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VraiEsclavagiste

Homme Dominateur. Vit à Bretagne, France. 55 ans.
Extrait de son book
VraiEsclavagiste
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VraiEsclavagiste
Il faut toujours se méfier des poules ! On dit "quand les poules auront des dents"... Pourtant, j'en connais qui ont des dents... et c'est elles qui te plument !!!
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Azhara
Ahah, je suis assez tolérante avec l'orthographe mais je déteste l'écriture inclusive. Votre coup de gueule m'a fait sourire 1f642.png j'aime bien l'honnêteté je crois.
J'aime 19/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
@ Azhara Je remarque juste une chose: L'écriture dite inclusive, est en réalité plus exclusive qu'inclusive... Elle alourdit la visibilité et rend un texte illisible. Autant, oui, je peux aussi être tolérant sur l'orthographe, surtout sachant, comme dit que je peux en faire beaucoup, surtout en étant fatigué, autant je trouve, que, au delà, il y a un vrai problème: Comment demander à des gamins qui ont des difficultés à apprendre, comprendre un texte, à écrire correctement si on l'alourdit juste pour une raison idéologique???... En compliquant la lecture, elle exclue plus qu'elle n'inclue.... D'où, entre autre, mon coup de gueule... PS: je laisse la faute grossière se pause et non se pose volontairement...
J'aime 19/02/25 Edité
Game
Le truc c’est que lorsqu’on dit « des policiers », « des pompiers », « des modérateurs », « des dominateurs », « des soumis » « des cosmonautes »; notre esprit nous fait naturellement visualiser des groupes d’hommes (études scientifiques). Alors que lorsqu’on dit « des policiers et des policières », « des soumis et des soumises », notre esprit nous fait naturellement visualiser des groupes mixtes. Je comprends que cela soit un gros changement dans le mode d’écriture, mais le fait d’utiliser uniquement le masculin fait disparaître les femmes jusque dans notre psyché. Avec l’étude de ce phénomène l’intérêt de l’écriture inclusive apparaît évident. Lorsque je dis « À cette soirée il y avait principalement des dominateurs » cela créer une image chez la plupart des gens et n’est pas la même choses que de dire « A cette soirée il y avait principalement des personnes dominantes » (ecriture inclusive), l’image créée est différente. Que cela vous dérange est une chose, cela permet néanmoins de créer chez le lecteur une image plus précise de ce que l’on veut dire, libre à chacun de clarifier ou non son propos, chacun devrait être libre de ca. Pour les enfants la question se pose encore plus. Un enfant qui entend du masculin seul, visualisera du masculin seul, cela participe donc à la construction de son imaginaire d’une façon un peu modifiée et au désavantage des femmes.
J'aime 20/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
Non. C'est complètement faux. Peut-être à la jeune générations biberonnés à cette connerie d'écriture dite inclusive... Mais soit! prenons l'exemple donné: À cette soirée il y avait principalement des dominateurs » cela n’est pas la même choses que de dire « A cette soirée il y avait principalement des personnes dominantes. Encore là, cela peut me convenir dans cet esprit.. Mais avouez que c'est autre chose que : À cette soirée il y avait principalement des dominateurs-trices... Ce qui est totalement différent !!!! Encore une fois ! Déjà, apprendre à un gamin à lire n'est pas chose facile.... Alors, si on rajoute cette connerie d'écriture dite inclusive, comment voulez vous lui apprendre correctement à lire, à comprendre un texte???? Vous voulez des études scientifique allant dans mon sens? Je peux vous en donner ! Mais le problème? Nous arrivons à un tel point que nous ne pouvons même plus faire confiance aux études scientifiques, beaucoup n'étant même plus neutre, mais, par un délire idéologique orientée... Et le pire??? C'est que je peux aussi vous donner des études scientifiques le prouvant !!!!
J'aime 20/02/25
Game
Je comprends que cette forme de l’écriture inclusive ne vous semble pas la plus agréable, l’histoire de l’écriture inclusive est longue. Et peut être trouverons nous quelque chose de mieux. Avant on mettait des e entre parenthèses, ou on peut allonger les phrases en mettant des mots en plus. Le langage est quelque chose de mouvant. (Il est modifié notamment pour en faciliter l’apprentissage) Peut être que cette forme n’est pas la plus adaptée. Mais il n’empêche que l’écriture inclusive répond à ce problème de représentation psychique, qui est un vrai problème dans une société égalitaire. Si on entend du masculin on a tendance à se représenter du masculin (quoi de plus naturel?) Surtout chez les enfants qui ont encore moins de capacité d’abstraction que nous. Ce n’est pas très juste donc, pour les femmes, de tout masculiniser car cela les invisibilise. Je vous fait confiance concernant les études sur l’apprentissage de l’écriture inclusive. Mais que préfère t’on? Une société plus égalitaire, et plus juste? Ou une société ou l’apprentissage de la lecture est facile ? Qu’est-ce que je dis de faux?
J'aime 20/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
ce qu'il y a de faux dans la réponse? quand on parle de policiers par exemple, il s'agit bien aussi de policières.... C'est juste du français !!!! Mais allons plus loin ! puisque nous entrons dans le débat ! Une sage-femme... Est ce que cela veut dire que cette femme est sage? Il existe aussi des hommes sage-femme.... Pourquoi ne pas alors les appeler sage-hommes? Mais allons plus loin ! Par exemple :une pharmacienne (la femme du pharmacien) est différent d'une femme pharmacien ! (titre!).. Il en est de même pour madame LE maire, LE président, car étant là des titres et non le femme de... À vouloir à tout prix "inclure" nous en oublions le sens exact et nous en arrivons à une raréfactions et un appauvrissement du langage, oubliant qu'il y a une différence entre possible et plausible... et, là où l'on trouve de la richesse dans d'autre apport, on en oublie les subtilités de la langues pour être inclusif... Par exemple??? je "kiff"...or, il existe dans la langue française des tas de mots pour exprimer la chose... La langue qu'elle soit française ou non, ou, pour mieux dire, le langage est une chose extraordinaire ! Cela permet de faire passé un message, avec toutes les nuances qui soit ! Or, au lieu de complexifié la chose, on préfère l'appauvrir pour être inclusif !!! Quitte à en perdre toutes les nuances et ne plus pouvoir nous comprendre!!!! Autant, je peux comprendre qu'un étranger ne puisse, par sa culture, son apprentissage, ne pas avoir toutes les subtilités... Mais est-ce alors à nous de réduire la voilure ou à lui de redoubler d'effort pour se mettre à niveau, et alors, nous enrichir de ses subtilités? Là aussi, je vais prendre un ace particulier.. En français, il n'existe pas de terme pour indiquer, le moment où l'on est entre le sommeil profond et le sommeil léger... Or, en japonais, il existe un terme pour ("outatané" juste transcrit phonétiquement) Et là, autant j'ai du respect et essaie de me mettre à niveau pour un étranger qui me dit franchement; je ne comprends pas la chose, autant, je n'ai aucune à trouver pour un Français qui s'appauvrit dans la communication... Mais là, on prends juste un mot pour résumer la chose "je kiffe"... sans considération du degré....(un peu? beaucoup? passionnément? à la folie?) None. Je kiffe.. comme on "kiffe" un gâteau, une personne.. Mais ça fait "in" que de dire ce mot ! On démontre alors que l'on a "l'esprit ouvert", que l'on n'est pas n vieux con !!! Cool !!! Mais nous nous éloignons là du sujet de l'écriture dite inclusive, alors qu'elle exclue plus qu'elle n'inclue... Et je reviens à mon exemple précédent: avouez qu'il est autre chose de dire des personnes dominantes que des dominateurs.trices, ce qui complique non seulement la lecture, mais aussi l'apprentissage pour les enfants... C'est juste cela mon coup de gueule !!! Et je refais un édit puisque l'exemple a été donné avec le mot « des cosmonautes »; Pourriez-vous, sans rechercher sur internet me donner la différence entre "cosmonautes", "astronautes", et "spationautes"??? auquel ont peut même rajouter un terme... Pourtant, il y a une différence se cachant derrière !!!! Et je dis bien: sans regarder su internet ! Cette différence, je peux vous la donner, sans même regarder sur internet... Cela fait peut-être une grande différence... Car je n'en est rien à foutre du coté inclusif... mais le sens des mots m'importe plus que de vouloir inclure à tout prix alors que le mot se suffit à lui même....
