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Gamine de la Maison Noire

femme soumise. Vit à Champagne-Ardenne, France. 37 ans. est marié(e).
Extrait de son book
Gamine de la Maison Noire
Tâche m'a été donnée de trouver un logement au calme, un peu à l'écart, pour que je puisse crier à ma convenance. C'est chose faite, dans un petit chalet au charme désuet, avec les vignes pour seul voisinage. Je suis arrivé un peu en avance, pour préparer de quoi accueillir Monsieur. Lorsque je vois sa voiture remonter l'allée, mon cœur bondit dans ma poitrine. Je me presse de m'agenouiller, mains sur les cuisses, paumes vers le haut, le regard vers le sol. Je ne parviens pas à retenir un éclat de joie dans mon “bonjour” lorsqu'il pousse la porte. Je vois ses pieds s'arrêter quelques instants, puis des sacs se posent au sol et Monsieur M s'approche de moi. J'entends un sifflement carnassier dans sa respiration, ce qui me réjouit, il semble apprécier l'accueil. Il fait le tour, il m'inspecte avant de relever mon visage pour contrôler le maquillage. Je ne parviens pas à retenir un sourire lorsque je peux enfin croiser son regard. Ces yeux sévères me scrutent, j'avais oublié à quel point ils étaient beaux. “Lève-toi ! ” sa voix brise le silence. Il m'enlace, ses traits se détendent enfin lorsque ses lèvres rencontrent les miennes. Il me demande de lui faire visiter les lieux. En faisant le tour de ce tout petit logement, Maître M découvrit avec plaisir ces poutres apparentes, permettant d'y accrocher tout ce que son imagination verrait naître. Il m'invite à m'asseoir au bord du lit, où il commence à me présenter le contenu des sacs. C'est alors que débute le défilé de martinets, paddle et autres cravaches qui sont venuent accompagné de diverses pinces et de colliers ainsi que d'une barre d'écartement qui a rapidement trouvé sa place sur la poutre, juste un face d'un long dressing couvert de miroirs. Monsieur M se montre très rassurant et pédagogue. Il me demande de confirmer que j'ai bien tout compris et m'invite à poser des questions, définis des “safe words”. Il me redemande qu'elles sont mes limites. L'humiliation et le sang sont des choses qui ne m'attire pas, pour tout le reste, j'explique que je n'ai pas d'avis car jamais testé, mais très curieuse de découvrir ce tout nouveau panel de sensations qui s'ouvre devant moi. “choisi un collier !” Mon regard se pose sur 2 pièces de cuir serti d'anneaux. L'un était tout simple, comme un collier pour chiens, l'autre bien plus large, les bords irréguliers laissent à penser qu'il épouse la forme de la tête. Incapable de me décider, je laisse Monsieur M trancher : “tu sais que j'aime la contrainte, tu aura le cou bloqué avec le gros collier”. Bien qu'en effet, les mouvements de ma nuque se sont vus largement entravés, je me suis senti grandi, tiré vers le haut dans ma posture et j'ai trouvé ça très agréable. De larges bracelets de cuir ont également habillés mes poignets et un élastique vint attacher mes cheveux complétant ainsi la panoplie. Après avoir servi un café à Monsieur M, il décide d'aller fumer une cigarette. Il laisse la porte vers l'extérieur ouverte, rapproche la chaise de jardin de celle-ci avant de lancer des cousins sur le sol. Je comprends que je suis attendu dans l'embrasure de la porte. Agenouillée, je le vois allumer une cigarette, tirer dessus avant de se pencher sur moi et de m'embrasser. La fumée remplissait ma bouche puis mes poumons. Mon sevrage a volé en éclat en une fraction de seconde. C'était si bon ! C'est avec plaisir que j'ai retrouvé son piercing à la langue enveloppé dans les arômes