéta David affermissant la tension de son dos arqué en tirant plus avant sur ses bras. « Dans … dans ma chatte de petite chienne … » lâcha-t-elle, son visage s’empourprant de honte et de plaisir mêlés … À ces mots, David, les yeux emplis d'une lueur sauvage, saisit fermement les longs cheveux roux de Vanessa, tirant sa tête en arrière avec une maîtrise qui lui arracha un cri de surprise mêlé d'excitation. Il positionna son gland à l'entrée de la vulve palpitante de Vanessa, humide et ouverte, prête à l'accueillir. D'un mouvement doux mais implacable, il la pénétra de toute sa longueur, provoquant un hurlement de plaisir qui résonna dans la chambre. Vanessa sentit chaque pouce de son être se remplir, son corps s'arc-boutant sous l'assaut puissant. « Tu es à moi, ma petite chienne …» murmura David, maintenant immobile en elle, savourant la sensation de plénitude. « Oui … à vous … toute à vous, » gémit Vanessa, ses mots confirmant son abandon complet. David commença alors à se mouvoir en elle, lentement d'abord, puis avec une intensité croissante, chaque poussée plus profonde et plus ferme que la précédente. Les sensations que Vanessa éprouvait étaient indescriptibles; la plénitude, le frottement du gland et de la queue raide de David contre ses parois internes, chaque mouvement amplifiant le plaisir qui s'enroulait, serré et chaud, dans son ventre. L'excitation montait en Vanessa à chaque mot cru que David prononçait, chaque terme vulgaire éveillant en elle une résonance sauvage qu'elle n'aurait jamais imaginée aimer. Sa honte initiale se transformait en un désir ardent, poussant ses hanches à rencontrer les siennes avec un abandon fébrile. Le rythme s'intensifiait, les sons des corps qui s'entrechoquaient remplissaient l'air, mélangeant gémissements et souffles coupés. Vanessa, submergée par l'intensité de son plaisir, sentit l'orgasme monter irrésistiblement. Avec un cri qui déchira le silence, elle se libéra, son corps secoué de spasmes alors que son orgasme la submergeait complètement. À l'apogée de son excitation, David se retira du sexe bouillant de Vanessa. Dans un dernier mouvement, sa queue glissa entre les fesses de Vanessa et libéra son nectar nacré sur son fessier rebondi, arrachant un râle de satisfaction de sa bouche.  Vanessa sourit de satisfaction lorsque le sperme chaud de David vint se répandre sur ses fesses. Son corps encore frémissant sous l'effet de leurs échanges passionnés, elle leva ses yeux vers David dont le corps était encore tremblant de sa jouissance. Oui elle était toute à cet homme qui la révélait à elle-même  … ou tout au moins elle voulait vraiment, pleinement l’être … Elle ferma les yeux, profitant de cet instant d’une rare plénitude. (A suivre) Source de l'illustration: photo libre de droit de l'internet
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Par : le 08/09/24
David se redressa alors, quittant brièvement la chaleur des draps et la proximité voluptueuse de Vanessa. Avec des mouvements fluides et assurés, il s'approcha d'un grand placard en bois d'ébène qui trônait dans un coin de la chambre, son aspect sombre et lustré se fondant harmonieusement avec le reste du mobilier. Il ouvrit les portes pour y révéler plusieurs étagères bien organisées et prit deux élégants sachets en coton gris. Revenant vers le lit, il posa délicatement les sachets sur les draps safranés. Vanessa se souleva avec légèreté et s’assit sur le lit, les jambes croisées sous elle. Elle ne perdait pas une image de ce que faisait David, observant chaque mouvement avec une curiosité intense mêlée d'une pointe d'excitation. David desserra les cordes qui fermaient chacun des sachets. Le premier sachet, plus petit, s'ouvrit pour révéler des menottes, des chevillières et un collier en cuir marron d’un design élégant et de finition haut de gamme. Chaque pièce était agrémentée d'anneaux couleur or rose. Des chaînes dorées de différentes longueurs complétaient l'ensemble, scintillant sous la lumière tamisée de la chambre. Le second sachet, plus volumineux, contenait quant à lui diverses longues attaches du même cuir que celui du pack de contrainte du premier sachet ; chacune d’entre elles avaient à leurs extrémités des crochets à cliquet dorés. Retirant la couette du lit, David disposa avec soin sur le lit ces objets nouveaux pour Vanessa. Ils semblaient tirés d'un autre monde, un monde où l'art de la contrainte se mêlait à la beauté des objets ; ils respiraient le luxe et le raffinement tout autant qu’ils exprimaient la soumission et l’abandon, la domination et l’emprise. Vanessa sentait son cœur battre plus fort, son corps répondant avec une chaleur croissante à la vue des instruments de bondage. L'intimidation initiale avait fait place à une fascination profonde, et l'excitation qu'elle ressentait était palpable, un frisson parcourant sa peau à chaque battement de cœur. David, observant son visage, capta chaque nuance de son émotion. « Tout ce que nous allons faire sera guidé par vos désirs et vos limites, » lui rappela-t-il doucement, fixant son regard avec intensité. « Ces outils ne sont que des extensions de la confiance que vous m'accordez. Et ils ne sont là pour notre plaisir mutuel.» Vanessa, les yeux brillants d'un mélange d'impatience et de nervosité, acquiesça. « Je vous fais confiance, David, » dit-elle, dans un murmure presque inaudible mais chargé d'une résolution ferme. Elle s’imaginait déjà attachée, exposée, mais aussi incroyablement connectée à David dans une danse de pouvoir et de soumission, la vue de chaque attache augmentant son excitation et son irrésistible envie de poursuivre plus avant cette expérience nouvelle et profondément révélatrice.  Elle voulait se donner plus profondément encore à lui. Elle ressentait une confiance irrationnelle mais pourtant totale envers cet homme dont l’autorité bienveillante mettait ses sens en ébullition. « Attachez-moi, David, » répéta-t-elle, cette fois avec plus d'assurance. David, avec un hochement de tête respectueux et un sourire qui promettait à la fois douceur et autorité, prit les menottes et s'avança vers elle. Son toucher était à la fois ferme et tendre, rassurant Vanessa avec un sourire compréhensif. Il saisit délicatement son poignet droit, élevant son bras avec précaution. La douceur apparente du cuir contrastait avec la fermeté des anneaux dorés rosés qui brillaient avec éclat. Avec une prévenance mesurée, il enveloppa le cuir autour de son poignet, ajustant soigneusement l’attache sans que celle-ci soit trop serrée. Il répéta l'action avec le poignet gauche, ses doigts effleurant la peau de Vanessa dans un geste rassurant, ancrant leur connexion tout en affirmant son contrôle. Une fois les menottes fixées, David prit les chevillières assorties. Il guida Vanessa pour qu'elle fléchisse légèrement ses jambes, lui permettant d'accéder à ses chevilles. Il s'accroupit, son visage proche des pieds de Vanessa. Après avoir déposé un baiser sur le pied droit de Vanessa, qui provoqua en elle un frisson de plaisir, il souleva doucement sa cheville, faisant glisser la chevillière en cuir autour de celle-ci. L'attention minutieuse de David à ne pas la serrer trop fort là encore mais suffisamment pour que Vanessa ressente cet attachement ajoutait une couche de soin et de protection à l'acte d'assujettissement. Il fit de même avec l'autre cheville, ses mains habiles s'assurant que chaque détail était parfait. « Mettez-vous à genoux au milieu du lit, Vanessa » ordonna soudain David. L'ordre de David résonnait dans la chambre, impérieux, accentuant l'électricité déjà palpable dans l'air.  Fébrile mais terriblement excitée, Vanessa s’exécuta et s'agenouilla au centre du lit, chaque mouvement accentué par la sensation des chevillières dont le poids limitaient subtilement ses mouvements. « Asseyez-vous sur vos pieds, le dos bien droit, écartez légèrement vos cuisses et posez vos mains sur celles-ci, paumes retournées » continua-t-il d’une voix lente mais assurée et ferme.  S'asseyant sur ses talons, le dos droit, Vanessa plaça ses mains ouvertes sur ses cuisses entrouvertes. Dans cette posture d'offrande et de soumission qui amplifiait son excitation, le corps de Vanessa se révélait sous un jour nouveau, sculpté par la tension et le désir. Ses épaules étaient tirées en arrière, accentuant la courbe de sa colonne vertébrale et mettant en avant son opulente poitrine, triomphante, parée de son soutien-gorge en dentelle noir. Les menottes à ses poignets ajoutaient un contraste saisissant à sa peau légèrement dorée. Ses cuisses légèrement écartées dessinaient une invitation silencieuse et ensorcelante. Ses fesses, tendues et rebondies, étaient magnifiquement mises en valeur par sa position agenouillée. La raie de ses fesses, superbement définie et invitante, guidait le regard vers l'échancrure de son intimité, partiellement dissimulée par la dentelle sombre de son tanga trempé d’excitation. L'ensemble de son corps semblait vibrer d'un mélange de nervosité et d’excitation, chaque muscle tendu non seulement par la posture mais aussi par l'attente de ce que David déciderait de faire ensuite. David vint se placer devant Vanessa. Il l’embrassa tendrement et lui fit baisser légèrement la tête. Il lui parla doucement, sa voix se mélangeant avec l'atmosphère chargée de la chambre. "Cette position, Vanessa, est communément appelée « Nadu ». C'est une posture de respect et de disponibilité," expliqua-t-il avec un calme qui se voulait aussi instructif que rassurant. « En position Nadu, votre corps parle avant même que les mots ne puissent s'échapper de vos lèvres. Votre dos droit symbolise votre fierté et votre force, vos mains sur vos cuisses montrent votre ouverture et votre volonté de recevoir ce qui vient. C'est une position d'offrande, oui, d’attente, également, mais aussi une déclaration de confiance et de préparation à l'engagement dans l'échange que nous partageons. » Il fit une pause, permettant à Vanessa d'absorber la signification de ses mots. « C'est un très beau cadeau que vous m'offrez, Vanessa, votre soumission volontaire. Cela signifie que vous êtes prête non seulement à obéir, mais aussi à accueillir les sensations, les émotions, et peut-être même les défis que je pourrais vous présenter. » Vanessa sentit son cœur battre à tout rompre, chaque mot de David renforçant le sentiment d'intimité et de connexion entre eux. La prise de conscience de la signification de sa posture lui fit ressentir une profondeur nouvelle dans leur interaction, un mélange d'excitation et de respect mutuel qui approfondissait son engagement dans le moment présent. « Êtes-vous prête à continuer, à me faire confiance alors que nous explorons ensemble ces nouveaux territoires? » demanda David, offrant à Vanessa un nouveau moment pour consentir de plein gré. Vanessa acquiesça. « Oui, David, je suis prête ». « Regardez-moi, Vanessa, » dit-il d'une voix basse et rauque. Elle leva les yeux vers lui, ses yeux remplis d'une confiance vulnérable mais totale. David prit délicatement sa main droite, en embrassa la paume et vint la positionner derrière sa nuque. Ses yeux plongés dans les yeux de Vanessa, il répéta l’opération avec sa main gauche, qui vint rejoindre sa main droite derrière sa nuque. David l'embrassa doucement, sa main se posant délicatement sur son cou, enserrant sa gorge dans un geste à la fois tendre et dominant. Vanessa, répondant à ce geste, offrit sa gorge plus ouvertement, la tête légèrement renversée en signe de soumission et de confiance. Après un moment, David retira sa main et, dans un regard intense, lui demanda de ne plus bouger. Vanessa sentit un frisson de plaisir mêlé de nervosité parcourir son échine alors que la pression de la main de David se relâchait, laissant une sensation de chaleur et de vulnérabilité autour de sa gorge. « Cette position s’appelle en anglais « Collar Me », Vanessa » lui dit-il d’une voix douce au creux de l’oreille. « Vous comprenez évidement ce que cela signifie » continua-t-il d’une voix plus affirmative qu’interrogative. Pourtant Vanessa ne put s’empêcher de hocher la tête et de lui répondre d’une voix fébrile « Oui… . » « Ce geste est hautement symbolique, » continua David, désormais face à elle et ses yeux plongés dans les siens, «  il représente l'acceptation de votre soumission à mon autorité du dominant. Je vous rassure, cela ne fait pas de vous aujourd’hui ma soumise. Nous n’en sommes pas là » continua-t-il dans un sourire tendre et bienveillant. Un sourire auquel Vanessa répondit d’un sourire empreint d’une infinie bonté. « Ce n’est qu’un jeu pour l’heure » finit par dire David. Il présenta le collier, le tenant devant Vanessa pour qu'elle puisse l'admirer un instant avant de le placer autour de son cou. Le cuir était doux et l'anneau doré au centre brillait comme un bijou. « Le voulez-vous vraiment, Vanessa ?, » dit-il d'une voix basse, captant son regard avec intensité. « Oui, David, je le veux », murmura-t-elle, sa voix un mélange de détermination et d'excitation. Avec une lenteur calculée, il passa le collier autour de son cou, ajustant la boucle pour un ajustement confortable mais affirmé. Le poids du collier était un rappel tangible de la dynamique de leur jeu, un symbole de sa soumission choisie et de la confiance qu'elle avait placée en lui. David se recula légèrement pour admirer Vanessa, le regard empli de désir et d'admiration. « Vous êtes absolument magnifique, Vanessa. Votre corps est une véritable œuvre d'art, » commença-t-il, sa voix basse teintée de fascination. Il parcourut du regard ses formes voluptueuses, s'attardant sur ses seins, opulents et parés de dentelle noire, qui appelaient presque à la luxure. « Ces courbes... votre poitrine est simplement … sublime, » ajouta-t-il en s'approchant à nouveau. Tendrement, David inclina sa tête pour embrasser la peau douce de son décolleté. D’un geste expert il dégrafa son soutien-gorge, libérant les seins magnifiques de Vanessa. Face à tant de beauté et de tentations, il ne put résister et prit un téton entre ses lèvres. Il lécha et aspira doucement le bout sensible, provoquant un gémissement de Vanessa, avant de pincer et d'étirer délicatement le téton avec ses doigts, explorant sa réponse à chaque toucher. Vanessa sentit des vagues de plaisir se mêler à une douce douleur ; son corps répondant avec ardeur à chaque caresse ; son sexe se liquéfiant sous l'intensité de l'attention de David. Se levant, David se dirigea de nouveau vers le placard et en sortit deux petites pinces ornées de jolis bijoux en verre vénitien. Revenant au lit, il reprit en bouche les fabuleux tétons de Vanessa pourtant leur érection impudique à l’extrême. Les quittant à regret, il fixa chaque pince sur les tétons tendus de Vanessa. La jolie rousse gémit à chaque pose ;  sous ses paupières closes ses yeux se révulsèrent de plaisir sous l'effet de la sensation aiguë et délicieuse. (A suivre) Source de l'illustration: photo libre de droit de l'internet
