Je pense avoir toujours été attiré sexuellement par le fait d'avoir le sexe glabre. Cela fait parti intégrante de ma sexualité depuis l'adolescence. Je ne me l'explique pas, c'est un trait de ma personnalité fétichiste.
Déjà au collège, je m'amusais à couper les poils de mon sexe avec une paire de ciseaux. Je précise que c'était avant les débuts d'internet et le sexe épilé n'était absolument pas encore démocratisé par les films ou les magasines porno.
J'avais terriblement envie de me raser le sexe mais je n’osais pas. J'avais peur que quelqu'un le remarque. Puis un jour, à la période du lycée, l'envie était trop grande et j'ai sauté le pas. Enfermé dans la salle de bain, le cœur battant, j'ai pris un rasoir et de la mousse et je me suis rasé intégralement. Le processus était hyper excitant. Petit à petit, les poils disparaissaient et mon sexe se dénudait. J'ai trouvé le résultat incroyable. Mon pubis était glabre pour la première fois depuis l'enfance. Mon sexe était nu et je le trouvais à la fois indécent et magnifique. Ce qui m'a le plus surpris, c'était la sensation de mes doigts parcourant mon pubis et mes parties intimes parfaitement glabres. C'était ultra doux et sensuel...
Au lycée et dans les lieux publiques en général, étant de nature timide, j'oscillais entre honte et excitation avec mon sexe rasé. C'était des sensations assez contradictoires, sûrement les prémices d'une sensation bdsm...Si quelqu'un l'avait remarqué, j'aurais sûrement été la risée des camarades de classe... Surtout dans un lycée techno majoritairement masculin. Il n'y avait en réalité que peu de raison que ça se remarque. La peur n'était pas rationnelle. L'excitation était, elle, bien réelle. Il m'arrivait dans mes rêveries en classe de me mettre à durcir en sachant que sous mon pantalon, mon sexe était dépourvu de poils.
La contrainte principale était que depuis tout petit, tous les étés, j'allais en vacances dans un village naturiste où je retrouvais, en plus, mes ami(e)s de vacances.
Pas moyen de me retrouver le sexe lisse dans cette situation. Au printemps je laissais donc repousser mes poils et les vacances terminées, avec impatience, je prenais un malin plaisir à me raser à nouveau et redécouvrir les délices de mon intimité imberbe.
J'ai une pensée ému pour toutes les femmes qui ont partagé ma vie et qui m'ont accepté tel que j'étais, avec mon fétichisme prononcé pour les sexes glabres. Elles ont joué le jeu et m'ont toutes autorisées à leur raser le sexe. Quelque fois avec une légère crainte au début, elles y ont toutes pris goût, sûrement rassurée de savoir que leur vulve glabre m'excitait énormément, et que malgré les apparences, elles n'avaient rien d'une petite fille, avec leurs hanches, et leurs sexes développés. Le fétichisme de l'acomoclitiste n'est-il pas d'ailleurs l'excitation de la vision d'un sexe glabre là où justement il devrait y avoir des poils pour le cacher ?
Elles ont aussi découvert les sensations décuplées et la sensibilité d'un sexe épilé. Pour ma part, il va sans dire que je mettais un poing d'honneur à les raser moi même avec application pour mon plus grand plaisir.
Celle qui partage ma vie aujourd'hui s'épile aussi. Elle y a pris goût et elle aime mon sexe ainsi dénudé. Je ne me lasse jamais d'apercevoir sa fente lisse quand elle s'habille et se déshabille. Elle est magnifique. Moi je suis passé du rasoir, à l'épilateur et la pince à épiler, c'est plus long mais tellement plus doux...
Aujourd'hui, l'épilation intime s'est démocratisée pour les femmes et un peu chez les hommes aussi. Cette pratique est rentré dans les mœurs et n'est plus assimilé à la pédophilie ou lorsque l'on criait au scandale quand une femme avait le sexe glabre pour mieux l'asservir et l'infantiliser dans ce monde patriarcal.
Je vais toujours en vacances dans ce même village naturiste. Contrairement à mon époque, les ados restent aujourd'hui habillés et semblent être plus complexés qu'avant. Beaucoup d'adultes ont le sexe épilé aujourd'hui. Je dirais même une majorité.
J'ai mis du temps à assumer le fait que je m'épile le sexe. La première année où j'ai décidé de rester épilé au village naturiste où je retrouve toujours mes ami(e)s d'enfance, je me suis mis en condition de soumis à ma femme. Puisqu'elle me préfère ainsi, je reste ainsi. Cela m'a beaucoup aidé puisqu'en quelque sorte je n'avais pas à l'assumer, ce qui est assez lâche de ma part. Ça a eu l'avantage de me décentrer et de me rendre compte que ça n'a choqué personne. Aujourd'hui je l'assume enfin presque totalement mais ne le vante pas auprès de certains de mes amis ou collègues à qui je sais que ça pourrait encore choquer.