de tabac. Le collier bloquait mes mouvements, m'obligeant à mobiliser tout mon corps pour retrouver les lèvres de Monsieur. Je commence à comprendre que je vais devoir tout apprendre de zéro, même bouger. Après avoir partagé cette cigarette, il me demande de me rendre dans la chambre, de me mettre en sous-vêtements et de lui faire savoir lorsque je serais prête, mains derrière la tête. À son arrivée dans la chambre, il corrige ma posture : “face au miroir! Tu lèves les yeux et tu te regardes ou tu me regardes. Les jambes écarté pour que je puisse accéder à ton sexe à ma guise. Il en sera ainsi à chaque moment, en voiture ou assise à table, je veux pouvoir y accéder à tout instant“. L’inspection se poursuit : “à quand remonte ta dernière douche?” je réponds qu’elle était du matin même, mais que le déodorant a été arrêté depuis 3 jours. “ce n’est pas ce que je t’ai demandé! Tu ne sens rien!” rapidement j’ai arrêté d'essayer de me justifier, car en effet je n’ai pas respecté les règles que Monsieur m'avait communiqué. Ces mains commencent à parcourir mon corps. Elles saisissent mes seins, caressent mon ventre, fouillent mon entre-jambes. Il me fait fermer les yeux et m'informe que c'est la cravache qui m'indiquera où il regarde. Je la sens caresser mes joues et mon cou, descendre le long de mon dos jusqu'à mes fesses. Glisser le long de mes jambes avant de remonter vers mon sexe, puis eflleurer mon ventre et mes seins. Je sens son souffle sur mon visage, je devine qu'il est à quelques millimètres de moi. Je lutte pour ne pas aller chercher ses lèvres. Régulièrement Monsieur M s'inquiète de savoir comment je me sent et de savoir ce que j'ai ressenti. Monsieur me fait tirer la langue et veiller à la garder sortie. Il l'embrasse, la suce, c'est déroutant mais extrêmement bon. Désormais, il me demande de m'allonger sur le lit. Il constate que je suis trempé de désir, je me permets de lui suggérer d'enlever le couvre-lit pour que je ne le tâche pas. Subitement, sa main s'abat sur ma joue. Je suis bien plus surprise que blessé “c'est pour avoir fait une suggestion ! Elle était intelligente, imagine si ce n'était pas le cas ! “. J'observais son regard espiègle et son petit sourire qui me font comprendre que maintenant c'est une séance, et que je n'ai plus autant de liberté. Je reprend place sur le lit, allongé sur le dos, les mains au-dessus de la tête, les jambes écartées (Monsieur M a été obligé de corriger ce dernier point, on efface pas aussi facilement des années d'éducation aux jambes fermées). Il me fait à nouveau fermer les yeux et de nouvelles caresses se font sentir : la douceur chaude des plumeaux, le bruissement du cuir des martinets, le claquement délicat des lanières de cuir sur mon corps. “tourne toi sur le ventre et relève la tête autant que tu peux pour que je puisse voir ton visage dans le miroir” Les caresses et les matières se poursuivent, et une nouvelle fois Monsieur M me demande ce que j'ai ressenti. J'ai expliqué que c'était plutôt agréable, mais que de loin, c'est le contact de ses mains que je préfère. J'aime sentir ce lien direct qu'elles procurent, d'être au plus prêt possible de Monsieur. J'aime quand elles me parlent et me racontent tout ce qui traverse Monsieur. J'aime l'éventail infini de sensations qu'elles peuvent offrir allant de la douceur extrême aux douleurs les plus vives. Et avouons le, j'ai soif de Monsieur, il m'a tant manqué que je veux profiter de chaque seconde pour le sentir sur moi. “tu aimes mes mains” répète t'il. Il tire sur mes hanches pour que je me mette à 4 pattes. Et c'est ainsi que débuta la première fessée