J'aime 20/02/25 Edité
errance
Bonjour " Vraiesclaviste" . Si l'état de fait peut vous consoler nous sommes deux à accéder au rang de facho , vieux cons, et autres noms d'oiseaux.. Je suis de la vieille école c'est a dire fin de l'écriture à la plume et découverte de la pointe bille et ai aussi dans ma jeunesse eu a parcourir les pages de ce fameux livre que l'on nomme un dictionnaire mais aussi d'un autre très utile que l'on nomme le Bécherel . Le temps efface les traces du siècles des lumières . Je n'ai nullement la prétention d'être ni de revendiquer le terme de littéraire mais il me plait de pouvoir aligner le mots et former des phrases ou ne subsiste aucune faute de mon modeste orthographe.
J'aime 20/02/25
errance
Que vous soyez fier comme un coq Fort comme un bœuf Têtu comme un âne Malin comme un singe Ou simplement un chaud lapin Vous êtes tous, un jour ou l'autre Devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche Vous arrivez à votre premier rendez-vous Fier comme un paon Et frais comme un gardon Et là ... Pas un chat ! Vous faites le pied de grue Vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin Il y a anguille sous roche Et pourtant le bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard La tête de linotte avec qui vous êtes copain comme cochon Vous l'a certifié Cette poule a du chien Une vraie panthère ! C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour Mais tout de même, elle vous traite comme un chien Vous êtes prêt à gueuler comme un putois Quand finalement la fine mouche arrive Bon, vous vous dites que dix minutes de retard Il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard Sauf que la fameuse souris Malgré son cou de cygne et sa crinière de lion Est en fait aussi plate qu'une limande Myope comme une taupe Elle souffle comme un phoque Et rit comme une baleine Une vraie peau de vache, quoi ! Et vous, vous êtes fait comme un rat Vous roulez des yeux de merlan frit Vous êtes rouge comme une écrevisse Mais vous restez muet comme une carpe Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez Mais vous sautez du coq à l'âne Et finissez par noyer le poisson Vous avez le cafard L'envie vous prend de pleurer comme un veau (ou de verser des larmes de crocodile, c'est selon) Vous finissez par prendre le taureau par les cornes Et vous inventer une fièvre de cheval Qui vous permet de filer comme un lièvre C'est pas que vous êtes une poule mouillée Vous ne voulez pas être le dindon de la farce Vous avez beau être doux comme un agneau Sous vos airs d'ours mal léché Faut pas vous prendre pour un pigeon Car vous pourriez devenir le loup dans la bergerie Et puis, ç'aurait servi à quoi De se regarder comme des chiens de faïence Après tout, revenons à nos moutons Vous avez maintenant une faim de loup L'envie de dormir comme un loir Et surtout vous avez d'autres chats à fouetter.
J'aime 20/02/25
errance
Jean D'Omesson
J'aime 20/02/25
sylvie35
C'est un sujet sur lequel il est difficile d'avoir un débat serein puisque la connotation militante y est extrême. L'écriture inclusive est très moche (qui trouve que "d’affreu·x·se·s pon·ette·ey·s" est de la belle écriture?). C'est difficile à lire, et encore plus difficile à écrire en respectant correctement toutes les règles. Par exemple, comment dois-je écrire "les hommes et les femmes sont égaux": "les hommes et les femmes sont éga·les·ux", ou bien, dois-je appliquer l'accord de proximité et écrire "les hommes et les femmes sont égales" ? Je ne sais pas. Les spécialistes me le diront. Il est donc peu probable que cette écriture perdure: moche, complexe, illisible... On voit bien que les gens ne se l'approprient pas, hormis dans quelques cercles bobos. Elle semble donc vouée à disparaître dès que la pression militante faiblira. Il en restera sans doute quelques traces (car il y a une différence entre l'écriture inclusive complète et son usage ponctuel pour lever une ambigüité). Ceci étant, il est des cas où, comme le dit Game, même si on connaît la règle, notre esprit visualise spontanément le masculin (il n'y a même pas besoin d'étude "scientifique": chacun peut s'en rendre compte en se demandant ce qu'il visualise spontanément). Si j'écris "Blablabla. Qu'en pensent les soumis?" à mon avis il y aura peu de soumises qui me répondront car peu de personnes vont penser que je m'adresse à la fois aux soumises et aux soumis, même si c'était mon intention. J'ai souvent rencontré des cas où je voyais bien que mon propos serait mal compris si je ne précisais pas, d'une manière ou d'une autre, qu'il s'adresse aussi aux femmes, et j'ai donc rajouté un "e" entre parenthèses, ou un "-trice", ou quelque chose dans le genre, car l'objectif premier quand on écrit est quand même d'être compris! Une langue vivante est faite pour évoluer en phase avec l'évolution de la société. Reste à trouver des évolutions esthétiques, simples et logiques - ça manque de propositions dans ce domaine. Resterait également à se débarrasser de l'aspect militant qui pollue le sujet et bloque probablement des évolutions utiles, simples et naturelles, que tout le monde pourrait s'approprier. Concernant les noms de métiers, il ne faut pas oublier qu'ils datent pour beaucoup d'une époque où peu de femmes avaient une activité professionnelle - elles étaient donc sous-représentées. La féminisation de certains noms de métiers est plutôt une bonne chose - personnellement je préfère que l'on dise "ingénieure", "auteure", ..., quand il s'agit d'une femme. L'une des raisons qui fait qu'il y a proportionnellement très peu de filles qui s'orientent vers les métiers d'ingénieurs et les sciences dites "dures" est le manque de modèles (si on vous demande de citer des scientifiques célèbres, vous aurez beaucoup de difficultés à citer plus de 2 ou 3 noms de femmes). Inconsciemment, cela joue et conditionne l'esprit dès le plus jeune âge. Dans le même ordre d'idée, il n'est pas impossible que l'usage de noms de métiers masculins crée un pré-conditionnement dommageable (c'est quand même ballot de se passer de la moité des cerveaux de l'humanité 1f602.png).
J'aime 20/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
@ sylvie35, Je comprends, lis les arguments... Qui sont bons en soit, je peux le concevoir... Cependant... Il existera toujours des exceptions, mais dans l'ensemble, certains métiers sont "genrés" par nature.... Je peux parfaitement reconnaître qu'une femme puisse être plus forte que moi (tant physiquement que mentalement). Mais dans l'ensemble, un homme, physiquement parlant est plus fort... Alors question: pourquoi si nous parlons d'égalité et d'inclusion, certains métiers (pompiers, militaire, et autres, demandent des critères moins fort pour les femmes (nombre de pompes par exemple?) Je ne dis pas, (et loin de là !) qu'une femme, ne peut y arriver ! j'irai même plus loin: dans certains cas, je suis loin de pouvoir suivre certaines... Mais reprenons juste le cas, puisqu'il s'agit là de questions sémantique, le cas de "sage-femme"... Doit-on alors appeler un homme pratiquant ce métier un sage-homme? Surtout sachant que, suivant le planning familiale, un homme peut accoucher? Certains nom de métiers distingue, le titre et la femme de celui qui porte le titre... Ainsi, pharmacien, maire, président... Et là, madame LE président (celle qui préside) et différent de madame LA présidente, la femme du président... Est-ce que cela enlève au fait qu'une femme peut être président? non. Est-ce que cela crée une différence de nuance sur la fonction? oui.... Mais oui, une langue est une chose extraordinaire, car elle est un vecteur permettant de faire passer une pensée... Elle doit donc aussi évoluer avec l'époque... Mais, nous en sommes à un point où la langue actuellement, non pas se complexifie, mais au contraire, se simplifie avec toutes les pertes de nuances que peut amener les mots... Et cette simplification passe aussi par le fait d'alourdir la lecture avec cette foutue écriture dite inclusive rendant les textes illisibles... Mais quelle belle chose que le langage permettant de mettre en mot sa pensée !
