Nous revoilà dans une combinaison sombre qui va me revaloir pas mal de réaction négative. Que pourrait bien donner la combinaison de la discipline et du sadisme? Une discipline pour faire souffrir, une discipline pour détruire ou déshumaniser, ou encore, j'aime à le penser, une discipline pour mener à un extase intense. Ici, on va avoir des choses encore une fois très présente dans les société archaïque : humiliation systématique dans les prisons, traitement de destructions de l'égo par les moeurs sociales d'une personne de status supérieur sur une personne de statut inférieur, harcèlement morale sur le lieu de travail ou a l'école. Et des jeux de chaud / froid pour le dire simplement ou la discipline est utilisé pour créer un méga contraste de sensation.
I- Harcèlement contre l'égo (morale)
Tous le monde connais le mot, mais la définition reste peu rigoureuse dans son application. Beaucoup l'utilise pour se placer en victime afin d'agresser une autre personne et d'autres la néglige quand elle est bien là. C'est tout simplement des actions répétées de façon régulière sur une période importante affin de détruire l'égo d'une personne. Pourquoi est ce que c'est si présent? Parce que c'est très efficace pour former de vrais esclaves dévoués ou des faire-valoir. Une personne sans égo, c'est une personne dévoué qui ne se mettra pas en avant. Je suis sure que tout le monde a déjà ressenti ce petit frisson jouissif après avoir réussi à humilier une personne avec un fort égo. Que tous le monde se sent plus ou moins flatté une fois entouré de personne qui se sentent inférieurs et qui sont au petit soin.
Le harcèlement fonctionne mieux si il est doux et progressif car il ne lève pas tout de suite les défenses de la victimes. L'idée ça va être ici aussi de la fatiguer, mais pas pour en prendre le contrôle comme dans le cadre d'une discipline dominante, mais vraiment dans le bute de la détruire pour jouir de sa souffrance. Pour avoir de bon résultat, la victime dois être isolé, le sadique qui s'adonne à cette discipline sombre est généralement une personne qui à le contrôle de l'environnement sociale de sa victime. Il peut être le directeur d'une prison, le chef d'une équipe en entreprise ou un étudiant populaire dans une classe. Petit a petit, à force d'être systématiquement descendue par des remarques humiliantes et attaques personnelles avec ou sans fondement, souvent entouré de spectateurs complices, ou carrément être humilié physiquement, et ce, sans jamais pouvoir vraiment croiser de personnes bienveillantes, la personne cesse de s'aimer elle-même, car elle rationalise ce qui lui arrive pour le supporter. Notons que les suicides peuvent arriver dans ces cas là et que certaines personnes sont capable de transformer leur souffrance en haine ce qui peut les rendre très puissantes et très dangereuses.
II- La destruction pure et simple
Parfois, la discipline a été utilisé pour détruire carrément, comme dans les camps de concentrations où on faisait travailler les gens jusqu'à leur mort, où d'autres pratique tel que faire creuser un fosse à des foule avant de les exécuter dedans ...etc, bien entendue, tout ceci tiens du sadisme et de la discipline à moins qu'il n'existe pas de moyen plus pratique d'arriver à ces fins.
III- Pervers narcissique ou phénomène d'entretiens sociale par le sadismes? La stigmatisation sociale
Les gens plus riches, plus prestigieux ou qui se sentent simplement supérieur socialement ressentent souvent le besoin de le rappeler aux personnes qu'ils considèrent inférieurs. Ils vont naturellement procéder à des agressions sur eux, ce qui va leur donner une certaine jouissance flatteuse. Dans certaines sociétés, voir dans toutes, cela ce traduit par des règles inégalitaires. Le membre vip qui passe devant tous le monde à la queue avec son petit sourire satisfait pendant que les autres doivent le regarder sans avoir le droit de protester. Le patron de bar qui dis d'emblée à un noir que son restaurant n'accepte pas les "singes". L'enseignant qui exige le silence à ses élève pendant un examen puis commence a discuter a voie haute avec un autre enseignant pendant ce même examen (signifiant que les règles ne s'appliquent que pour les élèves). Le musulman dans un pays islamique qui va tourner brutalement la main d'un chrétien pour vérifier si il est marqué quand il lui dit bonjour ... etc. Certaines règles et pratiques sociale sont là pour qu'il y ai un genre de respect du système lui même par la discipline, mais il n'est pas rare qu'aux milieu de ces règles d'autres y soit par pure sadisme pour en flatter les propriétaires. C'est un défie de civilisation de ne pas avoir de pratique sadique dans ses uses et coutumes.
