16/07/15
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La sirène
De son rocher haut perché
Elle m'a envoûté et harponnée.
Sa voix ma guidée
Je suis pris dans ses rets Empêtré dans son filet
Je suis hypnotisé
Obéissant à sa volonté
Privé de liberté
A elle je me suis donné
Elle en a profiter
Pour me l'enfermer
Et en garder les clés
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12/07/15
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Ma Maîtresse a une imagination débordante!
Depuis le mois de Mai, nous habitons ensemble dans une maison quelle a acheté et que j’aménage pour certains jeux.
Dernièrement, elle a eu une idée, qu'elle n'a pas tardé à mettre à exécution.
Elle m'a ordonné d'aller dans la chambre et de m'y mettre nu. Lorsque je suis entré dans celle-ci, j'ai de suite remarqué le matériel préparé dans un coin.
Elle me rejoignit, m'entrava les poignets avec des bracelets d'acier relieés par une courte chaîne. D'une poussée, elle me fit tomber à plat dos sur le lit.
Là, elle me mit un «pénilex»*pour ensuite cadenasser une ceinture de chasteté à ma taille.
Me disant «ainsi, je suis sûre que tu ne pourras te tripoter!»
Ceci fait, elle m'entrava les chevilles de la même manière que mes poignets. Puis,elle me fit asseoir sur le bord du lit.
Elle me passa un masque de nuit afin d'occulter ma vue, qu'elle doubla en deux endroits, avec un genre de «velcro», puis me passa une muselière, ainsi que le collier attenant, puis cadenassa le tout avec plusieurs cadenas, (deux pour la muselière et un pour le collier).
Cela fait, elle fixa au collier une laisse de cuir et m’entraîna hors de la maison, en passant par son bureau, l'atelier et l'abri à voitures, pour ensuite me faire descendre sur l'arrière de la maison ou se trouve le cachot.
Là, elle m'y fit entrer et fixa à mon collier par un autre cadenas, la chaîne scellé dans le mur.
«Voilà, tu vas rester là, autant de temps que je le désirerais, comme cela tu vas pouvoir réfléchir à ta condition de soumis, tu as une bouteille d'eau, avec une paille pour te désaltérer, tu connais les lieux, tu n'aura pas de mal à la trouver!»
J'entendis la porte se refermer et les deux loquets extérieur coulisser dans leur logement.
Me voilà seul enchaîné dans le noir.
Je connais le cachot, pour l'avoir aménager, il mesure approximativement deux mètres sur deux, en entrant, sur la droite de la porte, il y a une petite verrue de béton, sur laquelle est posé un wc chimique de caravane, afin de pouvoir satisfaire à ses besoins, pour l'instant sur le sol est jeté une vielle couette qui sert de litière.
Je ne sais combien de temps ma maîtresse va me laisser ainsi enfermé. C'est les vacances. Elle a tout son temps.
Au début, je m’assois, puis je marche un peu dans ma prison autant que m'en laissent les chaînes, puis, je m'allonge, je somnole, et je recommence, je m'assois, je marche, je m'allonge, je sommeille, allant même jusqu'à m'endormir à certain moment.
De ce fait, je perds assez rapidement la notion du temps, puisque je n'ai aucun repère pour savoir l'heure.
De plus, le fait qu'elle m'ait occulté la vue, m'empêche de voir, car la lumière pénètre dans le cachot, par des interstices. Je sais cela pour y avoir déjà été enfermé, juste le temps quelle aille faire quelques courses.
Dans cet état, le moindre bruit du loquet, vous réjouit. C'est peut être enfin la délivrance, mais non, ce n'est juste qu'une visite de contrôle, pour voir si tout va bien et changer la bouteille d'eau, ou me rafraîchir grâce au tuyau d'arrosage.
Lors de ses visites, ma Maîtresse en profite pour me donner quelques coups de cravache sur les fesses, les cuisses ou le dos, pour faire un peu circuler le sang me dit-elle, vu le peu d'exercice que je peux faire en ce lieu. Puis elle me renferme pour je ne sais encore combien de temps.
Ma Maîtresse m'a délivré après deux jours et demi passé dans le cachot.
J'avais déjà expérimenté l'enfermement, il y a quelques temps, mais dans un endroit qui ne s'y prêtait pas tant que cela.
La première fois, j'avais perdu la notion du temps, mais je savais que cela ne durerait pas plus qu'une journée et que la délivrance viendrait rapidement, mais là, c'est autre chose. Ne pas savoir quand viendra la délivrance est un facteur de jouissance intérieure, en même temps qu'un stress permanent, je ne sais vraiment comment exprimer les ressentis de cette expérience.
Par contre, je suis sur d'une chose, je ne changerais de Maîtresse pour rien au monde!
Je sais aussi une chose: c'est qu'elle peut être capable pour me punir ou pour son plaisir personnel, de me laisser beaucoup plus longtemps dans le cachot.