J'aime 20/02/25 Edité
Maître Devil
@vraiesclavagiste, @ errance, permettez moi de vous rejoindre dans le clan des vieux cons fachos qui aiment notre langue française grâce à laquelle nous nous sommes compris pendant des siècles ( avec bien sur une évolution dans le temps non contestable) . Il est clairement hors de question pour moi de me plier en quoi que ce soit aux délires militants de quelques agités du bocal en utilisant la moindre parcelle de leur langage inclusif, je considère que ceux qui me lisent disposent d'une intelligence suffisante pour me comprendre et si ce n'est pas le cas qu'ils ne me lisent plus !! L'égalité entre les sexes doit être dans notre mode de vie avant tout, je connais bien des faux-culs qui pensent briller en utilisant le langage inclusif mais qui dans leur vie de tous les jours sont bien loin de pratiquer cette égalité. Malheureusement nous sommes dans une société ou l'apparence compte bien plus que le fond, alors tant pis pour les apparences, je préférerai toujours le fond et ceux qui le comprennent. Pour les autres, comme le disait le JC ( Jacques Chirac pas Jésus Christ) ce qu'ils pensent m'en touche une sans me faire bouger l'autre. Bon dimanche à tous
J'aime 23/02/25 Edité
Azhara
Mhhh... Je trouve intéressant de noter que pour les sages-femmes hommes on parle souvent de maïeuticien. Or pour les maitres-nageurs femmes (j'ai bien essayé de trouver une féminisation sûre d'après des sources fiables mais c'est compliqué...), ou les écrivains ou les ingénieurs, les femmes ne semblent pas perturbées par le fait qu'on oublie souvent de féminiser le nom de leurs fonctions. Il me semble. (Enfin tout du moins c'est ce que je pense moi, sourire) C'est un peu comme si les hommes ne pouvaient pas être assimilés à un nom de métier féminin, alors que les femmes se moqueraient d'être assimilées à un nom masculin... Conditionnement ancestrale ? Le combat est ailleurs ? Un peu des deux ? 1f609.png Un autre point me dérange un peu dans les féminisations ou non, avec le terme de maître notamment. Il me semble (mais je ne retrouve pas le lien lu il y a quelques temps) que l'académie française s'accorde sur le fait que le terme " maître " ne devrait pas être féminisée. Donc on ne dira jamais " Maîtresse l'avocate ou maîtresse-nageurs ni maîtresse-nageuse." J'ai du mal à comprendre pour quelles raisons le terme maître (exceptée maîtresse d'école) ne pourrait pas être féminisé. (Bon en vrai ça m'arrange, je ne tiens pas du tout à être appelée " maîtresse " moi^^) Et d'un point de vue de la définition pure je suis plus proche de la maîtresse pour nageurs (maîtresse-nageurs) que de la maître qui nage (maître-nageuse.) Bref ça me paraît super compliqué ! Pourquoi s'accorder sur auteurE et pas autrice sachant qu'on dit directeur/directrice ? Je trouve vraiment ça compliqué ! (Ah et on a les mêmes pré-requis et temps à effectuer qu'on soit un homme ou une femme dans le métier de MNS au passage.) Pour moi soit on féminise tout soit on ne féminise rien, ça me paraîtrait plus logique. Mais bon le charme de la langue française c'est aussi toutes ses exceptions, c'est ça ? 1f642.png
J'aime 23/02/25 Edité
Game
Sage femme ça veut dire personne connaissant le corps des femmes. C’est pour ca. Et du coup je trouve cela un peu contre son camp comme argument.
J'aime 24/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
@ Game Oui et non.. je m'explique. Le langage est une chose fantastique qui permet de faire passer un message. L'écrit, juste avec 26 lettres pour l'alphabet français permets de mettre les mots par écrits. Vous me lisez, que vous soyez d'accord ou pas avec moi, vous arrivez à lire ce que je pense exprimer. Avec une différence prêt, c'est que entre ce que je veux dire, que ce que je pense dire, ce que vous voulez comprendre, ce que vous comprenez , 70 % passe à la trappe... Si dans le langage "face à face", il y a en plus le langage corporel qui est inconscient, le langage écrit, lui, permet au contraire, quand il est réfléchit, de peser ses mots, d'essayer de préciser sa pensée... Mais nous nous éloignons me direz-vous... Pourtant, un.une lecteur.trice voir des lecteurtrices sera.seront content.s.e.es.d’apprendre la signification du mot sage-femme. Car tel était aussi le fond de la boite de Pandore que j'ai ouvert... 3/4 des élèves de 3éme, à l'heure actuelle ne comprennent pas un texte simple. Ce n'est pas moi qui le dit... Alors pourquoi compliquer les textes comme avec la phrase que je viens de dire en inclusif? Et rendre un message simple, clair, illisible? Derrière, il y a aussi une idéologie visant aussi à "genrer" les noms. Je ne plaisante nullement avec le mot sage-femme ! La question a été posée, et non pas avec le terme ci-dessus donné par Azhara et proposé par l'Académie Française... Mais justement, par des ignorants voulant tout révolutionner avec une idéologie inclusive... Or, les élèves de 3éme, biberonnées avec cette idéologie, deviennent rapidement des adultes... Et l'idéologie priment pour eux que le bon sens du mot, la signification du mot... Avec toutes les dérives qui vont avec... dont celle-là.. Et, pour terminer cette diatribe (ou leucorrhée verbale pour certains), le terme sage-femme a été longtemps en compétition avec le terme sage-"mère". Personnellement, c'est en faisant de la généalogie que je me suis penché sur ce métier, une de mes ancêtres ayant été une des premières à avoir la formation d' Angélique du Coudray et de sa "machine" afin de passer de simple "matrone" à sage-femme... Tandis que son mari..était croque-mort ! La boucle était bouclée....