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Par : le 06/09/24
Après que Vanessa ait murmuré ses mots, David la serra contre lui un peu plus fort, la chaleur de son corps offrant un contraste apaisant avec la fraîcheur de la nuit qui était désormais bien avancée. Il pouvait sentir le mélange d’attirance, d’affection, de confiance et de vulnérabilité qu'elle partageait avec lui, un lien qui se renforçait avec chaque mot échangé, chaque toucher reçu, chaque expérience vécue. « Vanessa, » dit-il doucement, sa voix basse et rassurante. « Vous avez montré une telle ouverture d’esprit, une telle force et une telle grâce ce soir. Au-delà des sentiments indéniables qui se nouent entre nous, sachez que je suis très honoré de votre confiance et de votre courage à explorer ces nouveaux territoires avec moi. » David continua, choisissant ses mots avec soin. « Je comprends que cela peut être intimidant et tout à fait nouveau pour vous. Je veux que vous sachiez que vous pouvez toujours exprimer vos pensées, vos hésitations, vos questions, vos réserves. Surtout n’hésitez pas. Nous sommes partenaires dans cette démarche, et votre bien-être est ma priorité absolue. » Leur échange était interrompu seulement par le chant du vent dans les feuilles et le crépitement sporadique des bougies autour d'eux. Vanessa se sentait étrangement paisible dans ses bras, comme si tous ses doutes et ses réticences antérieurs s'étaient dissipés dans l'acceptation de ce moment et de ce qu'ils partageaient. Et plus encore par ce qu’elle découvrait d’elle-même. Elle n’avait jamais imaginé se sentir aussi bien dans cette position de soumission, d’abandon. C’était pour elle une surprenante mais aussi délicieuse révélation. Vanessa se redressa légèrement pour mieux le regarder dans les yeux, trouvant avec délice son regard qui était à la fois profond, sérieux et bienveillant. « Je le sais, David, et je vous remercie infiniment pour votre patience et votre compréhension. Ce soir a été une succession de révélations à bien des égards … et je sens que j'ai encore beaucoup à apprendre et à découvrir ... à propos de moi-même, … de nous. » Un sourire tendre se forma sur les lèvres de David. « Et j'ai hâte de découvrir tout cela avec vous, Vanessa. Vous êtes tellement exquise … à tous points de vue...  A votre rythme bien sûr. Rien ne nous presse. » Un frisson fit trembler le corps de Vanessa. David, remarquant son tremblement, saisit un plaid épais aux motifs écossais, mêlant des teintes de bleu profond, vert forêt et des lignes crème, qui se trouvait sur l’un des fauteuils en osier du patio. Avec une douceur attentionnée, il enveloppa Vanessa dans le tissu chaud et doux, la protégeant de la brise nocturne. Le frisson de Vanessa, bien que provoqué par le mélange exquis de plaisir et de plénitude ressentis qui était le sien, plus encore après les derniers mots de David, fut silencieusement attribué à la fraîcheur de l'air. Elle ne révéla pas la vraie raison à David. Elle se sentait profondément touchée par sa délicate attention, un sourire de gratitude illuminant son visage sous l'éclat des étoiles qui constellaient le ciel, accompagné d’un baiser emprunt de ce qui était clairement un amour naissant. « Cela vous dérange si je fume une cigarette ?» lui demanda David alors qu’il l’enserrait tendrement dans ses bras. « Nullement, David », lui répondit Vanessa, se blottissant plus confortablement encore contre son torse accueillant. David tendit la main et prit le paquet de Marlboro Gold et le Zippo qui se tenaient sur la table basse en verre du patio. D'un geste assuré il s’alluma un cigarette, inspira profondément la fumée, puis expira lentement dans un long soupir de satisfaction, un sourire tranquille illuminant son visage détendu. L’odeur de la fumée du tabac chaud se mêlait à celle du parfum de David dont Vanessa s’enivrait : elle distinguait une note sensuelle de violette et des accents de cuir et de bois ; cette note de cœur étant sublimée par une note de tête fruitée ; une note de vanille enveloppant le tout d'un accord doux et épicé en fond. Tout à fait à l’image de David se dit-elle : un mélange de puissance et de délicatesse ; de domination et de douceur ; de brut et de raffiné ; de dureté et de bienveillance. Le silence s'installa un moment, leur permettant de savourer le moment avec quiétude, de savourer la présence de l'autre. Finalement, David prit une profonde inspiration et se leva. Il écrasa le mégot de sa cigarette dans un cendrier en émail, et se retournant vers Vanessa lui offrit sa main en disant : « Peut-être devrions-nous rentrer ? Il commence à faire un peu frais ici. » Vanessa accepta sa main et le suivit à l'intérieur dans le salon, témoin de leurs premiers ébats. David raviva le feu dans la cheminée pour éloigner le froid de la nuit, pendant que Vanessa s’installait en amazone sur le canapé, toujours emmitouflée dans le plaid écossais dont David l’avait parée. Les flammes reprenaient vie et la lumière dansait sur les murs. David se tourna vers Vanessa. « Il se fait tard j’en suis conscient » lui dit-il. Le carillon de l’horloge en chêne massif qui trônait avec élégance dans le salon n’allait effectivement pas tarder à sonner les 2 heures du matin. « Peut-être souhaitez-vous rentrer ? » ajouta-t-il. Ne lui laissant pas le temps de répondre il ajouta « A moins que vous ne vouliez rester un peu plus longtemps ? … Voire partager votre petit-déjeuner avec moi demain matin ? » Heureuse de cette proposition finale, Vanessa lui répondit sans hésiter : « J'aimerais beaucoup rester, David. », un sourire éclatant illuminant son visage, auquel David répondit en miroir. Il se dirigea vers un meuble où se tenait un ancien tourne-disques. Il choisit un 33 tours parmi la collection qui remplissait un pan entier du meuble bibliothèque qui se tenait juste à côté. Les premières notes de « Smooth operator » de Sade envahirent la pièce. David retourna s'asseoir aux côtés de Vanessa, l'ambiance mélodieuse enveloppant la pièce d'une douceur intime. « J'aime cette chanson, elle a quelque chose de... réconfortant, d’envoutant, vous ne trouvez pas ? » demanda-t-il en se rapprochant légèrement pour partager la chaleur du plaid. Vanessa acquiesça, se blottissant contre lui. « Oui, elle est parfaite pour la nuit. C'est comme si la musique elle-même était un invitation au voyage, » répondit-elle, sa voix empreinte de tendresse. Le feu crépitait doucement en arrière-plan, ajoutant à la scène une touche de chaleur visuelle qui complétait la musique. Ils parlèrent ensuite de leurs goûts musicaux, de leurs voyages passés et de leurs espoirs futurs, créant des liens plus profonds à travers leurs échanges. Vanessa sentait une plénitude l'envahir, une sensation de contentement qui surpassait tout ce qu'elle avait connu auparavant. L'attention et la considération que David lui portait la faisait se sentir choyée et valorisée. Sa domination naturelle la réconfortait paradoxalement. Elle avait une envie chaque seconde plus forte de totalement s’abandonner à lui. David, de son côté, ressentait une satisfaction tranquille en découvrant les couches multiples de la personnalité de Vanessa. Leur connexion, déjà intense, se renforçait à chaque sourire, à chaque confidences partagées. Il était conscient de l'importance de ces moments de partage, reconnaissant pour la confiance qu'elle lui accordait. Vanessa était définitivement une femme … sublime. La carillon sonna 4 heures. Vanessa commençait à bailler. Tout en l’embrassant tendrement David suggéra doucement : « Vous commencez à être fatiguée. Peut-être serait-il temps d'aller se coucher ? La soirée a été longue et pleine d'émotions » dit-il dans un sourire à la fois tendre et espiègle. Vanessa hocha la tête : « Vous avez raison, David. Et je suis tellement heureuse d'être ici avec vous. » David se leva, lui tendant la main. « Allons-y alors. » Ils se dirigèrent ensemble vers la chambre, Vanessa se sentant en sécurité et profondément liée à David. Lorsque Vanessa pénétra dans la chambre de David, elle fut instantanément captivée par l'élégance raffinée et le goût impeccable qui caractérisaient l'espace. Un mur de pierre courait sur la droite de la pièce. Les autres murs d’un blanc immaculé étaient ornés de deux tableaux de nus féminins d’un érotisme à la fois puissant et élégant ; un grand tapis persan aux motifs complexes couvrait le sol, ajoutant une touche de couleur chaude et de texture raffinée. Le reste du mobilier, en bois foncé, était à la fois classique et moderne. A la gauche de la pièce trônait un lit majestueux en bois d'ébène, son aspect sombre et lustré offrant un contraste saisissant avec la literie couleur safran, qui rappelait les tonalités du fauteuil confortable qui finissait de compléter le mobilier de cette pièce chaude et accueillante. Mais ce qui captait vraiment l'attention de Vanessa, c'étaient les crochets métalliques superbement ciselés attachés à chaque coin des montants du lit, leur présence évoquant une dualité entre art et fonction. Intriguée et légèrement intimidée, Vanessa tourna son regard vers David, son expression trahissant sa surprise. « Qu'est-ce que c'est que cela » demanda-t-elle, un doigt pointé timidement vers les attaches. David, percevant l'hésitation dans sa voix, s'approcha avec un sourire rassurant. « Ce sont des attaches pour des jeux de liens, » expliqua-t-il doucement. « Elles sont là pour ceux qui souhaitent explorer des aspects plus... plus intenses de leur intimité. Bien sûr, c'est quelque chose que nous ne ferions que si vous vous sentez à l'aise et en totale confiance." Vanessa écouta, absorbant ses paroles. Elle sentit un mélange d'appréhension et de curiosité. David, toujours attentif à ses réactions, ajouta : « Je tiens à ce que vous sachiez que tout ce que nous faisons ici repose sur le consentement mutuel. Vous avez toujours le choix, Vanessa. Nous ne nous livrerons à ces jeux que si vous le désirez ». Elle acquiesça, reconnaissante pour son approche respectueuse et compréhensive. « Merci de me l'expliquer, David. Je... J'apprécie votre honnêteté et je me sens en sécurité avec vous. » lui offrant un sourire timide. David la guida doucement vers le lit, laissant à Vanessa le temps de s'adapter à l'idée. « Pour l'instant, pourquoi ne pas simplement nous reposer ? » suggéra-t-il, tirant la couette safranée pour qu'elle puisse se glisser sous les draps. « Mais peut-être voudriez-vous d’abord prendre une douche ? … Même s’il me plairait de m’endormir avec vous avec l’odeur de nos ébats intimes … » ajouta-t-il dans un regard coquin qui fit fondre Vanessa sur place. Elle lui tendit ses lèvres et l’embrassa avec une intensité décuplée par la chaleur qu’elle sentait de nouveau monter au sein de son corps. « Allons-nous coucher David » lui murmura-t-elle au creux de l’oreille après avoir à regret quitté ses lèvres. Dans un geste d’une grande limpidité, elle laissa tomber le plaid au sol, fit tomber sa robe à ses pieds et se glissa sous les draps juste vêtue de sa superbe lingerie noire au liseré doré. David, le sourire aux lèvres, la rejoignit lui aussi simplement vêtu de son caleçon. Leur étreinte sous les draps fut douce et délicate au début, leurs mains explorant avec respect et admiration la silhouette de l'autre. Le contact de leurs peaux déclenchait des frissons mutuels, amplifiant le désir qui se construisait progressivement entre eux. David caressait délicatement les courbes de Vanessa, ses doigts traçant des sentiers de feu le long de ses bras, de ses épaules, de ses seins, puis descendirent lentement vers ses hanches. Vanessa explorait le torse de David, sentant les muscles durs sous sa peau chaude et découvrant avec plasir à quel point ses tétons étaient sensibles.  À mesure que leurs caresses devenaient plus osées et insistantes, la tension entre eux montait, et l'atmosphère de désir dans la chambre devenait presque palpable. Vanessa, dont les yeux ne pouvaient s'empêcher de glisser à intervalle régulier  vers les attaches métalliques ornant chaque coin du lit, sentait une excitation nouvelle se mêler à sa curiosité. Les attaches, qui au départ lui avaient semblé intimidantes, commençaient maintenant à l'intriguer de plus en plus, leur présence éveillant en elle des désirs jusqu'alors inexplorés. David, percevant le regard de Vanessa qui revenait souvent aux crochets, lui murmura à l'oreille, d'une voix douce mais chargée d'une promesse tacite, « Cela vous intrigue, n'est-ce pas ? » Vanessa hocha la tête, sa respiration s'accélérant à mesure que ses pensées flottaient entre appréhension et désir. « Ça m'excite... d'une manière que je n'aurais pas imaginée, » avoua-t-elle, sa voix brisée par l'émotion et l'excitation. David esquissa un sourire compréhensif et plein d'assurance, ses mains continuant de jouer avec les bords de sa lingerie, frôlant la peau sensible dessous. « Si vous le voulez, je pourrais vous montrer à quel point cela peut être agréable, » suggéra-t-il, ses lèvres trouvant le chemin de son cou, laissant une trace brûlante de baisers qui ne faisait qu'attiser le feu en elle. Les yeux de Vanessa, emplis d'un mélange de désir et de confiance, rencontrèrent ceux de David. Après un bref moment de réflexion, où chaque battement de cœur semblait résonner dans la pièce, elle murmura avec une détermination qui surprit même David : "Attachez-moi, David."   (A suivre) Source Illustration: image libre de droit de l'internet