IV- La jouissance par le chaud froid
Notons qu'il y a des formes de discipline sadique plus tourné vers la jouissance sexuel. On peut par exemple imposer à une autre personne la chasteté pendant une longue période affin de la faire jouir plus fort au moment du sex plus tard. Ou lui imposé des rituels sexuels répétés affin de la maintenir excité sur de longue périodes. On peu même détruire son égo et sa dignité ponctuellement dans le seule bute de la défaire de sa pudeur affin de la faire jouir comme un animale totalement débridé. Toutes ces pratiques de disciplines donne un vrais plaisir sadique, on ressent la vulnérabilité de la personne à l'orgasme, elle supplie, on prend son temps, on en joue, on la mène à la folie avant de finalement la laisser jouir. C'est pour moi un sadisme plus lumineux, plus joueur qui nous montre que le sadisme peut aussi s'exprimer de façon constructive et ludique.
Soyez la première personne à aimer.
EN SOMMEIL Sisyphe_44
Malheureusement vrai, à mon sens.
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16/08/24
La combinaison soumission / dicipline est beaucoup plus vertueuse. C'est un peu celle des moines, des prêtres ...etc
la personne veut s'améliorer mais elle ne sait pas ou n'y arrive pas par elle-même, alors elle va se soumettre à une autre personne ou à une idéologie pour y arriver. Elle cherche ce qui correspond a ses aspiration et s'engage.
I- Une discipline enluminée
La discipline de la personne soumise est plus bienveillante. C'est un mélange de coaching et de patience. On a généralement pas besoin de trop punir une soumise car elle est déjà tourmenté quand elle échoue. Son engagement personnelle la guide déjà et il s'agira plus de l'aider à tenir, a l'expier et de ne pas désespérer.
l'exemple le plus parlant c'est le drogué. Un drogué qui veut arrêter la drogue mais qui n'y arrive pas va voir un psychiatre. Le psychiatre devient son maître dans ce cadre. Il le pousse a s'engager, valorise ses effort, lui pardonne ses moments de faiblesse.
II- L'emprise
Il y a une relation d'emprise du disciplineur sur la personne soumise, petit à petit la soumise oublie qu'elle obéie pour elle-même et agit pour plaire à son disciplineur. C'est un pivot particulier dans la relation, le moment où on considère que la relation a réussit, ou celui où elle est devenue problématique (cas du psychiatre).
III - Punir pour expier
Bien sure on peut punir une soumise, mais les choses se déroulent très différemment par rapport à une discipline de domination. C'est elle qui demande par ce qu'elle a honte et veux payer un genre de dette. Cela peut être bien de définir au début les sanctions à payer en cas d'erreur. Le niveaux de ces sanction pourront être rechangé dans une discutions entre la personne soumise et la personne disciplineuse. La personne disciplineuse ne pouvant pas imposer une sanction a la personne soumise sans qu'elle l'ai déjà accepté avant car sinon cela devient une relation de domination. En faites, le disciplineur de soumise est celui qui est le plus fidèle aux engagements pris par la soumise et de cette fidélité découle la sanction que la soumise avait prévue contre elle même en cas de manquement de sa pare.
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Avant de "discipliner" qui que ce soit, il faudrait peut être commencer par apprendre à écrire, et à s'auto-discipliner vis-à-vis de l'orthographe...
Comme a chaque fois que je parle de domination, je parle de méthodes coercitive pour prendre l'autorité sur une personne, et cela, en opposition avec la soumission qui est plus un effort de la partie soumise vers un maître. La domination couplé à la discipline et une essence bdsm très présente dans notre société, à tous les niveaux, école, travail, justice ...etc. Elle est malheureusement comme dans tous les pays qui ont encore beaucoup à évoluer (quand on a une vision humaniste de l'homme), un des ciment de l'éducation dans notre pays. Quel que soit l'endroit où elle sera utilisée, que ce soit dans le cadre d'un jeu consensuel extrême ou dans une entreprise, le schéma est toujours le même et il est composé de 2 étapes que beaucoup de gens vont reconnaître amèrement:
I- Épuiser sa victime pour lui faire accepter des concession
le dominant peut utiliser la discipline comme outils pour arriver a ses fins. Il va s'agir de fatiguer sa victime pour qu'elle accepte de plus en plus de concession. En gros, il va punir a chaque fois que sa proie va s'éloigner de ce qu'il veut qu'elle fasse. Notons qu'il peut aussi récompenser quand elle va dans le bon sens.
Pour faire simple, une punition c'est quelque chose de désagréable et une récompense quelque chose d'agréable. Ça peut aller d'un mauvais regard ou une privation ou à de la torture pure et simple. Pareil pour la récompense, ça peut être un compliment, une caresse jusqu'à un titre honorifique, des biens, la réalisation d'un rêve, un grand moment planifié etc...
