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legenoudeclaire

legenoudeclaire

homme soumis. Vit à Rambouillet, Île-de-France, France. 52 ans. est célibataire.
Extrait de son book

Publication BDSM

legenoudeclaire
Mes bras commencent à me faire mal et je trouve mas position ridicule à me trouver ainsi à quatre pattes sur ce lit d’hôtel. Quelles peuvent bien être les évènements qui m’ont amené dans cette situation? Je me sens à la fois ridicule et tellement heureux de me trouver dans cette position de chienne. Comme si j’avais retrouvé ma vraie nature, mon véritable être, quelque chose qui vient de l’intérieur de moi, de mon estomac, quelque chose qui me semble évident malgré la peur. Il y a bien eu cet échange de SMS cette semaine avec une Domina rencontrée sur le chat. Quelques échanges timides et courtois d’abord, puis qui se sont accélérés ces derniers jours. Depuis Lundi au bureau les yeux rivés sur le portable à espérer chaque réponse. Heureux de recevoir des messages amicaux, mais le ventre serré de plaisir à lire ses réponses courtes, froides et dédaigneuses. Le challenge qu’elle m’avait fixé Jeudi n’était pourtant pas bien insurmontable. Je devais aller à la boutique “Métamporphoses” le Samedi pour m’acheter des dessous féminins afin de pouvoir lui montrer ce que je valais en petite tenue. Que m’a-t-il pris de faire ce que j’ai fait? Je me suis totalement excité ces derniers jours. Je suis allé ce matin à la boutique Demonia pour me travestir entièrement …. corset, jupe, collant et talons. Je suis allé quelque fois chez Demonia en rasant les murs, mais j’avoue que je n’avais pas l’habitude de faire de tels achats. Je me souviens de tout comme d’un tourbillon, le choix des talons, le conseil de la vendeuse sur la taille du corset et de la jupe, le long passage dans le rayon des collants, un homme, que je n’ai pas osé regarder dans le yeux, passant près de moi et caressant une botte. La caisse enfin et les deux sacs noirs marqués du D. J’ai pu enfin me reposer dans un café cet après-midi ensoleillé d’octobre, prendre un verre et envoyer ce SMS fatal … “Madame, je serai à l’hôtel Holiday Inn du bassin de la Villette ce soir. Je vous attendrai à quatre pattes comme une chienne sur le lit. En espérant que vous viendrez …”. Je suis fou d’avoir envoyé ce message. Après-tout je ne la connais pas. Mais voilà, je suis impulsif et je ressens très vite le besoin de passer au réel, de me présenter sans délai devant une Domina. Sans doute une attitude destructrice car ça me fait terriblement peur. Mais pour l’instant, ça ne porte pas à de graves conséquences. Je n’ai pas de réponse et je n’en aurai sans doute pas. Il me suffit d’aller prendre ma chambre d’hôtel et d’essayer tout cela. Moment complètement magique le nylon qui monte le long de mes jambes. La première fois que j’enfile un collant. Je me sens si bien. C’est tellement moi. Je me trouve plutôt belle dans la glace, aérienne sur ces talons, et très classe dans toutes ces matières en noir. Je comprends les femmes qui sont si sûr d’elles. Je vais du lit à la glace. J’essaye de marcher avec élégance. Sur le canapé de la chambre, je crois et je décroise les jambes. C’est tout simplement magique. Je pourrais me sentir conquérante s’il n’y avait pas ces bracelets fixés à mes chevilles. Un SMS reçu vers 18 heures me fait revenir à la réalité “Je ne pensais pas que tu pourrais faire quelque chose comme cela. Mais je serai là à 20 heures”. “Je serai prête Madame. J’ai donné votre prénom à la réception. Vous pourrez prendre votre passe pour accéder à l’étage”. <span style="background-color: transparent;">Je ne suis pas très organisé mais dans ces occasions j’essaye de tout prévoir. Une heure à perdre au bar de l’hôtel d’où je peux voir les jolies jeunes femmes bien habillées en train de se préparer pour sortir dans Paris. Au lieu de cela, moi je vais aller attendre une Domina dont je n’ai même pas vu le visage. Il est 19 heures. Il faut que j’aille me préparer. </span> Le portable est à coté de moi sur la table de nuit. J’ai veillé à ce qu’il soit bien chargé pour pouvoir répondre à tout moment. Il vibre vers 19H55. “Je suis en train d’arriver à l’Hôtel”. Mon dieu, elle va venir. Puis les messages arrivent … “Réception” …. “Ascenseur” … “Couloir” … Je regarde ces mots tranchant comme des lames. Mon cœur se serre. Je suis sur le point de défaillir. Mais Il faut que je sois prête dans quelques secondes. Je plonge ma tête dans l’oreiller. Je cambre du mieux que je peux mon dos. Je remonte bien mes fesses. Le badge vient de sonner. La porte s’ouvre. J’entends un bruit de talons étouffé par la moquette. Elle est dans la chambre, derrière moi. Je ne vois rien avec ma cagoule. Un premier silence de 8 à 10 secondes. J’entends un sac à main déposé sur une table, un trousseau de clefs aussi. Un genou vient s’appuyer sur le bout du lit. Deux mains soulèvent et remontent ma jupe. J’essaye de me cambrer encore plus, de lui montrer que je souhaite faire de mon mieux. Sa main commence à caresser mes fesses, le nylon et la peau car j’ai choisi d’enfiler un modèle de collant ouvert à l’entre-jambes. Ses ongles inspectent scrupuleusement la raie de mes fesses. J’essaye de m’ouvrir au maximum. “Je ne savais pas que j’avais dialogué cette semaine avec une aussi adorable petite salope” … “Merci Madame” “Et une petite salope qui bande bien en plus” … Sa main remonte et caresse désormais mon sexe en proie à une violente érection. “ça l’excite beaucoup d’être une petite chienne sur son lit” D’une voix coupée, chevrotante je réponds de nouveau “Oui Madame”. J’ai essayé de faire de mon mieux pour cette première fois, de supporter les poids sur les seins et ceux lourdement lestés à mes testicules. Quelques coups de ceinture, mais surtout une très longue séance d’adoration. Assise sur le canapé, impériale et me tendant ses jambes, j’ai pu longuement lécher ses pieds et ses talons. J’ai adoré prendre cette position d’adoration, sur les genoux, dans ma jupe, le dos bien cambré, ses pieds délicatement tenus dans mes mains … à lui lécher longuement la plante des pieds … tandis que de vieux touristes américains, accoudés à leur fenêtre en face de notre chambre ne perdaient rien de tout cela.