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Par : le 03/09/24
Toujours allongée dans le fauteuil Chesterfield, Vanessa était encore enveloppée dans les réminiscences de l’extase que lui avait procurée David. Son esprit était en lévitation. Son corps était plus vivant que jamais ; chaque pore de sa peau était d’une infinie sensibilité. Elle avait besoin de quelques instants pour rassembler ses pensées et retrouver son souffle après la vague de sensations que David avait déclenchée en elle. David l’avait bien compris et, après avoir déposé un baiser d’une infinie tendresse sur son front, il l’avait laissée se remettre de ses émotions : « Je vous laisse quelques minutes, ma belle. Je vais nous préparer un cocktail. Rejoignez-moi dans le patio quand vous le voudrez. ». Le visage radieux, Vanessa lui avait répondu d’un hochement de la tête approbatif. Revenant sur ces pas, il s’adressa de nouveau à elle : « Quand vous me rejoindrez, Vanessa, si vous ne souhaitez pas que nous continuions notre exploration, dites-moi simplement en arrivant le mot que vous avez choisi. D’accord ? ». « Oui, David » lui répondit-elle d’une voix douce, ne pouvant empêcher un sourire. Vanessa se redressa et s'assit lentement, reprenant ses esprits tout en remarquant alors l'état du fauteuil Chesterfield. Les cuirs luxueux étaient imprégnés de l'éclat de son plaisir, témoins muets de la profondeur de son abandon. Elle aperçut moultes traces similaires sur le sol devant le fauteuil, formant des petites flaques transparentes sur le parquet, preuves s’il en avait été nécessaire de l’intensité de sa jouissance. Une vague de honte la submergea, rapidement accompagnée par le souvenir vivace du déchainement de sensations aussi nouvelles que puissantes qu'elle venait de vivre. Cette dualité émotionnelle la fit sourire malgré elle. Aussi surprenant que cela pouvait paraître, elle se sentait plus que jamais femme … Et elle ressentait même une certaine fierté d’avoir découvert cette partie de sa féminité. Soudainement consciente de sa quasi-nudité, ne portant plus que son soutien-gorge en dentelle noire, Vanessa se leva pour chercher ses vêtements éparpillés. Elle ramassa sa robe, la passant doucement, caressant le tissu comme pour se reconnecter avec la réalité. Elle trouva son tanga non loin, découvrant à quel point il était trempé,  le remettant en place avec une précision méthodique. Ses fesses encore meurtries des délicieuses fessées de David apprécièrent le toucher soyeux du tissu. A cette double sensation de douleur et de douceur, elle ferma instinctivement les yeux, laissant échapper un soupir de satisfaction. Devant le miroir, elle s'efforça de remettre rapidement de l'ordre dans ses cheveux roux et de corriger les traces de son maquillage ému, souhaitant se présenter sous son meilleur jour à celui qui faisait brûler son cœur, ses sens et son esprit, même après un tel abandon. Enfilant finalement ses talons aiguilles noirs, elle sentit la familiarité de l’étreinte de leur lanière autour de ses chevilles, une touche finale qui la rendait toujours plus confiante et élégante. Debout, prête mais encore incertaine, elle repensait aux mots de David et à sa propre réaction. La proposition d'explorer davantage la soumission et l'abandon résonnait en elle avec une intensité surprenante. Vanessa pesait mentalement le pour et le contre, son esprit oscillant entre la prudence et l'attrait du tabou. Tabou qu’elle venait de commencer à briser. Et ce, à sa surprise, avec une réelle envie et un plaisir qu’elle ne pouvait nier. Il était encore temps de s’arrêter… Au moins pour cette soirée … En même temps … En même temps la tentation était indéniablement très forte, presque irrésistible. Et malgré ses réserves initiales, l'envie d'explorer ces terrains inconnus avec David, de sentir à nouveau cette puissance d'abandon, de remettre totalement sa confiance entre ses mains, d’être vulnérable et à sa merci sous son autorité bienveillante prenaient inexorablement le dessus. « Ne pas utiliser Cristal », se répétait-elle intérieurement, son choix se coagulant dans son esprit avec une rapidité et une clarté surprenantes. Presque comme une évidence. Elle décida de laisser derrière elle toute réticence, choisissant de se plonger dès à présent plus avant dans les profondeurs de cette nouvelle dynamique avec lui. Ajustant une dernière fois son image dans le miroir, Vanessa quitta la pièce avec une démarche assurée, se dirigeant vers le patio où David l'attendait. Chaque pas était un engagement envers elle-même et envers le parcours qu'ils avaient entrepris ensemble, un pas de plus vers la découverte et l'acceptation de ses désirs les plus profonds. La brise du soir avait apporté une fraîcheur bienvenue dans le patio où David avait disposé des bougies dans des photophores éparpillés avec soin, créant une atmosphère intime et même mystique. La lueur vacillante des flammes dansait sur les murs, projetant des ombres douces qui semblaient flotter dans l'air, ajoutant un charme envoûtant à l'espace extérieur. Les plantes et les fleurs du patio baignaient également dans cette lumière chaleureuse, leurs contours délicatement illuminés, faisant de cet endroit un tableau vivant et respirant. Vanessa trouva David debout, accoudé au bar du patio, fumant une cigarette américaine. Son allure à la fois décontractée et raffinée, dégageait une confiance tranquille et une autorité naturelle. Portant toujours son pantalon de lin, il avait ôté sa chemise, révélant son torse qui semblait taillé dans le marbre sous le jeu de lumières des bougies. Ses larges épaules témoignaient de nombreuses années de force et de résilience, portant les marques d'une vie active. Bien que les années aient légèrement arrondi son ventre, celui-ci restait bien proportionné à son large torse, ajoutant un mélange de maturité virile et de confortable protection à son allure générale. Sur son épaule gauche, Vanessa distingua un tatouage semblable à ceux qu’on voyait parfois sur les bras de marins au long cours, représentant une rose écarlate entrelacée avec un cœur robuste. Cela lui donnait un petit côté « mauvais garçon » qui tranchait avec son côté gentleman, mais qui plut beaucoup à Vanessa. Elle s'avança vers lui, un sourire empreint de timidité aux lèvres, captivée non seulement par son physique mais aussi par l'aura de contrôle qu'il dégageait, ce qui amplifiait son attirance et son désir de continuer leur exploration. David remarqua l'approche de Vanessa et, dans un sourire chaleureux, lui tendit son cocktail dans un élégant verre en … cristal. Intérieurement Vanessa nota le caractère subtil de ce rappel à son mot de sauvegarde. Elle prit le verre en main.  Le liquide, d'une couleur rougeoyante avec une touche de doré scintillant sous la lumière des bougies, exhalait un arôme enivrant d'agrumes mélangés à un soupçon de rhum épicé. Vanessa en prit une gorgée, laissant les saveurs complexes danser sur sa langue, mélange de douceur fruitée et de piquant épicé, parfaitement équilibré. Elle déposa son verre sur le bar, puis se blottit dans les bras de David. Il l'accueillit contre lui, ses bras forts l'enveloppant dans une étreinte douce et rassurante. Ils échangèrent un baiser, profond et passionné, leurs lèvres se mouvant avec une intensité croissante, explorant avec tendresse et désir leur intimité buccale, buvant avec avidité leur salive. Leurs caresses étaient douces mais chargées d'émotion, leurs mains parcourant le dos et les épaules de l'autre, réaffirmant leur connexion intime. David planta son regard dans celui de Vanessa, ses yeux bleu-vert brillant d'un mélange de désir et d’autorité. Ce regard intense, presque palpable, était une invitation à poursuivre leur voyage dans les territoires encore inexplorés de leur relation. Vanessa, littéralement capturée par la profondeur de son regard, lui répondit sans un mot. Avec un léger mais assuré hochement de tête, elle lui signifia clairement qu'elle était prête à continuer, à plonger plus profondément dans l'exploration de cette dynamique de pouvoir et de soumission qui les liait désormais. Ce message oculaire ravit David : on dit tellement mieux les choses parfois avec les yeux. Mais soucieux de s’assurer du consentement de Vanessa il lui murmura : « Etes-vous prête à continuer notre voyage, Vanessa ? ». « David, » commença-t-elle d’une voix à la fois timide et pourtant assurée et dans un regard empreint de gratitude et d'émerveillement, « j’étais bien loin de m’imaginer tout ce qui m’arrive ce soir. Et je ne sais comment exprimer toute ma reconnaissance pour ce que vous venez de me faire vivre. Cet abandon de contrôle est nouveau pour moi, mais c'est aussi incroyablement libérateur et intense. Et j’avoue y trouver un équilibre et un épanouissement troublant. » Elle marqua une pause, observant David dont la présence, calme et rassurante, lui donnait la confiance de s'ouvrir davantage. « Cependant, je ne peux m'empêcher de remarquer que, malgré tout le plaisir que j'ai ressenti grâce à vous, vous... » Sa voix trahit une pointe d'hésitation avant de reprendre avec une timidité manifeste : « vous … vous n'avez pas joui, et je vois que vous me désirez toujours… » baissant son regard sur la bosse sans équivoque qui déformait le pantalon de David. À la vue de l'érection prononcée de David, Vanessa ressentait une vague d'excitation mêlée d'une pointe d'appréhension délicieuse. L'ampleur de l'attirance physique de David pour elle renforçait son sentiment d'être désirée intensément, éveillant en elle cette audace nouvelle. Cette manifestation visuelle de son effet sur lui la confortait dans leur jeu de pouvoir et de soumission, nourrissant son envie de poursuivre leur exploration érotique. Elle voulait lui rendre du mieux possible le plaisir qu’il lui avait donné. Son cœur battait plus fort, palpable dans sa poitrine, tandis que son corps réagissait instinctivement, un frisson de désir parcourant sa peau et un feu ardant reprenant le contrôle de son bas-ventre. Terriblement attirée par la promesse de ce sexe turgescent que cette pièce de tissu cachait encore à sa convoitise, en joignant le geste à la parole, Vanessa s’enhardit et posa sa main sur la bosse qui déformait le pantalon en lin de David. Alors qu’elle s’apprêtait à lui prodiguer ses premières caresses, David la saisit par la gorge, son geste soudain coupant net le souffle de Vanessa. Ses yeux s'écarquillèrent sous l'effet de la surprise, mêlée à une montée brutale d'adrénaline. Sa réaction instinctive fut une légère panique qui transpirait de ses yeux largement ouverts, son cœur battant à tout rompre tandis qu'elle luttait pour inhaler ; mais le regard assuré de David lui rappela rapidement leur jeu de rôles. Elle avait accepté de continuer leur exploration. La main de David sur sa gorge n'était pas menaçante, mais fermement rassurante, la guidant dans leur danse de pouvoir et de soumission. Elle prenait possession d’elle. L'étreinte de David, bien que contrôlante, restait mesurée, et Vanessa sentit son corps répondre avec une étrange fusion de terreur et d'excitation. Cette dualité ravivait en elle une flamme intense, son corps réagissant avec une chaleur croissante, ses seins se tendant sous le fin tissu de son soutien-gorge tandis que son bas-ventre frémissait d'un désir renouvelé. Chaque fibre de son être oscillait entre la peur de l'inconnu et l'excitation de l'exploration, son esprit tiraillé mais incroyablement vivant. David, percevant la lutte intérieure de Vanessa, resserra légèrement sa prise, affirmant son rôle de Maître. "Vous êtes à moi, Vanessa," dit-il d'une voix basse et ferme, chaque mot résonnant d'autorité et de promesse. "Montrez-moi votre soumission. Agenouillez-vous !" lui ordonna-t-il. Vanessa obéit à cet ordre qui ne souffrait aucune contradiction. Elle commença à s'agenouiller doucement, ses yeux toujours fixés dans les siens, cherchant affirmation et sécurité dans son regard. « Baissez les yeux ! » lui intima-t-il. Choquée par la rudesse de cet ordre se sentit vaciller et marqua un moment d’hésitation. « J’ai dit à genoux et les yeux baissés » dit-il avec force au creux de son oreille, quittant son cou pour mieux saisir sa chevelure de feu et tirant sa tête en arrière. Vanessa laissa échapper un petit cri, fermant les yeux. Elle se trouvait à présent à genoux, le parquet froid contre ses jambes, la position la ramenant à une réalité tangible, vibrante d'émotions contrastées. Elle gardait les yeux baissés, comme il le lui avait ordonné, sentant la présence dominante de David s'imposer au-dessus d'elle. Vanessa respirait profondément, tentant de maîtriser l'orage émotionnel qui grondait en elle. Une partie d'elle était terrifiée, se demandant jusqu'où