II- Le remodelage
Une fois que le dominant a contraint sa victime, la relation devient une relation de discipline pure et là, beaucoup plus de choses deviennent possibles.
Dès lors que chaque règle est accepté, on peut totalement remodeler une personne en choisissant les bonnes règles. On peut lui donner de nouvelles qualités (mais aussi de nouveau défauts attention), on peut même changer ses goût, sa personnalité, la façon dont elle se perçoit elle-même, ses habitudes ...etc. Avec un peu d'ingéniosité on peut vraiment tout faire.
On se rendra compte cependant qu'en fonction du tempérament et du passé de la personne, certaines choses sont plus faciles à obtenir que d'autres et certaines sont à éviter car elles mettent la personne dans une situation ingérable qui peut la pousser a la schizophrénie ou a des troubles névrotiques. Bref, attention, c'est puissant.
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Ce sont effectivement les principes de base du conditionnement. Largement utilisés dans l'armée, mais aussi dans certains sports comme la boxe, le MMA...etc
Déconstruire lorsqu'il y a potentiel de reconstruction pour effacer les mauvaises habitudes, les défauts dans les acquis, les peurs irrationnelles...
Ces techniques de manipulation sont particulièrement dangereuses lorsqu'elles sont mises en oeuvre par des apprentis sorciers. Tant au niveau de la déconstruction que de la reconstruction. Beaucoup de "Manager" ont poussé trop loin la première, sans être assez constants et persévérants dans la seconde.
Bonjour à vous.
J'ai un petit problème avec la notion de domination soumission que vous exposez à travers votre texte. J'ai l'impression de voir ici la vision de domination soumission qui existe dans le livre histoire d'O, un cadre a peine consenti, une soumise qui n'a qu'à fermer sa gueule et se laisser guider. C'est là un livre et qui plus est un livre écrit par quelqu'un qui n'était pas du milieu.
Vous parlez du dominant qui contraint sa victime, il n'y a de victimes que celle qui est consentante, sinon nous entrons dans un cadre hors consentement et c'est donc là quelque chose de répréhensible.
Si une personne accepte ma domination, elle est ma soumise et non la victime de ma domination.
"Une punition c'est quelque chose de désagréable et une récompense c'est quelque chose d'agréable. "
Donc là vous parlez très clairement de contraindre la personne afin de la briser et d'imposer votre volonté et ce par un jeu de récompense /punition.
Toujours pareil, s'il n'y a pas de consentement il y a red flag.
De plus, dans le cadre du sadomasochisme, il est très difficile avec les personnes très maso de déterminer à quoi correspond une punition pour eux. La douleur étant très intimement liée au circuit de la récompense et du plaisir.
Dans un cadre de domination et de soumission, je trouve que l'analyse que vous faites est un fantasme dangereux qui ne tient pas compte du fait que la soumission est un acte volontaire. Les soumis ou les soumises souhaitent se soumettre et offrir leur soumission à quelqu'un , ce n'est pas cette personne qui impose sa soumission à des pauvres malheureux un peu faible d'esprit.
Dans un cadre de domination esclavage, je pense que les dynamiques peuvent être assez proche de ce dont vous parlez par contre.
Ensuite jouer à déconstruire quelqu'un pour le reconstruire est un jeu très dangereux, la personne soumise, que vous qualifiez de victimes, risque d'y perdre des plumes.
Puisque vous faites un parallèle avec l'armée, je citerai ici l'exemple de bon nombre de légionnaires qui après une carrière, n'arrive pas à se réinsérer dans la vie civile car ils ont été formatés pour être des legios et rien d'autre !
oui, c'est très dangereux et malheureusement pourtant très présent. Par contre, sur cet histoir de consentement, je fais bien la difference entre la soumission qui est consentie, désiré, et la domination qui a un caractère cohercitif. On ne peut pas dire que la domination soit vraimant tout le temps non concentie, mais elle a quand même un caractère imposé. Il y a des personne masochiste qui recherche ce sentiment de perte de controle et d'abus et c'est très dure de leur donner en restant dans le cadre bdsm de consentement mutuel (et très dangereux...)
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09/08/24
@pmision, j'ai l'impression que vous parlez d'une vision totalement théorique, théorie que je pense influencée par des romans, des films mais en aucun cas de la réalité tant humaine , judiciaire que du monde BDSM.
Parlez-vous d'expérience où êtes-vous juste dans une vision personnelle de ce que devrait être les choses ?
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10/08/24
Peut-être qu'à trop vouloir analyser les choses d'un point de vue technique, scientifique vous en oubliez la composante essentielle qui est l'humain. Le/la soumis/se s'offre à un/e maître/ses, dominer quelqu'un est donc accepter de recevoir le présent de sa soumission et se penser digne et capable de la guider à travers un cheminement humain, BDSM et éventuellement psychologique mais aussi et avant pour son plaisir comme pour le vôtre.