J'aime 24/02/25 Edité
Laquaisdesbrumes
VraiEsclavagiste Au risque de vous heurter, je dois avouer que ce n'est pas la féminisation des noms de métiers qui me choque le plus .. Rappelons ici qu'un nouveau mot doit encore passer dans le langage courant, dans "l'usage" pour passer ensuite dans le dictionnaire et parfois inversement. > Smart, bachot, zazou sont passés de mode depuis pas mal d'années . En revanche sonal (= jingle) n'a jamais pris. L'usage commande...Peut-on imposer un usage ? Les combats lexicaux suivent les combats de leur époque. "Gaucho" a disparu, "prolétaire " n'est plus vraiment employé à tout bout de champ, le marxisme s'éloigne... Le combat actuel se porte donc sur le genre. Qu'en restera-t-il quand ce combat sera retombé et quand retombera-t-il ? Il y a un effet de distinction pour certains. Quand la plupart des français disaient :" le covid", il est apparu peu après un changement de genre avec "la covid ".Et j'ai eu l'impression que l'emploi du féminin était un moyen pour certains de se distinguer du troupeau qui usait encore, pauvres ignares que nous autres!, du masculin. Certains et surtout certaines militent pour une plus grande représentation et visibilité des femmes . Il convient de remarquer que certaines femmes tiennent au masculin de leur métier. Il est vrai que la féminisation de certaines professions passe mal . ( Maîtresse-nageuse ne me choque pas mais il renvoie à l'école et aux signifiants de " maîtresse" qui parasitent le signifiant professionnel visé... La féminisation procède souvent au cas par cas, selon l'acceptation par le milieu professionnel ....et surtout l'usage !) L'euphonie s'invite dans la question. Je ne suis pas sûr que: "proviseuse" plairait beaucoup.) Là où j'hurle le plus, c'est le "iel "... qui ne prend pas, heureusement. Si j'en parle c'est qu'il est intéressant d'aller voir comment à certaines époques et sous certains régimes, on a voulu changer le langage pour des raisons idéologiques. A la Révolution , sous le Nazisme, pour paraître moderne durant les Trente Glorieuses, l'abus d'anglicismes dans le management ... C'est parfois assez drôle ... comme sous le Fascisme en Italie : L'Italie fasciste a voulu supprimer sa forme de politesse "Lei" qui correspond à "elle" ( = notre seigneurie) , un féminin insupportable et de plus inspiré de l'espagnol ( de l'étranger!) . - Réforme, décret, interdiction, et recommandation du "tu".... mais problème : Il n'est pas question de tutoyer son supérieur ! Dans l'armée et l'administration, c'est un festival de cas de conscience ... et de contorsions langagières. Les autorités proposent alors d'user du " voi" ( vous pluriel) comme formule de politesse. Certains mauvais esprits rebaptisèrent alors Galilei ( en français Galilée ) en "Galivoi ", ce qui eut pour effet de fâcher le Duce qui s'emporta contre ses "plaisanteries crétines". [ Les milieux militants d'aujourd'hui, tout comme les extrémistes - et il est des féministes radicales ! - sont d'ailleurs plutôt hermétiques à l'humour...] - Le magazine LEI, le magazine ELLE italien de l'époque fasciste fut donc sommé de changer son titre ! Les journalistes eurent beau expliquer que ce LEI correspondait bien à "elle" puisque leur magazine était destiné aux femmes, les autorités restèrent inflexibles. Le magazine dut désormais s'appeler ANNABELLA. Quant à l'influence des genres sur le machisme ou contribuant une plus grande égalité h /f , rappelons qu'il n'existe pas de genres ni en persan : la langue iranienne ( pays où les droits de la femme sont exemplaires...) ni en Turc, ni en Dari : la langue afghane ( paradis des femmes comme chacun sait hélas.) ! Le volontarisme militant pour modifier la langue et s'attaquer aux genres des mots n'échoue pas à chaque fois mais les diktats militants et les accusations de réac et d'indécrottable mâle dominant aussitôt que l'on ose tiquer ou plaisanter me font sourire. Beaucoup de réformes de la langue ont échoué complètement ou partiellement.
J'aime 27/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
@ Laquaisdesbrumes Mais je ne suis nullement heurté ! Bien au contraire! j'ai même beaucoup appris à la lecture de cette réponse !!!! Mais c'est bien ce que je disais sur ma réponse précédente! Peut-être me suis-je mal exprimé, car entre ce que je pense dire, etc... Je n'ai ABSOLUMENT rien contre sur la féminisation d'un nom de métiers quand elle suit la société. Par exemple: institutrice. Pendant longtemps,il n'y a eu que des hommes instituteurs. Là, je n'ai absolument rien contre. Bien qu'étant un titre, pourquoi, ne pas préciser femme instituteur... car.. pourquoi ne pas appeler alors "Maîtresse" les avocates? Mais là où cela me gène, c'est quand une idéologie derrière essaie de tout chambouler (exemple avec l'écriture dite inclusive -car n'oublions pas que c’était avant tout le fond du sujet-, qui complique la lecture et donc exclue plus qu'elle n'inclue, le "iel", ou, pour reprendre l'exemple de sage-femme (il suffit de faire une recherche pour se rendre compte que le sujet à réellement été lancé!!!), quand des ignares mais de bons lavés du cerveaux, sans tenir compte de l'origine des mots mais avec une bonne idéologie chevillée au corps, veulent revoir les choses... au détriment du bon sens! Oui, effectivement, une langue évolue. Et se doit d'évoluer... Pour être honnête, je regrette certaines évolutions de langage, comme la perte de différenciation entre amoureux (celui qui aime sans être aimer en retour) et amant (celui qui aime et est aimé en retour), le mot amant ayant pris un autre sens... Mais ainsi va la langue.... Cependant, ce qui me gène le plus, c'est quand, alors que malgré les interdictions de cette foutue écriture inclusive, des journaux, des écrits universitaires, jusqu’à des administrations continuent à nous les imposer... quittent à exclure ceux qui ne comprennent même pas un texte simple... Or, cela commence comme cela... Et c'est justement aussi, grâce à quelques vieux cons comme moi et nos coups de gueules que certaines dérives s'arrêtent... Mais je suis tout aussi content quand celles-ci adviennent! Par exemple; pédophile qui commence à être de plus en plus remplacé par pédocriminel. En effet, la "philie" ne veut pas dire une déviance sexuelle. car que dire alors des aquariophile? Qu'ils ne se tapent que des aquariums? Ou des anglophiles? qu'ils ne se tapent que des anglais (bon, d'accord! dans ce dernier cas, cela peut-être discuté, et convenons-en, alors, c'est une véritable déviance !)
J'aime 01/03/25 Edité
Laquaisdesbrumes
L'Anglais, la " perfide Albion", reste " l'ennemi héréditaire" de Crécy à Mers-El-Kébir en passant par la perte des comptoirs de l'Inde. Une déviance indubitable, ...homosexualité coupable que même Edith Cresson avait stigmatisée en son temps, c'est tout dire !. Rires
J'aime 28/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
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Soyez la première personne à aimer.
maitreleon
J'ai obtenu le 15 et en partie le 16, en tant que dominant je n'en etais pas plus heureux, la soumise l'était !!
J'aime 19/02/25
VraiEsclavagiste
@ maitreleon Cela fera parti d'un de mes prochains "article" .... La "psychologie" de l'esclave.... disons plutôt, une tentative d'explication, qui, pourtant, pourtant.... à son importance! Car ne pas le comprendre est passer à coté d'un point essentiel!!!! Du moins, de mon point de vue qui peut être discutable, je l'avoue fort volontiers !!! (j'y vends -t -y pas bien la chose??? crévindiou! ) PS: je suis allé voir la fiche de profil... J'ai beaucoup aimé le : "Ben non pas de retour, il me semble que vous devriez voir un psy" 1f602.png1f602.png1f602.png Excellent !!!!
J'aime 19/02/25 Edité
maitreleon
Merci
J'aime 19/02/25
VraiEsclavagiste
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VraiEsclavagiste
la légende de la photo : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » Citation d'Étienne de La Boétie (1530 – 1563) dans « Discours de la servitude volontaire ou le Contr'un »
J'aime 17/02/25
VraiEsclavagiste
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Construire une vraie relation gynarchique au fil du temps, voilà ma recherche. Si vous voulez du virtuel, de la vulgarité, vous faire entretenir ou héberger, ou tout simplement fantasmer, passez votre chemin car je n'ai pas de temps à gaspiller MAITRESSE MARIELLE .:.
VraiEsclavagiste
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VraiEsclavagiste
Notes. Bien qu'ayant lu le bandeau jaune d'avertissement, je mets aussi ce article qui m'est personnel sur un autre site. Cet article m'étant personnel, je considère que j'en dispose comme je l'entends, du moment que ce n'est pas un copié collé pillé ailleurs.
