Marie FrédéricG
Désolée Fred...ah ba non, je ne vois d'ailleurs pas pourquoi je serai désolée! Cependant, votre profil ne m'attire sur aucun point. Même si je reste Femdom. Restons heureux de se croiser sur le mur G....PS : j'espère ne pas être un faire valoir pour d'autres...ce serait bien indélicat de votre part...
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FrédéricG
Bonsoir, non absolument pas, c’était sans arrière pensé de ma part. Par simple courtoisie. Aucun soucis Madame
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02/01/24
Lettre d'aveux :
Oui, je l'avoue, ici même, devant vous, je suis absolument époustouflé par la beauté. Je suis totalement à sa merci. Je n'arrive pas à en faire autrement. Je suis à son écoute, à sa recherche, quand, en fin de compte, elle croise son chemin avec le mien, je deviens alors spectateur, attentif du moindre mouvement. J'attends furtivement comme on peut attendre au coin d'une rue, un regard, une voix. Je me sens troublé quand je reçois un message, quand j'entends son ordre naturel. Alors tout prend place. La mienne est d'être à ses côtés, à son service, son écoute, la satisfaire. La beauté se suffit à elle-même, elle n'a pas besoin qu'on la raconte, d'ailleurs, si on dit la voir, elle disparaît. Alors je reste patient, je reste muet devant elle. J'attend qu'elle m'offre de son spectacle, quelque minutes, seconde, de son être. Je suis là, patiemment attentif et dévoué. Merci Madame de m'offrir tant de beauté. Je vous suis dévoué. Êtes-vous réel ? Ou simplement un doux mirages que mes yeux inventent, tentant d'approché la perfection, en attentant, je remercie, oui, je remercie chaque instant qui m'est donné de contempler votre beauté Dame Thémis.
Frédéric
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Féminine sexy (je pense !) dynamique et sensuelle j'aime les aventures joyeuses et sans lendemain .:.
Billet d'humeur :
Ce que je n'aime pas dans le bdsm.
Oui, il y a bien des choses qui peuvent m’agacer dans notre monde. Mais je pense que celle qui m'agace le plus est cette surenchère. Surenchère dans les mots, j'ai l'impression que certaines personnes ont trouvé dans le bdsm un moyen de montrer qu'ils sont exceptionnels. Soyons humble, tout se voit, et je ne trouve ça affligeant de voir des post, sur les sites spécialisés, des posts donc remplits de miel et de « trop » , non le bdsm ne nous transforme pas en chevalier, divinité ou autre super héros, non nous n'avons pas quelque chose de plus que les autres, non encore une fois, nous ne devons pas nous placer au dessus, ou nous trouver des excuses. Soyons le meilleur de nous même tous les jours, écoutons les critiques qui nous entourent, progressons, le bdsm est un refuge certes, mais pas un moyen de stagner dans nos propres fantasmes de nous même. Soyons forts, libres et heureux. Bonne journée à tous et à toutes.
Frédéric
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Anecdote :
Méditation.
Tous les dimanches o presque, c'est un petit rituel. Un moment simple, réservé, je prends tous mes souliers, ou ceux qui en ont vraiment besoin, et j'entame une séance de cirage. Aligner devant moi, des paires de mocassins, de Chelsea boots, de Jodphur. Toutes noir, c'est une discipline et j'avoue que les souliers noirs sont parfaits pour le cirage. J'enlève la poussière avec une brosse preuve à cet effet, puis j'entame les soins, de la crème nourrissante à la pâte de cirage, voir de glaçage si l'humeur et la patience sont au rendez-vous. Avec un fond sonor au choix, un café, commence alors ces mouvements de routines, les odeurs se mélangent, le cuir, les produit Saphir, avec leurs senteurs propres se propagent dans la pièce, commence alors cette méditation douce, avec une légère concentration et un plaisir à voir ses souliers reprendre vie. Une fois les différentes étapes accomplies, je range mes souliers, satisfait et détendus. Ce moment je l'apprécie aussi quand je m'occupe des bottes ou souliers à talons de ma Maitresse, je prend un soin encore plus particulier, je prend mon temps, je sens son odeur, les souvenirs de nos jeux remontent, enfin je suis fier de lui présenter ses bottes et autres souliers à talon, propres, brillant, prêt à affronter le jour, peau neuve pour la personne qui m'accepte et que je respecte infiniment.