La notion de domination relève pour moi plus de l'offrande, du partage et de la responsabilité que d'une manipulation, et d'un cassage psychologique. Au fond n'est-ce pas votre vision de la domination qui fait que vous n'aimez pas cela ?
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10/08/24
ce point de vue se situe dans la soumission pour moi, et là j'aimes bien effectivement. C'est bien ma vision de la domination qui fait que je ne l'aimes pas. Mais au dela d'une vision, c'est surtout une definition (la domination c'est bien le controle par la force, et la soumission une offrande, voir definition des mots). En faites, ce que sont les choses pour chacun de nous, notre ressenties et nos experiences sont subjectives. On ne peut jamais totalement s'appuyer dessus. Alors l'interets de la théorie, c'est d'utiliser des definitions claires et avec le moins possible de suggestivité pour poser un genre de squelette globale sur lequel on peut s'appuyer pour atteindre des objectif ou se situer grossièrement au moins dans une situation ou une autre. La théorie n'est pas inutile, et elle ne suffit pas non plus à elle seule. Je n'ai pas du tout la prétention de pouvoir faire de la théorie avec l'humain, ce sont ici les procédées dont je fait l'analyse. Je laisse les aspect humains aux humains si je puis dire, je ne suis ni dans la tête, ni dans le coeur des gens, je me contente de voir ce qu'ils font et au moins d'essayer de comprendre cela. En tout cas ici, je suis aussi une personne et je ressend des choses et j'ai des opinions sur les gens, mais j'essais d'en parler le moins possible sur ces articles.
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11/08/24
Ok, j'ai compris, vous aimez bien blablater, mais il n'y a rien de concret derrière tout ce que vous dites, ce sont juste des définitions que vous sortez d'on ne sait où (voir la définition de la domination et de la soumission que vous avez donné) . Vous avez tendance dans vos postes à dire une chose et son contraire, et argumenter les deux choses.
Je pense que votre vision des choses est dangereuse et erroné.
Je ne suis pas dans la théorie, je cite l'expérience, mon expérience. À première vue, vous vous n'avez personne, moi j'ai une soumise, plusieurs play partenaires réguliers ainsi que des amis BDSM avec lesquels nous faisons des soirées ensemble. Je sors, je suis assez investi sur la scène bdsm. Je n'ai pas la prétention de tout savoir, mais par contre ce que je sais c'est que vous faites totalement fausse route.
Peut-être est-ce la raison d'ailleurs pour laquelle vous êtes encore seul !
Continuer à penser si vous voulez que l'on peut imposer sa domination BDSM par la force, mais je pense que vous êtes dans l'erreur et que vous devriez lâcher un peu vos dictionnaires pour faire du BDSM réel.
Le problème c'est que tant que vous aurez cette vision de la domination personne ne voudra de vous comme maître.
j'ai fait l'effort de discuter avec vous alors que vous ne vouliez manifestement que jouer a qui pisse le plus loin. Merci de m'avoir éclairé de votre grande sagesse d'homme experimenté, de m'avoir aider a apprendre plus de chose, de m'avoir guider vers une meilleur comprehenssion dans le cadre d'une discution contructive au lieu de juste essayer de me dessendre avant de vous comparer à moi. De me balancer des vérité polytique et subjective, de me menacer et de spéculer de facon méprisante sur ma personne et sur mes sources en jouant sur les mots. La vrai puissance d'un homme se mesure aussi à sa noblesse, si vous avez autant besoin que ca de manifester votre supériorité, c'est qu'elle doit manquer grandement d'évidence, quant à la mienne, elle n'a jamais été en jeu, j'ai tout ce qu'il me faut, je vous remerci de votre solicitude bienveillante.
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11/08/24
Je suis navré que vous le preniez ainsi, je pense que je n'arrive pas à vous comprendre et que nous ne nous comprenons pas.
Je préfère donc en rester là pour cette discussion.
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11/08/24
en recherche d'un nouveau soumis désireux de vivre sa passion sous l'autorité de sa Déesse dans une relation vraie .:.
Bonjour monsieur, j'ai lu tout votre profil qui semble issu d'une personne réfléchi.
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Comme pour le bondage et la soumission, on va retrouver des pratique d'autobondage, mais ce coup ci, les objectifs ne sont plus les même.
I- L'auto humiliation
Une personne masochiste peut avoir envie de se bloquer dans une posture défavorable de façon à s'humilier socialement. Il peut s'attacher lui même dans un lieu publique, se mettre des vêtements qui attire les problèmes et qu'il ne peux pas enlever etc...