J'aime 15/02/25
sylvie35
Très pédagogique: bien structuré avec des exemple. J'aime. C'est une bonne base de départ, que chacun peut adapter à son cas particulier.
J'aime 15/02/25
VraiEsclavagiste
@ sylvie35. Merci ! Venant de toi, cela me touche...
J'aime 15/02/25
HCL
Moué... pour ma part c'est "bullshit". Pourquoi ? Bien tout simplement parce que vous mettez dans un sac tous les exemples donnés de vos 3 contextes, vous secouez très fort, vous les jetez sur la table, et hop tous peuvent aller dans les 3 contextes sans différentiation. Je vais vous montrer : 1-Toujours saluer le Dominant en l’appelant « Maître » ou « Madame ». -> Protocole 1-Une règle de ponctualité stricte pour un retour à la maison-> règle de vie. Les deux peuvent être des règles de vie. Parce que dire bonjour, merci etc c'est ce que l'on apprend très tôt dans l’éducation des enfants que ce sont des règles de vie en société. Il en va de même pour bien des exemples qui sont interchangeables d'un chapitre à l'autre. Donc pour si c'est interchangeable c'est que cela n'a pas de sens. Vous ne faites qu'un tri de ce qui pourrait simplement s'appeler "règle", "désirs", "ordres" au sein d'une relation. D'autant que pour chaque relation il n'est pas forcement présence de ces 3 choses là. Votre texte ne représente que votre vision, il est dommage de le présenter comme une chose universelle qu'elle n'est pas et de loin ! Pour mémoire BDSM est un acronyme qui représente tant de pratiques différentes, que ce que vous décrivez là est au mieux du ds. Il en reste pas moins le BD et le SM. PS : Je n'irai pas plus loin sur cet article ayant donné mon point de vue, et n ayant pas envie de débat stérile.
J'aime 16/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
@ HCL J'aime beaucoup le : "et n ayant pas envie de débat stérile." Si si ! 1f602.png1f602.png1f602.png Monsieur devrait essayé une carrière dans le comique: sur les plateau télé il ferait merveille surtout au Quotidien
J'aime 16/02/25
HCL
voila la belle illustration du pourquoi de ma remarque... Bravo pour vos arguments !
J'aime 16/02/25
VraiEsclavagiste
Des arguments, j'en aurais eu, nous aurions pu avoir un échange constructif. Mais quand un type termine son commentaire avec juste la dernière phrase, je me demande alors pourquoi il commente un article, quand, visiblement il n'a pas compris le fond de l'article.. Et oui cela me donne envie de lui répondre sur ce ton... il suffit juste de lire la dernière phrase pour comprendre le pourquoi de la chose. Sujet clos. Chacun jugera...
J'aime 16/02/25
VraiEsclavagiste
J'avoue ne pas comprendre encore toutes les subtilités du site... Alors, suite à une proposition, je mets ici l'exercice de style proposé par Cheribibi afin d'en garder une trace pour moi, sur mon mur perso... Egoiste que je suis ! L'exercice de style proposé est le suivant: "Hymne à la chatte à la mode Edmond Rostand". Alors, sans autres préambules: Ah ! non ! c’est un peu court, cher ami ! On pouvait dire… Oh ! Dieu !… tant de choses, ici ! En variant le ton, — par exemple, tenez : Naïf : « Qu’est-ce donc, cette chatte, un mystère, en vérité, Je l’avais crue, hélas, la compagne du félin, en toute naïveté ! » Curieux : « Dites-moi, quand vous mettez ce tampax, La chatte joue-t-elle avec la ficelle, comme un petit relax ? » Coquet : « Mais n’y manque-t-il point un bijou, un ornement, Pour parer cette beauté, la rendre éclatante, assurément ? » Pédant : « Sachez qu’il existe mille manières de l’utiliser, Que diriez-vous de la toupie tonkinoise, pour l’amuser ? » Sadique : « Peut-elle supporter cent coups de ceinture, Sans fléchir, sans ciller, dans cette épreuve si dure ? » Horticole : « Ne serait-elle pas un pot de fleurs charmant, Un écrin pour la nature, un abri pour le vent ? » Interrogatif : « Un aveugle, en passant, ne pourrait-il se méprendre, Et croire, en son chemin, qu’il est dans une poissonnerie à défendre ? » Scientifique : « Pourquoi dire que c’est une moule, alors que c’est une chatte, Un paradoxe, un mystère, que la raison abatte ? » Sportive : « Et quand vous faites le grand écart, n’est-ce pas un peu trop, Une ventouse de l’air qui vous saisit, comme un flot ? » Dramatique : « C’est un abîme de mystères, quand elle se dévoile, Un océan de secrets, une mer sans voile ! » Admiratif : « Pour un jardinier, quelle merveille, quelle beauté ! Cette chatte, en vérité, est un trésor à contempler ! » Lyrique : « Est-ce une muse, êtes-vous un poète en quête d’inspiration ? Ou bien un simple rêveur, perdu dans l’admiration ? » Respectueux : « Souffrez, madame, qu’on vous salue, C’est là ce qui s’appelle avoir grâce et vertu ! » Campagnard : « Hé, parbleu ! C’est-y une chatte ? Non, mais quel animal ! C’est un melon géant ou bien un navet colossal ! » Militaire : « En ligne, mes amis, préparez-vous à l’assaut ! Cette chatte, en vérité, est un vrai cadeau ! » Pratique : « Voulez-vous la mettre en loterie, cette beauté ? Assurément, mes amis, ce sera le gros lot, à parier ! » Enfin, parodiant Pyrame en un sanglot : La voilà donc, cette chatte, un secret, un écho, Qui, des âmes égarées, a fait un doux désordre, Elle enflamme les esprits, et les cœurs, elle les mord Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit, Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit : Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres, Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot ! Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries, Me servir toutes ces folles plaisanteries, Que vous n’en eussiez pas articulé le quart De la moitié du commencement d’une, car Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
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VraiEsclavagiste
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ZarathoustraDom
Désolé de vous contredire, mais puisque vous faites appel à l'histoire, les révoltes d'esclaves contre l'ordre établi (antique, féodal, religieux, colonial...) sont nombreuses. A titre d'exemples (liste non exhaustive) : - les trois "guerres serviles" de la Rome antique (dont Spartacus est le représentant le plus célèbre) ; - la colonie libre de Gaspar Yanga vers 1570 près de Veracruz au Mexique ; - les nombreuses révoltes aux Etats-Unis d'esclaves noirs (New-York 1712 et 1741, New Orleans 1811...) ou amérindiens (guerre séminole de 1835-1838...) ; - la cérémonie du Bois Caïman à Haïti en 1791, qui ouvre la voie à l'indépendance de ce pays ; - la célèbre mutinerie du Bounty en 1789, en révolte contre le comportement esclavagiste de leur capitaine... ; - d'une façon générale, toutes les révolutions dans le monde (par ex. la Révolution Française de 1789) sont une contestation de l'ordre établi contre les "maîtres" du moment par les "esclaves" du moment ! - Bref, votre argument historique ne tient pas la route un seul instant, me semble-t-il. Mais peu importe en réalité : le vrai reproche que je ferais à votre message est autre, et porte sur les points suivants, dont vous semblez d'ailleurs être conscient quand vous indiquez le risque d'être traité de "vieux con" de la "vieille école", sans pour autant en tirer les conséquences : 1/ des propos sexistes : "une femelle se soumet, ( se sous-met) et donc accepte les décisions de son propriétaire ou pas..." il n'y a pas que des "femelles", qui se soumettent, mais aussi des "soumis" ! Et par ailleurs, il y a aussi des "femelles" Domina... 2/ vous omettez à l'évidence de considérer que le mouvement #metoo est passé par là, et qu'une femme, même soumise, "accepte les décisions de son propriétaire"... si elle le veut bien : le consentement est un élément essentiel de nos pratiques ! Sinon, il s'agit d'un viol, qui relève du droit pénal, ou, tout au moins, d'une situation d'emprise néfaste ; 3/ et surtout, une femme totalement soumise et passive, sans personnalité, sans affirmation de ses désirs et envies propres, dans un couple sans échange ni dialogue sur les envies et attentes mutuelles, de mont point de vue, est triste comme un jour de blizzard sans soleil ! Enfin, tout cela n'est que mon avis, et j'espère que vous comprendrez que l'on puisse avoir un avis différent du vôtre... En tout cas, que votre avis n'engage que vous et celle qui partage votre vie, mais pas toute la communauté BDSM.