offerte par Monsieur M. Les premiers impacts étaient sonores, mais dénués de douleur. Des caresses servaient d'interlude entre 2 claquements. Les coups tombaient tous au même endroit, ainsi je ne saurais pas dire s' ils étaient devenus plus forts ou si c'est ma peau qui était devenue plus sensible. J'essaie de ne pas anticiper les coups, de ne pas me raidir au moment supposé de l'impact pour profiter pleinement de ces caresses particulières. Je n'ai pas peur, c'est également pour cela que je suis détendu et que je peux me concentrer sur ces sensations nouvelles. Pourtant je sens mes sourcils se rapprocher, je commence à grimacer bien qu'il n'y ai rien de désagréable. Parfois Monsieur me feinte, en stoppant l'élan de sa main à quelques millimètres de ma peau,parfois je sens la chaleur de sa main me caresser sans toucher ma fesse. Une chose est pourtant venu parasiter mon esprit “comment va la main de Monsieur ? Je ne veux pas qu'il se fasse mal” et c’est à ce moment qu’il est devenu difficile de gérer pour moi ces pensées contradictoires. Je veux continuer à découvrir, je veux voir jusqu’où ça peut aller mais je refuse de faire souffrir Monsieur. Je me rappelle également des injonctions à m’exprimer, mais j'étais tellement concentré sur toutes ses nouveautés que mon esprit en avait délaissé la gestion de mon corps. Je ne pensais pas que cette capacité “à entrer dans ma bulle” se mettrait en place dans une situation comme celle-ci. La fessée prit fin, et maintenant la main de Monsieur M fouille mon entre-jambe. Je sent les vas et viens de ses doigts entre mes lèvres, pourtant il arriva un moment où jétait incapable de deviner ce qu’il se passais. J’entendais Monsieur gémir d’un air satisfait lorsque sa main venait à pousser de plus en plus fort. Arriva un moment où j’avais l’impression que ce sont les os de mon bassin qui retenaient sa main. La sensation était dur, comme si mon sexe était devenu de la pierre. C’était très déroutant, je n’ai jamais ressenti ça, je ne comprenais pas ce qu’il se passait. Cette sensation dur a fini par se muer en douleur, j’ai essayé de l’endurer, pourtant entre deux hurlements, j’ai fini par réussir à articuler le mot de sécurité. Immédiatement la main de Monsieur c’est calmé, elle a ralenti et c’est remise à me caresser le sexe avec douceur. Monsieur M s’allonge et me demande de venir me blottir contre lui. Il m’interroge une nouvelle fois sur mes ressentis. Je lui avoue ne pas vraiment avoir compris ce qu’il c’était passé, que je n’ai pas reconnu ces sensations dans mon vagin. Il m’explique que c’était un début de fist et que sa main était bloquée juste après le passage de tous ses doigts. J’ai souri et je lui ai rappelé que j’avais peur de ces pratiques. J’ai peur de finir avec “une porte de grange” entre les cuisses et qu’un jeu de cale soit nécessaire pour toucher les bords. Ça l'a fait rire et il m’a expliqué que le vagin est un muscle qui en effet va se détendre lors de la pratique, mais que tout rentrera en ordre après la séance. J’ai également profité de ce moment de douceur et d'échange pour lui faire part de mes inquiétudes concernant l’état de sa main après la fessée. Il m’explique aimer la douleur et que je n’ai pas à m'inquiéter pour ce genre de choses. J’aime le contraste entre ces moment d’une tendresse infini, où je peut faire glisser doucement mes doigts sur la peau de Monsieur, observer l'encre qui l’habille, où nous pouvons nous parler avec franchise, où nous rions de bêtises comme des enfants, avec les moment où la voix de Monsieur deviens stricte, ses mains rudes et ces gestes affirmé. Toutefois, même