cet échange les mènerait, tandis qu'une autre part était électrisée par le frisson de l'inconnu et la sensation d'être entièrement sous son contrôle. David, satisfait de voir Vanessa adopter si pleinement son rôle nouveau de soumise, relâcha doucement la pression sur ses cheveux, permettant à sa tête de revenir à une position moins tendue. Il se plaça devant elle, déboutonnant lentement son pantalon, libérant son érection imposante. Vanessa, les yeux toujours baissés, pouvait sentir la chaleur et la proximité intimidante de son désir. David prit la main de Vanessa et la guida vers son sexe. « Montrez-moi à quel point vous pouvez être obéissante », murmura-t-il d'une voix teintée d'un mélange de désir et de défi. « Occupez-vous de ma queue comme le ferait une bonne petite salope » ... Hésitante mais résolue à prouver sa soumission, excitée par les mots crus de David, Vanessa enveloppa doucement de ses lèvres le membre de David. Les premiers contacts furent timides, presque tremblants, mais sous le guidage patient et ferme de David, elle commença à s'adapter au rythme qu'il dictait. Ses mains, initialement posées de manière incertaine sur ses cuisses, furent placées par David derrière son dos, l'obligeant à se concentrer uniquement sur l'utilisation de sa bouche et de sa langue. Les mains de David placées de part et d’autre de la tête de Vanessa guidant ses mouvements. David commença à bouger doucement, ses mouvements de bassin imposant le rythme de la fellation de Vanessa. À chaque poussée, il la faisait aller un peu plus profondément, chaque mouvement renforçant sa domination. Vanessa, consumée par le mélange d'air et de désir, sentait chaque fibre de son être répondre à cette étreinte intime et son esprit accepter avec délectation l’utilisation de sa bouche comme objet de plaisir de David. Sa respiration devenait irrégulière, et elle luttait pour maintenir sa concentration et sa dignité dans cet acte de soumission extrême. Elle salivait de plus en plus abondamment. Graduellement, David augmenta l'intensité, ses mouvements devenant plus insistants, plus brutaux et plus profonds, testant les limites de Vanessa. Elle acceptait chaque défi avec une résolution croissante, poussée par le désir de lui plaire et de répondre à ses attentes. Son esprit lui renvoyait l’image de la position de soumission totale qui était la sienne. Malgré l’indécence de cette position, et peut-être en fait du fait de celle-ci, elle était de plus en plus excitée… elle redoublait d’efforts pour être la salope qu’il souhaitait voir à l’œuvre sur cette queue dont elle se surprenait à apprécier de plus en plus la présence envahissante et dominatrice dans sa bouche … Dans un acte de domination totale, David la prit profondément et déflora sa gorge … Vanessa manqua de s’étouffer alors que la main de David pressait sa nuque pour maintenir cette position. Le contrôle de David était total, et Vanessa, submergée par l'intensité de l'acte, sentit ses yeux se mouiller de larmes mêlées de mascara, mélange de douleur et d'une profonde libération émotionnelle. Alors que Vanessa luttait pour s'adapter à l'intensité croissante de la situation et redoublait d’efforts pour accueillir et garder en elle aussi longtemps que possible le sexe palpitant de David, avec un regard intense et exigeant, il lui ordonna d'une voix ferme, "Regardez-moi, Vanessa. Je veux voir vos yeux pendant que vous avez l’honneur de me sucer." Capturée par la profondeur de son regard et l’intensité de son ordre, elle leva immédiatement ses yeux vers lui. Elle se surprit à être fière de son obéissance, cherchant dans les yeux de David une reconnaissance. À chaque nouvelle pénétration profonde, David guidait doucement sa tête, s'assurant de sa capacité à suivre le rythme et la profondeur imposés. Son approche, bien que dominante, était attentive à ses réactions, vérifiant constamment qu'elle était toujours consentante et à l’aise avec cette situation. Vanessa, par ses yeux humides mais brillants d'un mélange de défi, de douleur et de plaisir, répondait positivement, hochant la tête pour encourager David à continuer sa prise de possession. Elle se sentait paradoxalement puissante dans sa soumission, pleinement engagée dans l'acte. L'emballement final arriva lorsque David, sentant monter son plaisir, accéléra le rythme. "Tu vas prendre tout ce que j'ai à te donner," murmura-t-il, les mots teintés d'une promesse brutale. Il sortit son sexe de la bouche chaude et humide de Vanessa et branla avec frénésie sa queue devant elle. « Ouvre ta bouche ma belle chienne ».  Vanessa, poussée par les mots crus de David et son propre désir croissant, s'abandonna complètement à l'expérience. Elle ouvrit instantanément sa bouche aussi largement qu’elle le pouvait. Elle sentait la tension de David monter, ses muscles se raidissant, et elle se prépara à recevoir ce qu’elle ressentait être un hommage à son endroit. Avec un grognement profond, David attînt le point de non-retour. "Reçois le nectar de ton Maitre ! Nourris-toi, ma belle salope !» lâcha-t-il alors qu'il libérait son flot chaud et poussait son gland dans la bouche de Vanessa. Elle sentit le sperme de David envahir sa bouche, épais et puissant, forçant son réflexe de déglutition. Elle voulait n’en perdre aucun goutte. Les sensations étaient à la fois écrasantes et étrangement édifiantes : elle était remplie d'une chaleur intense, chaque gorgée renforçant son sentiment d'appartenance à cet homme. Son corps réagit de manière vive à cet acte final de soumission : ses propres muscles se contractèrent, un frisson la parcourut de la tête aux pieds, et une sensation de plénitude la submergea. Elle était à la fois abasourdie et incroyablement satisfaite, ses pensées flottant dans un brouillard de contentement et d’adhésion renouvelés à la relation qu’ils construisaient. Toute à ses émotions, Vanessa ne vit pas David s’agenouiller devant elle et la prendre dans ses bras. « Cela vous a-t-il convenu pour me faire jouir ? » lui murmura-t-il dans un sourire espiègle. Vanessa ouvrit les yeux, blottissant sa tête dans son épaule et se surprit à lui susurrer sans même y réfléchir, dans un sincérité brute : « Je suis à vous … Faites de moi votre dévouée … » (A suivre) Source de l'illustration: photo libre de droits de l'internet
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Par : le 01/09/24
L'intensité de l'instant se multipliait sous les coups de langue experts de David, qui semblait connaitre chaque secret pour éveiller les profondeurs cachées de l'excitation de Vanessa. Elle ruisselait de désir et d’excitation, poussant d’elle-même sa vulve à la rencontre des lèvres affamées de David, aspirant sa langue en elle. David la buvait littéralement avec délectation. Il cessa soudain la danse folle de ses mouvements linguaux et retira sa bouche du sexe offert de Vanessa, la laissant frustrée et tremblante de désir. Il s’extirpa de son entre-jambes et se redressa. Il lui prit la main dans un sourire et la fit se redresser. Il l’étreignit de tout son être. Dans l'étreinte chaleureuse de David, Vanessa se sentait presque suspendue dans le temps, son cœur battant contre la poitrine solide de cet homme qui venait de la conduire aux bord de l'extase. David, respirant son parfum entremêlé de désir et de satiété, perdit son regard dans le sien et captura goulûment ses lèvres dans un baiser profond et passionné. Il la pressa plus fortement contre lui. Vanessa ressentit son sexe dur et dressé contre son bas-ventre ; un contact électrisant qui décupla les flammes de son propre désir. La sensation de l’érection de David contre elle éveillait une faim nouvelle et ardente en Vanessa, qui gémit doucement contre la bouche de David. Chaque mouvement de leurs corps amplifiait la pression, envoyant des vagues de chaleur à travers son bas-ventre. Elle se sentait à la fois conquise et partenaire dans cette danse de passion, son corps répondant avec un abandon joyeux à chaque pression de David contre elle. Ce contact, si cru et si intense, résonnait en elle comme une promesse de plaisirs encore plus profonds et épanouissants, son corps vibrant d'impatience pour ce qui allait suivre. David l’emmena vers l’un des fauteuils Chesterfield qui se tenait en face du canapé. Il la fit s’asseoir dans un geste de galanterie qui ravit Vanessa. Cet homme était définitivement une surprise exquise à ses yeux : au-delà de son physique, ce mélange subtil et finement dosé d’attentions galantes et d’autorité puissante et crue lui plaisait infiniment. Il s’agenouilla sur le côté du fauteuil, gardant son regard fixé dans le sien. Il quitta sa main et prit délicatement sa jambe droite, déposa de doux baisers sur son pied, son mollet, sa cuisse et la déposa sur l’accoudoir. Il renouvela l’opération avec sa jambe gauche ce qui fit légèrement basculer Vanessa dans le fauteuil, ses fesses rebondies atteignant le bord de celui-ci. Vanessa, dans cette position provocante et indécente, se sentait entièrement exposée, chaque courbe de son corps offerte à la vue avide de David. Sa vulnérabilité mélangée à l'impatience de la suite qu’aller donner David exacerbait son désir, la faisant frissonner sous le regard appréciatif de David. Elle sentait ses joues rougir et son cœur battre avec force, chaque palpitation amplifiant son besoin de sentir David la toucher de nouveau. Elle était consciente de l'outrance de sa posture, ses jambes écartées et ses hanches avancées, présentant son intimité à celui qui maîtrisait si bien son plaisir. C'était un mélange grisant de honte et d'excitation, de se savoir si désirée et en même temps si contrôlée. David, quant à lui, admirait la vue sublime offerte par Vanessa. Ses mains, à la fois fermes et délicates, retrouvèrent la peau soyeuse de Vanessa. L’un d’entre elles vint se positionner sous ses reins, soulevant délicatement ses fesses ; l’autre commença par courir sur ses cuisses, les caressant doucement avant de s'aventurer plus audacieusement. Son toucher était précis, ses doigts glissant vers le centre de son désir. Il effleura d'abord doucement son sexe, sentant l'humidité qui témoignait de son excitation recouvrir ses doigts. Il commença à jouer avec son clitoris, exerçant de son pouce une pression rythmée qui faisait grimper Vanessa vers des sommets de plaisir. Il glissa soudain deux doigts dans son antre de plaisir et commença un va et vient de haut en bas. Chaque caresse était un écho dans le corps de Vanessa, ses gémissements se faisant plus insistants, plus pressants. David augmentait la pression, ses mouvements devenant plus déterminés, plus experts, comme s'il jouait un instrument délicat, et Vanessa était la mélodie qu'il cherchait à parfaire. Elle sentait la montée inévitable, le crescendo de son désir qui se construisait, prêt à éclater. Ses mains agrippaient les accoudoirs du fauteuil. Et puis soudain, dans un cri étouffé et un abandon total, Vanessa atteignit le climax. Sa réponse fut spectaculaire : un jet puissant, un flot clair qui témoignait de son intense jouissance, marquant ainsi sa libération comme une femme fontaine. Vanessa venait pour la première fois de son existence de libérer son nectar. L'expérience, bien que troublante et nouvelle pour elle, était paradoxalement loin d'être gênante. Elle était comme un témoignage de la profondeur de son plaisir et du contrôle exquis de David sur son corps. Une reconnaissance, un remerciement pour lui. David, avec un sourire de satisfaction, continua à caresser doucement son sexe de sa main, la guidant à travers les vagues de son orgasme, jusqu'à ce que chaque tremblement se soit apaisé. Vanessa, encore haletante, regarda David avec un mélange de gratitude et d'étonnement, émerveillée par l'intensité de ce qu'elle venait de vivre. Elle était comme hypnotisée lorsque David porta ses doigts à ses lèvres et goûta sa jouissance. « Votre nectar est absolument sublime, Vanessa, vous savez. Goûtez-y ». il porta ses doigts à l’orée de la bouche de Vanessa. Vanessa, interdite, les yeux plongés dans ceux de David, sentit son souffle se suspendre un instant. L'invitation était chargée d'une intimité brute et d'une complicité nouvelle, dévoilant une autre facette de leur liaison. Les doigts de David, humides de son propre désir, effleurèrent ses lèvres tremblantes. Elle ouvrit délicatement la bouche, laissant la pointe de sa langue rencontrer le liquide tiède. Un mélange de sensations, à la fois étrange et profondément personnel, se répandit dans sa bouche. Les saveurs intimes de son propre corps la surprirent ; c'était un mélange complexe de douceur avec un soupçon salé, une essence pure de sa féminité épanouie. Elle passa sa langue autour de chaque doigt, les nettoyant avec une lenteur sensuelle qui semblait répondre en écho aux rythmes qu'avait joués David. Chaque mouvement de sa langue était guidé par une curiosité mêlée à une sorte de révérence, découvrant le goût de sa propre jouissance grâce à l'acte délibéré de partage de David. Les yeux de Vanessa se fermèrent, absorbant pleinement l'expérience. C'était comme si elle embrassait une part d'elle-même révélée par David, une acceptation silencieuse de sa propre sensualité. Les doigts de David, maintenant propres, glissèrent de ses lèvres à ses joues, essuyant une larme échappée de ses yeux d’émeraude ; non pas une larme de tristesse, mais d'un mélange complexe d'émotions – un mélange de libération, de satisfaction et de vulnérabilité.   Lorsqu'elle rouvrit les yeux, Vanessa trouva dans le regard de David non seulement un désir manifeste mais aussi une admiration profonde. Le geste de lécher ses doigts, loin d'être un simple acte érotique, avait scellé une promesse de confiance et de découverte mutuelle entre eux. Elle ressentait une connexion plus profonde que jamais, un lien tissé à travers l'exploration de leur intimité partagée et l'acceptation de leur désir brut. « Merci, David, » murmura-t-elle, sa voix basse teintée d'une émotion palpable. « C'est une partie de moi que je n'avais jamais connue... et que vous m'avez aidée à explorer. » Sa gratitude était sincère, et chaque mot vibrait d'une intensité qui enveloppait le moment d'une aura presque sacrée. David, touché par son abandon et sa vulnérabilité, inclina la tête et l’embrassa tendrement. « Merci à vous Vanessa. C'est un honneur de vous avoir rencontrée et plus encore de vous guider, Vanessa. Chaque découverte est un pas de plus vers une intimité plus profonde entre nous, » répondit-il doucement, réaffirmant dans ses mots et son regard son engagement à la respecter et à la chérir dans leur voyage partagé. Vanessa voguait dans un autre monde. La suite de leur soirée promettait d'être une exploration encore plus profonde de leurs limites et de leurs désirs, guidée par la confiance mutuelle et la curiosité qui venait de se renforcer dans cet échange intime et révélateur.   (A suivre)   Source de l'illustration: photo libre de droit de l'internet
