Loukass

J'optais aussi pour le metalique. Bien que celle sur la photo reste trop grande 😅 j'ai un tio moineau au repos moi, il va s'échapper et ça va pas plaire a ma Dame. Mais j'avoue que je n'ai pas pensé à la brosse a dents. Enfin si... Mais enlevée. 

J'ai arrêté plusieurs fois. Parfois facilement, parfois très difficilement. Mais il y a un truc de notables que j'ai remarqué sur ma personne : ma libido explose quand je ne fume plus.  Toujours est il qu'aujourd'hui je suis dans une phase d'arrêt, mais cette fois ci j'ai décidé de passer par la vapoteuse plutôt que de choisir un arrêt brutal. J'estime donc que... Je fume encore. Même si j'ai baissé le dosage de 12 mg à 6 mg. Aujourd'hui la libido est en augmentation, mais là cigarette me fait quand même chier lors de nos séances avec ma dom. Je vais finir par m'ennuyer. Quel calvaire quand on veut lâcher prise.  Au départ je ne voulais pas mettre la cigarette dans nos jeux. Ma dom ne fumant pas. Mais récemment elle a fait un truc assez sympa alors que j'étais attaché depuis trois heures a attendre qu'elle daigne s'occuper de moi. Elle a pris ma e-cig et m'a laissé tirer dessus. Il y a eu une sensation de puissance venant d'elle qui m'a traversé le corps car je savais qu'elle pouvait me l'enlever quand elle le souhaitait. Ça lui a permis de me délaisser encore deux heures. Elle ne l'a pas fait en guise de punition ou en guise de récompense, juste parce qu'elle savait que j'allais demander une pause. Et depuis nous n'avons pas réitéré l'expérience, mais je réfléchis a savoir si ça pourrait ne pas être une piste dans un arrêt fait avec plaisir. Tout en m'octroyant de la nicotine, elle baisse de plus en plus mon dosage et se sers de ma soumission pour m'interdire de trop en prendre. Ceci dit ça peut être a double tranchant quand on lié plaisir et cigarette. Car oui... Comment réitérer ce sentiment sans retomber dedans une fois qu'on a réellement arrêté ? Il va falloir que je trouve un autre truc 🤔 mais j'ai encore le temps. J'ai aussi arrêté du jour au lendemain une fois, en repensant a une amie qui se disait tellement maso qu'elle aimait se fumer un paquet dans la soirée rien que pour ressentir le manque le lendemain et kiffer. Ça a été un arrêt assez plaisant.  Oui nous avons des sautes d'humeur quand on arrête, c'est indéniable. Mais c'est surtout l'état d'esprit que l'on met sur cet arrêt, la prise de conscience que les sautes sont due a la cigarette, et plein d'autres trucs qui nous aide a avancer vers un arrêt total.  En revanche je tiens a préciser. Une fois arrêté, ne te considère jamais comme un non fumeur, mais un ancien fumeur. J'ai arrêté plusieurs fois, et a chaque fois je me suis fait avoir comme un bleu : boarf ça va je maîtrise, c'est pas une qui va changer la donne. Putain... Me suis fait avoir 4 fois comme ça... Donc quand t'arrive a tenir sur le long terme : c'est niet, niet et encore niet, même 11 mois après la dernière cigarette. On est accro, et c'est a vie.

Le gel, c'est surtout une question de feeling. Certains l'aiment gras, d'autres liquide. Certains les préfère chauffant, d'autres neutre. Je rejoins sur le fait de faire attention au gel anesthésiant. et en dehors du côté douloureux qui n'arrive pas synonyme qu'il faut s'arrêter, ça enlève des sensations. Ce que je te conseille avant tout c'est de prendre soin de ton p'tit cul. Découvre le en solo avec des petits jouets. Laisse lui le temps de s'habituer, le fist ne se fait pas en un jour. Découvre ton confort. Perso y'a pas de sodomie chez moi sans lavement par exemple. Parce que non seulement je ne suis pas scat, mais aussi parce que ça m'inconforte physiquement. Ensuite niveau gel... Ça dépend. Majoritairement j'utilise du Fist standard de chez mister B, il est gras et chauffant (anesthésiant j'en sais rien, je ne crois pas). Mais quand je sors en milieu gay, certains lub son aussi sympa et pourtant plus liquide. On va dire que le meilleur des lub c'est l'excitation.  Et enfin : je jamais forcer. 

Effectivement, un médecin ne juge pas. Ou tout du moins s'il le fait : il faut changer. Mon médecin est parfaitement au courant de ma sexualité débridée, ainsi que celle de ma compagne. Cela permet d'accéder a des soins rapide en cas de pépin. Et... On en a eu des pépins... Deux fois la capote qui craque en pluralisme (une fois pour moi en tant que bi passif, une autre fois pour ma dame dans une pratique de cuckold) mais aussi pour diverses douleurs testiculaires tenaces après CBT 😅... Bref. Osez en parler au médecin autant qu'ici.

Déterrage de topic, mais sujet oblige. Pour commencer, veuillez excuser ma dyslexie, elle laisse passer pas mal de fautes. Et puis, je prendrai des fessées pour ça, voyez le pour la bonne cause. Je suis tombé sur l'article, car j'ai cette curiosité de castration. On peut dire que ça a éclairé ma lanterne et permis de prendre du recul pour savoir si c'était une envie ou un fantasme. Maintenant : ça restera dans ma tête, le simple fait que ce soit permanent me rebute. Et pour quelle utilité ? Si un temps soit peu ma compagne et dominae par la même occasion, veux bien faire cette pratique (et je peux être sur que c'est niet venant d'elle), je suis vasectomisé (j'y reviendrai) donc exit la stérilisation. Il ne reste que le fantasme d'une dominae castratrice dans ma tête. Et là, c'est maintenant le but de mon intervention, il y a d'autres moyens d'émasculer un homme. Rien qu'avec l'égo. Une petite séance de broyage de testicule pour lui remettre les idées en place, quelques semaines de cage de chasteté et un comportement misandre de la part de la dominae, et ça devrait calmer le sub. Chose qu'on pratique avec ma sublimissime maîtresse. Je pense qu'avant de se lancer dans une pratique qui, je ne vais pas revenir sur ce qui a été dit, n'est pas sans risques (santé legalité ect) il faut prendre beaucoup de recul que ce soit du côté du soumis que du dominant, et bien faire la part des choses entre fantasme et envie.   Pour ce qui est de ma vasectomie, on va parler un peu de dame castratrice, mais pas forcément de la manière la plus saine. J'avais commencé les rendez vous. 4 enfants, c'est suffisant. Mon ex, étant infirmière de bloc opératoire, m'avait proposé de le faire a son hôpital. A l'époque j'y voyais pas d'inconvénients, jusqu'au moment où je me rends compte qu'elle disait a tout mon entourage qu'elle allait me couper les couilles. J'ai fini par annuler le rendez vous. Aujourd'hui j'ai fini par le faire mais de manière volontaire, a une période de célibat. Cette ex était loin d'être une dominae. D'où le malaise.  Ce que je veux dire par là, c'est que suivant la situation, si on a pas l'esprit clair, on pourrait finir par regretter. Et ce n'est pas le but du BDSM a mes yeux. Le but étant, a mes yeux, de découvrir de nouvelles sensations, de se découvrir de nouvelles limites voir de les repousser. Mais toujours avec plaisir. Et pour aller vers une pratique aussi définitive que la castration, c'est qu'il faut être sacrément engagé l'un envers l'autre pour accepter. Et d'expériences : l'engagement n'est pas a l'épreuve du temps.