* Pénilex sorte de préservatif ouvert, qui se colle à la base du sexe, muni d'un petit tube, que l'on relie normalement à une poche à urine pour l’incontinence masculine, mais qui là est relié à un petit tuyau fixé dans la ceinture de chasteté, afin de pouvoir uriner assis.
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09/07/15
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Je l'ai enfin trouvé !
Nous discutions ensemble depuis quelques temps, surtout le soir, lorsque la nuit est bien tombé.
Aujourd'hui, vers quatorze heures, nous devons nous rencontrer en tout bien tout honneur, un premier contact autre que virtuel, la seule chose quelle m’aie demandée, c'est de prendre ma ceinture de chasteté.
Je dois passer la prendre en voiture devant chez elle, et ensemble, nous allons faire du shopping, n'ayant pas de véhicule, je vais lui servir de chauffeur.
A l'heure dite, je suis devant chez elle, la voilà qui sort de son logement, je descends et lui ouvre galamment la porte arrière coté trottoir, la laisse s'installer et referme la porte précautionneusement, sans la claquer, puis, je m'installe au volant.
Avant que je puisse lui demander où, elle désirait se rendre, elle me pose cette question : « As tu pris ta ceinture ? »
Je lui réponds : « oui, Madame, elle se trouve dans le sac qui se trouve a vos coté sur le siège ».
Elle récupère le sac, l'ouvre : « Bien !, tu vas m'accompagner chez ma coiffeuse esthéticienne, c'est une amie, aujourd'hui, elle ouvre que pour moi, voici l'adresse ».
« Bien Madame », je démarre et tout en douceur me glisse dans le flot de la circulation, subrepticement, je jette de petits coup d’œil dans le rétroviseur intérieur, afin d'essayer de voir comme elle est vêtue, car la seule chose que j'ai pu voir, lorsque elle est sortie de chez elle, c'est, ses magnifique bottes noire verni, à talon vertigineux. Le reste de sa tenue étant caché par un magnifique manteau de fourrure, la seule chose que me reflète le miroir, c'est son visage, là aussi, je n'arrive pas a vraiment distinguer ses traits, une paire de lunette noire cache ses yeux et une longue chevelure ondulée, d'un noir jais, qui descendent jusque sur ses épaule, dont certaine boucle, reviennent sur son visage, je sais que c'est une adepte des perruques, dont très peu de chance que ce soit sa couleur naturelle.
Arrivé à destination, elle me guide, afin que je me gare à un emplacement réservé, une fois cela fait, je descends de la voiture, pour lui ouvrir la portière, afin quelle puisse descendre.
« Plutôt que de m'attendre dans la voiture, tu vas m'accompagner et tu patientera à l'intérieur, ainsi, je suis sure, que tu ne te tripotera pas en fantasmant sur moi ».
« Bien Madame », une fois descendu, je referme la porte de ma voiture et verrouille celle-ci, ceci fait, je lui emboîte le pas.
Nous arrivons devant un petit salon de beauté, dont les rideaux sont baissés, Madame tape à la porte et quelques instant plus tard, celle-ci s'ouvre, afin que nous puissions pénétrer à l'intérieur. La lumière dans cette pièce est faible, je distingue a peine l'endroit.
« Bonjour Nathalie, me voici comme prévue, toi, me dit elle, tu reste ici ! »
« Bien Madame »
Les deux femmes, se dirigent vers le fond du salon ou l'on distingue une lumière plus vive, me préparant, à une longue attente, je m'installe sur un des sièges qui sert afin que les clientes puissent attendre leur tour.
Je ne sais depuis combien de temps, je suis là, dans, cette semi pénombre, lorsque tout à coup, la lumière jaillit, un éclairage si vif, que j'en suis un instant ébloui. Un voix m'ordonne alors de me mettre à genoux, je tarde un peu, ne comprenant pas trop ce qu'il se passe, mais aussitôt, l'ordre est renouvelé « A genoux ».
Je m'exécute en levant les yeux, une magistrale gifle m'atteint, « Baisse les yeux chien », j’obéis, mais, j'ai eu le temps de l’entre-percevoir. Elle est divine dans sa tenue de cuir !, elle s 'avance vers moi et me passe une sorte de nœud coulant autour du cou.
« Suis moi, a quatre patte » dit elle en tirant sur la laisse improvisée. Elle me conduit vers la lumière, Nathalie est là, en blouse blanche.
« Debout, déshabille toi complètement, je te veut nu comme un ver ! »
Je exécutante, me voilà dans le plus simple appareil, mon petit asticot, se redressant fièrement.
« Voilà, cela fait maintenant un certain temps que nous nous connaissons, au cours de nos discutions, j'ai appris à te connaître et aujourd'hui, j'ai décidé que tu devais franchir un cap, je connais pratiquement toutes tes envies, mais celle là, c'est la mienne ! Tu as donc le choix, accepter ce qui va arriver sans vraiment savoir ce qui va se passer, ou alors, te rhabiller, faire demi tour et partir sans te retourner, je te laisse quelques instant de réflexion » .