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Par : le 01/09/24
Vanessa, encore dans l'étreinte douce et suave de l'après-orgasme, prit un moment pour rassembler ses pensées. Les sensations vives commençaient doucement à s'atténuer, mais le souvenir de l'intensité demeurait, vibrant à travers son corps. Les yeux encore mi-clos, elle tourna son visage vers David, une lueur de reconnaissance et de surprise mêlées dans son regard émeraude. « Je me sens... comme … renouvelée, éveillée. C'était incroyable, David... plus intense que tout ce que j'ai jamais ressenti jusqu’ici. » Elle laissa sa tête retomber sur le canapé et poussa un profond soupir de contentement qui se transforma en rire délicat. «  Oh oui … c’était génial ! » dit-elle dans un sourire, son visage serein et rayonnant. Elle se déplaça vers David qui s’était assis à ses côtés dans le canapé. Telle une chatte ronronnante et affectueuse, elle se blottit contre lui, posant sa tête sur ses genoux accueillant, répétant dans un murmure reconnaissant « Oh oui c’était incroyablement génial … Oh oui …», ses yeux perdus dans le feu de cheminée qui crépitait dans l’âtre. David passa sa main dans sa chevelure de feu et lui caressa la tête et le visage. « Je suis vraiment heureux que cela vous ait plu, Vanessa. Et surtout que vous ayez pu vous laisser aller ». Vanessa tourna sa tête pour regarder celui qui occupait maintenant tout son esprit et venait de faire exulter son corps comme jamais auparavant. Ses yeux capturèrent les siens, et elle y vit un mélange de douceur et de désir ardent qui la fit frissonner d’un plaisir anticipé. David, voyant l'invitation claire dans son regard, se pencha vers elle et captura ses lèvres dans un baiser qui commença tendrement mais gagna rapidement en intensité. Leurs bouches dansaient au rythme d'une passion et d’un désir renaissants, les mains de David explorant de nouveau le corps de Vanessa, affirmant sa présence et son contrôle de manière plus délibérée. Ses mains glissaient sous sa robe, retrouvant la chaleur de sa peau. Vanessa gémit dans leur baiser, se pressant contre lui, ses mains cherchant à se rapprocher de son corps. David rompit leur baiser, fixant Vanessa avec intensité. « Je veux que vous vous abandonniez complètement à moi désormais, Vanessa. Faites-moi confiance pour vous guider. Et n’oubliez pas que vous pouvez tout arrêter à tout moment en utilisant le mot que vous avez choisi » Sa voix était un murmure rauque, chargé d'un désir et d'un commandement qui ne souffraient aucun refus, tout en respirant la bienveillance. Vanessa ne résista pas le moins du monde et acquiesça d’un signe de la tête accompagné d’un sourire sincère. Elle était pourtant surprise elle-même de cette acceptation immédiate qui balayait des années de prudence protectrice. Mais elle se sentait en pleine et totale sécurité avec lui. Et c’était une reddition volontaire tant elle se sentait en osmose avec cet homme. Son souffle court trahissait son excitation et son impatience. « Levez-vous et tenez-vous droite devant moi » ordonna David. Elle se leva avec élégance, non sans remarquer la bosse qui déformait le pantalon en lin de David. Lui non plus n’était donc pas insensible à ce moment de pur désir se dit-elle. Cela la combla de joie et lui tira un nouveau sourire faisant apparaître ses dents d’un blanc éclatant. Elle vint se placer devant David qui se leva et se tint devant elle. Elle pouvait sentir son souffle chaud sur son visage. Dans une vague de chaleur montante et de frissons délicats, Vanessa ressentit une fusion de désir intense et de confiance absolue, son cœur battant au rythme de leur intimité croissante. Dans un mouvement fluide et assuré, David fit glisser les bretelles de la robe de Vanessa le long de ses bras, ses doigts effleurant délicatement sa peau à mesure qu'ils descendaient. Il captura son regard avec intensité, un frisson fulgurant parcourant le corps de Vanessa sous l'effet de son toucher. Puis, avec une précision presque cérémonielle, il défit lentement la fermeture éclair à l'arrière de sa robe, la laissant s'ouvrir doucement pour révéler la silhouette délicate et généreuse de Vanessa. La robe tomba en une cascade de tissu autour de ses pieds, laissant Vanessa dans la lueur tamisée, vêtue seulement de sa lingerie fine, exposée et sublime. David l'admira un moment, laissant son regard parcourir chaque courbe et chaque contour mis en lumière par la faible lueur de la cheminée. Ses seins lourds et volumineux explosaient dans son soutien-gorge tant elle était excitée. Un téton avait réussi à s’échapper de celui-ci et se présentait fièrement, gorgé de désir. David le prit délicatement entre ses doigts et le pinça, arrachant un gémissement à Vanessa. Leurs regards se verrouillèrent alors : celui de David imprégné d'une domination calme et bienveillante et celui de Vanessa empreint de soumission et d'attente, formant comme un pacte silencieux de contrôle et de consentement qui accélérait le battement du cœur de Vanessa et amplifiait son désir. David déposa un tendre baiser sur les lèvres incandescentes de Vanessa, dessinant ensuite de sa langue leur contour. Il la prit par la main et la guida vers le dos du canapé. Il se plaça derrière elle et déposa un doux baiser dans son cou qui fit fondre Vanessa. « Penchez-vous, » ordonna-t-il doucement mais avec fermeté. Vanessa obéit, se positionnant pour lui offrir une vue envoûtante de sa silhouette. Son corps était brûlant et d’une sensibilité qu’elle n’avait jusqu’alors jamais connu. David se plaça derrière elle, ses mains caressant les courbes de ses hanches exquises. Placé derrière Vanessa, David observait avec admiration et désir les courbes larges et rebondies de son fessier, parsemé de taches de rousseur qui ajoutaient un charme unique à sa peau. Encadré par la dentelle fine de son tanga noir, son sexe à peine voilé accentuait l'effet visuel de sa lingerie, et lui procurait une sensation de conquête imminente. Ses mains glissèrent des hanches jusqu'à envelopper les superbes fesses de Vanessa, appréciant la douceur et la chaleur de la peau sous ses doigts. Le désir de Vanessa, palpable à travers sa respiration haletante, résonnait avec le rythme rapide de son propre cœur, chaque battement l'attirant irrémédiablement vers l'intimité offerte devant lui. « Vous avez un cul splendide Vanessa, un beau cul de belle salope » …  David murmura ces mots d'une voix rauque, marquant chaque mot. Vanessa, surprise par l'audace verbale de David, sentit un frisson d'excitation parcourir son échine. Elle n'avait pas anticipé que la crudité de ses mots, leur vulgarité pût l'atteindre de la sorte. Le contraste entre la tendresse de ses gestes, l’attention manifeste qu’il avait de ses réactions, toute la précaution qu’il prenait à s’enquérir de son consentement et à la rassurer d’une part  et la crudité de son expression à l’instant d’autre part amplifiait son désir, lui donnant l'impression d'être à la fois chérie et protégée mais aussi désirée de manière brute. Elle sourit à travers un souffle court, son corps répondant avec une chaleur croissante à l'affirmation de son pouvoir sur elle. « J'aime quand vous me parlez ainsi, ça me fait me sentir... » … elle chercha ses mots … « convoitée, … » ajouta-t-elle, la voix teintée d'une douce provocation, encourageant David à poursuivre dans cette voie. Les mots de David, loin de la choquer, avaient allumé une étincelle ardente, la préparant à se laisser emporter dans la vague de sensations que promettait la suite de leur échange. La main de David retrouva le chemin de ses fesses : ils les caressait et les malaxait avec gourmandise.  Puis alors qu’elle ne s’y attendait pas, Vanessa ressentit la petite claque sonore qui vint s’abattre sur sa fesse gauche. Elle sursauta. Le picotement de la fessée se mélangea à l'excitation croissante, poussant un gémissement de sa bouche. David s’approcha de l’oreille de Vanessa et lui murmura avec tendresse : « N’oubliez pas Vanessa : vous pouvez arrêter tout cela si cela ne vous plait pas ou n’a pas votre consentement en utilisant le mot que vous avez choisi. Je ne ferai rien que vous n’accepterez pas et ne vous plaisent pas. » Vanessa tourna sa tête dans sa direction. « Continuez, s'il vous plaît … ne vous arrêtez pas, … je vous en prie …  » supplia Vanessa, la voix brisée par le désir et l’excitation qui avaient pris le contrôle total de tout son être. La claque avait déclenché en elle une réaction en chaîne, chaque frémissement de sa peau semblant appeler à d'autres contacts plus affirmés, plus osés. Elle était dévorée par l'envie que David prenne plus fermement possession d'elle, que ses mots crus et ses gestes audacieux la conduisent plus loin dans cet abandon. David fit retentir une nouvelle claque, cette fois sur l’autre fesse de Vanessa. Vanessa se cambra et gémit de plaisir. Elle laissa échapper un puissant « Ouiiii … » de contentement, déclenchant un sourire chez David.  Il répéta l'action, passant d’une fesse à l’autre ; et entrecoupant chaque fessée par une douce caresse de la fesse meurtrie. Chaque fessée était maintenant plus assurée, plus forte, encouragée par les réactions de plaisir de Vanessa. Vanessa se surprit à tendre les fesses elle-même pour mieux recevoir et aller au-devant de ces fessées qui faisaient maintenant brûler son magnifique séant. Toute prise à son excitation, elle n’en avait pas moins noté que l’intensité de chaque fessée augmentait mais dans des proportions toujours contrôlées ; lui permettant à tout moment d’arrêter si la douleur était trop vive. Elle se surprenait à apprécier ce mélange de douceur et de douleur ; de contrôle et d’abandon. Ses fesses d’un blanc laiteux parsemé de ces superbes taches de rousseur commençaient à s’empourprer, dessinant les marques des doigts de David. Les réactions de Vanessa et cette vision d’une rare beauté et d’un érotisme torride emportaient David dans une excitation de plus en plus forte comme en témoignait son sexe désormais turgescent qui palpitait contre son caleçon de coton noir. Vanessa était une femme décidément superbe et merveilleuse à tous points de vue. Alors que la tension montait, David déposa quelques baisers agrémentés de caresses sur les fesses endolories de Vanessa. Puis il écarta ses jambes d’un geste ferme et glissa soudain sa main entre les cuisses charnues de Vanessa, découvrant son désir et son excitation manifestes. Le tissu délicat de son tanga n’était plus seulement humide : il était trempé, rempli du liquide chaud qui coulait maintenant en continu du sexe de Vanessa. « Humm … Mais il semble que vous aimiez cela, ma belle Vanessa. Vous m’aviez caché que vous étiez une belle petite salope ! » dit-il d’une voix assurée. L'excitation était à son comble, les battements du cœur de Vanessa résonnaient comme un tambour dans ses oreilles, son souffle court se mêlant à la voix  de David, formant une symphonie de sons érotiques qui emplissait la pièce. Chaque nouvelle parole crue de David, chaque toucher de ses mains sur son corps quasi-nu, offert, la rendait plus avide, ses sens entièrement focalisés sur les sensations que cet homme lui procurait. « Je suis toute à vous » lâcha-t-elle dans un soupir de plaisir. Le désir brûlant la rendait presque fébrile, ses pensées embrouillées par le mélange de plaisir et d'attente. La sensation de vulnérabilité face à la domination confiante de David la rendait euphorique, son corps répondant instinctivement à ses directives, chaque fibre de son être criant silencieusement pour plus d'intensité … pour plus de lui … Elle était à lui. David caressa le sexe palpitant de Vanessa au travers du tissu. Sa caresse se fit au fur et à mesure plus précise, explorant, taquinant, appuyant à intervalle régulier sur son clitoris qui était depuis longtemps dressé. Vanessa avait les yeux fermés. Tout son esprit était concentré sur son sexe recevant les caresses divines de David qui l’emmenaient dans des territoires inexplorés de plaisir et d’abandon. D’un geste habile David fit tomber le tanga de Vanessa sur ses chevilles. D’instinct, Vanessa écarta légèrement les jambes un peu plus et se cambra, invitante, sa respiration s'accélérant alors qu'elle anticipait ses prochains gestes. Elle exposait ainsi son sexe de manière indécente à la vue de David. Avant ce soir, elle n’aurait jamais osé agir ainsi. Mais elle se surprenait à en avoir le besoin et l’envie ; et à n’en ressentir aucune honte. Comme si ce geste vis-à-vis de cet homme était simplement naturel et évident. A cette vue, David se glissa entre ses jambes et positionna son visage face au sexe de Vanessa. Il resta un moment en admiration devant son puits d’amour offert et ouvert d’excitation. Il observa, fasciné, la manière dont la lueur des bougies qu’il avait allumées pour donner à la pièce une ambiance plus intime lorsqu’ils s’étaient rendus au salon,  dansait sur sa peau douce, mettant en évidence les contours délicats et l'humidité brillante de son intimité. Les lèvres pleines, légèrement entrouvertes, étaient gorgées de désir, leurs teintes rosées contrastant avec la pâleur de sa peau et les taches de rousseur qui parsemaient ses cuisses et ses fesses. Il ne fut pas surpris que Vanessa prenne soin de son sexe : cela correspondait bien à ce qu’il avait décelé chez cette femme élégante et racée. Sa toison pubienne d’un roux aussi incendiaire que sa chevelure était soigneusement taillée en un fin triangle, mettant en valeur la délicatesse de son sexe. Au-delà des sentiments indéniables qu’il sentait se développer en lui pour elle, David ressentait un mélange de puissance et d'admiration profonde pour la confiance que Vanessa lui accordait en se dévoilant ainsi. La vue de son sexe, si vulnérable et pourtant si puissamment érotique, alimentait son propre désir de la conquérir complètement, de l'amener à de nouveaux sommets de plaisir. Elle renforçait, si besoin était, son besoin de la dominer, de prendre possession d’elle, de la guider à travers une relation qui transcenderait leurs désirs les plus profonds. Il voulait qu’elle lui appartienne ; comme il voulait lui appartenir. Être son homme, son Maitre. Qu’elle soit sa princesse ; sa Soumise. Son esprit et son cœur étaient désormais pleinement dédié à cela : être à elle et la combler. « Vous êtes d’une beauté saisissante, Vanessa » s’exclama-t-il d’une voix pleine d’admiration. « Vous faites de moi en cet instant un homme privilégié. Merci Vanessa ».  