C'était mon premier article, je n'espère pas le dernier. Merci de m'avoir lu.
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Nous venons de partager votre article dans le groupe : https://www.bdsm.fr/acomoclitisme/
Je partage ce goût depuis mon service militaire, la première fois étais parce que j'avais eu des morpions, pendant une astreinte hebdomadaire, j'ai tellement aimé être dépourvu de poil sur c'est devenu une habitude permanente.
Je me suis mise avoir les poils en horreur, sur l'intégralité de mon corps, et désormais je suis intégralement épilé des pieds a la tête de façon permanente, les femmes avec qui j'ai eu des relations régulières l' étaient aussi, car c'était une condition sine qua non, la plupart ont continué après notre relation, ayant pris goût elles aussi a cet état de pilosité éliminée.
Je n'ai jamais eu besoin d' insister pour cela. Et en ce qui me concerne, j'ai été au début un peu circonspect, mais le retour est positif chez mes amantes qui apprécient de ne pas être dérangées par les poils pendant une fellation, qui devient de ce fait très appréciée ainsi que le léchage des couilles lisses voir même le gobage, les cunnilingus sur un pubis glabre sont pour moi un parfait délice, sentir la chair glisser sous la langue, et glisser dans leur fente Sans la gêne de ce buisson touffu a écarter, est un de mes plus grands plaisir, avec la vision, et le toucher.
Le retour est le même de leur côté, beaucoup m'ont dit apprécier cette douceur que je leur offre.
C'est mon cas également, je ne supporte plus les poils.. par contre au rasoir c'est pénible..
" acomoclitiste " ... je ne connaissais pas ce mot, merci. Je viens donc d'apprendre que je suis une fétichiste ... ben mince alors !!
Niveaux de SM
Niveau 1- Jeux à peine SM : fessées, pincements et mordillements légers.
Absence quasi totale d'instruments et de scénario.
Martinet soft.
Attaches légères.
• Niveau 2- Le SM léger : apparition des liens, des premiers instruments de flagellations, et éventuellement de pinces.
Petites contraintes.
Scénario possible mais souvent primaire.
Ordres, exhibitions, nudité, immobilité, décoration, objet sexuel, etc.
• Niveau 3- Le SM moyen ou classique : élaboration d'un scénario type : je suis le/la Maître/sse, tu es mon esclave et je te punis !
Utilisations systématiques d'instruments de flagellations, de pinces et d'attaches.
Apparitions de pratiques insolites comme orties, bougies.
Permanence du fétichisme.
Présence fréquente de tierces personnes.
Relations homosexuelles forcées (forced bi).
Humiliations légères, comme marcher à 4 pattes, etc.
Cire de bougie, jeux avec godes, jeux uro.
Douleur de niveau moyen, etc.
Niveau 4 : attaches pénibles (position inversée, sodomie forcée, Gorge profonde imposée, douleurs, cris, hurlements, supplications, ...) Usage des cravache, fouet, martinet, douleur de niveau plus intense, .
Niveau 5- Le SM limite: aiguilles et donc sang, étouffements, strangulation contrôlée, électricité, marquage, scarification, vomissement, jeux fécaux appelés aussi "caviar" , branding, ...
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une certaine expérience de la domination, je suis ici pour sélectionner un nouveau sujet (fétichiste impérativement) à dresser à ma guise, qu'il soit novice ou accompli .:.
Merci Lady Sienne
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Présentation de Cirkan
Bonjour la communauté.
Je me présente en tant que nouveau membre. je suis un homme hétéro marié. Ma moitié n'étant pas très interessé par le monde bdsm, après mures reflexions, j'ai ressenti le besoin de pouvoir partager, discuter et venir explorer dans cette communauté. Sentir que je n'étais pas seul dans ce besoin grandissant qui prend de plus plus de place dans mon corps et mon esprit. J'aimerais pouvoir plus assumer ma part d'ombre.
Ce que je recherche dans le bdsm, c'est sentir ce fils tendu de tension permanente entre deux être. Ressentir une complicité sexuelle, ennivrante, un jeu de pouvoir l'un sur l'autre. Une connexion hors du temps, un laché prise.
Je suis switch. Je prends du plaisir en donnant du plaisir. Dans la soumission comme dans la domination, j'aime ressentir les besoins de l'autre. Je m'adapte selon les envies de l'autre. Pouvoir communiquer, débattre, remettre en question, c'est la clé pour pouvoir partager des moments intenses selon moi.
Je cherche dans un premier temps à prendre mes marques, à pouvoir échanger, discuter, jouer à distance et plus si affinité :-)
Merci pour votre site
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