Frédéric
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Billet d'humeur :
Le temps et son importance.
Avant même mon tout premier rapport, j'ai connu une Femme, nous sortions a peine de l'adolescence, 18 ans a peine, un groupe d'ami, de tout horizon, nous ne connaissions rien encore au plaisir du corps pour beaucoup d'entre nous, vivent dans une petite ville, les sorties et autres étant limitées, nous étions encore en recherche, cette femme donc, que je nomerai pas, était particulière, de part son style, plus classique que les autres, mais surtout par sa façon de vivre, intellectuelle, elle aimait la technique plus que l'émotion, cette froideur d'apparence m'intriquait, de discussion en discussion, nous avons apris à nous connaître. Elle m'avoua que ce qui lui plaisait, c'était d'être une femme qui pénétrait ses partenaires, elle avait chez elle des livres sur les plaisirs prostatiques et également les mouvements lesbiens. Je sentais en elle cette envie d'aller plus loin, je lui montrais des signe mes évidents d'interet, mais elle m'a toujours rejeté, prétextant que j'étais trop sensible, qu'elle ne voulait pas m'abîmer. Frustre, un premier temps, je lui en suite remercier, même si l'on s'était perdu de vu depuis longtemps, oui merci, car vierge encore à l'époque, quelle incidence aurait eu sur mon esprit ce premier rapport. J'ai perdu mon pucelage un an après, a 19 ans donc. Dans une situation vanille. Et j'avoue que je suis heureux, heureux d'avoir pris le temps, je pense qu'il est important de jamais se précipiter. Je ne sais pas ce qu'elle devient. Je n'y pense pratiquement jamais. Sauf aujourd'hui, je lui dis, merci.
Frédéric
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C est un bel hommage pour une femme intelligente en effet ..
Elle a eu raison...cela aurait bouleversé votre sexualité et vous aurait peut être privé de tout ses aspects. ..
D avoir pris le temps vous a permis de goûter à tous les plaisirs sans enfermement dans telle ou telle sexualité cloisonnée .
Des articles toujours intéressant FrédéricG 🙂
Billet d'humeur : jeux interdits.
Il m'arrive au plus profond de mes fantasmes, quand mon sub-space s'ouvre à mes désirs les plus secrets, enfouis dans mon être. Mon esprit alors se perd dans les jeux interdits, étape franchit, les partages de caviar et champagne. Je l'avoue, pour moi, cela représente une forte emprise, une excitation cérébrale surpuissante, recevoir la personne dominante de cette façon, une étape de plus dans le partage. J'avoue qu'il m'arrive souhaité être là toilette de la personne qui domine mes envies. Mais alors est-il possible d'y arriver, toute la question est là... Comment pratiquer, qu'elles sont les dangers, les plaisirs, que veux dire cette nouvelle façon de partager sur qui nous sommes, l'impact psychologique également pour les deux participants ? Certains plaisirs, devraient-ils demeurer au stade du fantasme permanent ? Je vous et me pose la question.
Frédéric
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Oups! Comme à mon habitude, j'ai annulé par erreur une demande d'amitié sans la regarder...un comble pour une informaticienne...
Auriez vous la gentiellesse de renouveler votre demande. Argumentée?
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Billet d'humeur :
La chasteté.