A ces mots, Vanessa sentit une chaleur immense remplir son cœur et son sexe palpita plus encore. Elle était en train de fondre sur place. David déposa un long baiser sur chacune de ses cuisses, explorant sans hésiter la chaleur et l'humidité qui s'accumulaient entre elles. Chaque goutte de son essence qui perlait et brillait sur sa peau était un témoignage de leur connexion intense, un appel silencieux auquel il ne pouvait résister. Il fut saisi par un désir ardent de goûter à cette essence, à sa chaleur, de la sentir frémir sous sa langue, de l'entendre gémir encore plus fort. Au contact de la langue de David sur son intimité ruisselante, Vanessa émit un long cri de satisfaction et faillit perdre l’équilibre. David la rattrapa de ses mains puissantes en saisissant ses fesses et en collant sa bouche avide sur son sexe. Vanessa sentit  instantanément sa langue pénétrer sa fente et prendre possession de son intimité. Un sourire de satisfaction profonde illumina son visage. Il était en elle … Elle ne faisait plus qu’un avec lui …   (A suivre)   Illustration: photo libre de droit de l'internet  
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Par : le 31/08/24
En arrivant devant la maison de David, Vanessa prit une profonde inspiration, rassemblant son courage. Elle sonna à la porte, le cœur battant à tout rompre. David ouvrit la porte, un sourire chaleureux illuminant son visage. Il était vêtu d'une manière décontractée mais soignée : un pantalon en lin noir ; une chemise blanche légèrement ouverte au col ; ses éternelles baskets en cuir qu’il portait déjà lors de leurs premières rencontres. Son accueil fit fondre une partie de l'appréhension de Vanessa. « Bienvenue, Vanessa. Je suis ravi que vous soyez ici. » Il lui déposa un baiser tendre sur les deux joues qui électrisa Vanessa. »Entrez donc ». Vanessa pénétra dans l'intérieur de la maison de David. Le salon, spacieux et élégamment meublé, présentait une harmonie de couleurs chaudes et de bois sombre, parsemé de touches artistiques modernes et de larges baies vitrées offrant une vue imprenable sur un parc verdoyant. Des œuvres d'art contemporain et des étagères remplies de livres alignaient les murs, créant un environnement à la fois intellectuel et confortable. David les conduisit vers une terrasse ouverte, ornée de plantes luxuriantes et d'un mobilier extérieur moderne où il avait préparé un apéritif. Le patio, éclairé par des lanternes douces, offrait une ambiance sereine et invitait à la détente. « Je crois me rappeler que vous appréciez le champagne rosé, Vanessa, n’est-ce pas ? » Vanessa acquiesça, un sourire se dessinant sur ses lèvres alors que David versait du Ruinart rosé dans des flûtes élégantes. « Vous avez bonne mémoire, David, c'est exactement ce que j’aime. » Tandis qu'ils trinquaient, le crépitement des lanternes ajoutait une touche magique à l'ambiance déjà enchanteresse de la soirée. Les conversations légères se transformèrent rapidement en échanges plus profonds et personnels, alors qu'ils discutaient de tout, des nuances de leur quotidien aux philosophies qui guidaient leurs vies. Vanessa se sentait de plus en plus à l'aise, sa nervosité initiale s'estompant peu à peu sous l'effet du cadre rassurant et de l'attention sincère de David. Au fur et à mesure que l'apéritif progressait, l'air entre eux se chargeait d'une tension palpable, une anticipation de ce qui pourrait se dérouler au fil de la soirée. C’est alors que, dans un moment de silence contemplatif, David se pencha vers Vanessa, capturant délicatement son regard avec le sien. « Vanessa, je dois dire que vous êtes absolument radieuse ce soir. » Sa voix était basse, chargée d'une émotion sincère. Le compliment fit rougir Vanessa, et avant qu'elle ne puisse formuler une réponse, David avait doucement posé ses lèvres sur les siennes. Le baiser, doux et hésitant au début, se fit rapidement plus assuré. Vanessa répondit avec une ardeur qui la surprit elle-même, son corps réagissant à chaque contact comme si elle avait été électrisée. Ce premier baiser brisa les dernières réserves de Vanessa, lui permettant de se plonger pleinement dans l'instant présent. Reprenant leurs esprits, ils se dirigèrent ensuite vers la salle à manger où une table dressée avec élégance les attendait. David avait préparé un repas qui reflétait à la fois simplicité et sophistication : une entrée de carpaccio de Saint-Jacques suivie d'un plat principal de risotto aux truffes noires, pour terminer par une pavlova de fruits rouges ; chaque plat soigneusement assorti à un vin qui en exaltait les saveurs. À table, leur conversation se fit plus intime. A de multiples reprises leurs mains se touchaient, s’étreignaient. Vanessa, touchée par l’attention de David, se sentait de plus en plus ouverte à explorer les terrains qui, jusqu'alors, lui semblaient interdits ou trop risqués. L'ambiance électrique entre eux ne faisait qu'intensifier son désir de découvrir les facettes cachées de leur connexion. David, de son côté, ressentait un mélange de fascination et de respect envers Vanessa. Il était ému par sa présence et son ouverture d’esprit, et trouvait en elle une résonance à ses propres recherches de profondeur et de sens dans les relations. Chaque sourire, chaque regard de Vanessa renforçait son attirance et son admiration pour elle. La soirée se déroulait dans une symphonie de découvertes mutuelles et d'attentes partagées, chacun se délectant de la compagnie de l'autre. Après le dîner, ils se retirèrent dans le salon. Vanessa et David s'installèrent sur un large canapé en cuir, leurs corps se touchant presque, baignés par la lumière tamisée des lampes d'appoint. Leurs mains se trouvèrent, s'entrelaçant naturellement, alors que leurs regards partageaient une complicité croissante. David caressait doucement le dos de la main de Vanessa avec ses doigts, provoquant des frissons qui couraient le long de son bras. « Vanessa, » commença David, sa voix basse et rassurante rompant le silence confortable, « à votre manière d’y venir et puis de passer à autre chose puis d’y revenir à nouveau je sens que le sujet du BDSM vous intrigue, mais aussi qu'il vous inquiète un peu. Est-ce que vous souhaitez en parler davantage ? » Vanessa hocha la tête, une mèche de ses cheveux roux tombant gracieusement sur son visage. « Oui, David, j'aimerais comprendre...» Sa voix trahissait une curiosité teintée d'une pointe d'appréhension. « Je vous avoue que cela m’intrigue mais aussi m’excite terriblement. Mais je ne sais quoi vous dire. Vous m’avez confié être un Maître. Être sous votre contrôle, cela me fascine et m’effraie.  J’ai envie de savoir … ». Elle marqua un silence. Et elle partit dans un éclat de rires nerveux. « Désolée David, je suis si confuse ; je me sens un peu idiote. ». David esquissa un sourire compréhensif, son regard doux et encourageant cherchant à apaiser les tourments intérieurs de Vanessa. Il déposa un doux baiser sur les lèvres de Vanessa. « Vanessa, il n’y a aucune raison de se sentir idiote, voyons ! Ces sentiments sont tout à fait normaux lorsque l’on aborde un domaine aussi personnel et intense. C’est nouveau pour vous.» Il prit une petite pause, laissant ses mots imprégner l'atmosphère déjà chargée d'une tension douce. « Si vous êtes d'accord, je pourrais vous guider à travers une première expérience de privation sensorielle. Rien de trop avancé, juste un petit pas pour vous aider à ressentir et comprendre ce que cela peut signifier d'être sous contrôle, mais toujours en sécurité, toujours respectée. » Vanessa regarda David, son expression mêlant à la fois la nervosité et l'excitation, mais aussi un infinie reconnaissance face à cet homme qui semblait si respectueux et compréhensif. « Oui, je veux essayer. Montrez-moi, je vous fais confiance. » David se leva doucement, allant chercher un ruban de soie noir. Revenant à ses côtés, il murmura, « Je vais vous bander les yeux avec ceci. Je vais prendre le contrôle de vos sensations. Concentrez-vous uniquement sur vos autres sens. Ne dites pas un mot. D’accord ? Mais si vous vous sentez inconfortable, si vous voulez arrêter, dites-le moi à tout moment en utilisant un mot de votre choix qui ne soit pas un mot courant. Quel mot choisissez-vous, Vanessa ?» Troublée mais paradoxalement sentant ses appréhensions s’évanouir face à cet homme et désireuse plus que jamais de découvrir ce monde qui l’attirait de plus en plus, Vanessa acquiesça et balbutia « Cristal ». « Je choisis Cristal, David ». « Bien Vanessa. Etes-vous prête ? » Ne sachant si elle devait répondre, elle se contenta d’un hochement positif de la tête. David nota ce premier signe de soumission volontaire avec délectation. Avec une délicatesse mesurée, il noua le ruban autour de ses yeux. L'obscurité immédiate poussa son esprit à aiguiser ses autres perceptions. Elle entendait maintenant le léger craquement du feu dans la cheminée, le son de la respiration de David, et le léger parfum de bois et de musc qui émanait de lui. « Maintenant, je vais simplement toucher et caresser votre bras. Concentrez-vous sur ce que vous ressentez », dit doucement David. Ses doigts frôlèrent la peau de Vanessa, chaque contact semblant électrifié par l'absence de sa vue. Vanessa sentit son corps réagir, chaque caresse amplifiée par la noirceur qui l'enveloppait. Elle se sentait étonnamment vivante, chaque frôlement de David la faisant sursauter légèrement, une cascade de sensations flottant à travers elle.  Elle sentit cette douce chaleur qui régnait dans son bas ventre depuis le début de la soirée s’enflammer plus encore. Sa respiration devenait de plus en plus profonde ; faisant se bomber plus encore son opulente poitrine qu’elle sentait se gonfler. Sa peau se couvrait d’une chair de poule qui la faisait frissonner à chaque contact tactile de David. Elle sentait ses yeux derrière ce masque de soie se révulser parfois, comme pour mieux ressentir encore ce flots de sensations intenses qui la parcourait. Tout à coup David cessa ses caresses. Elle se sentait frustrée de ce soudain arrêt. Elle voulait qu’il continue. Elle n’avait rien dit. Pas même ce mot qu’il lui avait fait choisir.  Alors pourquoi cet arrêt ?  