dans les moments les plus douloureux, je n’ai pas ressenti de brutalité de sa part. Il fait preuve d’une certaine élégance si je peux le définir ainsi. Je vois la brutalité comme quelque chose de violent et de terrifiant, pourtant, aux pieds de Monsieur M je me suis toujours sentit en sécurité. J’ai de mainte fois été surprise pas des sensations nouvelles mais jamais effrayée. Je me suis montrée inquiète avant que la séance ne débute, pourtant, une fois en scène, tous les doutes se sont envolés. Après avoir partagé une nouvelle cigarette, je vis mes poignets accrochés à la barre d’écartement. Voilà qu’est venu le moment de ma première punition, celle pour ne pas avoir respecté les consignes en ce qui concerne les douches. “tu auras 15 coups, tu dois les compter et me remercier à la fin”. Cette fessée n'avait absolument rien à voir avec celle administrée précédemment dans le lit. Arrivé vers 4 ou 5, j’ai commencé à rire nerveusement, c’est une manière incontrôlable chez moi de gérer la douleur. Les coups se sont durcis davantage. J’essai d'expliquer que c’est nerveux, que je ne me moque pas de Monsieur, mais je comprends que mes supplications n’auront aucun effets bénéfique pour moi, alors je me mords la lèvre inférieur pour retenir le rire, j’essaie de continuer à respirer régulièrement, mais chaque coups me coupe le souffle. 15! Enfin! “merci Monsieur”. De jolies bleus ornent mes fesses depuis plus de 48h. Deuxième punition (eh oui! je suis vraiment vilaine) pour l’achat d’une bague sans avoir demandé l’avis de Monsieur avant. Cette fois-ci, ce sont mes seins qui ont trinqué. Au tintement des grelots, je devine que ce sont les pinces qui ont atterrit sur mes tétons. Les sensations étaient parfaitement gérables tant que Monsieur n'avait pas commencé à tirer dessus. Mais il s'est tellement acharné que j’avais l’impression qu’il faisait rouler des cactus dessus. à force de tirer, mon sein gauche “a perdu” sa clochette, pourtant les mains de Monsieur ne se sont pas calmé pour autant. Je me suis surprise à vouloir me soustraire à cette situation si inconfortable en faisant un pas en avant, mais mes mains étaient bloquées par la barre d’écartement et la poutre. C’est atroce, mais c’est une punition, je dois l’endurer pour laver cet affront. Je suis incapable d'identifier ce qu'on me fait, les sensations sont si intense, si douloureuse, si inconnu pour moi. La séance prend fin lorsque Monsieur arrache d'un coups sec la pince restée sur mon sein droit. Jusque là, ce téton avait été relativement épargné, pourtant en une fraction de seconde il a atteint l'état de son voisin. Je n'imaginais pas mes seins aussi sensibles. Arriva un moment dans la soirée où Monsieur s'est allongé sur le lit et m’a invité à le découvrir. J'ai demandé confirmation, savoir si je ne devais découvrir qu'avec les yeux ou si j'avais le droit de toucher. “tu peux toucher” Oh bon sang ! C'est Noël ! Je me suis empressé de déboutonner sa chemise, passer mes mains sur son torse, lover mon visage dans son cou. Il sentait divinement bon! Après toutes ces heures, il a gardé un parfum subtil de fleurs. Je ne pu m'empêcher de faire courir ma langue sur son corps, je mourrais d'envie de le goûter. Et lorsque je l'ai croqué, Monsieur c'est tendu et à gémi, on dirais qu'il aime ça 😊 j’entrepris de goûter chaque parcelle de son corps : son oreille, son cou, son torse, ses tétons. Tétons qu'il m'a demandé de malmener. Alors j'ai tiré dessus avec les dents, j'ai mordu plus fort qu'à l'accoutumée mais ce n'était pas assez : “bouffe-le ou tu sera puni ! “ Me voilà à apprendre à mordre désormais, chose