La Miss

Est-ce qu'on peut croire en Dieu et pratiquer le bdsm ?

Depuis quelques jours je suis en contact avec un homme, un soi-disant dominant avec qui j'ai entamé une relation.  Au début, il m'a semblé bien. Il écrivait bien, avait un champ de connaissances ouvert et vaste, il était respectueux... l'homme parfait. Il m'a proposé d'être mon Daddy dom. Rien de plus. Même si il m'a confié qu'il rêvait de fonder une famille, un jour habiter ensemble... L'idée me plaisait.  Je ne donnerait pas de noms, ni de pseudo mais je vais m'en tenir à l'histoire pour dire que malgré les apparences, j'ai senti qu'un truc clochait. Je suis jeune et d'abord je me suis dit que je ne connaissais rien aux hommes, que je devais expérimenter avant de juger. Et donc j'ai continué à discuter avec lui. Mais nos discussions n'étaient pas palpitantes. Ça ne se résumait qu'à des ordres et un "comment ça va, tu fais quoi ?". C'était un peu bizarre mais j'ai pensé que je devrais donner du temps à la relation.  Peut-être aurais-je dû en parler avec lui ? Mais je ne suis pas trop loquace.  Quoiqu'il en soit, il m'a porté comme ça pendant 5 jours. Puis il m'a dit qu'il venait me voir samedi. Je n'en savais rien. On avait rien discuté avant. J'ai avoué ne pas pouvoir. Et lorsqu'il m'a répondu il m'a semblé un peu irrité. Bon un peu est un euphémisme... Bref c'est pas le problème. Il avait peut-être déjà programmé sa journée.  Mais suite à ça, ses mots sont devenus plus durs, ses expressions plus crues. Je n'ai pas aimé ça. Du tout. J'avais l'impression d'être qu'un bout de viande. C'est là que les choses ont sûrement dérapé car les messages se sont enchaînés. Je lui ai dit que je n'avais plus envie d'être en couple. Il a complètement nié avoir parlé de couple. Pourtant...vivre ensemble ça veut dire être plus qu'un coup d'un soir non ? Puis il m'a pointé du doigt en disant que j'étais qu'une pauvre fille perdue qui ne savait pas ce qu'elle voulait. Il a rejeté la faute sur moi et m'a jeté des insultes déguisées comme quoi je ne savais pas m'exprimer et je devrais lever le pieds des antidépresseurs. Cette dernière réplique m'a bien refroidie. Comment ose t-il utiliser ce que je lui ai confié contre moi ?    Bref, cette discussion m'a laissé un goût amer et m'a confirmé le fait que rares sont les personnes qui méritent notre confiance. Faites donc gaffe à vous.