II- L'auto sabotage
Il s'agit ici de s'attacher pour ne pas pouvoir agir dans une situation critique, pour être sure d'échouer. Un sportif qui se mutile avant une compétition pour gâcher sa carrière, une personne qui va prendre des drogue avant un entretient d'embauche ...etc, un homme qui se coupe une oreille avant d'aller draguer...
III- La mise en situation de vulnérabilité
Ici il s'agit d'attirer les sadiques. C'est un peu un regardez moi, je suis sans défense, frappez. La personne peux s'auto enchaîner pour être sure d'être prise, pour attirer la malveillance comme sur un pilori ou autre mais où la personne est volontaire.
IV- La recherche d'une douleur permanente dans l'action
La personne peut s'attacher un membre de façon douloureuse pour être douloureusement handicapé dans sa vie de tous les jours (comme un fil de barbelé entouré autour de la cuisse, du riz dans les chaussure ...etc)
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Ici on entre dans une partie très sombre du bondage. le bondage peut se combiner au sadisme et l'histoire nous l'a beaucoup montrer.
I- Les contraintes destructrices
Il est possible de contraindre une personne de façon à l'empêcher de dormir ou de se reposer, la poussant dans un état de fatigue terrible sans effort. De telles méthodes ont été utilisé pour "mater" les femmes dans les prisons anglaises.
II- Les contraintes pour le désespoir
On peut désespérer des individus et détruire leur mentale en les torturant par l'isolement, en insistant sur les longues périodes d'enfermement qu'on va leur faire subir, en ne leur laissant aucun rapport sociale. Ce sont des méthode classique de torture dans les prison et les sociétés d'aujourd'hui. Notons que l'on peut aussi amputer une personne pour la désespérer ou la détruire, on remarque la castration comme châtiment ou méthode d'esclavage dans le passé.
III- La honte pour toujours
Il est possible de créer des lien éternelle ou des cicatrices en insistant sur le fait qu'elles sont définitives. Les esclaves pouvait être mutilés pendant le commerce triangulaire, les femmes pouvaient se voir couper le nez et les oreilles pour être privés de leurs beauté ...etc, certain filme sm japonnais parlent d'histoire de femme avec une ceinture de chasteté sans clé et parfois même enceinte...
IV- La culpabilisation
On peut pousser une personne à une souffrance terrible en l'attachant pendant qu'on fait devant elle une chose qu'elle n'aurait jamais toléré comme s'en prendre à la personne qu'elle aime le plus au monde (thème de underworld, spartacus, ...etc)
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La soumission c'est de choisir soit même l'autorité d'une autre personne ou d'une idéologie. On ne peut pas parler de combinaison soumission / bondage sans parler de l'autobondage bien sure
I- L'auto bondage
L'auto bondage, c'est s'attacher soit même, il existe pour ça des menottes et des systèmes de "ice-lock" qui fixe un temps. La personne soumise qui fait de l'autobondage peut avoir plusieurs motivation tel que s'imposer une trêve (le lâcher prise, les vacances forcé) ou s'offrir aux autres. Une personne peut se mettre volontairement en situation de vulnérabilité avant de se donner a une personne dont elle choisie de recevoir l'autorité. Ici il s'agit plus d'un gage de confiance ou simplement pour rassurer. On voit souvent cet pratique dans le monde des affaire ou de la politique, on offre des garantie, des otages pour prouver qu'on respectera les condition fixer par l'autre partie.
II-Le renoncement pure et simple
Une personne qui a peur d'elle-même et souhaite suivre une autre vois que celle de sa nature peut le cas échéant s'infliger un bondage pour s'imposer une direction. Cela peut aller d'un simple rituel de s'enchaîner à un objet pour ne jamais s'en séparer, marcher pied nue pour rester humble a s'amputer ou se mutiler pour ne plus être capable de réaliser certaines chose (les soldat qui se tire dans le pied)
III-La preuve de confiance
Une personne soumise peut apprécier de s'offrir en bondage régulièrement à la personne qu'elle a choisie pour la guider affin de lui retémoigner encore et encore sa loyauté et de se rassuré elle même sur celle ci (car elle est sont objectif). Notons que les profession nécessitant la soumission de leurs employées sont souvent associé à des uniformes qui peuvent les objectifier en société et parfois même considérablement restreindre leur liberté de mouvement.
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La domination, c'est imposer son autorité par la contrainte et le bondage restreindre les sens et les mouvement. Ces deux art se combinent donc très naturellement.