J'aime 07/02/25 Edité
Good Girl 佩玲
J'ajoute quelques grains de sels.. (j'me permets de faire ma brat justement, hein!) L'emploi du mot "brat" a émergé sur les premiers forums et discussions en ligne dès 1990... Certes, en premier dans des cercles anglophones, mais son utilisation a rapidement été adoptée par toutes les autres "phonies". Si à l'origine, le terme de "Brat" définissait un comportement plus ludiques et rebelles, avec la popularisation des réseaux BDSM et l'évolutions des mœurs, aujourd'hui, brat désigne + une forme subversive de soumission basée sur la provocation, la recherche d'un cadre...et de punitions, et bien sûr, le "test des limites"... " On peut aussi débattre du bien fondé de cette étiquette : avec la "modernisation" des mentalités, et après "MeToo" comme le souligne ZarathoustraDom, n'importe quelle soumise peut être considérée comme brat, juste parce qu'elle ne kiffe pas le protocole, cherche de l'attention, ose "chambrer" un peu son dominant, ou pire, selon certaines "écoles", les soumises qui ont juste la langue bien pendue, kiffent trop les débats, ont trop d'avis...sont des brats! Mais... Avoir quelques "attitudes" brat n'empêchera pas une soumise d'être une "bonne soumise", n'est ce pas? Finalement, "brat", c'est aussi un trait de caractère comme "joueuse", "espiègle", "drôle".... non? Et c'est là que je reprends votre phase, VraiEsclavagiste : "Le coté "Brat" (...) rappelle au Maître qu'il n'est qu'un homme"... Effectivement ! Je le pense sincèrement, une "brat" face à un dominant, c'est une histoire de contrôle, et plus exactement, du self-control du Dominant. Bah oui. Une soumise qui offre une soumission spontanée et qui connaît par coeur les 12 positions de la soumise ne sortira jamais un dominant de sa zone de confort. Alors qu'une brat, il va falloir prendre de la hauteur, savoir parfois se remettre en question, et user de créativité, pour amener sa brat à se soumettre.
J'aime 07/02/25
VraiEsclavagiste
@ Good Girl 佩玲 Visiblement ma réponse n'est pas passée... donc j'en réécris une autre.. Un petit grain de sel peut relever le goût d'un plat... Mais attention à ne pas trop salé ! 1f602.png1f602.png1f602.png Cette dernière remarque étant juste de la plaisanterie, car, en réalité, j'ai apprécié ta réponse... Mais.. si je voulais du "Me too", je ne serai pas dans le BDSM ! Une chose qui me fait souvent rire: voir les réactions offusquées quand j'emploie le mot de "femelle"...par les même qui appellent leur soumise "chienne" et les tiennent en laisse... mais là, ça passe ! 1f602.png1f602.png1f602.png Dans ton message une chose: "cherche de l'attention".. Je vois sur les forums beaucoup de soumises se plaignant du comportement de leurs dominants qui les ignorent, ne donnent pas de nouvelles excepté pour se voir rapidement histoire de se vider les couilles, puis... retournent voir bobonne à la maison.. mais elle, elle ne suce pas, refuse la sodomie... N'est ce pas là le véritable manque de respect que juste le mot femelle? Quand on prend une soumise, une esclave, c'est pour s'en occuper... elle ne devrait donc pas à avoir chercher de l'attention ! Le mot "brat" en anglais veut dire "gamin" Effectivement, on peut aimer plaisanter, taquiner, échanger sur des sujets, qu'ils soient futiles ou profonds... Mais il y a un temps pour tout.... Et il y a une différence entre la taquinerie et l'insolence... " il va falloir prendre de la hauteur, savoir parfois se remettre en question, et user de créativité, pour amener sa brat à se soumettre." Mais n'est ce pas plutôt à son comportement, sa façon de penser, d'agir, d'ordonner, qu'une femelle se soumet à son Maître et non sur sa créativité? Mais j'avoue que si j'ai écrit ce message, c'est plus la mode qui perdure de mettre cette case de "brat" à tout bout de champs... Personnellement, j'aime bien taquiner. Mais à l'inverse, j'aime bien aussi que l'on me taquine... cela évite de se prendre trop au sérieux et peuvent être l'occasion d'amener à "des jeux"... Mais qu'est ce que je n'aime pas cette case, qui, pour moi ne veut rien dire...
J'aime 08/02/25
La Sphinx
A mon tour de rajouter quelques grains de sable qui grattent suffisamment pour embêter le monde! Je respecte votre opinion et je vous propose mon point de vue qui se rapproche de celui de GoodGirl, pendant des années je me posais la question pourquoi dois-je très souvent ouvrir ma gamelle " bouche" même si j'étais bien avec un Dom, pourquoi au detour d'une conversation, d' une phrase, d'un mot,d' une attitude apparaissaient sans que je le veuille ? Un comportement pour ma part incontrôlable, ingerable, des fois même énervantes et qui pourtant me procurer une immense exitation lorsque que j'étais reprise en ressentant le contrôle sans faille du Dom! Lorsqu enfin j'ai pu poser un terme sur cette spécificité, j'étais heureuse mais j'ai compris que cela n'allait pas être facile! Et pour ma part l'attention du Dom est primordial! Comme le votre de profil, il est spécifique également, "vraiesclavagiste" on se doute bien qu'une Brat ne sera pas votre tasse de thé , même votre table pour le poser!, je le respecte comme je vous l'ai signalé plus haut, lorsque je m'investis dans une relation c'est à 100% et cela ne nous empêche pas d'être de bonnes soumises,on ne brat pas tous les 5 minutes non plus🤣! la seule différence " une sale gamine " ne peut être sous la coupe de n'importe quel Dom voilà tout!