que j'ai retenue toute ma vie. Je pense que j'ai fini par y allé assez fort, car les injonctions se sont calmées. Je poursuis mes explorations gustatives. Je glisse ma langue dans son nombril, je goûte ses hanches avant d' ôter son pantalon. Son sexe se montre enfin à mes yeux, toujours orné à son sommet d'un épais anneau ciselé de motifs. J'ai été tellement heureuse de pouvoir faire courir ma langue sur toute sa longueur, de faire le tour de son piercing. J'ai rapidement compris que ce qui plaisait le plus à Monsieur, c'est lorsque cet anneau rencontrait le fond de ma gorge. Les motifs gravés dans le métal se faisaient bien sentir les bougres et venaient ajouter de la difficulté à mon inexpérience. J'essayais de retenir des quintes de toux, malheureusement mon corps en a décidé autrement. J'avais tant envie de satisfaire Monsieur, je voulais tellement lui donner du plaisir que je m'appliquais à pousser l'anneau toujours plus loin dans ma bouche. Monsieur fini par intervenir “tu n'est pas noté, alors ne force pas”. J'ai trouvé ces paroles très gentilles, pourtant j'imagine que je devais avoir l'air bien pitoyable si il s'est senti obligé d'intervenir. Depuis, j'ai décidé d'entraîner ma gorge pour ne plus me ridiculiser ainsi. Je veux rendre Monsieur très fière lors de notre prochaine rencontre et de lui offrir une fellation digne de lui. Après l'avoir habillé d'un préservatif, j'ai eu le droit de faire glisser son sexe dans le mien. Bien que la situation me soit bien plus familière que toutes les expériences précédemment vécues, elle ne pouvait toutefois pas être banale avec Monsieur. Cet anneau d'acier ne voulait clairement pas passer inaperçu et massait mes muqueuses rendant chaque vas et viens très intense. Monsieur M me laissa le découvrir à mon rythme, gérant mes mouvements de bassin lorsque je le chevauchais. J'ai adoré découvrir l'effet que Monsieur avait sur moi lorsque j'en étais rempli. Vint le moment où il repris la main sur le rythme. La cadence est sèche et rapide. Assez rapidement, nous sommes passés en levrette. Son bassin claquait avec force sur mes fesses. J'ai adoré sentir cette anneau explorer de plus en plus loin, le sentir me remplir sans douceur. Sentir ses mains agripper fermement mes hanches puis empoigner mes cheveux. J'adore toute la bestialité qu'apporte Monsieur à cette chevauchée, c'est une chose qui manquait tant dans mon intimité. Après avoir joui, il s'allonge et me prend dans ses bras. Un constat étrange traverse mon esprit “j'ai l'impression que c'est Monsieur qui ai à mon service”. En effet, il a consacré de longues heures à me faire découvrir une multitude de sensations, et ce n'est que lorsque la nuit était bien avancée qu'il s'est accordé du plaisir. Cet homme m'épate et m'impressionne. Il a cette capacité à souffler le chaud et le froid, à montrer une douceur extrême après une correction sévère. Bien que je n'ai fait rebondir entre les antipodes toute la soirée, je me suis toujours senti calme et en confiance. Monsieur M est émotionnellement très stable, ainsi, même lorsque je voyais une étincelle sadique illuminer son regard et ses lèvres se figer dans un rictus carnassier, je n'ai jamais eu peur que ça ne dérape. J'ai été confiante, et maintenant je m'assoupi dans ses bras. Je suis vraiment heureuse d'avoir croisé son chemin et ravie qu'il veuille bien de moi à ses pieds. J'ai tout à apprendre et je suis grisé par cette perspective. J'ai envie de le satisfaire, j'ai envie de devenir meilleure pour lui, je veux le rendre fière, je veux mériter ma place près de lui, je veux… Je veux,... Que ça ne s'arrête jamais.