I- La mise en état de vulnérabilité
Évidement, un(e) soumis(e) attaché ou enchaîné de façon a ne pas pouvoir fuir ou esquiver n'aura pas d'autre chois que d'accepter tout ce qu'on lui fera subir. On peut donc l'obliger a accepter tout ce qu'on veut et le désensibiliser à résister à tous ces procédé et finir par les considérer comme normale. Évidement, il ne s'agit que de discipline de surface car aucune de ces actions n'a été accepté sans contrainte et c'est encore plus vrais ici. Cette pratique est présente dans la société, ce sont les grillages, les barricades et autres qui nous habitue à ne pas aller a certain endroit et a accepter que notre liberté de circulation soit constamment remise en question, nos papiers vérifié, notre argent pris aux péage etc...
II- La mise dans un état de dépendance
Si la personne est entravée, elle ne peut pas faire un certain nombre de chose toute seule et va avoir besoin de l'aide de son maître. Ainsi, elle s'habitue a avoir besoin de lui et a devoir lui plaire en toute circonstance pour pouvoir continuer a subvenir a ses besoin. L'exemple en société, c'est l'argent et la centralisation des moyens de production. Vous devez tous plaire au système pour pouvoir manger, etc...
III- La destruction de la fierté
Certains état fixé par le bondage sont humiliant et peuvent réduire l'estime que la personne a d'elle même (on voit ça dans les prisons aussi). Ainsi, attaché pendant que les autres sont libre, elle devra accepté l'idée qu'elle est moins qu'eux et sera plus prompte a se soumettre a toutes les injonctions qu'on lui donnera.
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La domination c'est s'imposer a l'autre le soumettre, point. La contrainte est un des outils pour asseoir sa domination, qu'elle soit a base de cordes, cuir, latex, corps. La domination par la contrainte est tellement réducteur, je ne suis pas d'accord avec cette vision, de ce fait débattre du reste me semble caduc. Je ne vois en plus nul part de consentement préalable a ce que la soumise va subir et ça engendre une ambiguïté qui flirt avec le viol, si on veut aller par la. Et la normalité dont tu parles est de la résignation qui est plus de l'ordre de pathos propre a chaque personne. A chacun de l'accepter ou de se rebeller mais une fois de plus sans notion de consentement, si ta soumise est résignée whaou quel dominant es tu... ?
Bref ce n'est absolument pas ma vision de la relation D/s.
mon article ne contient aucune valeur, c'est une analyse mécanique globale. Je trouve aussi cela dangereux, effectivement il faut être prudent et bien discuter des limites et objectifs de la relations. Sachez aussi qu'il y a bien des gens qui recherche ce "viole" et c'est très compliqué de leur donner et très inconfortable pour le dom.
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08/08/24
Excusez moi mais Vous mélangez vraiment tout. Il n'y a pas du tout de viol dans un jeu consenti ou chaque personne à posé son accord ou non dans la pratique. De plus aucun des participants n'a a vivre quelque chose d'inconfortable. Ce n'est pas ça le BDSM qui a la subtilité d'un profond respect réciproque. Dans le cas contraire on tombe dans la violence, les abus etc. Je vous conseille d'écouter et de lire avant de publier n'importe quoi.
Ce qui me dérange, c'est le nombre de fautes en tout genre qu'il y a dans cet écrit, il faudrait commencer par corriger ces défauts qui sont a mes yeux , un manquer de rigueur, en ce qui concerne donc la forme. En ce qui concerne le fond, il est évident que nous vivons dans une société dire "libre", mais de plus en plus remplie d'interdictions en tout genre, la preuve en est que nous ne pouvons réellement vivre au grand jour notre philosophie de vie sans être jugé(e)s voire conspué(e)s.
Nous acceptons pour la plupart de vivre dans un système social ou braver les interdits est puni, au final, nous sommes tous des soumis et soumises du fait de cette acceptation
Agathe il faut être un peu plus ouvert, il n'y a pas qu'une seule vision des choses sur terre, la tienne. Les gens ont des motivations et des désires différents, même au dela de tes propres limites et normes. Je ne pense pas qu'il faille tout polytiser selon une idéologie dominante. Des gens peuvent rechercher des choses qu'ils n'ont pas choisie, crois moi ca existe, il y a des profiles vraiment dingue de gens dans la nature et moi personnellement j'ai choisie de l'accepter et de ne pas trop juger (on y arrive jamais). On peut réprouver certaines pratiques, ne pas les aimer, mais on doit accepter l'existence des autres personnes. Et oui, on peut accepter de faire des choses inconfortable pour faire plaisir a une autre personne, meme en tan que dom. On peut le faire par amour, on peu le faire par pittié ou même par curiosité.