J'aime 08/02/25
Good Girl 佩玲
Alors, puisqu'il ne faut pas trop de sel, ajoutons donc du gingembre! VraiEsclavagiste, toute d'abord, merci d'avoir répondu de façon légère et ouverte, ce qui permet les échanges. Pour le quart d'heure "moi, je, personnellement", je ne m'offusque plus du terme "femelle", puisque si on en revient à la base, eh bien, le sexe, c'est le sexe, hein, y a des grognements, des fluides, des bruits bizarres, des odeurs et des couleurs. Ce n'est pas tout le temps élégant, rose et générateur de paillettes, on va dire. C'est comme le tutoiement, je m'en offusque pas plus, puisqu'on peut s'insulter ou être vulgaire en se vouvoyant également. Les nuances, donc... Là où, je pense, nous avons la même vision des choses, c'est que le mot "brat" est "dégueulasse" en étiquette, car on n'est pas "que" brat. Pour moi, c'est réellement un trait de caractère au même titre que "grande gueule". Pardon, je vais reprendre point par point paske mon cerveau est trop fatigué pour faire une analyse plus pousée. Si on parle de recherche d'attention, vous, peut-être, êtes attentionné. Mais malgré toute l'attention que vous portez à une personne, il y a tellement de paramètres qui peuvent expliquer cette recherche d'attention : manque de confiance en soi, peur de l'abandon, manque affectif, reliquat traumatique et j'en passe... Ce qui nous mène à la créativité du Dom en face. Par créativité, j'entends également de la flexibilité et de l'adaptabilité du Dom. Vous n'allez certainement pas éduquer une soumise très confiante en elle, de la même façon qu'une soumise qui a besoin d'être rassurée sur ses complexes. Vous serez peut-être plus mordant face à une soumise joueuse, qu'une soumise réservée. Oui, certes, on choisit un Dom pask'on kiffe sa façon d'être, son langage, ses valeurs... Mais pour ma part, s'il part sur le principe qu'il n'y a pas besoin de créativité pour que je lui offre ma soumission (soyons d'accord, il y a "soumettre quelqu'un" et "se voir offrir la soumission de quelqu'un"1f609.png, donc si le Dom ne fait pas preuve de créativité pour me donner envie, ça va être compliqué. Pas par Bratitude, non. Mais parce que la soumise que je suis découle de la femme que je suis avant tout. Un exemple : sur une routine très précise, mon Monsieur ayant constaté mes manquements répétés et quelques peu provocateurs, m'a prise un jour par surprise : "très bien, dorénavant, tu n'auras plus besoin de ma permission". Je vous laisse imaginer ma joie, qui fut de bien courte durée, puisque soudain, c'est comme si j'avais mis trop d'eau dans mon vin, et je suis retournée toute penaude lui demander de recadrer cette routine. Voilà, il avait cerné mon esprit de contradiction. S'il n'avait pas eu ce sens de l'observation, je vous promet que j'aurais continué à le provoquer partout où je pouvais. Pour finir, est ce que je suis que brat? Non. j'aime les défis moi aussi, j'aime me faire désirer aussi, et j'adore taquiner. Et pourtant, je suis bien sa soumise. Est ce que je passe mon temps à défier son autorité? non plus, j'adore répondre "oui Monsieur". Mais la femme que je suis au quotidien est rebelle et autonome, je dois faire preuve d'autorité (vive les enfants!), planifier, gérer, donner des "go-signal" ou des "no-go", je dois faire face à des situations où je dois me battre et m'imposer, embrouiller des gens, tout ça tout ça... Donc, voilà, en découvrant la dynamique D/s sur le très tard, ce n'est pas une vocation mais un choix, qui sera impacté par le plus gros paramètre qui soit : ma personnalité. Tout ça pour dire, Brat, c'est pas une case. C'est à mon sens, un ensemble d'attitudes, un trait de caractère, mais qui ne peuvent pas définir une personne, puisque les raisons et les origines sont bien trop variables et complexes.
J'aime 08/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
Ah ! Par contre, pour le gingembre, j'en est une autre utilisation ! Mais je pense qu'elle serait censurée... 1f631.png Quant à la "réponse légère et ouverte".. Je ne suis pas là pour me prendre la tête. Je dis ce que je pense. Que cela plaise ou ne plaise pas. Tant que l'on ne me prend pas de haut, en style donneur de leçon, je suis ouvert à la discutions... Au contraire ! il m'est aussi arrivé de changer mon fusils d'épaule considérant que l'autre avait de bons arguments... ou du moins, pour être plus exacte, de réajuster ma ligne de mire... Mais là, désolé, j'ai lu les réponses et je ne la change pas !... Même si de bons arguments, mais pas assez bon ! Du moins, pour moi... 1f602.png Encore une fois, et pour répondre en même temps @ La Sphinx : J'apprécie la taquinerie, y compris venant de mon esclave. Au contraire, cela permet aussi de garder les pieds sur Terre, car le statue de "Maître" peut facilement monter à la tête... Et c'est là un danger : se prendre trop au sérieux, se prendre comme un dieu... Je ne considère nullement mon esclave comme une serpillière ! Au contraire, j'ai même une certaine admiration pour les femelles (si le terme femelle gène trop, y mettre celui de chienne 1f602.png ) Je ne serai pas en mesure d'accepter ce qu'elle endure par moi... Oui j'ose l'avouer ! Mais il y a un temps pour tout...
J'aime 08/02/25 Edité
VraiEsclavagiste
@ Euphoria, Post très intéressant qui a  certainement plus sa place sur le forum que sur le Murgé... Il est regrettable cependant qu'il n'y ait  pas plus (ou encore de réactions) de la part d''esclave surtout de sexe féminin... Cependant, quand bien même étant un homme, je vais tenter d'y apporter un autre point de vue qui va peut-être t'aider dans ta réflexion... L'esclavage est souvent mal compris, y compris par beaucoup de pratiquants BDSM y voyant de l'extrême. De même, et point important, il s'agit là d'un esclavage choisi et NON subit. Ceci est plus qu'important, essentiel même ! Alors... est-il inné? où le devient-on? Les deux mon capitaine ! les deux ! Je m'explique: L'esprit humain est plus que complexe. Certaines ont ce fantasme ancré en elles depuis la découverte de leurs sexualités. D'autres, découvrent qu'elles sont esclaves au fond d'elle tardivement et s'imaginaient loin de cela, surtout que notre société actuelle va à l'opposé de  cette vision, valorisant la femme libre, indépendante, voir parlant du patriarcat toxique ou de la destruction de la masculinité. C'est avant tout à un homme qu'elle se donne comme esclave. Bien sûr, il y a certaines qui n'ont aucune estime d'elle même, avec un fort masochisme prononcé et étant dans l'auto-destruction qui choisiront un sadique, pervers manipulateur, y compris au premier venu. Mais, étant un esclavage volontaire, c'est à un homme avant tout qu'elles se donnent. Une de mes amies esclave parle souvent de son câblage du cerveau différent des autres femmes. Elle a découvert sur le tard qu'elle était esclave et était loin de se douter qu'elle deviendrait esclave. Mais il est certain qu'elle en avait des dispositions, sans même savoir y mettre des mots dessus. Il faut un certain état d'esprit: aimer les choses carrés, claires, aimer obéir, prendre son plaisir psychologique dans celui de l'autre, y compris dans la douleur, l'humiliation. Être esclave est loin de signifier devenir un paillasson, une ville serpillère sans caractère ! Je dirai même plus... il faut avoir du caractère pour accepter ce que certains qualifieraient d'inacceptable ! Mais elles ne sont l'esclave que d'un seul homme : leur propriétaire. Elles l'ont choisi, et ce, d'où l'importance de la discussion en amont. De bien connaître l'état d'esprit de celui-ci. De connaître ce qu'il attend de son esclave, de sa vision de la dynamique de la relation... Quant au propriétaire, et je ne le répéterai jamais assez, il prend avant tout des responsabilités! Il n'est pas exempt, loin s'en faut de devoirs et doit savoir tirer profit de son esclave, lui amener un équilibre, la découverte d'elle même et non pas lui couper les ailes, mais au contraire lui faire déployer ses ailes, et ce, ne serait-ce pour pouvoir tirer au mieux partie de son esclave, mais aussi sa loyauté... L'esclavage est donc quelque chose d'inné, sans que l'on en est forcément conscience, mais, qui, avec la bonne personne peut se construire et dans laquelle l'esclave se découvre ce coté sans même l'avoir soupçonné... Mon amie esclave, avant d'avoir son propriétaire actuel, en a eu un autre. Celui-ci n'a pas su respecter son rythme dans l'esclavage et à voulu lui imposer de dépasser ses limites trop tôt. Conclusion: fin du contrat. Mais cela lui a permis de comprendre qu'elle était décidément faite pour l'esclavage. Et, elle ferait absolument tout pour son propriétaire actuel qui a su, au contraire, en tirer parti... y compris lui faire faire ce qui avait amené la rupture du contrat avec son premier... Cependant, toutes celles qui sont devenues esclaves y trouvent leur bonheur, et, là où certains y voient une privation de liberté, elles y voient la liberté. La liberté d'être réellement ce qu'elles sont au fond d'elle même, mais aussi, de la même manière qu'après la virgule, il y a une infinité de chiffres entre 0 et 1 mm. Et pour l'instant, je n'ai pas encore rencontré d'esclave, qui, une fois entré en esclavage, abandonne d'elle même cet état dans lequel elle se réalise... Tout pied à sa chaussure, encore faut-il savoir trouver la bonne.... une femme dans un magasin de chaussure en sait quelque chose... Quant à l'humiliation... qu'entends tu exactement par là. Il en existe de différentes sortes... Et différente façon de la concevoir. Tu ("tu" général et non particulier) peut détester cela mais l'accepter de ton propriétaire sachant que cela lui fait plaisir, mais aussi dans le fait de te dépasser et y trouver une certaine joie, ou encore, le prendre comme une leçon sur la vie: après les humiliations que ton propriétaire te fait subir, plus aucune humiliations de la vie quotidienne ne te toucheront autant, ayant vécu pire... Quant au propriétaire, faire vivre à son esclave des humiliations sont un moyen de tester l'obéissance de son esclave, de la faire se dépasser et voir où elle en est de son esclavage.... Je m'arrête là, mais il est certain qu'il manque sur ce fil de discussions d'avis d'esclave, et plus particulièrement féminin...
