Olivier MaitreWa
Niveaux de SM
Niveau 1- Jeux à peine SM : fessées, pincements et mordillements légers.
Absence quasi totale d'instruments et de scénario.
Martinet soft.
Attaches légères.
• Niveau 2- Le SM léger : apparition des liens, des premiers instruments de flagellations, et éventuellement de pinces.
Petites contraintes.
Scénario possible mais souvent primaire.
Ordres, exhibitions, nudité, immobilité, décoration, objet sexuel, etc.
• Niveau 3- Le SM moyen ou classique : élaboration d'un scénario type : je suis le/la Maître/sse, tu es mon esclave et je te punis !
Utilisations systématiques d'instruments de flagellations, de pinces et d'attaches.
Apparitions de pratiques insolites comme orties, bougies.
Permanence du fétichisme.
Présence fréquente de tierces personnes.
Relations homosexuelles forcées (forced bi).
Humiliations légères, comme marcher à 4 pattes, etc.
Cire de bougie, jeux avec godes, jeux uro.
Douleur de niveau moyen, etc.
Niveau 4 : attaches pénibles (position inversée, sodomie forcée, Gorge profonde imposée, douleurs, cris, hurlements, supplications, ...) Usage des cravache, fouet, martinet, douleur de niveau plus
intense, .
Niveau 5- Le SM limite: aiguilles et donc sang, étouffements, strangulation contrôlée, électricité, marquage, scarification, vomissement, jeux fécaux appelés aussi "caviar" , branding, ...
Soyez la première personne à aimer.
Bonjour à tous, après avoir réussi a l'avoir au téléphone bien plus tard que prévue, j'ai réussi a la convaincre de me laisser venir la voir. Sauf que 24 h plus tard je reçois un magnifique gigantesque message, disant qu'elle ne veut pas être sauvé. Qu'elle ce battra pour pas que je l'aide, qu'elle veut glisser dans ses ténèbres sans être sur de s'en sortir. Qu'elle m'aime mais qu'une fois renfermer dans ses sentiements elle sera égoiste et qu'elle s'en foutra car elle est comme ça. qu'elle ne veut plus faire d'effort de ce battre (attention pas dans le sens sucuidaire non plus). Et a décidé de ne plus être mienne et elle a couper tout contact.
Bonne fin de week-end à vous! Résultat bien que vous le savez déjà :prennez soin de ceux qui sont proche et profiter du moment présent de vous rien n'est éternelle !
1 personne aime(nt) ça.
Merci beaucoup pour ce témoignage poignant, il y a en effet énormément de similitude et comme pour @SweetQueen Je vous remercie de cette proposition je vous fait la demande et on en parle en privé :)
1 personne aime(nt) ça.
Merci à tous pour votre retour !
@chocacer : Merci pour ces vidéo bienveillantes, le souci étant que la discussion est rarement possible. Mais l'ensemble des conseils est ce que j'aimerais pouvoir "forcer" lui donner. Juste la prendre dans mes bras, lui donner un appui physique. Et réussir à la sortir, juste se promener. Dans l'idée de l'utilisation de ma force était dans ce sens.
@SweetQueen Avec grand plaisir, je vais vous faire une demande d'ami pour cela.
@Silla @Michel11 Et j'en suis tout à fait d'accord et conscient de cela et c'est à cela que j'aspire, néanmoins, dans des situations aussi profondes, parfois laisser de l'espace est la solution à l'inverse de s'imposer. Certaines personnes en dépression, ne doivent justement pas se faire rentrer dedans, même par le prisme du BDSM. Et c'est là où je bloque. Dans le sens où je serais toujours là pour elle, que si elle a besoin de moi je lui là, je lui tends ma main constamment, mais constamment elle la refuse actuellement, mais maintient cette relation à demi-mot via ce petit rituel et autre. Pour cela que je suis, entre, je comprends tes "sous-entendus", tu es encore ma protégée, j'arrive, mais cela peut-être "dangereux" pour son mental car j'impose. Et "je te fais confiance, je t'aime, je te laisse l'espace, si tu as besoin de moi, je suis toujours là" Et, je pense qu'en disant cela, je rejoins @Good_girl (a vous de me dire si j'ai mal interprété votre message). Mais au final, je n'arrive pas à analyser si je dois forcer certaines portes ou non. Autant dans beaucoup de situations, je ne me poserais aucune question, je la connais parfaitement, autant aujourd'hui, je doute, car elle a atteint un cap que je n'avais jamais vue et je ne sais pas de quoi elle est actuellement capable contre elle-même. Et je ne parle pas de "elle met fin à notre relation" je parle vraiment d'une peur qu'elle s'auto-détruit physiquement aussi. Mais il est évident que je suis là pour elle quoiqu'il arrive.
