Eric

Un petit soupcon de romantisme dans ce monde de brute...ca fait du bien...

Que de reponses...:) (interessantes je precise) Il est difficile de répondre à ce genre de questions, car il faut à tout prix éviter d’entrer dans les clichés, et de mettre les gens dans des cases… Ces émotions, bdsm, esclave, sont des émotions et des envies très particulières, propre à chacun, et qui plus est, changeant suivant la période de sa vie. Je pense que la soumise doit avoir une base de soumission au fond d’elle, mais cette envie de vivre cela va se manifester à un certain miment de sa vie, dans certaines conditions ; La notion d’esclave, aussi simple qu’elle puise paraitre est très complexe. On peut avoir envie d’être esclave sur certaines choses et pas d’autres. J’ai connu une soumise, qui au fil de notre relation, a pris conscience de son envie de vivre esclave. Alors oui bien sur on peut parler de l’aspect sexuel des choses, mais cela va au delà, c’est-à-dire qu’elle avait envie, et besoin, que je gère sa vie, ses décisions, car évidemment elle savait au fond d’elle que je cherchais le meilleur pour elle. Mais son envie d’être esclave, n’était pas visible lors de sa jeunesse, ni à nos débuts. C’est un mélange d’envie, de confiance qui a fait ressortir cela. Donc je dirai que l’on ne devient pas esclave, mais quelqu’un a un moment donné, vous offre la chance de vivre ce dont vous rêvez. Elle m’a dit un jour, je suis ton esclave, et je me sens lire et heureuse. Car oui on peut être esclave et se sentir libre, libre des contraintes parfois pesantes de devoir gérer sa vie.

Moi perso, j'ai trouvé la solution...quelqu'un me demande en ami...je n'ai pas de message sous 48h...Je l'efface...ca evite les collectionneurs d'amis

Un énérvé du slip, un parmi tant d'autres...

@sylvie35, C'est exactement ca !! :) :)

Beaucoup de monde a ce cote swith, j'ai eu une soumise switch, bon malheureusement pour elle je ne suis absolument pas soumis, mais une relation avec un switch n'est pas un probleme. Ce qui serait interessant c'est d'expliquer ta vision du bdsm, et par contre preciser la partie "me faire détruire, massacré et humiliée", parce que bon...pour avoir eu une soumise qui aimait se faire violenter, ca peut aller loin.

Je voudrai aussi préciser une chose, qui peut paraitre négligable, mais à l'epoque, cela me procurait aussi du plaisir, bien sur à la "punir", mais aussi à chercher à fabriquer des outils ou des choses pour cette jouissance qu'elle allait connaitre. D'ou l'interet de les faire soi même plutot que acheter des choses toutes faites dans le commerce (je parle en general pas forcement de la ceinture avec des punaises)

@marie, ah oui effectivement, je ne suis pas entré dans le details de notre relation, mais effectivement la punition faisait partie du jeu, c'est pour cela que j'avais indiqué "mais jouissant du plaisir que cela lui avait provoqué, malgré le fait que ce soit une punition". si il etrait question de "vraie" punition, elles etaient tout autre, n'amenant pas le plaisir. Mais je peux comprendre les personnes qui ont du mal à comprendre la notion du plaisir dans la douleur et dans la punition, mais si on pousse le principe de la soumission, d'un point de vue pysché, cela est très logique... Ceci dit...La logique, et la raison....C'est un autre débat...

Adorant particulierement cette pratique, ma soumise avait du mal au debut à tout prendre en bouche, et effectivement des hauts de coeur, et cela est normal.  Le temps d'habituer sa gorge, elle a trouve dans un sex shop, un produi "anesthésiant " le fond de gorge. Un produit a diffuser un peu avant. Au fil du temps, elle est ainsi devenue une experte de la gorge profonde.