Elle se sentait perdue. Son esprit tournait à toute vitesse. Elle avait peut-être mal réagi ? David contemplait Vanessa. Elle était ravissante. Plus ravissante encore en cet instant où elle se tenait là, assise dans ce fauteuil, et se laissant caresser les bras de ses mains. Il voyait bien le trouble qui l’envahissait depuis qu’il avait cessé ses caresses. Vanessa tremblait légèrement, bougeant légèrement ses bras en avant, à la recherche vaine des caresses de ses mains. Sa main vint alors caresser la joue droite de Vanessa. « Relaxez-vous, Vanessa. Je suis ici, et je n'ai pas fini. » Sa voix était douce, apaisante. Vanessa, rassurée, respira plus profondément encore, réalisant alors combien elle avait été absorbée par l'expérience, chaque frisson et chaque respiration étant un nouveau terrain de découvertes. Elle sentit les doigts de David tracer doucement le contour de son visage, de sa bouche qu’elle ouvrait instinctivement comme pour la lui offrir, puis descendre le long de son cou, provoquant des ondes de chaleur qui se répandaient à travers son corps. David, observant attentivement chaque réaction de Vanessa, continua son exploration avec soin. « Lâchez prise, laissez-moi vous guider à travers ces sensations.» Il se pencha doucement vers elle et ses lèvres effleurèrent l'oreille de Vanessa, murmurant, renforçant cette intimité qui se tissait entre eux. Vanessa se sentait dériver dans un état de semi-conscience où seule la voix et les touchers de David formaient la réalité. Ses mains maintenant parcouraient ses épaules, puis descendaient le long de ses bras, remontant parfois pour effleurer les bords de sa robe, chaque mouvement orchestré pour intensifier son besoin de plus de contact, de plus de cette connexion qu'elle commençait à chérir profondément. David continua ses explorations, alternant entre douceur et fermeté, chaque mouvement calculé pour éveiller et maintenir un état de désir intense chez Vanessa. Lentement, ses mains descendirent vers sa poitrine, effleurant à peine le tissu de sa robe. Les tétons de Vanessa perçaient presque maintenant le tissu soyeux de ra robe. Vanessa gémit légèrement, sa respiration s'accélérant, son corps réagissant instinctivement à la proximité et à l'intensité de l'attention de David. Chaque contact avec ses seins était comme un électrochoc qui la ramenait à la réalité de leur intimité, intensifiant son désir d'être sous son contrôle, de se laisser guider dans cet univers de sensations où elle perdait pied, tout en se sentant étrangement en sécurité. David pinça le téton droit de Vanessa, lui arrachant un petit cri. Il le caressa de nouveau pour de nouveau le pincer et l’étirer légèrement comme s’il voulait le faire sortir de cette robe. Vanessa répondit par un gémissement de plaisir, en mordant ses lèvres ; ce qui fit sourire David de contentement. David descendit délicatement vers ses pieds, retirant ses chaussures avant de masser ses chevilles, remontant progressivement le long de ses jambes, chaque toucher précis alimentant le feu qui couvait en elle. Vanessa, était quasiment en transe, aveuglée par le bandeau et submergée par les sensations, se trouvait dans un état de vulnérabilité totale. Chaque toucher de David sur ses pieds, ses jambes, semblait se graver dans sa mémoire sensorielle, chaque nouvelle caresse définissant les contours d'une carte qu'elle ne pouvait voir mais seulement ressentir. Elle n’était plus que sensations. Elle se sentait incroyablement vivante. Elle se sentait comme suspendue dans un espace où le temps se dilatait, chaque minute, chaque seconde s'étirant infiniment. Lorsque David remonta ses mains de part et d’autre de ses jambes et les écarta délicatement mais avec fermeté, elle crut s’évanouir. Relevant sa robe légère avec délicatesse, David prit possession des cuisses charnues de Vanessa, les explorant avec une précision presque chirurgicale. Ses doigts effleuraient la peau douce et lisse, traçant des lignes imaginaires qui semblaient brûler un chemin à travers ses nerfs. Vanessa sentait chaque caresse comme un appel, un appel à libérer quelque chose de profondément enfoui en elle. Sa respiration s'accélérait avec chaque mouvement, ses cuisses tremblant légèrement sous l'attention méticuleuse de David. La tension montait, une danse sensuelle de retrait et de contact qui la laissait désorientée mais exaltée. Chaque fois que David retirait ses mains, Vanessa se trouvait en attente anxieuse, anticipant où le prochain contact atterrirait. Cela créait un cycle de désir et de manque qui l'amenait progressivement à un état de besoin presque palpable. David sentait cette tension, chaque frisson sous ses doigts lui parlant plus clairement que des mots. Il était guidé par les soupirs et les petits mouvements de Vanessa, chaque réaction un guide vers ce qu'elle aimait, ce qui la touchait profondément. Il était conscient de l'effet de ses actions, de la puissance qu'il détenait en ce moment pour façonner cette expérience, pour la guider dans un monde où il était le gardien de ses sensations. Ses mains remontèrent plus haut encore sur les cuisses de Vanessa. Il découvrit le superbe tanga noir au liseré doré que portait Vanessa.  Il remonta ver ses hanches tout en déposant de doux baisers sur les cuisses de Vanessa. Instinctivement, Vanessa souleva son bassin pour lui permettra d’atteindre ses fesses rebondies. Les mains de David les empoignèrent avec délectation. La tension dans la pièce était palpable, un mélange de silence et de gémissements qui remplissait l'air. Vanessa, bien que privée de la vue, était intensément consciente de la proximité de David de son intimité, de son contrôle, de son pouvoir. Sa peau frémissait à chaque contact, chaque nouveau point de contact semblant se connecter directement à son centre nerveux. Son entre-jambes était maintenant en ébullition. Un liquide chaud s’écoulait de son sexe et humidifiait sa lingerie. David, reconnaissant l'intensité croissante de leurs échanges, se laissa guider par les réponses sensorielles de Vanessa. Chaque mouvement était calculé pour maximiser l'impact de son toucher, chaque geste conçu pour explorer et éveiller davantage ses sens déjà exacerbés. Il s'abaissa lentement, son souffle chaud contre la peau tendue de ses cuisses, et déposa un baiser doux et explorateur au bord du tanga de Vanessa. Il sentait la chaleur émanant de son corps, le tissu légèrement humide de son désir. Avec une délicatesse extrême, ses lèvres se rapprochèrent du centre de son désir, à travers le fin tissu de sa lingerie. Le baiser, tendre mais insistant, semblait absorber la chaleur de son corps, le transférant en une onde électrique à travers toute son essence. Ce simple contact déclencha une réaction en chaîne dans le corps de Vanessa. Elle sentit une décharge de plaisir si intense qu'elle en oublia de respirer un instant. Son corps se cambra involontairement, cherchant instinctivement à prolonger ce contact magique, à en demander davantage. Son souffle devint erratique, ses mains se crispant sur les coussins du canapé tandis qu'une vague de plaisir pur la submergeait. L'orgasme la frappa comme un éclair. Elle se sentait déborder, une explosion de sensations la remplissant de l'intérieur, se répandant en vagues concentriques à travers son corps. Chaque cellule semblait vibrer en écho au rythme imposé par le baiser de David. Elle gémissait ouvertement maintenant, incapable de retenir les sons de son plaisir profond et instantané. Son monde était réduit à ce point de contact, à ce lien indescriptible entre son corps et les lèvres de David. Dans l'obscurité sous le bandeau, les images dansaient derrière ses paupières closes, des couleurs et des formes qui suivaient le rythme de son plaisir. Elle flottait dans un espace où le temps semblait s'étirer, où chaque seconde durait une éternité, chaque battement de son cœur un tambour lointain. Alors que le pic de son extase commençait lentement à s'atténuer, Vanessa resta allongée, respirant lourdement, chaque inspiration mêlée à un frisson résiduel. David, sentant le changement dans son énergie, déposa un doux baiser sur son sexe et se redressa. Il attendit patiemment qu'elle retrouve ses sens, un sourire satisfait mais doux sur ses lèvres et lui retira son bandeau. « Comment vous sentez-vous, Vanessa ? » (A suivre)
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Par : le 30/08/24
Depuis leur conversation, une tempête d'émotions bouleversait Vanessa. Chaque jour, l'écho des mots de David résonnait en elle, éveillant une curiosité brûlante mêlée d'une appréhension qui la laissait souvent pensive, le regard perdu au-delà des murs de son bureau cossu. Elle sentait un lien invisible la tirer vers lui, une attraction qui dépassait le simple désir physique. C'était une fascination pour l'homme qu'il était, pour le monde qu'il représentait, un monde qu'elle ne connaissait qu'à travers des clichés qu'elle découvrait maintenant erronés. Physiquement, l'effet de David sur elle était palpable. Il y avait cette douce chaleur qui se répandait en elle chaque fois qu'elle pensait à lui, une chaleur qui commençait dans le creux de son estomac et se diffusait, envoûtante et parfois presque accablante. Cela faisait plusieurs jours désormais qu’à chaque fois qu’elle se surprenait à penser à lui elle sentait sa poitrine gonfler et ses tétons surgir, déformant son soutien-gorge et pointant fièrement et presque de manière indécente derrière son chemisier … La nuit, elle se retrouvait souvent éveillée, son corps vibrant d'une énergie inexploitée, ses draps témoins de son agitation. Sa respiration se faisait plus lourde rien qu'à se remémorer le timbre grave de sa voix, et elle pouvait presque sentir le poids de son regard, sérieux et pénétrant, scrutant non seulement ce qu'elle était en surface, mais sondant les profondeurs de son être. Les jours suivants leur conversation, elle fut aussi assaillie de doutes. Si elle était irrésistiblement attirée par David, n’était-ce que par sa seule attirance physique ? N’était-ce pas aussi parce qu’il lui avait confié sur le monde du BDSM ? Sur le fait qu’il était un dominant, un Maitre ? Devait-elle se plonger dans cette exploration du BDSM, un terrain tellement étranger et, jusqu'à récemment, impensable pour elle ? L'influence et l’aura de David étaient à la fois rassurantes et déstabilisantes. Elle était attirée par sa capacité à équilibrer une autorité dominante avec une sensibilité et une compréhension profondes, trouvant dans cette dualité quelque chose de presque irrésistible. Son trouble était exacerbé par la façon dont il occupait ses pensées à des moments inattendus. En réunion, elle se surprenait à réfléchir à ses propos sur la confiance et la communication, ou à la manière dont il pourrait la regarder si elle se trouvait à nouveau en face de lui. Le désir de se soumettre, de lâcher prise sous sa direction, l'effleurait, laissant derrière lui un mélange paradoxal de peur et d'impatience. Finalement, un soir où le désir de clarifier ses sentiments devint trop pressant, elle décida de l'appeler. Sa main tremblait légèrement en composant le numéro, et son cœur battait si fort qu'elle craignait qu'il entende les pulsations à travers le téléphone. "David, bonsoir, c'est Vanessa," commença-t-elle, sa voix trahissant son trouble. "Vanessa !" répondit David avec une chaleur qui fit frémir Vanessa. "Quel plaisir d'entendre votre voix. Comment allez-vous?" Vanessa hésita, le souffle court. "Je... Je vais bien, merci," mentit-elle partiellement, car bien qu'agité, son esprit était aussi curieusement clair. "David, je réfléchis beaucoup depuis notre dernière conversation... à propos de tout ce que vous avez partagé avec moi, sur le BDSM, sur la confiance, sur... sur nous." Il y eut un silence respectueux de la part de David, et quand il parla, sa voix était douce et encourageante. « Je suis là, Vanessa. Dites-moi ce qui vous trouble. » Elle respira profondément, cherchant les mots justes. "Je suis... troublée, David. Par ce que je ressens pour vous, et par l'idée de... de ce que vous m'avez décrit. L'autorité, la soumission... Je ne sais pas si je devrais être effrayée ou excitée par ces pensées. Désolé d’être aussi confuse." « Vanessa, » dit David, son ton plein de compréhension, « il est naturel de ressentir de l'appréhension face à l'inconnu. Ce que vous ressentez est un mélange complexe d'émotions, et c'est parfaitement normal. Le BDSM n'est pas juste une pratique ; c'est une exploration de soi et de la confiance entre partenaires. » Vanessa écoutait, chaque mot éveillant en elle une résonance profonde. « Mais comment savoir si c'est le chemin que je veux explorer ? Comment puis-je être sûre... que je suis prête ? Et puis je vous dis cela, mais peut-être n’êtes-vous pas intéressé par quelqu’un comme moi ? » David prit un moment avant de répondre, laissant un silence qui, pour Vanessa, semblait étendre le temps. « Vanessa, l'exploration de ces aspects de vous-même doit venir de votre propre volonté. Personne ne peut vous dire si c'est le bon chemin, seulement vous vous pouvez le sentir. Quant à mon intérêt, soyez assurée que ma proposition de vous aider et de vous guider est sincère et réfléchie. Et puis, puisque vous m’avez ouvert votre cœur, sachez que je suis également sous le charme de votre présence et de votre esprit, et que je suis intéressé par ce que nous pourrions découvrir ensemble, peu importe la forme et le temps que cela prendra. Pour tout vous dire, j’espérais votre appel. » Les mots de David réchauffèrent Vanessa, son anxiété s’atténuant sous le poids de ses mots plein de sincérité. « Cela signifie beaucoup pour moi, David. Je suis... touchée et un peu confuse de vous avoir avoué ainsi mes sentiments et mon trouble ainsi. J’espère que vous ne me prenez pas pour une fille facile. » « Nullement Vanessa. Qu’est-ce donc que cette idée ? » « Merci David. Merci de votre patience et de votre compréhension. Cela me rassure ». S’ensuivit un silence de quelques secondes, mais qui paraissait une éternité à Vanessa. Elle ne savait quoi dire. Elle voulait voir David mais n’osait le lui demander. Sentant ce malaise, David rompit le silence. « Je pense qu'il serait bénéfique pour nous deux de discuter de tout cela en personne, qu’en pensez-vous Vanessa ? Que diriez-vous de venir dîner chez moi ce vendredi soir ? » proposa David. « Nous pourrions alors parler à cœur ouvert dans un cadre détendu et privé. » « Ce vendredi soir, c'est parfait ! » s’exclama immédiatement Vanessa, un sourire se formant enfin sur ses lèvres alors qu'une bouffée d'excitation l'envahissait. La perspective de le voir de nouveau, dans un cadre privé, lui offrait un mélange de nervosité et d’impatience totale. Tout à coup elle fut prise d’une interrogation. «Euh David … Euh … dois-je venir d’une manière particulière ? » David rit doucement, un rire chaleureux qui traversa la ligne, apaisant instantanément les inquiétudes de Vanessa. « Venez comme vous êtes, Vanessa. Ce soir sera surtout pour nous connaître mieux dans un environnement détendu. Habillez-vous de manière à vous sentir confortable et vous-même. » Vanessa se sentit soulagée et même un peu excitée par la perspective de cette rencontre. « D'accord, David. Je vous remercie pour votre compréhension et votre gentillesse. J'ai vraiment hâte de vendredi » s’enhardit-elle. Osant pour clore la discussion un «Je vous embrasse, David» qui lui fit venir le rouge aux pommettes. « Moi aussi, Vanessa. Et s'il y a quoi que ce soit que vous souhaitez savoir ou discuter avant notre rencontre, n'hésitez pas à m'appeler. Je suis là pour vous », ajouta David avant de conclure l'appel, donnant à Vanessa son adresse et l'heure pour le dîner. Le reste de la semaine passa dans un flou suave pour Vanessa, partagée entre ses responsabilités professionnelles et les montagnes russes émotionnelles qu'elle expérimentait en anticipation de la soirée à venir. Elle trouvait ses pensées souvent dérivant vers David, repensant à chaque détail de leurs conversations, et à ce que vendredi pourrait révéler sur leurs futures interactions. Le vendredi soir arriva bien vite. Vanessa choisit une tenue simple mais élégante : une robe noire qui complimentait sa silhouette sans être trop formelle, accompagnée d'un léger parfum floral qui ne dominait pas mais qui ajoutait juste une touche de féminité subtile. Elle choisit une paire de talons aiguilles noire, dont les lanières enserraient ses chevilles avec élégance.  