Pour moi, le choix est vite fait, « j'accepte ! »
« Bien, alors, Nathalie va s’occuper de toi ! Elle va t'épiler complètement, je n'aime pas les poils, ensuite, tu passera dans la partie esthétique, puis coiffure. »
Sur les ordres de Nathalie, je m'installe sur la table et la séance d'épilation à la cire commence, un vrai supplice, lorsque celle-ci est retiré d'un coup sec, mais en bonne professionnelle Nathalie use de crème à l'Aloévera, pour atténuer l'inflammation, la séance dura je ne sais combien de temps, puis on me conduit dans une petite salle de bain attenante et on me fit prendre un bain parfumé, pendant que Nathalie, terminé de me sécher.
Madame est alors arrivé, avec ma ceinture de chasteté, que je croyais dans ma voiture, et avec l'aide de Nathalie me l'a ceint à la taille, puis la cadenassa. « voilà une chose de faite, ton oiseau est enfermé, seul mon bon vouloir, pourra le libérer ».
Elles me conduisirent ensuite dans la partie esthétique du salon, où Nathalie entrepris mon visage, épilation des sourcils, fond de teint, maquillage de mes yeux, rouge à lèvre, au fur et à mesure, je ne me reconnaissais pas dans la glace qui se trouvais en face de moi, un essaye de perruque termina la séance, jusqu'à que la plus approprié me coiffe.
Madame et Nathalie contemplèrent le chef d’œuvre, Madame s’avança vers moi et referma sur mon cou, un collier, un genre de jonc métallique fermant à clé, auquel elle attacha une laisse, elle me fit mettre debout et m'ordonna de mettre les mains dans le dos, sur lesquelles se refermèrent une paire de menottes.
Madame remercia Nathalie pour son excellent travail et me tenant pas la laisse, me fit sortir du salon, et me conduisit jusqu'à une petite voiture, dans laquelle, elle me fit asseoir, avant de prendre le volant.
« Ta journée, n'est pas fini ma belle, nous avons encore quelques emplettes à faire ».
Le trajet dura bien deux bonne heure, car elle nous fit quitter la ville où nous vivions pour une autre, je me taisais tout le long du trajet, réfléchissant à ce que Madame, pouvait bien encore avoir prévue.
Une fois arrivé, elle gara la voiture, détacha ma ceinture de sécurité et prenant la laisse, me tira hors de la voiture, referma la porte et m’entraîna dans un centre commercial, les gens que nous croisions, nous regardait, drôle de couple que cette magnifique femme, tenant en laisse une femme habillé en homme, j'entendais dans mon dos le ricanement ou les commentaires de certains, la honte le gagné.
Madame me conduisit chez une corsetière, et expliqua à la vendeuse ce quelle désirait pour moi, je fus débarrasser de mes menottes et je dus me déshabiller devant la vendeuse, qui fut très intéressée par ma ceinture de chasteté, disant à Madame, que cela serait bien pratique pour son copain coureur de jupon.
La vendeuse me prit certaine mesure, s'absenta un moment et revient avec une pile de carton, l'essaye commença, madame, lui avait demandé, de me trouver un corset, afin d'enserrer ma taille, pour faire disparaître mon ventre, après plusieurs essai, une pièce lui convient, un corset porte-jarretelle de satin blanc, un string, et une paire de bas blanc vinrent compléter cela, une fois cela mis, je du me rhabiller et les menottes reprirent leur place sur mes poignets, après que j’eus régler mes achats.
Madame, tenant toujours ma laisse, m’entraîna dans un autre magasin, ou là aussi, je continuais à consommer ma honte, ce fut un magasin de vêtement féminin, où, là aussi, ce fut maint essayage, jusqu'à ce que Madame me trouva à son goût, elle opta pour une petite robe, coupe trapèze, haut en maille unie noir, jupe portefeuille, en maille jacquard, finition façon peau, que je dus garder et bien entendu payer, avant d'à nouveau me retrouver les mains entravé dans le dos, pour être à nouveau tiré vers un autre magasin.
Ce fut ce coup-ci un magasin de chaussure, normal, la femme que j'étais devenue, ne pouvais se promener en chaussure d'homme, ce fut aussi maint essayage, faisant une pointure quarante deux, il n'est pas si facile que cela de trouver chaussure à son pied, le choix de Madame fut une paire d'escarpin de couleur rouge à pointe vernis, avec une hauteur de talon de dix centimètres de haut.
Une fois chaussée, Madame, m'a demandée de déambuler dans le magasin, comme pour un défilé de mode, afin de juger de ma complète transformation.
Je ne suis pas habituer à marcher avec des talons haut, mais afin de plaire à Madame, j'essaye de marcher, comme je l'ai vu faire les mannequins à la télévision, et ce qui devait arriver arriva, je me pris les pieds et chuta lourdement sur le sol, m'assommant un peu.