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Gamine de la Maison Noire
Répondant aux consignes de Monsieur M, je vais décrire ici notre première rencontre et surtout ma première rencontre D/s dans le cadre d'une relation suivie. J'ai cru comprendre que ce récit est un cadeau de sa part à toute la communauté du site. Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture. Après de longues semaines passées à converser de manière virtuelle avec lui, un rendez-vous à enfin été fixé en réel. Pour une première, tout se passera dans des lieux publics. D'abord un bar où les discussions étaient fluides, se balançant entre bavardages classiques et réponses sincères au sujet de BDSM. C'est assez déroutant de parler de ce genre de choses en public, on a toujours l'impression que les autres écoutent… Pourtant j'étais à l'aise. Nous avions déjà convenu que je serai sa novice et qu'il me ferait découvrir la relation D/s suivi, une grande nouveauté pour moi. Par le passé, je n'ai jamais trouvé de Dominant à qui j'aurais voulu offrir mon cou pour un collier. Je pensais que tous les Dominants avaient une attitude militaire, pourtant Monsieur M a un regard tendre et sincère, une voix douce et calme. Pour mon plus grand plaisir, il souhaite davantage m'apprivoiser que me dresser. C'est calme et rassuré que je le suit hors du bar. Là, il pose ses lèvres sur les miennes. Je suis surprise, mais également soulagée de m'être montrée à son goût. Il apprécie la saveur du tabac dans ma bouche me faisant prendre conscience dans le réel de l'utilité de la consigne concernant ma consommation de cigarettes. Il me dit avoir un achat à faire et m'invite à le suivre. Je me retrouve dans une boutique de lingerie, apparemment pour m'acheter un soutien gorge. Je me sens un peu bête en face ces vendeuses qui m'interrogent, mais Monsieur M répond à ma place sans ciller. Finalement, me voilà dans une cabine d'essayage, en train de retirer ma robe. Je suis presque nue, le bas uniquement couvert d'un string et de bas résilles. C'est à ce moment que Monsieur M se glisse à travers le rideau. Je panique un peu, je tire sur le rideau pour que personne ne le voit ici. Son regard s'enflamme lorsqu'il me découvre, ses mains caressent mon corps, ses lèvres occupent ma bouche. J'ai dû lui paraître gêné, car en un battement de cil il avait disparu. Pourtant j'étais terriblement excité par la surprise et l'interdit. Mon corps s'est directement enflammé. J'ai eu du mal à retrouver une attitude neutre en sortant mais comme je peux m'exprimer librement, les rires et les bavardages m'ont rapidement aidé à retrouver mon calme. J'ai aimé retrouver régulièrement ses lèvres lorsque nous marchions dans la rue sentir ses doigts s'enlacer autour des miens. La soirée s'est poursuivie dans un cinéma. Sans grande surprise, je l'ai suivi vers le coin de la salle, tout en haut. Un coin un peu plus intime. Monsieur M m'as demandé d'attacher mes cheveux afin qu'il puisse profiter de la coupe qu'il m'avait demandé. Une coupe très affirmée avec de grandes parties rasées. Je sentais sa main sur ma nuque, la saisissant parfois fermement avant de la caresser tendrement. J'ai été invité à me rendre aux toilettes pour me débarrasser de mon string. Je n’ ai pas hésité longtemps avant de me lever. Elle était complètement trempée, pleine de désir tout comme moi. Lorsque je suis revenu dans la salle, la projection commençait, les lumières se sont éteintes, l'ambiance à gagner en intimité. C'est avec un infini plaisir que j'ai de nouveau senti les mains de Monsieur M danser sur tout mon corps. Caresser mon entrejambe, saisir mes seins. C'est la première fois qu'ils avaient à subir de tels assauts. Étrangement, bien que Monsieur M ne se soit pas montré tendre avec eux, ce n'était pas douloureux. Je le sentais me pincer, tirer dessus, faire rouler mes tétons entre ses doigts. J'ai eu le malheur de souffler “même pas mal” et là j'ai compris que jusque là, je jouissais de toute son expérience en la matière car j'ai rapidement été rappelé à l'ordre par une vive douleur. Impossible de crier dans cette salle de cinéma, je n'avais pas envie qu'on en soit délogé. J'ignore encore comment j'ai fait pour endurer celà, 2 jours après, la douleur est toujours présente, comme un petit souvenir de cette soirée. Il a également saisi fermement mon cou, l'a serré jusqu'à m'empêcher de respirer. J'ai senti mon corps commencer à réclamer de l'air, pourtant je