sacherm

Un être de sexe mâle, arrivée dans sur cette Terre le 2 Avril 1957, mes parents avait déjà trois enfants, je suis donc le quatrième, mais pas le petit dernier, puisque six ans plus tard est arrivés une petite sœur.

Que vous dire de ma vie, je pense que mon enfance a été celle de tout les enfants de mon âge, sauf, que mon père travaillant pour deux patrons, commençais tôt et finissais tard, c’est donc ma mère qui gérait la maison, et qui distribuait les coups de martinet.

J’étais un enfant plein de conneries et je n’avais pas besoin de sollicitations pour les faire, donc, je l’avoue humblement c’est plus mes cuisses et mes fesses qui ont usé le martinet, ce n’était pas un martinet comme l’on trouve maintenant au rayon animaux des super marché, mais un bon vieux martinet, avec sont manche en bois assez long et de belles lanières de cuir de section carré, d’une longueur approximative de cinquante centimètre.

Il est arrivé que ce soit quelques fois mon père qui sévisse, mais là, c’était plutôt de belles tartes, des coups de poings ou de pieds.

Voilà pour mon enfance et mon adolescence, c’est à ce moment-là, je ne sais quel âge, je pouvais avoir que je suis tombé chez un ami, sur une revue, dont une image a hanté une bonne partie de ma jeunesse, celle-ci, représentait un homme nu, attaché sur le ventre, les bras et les jambes en croix, le dos marqué de traces de fouet et au-dessus de lui, une femme vêtue de cuir, qui lui faisait couler de la cire sur les traces de coup.

A cet instant, je ne savais point ce que cela pouvait bien représenter et pourquoi, cela m’intéressé tant, j’avoue pourtant avoir toujours sentie en moi la supériorité des femmes, je rêvais éveillé, un coup, j’étais un esclave couvert de chaînes et enfermé dans un cachot, un autre coup, j’étais «Chérry Ames ou Angélique marquise des Anges», enchaînée dans un harem. Mais sans jamais me douter de ce que j’étais.

C’est lorsque j’ai eu vingt ans, pendant mon service militaire que cela m’est apparu, en faisant une virée dans un sex-shop avec des collègues. Là, était bien en vue, des bracelets de cuir, des chaînes, des martinets et des fouets, ainsi que des revues et vidéos traitant de cela.

Pour moi, ce fut la révélation, cela avait un nom, Sadomasochisme (eh oui, on n’appelait cela pas encore BDSM) et je n’étais pas seul, d’autres hommes et femmes étaient comme moi. J’ai donc acheté des revues, pour me renseigner et en connaître un peu plus.

A mon retour du service national, je me suis donc mis à la recherche de celle qui allait devenir ma Maîtresse, mais ou la trouver?

Malgré mes recherches, je ne trouvais pas, pourtant à cette époque ou Internet n’existait pas, il y avait les revues et certains sex-shops qui avaient un panneau d’affichage.

Donc ma vie a pris un nouveau tournant, je me suis marié en ayant le secret espoir que celle que j’épousais, allait devenir ma Maîtresse, mais après lui avoir expliqué et tenté à maintes reprise de la convaincre, et m’être fait traiter de fou et de me faire soigner, j’ai mis mes envies en stand bye, achetant des revues et me masturbant dans les toilettes, par histoire interposé. Au bout de quatorze ans, madame a demandé le divorce et une fois seul, mes vieux démons m’ont repris, j’étais libre de pouvoir à nouveau reprendre mes recherches.

Grâce au minitel, j’ai trouvé un couple de ma ville dont la femme était dominatrice, la première rencontre, m’a coûté deux mille francs (ce n’étais pas encore les Euros), lors de ma première expérience, j’ai subi le martinet et la cire chaude, ma deuxième rencontre avec ce couple ne m’a coûté que la moitié de la première fois, mais là, j’ai appris à mes dépends qu’il arrivait que l’on paye pour des nèfles. Il n’y a jamais eu de troisième rencontre.

J’ai ensuite rencontré une autre femme, qui elle avait l’air de me comprendre, un mariage a suivi, son seul plaisir était de m’attacher et de me caresser, ce n’étais pas le top, mais mieux que rien, cela a duré un certain temps et j’ai repris ma liberté.

A nouveau seul, j’ai repris ma quête, j’ai rencontré une Domina vénale de Sète, petite ville à côté de chez moi, après quelques échanges de courriel, elle m’a reçu, là, j’ai subi ma première sodomie.

Je ne suis jamais retourné la voir, plus tard, j’ai rencontré Maîtresse Viviane, qui résidait à Lunel, une autre ville près de chez moi, c’était une maîtresse non vénale, avec laquelle, j’étais prêt à aller très loin, mais le destin en a voulu autrement.

Ma quête a donc continué et de temps à autre, je me permettais la folie de contacter une Maîtresse vénale, qui plombée mon compte en banque, mais qui me permettait de faire provision de rêves.

Il y a quelques années, j’ai rencontré le couple TSM, avec qui, j’ai vécue quelques expériences, ce qui m’a aussi permis de faire la connaissance d’autre couple, mais ma demande et la leur, ne sont pas des plus compatibles pour des raisons, qui leur sont personnelles, nous restons toutefois en contact pour des rencontres épisodiques.

Et très récemment, j'ai rencontré ma perle, qui m'a passée le collier le 23 Août 2014, je suis donc le soumis de Lady Dae, avec qui je vis maintenant depuis le mois de Mai 2015

Ma Maîtresse et moi-même recherchons des amitiés à construire parmi les véritables pratiquants avec qui nous partageons des plaisirs communs.Le pêché mignon de ma Maîtresse, la pratique des cordes... (shibari)Adepte du réel, nous ne cherchons pas d'amitiés virtuelles mais bien réelles, que ce soit au cours de munchs, de pic-nic, de sorties en club ou week-ends BDSM.Pour les Dominas, qui auraient besoin de lunettes, je suis le soumis de Lady Dae et j'en suis très heureux, je ne recherche donc pas une nouvelle Maîtresse, pas la peine de me demander en amis, si c'est pour essayer de prendre sa place.

Shibari / bondage, Contrainte (menottes, chaînes ...), Discipline (Fessée, fouet, cravache...), Enfermement (placard, cage, coffre...), Asservissement (valet, soubrette ...), Exhibition forcée, Suspension (harnais, cage ...), Brûlure (cire ...), Chasteté (cage/ceinture ...), Momification (cellophane, d'adhésif)

Hétéro