Oui, je sais... C'est un grand classique, voir un cliché dans notre monde, mais pour moi, c'est un sujet clé, sans mauvais jeu de mots. Comme pour tant d'autres, mon besoin d'être chaste vient de mon obsession... Celle de jouir, quand je veux, le plus possible, sans même y prendre plaisir, ce côté mécanique et malheureux que nous les hommes pouvons avoir. Ne plus avoir le contrôle sur cette partie de mon anatomie, m'ouvre à d'autres plaisirs, une autre écoute, laissant mon ego derrière moi, écoutant la voie de l'autre et la mienne du coup, je me laisse être guidé, je me laisse me livrer. La chasteté m'offre la liberté, je ne suis plus obsédée par mes pulsions, elles sont redirigées, comprises, je ne suis plus focalisé sur mon petit moi, mais sur un échange, un nous deux. Elle m'ouvre à tant de plaisir, la frustration étant quelque chose de très grisant pour moi, elle me permet d'aller plus loin encore dans cette quête et ce plaisir cérébral. De plus, les sensations sont encore plus fortes, le toucher, etc... Je suis quelqu'un qui n'a pas peur d'explorer toutes les zones de plaisir de son corps, la chasteté m'a fait découvrir le plaisir prostatique et avec lui parmi les orgasmes les plus forts. Pour moi, elle fait partie de mon quotidien, qu'elle soit mentale ou avec accessoires, la chasteté une fois instaurée est pour moi primordiale, je la respecte, par respect pour ma dominante et pour ma parole. Au final, la chasteté pour moi est sûrement ma plus grande ouverture au monde et à l'écoute des sens.
Frédéric
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Gynarchie :
Être la pour elle, s’abandonner dans la confiance, être en osmose des sens, savoir qui l’on est, voilà qui je suis, voilà ce que j’offre, je suis son complice, son confident, j’aspire à être la meilleure partie de moi même, pour celle qui me fera l’honneur de partager son être.
Frédéric
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17/12/23
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Nouvelle : texte érotique fictif « Un jour, on verra, peut-être... » Cela faisait maintenant trois semaines que je côtoyais cette Femme, trois semaines que nous faisions l'amour plusieurs fois par jour, il m'arrivait de ne pas suivre, j'aime son côté animal, elle me surprend toujours, je sens de la force, une sorte de combat, ou nous, protagonistes, nous nous chamaillons avec plaisir et consentement. Victime volontaire de ses jeux, je prenais un réel plaisir à la laisser mener la danse, même si parfois, je lui demandais d'être moins rude, elle rigolait alors, en me glissant tendrement des pauvres chatons, tu veux bien me faire plaisir ? Être un bon garçon ? Ceux à quoi, je répondais systématiquement oui... Totalement incapable de pouvoir faire autrement... Ne voulant pas la décevoir ou tout simplement par pur plaisir, plaisir que je commençais à m'avouer. J'aime me promener avec elle, en journée, bras dessus dessous, elle toujours si élégante, même en jean, elle a toujours un détail qui rappelle sa féminité que j'apprécie tant, une paire de talons, de bas, une façon de se coiffer, de rire. Tout lui rappelle à la féminité, absolue. Hier soir, nous dînions ensemble chez elle, elle portait une nouvelle tenue, une jupe de cuir, un haut en dentelle, des bas, et une nouvelle paire d'escarpin noir, ses cheveux tirés en arrière, elle ne parlait presque pas, un sourire figé... Ha, au fait, me lance t'elle, oui ? Je répondis un peu idiot. Tu sais, je pensais, maintenant, il va falloir que tu sois sage, je sais que tu es un bon garçon. A entendre ces deux mots mon excitation grimpa soudainement, donc, reprend-elle, maitenant que tu as bien, voir trop profiter, je veux que tu sois chaste pour moi. Elle me fixa. Je ne savais quoi répondre. Comment ça ? Ces mots sortie bêtement de ma bouche alors que mon excitation à peine dissimuler était à son paroxysme. Elle le remarque, se leva, elle se dirigea vers le meuble de l'entrée, sortie une boîte. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait, mais je ne voulais pas partir. Elle posa la boîte et dit, ce soir, je vais sortir, sans toi, ce soir, je vais voir un autre homme, mon corps tremblait... Ouvre la boîte, sa voix avait changé, je lui obéis. A l'intérieur, une sorte de tube, avec des anneaux. Ceci, dit elle, est une cage de chasteté, tu es intelligent, tu as compris le principe, tu vas la porté pour moi, tu vas le faire, parce que tu en as envie, j'ai vu ton comportement, je sais qui tu es. Tenant la cage, je me mis à genoux. Hey bien ! En voilà un bon garçon, mon esprit bouillonné, elle m'aida a enfilé la cage, qui était parfaitement adapté, puis, glissant la clef, sur son bracelet de cheville que je lui avait offert la semaine dernière, j'embrassa délicatement son escarpin, sans toucher à sa peau, sous son ordre, au moment de nous dire au revoir, je lui posa cette question. Quand aurai-je le droit d'enlever la cage Maîtresse ? Sa réponse fut courte, mais pleine de sens : « Un jour, on verra, peut-être... » Frédéric
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Nouvelle : texte érotique fictif
« Un jour, on verra, peut-être... »
Cela faisait maintenant trois semaines que je côtoyais cette Femme, trois semaines que nous faisions l'amour plusieurs fois par jour, il m'arrivait de ne pas suivre, j'aime son côté animal, elle me surprend toujours, je sens de la force, une sorte de combat, ou nous, protagonistes, nous nous chamaillons avec plaisir et consentement. Victime volontaire de ses jeux, je prenais un réel plaisir à la laisser mener la danse, même si parfois, je lui demandais d'être moins rude, elle rigolait alors, en me glissant tendrement des pauvres chatons, tu veux bien me faire plaisir ? Être un bon garçon ? Ceux à quoi, je répondais systématiquement oui... Totalement incapable de pouvoir faire autrement... Ne voulant pas la décevoir ou tout simplement par pur plaisir, plaisir que je commençais à m'avouer. J'aime me promener avec elle, en journée, bras dessus dessous, elle toujours si élégante, même en jean, elle a toujours un détail qui rappelle sa féminité que j'apprécie tant, une paire de talons, de bas, une façon de se coiffer, de rire. Tout lui rappelle à la féminité, absolue. Hier soir, nous dînions ensemble chez elle, elle portait une nouvelle tenue, une jupe de cuir, un haut en dentelle, des bas, et une nouvelle paire d'escarpin noir, ses cheveux tirés en arrière, elle ne parlait presque pas, un sourire figé... Ha, au fait, me lance t'elle, oui ? Je répondis un peu idiot. Tu sais, je pensais, maintenant, il va falloir que tu sois sage, je sais que tu es un bon garçon. A entendre ces deux mots mon excitation grimpa soudainement, donc, reprend-elle, maitenant que tu as bien, voir trop profiter, je veux que tu sois chaste pour moi. Elle me fixa. Je ne savais quoi répondre. Comment ça ? Ces mots sortie bêtement de ma bouche alors que mon excitation à peine dissimuler était à son paroxysme. Elle le remarque, se leva, elle se dirigea vers le meuble de l'entrée, sortie une boîte. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait, mais je ne voulais pas partir. Elle posa la boîte et dit, ce soir, je vais sortir, sans toi, ce soir, je vais voir un autre homme, mon corps tremblait... Ouvre la boîte, sa voix avait changé, je lui obéis. A l'intérieur, une sorte de tube, avec des anneaux. Ceci, dit elle, est une cage de chasteté, tu es intelligent, tu as compris le principe, tu vas la porté pour moi, tu vas le faire, parce que tu en as envie, j'ai vu ton comportement, je sais qui tu es. Tenant la cage, je me mis à genoux. Hey bien ! En voilà un bon garçon, mon esprit bouillonné, elle m'aida a enfilé la cage, qui était parfaitement adapté, puis, glissant la clef, sur son bracelet de cheville que je lui avait offert la semaine dernière, j'embrassa délicatement son escarpin, sans toucher à sa peau, sous son ordre, au moment de nous dire au revoir, je lui posa cette question. Quand aurai-je le droit d'enlever la cage Maîtresse ?
Sa réponse fut courte, mais pleine de sens :
« Un jour, on verra, peut-être... »
Frédéric
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