suis resté sans craintes. Je doit même avouer que j'ai adoré ça ! C'est là que j'ai compris que mon cerveau était éteint, que ce que j'attendais d'une relation D/s était bien au rendez-vous et que celà dépassait toutes mes espérances. Un lâcher prise libérateur où mon corps ne m'appartient plus, où réfléchir n'est plus utile, ce n'est plus à moi de le faire, il ne me reste qu'à obéir. J'ai tant de choses à découvrir sur cette relation et sur moi-même. Dans la salle de cinéma, les expériences s'enchaînent. Ces doigts explorent ma bouche, se glissent doucement dans ma gorge. Il m'a également demandé de me caresser avant de saisir ma main et de goûter mes doigts. J'ai adoré le sentir respirer par ma bouche lorsqu'il m'embrassait. J'ai adoré sentir son piercing glisser sur ma langue. J'ai frémi de plaisir lorsqu'il venait à me mordre. Monsieur M a placé son manteau sur ses genoux, je m'en suis réjoui me disant qu'à mon tour je pourrais lui donner du plaisir, même si avouons le, je ne lui arrive pas à la cheville en la matière… J'ai glissé ma main sous son jeans et à travers le tissu de ses sous-vêtements j'ai découvert sa virilité. Elle était terriblement ferme et me faisait très envie. Mes doigts remontaient le long de sa verge et ont fini par découvrir un énorme piercing au sommet. J'ai été déroutée, je craignais de lui faire mal. Je lui ai signalé mes craintes, il m'a expliqué aimer la douleur. Pourtant il est difficile d'effacer des années de vigilance de mon esprit. Plus je laissais courir mes mains sur lui, plus je sentais le désir de lui faire plaisir. J'étais quelque peu frustré de manquer de place pour celà, j'aurai adoré l'enserrer avec mes lèvres, laisser glisser ma langue sur toute sa longueur… pour la peine je me suis vengé sur son oreille pendant que ma main caressait son entrejambe. J'ai laissé ma langue caresser son pavillon, mes soupirs glisser dans le creux de son oreille, mordre son lobe… Bon sang! Qu'est ce que j'ai envie de lui faire plaisir ! D'apprendre à le satisfaire. Il n'y a pas de plus belle récompense que celle de l'entendre gémir, de le sentir frémir et de ressentir toute son ardeur dans ces gestes. Le film touche doucement à sa fin… L'ambiance entre nous se détend et devient câline. Je me surprends à glousser comme une adolescente, visiblement quand mon cerveau est parti, il a embarqué la maturité avec lui. Je me sens si bien dans ces bras. La lumière inonde de nouveau la salle, il me propose de continuer avec un dernier verre. La conversation était agréable, c'est plaisant de parler sans filtre. Le vouvoiement est naturel chez moi alors la conversation était facile. J'ai même pu me montrer taquine et plaisanter preuve d'une complicité naissante. La soirée va malheureusement devoir se finir. Je me retrouve dans sa voiture pour ces derniers instants. Je me rappelle lui avoir demandé l'autorisation de goûter son sexe. Au départ il me le refuse, mais devant ma moue déçue il finit par me donner son accord. Je la découvre enfin, éclairée par la lumière des réverbères du parking. Elle est magnifiquement élancée et ferme. L'énorme anneau à son sommet me laisse perplexe, mais rien qui ne me coupe l'envie d'y goûter. Je pose doucement ma langue, je slalom autour de l'acier. J'écarte légèrement les lèvres et fait glisser son sexe dans ma bouche. Que c'est bon, je suis ravie de pouvoir la goûter, de la sentir remplir ma bouche. L'acier fait sonner mes dents, je sent Monsieur M se tendre. Il saisit ma tête et prends en main le rythme quelques instants, poussant l'anneau au fond de ma bouche. Je suis terriblement déçu d'être incapable de maîtriser mes reflexes. J'aurai aimé aller jusqu'à poser mon nez sur son pubis. J'ignore si c'est parce que ma prestation était médiocre ou pour rester dans le contrôle total, mais Monsieur M met fin à la dégustation avant son terme. J'ai très envie d'apprendre à le servir comme il aime, à lui donner entière satisfaction. J'ai adoré cette balançoire émotionnelle, j'ai adoré toute cette soirée, j'aurai voulu qu'elle ne se termine jamais. Je ne voulais pas quitter cette bulle en dehors de la réalité. Je me suis senti vivre, les deux pieds dans l'instant. C'était si fort ! J'en veux encore ! Je veux me lover à ses pieds, être la meilleure chienne possible pour lui donner envie de me garder. J'ai envie d'offrir mon cou à son collier.
Soyez la première personne à aimer.
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