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09/08/24
Demonlover ne parle pas de nombreuses faute sans les citer explicitement sinon ce n'est plus un commentaire mais de la démagogie. Je partage ton points de vue sur la société à un détail près, pour moi ce n'est pas une vrais soumission car personne n'a réellement eu le choix. En faites c'est ce qu'on appelle la manipulation par la technique de la soumission librement consentie. On domine une personne subtilement pour lui faire croire qu'elle a elle même choisie de se soumettre, ainsi, elle accepte tout sans se sentir contraintes et donc sera pro active dans les directives imposées.
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09/08/24
I- La mise en état de vulnérabilité
Évidement, un(e) soumis(e) attaché ou enchaîné de façon a ne pas pouvoir fuir ou esquiver n'aura pas d'autre choix que d'accepter tout ce qu'on lui fera subir. On peut donc l'obliger a accepter. Effectivement imposer par une Maîtresse, cela peut être intéressant pour un soumis, mais il faudrait des limites.
Le bondage c'est l'art de contraindre les sens et les mouvements par des méthode matériel. La discipline c'est la contrainte par des règles pour modeler le corps et l'esprit du/de la soumis(e).
Leur combinaison évidement sera un bondage systématique ou de longue durée.
I- les bondage systématiques :
C'est tous simplement des routine journalière de bondage qui seront comme des exercice de méditation répétés afin de modeler l'esprit du sujet.
Par exemple:
* on peut faire dormir la soumise dans une cage, tous les matin, elle devra attendre qu'on lui ouvre la cage pour sortir et tous les soir elle devra se laisser enfermer dans cette cage. Cette pratique peut l'habituer peut a peut à l'idée quelle appartient bien a son maître, qu'elle y est liée et ne peut pas envisager sa journée (son commencement et sa fin) sans passer par celui ci et sa disponibilité.
* ca peut être bien aussi d'habituer sa soumise à présenter elle même ces mains et ses pied pour être entravé lorsqu'elle doit rester seul ou sortir. Cela lui fera ressentir qu'elle n'est jamais totalement libre de ses mouvement et qu'il va de soit qu'elle évolue toujours dans un cadre définie par son maître.
Les deux méthodes ci dessus sont plus ou moins celles qui sont appliqué dans les prisons (et oui, le bdsm, bien plus qu'un style de vie ou un jeu sexuel est aussi une pare obscure de notre société).
II- les bondage de longue durée
Ici, c'est vraiment le bondage, qui agit comme outil de discipline. On peut par exemple:
* enchaîner par le coup une soumise pour qu'elle ne s'éloigne jamais d'un espace restreint prévue pour elle dans le salon. Ainsi, son univers tout entier sera limité à cette espace, ses relations sociales seront les gens qui viennent dans cette espace et les seules interaction qu'elle aura seront celles qu'on lui donnera dans cet espace. C'est une façon de faire le vide en elle et de la sensibiliser extrêmement à ce que l'on veut. Cette technique est d'ailleurs très présente dans le monde du travail, une personne figé sur un poste fixe pour être sensibilisé, focalisé et modelé.
* Bien sure, les entrave longue durée pour changer la façon de faire : on peut enchaîner a long terme une soumise ou un soumis pour qu'il/elle ne se déplace plus qu'a 4pattes, ne se serve plus de l'un de ses sens ...etc
* la ceinture de chasteté est aussi un bon exemple de changement des habitude et des sensibilité. Plus de masturbation et une sensibilisation accrue des organes génitaux.
III- Les bondages de disciplines
Certain type de bondage sont de véritable outils de disciplines classique. Par exemple:
*le collier électrique que l'on utilise sur les chien pour les empêcher d'aboyer. C'est à la fois un outil de bondage (matériel limitant les possibilité d'actions) et de discipline (punitif sur procédé). La sanction est immédiate, c'est mécanique et ca ne dépend pas du maître, on est donc ni tout a fait sur de la discipline ni tout a fait sur du bondage. Imaginé toutes les autres possibilités...
* Il y a aussi les bondage de punition bien sure : on attache le sujet de façons inconfortable pour le punir ou de façon a le garder en place pour lui faire subir un traitement de discipline en continue.
5 personnes aiment ça.