Je me relevais et là, je m’aperçus que je venais de tomber de mon lit, ce n'étais qu'un rêve.
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quel...chute...<br />sachem, voilà des mots qui nous emportent sur vos maux...<br />merci de ce pas-sage moment livré à merveille
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10/07/15
08/07/15
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Madame,
Je vous ai cherché pendant bien des années et la d'un coup, vous sortez là, sous mon nez.
Moi, l'épave trimballée au grès des flots de ma volonté de ne jamais chaviré, avec l'espoir qu'un jour, je vous trouverais.
J'ai vécue bien des épreuves, pour arriver où j'en suis, sauté la barrière du fantasme, pour vivre le réel, je l'ai payé pour trop, mais il fallait bien en passer par là, pour éviter de rêver à une chimère et savoir.
Savoir si l'on en est capable, cela c'est fait par étape, plusieurs rencontre, mais jamais vraiment la félicité, mais là, je crois l'avoir trouvé.
Êtes vous ma bonne fée ? Celle qui au lieu d'un baguette magique, manie, la cravache et le fouet, pour mieux m'amadouer.
Je ne sais, je ne sais si j'arriverais a cet état tant désiré, mais vous saurez m'accompagner et me guider.
Vous m'avez accepté, comme un don, peut être suis je cela pour vous.
Un renouveau, une naissance pour nous, une première rencontre et l'éclair, l'éclair dans vos yeux, votre sourire narquois et carnassier, vos yeux rieurs.
L'osmose, cette fusion qui presque d'emblée, nous a liés, que je ne croyais plus mais espérais.
D'où viens cette complicité incompréhensible, si vite arrivé ?
Étais ce écrit dans le grand livre de la vie, celui qui nous gère depuis tout petit ?
Une chose est sure, c'est arrivé et j'en suis comblé.
Vous avez écrit votre passé, le miens, s'y est reflété, comme une promesse.
Je me suis lancé comme un parachutiste d'un avion avec l'espoir que le parachute s'ouvre, pour ne pas s'écraser, comme d'autre fois, le miracle a eut lieux.
Quelques jours à vos pieds, m'ont déjà transformé, et ce week end, certains l'on deviné, vous m'avez aussi fait ce beau cadeau, le plus beau.
Là, ce soir là, vous m'avez dit, « tu peut m'appeler Maîtresse », ce mot à plusieurs sens, mais qui pour un soumis a tout un sens, vous m'avez aussi ce bonheur d'être tout près de vous, sous cette couverture où vous avez fait fondre mon cœur.
Ce cœur brisé et meurtrie par manque d'amour à donner et a recevoir, oui, je le sais bien, je parle d'amour à ma Maîtresse, je ne suis qu'un chien soumis et je sais que ce serait vraiment illusoire de penser le même amour en retour.
Comme le dit la chanson, « je pense a vous Madame », je vous ai rêvé et maintenant, je vous ai, là, enfoncé dans mon cœur, comme un pacemaker qui me maintient en vie.
Je dois vous revoir bientôt, j'égrène les jours et je compterais les heures qui me sépareront de vous.
Je me jette une fois de plus dans la gueule du loup, insensé que je suis ! Mais, c'est ma vie, mon bonheur et le votre.
Je suis votre soumis officieux, j'attends avec impatience le jours où vous le déclarerez aux yeux de tous, pour devenir officiel, un bien grand mot, pour pas grand chose, vous me direz, puisque moi je sais.
Oui, mais quelle fierté de dire j'appartiens, je suis le soumis de Lady Dae, non, pas pour rendre jaloux, ce qui n'ont pas cette chance, si quand même un petit peu, j'ai bien était jaloux de ceux qui l'on été avant moi.
Ma plus grande peur et d'un jour être rejeter, mais je ne peux laisser passer ma chance et perdre cette place tant désiré
Je ferais tout pour être votre étendard, j'essayerais d'être toujours digne de vous, afin, qu'un jour, vous me riviez au cou, ce collier tant désirait, sur lequel vous pourrez marquer « Propriété de Lady Dae »
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Pourquoi se trouve-t-on sur un site BDSM ? Pourquoi partage-t-on des photos autour du BDSM ? Pourquoi écrit-on sur le BDSM ? Pourquoi partageons-nous ?<br />Je crois que là nous avons quelqu'un dont le rôle du site lui échappe. Si il y a besoin d'expliquer cela, je pense qu'il est inutile de s'attarder.<br />Effectivement, chacun est libre de poser des questions stupides, mais nous sommes aussi libres de ne pas y répondre et d'ignorer ceux qui semblent s'être égarés parmi nous ...