Même si David lui avait dit de venir habillée de manière confortable, elle voulait lui plaire. Aussi choisit-elle aussi une ensemble de lingerie en dentelle noire, qui mariait à la perfection élégance et sensualité. Le soutien-gorge à balconnet et la tonga étaient ornés de motifs floraux délicats et de fines bandes de satin dorés, ajoutant un charme sophistiqué tout en mettant en valeur ses courbes avec raffinement. Bien qu’elle ne soit pas une afficionado du maquillage, elle choisit un rouge à lèvres d'un rouge bordeaux profond, ajoutant une touche de mystère et de séduction classique. En se regardant dans le miroir avant de partir, elle soutit : se trouvant belle et rayonnante. Elle sentit aussi un mélange de nervosité et de confiance en elle. L'heure venue, Vanessa se rendit à l'adresse donnée par David, son cœur battant la chamade à chaque pas qu'elle faisait vers sa porte, chaque battement lui rappelant aussi le chemin qu'elle s'apprêtait à explorer. Elle savait que cette soirée pourrait changer sa vie, d'une manière ou d'une autre, et elle était prête à découvrir vers quelle direction son cœur la mènerait. Son excitation était à son paroxysme. Enfin … le croyait-elle. (A suivre)
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Par : le 29/08/24
C'était un tourbillon d'émotions qui chavirait Vanessa. À mesure que la soirée avançait, elle se sentait de plus en plus attirée par David ; non seulement par son charisme et son charme, mais aussi par la profondeur de ses idées et la sincérité de ses paroles. Elle n'avait jamais rencontré quelqu'un qui, avec tant de délicatesse et de respect, avait pu discuter ouvertement de sujets aussi intimes et complexes. Cela lui donnait envie de baisser sa garde, de s’exposer, de prendre des risques à nouveau malgré les fantômes du passé qui la hantaient encore. Elle sentait aussi son corps qui n’était pas insensible à la situation : une chaleur insidieuse commençait à monter en elle, subtile mais indéniable. Chaque mot prononcé par David, chargé de respect et de sincérité, semblait résonner directement dans ses veines, éveillant une excitation qu'elle n'avait pas ressentie depuis longtemps. Son cœur battait plus vite, palpable, presque bruyant à ses propres oreilles. Sa respiration se faisait plus courte, chaque inspiration semblant tirer la chaleur vers le creux de son estomac, où elle se mélangeait à un frisson d'anticipation. Elle se rendait bien compte que depuis quelques minutes déjà, alors qu’elle écoutait les réponses de David, ses pensées vagabondaient, imaginant le toucher de David, la pression ferme mais douce de ses mains. Elle pouvait presque sentir le poids de son regard, intense et captivant, explorant le moindre de ses gestes. Cela l'attirait irrésistiblement vers lui, son corps réagissant de son propre accord, ses sens en alerte, désireux d'expérimenter la réalité de ses fantasmes. Chaque fois que leurs regards se croisaient, une étincelle parcourait son échine, accentuant cette sensation délicieuse et terrifiante d'être à la fois vulnérable et désirée. Et elle ne pouvait ignorer cette douce chaleur qui s’était éveillée au creux de son entre jambes … Mais qu’en était-il de David ? Certes, elle avait bien noté tout au long de leur conversation des indices subtils de l'attirance de David pour ses charmes. Lorsqu'elle parlait, il inclinait sa tête, ses yeux pers capturant les siens avec une intensité chaleureuse. Il souriait souvent, surtout lorsqu'elle riait, et ses compliments sur son intelligence et son élégance étaient livrés avec une admiration sincère. La façon dont il la regardait, non seulement comme une interlocutrice mais aussi comme une femme, était révélatrice. Elle avait bien noté aussi que, même s’il le faisait avec une certaine délicatesse, il n’avait pas manqué de la regarder de la tête aux pieds … Et puis cela faisait des heures qu’ils faisaient « bande à part » comme le lui avait lancé avec un clin d’œil complice son amie Mélanie. Mais était-il digne de confiance ? N’allait-elle pas de nouveau être brisée si elle ouvrait sa garde ? Alors que la lune se levait, baignant la terrasse d'une lumière argentée , Vanessa prit son courage à deux mains, une profonde inspiration et se lança dans une conversation plus personnelle encore. « David, votre vision du BDSM est très différente de ce que la plupart des gens imaginent. Je dois avouer que cela résonne en moi d'une manière que je n'aurais pas prévue. » David, qui n’avait pas été sans remarquer que Vanessa n’était pas insensible à son charme,  écouta attentivement, hochant la tête avec empathie. « Vanessa, je comprends que cela puisse sembler étrange à première vue. Beaucoup de gens voient cette pratique à travers le prisme de clichés ou de jugements. Certains vont même jusqu’à penser que nous sommes des « déviants », comme ils disent. Pour moi, c’est avant tout une connexion profonde, où la confiance et le respect mutuel sont essentiels. » Leurs yeux se rencontrèrent encore, et il y eut un moment de silence chargé d’une tension palpable mais agréable. Vanessa sentait qu'elle se tenait à l'orée de quelque chose de nouveau, quelque chose qui pourrait soit guérir soit rouvrir d'anciennes blessures. Cependant, quelque chose dans la manière dont David respectait ce qu’elle était, ses sentiments et ses pensées lui donnait de l'espoir. « J’ai beaucoup été blessée par le passé, » confia-t-elle doucement, ses yeux ne quittant pas ceux de David. « La confiance pour moi, ce n'est pas facile. Mais je me sens étrangement à l'aise avec vous, ce qui est rare. » David acquiesça, son expression empreinte de douceur et de compréhension. « Je suis honoré que vous vous sentiez ainsi, Vanessa. Sachez que quoi que vous décidiez d'explorer ou non, je respecterai toujours vos sentiments et vos limites. La sécurité et le consentement sont primordiaux. » Les confidences s'échangèrent plus librement alors, comme si la nuit enveloppante leur offrait un cocon de confidentialité. Vanessa se sentait incroyablement vulnérable, mais étrangement en sécurité en partageant ses cicatrices émotionnelles avec David. Elle raconta avec retenue mais sincérité ses précédentes déceptions amoureuses, soulignant combien elles avaient façonné sa prudence actuelle dans les relations intimes. David écoutait, son visage baigné par la douce lumière lunaire, montrant une empathie qui ne se contentait pas de mots mais qui se traduisait par son attention totale. Il ne cherchait pas à la réparer, ni à offrir des solutions hâtives, mais simplement à comprendre et à accepter son passé. Profitant de ce moment de partage, Vanessa, animée par une curiosité prudente, glissa habilement la conversation sur des terrains plus personnels encore. « Et vous, David, avez-vous traversé des chemins semblables dans vos relations ? N’étaient-elles placées que sous le prisme du BDSM ? » demanda-t-elle, espérant découvrir plus sur son statut et ses expériences passées. David prit une profonde inspiration avant de répondre. « Oui, j'ai eu ma part de relations qui n'ont pas abouti, principalement parce que les dynamiques que nous avions étaient trop déséquilibrées pour être saines. Ça a été un chemin instructif, et je suis maintenant plus conscient de ce que je veux et surtout de ce que je ne veux pas. » Il marqua une pause, son regard fixé dans le sien. « Ma femme et moi avons partagé une relation très profonde, enrichie par nos rôles dans le BDSM. Elle était ma soumise, mais avant tout, elle était ma partenaire et mon égal dans la vie. Sa mort il y a trois ans a été un tournant douloureux pour moi. » Vanessa écoutait, son cœur touché par la sincérité et la profondeur de l'émotion de David. Il était clair que sa défunte épouse avait laissé une marque indélébile sur son cœur, et cela donnait à Vanessa une perspective plus complète de l'homme qui se tenait devant elle. C'était un homme qui avait aimé profondément et avait été façonné par les épreuves autant que par les joies de la vie. David continua, sa voix teintée d'une mélancolie contenue. « Depuis, je suis resté principalement célibataire, ce que je suis aujourd’hui, me concentrant sur mon rôle de mentor et de guide au sein de la communauté BDSM. Ce n'est pas juste une pratique pour moi; c'est une façon d'établir des connexions humaines significatives basées sur la confiance mutuelle. » Il marqua une pause, ses yeux cherchant les siens, vérifiant qu'elle était toujours à l'aise avec la tournure de la conversation. Vanessa, pour sa part, se sentait étrangement connectée à David, comme si leurs expériences passées, bien qu'assez différentes, avaient tissé entre eux un lien inexplicable. « Je ne m'attends pas à ce que tout le monde comprenne ou accepte cette partie de ma vie, mais c'est important pour moi que les personnes avec qui je partage mon temps et mon espace soient au moins ouvertes à comprendre », ajouta David doucement. Vanessa hocha la tête, son esprit absorbant chaque détail. « Je vous remercie de partager cela avec moi, David. Je ne suis pas familière avec le BDSM, mais j'apprécie l'honnêteté et la profondeur de votre engagement envers le respect et la confiance. Cela dit beaucoup sur qui vous êtes, et cela me rend curieuse d'en apprendre plus. » Un sourire sincère éclaira le visage de David, soulagé et heureux de sa réponse. « Je serais heureux de vous expliquer davantage, Vanessa, et de vous guider à travers les complexités de ce monde, si vous êtes intéressée. Seulement à votre rythme, bien sûr. » Le reste de la soirée se passa dans un échange fluide, explorant des sujets variés mais revenant inévitablement à leur conversation initiale sur le BDSM. Vanessa se sentait de plus en plus à l'aise avec David, touchée par sa capacité à être vulnérable et son respect évident pour ses limites. Alors qu'ils se disaient au revoir, David tendit à Vanessa une carte avec son numéro. « Si vous voulez parler, ou quoi que ce soit d'autre, je suis là. Prenez votre temps, Vanessa. ». Il lui prit la main et la baisa d’un baiser à la fois respectueux et empreint d’infiniment de passion. En rentrant chez elle cette nuit-là, Vanessa en était encore toute bouleversée. Son esprit tournait à 100 à l’heure. Son corps était en ébullition. Elle essayait de réfléchir à la complexité des émotions qu'elle avait ressenties. David était bien plus que ce qu'il semblait être au premier abord, et elle était intriguée par la perspective de découvrir son monde. Jamais il ne lui serait venu à l’esprit jusqu’alors d’envisager une relation avec un homme sous l’angle du BDSM. L’idée qu’elle en avait jusqu’alors était tellement différente de la manière dont David lui avait présenté les choses. Et même si elle ne le lui avait pas dit lors de leur conversation elle faisait partie de ces personnes qui considérait les adeptes du BDSM comme des personnes déviantes. Elle en avait presque honte désormais, maintenant qu’elle venait de rencontrer quelqu’un qui ne correspondait en rien à ces clichés. Elle savait que naviguer dans ce nouveau territoire serait un défi, mais pour la première fois depuis longtemps, elle se sentait prête à explorer de nouvelles profondeurs de connexion et de confiance avec cet homme qui venait de chambouler sa vie de fonds en comble. Perdue dans ses pensées, elle se surprit à constater que sa main avait pris possession de son entre jambes … son string en dentelle noir était trempé … ses doigts couraient avec négligemment sur toute la longueur de sa fente … sa respiration devenait saccadée… le visage de David, ses yeux perçants, son allure à la fois autoritaire et respectueuse, emplissaient ses pensées … sa main droite caressait son sein gauche au travers de son chemisier frôlant puis pinçant alternativement son téton qui s’était dressé avec fierté et insolence … David … son sexe était désormais ouvert comme une fleur épanouie couverte de rosée au petit matin … David … deux doigts étaient maintenant occupés dans des va-et-vient savants au sein de son intimité ruisselante … David … Vanessa haletait, faisant aller sa tête de gauche à droite … David emplissait son esprit, son corps, son âme … Elle aurait voulu s’offrir à lui, là, maintenant … son majeur trouva  son clitoris gonflé de plaisir avec une précision experte et le pressa doucement, provoquant en elle une vague de plaisir intense …  Vanessa se mordit les lèvres mais ne put étouffer un cri de plaisir lorsqu’un orgasme fulgurant la submergea  … (A suivre)
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