Domi_Gangbang

Dans la lumière tamisée d’un pub chic de Londres, l’ambiance vibrait au rythme discret du jazz. Une jeune femme entrait dans le champ de tous les regards — grande, rousse flamboyante, les yeux aussi clairs que le gin qu’on versait à flot. Pulpeuse sans détour, elle portait une jupe si courte qu’elle défiait la décence, et un perfecto en cuir entrouvert, révélant un soutien-gorge balconnet noir, comme un clin d’œil assumé à la provocation. Elle leva les bras vers le plafond, les paumes offertes au ciel comme une diva saluant une ovation silencieuse. Son sourire était une énigme ; mi-jeu, mi-défi. Autour d’elle, huit hommes en costume-cravate impeccables — quadragénaires élégants, visiblement habitués à diriger des réunions plus qu’à en perdre le contrôle — levaient leurs flûtes de champagne. Certains souriaient, d’autres la dévoraient du regard avec une fascination mal dissimulée. Ils formaient un cercle informel autour d’elle, comme si elle était l’astre central d’une constellation nocturne, imprévue et magnétique.