Alors là mon coco, tu commence à me chauffer les oreilles.<br /><br />Tu es inscrit sur le site depuis vingt quatre heures, sur ton profil, tu marque, être le meilleur des soumis, trouver la meilleure des maîtresses !<br /><br />Mais, tu ne connais même pas le respect envers une Dominatrice.<br /><br />En plus tu es insultant en écrivant en majuscule, (ce qui sur la toile correspond à crier) et en plus sur une Domina.<br /><br />Pas besoin de faire l'âne pour avoir du son, ou plutôt des coups de bâtons car c'est tout ce que tu désirerais avoir.<br /><br />Là, tu es mal parti, si tu as perdu ton cap, vire au vent.
06/07/15
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Voici, une toute nouvelle expérience pour moi!
Jeudi 11 Septembre, j'arrivais en fin de matinée, chez ma Maîtresse, pour passer quelques jours sous son joug, malheureusement, son métier, ne la laisse, pas toujours libre de son temps, déjà, ce jeudi, elle avait un rendez-vous en milieu d'après midi.
Afin de ne pas me laisser libre le temps quelle y aille, elle me fit allonger sur le clic-clac du salon, fixa une chaîne à mon collier, quelle cadenassa à celui-ci, puis m'entrava les poignets quelle relia aussi à la chaîne et fit de même pour mes chevilles, et enfin termina par un masque de sommeil, pour m'occulter la vue.
A son retour, elle me retrouva dans la même position, ma détacha, je lui dit c'est bien, pour une heure ou deux, mais demain, vous travaillez et vous devriez m’enchaîner et m'enfermer.
Elle me prit au mot, mais n'ayant point de cachot dans son appartement, elle trouva la solution, le lendemain matin, elle me tira par la chaîne toujours relier à mon collier et mes poignets, vers les toilettes, ou elle avait prit soin de passer une nouvelle chaîne derrière la cuvette, quelle cadenassa à la première.
Me voilà donc prisonnier des toilettes, après avoir pris soin de me laisser une bouteille d'eau à porté de mains, elle me souhaita une bonne journée, ferma la porte et éteignit la lumière, je me retrouvais donc entravé, dans le noir complet, dans un local exigus, qui faisait a peu près 0,80 m de large, par 1,20 m de long, dire qu'il était donc impossible de s'y allonger totalement, avec en plus la cuvette en plein milieu.
Il était sept heure quinze du matin, je l'entendit, finir de se préparer et ensuite sortir, le bruit de la serrure, m'appris son départ définitif.
Maintenant, je suis seul dans le noir, les chaînes m'empêche de bouger comme je le voudrais, mais bon, j'y arrive tout de même. Les premières heures passèrent sans aucun problèmes, j'avais encore plus ou moins, la notion du temps.
J'aurais voulu pouvoir vraiment m'allonger, pour essayer de dormir, mais la position était vraiment inconfortable, a un moment donné, je trouvais une position assez sympatrique, un pied passé de chaque coté de la cuvette et la chaîne les reliant, faisant office de frein, à la longue, j'ai fini par m'assoupir et c'est des «fourmis» dans les jambes qui ont finit par me sortir légèrement de ma léthargie, dans laquelle, je me trouvais assis à table, en train de manger.
Les «fourmis», me firent revenir à la réalité, j'en déduisit donc, que l'on devait pas être loin de midi et que mon esprit me nourrissait à sa manière, pour ne pas me faire ressentir le manque d'aliments. Je reviens donc entièrement à la réalité et je changeais de position pour me débarrasser de ces bêtes, qui me picotent dans les jambes.
Maintenant, je n'arrive plus a trouver une bonne position, pour arriver à me poser correctement, je n'avais plus aucune notion du temps, aucun signes ou bruits extérieur pour m'aider.
C'est a partir de ce moment là, que j'ai vraiment commencer a trouver le temps long, impossible d'arriver a sommeiller, pour ralentir mon esprit, qi s’enflamme, ne devrait elle pas être déjà, a t elle eut un accident, si c'est le cas, je vais rester coincé là, je pensais qu'il devait rester plus ou moins d'une heure, mais la vicieuse pensée se faisait lancinante.
Je ne tenait plus, heureusement, la délivrance était là, j'entendais les clés tourner dans la serrure, la lumière s'alluma et la porte s'ouvrit, ma Maîtresse était là!
Lorsqu'elle est rentrée, il était plus de seize heures, je suis donc resté enfermé, plus de neuf heures trente dans ces toilettes, sans avoir vraiment aucune notion du temps passé,
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06/07/15
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Voici, une toute nouvelle expérience pour moi!
Jeudi 11 Septembre, j'arrivais en fin de matinée, chez ma Maîtresse, pour passer quelques jours sous son joug, malheureusement, son métier, ne la laisse, pas toujours libre de son temps, déjà, ce jeudi, elle avait un rendez-vous en milieu d'après midi.
Afin de ne pas me laisser libre le temps quelle y aille, elle me fit allonger sur le clic-clac du salon, fixa une chaîne à mon collier, quelle cadenassa à celui-ci, puis m'entrava les poignets quelle relia aussi à la chaîne et fit de même pour mes chevilles, et enfin termina par un masque de sommeil, pour m'occulter la vue.