3 personnes aiment ça.
Dépression et BDSM
Bien le bonjour ! Je viens à la recherche de réponse avec argument diverse et varié !
On est d'accord qu'une dépression ou fatigue émotionnelle profonde, ou autre pathologie et soucis de santé mentale doit être vue et suivis par des professionnelles.
Il s'avère ici que ma partenaire, suite à une relation longue distance à cause du boulot, une stresse du a son boulot et des soucis familiales l'a amené à une sorte de burn-out social et total. Elle ne parle a plus personne, moi compris. Je pense être clairement le seul qui reçoit un message de bonjour et de bonne nuit, qui est un rituel imposé dans notre relation depuis la mise à longue distance (longue distance qui est finie bientôt). Voilà le souci, je la connais, je sais qu'elle a besoin d'espace et de temps et je lui en donne, mais d'un autre côté, je sais aussi que si j'allais la voir, je sais que j'ai l'influence et le pouvoir de l'aider (hors BDSM, je parle de sentiment et d'humain.) a passer cette épreuve plus rapidement.
La question est tendancieuse et elle est pile entre la limite éthique, limite psychologique et limite de pouvoir (cadre BDSM). Dois-je utiliser "ce pouvoir" qu'elle m'a offert sur elle pour l'aider de force (pas de manière physique et violente, mais juste de ma présence et passer par des "ordres") ? Mais cela n'est pas très éthique et peut aussi créer l'effet inverse ?
Je sais qu'elle est toujours raccord à nous, a notre relation. Car bien qu'elle ne me parle pas ou peu suivant les jours, entre les bonjours et au revoir, j'ai réussi à la forcer à m'appeler ce jeudi sous forme d'ordre qu'elle n'a clairement pas refusé en disant "je n'ai pas envie, mais je suis forcé". Donc indirectement, malgré tout, elle reste ancrée dans cette relation BDSM. et je sais qu'elle lutte contre elle même pour maintenir ce rituel. Je sais qu'elle n'ira pas voir un professionnelle. Et je sais que même si elle m'avais déjà fait cette crise il y a des années avant que notre relation, aussi bien physique que BDSM ne ce forme réelement, elle n'avait jamais été aussi profonde. De part ce faite j'ai peur qu'elle s'auto-sabote et détruit ça propre vie sociale quitte a regretter plus tard.
Je en saurais vraiment exprimer tout le contexte et émotion, mais en gros, je pense qu'elle a besoin d'espace et le mieux serait de la laisser aller, mais si je la laisse aller j'ai l'impression de l'abandonner dans ces ténébre alors que j'ai toujours dit que je serais là pour elle et que juste lui dire "si tu as besoin de moi je suis là" De l'autre j'ai parfois l'impression qu'elle a besoin que je lui tende physiquement la main que j'aille allez la chercher. Et utilisé ma place qu'elle m'a offert de dominant pour l'utiliser à l'aider. Du coup, pour la première fois de ma vie, je doute, je suis entre, ethique, humain, bdsm, je vois flou, je ne sais pas si je dois m'imposser aller la voir et l'aider, car si je demande je sais qu'elle refusera. Je ne sais pas si je dois juste attendre et si elle tombe je le regretterais. Fin bref, plein de possibilité, besoin de votre vision!
Merci et bonne soirée!
5 personnes aiment ça.