VraiEsclavagiste
@ Sylvie. Pour répondre à une objection de ta part: "Je n'ai jamais été très convaincue par les arguments du type "oui, mais l'humain a des émotions, des sentiments, pas un robot". Si une émotion, un sentiment, est un ensemble complexe de processus électrochimiques au sein d'un réseau neuronal biologique, alors en l'état actuel des connaissances il n'y pas de raison évidente pour laquelle un processus similaire ne pourrait pas être reproduit par une technologie non biologique." C'est vrai, nous ne savons pas ce que nous réserve le futur. Et pour continuer, je prendrai un exemple, celui des poupées en latex hyper réalistes. Elles existent. Dans un futur plus où moins proche, il est fort à parier que les deux s'allieront pour ne former qu'un, et qu'une utilisation sexuelle en sera faite. Cependant, une chose qu'un robot n'aura JAMAIS: une odeur qui lui est propre. Je suis très animal. J'aime sentir l'odeur de la peau. C'est aussi un moyen de voir la compatibilité. Ne dit-on pas " qu'on ne sent pas quelqu'un" quand on ne l'aime pas?. C'est entre autre pourquoi j'interdit le parfun: pour pouvoir sentir l'odeur naturelle. Nous avons tous nos perversions, celle là est une des miennes si je peux dire ainsi. Ma toute première soumise avait une odeur dont j'étais fou... Et ça, nul robot ne pourra avoir ceci... Quant à avoir un robot... oui, nous finirons tous à en avoir, j'en suis persuadé, au même titre que le téléphone portable. Je n'ai absolument rien contre la technologie, au contraire, je trouve cela passionnant. Les robots de Musk en snt un bon exemple, les robots chinois en open source aussi. Mais pas sexuellement pour moi. Je n'ai rien contre ce détournement (le cul est ce qui fait principalement marcher le monde) mais pas pour moi ne serait-ce pour les raisons edictés au dessus... Quant au reste, une fois de plus, je suis d'accord avec toi et y souscris totalement.  
VraiEsclavagiste
Des questions fort intéressantes Laquais des Brumes ! Celle-ci renvoie à plusieurs éléments, dont l'attachement à des objets, la solitude humaine, mais aussi à la place de la technologie.. Pour ma part, la réponse est absolument non ! Je préfère mes RDVs avec la veuve Poignet qui est toujours prête à me donner un coup de main ! Car même dans le cas d'un robot à très haut degrés de perfection, il manquera toujours la douceur et la chaleur de la peau, ce que les yeux peuvent transmettre comme émotion, da douceur et la chaleur du sexe, les réactions du corps... Alors, ce sera toujours non, à moins que ce ne soit une cyborg, en admettant que la technologie futur arrive à combler tous ces manques. J'aime le sexe, oui. Mais toute ma vie ne tourne pas autour et pas au point de prendre des substitus... Quant aux poupée gonflable, cela me rapelle un article sur lequel j'étais tombé. Un type avait eu l'idée de devenir proxénéte de poupée gonflable sur les chantiers. Après chaque utilisation, un coups de Karcher, et hop ! suivant !  
Vous êtes un soumis éclairé et élégant intellectuellement comme physiquement, adorateur de la Femme ; vous avez ce désir d'obéissance et d'abandon pour étancher votre besoin de soumission ? vous êtes peut-être celui que je recherche .:.
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VraiEsclavagiste
Très beau texte ! Dans lequel nous apprenons aussi beaucoup ! Mais revenons-en à la question... Ne pas oublier une chose: nous n'en sommes qu'au début ! Que l'IA a aussi la capacité d'apprendre par elle même. Et si certaines photos sont facilement identifiables comme provenant d'une IA par ses défauts, qu'en sera-t-il dans 5 ans? 10 ans? et soyons fous..dans 100 ans? Déjà, certains deep fake sont assez dur à identifier... La question peut en effet totalement se poser... surtout que nous ne connaissons pas encore certaines technologies qui alliées à l'IA pourront encore augmenter les fantasmes.. Pourquoi pas, comme nous le voyons dans certains films de science-fiction, "l'holographie vivante"? Mais 3 choses sont certaines: - 1) L'être humain, dans sa globalisation, ramène tout au sexe, y compris les inventions géniales comme internet (nous en sommes la preuve vivante). Le sexe et le pouvoir (argent?) sont les deux soupapes du moteur de l'humanité. - 2) Quelque soit la technologie, des petits malins parviendront à y mettre une touche de pouvoir, de sexe dedans. - 3) Laissons du temps au temps: Nous ne sommes qu'au début d'une technologie et, comme toute technologie, il faut un certain recul pour en voir les effets....  
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lauramariée
Bonjour Monsieur, ô combien vous avez raison, Monsieur. Je reçois de nombreuses demandes d'amis sans même un mot de présentation. Ces demandes finissent dans 100% des cas à la poubelle. Même si certains lisent les profils et s'y conforment pour la demande, beaucoup sont éjectés car ils ne respectent pas les limites incluses dans ledit profil. Merci Monsieur pour votre invective.
J'aime 25/01/25
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sylvie35
L'importance des symboles... La fin du texte est coupée il me semble, à moins que ce soit volontaire.
J'aime 22/01/25
VraiEsclavagiste
@ sylvie35. Merci ! effectivement, il manquait la fin de la phrase finale! Je ne sais ce qui s'est passé: mauvaise manipulation de ma part ou envoie précipiter afin de répondre à un message, il n'en reste pas moins que cela est un fait et j'espère que cela ne nuisait pas au texte, ni au fondement de celui-ci... Erreur réparée grâce à toi, ce qui m'a permis de corriger une faute au passage. Doublement merci de ta remarque donc !
J'aime 22/01/25
ymerwhite
Bonjour. Très bonne analyse, on est pas loin de la liturgie. A ceci près que la relation DS est constamment en évolution ce qui fais que nous loin d'un dogme. Ymer
J'aime 22/01/25
ymerwhite
Ce qui fait... désolé
J'aime 22/01/25
VraiEsclavagiste
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sylvie35
Voilà qui semble intéressant. Mais l'image est trop réduite pour que ce soit lisible, malheureusement.
J'aime 11/01/25
VraiEsclavagiste
Je ne sais pourquoi... effectivement le rendu n'est pas si terrible sur la lecture... Mais en réalité, aussi bien sur celle-ci que sur l'autre, les dessins se suffisent à eux mêmes.
J'aime 11/01/25
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