A son retour, elle me retrouva dans la même position, ma détacha, je lui dit c'est bien, pour une heure ou deux, mais demain, vous travaillez et vous devriez m’enchaîner et m'enfermer.
Elle me prit au mot, mais n'ayant point de cachot dans son appartement, elle trouva la solution, le lendemain matin, elle me tira par la chaîne toujours relier à mon collier et mes poignets, vers les toilettes, ou elle avait prit soin de passer une nouvelle chaîne derrière la cuvette, quelle cadenassa à la première.
Me voilà donc prisonnier des toilettes, après avoir pris soin de me laisser une bouteille d'eau à porté de mains, elle me souhaita une bonne journée, ferma la porte et éteignit la lumière, je me retrouvais donc entravé, dans le noir complet, dans un local exigus, qui faisait a peu près 0,80 m de large, par 1,20 m de long, dire qu'il était donc impossible de s'y allonger totalement, avec en plus la cuvette en plein milieu.
Il était sept heure quinze du matin, je l'entendit, finir de se préparer et ensuite sortir, le bruit de la serrure, m'appris son départ définitif.
Maintenant, je suis seul dans le noir, les chaînes m'empêche de bouger comme je le voudrais, mais bon, j'y arrive tout de même. Les premières heures passèrent sans aucun problèmes, j'avais encore plus ou moins, la notion du temps.
J'aurais voulu pouvoir vraiment m'allonger, pour essayer de dormir, mais la position était vraiment inconfortable, a un moment donné, je trouvais une position assez sympatrique, un pied passé de chaque coté de la cuvette et la chaîne les reliant, faisant office de frein, à la longue, j'ai fini par m'assoupir et c'est des «fourmis» dans les jambes qui ont finit par me sortir légèrement de ma léthargie, dans laquelle, je me trouvais assis à table, en train de manger.
Les «fourmis», me firent revenir à la réalité, j'en déduisit donc, que l'on devait pas être loin de midi et que mon esprit me nourrissait à sa manière, pour ne pas me faire ressentir le manque d'aliments. Je reviens donc entièrement à la réalité et je changeais de position pour me débarrasser de ces bêtes, qui me picotent dans les jambes.
Maintenant, je n'arrive plus a trouver une bonne position, pour arriver à me poser correctement, je n'avais plus aucune notion du temps, aucun signes ou bruits extérieur pour m'aider.
C'est a partir de ce moment là, que j'ai vraiment commencer a trouver le temps long, impossible d'arriver a sommeiller, pour ralentir mon esprit, qi s’enflamme, ne devrait elle pas être déjà, a t elle eut un accident, si c'est le cas, je vais rester coincé là, je pensais qu'il devait rester plus ou moins d'une heure, mais la vicieuse pensée se faisait lancinante.
Je ne tenait plus, heureusement, la délivrance était là, j'entendais les clés tourner dans la serrure, la lumière s'alluma et la porte s'ouvrit, ma Maîtresse était là!
Lorsqu'elle est rentrée, il était plus de seize heures, je suis donc resté enfermé, plus de neuf heures trente dans ces toilettes, sans avoir vraiment aucune notion du temps passé,
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01/07/15
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Week-end surprise
Samedi 11 Octobre
J'arrive chez ma Maîtresse, avec, dans ma voiture, la chaise que je lui avais fabriqué. Une fois déchargée, j'ai du la monter au plus vite, pour le plus grand plaisir de celle-ci, dont les yeux brillaient d’excitation. Une fois fini, il ne fallut pas longtemps, pour que je me retrouve en tenue d’Adam, fixé sur celle-ci.
Je dois vous dire, que c'était assez jouissif, de construire quelque chose dont on sait que l'on va être le premier à l'étrenner. Cela n'était pas pour moi la première fois, mais là ce n'est point pareil. C'est pour ma Maîtresse, celle qui m'a choisi et dont je sens son regard dans mon dos, devinant par ailleurs le sourire carnassier qui doit se dessiner sur ses lèvres.
Elle l'attendait avec impatience, pour l'avoir vu se fabriquer petit à petit lors de nos discussions le soir sur skype, et elle avait déjà concoctée quelque chose pour l'essayer, l'épilation de mon torse !
Pour cela, elle s'était munie de bandes dépilatoires, trouvées dans mes affaires, mais elle trouva celles-ci inefficaces et s'en alla donc quérir dans sa salle d'eau, sa propre cire. Elle la mit à chauffer, avant de m'en tartiner la poitrine, pour ensuite y poser des bandes afin de pouvoir la retirer.
Comme, elle trouvait que cela n'allait pas assez vite, elle prit l'épilateur électrique, que j'avais eu le malheur d'acheter. Ouille, çà tire ! Un vrai engin de torture ! Puis, pour terminer, elle entreprit les derniers poils rebelles à la pince à épiler.
Je dus ensuite aller me doucher, afin de faire un nettoyage complet de ma personne.