c'est un monde très très vaste mais qui se résume bien par l'acronyme bdsm
b d/d s/s m en réalité
b = bondage -> la privation de sens et de liberté de mouvement, l'abandon a l'autre, le sentiment de vulnérabilité
d = discipline -> les règles, les punition pour re configurer son esprit
voir son corp
d (le deuxième) = domination -> un ensemble de procédé pour amener une personne par la contrainte a accepter son autorité
s (le premier) = soumission -> s'en remettre, se donner a l'autre et accepter son autorité de son plein grès
s (le deuxième) = sado -> le sadisme : donner de la douleur et des sensation forte a l'autre, le conduire a l'extase ou la perte de son humanité en court-circuitant sa dignité
m (le dernier) = maso -> masochisme : s'abandonner a la douleur et aux sensation forte, accepter d'être abîmé, accepter la fatalité de la vie et la simplicité de son corps et de ses instinct
voila
après ca pousse a beaucoup de pratique très diverse allant de choses soft et marrante jusqu'à des chose très hard et terrifiante
un peu a chacun de voir ou il se situe
en progressant prudemment
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Je ne suis pas forcément d'accord avec le fait de donner de la douleur. Je trouve plus juste de parler de sensations. La douleur est un message désagréable pour alerter le corps d'un danger. Par ailleurs, il ne me semble pas court-circuiter la dignité d'une personne soumise et maso. A l'inverse, préserver son intégrité physique et cérébrale me semble être primordial. C'est pourquoi je n'abîme pas mes jouets.
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31/07/24
En faisant ce post à l'intention du grand public (du moins, des internautes sur bdsm.fr), vous souhaitez donner une certaine définition du BDSM au plus grand nombre. Et cet espace de commentaires me permet d'attirer votre attention sur l'emploi de certains termes pouvant être "borderline". C'est tout. Tenter de définir les termes de la façon la plus large possible est des plus louables. Je ne souhaite que mettre en lumière certaines choses qui, à mon sens, ne reflètent aucunement la réalité car pouvant verser dans des activités plutôt éloignées de pratiques consentantes et safe.
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31/07/24
Comme toujours, une tentative de "définition" est forcément réductrice, tronquée, partielle... mais là, je trouve que c'est carrément fantasmagorique, et parfois même à l'inverse des valeurs et pratiques du BDSM ! Ainsi, par exemple :
- "discipline -> les règles, les punition pour re configurer son esprit voir son corp" : il ne s'agit pas de "reconfigurer", ce mot implique une sorte de "reprogrammation" (vous ne seriez pas informaticien, par hasard ? lol), je dirais même que souvent il s'agit de "libérer" dans l'abandon, dans le lâcher-prise, dans le déverrouillage du Surmoi freudien, des interdits religieux ou des tabous sociaux...
- "domination -> un ensemble de procédé pour amener une personne par la contrainte a accepter son autorité" : l'autorité ne s'obtient pas par la contrainte (sinon, cela s'appelle du viol !), elle est en principe naturelle, elle ne s'impose par la force, mais par le respect, par l'attirance, par l'alchimie de deux personnalités dissemblables mais complémentaires...
- "sadisme : donner de la douleur et des sensation forte a l'autre, le conduire a l'extase ou la perte de son humanité en court-circuitant sa dignité" : la douleur n'est pas une fin en soi, elle peut être simplement un moyen, et la perte de son humanité n'est en aucun cas un but ! On reste toujours d'abord et avant tout un homme, une femme, un être humain, avant d'être un.e soumis.e ! La perte de dignité peut faire partie de "jeux" d'humiliation, mais si elle résulte d'une volonté systématique de rabaisser l'autre, de le dévaloriser, de détruire son ego, alors cela est malfaisant, pervers et malsain.
- "masochisme : accepter d'être abîmé, accepter la fatalité de la vie et la simplicité de son corps et de ses instinct" : non, cela n'est pas une fatalité, au contraire ! On dit même souvent qu'un.e Dom.ina a pour vocation de "faire grandir" son/sa soumis.e... En tout cas, le but n'est certainement pas de "l'abîmer" !
Bref, je trouve que votre définition donne une très mauvaise vision du BDSM et de ses pratiques, copie à revoir entièrement !
je crois que nous nous comprenons, si on met ta condessendance et ton mépris de coté. Par contre, je tiens mes positions, il y a un coté sombre dans le bdsm et il vaut mieu le savoir. C'est bien d'avoir des valeurs mais ca ne fait pas disparaitre la réalité. Tu déplace ma définition de la soumission vers la discipline et tu accorde au carisme une vertue libertaire alors que c'est pour moi un moyen comme un autre de prendre sans consentement (je pense que les gens abusées vont très bien comprendre mon point de vue ici). Pareil pour le masochisme dans lequel tu injecte ma definition de la discipline. Bref tu deforme mes propo pour me cracher dessus en les redistribuant au hasard. Tu es telement carismatique lol, oh oui vas y, cite freud y aura bien un ou deux couillons pour marcher. Encore une fois, il faut accepter la réalité, et après avoir des valeur pour ne pas sombrer dans l'obscurité. La maturité c'est de savoir, puis de choisir.
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01/08/24
Je partage tout a fait l'avis de Marie ! votre coté professoral ne reflete en rien le BDSM : une vraie caricature ... qui ne peut qu'induire en erreur les novices. Laissez cela aux personnes experimentées.