Quelques jours plus tôt sur le même site où nous discutons pratiquement tous les soirs, elle m'avait demandé si j'avais des vêtements noirs, car elle comptait me sortir, pour une soirée surprise. Tenue noire, cela veut dire « dress code » donc soirée en club, du moins, c'était ma première impression.
Une fois que je fus douché, elle me passa au cou mon collier d'acier et fixa à mes poignets, les bracelets du même métal. Ensuite, je finis de m'habiller, chemise noire et pantalon noir. Pendant ce temps, ma Maîtresse, était, elle aussi, allée se préparer, regardant plusieurs fois l'heure, trouvant que l'on avait pris du retard sur l'horaire quelle avait prévu.
Ceci me fit changer d'avis sur la destination finale de notre petite virée, mais je n'en dis rien à ce moment là. Une fois toutes les affaires préparées, nous sommes donc sortis de l'appartement pour aller jusqu'à son véhicule.
C'était une première pour nous, pas le fait de sortir, mais celui où j'arborais, bien visibles, mon collier et mes bracelets. Je ne sais si vous avez déjà vécu cela ? pour moi, oui !
J'ai déjà été exhibé par une Domina précédente, mais dans un club privé vanille, mais là, c'est sur la voie publique à la vue de tous.
J'étais à la fois excité et fier d’arborer l'appartenance à ma Maîtresse, mais j'avais aussi une petite appréhension d'être vu ainsi, ce qui je l'avoue donne du piquant à la situation.
Nous partons donc, ma Maîtresse, me demandant de poser mes lunettes, afin que je ne puisse voir l'adresse qu’elle allait rentrer dans le GPS. En effet, une fois sans lunettes, il m'est impossible de lire quoi que ce soit. Je ne vois que des traits. Une fois fait, j’ai pu remettre mes lunettes.
Ma Maîtresse, me demanda, si j'avais une idée, de l'endroit où on allait, je lui dis que oui, mais que pour l'instant, je ne dirais rien attendant pour moi la confirmation. On prit donc l'autoroute et le sens me permit de commencer à confirmer mon idée, que je lui confiais, précisant, qu'au début, j'avais pensé à une soirée en club, vu la tenue demandée, mais que vu l'heure à laquelle nous partions, cela était impossible, puisque le Clair Obscur n'ouvre qu'à vingt heures.
Elle me dit que je me trompais et que nous allions bien au Clair Obscur et qu’elle ne mentait pas (de toutes manières, article 1 : une Maîtresse à toujours raison !). Pourtant, nous avons largement dépassé le Cap d'Adge, donc la destination à laquelle j'avais pensé, était la bonne, ce qui se confirma ensuite.
En fin de compte, c'était juste pour récupérer une personne dont c'était l'anniversaire, puis nous avons repris la route vers le Clair Obscur au Cap d'Agde. Ma Maîtresse l’avait rencontré lors du premier week-end Fessestivités auquel elle avait participé et elle avait apprécia sa maîtrise du BDSM ainsi que certaines de ses pratiques.
Une personne que je connais depuis quelques années, pour l'avoir rencontré à plusieurs reprises. Mais qui n'avait jamais eu le plaisir de s'occuper de ma petite personne.
Il s'agit de Maître Pierre.
J'étais donc en quelque sorte son cadeau d’anniversaire !
Le Clair Obscur, enfin, nous y voilà, ma Maîtresse avait donc bien raison !
Après y avoir pénétrés et pris une boisson, ma Maîtresse et son invité, décidèrent, qu'il était peut-être temps de s'occuper du cadeau, donc de moi !
Pour ceux qui connaissent ce club, ma Maîtresse m'attacha les poignets, (après m'avoir changé les bracelets, ceux en acier n'étant point pratique pour les suspensions), à l’échelle horizontale qui se trouve dans la première salle à gauche en entrant.
Là, j'ai eu droit à une doublette de martinet, ma Maîtresse face à moi et Maître Pierre dans mon dos. Toute sa panoplie y est passé, (Martinets soft, lourd, chat à neuf queues).
Après les martinets, j'ai eu droit au fouet, là aussi, je les ai tous goûté, (trois différents). Je puis vous dire, que Maître Pierre, s'en est donné à cœur joie de me maltraiter, ma maîtresse aussi d'ailleurs. Au moment où j'écris, il me reste quelques légères traces, je dis bien légère, malgré le traitement que l'on m'a infligé.
Je puis vous dire, que j'ai dégusté, (cela pour ceux qui pourraient croire, que l'on n'a fait que me caresser légèrement le cuir). Ma Maîtresse, n'est pas tendre, lorsqu'elle manie la cravache ou le fouet et Maître Pierre, n'est pas en reste non plus, je pense que les deux protagonistes, pourront confirmer cela.
Comme ces messieurs dames avaient besoin de reprendre des forces, (Ben oui, c'est très fatiguant de se mettre à deux pour tourmenter un soumis) nous sommes allés nous sustenter.
Après cela mes deux tortionnaires décidèrent de me faire un glaçage à la bougie. Tout bon gâteau doit avoir un beau glaçage ! Mais pour cela, il fallait un petit délai, le temps que les bougies arrivent à bonne température. Ils s’occupèrent donc, de mon postérieur, en me faisant agenouiller sur le prie dieu.
Dieu qui d'ailleurs ne me fut d'aucun secours malgré mes prières silencieuses lui demandant de m'épargner cela.
Ma maîtresse à ma droite, Maître Pierre à ma gauche, chacun à tour de rôle. J'ai donc eu droit à six sortes de cannes, paddle, ceinturon, battoir à tapis et j'en oublie peut être, n'étant pas en bonne position pour voir exactement ce qui se passait.
Après cela, ils me firent allonger sur le dos, pour un nappage à la bougie. Ils en avaient mis quatre à chauffer, Maître Pierre, s'occupant de mon torse et ma Maîtresse, a trouvé beaucoup plus jouissif de s'occuper de mon entre-jambes et surtout d'une partie de mon anatomie dont elle a essayé de faire un moulage. (Putain çà brûle! J'ai résisté, malgré quelques gros mots, qui sont restés incompréhensibles au fond de ma gorge)
Une fois terminé, ma Maîtresse, armé d'un couteau, entreprit de décoller la cire à l'aide de celui-ci. Étant toujours prévoyant et sur le ton de l'humour, je lui ai dit de faire attention à la partie basse de mon anatomie, qui bien que ne servant pas à grand chose pouvait encore lui servir pour quelques maltraitances.
Cela terminé, nous repartîmes nous rafraîchir, personnellement, j'en avais bien besoin après les sueurs froides que j'avais eues.
Les deux comparses, n'en avait pas fini avec moi, Maître Pierre, partit s’enquérir de deux autres personnes et j'ai eu droit aux élastiques, un truc qui a du être inventé par un super sadique !
Pour ceux qui ne connaîtraient pas et qui voudrait essayer, voilà la recette : prenez un volontaire désigné d'office, un bon paquet de gros et longs élastiques, passer ceux-ci autour du corps de la personne, en partant des cuisses et en remontant jusqu'au dessus de la poitrine, une fois cela fait, chaque personne choisit un élastique, le tire et le relâche et cela ainsi de suite.
La vache ! C'est peut être amusant pour ceux qui tirent dessus, mais pas pour celui sur qui ils claquent, c'est vrai toutefois que cela laisse de belles marques !
La soirée commençant à tirer à sa fin, ils décidèrent de s'occuper de mon fondement, pour cela, ils me firent agenouiller, et ma maîtresse prépara un préservatif avec dix baguettes chinoises, quelle m'introduit, après avoir bien lubrifié l'endroit, elle en a ensuite rajoutée quelques unes, mais cet endroit là, n'ayant pas beaucoup servi était assez réfractaire à son élargissement.
Juste avant l'heure de partir, ma Maîtresse joua encore un peu du fouet sur mes fesses et ensuite, nous reprîmes la direction de chez Maître Pierre.
La soirée nous ayant épuisé, nous passâmes le reste de la nuit chez celui-ci.
Dimanche 12 Octobre
Après une nuit réparatrice et un repas frugal, ce fut encore ma fête, bien que celle-ci tombe normalement le dix neuf Mai !
Au programme, CBT, introduction de sonde urétrale, pour cela, ils me firent asseoir sur le fauteuil de bain de Maître Pierre.
Ma Maîtresse m’y attachât, les chevilles et les poignets. Puis commença par m'introduire celle de diamètre six, elle réussit à aller jusqu'à la huit et demi, impossible d'aller plus loin.
Après cela, ils tentèrent de me mettre une vis urétrale, mais leurs essais furent vains, celle-ci n'a point voulue prendre, ce qui a laissé perplexe Maître Pierre, qui n'avait jamais vu cela.
Ma Maîtresse m'introduisit ensuite une sonde beaucoup plus fine, mais bien plus longue, qui lui permit d'aller jusqu'à la vessie et ensuite utilisa un rasoir électrique sans lames muni d'un préservatif, pour titiller mon gland et mes couilles, ce qui me fit tendre comme un arc, mes mains, serrant les roues du fauteuil à presque les faire éclater.
Ensuite, on me détacha. Maître Pierre montra ses autres jouets à ma Maîtresse, qui voulu les essayer et bien sûr qui fut encore le cobaye ? Moi !
Elle essaya donc l'électro et ensuite les ventouses, qui elles ont laissées sur ma peau de magnifiques marques, encore visibles aujourd'hui. Au moins là ma Maîtresse a réussi à laisser sur ma peau quelque chose qui ne disparaît pas en quelques heures.
Après avoir nettoyé tous les instruments dont nous nous sommes servis, il était temps pour ma Maîtresse et moi de reprendre la route.
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